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Orchestre de Paris
Esa-Pekka Salonen
Pekka Kuusisto
Nina Stemme & Gerald Finley
Les prochains concerts
de l’Orchestre de Paris
20H30 20H30
TARIFS 62 €, 52 €, 42 €, 32 €, 20 €, 10 € TARIFS 62 €, 52 €, 42 €, 32 €, 20 €, 10 €
Mercredi 5 et jeudi 6 Mercredi 12 et jeudi 13
janvier 22
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Live
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Bryce Dessner
Concerto pour violon, création française
ENTRACTE
Béla Bartók
Le Château de Barbe-Bleue
Orchestre de Paris
Esa-Pekka Salonen, direction
Pekka Kuusisto, violon
Nina Stemme, soprano
Gerald Finley, baryton-basse
Judith Chemla, récitante
Eiichi Chijiiwa, violon solo
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mouvement perpétuel qui frappe le plus à l’écoute de cette partition dans laquelle, dès
les premières mesures, le soliste et le (petit) orchestre nouent un dialogue aux allures de
course-poursuite. Sensation amplifiée par le fait que les trois mouvements de l’œuvre – le
premier et le second séparés par une cadence – sont joués enchaînés.
Mais cette idée de « pèlerinage » est aussi, selon Dessner, à prendre au sens métaphorique,
comme le reflet de la position qui est la sienne en tant que musicien contemporain : « Le
fait de composer pour orchestre, et d’écrire un concerto pour violon, m’est parfois apparu
comme la traduction musicale de cette idée de pèlerinage. S’embarquer pour un voyage
que tant d’autres ont fait avant nous, et au fil duquel tant d’autres musiciens-pèlerins ont
laissé la musique la plus iconique et intemporelle. (…) Qu’est-ce qui nous attire sur un
chemin que tant d’autres ont si souvent emprunté avant nous ? Que pourrais-je avoir à
dire de nouveau, ou de particulier à mon propre voyage ? » Ainsi, c’est à un palpitant
pèlerinage à travers l’histoire de la forme concertante qu’il nous invite ici. Un voyage
au détour duquel on pourra trouver trace de son admiration pour Vivaldi, Mendelssohn
(auquel il emprunte la technique du bariolage, passage rapide d’une corde à sa voisine
permettant de jouer un grand nombre de notes sans avoir à trop bouger les doigts),
Ravel ou Lutosławski. Un voyage où Dessner, sans refuser la virtuosité ni la dimension
héroïque propres au genre, se plaît souvent à subvertir la forme canonique.
David Sanson
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EN SAVOIR PLUS
– brycedessner.com
– « Ponts invisibles », entretien avec David Sanson paru en 2016 sur accentsonline.fr
(accentsonline. fr/2016/08/31/ponts-invisibles- entretien-avec-bryce-dessner/).
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Béla Bartók (1881-1945)
Le Château de Barbe-Bleue, opéra en un acte, op. 11, BB 62,
sur un livret de Béla Balázs
[A kékszakállú herceg vára – littéralement : Le Château du duc à la
barbe bleue]
Le 10 mai 1907, deux jeunes Hongrois, le poète Béla Balázs et le compositeur Zoltán
Kodály, assistent à Paris à la création d’Ariane et Barbe-Bleue de Dukas, sur un livret de
Maeterlinck. « Livret du plus haut intérêt, mais mauvaise musique », commente Kodály.
Au printemps 1910, Balázs écrit Le Château de Barbe-Bleue, dont il souligne la parenté
avec les ballades séculaires de Transylvanie, à commencer par la célèbre Anna Mónár.
Il offre ce livret à Kodály et à Bartók. Le premier décline la proposition, mais Bartók est
attiré par le poème. Il se met à la composition en février 1911. L’année suivante, un jury
décrète que l’ouvrage est impossible à mettre en scène. Il faudra le succès en 1917 du
ballet Le Prince de bois pour que l’Opéra royal de Hongrie accepte enfin de monter
Barbe-Bleue. Le 24 mai 1918, l’accueil est mitigé.
