Support SVT Tle D

REPUBLIQUE DE COTE D’IVOIRE ANNEE SCOLAIRE 2019-2020
MINISTERE DE L'EDUCATION NATIONALE Conseil d'Enseignement des SVT

DDE L'ENSEIGNEMENT TECHNIQUE ET DE
L LA FORMATION PROFESSIONNELLE
EDITION VIE & TERRE

TERMINALe D
SCIENCES DE LA VIE ET DE LA TERRE
AVANT-PROPOS
Ce support de cours est un recueil de documents

pédagogiques, et d'exercices, ayant pour but de
permettre une bonne compréhension des
programmes des Sciences de la Vie et de la
Terre (SVT) pour les classes de Terminal D.
Il permet également aux élèves de ce niveau
d’enseignement, la révision des programmes, afin
de mieux préparer les examens de fin d’année.
Support pédagogique SVT ◊ Edition Vie et Terre ◊ ANNEE 2019-2020 ◊ Classe Tle D ◊ Page 1
ivoiresvt.wordpress.com
SITUATION D'APPRENTISSAGE
Des élèves de terminal D du Lycée municipal de Marcory suivent un film documentaire à la
télévision. Ils découvrent que la conduite, la nage, l'écricure, la lecture… se font sous le
contrôle d'un maître. Ce film qualifie ces coportements de reflexe acquis. Pour mieux
comprendre le reflexe acquis, ces élèves décident d'identifier l'organe reponsable de la
transmission du message nerveux et les conditions de sa mise en place.
Expérience 1 : Expérience de PAVLOV

Afin de mettre en évidence la mise en place de certaisn apprentissage, Pavlov réalise une série
d’expérience sur un chien isolé dans une cage, dont les résultats sont présentés par le
document ci-dessous.
Doucment 1
Document 2
Support pédagogique SVT ◊ Edition Vie et Terre ◊ANNEE 2019-2020 ◊ Classe de Tle D ◊ Page 2
A
Texte 2
Les réflexes conditionnels sont utiles dans la vie de tous les jours, par exemple un chat va
assimiler des bruits de buisson à une proie. On peut penser que cela est la même chose chez
l'homme : un bruit dans la nuit va créer une montée de stress chez celui-ci qui va l'assimiler à
une situation anormale.
La nature du stimulus conditionnel est importante sur la production d'une réponse
conditionnelle. Ceci est utilisé dans certaines thérapies comportementales lorsque l'on veut
éliminer certaines conduites. Le principe est de présenter de façon systématique un stimulus
aversif lors de l'apparition de la conduite que l'on cherche à faire disparaître (alcoolisme,
tabagisme...).
Document 1
Document 2
Document 1
Document 2
Document 3
Document 4
EXERCICE 1 (Restitution de connaissances).
Les items ci-dessous sont relatifs au reflexe conditionnel.
1-Un stimulus neutre :

a. Apporte naturellement une réponse avant le conditionnement.
b. N'apporte pas naturellement la réponse que l'on attend.
c. Doit toujours suivre le stimulus absolu pendant le conditionnement.
2-Le réflexe inné :

a. nécessite obligatoirement le cerveau pour sa réalisation.
b. se réalise chez un être démedulé.
c. a pour centre nerveux la moelle épinière.
3-Le stimulus absolu :

a. peut encore s'appeler stimulus conditionnel.
b. provoque toujours une réaction quel que soit la période d'apprentissage.
c. doit être varié pendant un apprentissage.
4-Le réflexe conditionnel :

a. est stéréotypé
b. peut durer toute la vie quel que soit l'individu.
c. est toujours obtenus à la suite d'un apprentissage.
Choisis dans chaque cas la proposition qui est correcte.
EXERCICE N°2
A/ En vue d'amener un chat à fléchir la patte postérieure à la vue de la lumière, on soumet
dans un laboratoire ce chat à diverses expériences. Le chat est maintenu dans le champ
expérimental par une sangle abdominale. Un brassard est serré autour de la patte postérieure
droite qui repose sur des fils électriques reliés à une batterie.
1ère série d'expériences : on applique une faible décharge électrique : le chat fléchit la patte
postérieure droite. A chaque nouvelle excitation la réponse est la même.
2ième série d’expériences : devant le chat, on place une lampe électrique et on réalise les
expériences dont les résultats sont consignés dans le tableau du document 1.
Document 1
1. Nomme la réaction observée dans la 1ère série d'expériences.

