Frhow Lead
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un enfant à Christ
Un guide simple
pour aider les moniteurs
à conseiller les enfants
Dr Sam Doherty
2 Comment conduire un enfant à Christ
Préface
Le Dr. Martin Lloyd Jones écrit : “Pour un prédicateur, rien n’est
plus merveilleux que de sentir l’onction de l’Esprit pendant la
prédication et d’apprendre par la suite que des âmes convaincues de
péché sont nées de nouveau.”
De même, un moniteur se réjouit quand un enfant exprime le désir
d’être sauvé. Quel privilège de s’asseoir à ses côtés et de le conduire
pas à pas au Seigneur. Rien n’est plus exaltant !
Il ne s’agit évidement pas d’un exercice mécanique ou intellectuel,
car nous ne sommes pas des sages-femmes spirituelles qui introduisons
les enfants dans le royaume de Dieu par leur seule habilité. C’est là le
travail du Saint-Esprit ! Le gagneur d’âme doit cependant agir avec
beaucoup de délicatesse et de sagesse.
Le présent ouvrage “Comment conduire un enfant à Christ” donne
de bons conseils pour l’accomplissement de cette tâche. Il contient
d’excellentes lignes directrices, un enseignement de grande qualité et
constitue un outil indispensable pour les moniteurs d’Ecole du
Dimanche et pour tous ceux qui travaillent parmi les enfants. Bien plus,
il sera utile à toute personne ayant à coeur de s’occuper des âmes, de
celles des enfants ou des adultes.
Dans ce livre, l’auteur familiarise le lecteur, pas à pas, avec les
différentes étapes de la marche à suivre tout en insistant sur la nécessité
de la prière persévérante et sur la préparation consciencieuse. L’analyse
finale montre clairement que “le salut vient de Dieu”. De ce fait, le
conseiller ne doit jamais faire pression sur l’enfant ni chercher à forcer
une décision. Quant à moi, j’aurais voulu disposer d’un tel livre à mes
débuts d’évangéliste.
En ce qui concerne l’auteur, je ne connais personne qui soit plus
qualifié que Samuel DOHERTY pour écrire un ouvrage sur le sujet.
Samuel a reçu un appel très précis pour l’évangélisation des enfants
juste après sa conversion, il y a quarante-six ans. Depuis, il n’a cessé de
chercher à apporter l’Evangile aux enfants et Dieu l’a utilisé pour le
salut de nombreuses jeunes âmes. J’ai eu le privilège de travailler
4 Comment conduire un enfant à Christ
Introduction
La réunion prenait fin et comme d’habitude, les
enfants quittaient bruyamment la pièce. La
monitrice poussa un soupir de soulagement. Le
“Club de la Bonne Nouvelle” venait de se terminer et
s’était bien passé. Fatiguée, la monitrice se préparait
à rentrer rapidement à la maison et prendre un repos
bien mérité.
Presque tous les enfants étaient partis. Elle
avait rassemblé son matériel pédagogique et
s’apprêtait, elle aussi, à quitter les lieux. Thierry, un
enfant de huit ans qui venait toutes les semaines au
Club et qui semblait écouter attentivement ce qu’elle
enseignait, s’attardait. Elle avait remarqué qu’il
avait l’air de réfléchir particulièrement à tout ce
qu’elle avait dit cet après-midi.
Debout à la porte, il se balançait nerveusement
d’un pied sur l’autre et la regardait.
Qu’y a-t-il, Thierry ? demanda-t-elle gentiment.
Puis-je t’aider ?
Thierry hésita quelques instants, puis dit :
Oui, Mademoiselle. J’aimerais être sauvé.
Pouvez-vous me dire comment faire ?
Désarroi de la monitrice ! Que faire
maintenant ? Comment puis-je le conduire à Christ ?
Je n’ai encore jamais fait cela !
C’est pour de tels moniteurs et monitrices que ce livre a été écrit. Il
est bref, simple et pratique et son but est de vous aider à être un
conseiller compétent, capable de conduire un enfant à Christ.
6 Comment conduire un enfant à Christ
Soyez prêt
S’il est incontestable que vous devez dépendre du Saint-Esprit pour
conseiller, il faut également faire de votre mieux pour être aussi
compétent que possible, “un ouvrier qui n’ait pas à rougir”. Il est
indispensable que vous soyez bien préparé à un tel entretien.
