TFC Mata Fin
TFC Mata Fin
TFC Mata Fin
Par
“Ceux qui ,ont fréquenté l’univrsité savent qu’on y racontre beaucoup de sottises; et le dire
tout haut suscitéra des prostetations qui ne viendront que confirmer l’affirmation.”
Bernard Arcand
DEDICACE
Il est vrai que, toute œuvre humaine est le résultat d'une étroite collaboration. Ce
travail ne peut prétendre faire une exception car, il est également le fruit d'un long processus
de formation et d'assistance tant morale, financière, ou intellectuelle.
Il est également le couronnement des efforts que nous avons consentir pour notre
formation à l'université de Kinshasa.
De ce fait, il nous est inévitable de rendre grâce à notre Dieu Tout Puissant, Père
de tous les temps et des toutes les circonstances, qui a assuré le déroulement florissant de ce
travail scientifique et nous a protégé durant nos parcours académiques.
Une mention spéciale est réservée aux enseignants qu’aux administratifs de la
Faculté de Sciences Sociales Administratives et Politiques en général et ceux du département
des sciences du travail en particulier. Que tous trouvent ici l'expression de notre profonde
reconnaissance.
Ainsi, nous tenons à remercier le professeur junior GAMAYALA MULUMA qui,
malgré ses multiples préoccupations, a accepté d’assurer la direction de ce travail
scientifique. Son sens de rigueur nous a permis d'améliorer la qualité de ce travail.
Nous remercions également l’Assistant Odon NGOYI KATAMBWE pour sa
bienveillance et sa disponibilité. Parfois, il nous recevrait même dans son domicile pour
l'encadrement de ce travail. A l'un ou et l'autre, nous leur exprimons toute notre gratitude.
Nous remercions également nos frères et sœurs PENITENCE NYAMUMBELE,
Marcel LOKONZO, Paul DOBULA, DOPLA NKEMBA, BOSSOBE JE SAIS, DIHINA
NYAMI KANO, NISSI MOBUKOLA, Naomie MOBOBI, MATOKO NAMANE, Ephraim
MUNYANGO, SASIFI LIKELE, DOBULA Paul, Honete NYAMAKPANGA, Marie
NYATUKA, Abraham NZIMBI, Phelanho LOKOBO, Joséphine SENGOLELE.
Nous dédions également cette œuvre de l’esprit à nos compagnons de lutte,
camarades étudiants avec qui nous avons parcouru ce dur et long chemin, trouvent à travers
ce travail, l’expression de notre profonde fraternité pour leur sympathie et collaboration
permanente, nous citons : BOSSOBE AMERICAIN, Timothée LIBOMBE, Souverain
BOKPAKA, Sapiens BONGBANZA, Hamichie NZANGELA.
INTRODUCTION
1. Contexte de l’étude
2. ETAT DE LA QUESTION
L’Etat de la question permet au chercheur non seulement de tracer la ligne de
démarcation entre les recherches antérieures consultées et la dissertation qu’il se propose de
produire, mais aussi de rattacher sa problématique à une théorie.1
L’état de la question consiste à démontrer la particularité de sa recherche par
rapport aux analyses antérieures ayant porté sur la même thématique. Ceci étant selon
JACQUES EBWEME, il est l’état des lieux, c’est-à-dire ce qui a déjà été fait, mieux le
constant de ce qui existe déjà, sur le sujet et, pour ANDRE MASIALA ma solo, ALBERT
MULUMA ET Léonie MAMBU MVUMBI 5.
Loin d’être pionnier dans ce domaine, nous dirons que la politique d’emploi et
rajeunissement des personnels de l’université de Kinshasa fait l’objet de préoccupations de
1
EBWEME YONZABA, J., Construction de l’objectivité en sciences sociales, Saint-Denis, Connaissances et
savoirs, 2017, p.19-20.
5 MASIALA MASOLO A., MULUMA MUNANGA A., MAMBU MVUMBI L., guide du chercheur en
sciences humaines rédaction et présentation d’un travail scientifique, éd. Centre éducatif congolais, Kinshasa,
2013, p.72.
Plusieurs spécialistes des sciences sociales et humaines, à savoir les
sociologues, les anthropologues, les psychologues, les journalistes, les politologues voire
même les juristes. Néanmoins, chacun d’entre eux l’abordent en tenant compte de la lecture
que se discipline et du fait social qu’il analyse. Il importe cependant de reconnaître que nous
n’avons nullement la prétention de passer en revue l’ensemble de la littérature produite sur le
sujet.
KASRI KENZA soutient dans son travail de fin de deuxième cycle dont le
sujet porte sur la politique de recrutement au sein d’une entreprise publique que, l'opération
de sélection des candidats nécessite plusieurs conditions pour assurer son succès et son but
est de réduire les risques et choisir les mauvaises personnes au sein de l'entreprise car nous
garantissons, même relatif, dans la prochaine étape du recrutement, aux fins de la sélection,
que ceux qui sont sélectionnés et embauchés ont la capacité de faire progresser l'entreprise,
de donner le meilleur d'eux-mêmes et de suivre les politique d'adoption au sein de l'entreprise
pour laquelle ils travaillent, qui dépend également des facteurs qui influent principalement
sur la commande des personnes au recrutement, comme les stratégies suivies pour aider les
employés à donner plus et à accorder toute leur attention à leur travail, et leur responsabilité.
