Video Dashinit
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Pour réaliser mon étude j’ai donc créé deux suspensions à base de masques et d’eau
physiologique, puis grâce à cela j’ai pu y ajoutée à cette manipulation une étape
super importante: le dénombrement des bactéries en surface . À partir du premier
tube, où la suspension initiale est obtenue, j'ai réalisé une dilution en cascade
du masque (9fois), avant d'ensemencer les boîtes de Pétri 24h à 37 degrés car c’est
la température corporelle et afin de favoriser la croissance bactériennes.
En effet, les résultats montraient que le masque fait maison contenait plus de
colonies que le masque commercialisé : il y en avait une centaine alors que le
masque commercialisé lui contenait une seule colonie. Ce qui signifie que lorsqu’on
fabrique son propre masque, le risque de contamination et de dépôt de bactérie est
beaucoup plus important. Ce qui pourrait entraîner par la suite, des réactions
allergiques et des infections cutanées.
Étant une personne qui n’applique que des produits/masques maison, il faut savoir
que les produits faits maison, souvent préparés sans conservateurs, sont
particulièrement vulnérables à la contamination bactérienne. Les ingrédients
naturels utilisés dans ces produits, bien que bénéfiques pour la peau, peuvent
également être des supports de croissance pour les micro-organismes. Par exemple,
le miel, bien qu'antibactérien dans certaines conditions, peut devenir un milieu de
culture s'il est dilué ou exposé à l'air.