Posez-vous les questions suivantes :
Ai-je prié ? C’est-à-dire prié avant la leçon pour que Dieu
sauve des enfants et prié de manière spécifique, même
brièvement, avant de commencer l’entretien.
Ai-je étudié soigneusement et attentivement un livre comme
celui-ci qui m’aidera à savoir ce qu’il faut faire ?
Ma Bible est-elle prête à l’emploi ? Est-ce que je dispose des
grandes lignes du plan qui m’aideront à me rappeler la marche à
suivre ? (Voir pages 49 et 50.)
Ai-je choisi, d’avance, le verset que je vais expliquer ?
Me suis-je entraîné avec un ami à conseiller ? Cela peut être
d’un grand secours.
Soyez à l’écoute
Soyez sensible à la direction du Saint-Esprit pour ce que vous
devrez dire à l’enfant. Souvenez-vous que chaque enfant est différent.
Certains ont besoin de plus d’aide et de plus d’explications sur tel ou tel
point que d’autres. Il est bon d’avoir un plan pour l’entretien, mais le
Saint-Esprit peut vous conduire dans une direction non prévue.
Soyez sensible à la direction du Saint-Esprit pour savoir jusqu’où
aller. Guettez les signes qui vous montreront que vous êtes allé aussi
loin que l’enfant voulait aller ou qu’il était prêt à aller (agitation, regard
fuyant ou pensées distraites). Soyez attentif pour déceler tout signe
évident d’incompréhension de vos paroles.
16 Comment conduire un enfant à Christ
Expliquez et approfondissez
ce que l’enfant a déjà entendu
Pendant l’entretien, vous n’introduirez généralement rien de très
nouveau pour l’enfant. Il aura déjà entendu les vérités fondamentales
pendant la réunion. Au cours de l’entretien, on ne fait que les répéter,
les expliquer, les développer, en s’assurant que l’enfant les comprend.
Dieu a déjà parlé à l’enfant au travers des vérités qu’il a entendues
pendant la réunion et lui a inspiré le désir d’être sauvé sur ces bases.
Vous les reprendrez et bâtirez là-dessus lors de l’entretien.
La grande différence, c’est que vous avez la possibilité de poser des
questions et de recevoir, en retour, la réaction de l’enfant ; vous pouvez
également appliquer à l’enfant ce que vous avez enseigné en tenant
compte de ses besoins personnels.
Cela vous aidera de savoir dès le début s’il est catholique, juif, etc.
Pour cela, vous pouvez lui demander s’il va à l’Ecole du Dimanche ou à
l’Eglise et si oui, laquelle. Dans certains cas, il peut vous être utile de
savoir quelle école il fréquente.
Vous pouvez aussi lui demander s’il aime l’école et quelles sont ses
matières préférées. Ce genre de conversation aide l’enfant à se détendre
et à parler ouvertement avec vous.
avant qu’il parte et demandez à Dieu qu’Il lui montre son état de
pécheur et l’aide à accepter Christ. Soyez prudent, afin qu’il ne pense
pas être sauvé à cause de la prière que vous avez faite pour lui.
Si, par contre, il semble comprendre et être convaincu de péché,
passez à la question 3.
dois te confier en Jésus. C’est ce que signifie ce mot. Mais que signifie
faire confiance au Seigneur Jésus ?
Vois-tu cette chaise ? C’est une chaise solide, je le sais. Je suis sûr
qu’elle peut supporter mon corps si je m’y assois. Mais, cela ne suffit pas.
Je dois m’asseoir dessus. Je dois, pour ainsi dire, lui faire confiance.
Jésus-Christ veut que tu Lui fasses confiance et que tu te remettes
complètement à Lui, ton Sauveur et ton Seigneur. C’est ce que signifie ce
verset. Et si tu Lui fais confiance, que te promet la Bible ? La vie
éternelle ! C’est-à-dire la vie de Dieu en toi. Cette nouvelle vie avec
Dieu commence maintenant et se poursuit jusque dans le Ciel,
éternellement, si tu reçois le Seigneur Jésus comme ton Sauveur.”