Le recrutement est considéré comme l'aboutissement de la phase de sélection réussie, car le
succès et l'utilité du poste sont liés au succès de la sélection, qui se traduit par la réussite des
salariés de l'entreprise, la réussite de ces derniers, et leur évolution.
3. PROBLEMATIQUE
2
BIT : Résolution concernant l’amélioration des aptitudes professionnelles pour stimuler la productivité, la
croissance de l’emploi et le développement, Conférence internationale du Travail, 97 e session, Genève, 2008.
Consulté le 13 janvier 2024 à 15h00.
Nul n’ignore aujourd’hui que l’Université de Kinshasa a perdu beaucoup de
prestige au terme du rajeunissement des personnels juste par ce qu’elle est portée des
couleurs politiques, tribalisme et népotisme qui ont pris le pays entier. Il est à signaler que la
majorité de leurs meilleurs étudiants ne restent pas pour bien préparer le rajeunissement des
personnels.
5
Comment justifie-t-il la politique d’emploi et le rajeunissement des personnels de
l’Université de Kinshasa ?
Quelle analyse faite-t-il de l’avenir de la politique de rajeunissement de l’Université
de Kinshasa ?
4. Hypothèse
Pour ce faire, partant de ces différentes définitions, nous avons aussi retenu
que l’hypothèse se veut être basée sur des observations empiriques extérieures, ou du moins
dans un sens d’initialisation par de vérité admises.
Au regard des questions soulevées ci haut, nous avons aligné les hypothèses
suivantes :
Ces faits sont justifiés par les causes multiples certains cadres administratifs et
professeurs pensent que ce sont le pouvoir anarchique
3
SHOMBA S., La méthodologie et épistémologie de la science sociale, note de cours, G2 RI, 2020-2021, p. 13
4
Idem
En ce qui concerne de l’analyse faite pour l’avenir de la politique de
rajeunissement des personnels de l’université de Kinshasa, nous constatons que ces faits ne
servent pas l’université d’être comptée parmi les meilleurs en termes de la valeur scientifique,
de plus, ils ne permettent pas de préparer les vraies élites, les relèves de demain.
Notons que son acceptation fait l’objet de multiples définitions qui varient
selon les écoles ou courants des pensées
Selon PINTO. R et GRAWITZ. M définissent la méthode comme étant une
ensemble d’opération intellectuelle par le quelle une discipline cherche à étudier la vérité
qu’elle poursuit, les vérifié et le démontré5.
Dans le cadre de cette étude, nous avons fait recours à la méthode
fonctionnalisme relativisé de Robert King MERTON.
Robert King MERTON, représentant éminent du fonctionnalisme et défenseur
de l’approche ou la conception relativisée, propose trois concepts fonctionnels pour
comprendre le fonctionnement réel d'une organisation dans son analyse : la dysfonction,
l’équivalent ou substitut fonctionnel, fonction manifeste et celle latente.
1. La notion ‘’Dysfonction’’
Alors que les fonctions sont, parmi les conséquences observées, celle qui
contribuent à l’adaptation ou à l’ajustement d’un système donné ; les dysfonctions, par
contre, sont celles qui gênent l’adaptation et l’ajustement d’un système.
5
Pinto. R et GRAWITZ., « Méthode de recherche en sciences sociales » éd, Dalloz, Paris. 1971, p. 32
Les fonctions latentes sont, corrélativement, celles qui ne sont ni comprise ni
voulues.
5.2. Techniques
5.2.2. Entretien
Pour ce qui de notre sujet, nous avions mis en œuvre un entretien extrêmement
approfondie et détaille avec très peu d’inter loculoteurs, grâce à guide d’entretien pour avoir
une compréhension intime de la pensée et de l’action, de sujet. Par un jeu de question-
réponse, préalablement établi dans un guide d’entretien, nous avions pu produire les données
à partir du quelles nous avons dégagé les résultats qui serviront à l’analysent et
l’interprétation. Lors de notre entretien, les questions subsidiaires étaient posées à l’enquête
pour pénétrer la pensée intimée.
8
Cette technique nous a guidées lors de la lecture des différents ouvrages, les
articles, des revues, des notes de cours et des archives publics qui nous ont aidé à rassembler
une quantité importante de données dont nous avions besoins. Elle nous a aussi permis de
dégager là l’originalité de notre étude grâce à l’imprégnation de ce qui a déjà été abordé par
l’exemple l’état de la question.
Le choix d’un sujet n’est jamais un fait anodin. Il est souvent les résultants de
motivations, souvent inconscientes ou tout au moins peu explicitées.6
Un travail scientifique n’a pas sa raison d’être s’il ne présente aucun intérêt
pour la société qu’il étudie. Ainsi, de manière générale, une recherche scientifique est souvent
menée pour résoudre un problème qui surgit dans la société ; faute de quoi, les lecteurs
n’auront aucun intérêt. A ce sujet, notre travail (étude) présente un double intérêt :
scientifique et sociale.
Cette étude apporte une lumière nouvelle et une contribution importante pour
tous ceux qui voudraient bien porter une réflexion sur cette thématique.
Cette étude est une interpellation et un éveil de conscience pour les acteurs
scientifiques et pour la population.