Bartók ne composa que trois œuvres scéniques, qui toutes germèrent durant son premier
mariage, dans les années 1910 : l’opéra Le Château de Barbe-Bleue (1911), le ballet
Le Prince de bois (1914-1917) et la pantomime Le Mandarin merveilleux (1917-1924).
Chacune illustre à sa manière la frontière qui, selon Bartók, se dresse inévitablement entre
l’homme et la femme. Avant que Le Prince de bois ne fustige les faux-semblants, qu’Éros
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et Thanatos (le Désir et la Mort) ne se livrent leur danse funeste dans Le Mandarin,
Barbe-Bleue met en garde Márta Ziegler, que Bartók vient tout juste d’épouser : à trop
scruter l’âme de son conjoint, on risque de le perdre.
Inspiré des poèmes magiques des regösök, les chamans de la Hongrie ancestrale, le
prologue récité place le conte sur un plan symbolique, dans l’âme humaine : « Le rideau
de cils se lève devant nos yeux ; où est la scène : dehors ou dedans ? » Alors que le
barde parle encore, les premières notes s’élèvent : une mélodie pentatonique surgie du
plus lointain de la mémoire magyare, qui extrait définitivement l’œuvre du temps et de
la réalité.
Deux personnages
Un geyser musical de soixante seulement sont en scène :
minutes. le duc Barbe-Bleue, sur
Zoltán Kodály lequel courent de ter-
ribles rumeurs, et sa
nouvelle épouse, Judith. La petite porte de fer reliant le château au monde extérieur
se referme, et Judith veut désormais ouvrir les sept portes closes du hall pour y laisser
entrer la lumière. Chaque ouverture se déroule en trois temps : la première impression
de Judit, traduite par une page orchestrale, puis l’irruption du sang (un intervalle strident
et dissonant), et enfin la réaction de Judith. Sept portes comme autant de plongées dans
l’âme de Barbe-Bleue : la cruauté (chambre de torture), la soif de pouvoir (arsenal), la
richesse spirituelle (trésor), la tendresse (jardin secret), la fierté (domaine), les blessures
et les chagrins (lac de larmes), les amours passées (dernière porte).
Derrière la septième porte, Judith découvre stupéfaite trois femmes vivantes et richement
parées. Pour avoir ouvert la mémoire de son mari, elle s’est condamnée à les y rejoindre.
Commence la cérémonie de l’adieu. Pour la première fois, les deux voix se superposent,
dans le moment le plus lyrique de l’opéra. Tandis que les portes se referment et que la
nuit envahit de nouveau le château, le duc coiffe Judith d’une couronne somptueuse et
la revêt d’un manteau d’étoiles : « Tu étais belle, cent fois belle ! C’est toi qui étais la plus
belle ! » Ployant sous le poids de sa parure, Judith disparaît derrière la septième porte.
Ce fardeau écrasant, c’est évidemment le poids de la connaissance. En voulant l’assumer,
10
par amour tout d’abord puis parce qu’un doute insupportable la tenaillait, Judith a mené
leur amour à sa perte.
Le cycle de la vie (aube, midi, crépuscule, soir), représenté par les quatre épouses, se
clôt. Désormais, la nuit cerne Barbe-Bleue. Flanquée des motifs de seconde mineure, la
mélodie pentatonique initiale referme l’opéra sur lui-même.
Claire Delamarche
L'ŒUVRE ET L'ORCHESTRE
Le Château de Barbe-Bleue de Bartók est au répertoire de l’Orchestre de Paris depuis 1972
où il fut dirigé par sir Georg Solti – alors directeur musical de l’orchestre –, avec Christa
Ludwig et Zoltán Kelemen ; il était revenu en 1995 pour le diriger avec Julia Varady et László
Polgár. Leur ont succédé depuis Antal Doráti avec Julia Varady et Dietrich Fischer-Dieskau
en 1981, Péter Eötvös avec Ildikó Komlósi et Sándor Sólyom-Nagy en 1991, Christoph von
Dohnányi avec Cornelia Kallisch et László Polgár en 1998, Pierre Boulez avec László Polgár
et Violeta Urmana une première fois en 2001, avant de revenir le diriger en 2006 avec
Jessye Norman et Peter Fried, enfin Christoph von Dohnányi, avec Matthias Goerne et Elena
Zhidkova en 2012.