4. Vous pouvez l’inviter à prier tout bas. Ceci, après lui avoir
suggéré ce qu’il peut dire. Ensuite, demandez-lui de vous dire
ce qu’il a dit. Cette méthode, si elle reste possible, n’est pas
vraiment recommandée, car vous ne savez pas réellement ce
qu’il a demandé dans sa prière.
Encore une fois je pense que la première méthode proposée est la
meilleure.
Dieu lui a donné des moyens pour l’aider à grandir. Chacun représente
une action ou un pas à faire par l’enfant. Vous pouvez les lui indiquer
en vous servant des doigts de la main. Vous lui donnerez ainsi un aide-
mémoire en montrant, un par un, les doigts de votre main gauche et en
demandant à l’enfant de désigner, puis de tenir, le même doigt de sa
propre main.
Bible ou une portion des Ecritures. Si l’enfant n’en a pas, vous lui
donnerez un Evangile plus tard.
Canevas détaillé
1. Mettez l’enfant à l’aise
Nom ? Es-tu attendu ? Milieu ?
2. Identifiez son problème grâce à des questions
De quoi veux-tu me parler ?
As-tu péché ?
As-tu déjà reçu Jésus-Christ ?
3. Assurez-vous qu’il comprend l’Evangile
Dieu (page dorée du LSP)
Demandez qui est Dieu
Créateur, Roi des rois, pur, amour
Le péché (page sombre)
Demandez s’il sait ce qu’est le péché (exemples)
Demandez ce que Dieu pense du péché
Demandez s’il est pécheur
Demandez s’il veut changer
Jésus-Christ (page rouge)
Qui peut ôter tes péchés ?
Pourquoi peut-Il les ôter ?
Il est ressuscité d’entre les morts et Il est Roi des rois
Se détourner du péché, se confier en Christ (page blanche)
Le Seigneur Jésus te sauvera si tu te détournes de ton péché et
te confies en Lui
4. Utilisez un verset
Jean 1.12, 3.16, 6.37, Actes 16.31, Romains 10.13 ou
Apocalypse 3.20
Expliquez ce que Dieu veut qu’il fasse et ce que Dieu fera ensuite
Comment conduire un enfant à Christ 51
Première question
Est-il important de rendre visite aux parents pour faire leur
connaissance ?
Si oui, comment?
Réponse
Il est vital que vous leur rendiez visite. Les parents sont les
responsables de l’enfant et c’est devant eux que l’enfant vivra sa vie
chrétienne. Il est nécessaire de leur rendre visite, si c’est possible, en
prenant, bien sûr, le contexte de l’enfant en considération, (par exemple,
s’il est musulman ou catholique).
Cela aidera l’enfant si votre visite est positive. Les visites aux
parents d’enfants conseillés peuvent être très bénéfiques.
Rappelez-vous que votre but n’est pas
de faire un sermon aux parents ou de les changer
de leur suggérer comment élever leur enfant
de vous faire passer pour un expert en éducation (ils en savent
probablement plus que vous sur les enfants)
Votre but est :
de montrer et d’exprimer votre intérêt pour leur enfant et pour
son bien-être
de donner à l’enfant un livret ou une Bible pour l’aider dans sa
vie chrétienne
Les parents seront souvent heureux que quelqu’un porte un intérêt
particulier à leur enfant. Si ce n’est pas le cas, ne soyez pas déçu.
Soyez patient et revenez. Ils peuvent apprécier ce que vous faites, mais
se sentir trahis parce que leur mode de vie est très différente du vôtre.
Comment conduire un enfant à Christ 53
Question 2
Que devez-vous faire si vous conseillez deux petites filles qui ont
attrapé le fou rire ?
54 Comment conduire un enfant à Christ
Réponse
Il faut savoir que souvent elles rient parce qu’elles sont gênées. Si
vous êtes sûr qu’elles le font par timidité ou parce qu’elles sont mal à
l’aise, essayez de les décontracter, puis conseillez-les.
Si c’est le signe d’un manque de respect ou d’intérêt, vous ne
pouvez pas les conduire à Christ. D’abord, avertissez-les, avec amour et
fermeté et demandez-leur de revenir vous parler une autre fois, après
avoir réfléchi. Mais soyez prudent. Habituellement, chez les petites
filles, le fou rire est un signe de timidité ou de gêne.