2. Indique les caractéristiques de cette réaction.
3. Analyse les résultats de la 2ème série d'expérience.
4. Interprète-les.
5. Déduis-en les caractéristiques de la réaction observée à partir du 9ème essai.
B/ Les figures a, b, c et d du document 2 représentent quelques organes qui interviennent

dans l'accomplissement des réactions obtenues avec la série d'essais de 9 à 18
1. Représente le trajet suivi par le message nerveux dans le cas des réactions obtenues
avec la série d'essais de 9 à 18.
2. Précisez le rôle des organes a, b, c et d.
C/ Le document 3 représente des coupes transversales a et b d’axones de fibres conductrices

du message nerveux dans le cas de la réaction étudiée précédemment.
1. Annotez les coupes a et b du document 3 en reportant les numéros sur votre feuille de
copie.
2. Légendez-les.
Document 3
EXERCICE N°3
A/ Sur une langue de nouveau-nés de moins de 24 heures, il est déposé quelques gouttes, soit
d’une solution sucrée, soit d’une solution acide : le bébé répond respectivement soit par des
mimiques de satisfaction, soit par des grimaces d’aversion.
1. a) Nomme ce type de comportement.

b) Justifie ta réponse
B/ Un dispositif expérimental a permis de détecter, au niveau des fibres nerveuses de la corde

du tympan (nerf crânien reliant les papilles linguales au bulbe rachidien), des potentiels
d’action lors du dépôt des solutions sucrées sur les papilles linguales.
C/L’application sur la langue d’acide gymnémique (inhibiteur des sensations sucrées),
entraine la disparition des mimiques.
D/ La section accidentelle du nerf facial reliant le bulbe rachidien aux muscles peauciers
(muscles situés sous la peau rattaché à elle), entraine la paralysie de la face et la disparition
des mimiques.
2. a) Tire une conclusion de chaque expérience.

b) Explique le mécanisme de mise en jeu des mimiques chez les nouveau-nés.
c) Schématise le trajet de l’influx lors des mimiques.
EXERCICE N°4
Le tableau ci-dessous donne le volume de salive sécrétée par un chien en fonction du nombre
de présentation de l’éclaire de lumière suivi de la viande puis de l’éclaire de lumière seule.
Eclaire de lumière + viande Eclaire de lumière

Nombre de présentation des stimuli
0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12
Volume de salive (u.a) 0 2 16 24 29 33 35 37 19 11 7 2 0
1. Construis sur papier millimétré la courbe montrant le comportement du chien vis-à-vis

des stimuli appliqués.
1 cm 1 u.a
Echelle :
1 cm 1 présentation
2. Analyse cette courbe.

3. Déduis le type de réaction obtenue. Justifie ta réponse.
4. Précise les caractères de cette réaction mise en évidence par la courbe. Justifie ta
réponse.
Dans le cadre de ses activités, le club de SVT du lycée moderne d'abobo projette des
diapositives sur l'activité du nerf. Les élèves observent un ensemble de matériel dont un
oscilloscope. Sur l'écrans de l'oscilloscope, ils visualisent les différents messages nerveux.
Afin de mieux comprendre les différents messages nerveux visualisés, les élèves décident de
déterminer leur mode d'obtention et de les expliquer.
Ions Concentration en millimoles
Milieu intracellulaire Milieu extracellulaire
K+ 400 20
Na+ 50 440
EXERCICE N°1
On dispose de 6 fibres nerveuses numerotées 1 , 2, 3, 4, 5 et 6, sur lesquelles on place les
electrodes receptrices R1 et R2 , comme l’’indique le document ci-dessous. Dans chaaque cas,
ces électrodes sont reliées à un oscilloscope cathodique.
1- Pour chaque fibre nerveuse, représente l’enregistrement qu’on est en droit d’attendre
sur l’écran de l’oscilloscope.
2- Donne le nom exact de chaque enregistrement.
EXERCICE N°2
Pour étudier la nature du message nerveux, on réalise les expériences suivantes:
Expérience 1: Deux micro électrodes réceptrices sont posées sur une structure nerveuse. On
enrégistre sur l'oscilloscope le tracé de la figure 1.
Expérience 2 : L'une des micro électrodes est enfoncée dans la structure nerveuse. On
enrégistre alors le tracé de la figure 2.
Expérience 3 : On porte des stimulations d'intensités variables sur la structure nerveuse dans
les conditions de l'expérience 2. On obtient les tracés de la figure 3.
1. Nomme les enrégistrements obtenus aux figures 1; 2 et 3B.