6
SHOMBA, K., Méthodologie Op-Cite, p. 49
7. Délimitation du sujet
Pour mieux éclairer et expliciter ce travail, nous avions défini ce sujet dans la
période en allant de 2018-2023 à nos jours. C’est pour raison notre problématique doit nous
écrire les éléments de recrutement à partir de 2018 à nos jours.
C’est la raison pour laquelle nous sommes astreints à limiter notre recherche
dans l’espace. Ainsi, sur le plan spatial, notre recherche s’est focalisée sur la politique
d’emploi et le rajeunissement des personnels de l’université de Kinshasa.
8. Difficultés rencontrées
9. Subdivision du travail
1.1. Politique
Le régime d’assemblée
Le régime d’assemblée est un système institutionnel dans lequel tous les pouvoirs procèdent
d’une assemblée élue au suffrage universel direct. Celle-ci élit en son sein des comités qui
exercent les fonctions exécutives et, le cas échéant, judiciaires. Un tel régime
11
7
Dictionnaire Micro Robert , 2017. p. 674.
est caractérisé par la confusion des pouvoir par l’omnipotence du Législatif. Il
n’est le plus souvent pratiqué qu’à titre transitoire par des assemblées chargées d’élaborer une
Constitution. Tel fut notamment le cas de la Convention (1792-1795) : on parle pour cette
raison de régime conventionnel8.
Le régime parlementaire
12
8
KABUYA LUMUNA., Introduction à la science politique, note de cours G1, RI, Unikin ; p. 45.
1.2. Emploi
Selon le petit dictionnaire de Micro Robert l’emploi est une action ou manière
d’employer.
13
9
Le contrat du travail, loi n° 98 -004 du 27 Janvier 1998
Une politique d’emploi est une vision et un plan concret élaboré par un pays
pour atteindre ses objectifs en matière d’emploi. Pour élaborer un tel plan, un gouvernement
ou une organisation doit avoir une vision claire des problèmes et des possibilités du pays. Il
doit organiser une large consultation pour parvenir un accord entre tous les acteurs de la vie
économique, y compris les organisations d’employeurs et de travailleurs10.
Une politique nationale ou une organisation ne se limite pas à un programme
de création d’emplois. Elle traite toute une série de question sociale et économique. Elle
concerne plusieurs secteurs de l’administration publique. Notons qu’il ne s’agit pas
uniquement les services chargés du travail et d’emploi, et influe l’économie dans son
ensemble. Elle ressemble des mesures, des institutions et de programme divers qui ont une
incidence sur la demande et l’offre de main d’œuvre et sur le fonctionnement des marchés du
travail11.
Une politique nationale ou une organisation de l’emploi doit promouvoir un
travail décent, un concept dans lequel la création d’emplois va le pair avec la protection
sociale et de respect des normes internationales de travail et des droits fondamentaux et
travail.
Ajoutons qu’une politique de travail d’emploi doit être élaborée en fonction
du contexte et de l’état de chaque pays. Ce n’est pas une simple déclaration énumérant des
objectifs que l’on espère atteindre. Il s’agit d’une vérité plane détaillant les moyens
d’atteindre ses objectifs. De nombreux intervenant doivent prendre part à son élaboration, et
les résultats doivent être tels que tous puissent travailler à la réalisation.
1.1.4. Rajeunissement
Selon LE MICRO ROBERT, le rajeunissement vient de verbe rajeunir qui
signifie renouvellement, actualisation, coup de jeune.12
10
Conclusion concernant la deuxième discussion récurrente sur l’emploi. Conférence internationale du travail,
103émé(Genève).http://www.ilo.org/wcmsp5/groups/public/...édnorm/…relconf/documents/metingdpcuments/
wcms 246166.pdf(p 60-68. 13h56, le 2 mars 2024
11
Organisation (ONU). (NAW-YORK : division de la population département)http.un.org/popin/.data html
consulté le 7 janvier 2024 à 3h15
12
Le Robert, dico en ligne, consulté le 4 janvier à 13h30
Le cadre stratégique général de la réforme et modernisation de
l’administration publique document finalisé en 2015, en détaille plus. Il vise à donner à
l’administration publique un personnel intellectuel et morales sans pareilles afin d’imprimer
une administration publique moderne.
En effet, l’implémentation d’une administration publique rajeuni implique la
mise à la retraite impérative de tous les agents ayant atteint l’agent de la retraite. 13
Quant à nous, le rajeunissement est une sorte de la politique qu’un
gouvernement ou une entreprise met en place pour rajeunir ses personnes humaines.
15
13
WWW.ena consulté 12 janvier à 22h’
Section 2. Présentation du champ d’investigation
L’histoire de l’Université de Kinshasa commence en 1924 avec la création, par
l’Université Catholique de Louvain (UCL), d’une association médicale qui devait s’occuper
de la santé et de l’éducation au Congo. De cette initiative résultera la création, par des
professeurs de cette Université, la Fondation Médicale de l’Université de Louvain au Congo
(FOMULAC). Et plus tard en 1927, le premier établissement de santé était construit à
Kisantu dans le Bas-Congo. En 1932, l’Université de Louvain créa, sur le même site, une
section d’agronomie, à laquelle s’ajoutèrent une section des sciences administratives et
commerciales en 1936 et une section d’assistants médicaux en 1937. En 1947, ces trois
sections furent regroupées sous l’appellation de « Centre Universitaire Congolais de
Lovanium », qui fut transféré du site de Kisantu à celui de Kimwenza. Ce centre devint
l’Université Lovanium en 1952, plus tard l’Université de Kinshasa, sur le site actuel du Mont
Amba. Sa superficie est de 400 hectares. La première année académique de cette nouvelle
Université avait été inaugurée en 1954 avec des candidatures en sciences naturelles, en
sciences sociales et administratives, en sciences pédagogiques et en sciences agronomiques.