Question 3
Que faire si un enfant venu pour être conseillé et ayant le désir de
se confier en Christ, hésite parce qu’il craint les objections de ses
parents ou des représentants du clergé ?
Réponse
Ephésiens 6.1 : “Enfants, obéissez à vos parents, selon le
Seigneur”. Quand ceux qui exercent l’autorité sur nous s’opposent à la
volonté de Dieu, il est clairement dit dans la Bible : “Il faut obéir à Dieu
plutôt qu’aux hommes.” (Actes 5. 29) La confiance en Christ est un
commandement de Dieu qui surpasse l’autorité religieuse ou parentale
qui s’y opposerait. Encouragez l’enfant à se confier en Christ, s’il en a
le désir, malgré les éventuelles réactions.
Question 4
Comment conseiller plusieurs enfants qui viennent ensemble et
vous demandent comment recevoir Christ ?
Réponse
Quand un groupe d’enfants vient pour être conseillé, il est
préférable de faire appel, si possible, à plusieurs conseillers, à condition
toutefois qu’ils soient formés pour conseiller les enfants. Le mieux est
d’avoir un conseiller pour chaque enfant. Si vous n’avez personne pour
Comment conduire un enfant à Christ 55
Question 5
Est-il bon d’utiliser Apocalypse 3.20 quand vous conseillez des
enfants ?
Réponse
Je crois que ce verset fait partie de l’enseignement du Nouveau
Testament concernant le salut et l’acceptation du Seigneur Jésus dans un
coeur pécheur (Jean 1.12, Colossiens 2.6), sa promesse de vivre en nous
(2 Corinthiens 1.22, Galates 4.6, Colossiens 1.27) et son désir de régner
dans nos vies (Galates 2.20, Ephésiens 3.17).
Il est nécessaire de voir Apocalypse 3.20 dans son contexte, de
comprendre et d’enseigner ce que le verset signifie réellement. Veillez
à ne pas donner l’image d’un mendiant impuissant, essayant de se faire
accepter à la porte d’un coeur et d’une vie de pécheur. Christ est le
Sauveur Tout-puissant !
Comment conduire un enfant à Christ 57
Question 6
Que répondre à un enfant qui demande chaque soir au Seigneur
Jésus de venir dans son coeur?
Réponse
Dites-lui qu’il n’a pas besoin de le faire chaque soir. Une seule et
unique fois suffit. Jésus vient pour rester.
58 Comment conduire un enfant à Christ
Question 7
Que faire si vous n’avez pas le temps de conseiller un enfant aussi
soigneusement que vous le voudriez ?
Réponse
Soyez absolument sûr d’avoir expliqué l’Evangile d’une
manière si claire que l’enfant peut se confier en Christ sans
entretien.
Etes-vous bien certain de ne pas avoir assez de temps ? N’y a-
t-il vraiment pas moyen d’en trouver ? Parfois, c’est un prétexte
pour ne pas faire les choses aussi soigneusement qu’il le
faudrait.
Tout l’entretien ne doit pas nécessairement se dérouler à ce
moment-là. C’est, bien sûr, préférable, mais si le temps vous
manque, vous pouvez continuer à un moment que vous aurez
choisi avec l’enfant avant de le laisser partir.
Faites de votre mieux. Ayez confiance en Dieu pour qu’Il
agisse malgré votre manque de temps.
Question 8
Est-il correct de parler du “coeur” à un enfant quand on le conseille
pour le salut ?
Comment conduire un enfant à Christ 59
Réponse
Le mot “coeur” apparaît 900 fois dans la Bible.
Généralement, il désigne “le siège (source ou base) de
l’intelligence, des émotions et de la volonté.” Parfois, l’accent est mis
sur l’intelligence (Genèse 6.5) sur les émotions (Juges 18.20 (L.S.), Luc
24.32) ou la volonté (Marc 3.5, Psaume 119.2). Parfois il s’applique à
“l’être intérieur” (Genèse 6.6), l’affection (Psaume 62.11) ou à toute la
nature morale de l’homme (Jérémie 17.9).
Peut-être le mot coeur pourrait-il être rapproché dans le Nouveau
Testament du mot “personne”. Le coeur commande à l’être tout entier
et c’est lui que Dieu désire : “Mon fils, donne-moi ton coeur.”