EN SAVOIR PLUS
– Musique de la vie. Autobiographie, lettres et autres écrits, Trad. Philippe A. Autexier, Budapest
et Paris, Éditions Stock Musique, 1981.
– Béla Bartók, Écrits, Éd. Philippe Albèra et Péter Szendy, Trad. Péter Szendy, Genève, Éditions
Contrechamps, 2006.
– Claire Delamarche, Béla Bartók, Paris, Éditions Fayard, coll. « Musique », 2012.
.
11
Les compositeurs
Bryce Dessner
« À l’orée du xxie siècle, la tentation d’opposer le Carnegie Hall de New York, le Sydney Festival,
sempiternellement la culture classique à la culture les ensembles Eighth Blackbirg et Sō Percussion,
populaire n’a plus de sens, ni intellectuellement ni le New York City Ballet… Ses œuvres classiques
émotionnellement. » Le parcours de l’Américain majeures comprennent un Concerto pour deux
Bryce Dessner semble parfaitement donner pianos (2018) écrit pour Katia et Marielle Labèque
raison à ces mots du critique musical Alex Ross et commandé par l’Orchestre de Paris, le Borusan
en conclusion de son ouvrage The Rest is Noise. Istanbul Philharmonic Orchestra, la Philharmonie
Lauréat de plusieurs Grammy Awards au titre de de Dresde et l’Orchestre national d’Espagne.
compositeur classique (Meilleure interprétation de En 2019, Gautier Capuçon et son ensemble de
musique de chambre 2016 pour Murder Ballads, sept violoncelles La Classe d’excellence ont créé
interprété par le groupe Eighth Blackbird) et The Forest, œuvre commandée par la Fondation
membre du groupe The National (Meilleur album Louis Vuitton. L’Australian Chamber Orchestra
de musique alternative 2018 pour Sleep Well a effectué une tournée pour présenter Réponse
Beast) dont il est fondateur, guitariste, arrangeur Lutosławski dans diverses salles en Australie. Enfin,
et parolier, Bryce Dessner est un artiste prolifique le Philharmonique de Los Angeles et le groupe
qui se sent particulièrement dans son élément Roomful of Teeth ont créé Triptych (Eyes of One on
lorsqu’il participe à des projets à la croisée des arts. Another), pièce de théâtre de Bryce Dessner basée
Parmi ses collaborateurs, artistes aussi créatifs que sur le travail du photographe Robert Mapplethorpe.
respectés, on peut citer Philip Glass, Steve Reich, Les récentes sorties d’album comprennent When We
Alejandro González Iñárritu, Katia et Marielle Are Inhuman (37d03d), collaboration de Bryce
Labèque, Paul Simon, Sufjan Stevens, Caroline Dessner, Bonnie ‘Prince’ Billy et Eighth Blackbird,
Shaw, Johnny Greenwood, Bon Iver, Justin Peck, ainsi qu’un enregistrement de compositions pour
Kelley O’Connor, Ragnar Kjartansson et Nico cordes interprétées par l’Ensemble Resonanz
Muhly. Bryce Dessner compose pour orchestre (PIAS). Le compositeur est également co-fondateur
et effectifs de chambre, ainsi que de la musique de MusicNow, festival de musique contemporaine
vocale. Il a écrit pour les Philharmoniques de Los basé à Cincinnati. Il co-organise le festival biannuel
Angeles, Londres et New York, l’Orchestre de Paris, de musique, art et conversation Sounds From a
l’Ensemble intercontemporain, le Kronos Quartet, Safe Harbour à Cork (Irlande), ainsi que le festival
le BAM Next Wave Festival, le Barbican Centre annuel de Copenhague HAVEN qui croise art,
de Londres, le Festival international d’Édimbourg, musique et gastronomie, et enfin le festival PEOPLE
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qui existe à Berlin depuis 2018. Il préside par ailleurs d’apprendre la guitare classique à l’adolescence.
aux destinées du label Brassland. Né en 1976 à Il obtient ses diplômes de composition à l'université
Cincinnati, Bryce Dessner se forme à la flûte avant de Yale et vit désormais à Paris.