Vint enfin la création des Cliniques universitaires en 1957 qui organisèrent le premier
doctorat en médecine. Le réacteur nucléaire TRIGA (Trading, Reaserch, Isotope Production
Generated in Africa) avait été installé dans la nouvelle Université en 1957 pour l’analyse des
spécimens biologiques d’animaux, de plantes, de semences, de systèmes chimiques.
A cause de ses imposantes infrastructures, de l’excellence de ses programmes,
du niveau et de l’envergure de ses activités de recherche, ainsi que de la qualité de son
accueil, la nouvelle université était, dès sa création, la plus importante et la plus célèbre
institution d’enseignement universitaire en Afrique centrale et en l’Afrique subsaharienne.
C’est à ce titre qu’elle avait accueilli certaines célébrités politiques africaines, comme le
colonel Mengistu Hailé Mariam (ancien président de l’Ethiopie), le camerounais NZO
Ekanangaki (ancien secrétaire général de l’OUA), l’Egyptien Mahmoud Riad (ancien
secrétaire général de la ligue Arabe), et des conférenciers de renom comme Albert Einstein,
Igor Progogine, Haroun Tarzieff, Yves Cousteau et Cheik Anta Diop.
Nationalisée en 1971, l’Université Lovanium était devenue l’un des Campus
de l’Université Nationale du Zaïre (UNAZA). Elle a recouvré une partie de son autonomie en
1981, devenant l’Université de Kinshasa. Cette nationalisation a auguré la déchéance de
l’Université de Kinshasa, caractérisée par une dégradation progressive de son patrimoine, un
16
Désengagement graduel de l’Etat qui ne parvenait plus à subventionner
l’Université, et une détérioration des conditions de travail aussi bien des étudiants, des
enseignants, des chercheurs que du personnel administratif. Les étudiants de l’Université de
Kinshasa sont répartis dans douze Facultés, à savoir :
1. Agronomie
2. Droit
3. Economie et Gestion
5. Médecine
6. Pharmacie
7. Polytechniques
8. Sciences
2.3. BILIOTHEQUES
14
Pour la présentation de l’Université de Kinshasa, nous nous sommes référés utilement au plan stratégique pour
la réhabilitation et la revitalisation de l’université de Kinshasa, 2 ème édition, Presse de l’Université de
Kinshasa2007.
Pour la représentation des étudiants, chaque faculté en dispose. Elle est
chargée d’animer la vie d’étudiants. Elue par les étudiants eux-mêmes, son rôle est d’assurer
l'intermédiaire entre la hiérarchie de l'université et les étudiants.
2.5. LOGEMENT
Elle est dirigée par un Comité de gestion composé de quatre membres dont le
Recteur, le Secrétaire Général Académique, le Secrétaire Général Administratif et
l’Administrateur de Budget. Le Recteur est le patron du Rectorat qui se comprend le cabinet
et les services connexes. Y travaillent l'Assistant Principal, le Conseiller Juridique, le
Conseiller Administratif et Financier, le Conseiller Académique et Scientifique, le Conseiller
en Communication et Agence de Presse, le Conseiller à la Coopération : l'Assistant Juridique,
l'Assistant Administratif, la Secrétaire de Direction, la Secrétaire Particulière
L’informaticien, le Commis Classeur, Etc.
19
L’université est divisée en facultés qui possèdent des degrés d’indépendance
divers. Certains parlent même « d'universités au sein de l'université ». L'université compte
aussi les entités suivantes :
8.1. Grandes écoles :
École de santé Publique,
École Régionale postuniversitaire d’Aménagement et de gestion Intégrée des Forêts et
des territoires Tropicaux (ERAIFT).
8.2. Institutions de services à la communauté :
Cliniques Universitaires,
Centre Neuro-psychopathologique (CNPP),
Centre Hospitalier du Mont-Amba,
Régie des Constructions,
Groupe Scolaire du Mont-Amba, Ferme expérimentale de N’djili
Brasserie.
20
CHAPITRE II. REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO ET POLITIQUE
D’EMPLOI A L’UNIVERSITE DE KINSHASA
Emploi est une base de données du BIT contenant des informations sur les
cadres nationaux de développement et les politiques nationales de l’emploi de 110 pays 15.
Parmi ces pays, trente-six ont adopté une politique nationale de l’emploi, le plus souvent
après la crise financière mondiale de 2008. Vingt sont en train d’en élaborer une. Treize
pays sont en train de réviser leur politique afin de mieux répondre aux nouveaux défis de
l’emploi. Il apparaît que de plus en plus de pays renoncent à remédier aux problèmes
d’emploi en recourant uniquement à des politiques actives du marché du travail, telles que la
création d’emplois ou l’aide à l’embauche. Ces pays tendent à élaborer et à adopter des
politiques nationales de l’emploi globales rassemblant des mesures, des institutions et des
programmes divers, qui ont une incidence sur la demande et l’offre de main-d’œuvre et sur
le fonctionnement du marché du travail.
