Histoire 7 Annee
Histoire 7 Annee
Histoire 7 Annee
Leçon II : La Préhistoire
I. Définition :
L’histoire est le récit des événements et la description des civilisations de
l’invention à l’écriture à nos jours.
HISTOIRE : LA PREHISTOIRE
I. Définition :
La Préhistoire est la période du passé qui s’étend de l’apparition de
l’homme sur la Terre à l’invention de l’écriture vers 300 av J.C
I. La société égyptienne :
La société égyptienne était fortement hiérarchisée. Au sommet de la
pyramide il y avait les privilégies (le pharaon, les nobles, les prêtes, les
scribes, les fonctionnaires) et à la base le petit peuple (ouvriers, paysans,
artisans et les soldats). Le
pharaon est le maître absolu de l’Egypte. Il rend la justice, commande les
armées, possède les terres ou toutes les richesses. On le considère à la
fois comme le fils des dieux et comme un dieu lui-même.
Les nobles appartiennent à des
familles très riches, ils vivent dans l’opulence.
Les prêtres, chargés du culte, sont très respectés de tous parce qu’ils
sont les intermédiaires entre les hommes et les dieux.
Les fonctionnaires sont recrutés parmi les scribes ; ils sont honorés et
redoutés par le peuple.
Le petit peuple mène une vie de rude labeur qui profitait surtout au
pharaon et aux privilégiés.
I. La vie religieuse :
Les Egyptiens sont polythéistes. Ils construisent en l’honneur de leurs
dieux des temples souvent gigantesques comme ceux de Karnak et de
Louqsor. Ils leur font des offrandes et leur consacrent de nombreuses
fêtes.
Les dieux les plus connus sont : Amon-Rê, grand dieu créateur ;
Osiris, dieu des morts ; Horus, dieu faucon protecteur du roi et Isis,
déesse magicienne. Les
Egyptiennes croient à la survie. Pour l’assurer, ils font recours à la
momification et ils consacrent aux morts des tombeaux bien aménages
(mastabas, pyramides, hypogées) Les tombeaux égyptiens les
plus célèbre sont : les trois grandes pyramides de Giseh et les
hypogées de la vallée des Rois.
I. La Nubie :
a. Le pays et les hommes :
La Nubie ou ‘‘pays ou Kouch’’ correspond au
nord-est de l’Etat actuel du Soudan. Elle avait un climat plus
humide, favorable à l’élevage et à l’agriculture. La vallée du Nil qui
constituait la partie vitale de la Nubie possédait également des mines
d’Or, de fer et des carrières de diorite. La population nubienne se
composait de Noirs, de peuples à peau claire et de Blancs.
b. La Nubie indépendante :
Après une période de domination égyptienne, la Nubie a retrouvé son
indépendance au début du 1er millénaire avant J.C. Elle eut pour capitale
Napata, puis Méroé au VIème avant J.C. La Nubie développa
une civilisation brillante. Son organisation sociale, ses croyances
religieuses s’apparentent à celle de l’Egypte. Méroé, la capitale du
royaume, est le premier grand centre commercial et culturel.
II. Axoum :
a. Le pays et les hommes :
Le royaume d’Axoum est l’ancêtre de l’Ethiopie moderne. Il fut fondé au
premier millénaire avant J.C. L’Axoum constituait une zone de contact
entre les peuples égyptiens et les peuples sémitiques d’Arabie.
b.
Le règne d’Ezana :
Ezana fut le plus grand roi d’Axoum. Sa conversion au christianisme fit de
l’Ethiopie le premier Etat chrétien de l’Afrique. C’est sous son
règne que la civilisation axoumite atteignit son apogée. L’art axoumite se
I. La Cité de Sparte :
Sparte, ville de soldats, était gouverné par une aristocratie.
a. Vie
politique : l’organisation politique spartiate avait une structure
particulière. A la tête de la cité se trouvaient deux rois chargés
exclusivement de conduire les armées à la guerre. L’essentiel du pouvoir
est détenu par les Gérontes (sénateurs).
Les Gérontes constituaient la plus haute instance judiciaire et contrôlaient
toutes les affaires courantes de la vie.
b. Vie sociale : la société spartiate comprenait trois classes : les citoyens
(la classe privilégie), les hommes libres et les esclaves de l’Etat.
I. La vie religieuse :
Les Grecs adoraient une multitude de dieux. Les dieux à la différence des
hommes étaient immortels des demi-dieux ou héros étaient des êtres
intermédiaires entre les dieux et les hommes. Héraclès fut le plus célèbre
I. La vie sociale :
Sous l’empire la société romaine était divisée en deux classes ; la classe
des riches et la classe des pauvres.
a. La classe des riches : les riches, minoritaires, constitués de
sénateurs, de chevaliers, et de bourgeois vivaient dans l’opulence. Ils
accordaient faveur et largesse aux populations de leurs cités.
b. La
classe pauvre : elle comprenait deux groupes : les hommes libres et les
esclaves. Les hommes libres pauvres étaient constitués
d’artisans, d’ouvriers, de paysans. Les esclaves se
trouvaient au bas de l’échelle sociale.
La civilisation romaine était essentiellement urbaine. Rome la capitale de
l’Empire abritait multiples activités : affaires commerciales, politiques,
juridiques et jeux. Elle servait de modèle pour les autres
villes de l’empire qui s’organisaient à son image.
I. L’évolution sociale :
La société romaine au début de la république se caractérise par une
grande inégalité. Elle était composée de patriciens, de
clients, et de plébéiens. Les plébéiens, après deux siècles de lutte,
deviennent les égaux des patriciens qui avaient tous les droits. Après
les grandes conquêtes, la société romaine comprend les citoyens riches
(sénateurs, commerçants, chevaliers), les prolétaires (paysans, artisans,
petits commerçants) et les esclaves. Les esclaves sont en général des
captifs de guerre, leur condition de vie est très dure.
I. Naissance du Christianisme :
Le Christianisme vit le jour en Palestine, une province romaine au
Proche-Orient. Cette nouvelle religion issue
du Judaïsme est prêchée par Jésus. D’après l’évangile, Jésus est
né à Bethleem en Judée. Il passa son enfance à Nazareth en Galilée. Vers
l’âge de trente ans, il se proclama le Messie tant attendu.
Le Christianisme repose sur la croyance en un Dieu unique et universel. Il
prône la justice, l’amour et la fraternité.