Le document compare les modèles de l'OCDE et de l'ONU concernant la fiscalité internationale, notamment le traitement des intérêts. Le modèle de l'OCDE préconise la taxation au niveau du pays de résidence, tandis que le modèle de l'ONU privilégie la taxation au niveau du pays d'origine. Le document souligne les défis posés par ces approches divergentes.
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Le document compare les modèles de l'OCDE et de l'ONU concernant la fiscalité internationale, notamment le traitement des intérêts. Le modèle de l'OCDE préconise la taxation au niveau du pays de résidence, tandis que le modèle de l'ONU privilégie la taxation au niveau du pays d'origine. Le document souligne les défis posés par ces approches divergentes.
Le document compare les modèles de l'OCDE et de l'ONU concernant la fiscalité internationale, notamment le traitement des intérêts. Le modèle de l'OCDE préconise la taxation au niveau du pays de résidence, tandis que le modèle de l'ONU privilégie la taxation au niveau du pays d'origine. Le document souligne les défis posés par ces approches divergentes.
Le document compare les modèles de l'OCDE et de l'ONU concernant la fiscalité internationale, notamment le traitement des intérêts. Le modèle de l'OCDE préconise la taxation au niveau du pays de résidence, tandis que le modèle de l'ONU privilégie la taxation au niveau du pays d'origine. Le document souligne les défis posés par ces approches divergentes.
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GUERFAOUI Younes M.BEL-MKADDEM Zakariae
HAMMOU Mohamed ALAOUI Rachid BAKHALLOU Mohamed Les modèles de l'ONU et de l'OCDE représentent des approches divergentes de la fiscalité internationale, notamment en ce qui concerne le traitement des intérêts. Le modèle de l'ONU privilégie la taxation au niveau du pays d'origine, visant à résoudre les préoccupations des nations en développement. En revanche, le modèle de l'OCDE penche davantage vers une taxation basée sur la résidence, reflétant les intérêts des pays développés. Ces différences soulignent le défi continu d'équilibrer les intérêts fiscaux des nations diverses sur la scène internationale. Comprendre ces modèles est essentiel pour naviguer dans les complexités de la fiscalité internationale et promouvoir des relations équitables entre les pays.
Modèle OCDE Modèle ONU
(2) Les intérêts, considérés comme un
revenu du capital mobilier, peuvent être (3) Le terme "intérêts" inclut les revenus versés à divers bénéficiaires tels que des des créances de toute nature, y compris les épargnants, des investisseurs, des Définition des fonds publics et les obligations fournisseurs, des sociétés commerciales, intérêts d'emprunts. Les pénalités pour paiement des institutions financières et des tardif ne sont pas considérées comme des investisseurs institutionnels. Les intérêts intérêts peuvent également être perçus sur les prêts entre entreprises associées.
(3) Au niveau national, les intérêts sont
généralement déductibles dans le calcul des bénéfices. Les impôts sur les intérêts sont payés par le bénéficiaire, sauf disposition contraire dans un contrat spécial. Contrairement aux dividendes, les intérêts ne sont pas soumis à une double imposition. Une retenue à la source peut (2) Les intérêts provenant d'un État être effectuée, mais elle fonctionne Imposition contractant et payés à un résident de comme une avance sur l'impôt final du des intérêts l'autre État contractant sont imposables bénéficiaire. dans cet autre État.
(4) Au niveau international, les mêmes
intérêts peuvent être imposés dans les deux pays si le bénéficiaire réside dans un État et le débiteur dans un autre. Cette double imposition peut réduire les intérêts nets du bénéficiaire ou augmenter la charge financière du débiteur. Taux maximal (2) un taux maximum 10% du montant Non précisé, taux à déterminer au cas par d'imposition à brut cas lors des négociations la source
Les intérêts sont imposables dans les deux
pays si le bénéficiaire des intérêts réside Les intérêts ne sont pas assujettis aux dans un État et le débiteur dans un autre. Double doubles impositions, c'est-à-dire à Cette double imposition risque de réduire imposition l'imposition du bénéficiaire et du débiteur considérablement le montant net des à la fois. intérêts perçus par le bénéficiaire ou d'alourdir la charge financière du débiteur.
(6) Les intérêts doivent être imposés dans
le pays où ils sont payés, sauf si le montant des intérêts est artificiellement gonflé en raison d’existence des relations Relations spéciales entre le débiteur et le spéciales bénéficiaire. Dans ce cas, la convention fiscale ne s'applique qu'au montant normal des intérêts. La partie excédentaire peut être taxée par les deux États contractants.
(5) Pour éviter la double imposition
internationale, une solution de conciliation est proposée. Les intérêts sont imposables dans l'État de résidence du bénéficiaire, mais l'État de la source a le Solution de droit d'appliquer un impôt en option. Conciliation Cependant, il existe un plafond à ne pas dépasser. Certains pays peuvent refuser la déduction des intérêts payés pour l'imposition du débiteur s'ils ne résident pas dans le même État.