15
S.NGONDO a Pitshandenge, « Du vieillissement de la population en RDC : état de la question, mécanismes
explicatifs, facteurs de promotion et propositions de stratégies », in Congo-Afrique N° 358, P 488.
du Sud-Est (Singapour, Indonésie, Philippines, Cambodge), les politiques
sont axées sur une intégration mondiale de l’économie comme principal vecteur de
croissance et de promotion de l’emploi (BIT, 2010d). L’emploi est abordé dans le cadre des
plans nationaux de développement ou dans des documents traitant spécifiquement de
politique de l’emploi.
En Afrique, l’attention s’est portée sur des stratégies de réduction de la
pauvreté favorables à l’emploi ainsi que des politiques nationales de l’emploi. Suite au
Sommet de Ouagadougou sur l’emploi à la fin 2004, les questions d’emploi ont pris plus
d’importance dans les stratégies de réduction de la pauvreté. Il est de plus en plus admis que
l’emploi productif est indispensable à la croissance ainsi qu’à une réduction durable de la
pauvreté. L’Union africaine et les commissions économiques régionales ont contribué à la
reconnaissance du caractère primordial de l’emploi.
L’élaboration d’une politique de l’emploi est une obligation pour les pays qui
souhaitent intégrer l’Union européenne. Ces politiques doivent se conformer au modèle
sociale européenne et à la stratégie européenne pour l’emploi. Le modèle social européen
22
16
SABOLO. M.Y, la croissance sectorielle de l’emploi, B.I.T, Genève, 1969
17
B.I.T, l’emploi et la population : Facteurs indissociables du développement, Genève, Suisse, 1994.
23
Près de la moitié utilise le « taux de chômage » comme une cible prioritaire, bien que
cela soit d’une utilité limitée dans des pays où de nombreuses personnes travaillent
dans l’économie informelle.
18
Rectorat UNIKIN ; Plan stratégique pour la réhabilitation et revitalisation de l’Université de Kinshasa. 2ème
édition, Presse de l’Unikin, 2007.
24
articulation est nécessaire entre les politiques de l’emploi et le budget national. Enfin, les
pays doivent renforcer la capacité du système de suivi du marché du travail à produire des
données régulières et fiables, qui sont nécessaires pour élaborer des politiques et rendre
compte de la situation de l’emploi19.
19
GILLON, L. servir en actes et en vérité. Duculot, Gembleaux, 1988
20
B.I.T, l’emploi et la population : Facteurs indissociables du développement, Genève, Suisse, 1994.
:25
Une politique de l’emploi devra garantir des emplois en nombre et de qualité (plein
emploi productif et librement choisi).
Les États membres devront s’engager explicitement en faveur de l’emploi qui devra
figurer dans la législation nationale ou dans les principales déclarations.
Les politiques de l’emploi devront tenir compte du niveau de développement
économique et être conformes aux pratiques nationales.
Il faudra veiller à ce que toutes les politiques économiques et sociales prennent en
considération les objectifs d’emploi, et que ces politiques et la politique de l’emploi
se renforcent mutuellement.
Les gouvernements devront mettre en place des procédures ou des mécanismes dans
le cadre desquels des mesures pour l’emploi pourront être décidées et examinées.
II.5.4. La Déclaration sur la justice sociale pour une mondialisation équitable de 2008
21
HARBISON. F, Planification de l’éducation et développement des ressources humaines, UNESCO, Paris
1968.
.27
22
Jacques LEGARE, démométrie et planification des Ressources Humaines ; les presses de l’Université de
Laval, Québec, 1984
28
Responsabilité d’accompagner et d’appuyer les Etablissements
d’Enseignement Supérieur et Universitaire, tant du Secteur Public que Privé, dans la
réalisation de leur triple mission d’Enseignement, de Recherche et de Service à la Société.
901 établissements d’enseignement supérieur (EES) sont sous sa responsabilité. Il s’agit
d’universités, d’instituts supérieurs pédagogiques, d’instituts supérieurs techniques, du
secteur public et du secteur privé. L’effectif est estimé à 604 000 étudiants. 1965 professeurs
exercent, dont seulement 50 dans le secteur privé. On compte 10 551 auxiliaires (chefs de
travaux, assistants). Le personnel administratif, technique et ouvrier rassemble 17 868
personnes (chiffres 2011). La dépense publique pour l’enseignement supérieur occupe 2,4%
du budget de l’Etat.
Le document définissant la stratégie de l’Enseignement supérieur 23 pour la
période 2011-2016 indique que « la Stratégie de l’Enseignement Supérieur et Universitaire
pour les cinq années à venir (2011-2012/2015-2016), s’inscrit dans la dynamique d’une
volonté non seulement d’assainir le secteur de l’ESU, mais également de lui donner « un
nouveau souffle pour son rôle à jouer dans le développement de la République Démocratique
du Congo dans un contexte universitaire mondial caractérisé par la Compétitivité,
l’Excellence et les Innovations ». Ce secteur est en effet marqué par une très forte dispersion
des établissements, un encadrement faible et disparate. Le taux d’accès à l’enseignement
supérieur est de 9% en 2011.
Depuis l’été 2014, seules les trois universités décrites dans cette fiche ont la
capacité à délivrer des doctorats : UNIKIN, UNIKIS et UNILU. La langue utilisée à
l’université et dans l’ensemble du système éducatif est le français, langue officielle de la
RDC.
