Egalité
Egalité
Egalité
+ l’école des femmes de Molière, ou est ce qu’il defend l’éducation des femmes et dénonce leur education qu’elles recoivent dans les couvents
C) Conte philosophique perso fictifs Voltaire / Montesquieu
Grâce au roman : Utiliser perso fictifsleur faire dire des paroles qu’ils pensaient : moyen + subversif de faire entendre ses idées en évitant la
censure notamment. (ils ne disent rien)
Registre satirique, souvent ironique.
L’esclave du Surinam (chap XIX de Candide de Voltaire, 1759) : Conte philosophique retraçant l’histoire de Candide (perso naïf à qui il arrive des
péripéties). Le protago. revient d’un voyage utopique en Amérique du Nord, accompagné par son acolyte, Cacambo. Soudainement ils découvrent
sur la route un esclave qui témoigne de toutes les horreurs de cette injustice : « Les chiens, les singes, les perroquets sont mille fois moins
malheureux que nous » et les décrit. Il lui manque « la jambe gauche et la main droite » Paradoxe. + dénonce le CODE ESCLAVAGISTE :
Minimum vêtements requis / en cas de maladresse avec outils travail amputation membre au lieu de traitement et guérison. En cas de fuite : « On
nous coupe la jambe » COUPER tendon d’Achille == SENTIMENT D’INDIGNATION narrateur.
Esclave détenu par ‘fameux négociant M.Vanderdendur’ ironiquement vendeur à la dent dure (cruauté).
Candide repense à la philosophie optimiste enseignée par son mentor Pangloss, et la remet en question. « Tu n’avais pas deviné cette
abomination ». Sinon il n’aurait jamais défendu cette thèse. Ironiquement il définit donc l’optimisme comme « C’est la rage de soutenir que tout est
bien quand on est mal ». A partir de plusieurs aventures, et découvertes de modes de vie comme celui-ci, Candide commence à réfléchir de lui-
même et développer sa philosophie : « Il faut cultiver son jardin » : métaphore signifiant : laissons de côté les problèmes métaphysiques (critiqués
tout au long de Candide à travers l'image du philosophe Pangloss), et occupons-nous au contraire des choses que l'on peut changer, améliorer.
II) La DDFC
A) Une révolution manquée elle demande des droits
Révolution qui a permis de réduire les inégalités sociétales,
Elle fait cette réécriture car les femmes ont été oubliés dans la DDHC, c’est donc une parodie engagée qui dénonce les insuffisances du texte
originelle.
+ Style emphatique des révolutionnaires
+ Ton polémique
-De manière énergétique et vigoureuse
Et avec un style romanesque qui appelle aux émotions
Les droits qu’elle demande : Réforme du mariage / partage des biens / reconnaissance de paternité en cas de naissance illégitime / droit de vote / de
propriété / égalité totale
Intro :
Gabrielle-Sidonie Colette, une romancière, journaliste, et actrice importante au XXème siècle,
se distingue avant tout par sa liberté d’esprit, exprimée notamment à travers la citation ‘je veux faire
ce que je veux’. Bien qu’elle n’ait jamais revendiqué ouvertement le titre, certains la considèrent
comme une figure importante du féminisme en France, simplement en raison de l’exemple qu’elle
donne en tant que femme indépendante. Elle publie en 1908 un recueil de récits intitulé Les Vrilles de
la vigne, écrits souvent intimistes qui reflètent sa vie agitée après l’échec de son mariage. En outre,
elle livre en 1929 un récit autobiographique, Sido, dans lequel elle se penche sur son enfance en
rendant hommage à la figure marquante de sa mère, Sidonie. Ces deux œuvres ont pour point
commun d’exprimer une célébration du monde et de la nature, qui puise sans aucun doute son
inspiration dans le lien particulier que sa mère entretenait avec la nature, un lien si fort qu’il est tout
à fait normal pour Sido de contempler pendant des heures un merle perché dans un cerisier.
Nous pouvons nous demander à travers quels moyens l’autrice parvient-elle à célébrer le monde ?
PLAN
Conclu :
La diversité des formes littéraires présentes dans ces deux œuvres permet à Colette de chanter l’éclat
du monde, dans toute sa diversité, à l’aide d’une prose intimiste
- Dans Sido, C révèle la fusion de l’homme et de la nature, à travers une prose poétique riche,
tout en bousculant les conventions d’écriture du genre autobiographique
- Dans les VdV (qui mêle et fusionne différentes formes littéraires) C restitue la clarté du
monde dans sa diversité (les animaux, l’amour, les souvenirs d’enfance…)
Souligne beauté du monde grâce à synesthésies
Livre son propre autoportrait à travers de nombreux êtres (famille, animaux, proches…)
L’utilisation de la fiction poétique semble donc pour C être une manière de donner à voir la clarté du
monde dans toute sa complexité
Ouverture : Nous pouvons donc faire un lien entre ces deux œuvres et Souvenirs d’enfance, le série
de quatre romans autobiographiques de Marcel Pagnol et plus précisément les deux premiers tomes
évoquant de nombreux souvenirs avec son père et sa mère.
4) Théâtre : 1793
Molière : 1673-1817
Intro :
Horace, poète latin du Ier siècle avant J-C disait « Ridendo dicere verum quid vetat », soit en
français « qu’est-ce qui empêche de dire la vérité en riant ? ».
Cette question résume parfaitement les deux préceptes qui ont toujours guidé le célèbre
dramaturge Molière : la volonté de plaire par le rire et la liberté de critiquer. Le Malade
imaginaire, créé en 1673 par la Troupe du Roi sur la scène du Palias-Royal fut la dernière
pièce de théâtre de Molière, qui mourra juste après la quatrième représentation. Elle répond
aux règles strictes du classicisme, tout en mêlant la farce populaire et la comédie de moeurs.
Cette pièce s’inscrit dans le genre de la comédie-ballet au carrefour de plusieurs arts,
comportant un prologue, trois actes et trois intermèdes. Elle met en scène Argan, un père de
famille hypocondriaque, ayant pour seul objectif de marier sa fille Angélique à un médecin.
Conclu :
Pour conclure, la comédie assume pleinement son caractère plaisant en ayant comme
dessein de faire rire les spectateurs. Elle offre par ailleurs une réflexion sur les moeurs de la
société, et Molière affirme ses idées devant son public pour le contraindre à corriger leurs
défauts. Il mêle amusement et éducation dans des mises en abyme, scènes de théâtre dans
le théâtre, qui permettent de concilier l’aspect léger et l’aspect plus sérieux de la pièce. C’est
cette diversité de perspectives qui en fait sa valeur. Spectacle et comédie se répondent,
faisant de cette comédie-ballet un système cohérent qui correspond à l’esprit de cour de
cette époque et à l’idéal classique du « plaire et instruire ». D’autres dramaturges ont cette
volonté d’instruire par la rire, c’est notamment le cas de Marivaux, dans l’Ile des esclaves,
qui utilise aussi la mise en abyme pour dénoncer le rapport entre maître et esclaves et faire
une critique des aristocrates.
I)La déclaration (réécriture)
a. Engagement personnelle
b. Parodie engagée
c. Défense des droits
II)DDFC
B) Des arguments
C) Etude de la DDFC
III)Appel à la révolte
B) Indignez-vous
C) Servitude volontaire