Béla Bartók
Compositeur et pianiste hongrois, Béla Bartók toutefois que Bartók écrivit ses premiers chefs-
est né en 1881 en Hongrie à Nagyszentmiklós d’œuvre orchestraux, avec les ballets Le Prince
(aujourd’hui en Roumanie). Après avoir étudié de bois (1914-1916) et surtout Le Mandarin
le piano avec sa mère, il fait ses débuts de merveilleux (1918-1919), qui compte au
pianiste à 10 ans et poursuit ses études à nombre des grandes œuvres de son époque,
l’Académie de Budapest entre 1899 et 1903, au côté des réalisations de Debussy, Stravinski,
date de sa première partition symphonique Ravel ou Schönberg. Il écrira en 1923 une
d’envergure, Kossuth, marquée par l’influence magistrale Suite de danses (1923), avant
de Liszt et de Richard Strauss, suivie d’une une succession de partitions qui constituent
poignée de pièces « préparatoires », écrites le sommet de son art : Musique pour cordes,
entre 1904 et 1912 (Rhapsodie et Scherzo percussion et célesta (1936), Divertimento
pour piano et orchestre, Suites pour orchestre, pour cordes (1939), Concerto pour violon
Deux Portraits, Deux Images, Quatre Pièces no 2 (1937), trois concertos pour piano (1926,
pour orchestre). Très attaché à sa terre natale, 1931, 1945), jusqu’au Concerto pour orchestre
il entreprend en 1905, avec son compatriote et au Concerto pour alto (1945), demeuré
Kodály, des collectes de chants populaires inachevé. Par tie de l’influence du post-
hongrois et balkaniques. Sa carrière de romantisme germanique, l’écriture orchestrale
concertiste le conduit à travers l’Europe, et de Béla Bartók s’est ensuite considérablement
il est nommé en 1907 professeur de piano modifiée, sous la double influence de Stravinski
à l’Académie de Budapest. À l’exception de et de Schönberg, avant d’évoluer vers un style
la musique religieuse, Béla Bartók a abordé caractéristique, volontiers cru et incisif, en
tous les genres musicaux, du piano à l’opéra. accord avec la prédominance de l’élément
L’orchestre occupe une place majeure au rythmique dans son langage. Bartók décède
sein de son catalogue. C’est pour la scène à New York en 1945.
I
13
Les interprètes
Esa-Pekka Salonen
Le Mandarin merveilleux et la Suite de danses
de Bartók, deux albums avec le Philharmonia
Orchestra ; Perséphone de Stravinski avec Andrew
Staples et Pauline Cheviller (production de l'Opéra
de Finlande). Ses propres compositions ont fait
l'objet d'enregistrements par Sony, Deutsche
Grammophon et Decca ; ses Concerto pour piano
(avec Yefim Bronfman), Concerto pour violon (avec
Leila Josefowicz) et Concerto pour violoncelle (avec
© Clive Barda
14
Pekka Kuusisto
Vuitton, puis au Wigmore Hall de Londres. Il interprète
d'autres concertos dont il est le dédicataire, comme
Shrink de Nico Muhly ainsi qu'un nouveau concerto
de Đuro Živković. Pekka Kuusisto est un défenseur
enthousiaste de la musique contemporaine et un
improvisateur doué, qui collabore régulièrement avec
des artistes venus de tous horizons. Il a récemment
collaboré avec Hauschka et Kosminen, le neurologue
© Michael Sharkey
15
Nina Stemme
pouvant assurer avec le même brio les rôles les plus
extrêmes du répertoire opératique comme : Isolde,
Brünnhilde et Kundry, Salomé et Elektra, Fanciulla
(Puccini) et Turandot. Rôles que l'on retrouve parmi
ses enregistrements. Outre l'enregistrement du Tristan
(dir. Pappano), on peut entendre Nina Stemme
dans le rôle d'Isolde dans un enregistrement live à
Berlin (dir. Marek Janowski) ou encore dans une
captation vidéo à Glyndebourne dans une mise en
© Neda Navaee
16
Gerald Finley
troupe d'opéra canadienne, qu'il a repris le rôle-
titre du Château de Barbe-Bleue au Metropolitan
Opera, et qu'il a chanté la Neuvième Symphonie
(dir. Bernard Haitink) à Munich puis dans le cadre
du Festival de Salzbourg (dir. Riccardo Muti).