La coopération française en RDC s’est appuyée sur divers éléments qui ont
une incidence périphérique sur l’enseignement supérieur, depuis quatre ans : en 2012,
Kinshasa a accueilli le sommet de la Francophonie, qui a laissé de nombreux aménagements
et projets (dont le campus numérique AUF à Kinshasa), mais dont l’effet s’estompe
aujourd’hui ; le projet phare de la coopération française, intitulé SESAM, (2009-2014) est
venu en appui à la maîtrise et à l’usage du français en RDC. D’un montant de 5 millions
d’euros (sur 5 ans) , il visait la mise en place d’un dispositif permanent pour l’enseignement
et la diffusion de la langue française, à travers la production d’outils pédagogiques, la
23
Document de la stratégie de l’Enseignement supérieur et universitaire de la République Démocratique du
Congo, Ministère de l’Enseignement Supérieur et Universitaire, 2011-2012/2015-2016, p.7
29
24
LUKULA ISOA. VIEILLISSEMENT DU PERSONNEL ACADEMIQUE ET SCIENTIFIQUE DE
L’UNIKIN. (1992-1993). Mémoire de fin d’études.
30
P. MOUTON (2006) souligne que la sécurité sociale repose sur l’idée de la solidarité. La
solidarité assure, au-delà des efforts de la prévoyance individuelle, la protection contre
certains risques sociaux. Son mécanisme consiste en une mise en commun des ressources en
vue de servir des prestations et d’offrir des services aux personnes protégées quand l’une des
éventualités se réalise. Sur la sécurité sociale en Afrique, par exemple, le souci est de recréer
en faveur des salariés urbains arrachés à leur milieu coutumier, un cadre de sécurité
matérielle minimale pour compenser partiellement le cadre général de sécurité qui était fourni
par les institutions traditionnelles du milieu d’origine. L’on notera qu’en RDC, les premières
mesures légales de la sécurité sociale en faveur des travailleurs salariés remontent à 1949. 25
25
Rectorat UNIKIN ; Plan stratégique op-cit
31
26
LUKULA ISOA. Vieillissement du personnel academique et scientifique de l’unikin. (1992-1993). Mémoire
de fin d’études.
Congo, et placé sous la tutelle du Ministère de l’Enseignement supérieur et universitaire et de
la Recherche scientifique.
a. Elaboration du questionnaire :
Le questionnaire est l’un des principaux instruments que nous avons utilisés pour récolter les
données de terrain et pour pouvoir combler les limites des techniques qualitatives à éventail.
Ainsi, nous avons élaboré un questionnaire comportant 8 items ou questions fermées
gravitant autour des thèmes ci-après : Quelles sont les politiques d'emploi actuelles à
l'université de Kinshasa ?, Comment l'université de Kinshasa assure-t-elle une répartition
équilibrée d'âge parmi ses personnels , Quelles mesures sont mises en place pour encourager
les jeunes professionnels à rejoindre le personnel de l'université de Kinshasa, Quels sont les
défis rencontrés par l'université de Kinshasa pour mettre en œuvre ses politiques d'emploi et
de diversité d'âge , Comment la politique d'emploi de l'université de Kinshasa compare-t-elle
aux autres universités de la région, dont copie en annexe de ce travail
B. Pré- enquête
Commentaires : Sur les 110 enquêtés, 76 sont des personnes de sexe masculin, soit 69,09%
contre 34 personnes de sexe féminin ; soit 30,90 %. On peut encore voir que le travail en
RDC reste dominer par une grande majorité par le sexe masculin.
46-50ans 19 17,27
66 et plus 22 20
Marié(e) 29 27,36
Divorcé(e) 14 15,36
Veuf(e) 41 40
Célibataire 15 16,36
G3 13 22,73
L2 38 27,27
Doctorat 49 50
Total 110 100
Commentaires: Dans le tableau ci-dessous, il ressort que parmi les enquêtés plupart sont
scolarisés, la majorité ont un niveau universitaire soit 50% des sujets enquêtés.
Professeurs 34 30,9
Chef de travaux 15 13,63
Assistant 32 29,09
Agents administratifs 29 26,36
Total 110 100
Réponses Fréquence %
OUI 65 59,04
NON 45 40.96
Q2. Comment l'université de Kinshasa assure-t-elle une repartition équilibrée d'âge parmi ses
personnels?
Tableau VIII. La partition équilibré d’Age des agents à l’université de Kinshasa
Réponse Fréquence %
Par recrutement chaque année 110 100
Commentaires : Ce tableau nous montre que 110 soit 100% des sujets considèrent qu’il y a
une équilibre d’Age car chaque année l’université de Kinshasa recrutent les nouveaux
personnels, assistants, chef des travaux, professeurs etc.
Q3/ Quelles mesures sont mises en place pour encourager les jeunes professionnels à
rejoindre le personnel de l'université de Kinshasa ?
Fréquence %
Réponses
Commentaires: 87 soit 79,09 % des travailleurs affirme que la valorisation du personnel; par
contre 23 soit 20,9% des sujets disent que par l’augmentation des primes d’institution, il
revient à l’Etat de renforcer cet Etablissement en fin de bien répondre aux préoccupations des
travailleurs
Q4. Quels sont les défis rencontrés par l'université de Kinshasa pour mettre en œuvre ses
politiques d'emploi et de diversité d'âge ?