(Proverbes 23.26)
Le coeur est le “vrai moi”. Il est donc parfaitement biblique
d’utiliser ce mot “coeur” au cours de vos entretiens à condition
d’expliquer ce qu’il signifie et de le distinguer du “coeur” physique qui
envoie le sang dans l’organisme. Pour éviter toute confusion, utiliser les
mots “coeur et vie” ensemble.
60 Comment conduire un enfant à Christ
Annexe
Et maintenant ?
Quelle est votre réaction après avoir lu ce livre ?
Peut-être connaissiez-vous et mettiez-vous déjà les conseils de
ce livre en pratique. C’est très bien ! Dans ce cas, je vous
encourage à le prêter à quelqu’un d’autre.
Peut-être avez-vous appris quelque chose de nouveau. Tant
mieux !
Peut-être avez-vous reconnu une de vos erreurs. Cela aussi est
positif, surtout si ce livre vous a aidé à la corriger.
Mais peut-être n’avez-vous jamais conduit d’enfant à Christ et ce
livre a suscité en vous deux réactions :
le désir de conduire un enfant à Christ de cette manière.
le sentiment d’en être incapable. La responsabilité vous dépasse
et vous écrase.
Rassurez-vous, c’est fréquent. Certains de ceux qui travaillent
parmi les enfants et qui n’ont jamais conseillé d’enfants inconvertis en
vue du salut, sont, on le comprend, réticents à le faire. Des pensées
négatives s’entrechoquent dans votre esprit. Vous vous dites :
J’en suis incapable. Je dirai des bêtises. Je vais oublier quelque
chose ou être un obstacle, une pierre d’achoppement pour l’enfant et
même l’empêcher d’être sauvé.
Si vous réagissez ainsi, les considérations suivantes peuvent vous
aider à aborder le problème de manière plus positive et à remporter la
victoire.
Posez-vous la question : Est-ce que je désire faire l’oeuvre de
Dieu en accord avec sa volonté et en obéissant à ses lois. Si
dans votre coeur, vous avez l’assurance d’une réponse positive,
vous pouvez vous attendre à Lui en dépit de votre faiblesse.
Comment conduire un enfant à Christ 61
Formulaire d’évaluation
de l’entretien avec l’enfant
Personne conseillée _________________________________________
Conseiller _________________________________________________
Oui Non
1. Mettre l’enfant à l’aise
Sourit-il/elle ?
Semble-t-il/elle à l’aise ?
Vous a-t-il/elle demandé votre nom ?
2. Trouver quel est son problème
Vous a-t-il/elle demandé pourquoi vous êtes venu ?
Vous a-t-il/elle demandé si vous avez déjà accepté
Christ ?
3. S’assurer qu’il comprend l’Evangile
A-t-il/elle utilisé le LSP ?
A-t-il/elle découvert ce que vous savez du péché ?
A-t-il/elle découvert ce que vous savez du chemin du
salut ?
A-t-il/elle rappelé que Jésus-Christ est ressuscité des
morts ?
4. Utiliser un verset
A-t-il/elle utilisé un verset pour expliquer le chemin
du salut ?
Vous a-t-il/elle expliqué clairement ce qu’il faut
faire?
Quel verset a été expliqué dans le détail ? _________
___________________________________________
5. Se confier maintenant en Christ ou y réfléchir
encore ?
Vous a-t-il/elle demandé si vous voulez vous confier
en Jésus-Christ ?
Vous a-t-il/elle donné le choix ? (Préfères-tu ?)
Comment conduire un enfant à Christ 65
Conclusion
A-t-il/elle été un conseiller amical et agréable ?
Est-ce que l’entretien s’est déroulé sans trop
d’hésitations?
Si vous étiez un enfant, aimeriez-vous avoir un tel
conseiller ?
Comment conduire un enfant à Christ 67
Préface ........................................................................................... 3
Introduction .................................................................................. 5
Chapitre un : Cinq questions à se poser ..................................... 8
Que signifie “conseiller un enfant” ? ........................................8
Pourquoi l’entretien est-il une partie importante de votre
ministère ?.................................................................................8
Qui est qualifié pour conseiller les enfants ? ..........................10
Quand et où aurons-nous des occasions de conseiller ? .........10
Comment conseiller un enfant ? .............................................12