Au cours de cette saison, en dehors de ces deux
concerts sous la baguette d'Esa-Pekka Salonen
où il chante le rôle-titre du Château de Barbe-
© Sim Canetty Clarke
17
Orchestre de Paris
Héritier de la Société des Concer ts du au service des répertoires des xixe et xxe siècles,
Conservatoire fondée en 1828, l’Orchestre a comme de la création contemporaine à travers
donné son concert inaugural le 14 novembre l’accueil de compositeurs en résidence, la créa-
1967 sous la direction de Charles Munch. Herbert tion de nombreuses œuvres et la présentation de
von Karajan, Sir Georg Solti, Daniel Barenboim, cycles consacrés aux figures tutélaires du xxe siècle
Semyon Bychkov, Christoph von Dohnányi, (Messiaen, Dutilleux, Boulez, etc.). Depuis sa pre-
Christoph Eschenbach, Paavo Järvi et enfin Daniel mière tournée américaine en 1968 avec Charles
Harding se sont ensuite succédé à sa direction. Munch, l’Orchestre de Paris est l’invité régulier des
Depuis septembre 2021, Klaus Mäkelä est le grandes scènes musicales et a tissé des liens privi-
dixième Directeur musical de l'Orchestre de Paris légiés avec les capitales musicales européennes,
pour un mandat de six années, succédant ainsi à mais aussi avec les publics japonais, coréen
Daniel Harding. et chinois.
18
Vous êtes
mélomane?
©Mathias Benguigui
20
Flûtes Bassons Trombones
Vincent Lucas, 1er solo Giorgio Mandolesi, 1er solo Guillaume Cottet-Dumoulin,
Vicens Prats, 1er solo Marc Trénel, 1er solo 1er solo
Bastien Pelat Lionel Bord Jonathan Reith, 1er solo
Florence Souchard-Delépine Yuka Sukeno Nicolas Drabik
Jose Angel Isla Julian
Petite flûte Contrebasson Cédric Vinatier
Anaïs Benoit Amrei Liebold
Tuba
Hautbois Cors Stéphane Labeyrie
Alexandre Gattet, 1er solo André Cazalet, 1er solo
Miriam Pastor Burgos, 1er solo Benoit de Barsony, 1er solo Timbales
Rémi Grouiller Jean-Michel Vinit Camille Baslé, 1er solo
Anne-Sophie Corrion Antonio Javier Azanza Ribes,
Cor anglais Philippe Dalmasso 1er solo
Gildas Prado Jérôme Rouillard
Bernard Schirrer Percussions
Clarinettes Éric Sammut, 1er solo
Philippe Berrod, 1er solo Trompettes Nicolas Martynciow
Pascal Moraguès, 1er solo Frédéric Mellardi, 1er solo Emmanuel Hollebeke
Arnaud Leroy Célestin Guérin, 1er solo
Laurent Bourdon Harpe
Petite clarinette Stéphane Gourvat Marie-Pierre Chavaroche
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REMERCIEMENTS
PRÉSIDENT Pierre Fleuriot / PRÉSIDENT D'HONNEUR Denis Kessler
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