Tableau X Réponses relative aux défis auxquels l’université de Kinshasa fait face
REPONSES FREQUENC %
E
Commentaires : Ce tableau nous montre que 78 soit 70.09% disent que c’est par le paiement
en retard par les étudiants et 32 soit 29.91% évoque que c’est le taux que les étudiants payent
en franc congolais.
Q5. Comment la politique d'emploi de l'université de Kinshasa compare-t-elle aux autres
universités de la région
La reponse relative à cette question est que l’université de Kinshasa est la premiere université
en République Démocratique du Congo en terme de la politique d’emploi chaque année elle
recrute les nouveaux personels
Q6. Avez-vous des suggestions pour promouvoir une meilleure inspection du travail ? Si oui
énumérez-les ;
Opinion des enquêtés pour promouvoir une bonne politique d’emploi.
A ce qui concerne les suggestions, nous en avons nombreux on peut citez
quelques-uns : il faut que l’Etat dote à cet Etablissement les moyens nécessaires pour une
bonne prise en charge, l’augmentation des salaires du personnels, les frais de fonctionnement
pour l’entretien de cet Etablissement.
27
Organisation (ONU). (NAW-YORK : division de la population département)http.un.org/popin/.data html
consulté le 7 janvier 2024 à 3h15
De ce qui précède, nous affirmons que l’université de Kinshasa met en place
de mécanisme sur sa politique d’emploi en créant plusieurs brigades d’assainissement,
NDAKU NA CAMPA, les jardins, les hectares des champs pour l’agriculture etc.,
aujourd’hui l’Université de Kinshasa essaye d’améliorer ses ressources humaines pour
renforcer la qualité du travail.
Il est vrai que la gestion des ressources humaines a subi des changements importants ces
dernières années, dans lesquelles la politique de recrutement ou rajeunissement est considérée
comme un élément intégral et fondamental de la gestion des ressources humaines, mais la
politique de rajeunissement est affectée et influencée tout autant que les autres éléments qui
composent cette dernière. En outre, le concept de gestion des ressources humaines s'est
également élargi et couvre plusieurs activités majeures, y compris l'analyse et la description
des postes les plus importantes, la planification des ressources humaines, l'attraction et la
polarisation des ressources humaines, la motivation des ressources humaines et les activités
les plus importantes du processus de sélection et du processus de recrutement dans les
ressources humaines.
Les résultats de l’étude indiquent que les sujets de l’étude ont une forte la qualité
et cela dans ses différentes dimensions. Ces résultats remettent en question ceux de Mukembe
(2015) et Kapinga (2016) où il a été constaté la veuillessement des personnels de l’université
de Kinshasa est due au manque politique rajeunissement de ses personnels. Nos résultats
remettent aussi en question ceux de Han Ning (2012) et Berger (2003) qui ont révélé la
distinction monnayage à l’UNIKIN. Par contre, ces résultats collaborent avec ceux de l’étude
de Yanzeme qui a abouti aux mêmes résultats, c’est-à-dire le tribalisme et népotisme battent
ses pleins. En effet, le corps scientifique ne et les Administratifs font l’objet de notre enquête.
Pour conclure notre étude portent sur la politique d’emploi et rajeunissement des personnels à
l’Université de Kinshasa notre principal objectif était de comprendre comment l’Université
de Kinshasa développe sa politique d’emploi et le rajeunissement de ses personnels, et de
proposer avec les acteurs concernés, ce qu’ils croient salutaires pour améliorer des conditions
de recrutement. Notre problématique était articulée autour des questions suivantes :
Au regard des questions soulevées ci haut, nous avons aligné les hypothèses
suivantes pour confirmer nos hypothèses :
Ces faits sont justifiés par les causes multiples certains cadres administratifs et
professeurs pensent que ce sont le pouvoir anarchique.
L'opération de sélection des candidats nécessite plusieurs conditions pour assurer son succès
et son but est de réduire les risques et choisir les mauvaises personnes au sein de l'unikin car
nous garantissons, même relatif, dans la prochaine étape du rajeunissement, aux fins de la
sélection, que ceux qui sont sélectionnés et embauchés ont la capacité de faire progresser la
première université mère de la RDC, de donner le meilleur d'eux-mêmes et de suivre les
politique d'adoption au sein de cette dernière pour laquelle ils travaillent, qui dépend
également des facteurs qui influent principalement sur la commande des personnes au
recrutement, comme les stratégies suivies pour aider les employés à donner plus et à accorder
toute leur attention à leur travail, et leur responsabilité.
Dans le Considérant les efforts de l’Université de Kinshasa pour essayer de choisir les
opérations bon sens, Opérations de sélection et de recrutement des candidats les plus aptes à
assurer le succès de l'opération de sélection et donc son succès escompté.
Dans nos recherches menées au niveau de l'Université de Kinshasa, malgré toutes les
références aux méthodes de sélection et les efforts déployés à cet égard pour réussir le
processus de rajeunissement, nous avons constaté que le processus de sélection des candidats
est pratique tant au sein de l'université que pour le respect de l'approche structurée est
suffisante et c'est une des raisons fondamentales des difficultés de l’unikin, c'est pourquoi
cette dernière doit opérer avec toutes les méthodes adaptées et bien rodées en matière de
sélection et de rajeunissement et suivre des politiques de recrutement plus efficaces, ce qui lui
permettra est en mesure d'acquérir les candidats les plus précieux, réduisant ainsi les
mauvaises décisions, prévenant les pertes possibles et l'aidant à réussir.
Pour mieux aborder ce travail, il nous est important d’analyse la question de la gestion des
ressources humaine d’une manière générale « GRH » est l'un des principaux défis auxquels
est confrontée toute organisation privée ou publique, en effet, ces dernières années, la GRH a
joué un rôle croissant dans les opérations d'une organisation compte tenu de son impact et de
son importance.
Il est vrai que la gestion des ressources humaines a subi des changements importants ces
dernières années, dans lesquelles la politique de recrutement ou rajeunissement est considérée
comme un élément intégral et fondamental de la gestion des ressources humaines, mais la
politique de rajeunissement est affectée et influencée tout autant que les autres éléments qui
composent cette dernière. En outre, le concept de gestion des ressources humaines s'est
également élargi et couvre plusieurs activités majeures, y compris l'analyse et la description
des postes les plus importantes, la planification des ressources humaines, l'attraction et la
polarisation des ressources humaines, la motivation des ressources humaines et les activités
les plus importantes du processus de sélection et du processus de recrutement dans les
ressources humaines.
La sélection représente donc les éléments de base qui permettent aux organisations de
sélectionner les candidats les plus appropriés, et s'étend à plusieurs éléments distinctifs tels
que la capacité d'apprentissage et les qualifications techniques. Actuellement, le marché du
recrutement a changé et le concept de recrutement aussi. Cette conception consiste à
embaucher les bonnes personnes pour le bon travail dans le bon environnement,
Le risque est présent dans tout rajeunissement, et le défi n'est pas de l'éliminer, mais de le
minimiser en acquérant une main-d'œuvre compétente et motivée qui contribue au succès
social et économique d'une entreprise. La performance et la survie d'une entreprise dépend de
la manière dont elle recrute, activité fondamentale et étape essentielle dans la vie d'une
entreprise, car elle affecte le marché dans le sens inverse de l'image de l'entreprise au travail.
Pour notre travail de recherche, plusieurs raisons et facteurs nous ont amenés dans le cadre de
notre travail de fin de cycle à choisir le thème traitant « la politique d’emploi et
rajeunissement des personnels de l’Université de Kinshasa ». Le but de ce travail est
d’expliquer le processus et la politique de rajeunissement des personnels de ladite université
BIBLIOGRAPHIE
I. OUVRAGES
III.DOCUMENTS OFFICIELS
1. B.I.T, l’emploi et la population : Facteurs indissociables du développement, Genève,
Suisse, 1994.
2. B.I.T, l’emploi et la population : Facteurs indissociables du développement, Genève,
Suisse, 1994.
3. BIT : Résolution concernant l’amélioration des aptitudes professionnelles pour
stimuler la productivité, la croissance de l’emploi et le développement, Conférence
internationale du Travail, 97e session, Genève, 2008. Consulté le 13 janvier 2024 à
15h00.
4. Conclusion concernant la deuxième discussion récurrente sur l’emploi. Conférence
internationale du travail.
5. Document de la stratégie de l’Enseignement supérieur et universitaire de la
République Démocratique du Congo, Ministère de l’Enseignement Supérieur et
Universitaire, 2011-2012/2015-2016.
6. Journal officiel n° 20 DU 15 OCTOBRE 1981.
7. Le contrat du travail, loi n° 98 -004 du 27 Janvier 1998
8. Lire expressément les textes légaux relatifs à l’organisation générale de
l’Enseignement supérieur et universitaire publiés dans le Journal Officiel n°21 du 1 er
avril 1981.
9. Organisation (ONU). (NAW-YORK : division de la population
département)http.un.org/popin/.data html consulté le 7 janvier 2024 à 3h15
10. Pour la présentation de l’Université de Kinshasa, nous nous sommes référés utilement
au plan stratégique pour la réhabilitation et la revitalisation de l’université de
Kinshasa, 2ème édition, Presse de l’Université de Kinshasa2007.
IV. WEBOGRAPHIE
EPIGRAPHE..............................................................................................................................i
DEDICACE..............................................................................................................................ii
REMERCIEMENTS..............................................................................................................iii
1. Contexte de l’étude...............................................................................................................1
2. Problématique...................................................................................................................1
3. Hypothèse..........................................................................................................................2
4. Etat de la question............................................................................................................3
5. Approche méthodologique...............................................................................................4
5.1. Méthode......................................................................................................................4
5.2. Techniques..................................................................................................................5
5.2.2. Entretien..................................................................................................................5
7. Délimitation du sujet........................................................................................................6
8. Difficultés rencontrées......................................................................................................6
9. Subdivision du travail......................................................................................................6
Section 1. De la terminologie...............................................................................................7
1.1. Politique..................................................................................................................7
1.2. Emploi.....................................................................................................................8
1.1.4. Rajeunissement........................................................................................................9
2.3. BILIOTHEQUES.....................................................................................................11
2.5. LOGEMENT............................................................................................................12
Conclusion partielle............................................................................................................23
CONCLUSION.......................................................................................................................32
BIBLIOGRAPHIE.................................................................................................................33
I. OUVRAGES....................................................................................................................33
IV. WEBOGRAPHIE........................................................................................................34