2. Analyse le tracé de la figure 3B.
3. Explique le comportement de la structure nerveuse lorsque le potentiel de stimulation
varie.
4. Idenntifie la structure nerveuse utilisée dans cette expérience.
5. Déduis de toutes ces expérienbces les propriétés nerveuses mises en évidences.
EXERCICE N°3
On détermine la composition en ions potassium (K+) et sodium (Na+) dans l'eau de mer, dans
l'axone et dans le plasma sanguin d'un mollusque marin : le calmar. Le tableau ci-dessous
résume le résultat obtenu.
Ions
Concentration (10-3 mol. l-1 )
Axone Plasma sanguin Eau de mer
Potassium 400 20 10
Sodium 50 440 457
1.Analyse ce tableau.
2.Une portion de l'axone du mollusque est prélevée et plongée dans une solution dont la
concentration en ion Na+ est de 450.10-3mol.l-1. A l'aide d'électrodes excitatrices, on stimule
cet axone. Le potentiel d'action (PA) enregistré à l'aide d'une microélectrode est représenté
par le document ci-dessous.
a) Justifie l'utilisation de la solution de concentration en ion Na+ est de 450.10-3mol.l-1.

b) Nomme chacune des parties du PA indiquées par une lettre.
c) Détermine la valeur de P1 ainsi que l'amplitude de ce PA.
d) Interprète du point de vue ionique chacune des phases P1, S, T, U.
3.On fait varier la concentration d’ions Na+ dans la solution puis on porte sur l'axone des
stimulations efficaces d'intensité croissante. Le tableau suivant résume le résultat obtenu.
Concentration en ion Na+ (10-3 mol. l-1) 450 230 119
Caractéristiques
Potentiel de repos (mV) -68 -68 -68
Amplitude du PA (mV) 110 80 65
a) Analysez ce tableau
b) Déduisez l'origine de la dépolarisation de la membrane.
A la suite d'un accident de circulation grave, le petit Konian élève en classe de terminale D, a
eu le tendon de son pied gauche sectionné (nerf). Depuis ce jour ce pied gauche reste
insensible aux stimuli. Informé, son professeur des SVT affirme que la section du nerf a
provoqué la perte de certaines caractéristiques. Surpris par cette information, ces camarades
de classe décident de déterminer les caractéristiques des structures nerveuses.
Expérience
On excite un nerf à l’aide d’un courant continu. On fait varier l’intensité du courant et la
durée d’excitation. Pour chque intensité de courant appliqué, on note la différence de potentiel
qui en résulte et le temps minimun nécessaire pour obtenir la réponse du nerf. Les résultas
sont consignés dans le tableau ci-après :
Temps (ms) 0.3 0.6 0.9 1.2 1.5 1.8 2.1 2.4 2.7
Intensité (V) 3.3 2 1.5 1.2 1.1 1 1 1 1
A l’aide de l’échelle ci-après, on construit la courbe de variation de l’intensité du

courant en fonction du temps : Echelle : 1cm pour 0.3 ms ; 4cm pour 1V
DOCUMENT 18
Document 1
Document 2 Document 3
Document 4
EXERCICE N°1
On soumet deux structures nerveuses A et B à des stimulations d’intensités croissantes. Les
résultats sont consignés dans le tableau.
Intensités de la stimulation (en u.a) 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9
Amplitude de la A 0 0 0 50 50 50 50 50 50 50
réponse (en mV)
B 0 0 30 60 70 80 90 90 100 100
1. Trace dans les mêmes axes la courbe de l’amplitude des réponses en fonction de
l’intensité de stimulation
2. Analyse les tracés A et B.
3. Interprète-les.
4. Détermine les structures A et B.
EXERCICE N°2
On réalise la série d'expérience suivantes sur un nerf et un axone
Expérience 1 : on porte plusieurs stimulations sur un nerf sciatique de chat. Le graphe ci-
contre (doc1) illustre le résultat obtenu.
Expérience 2 : On enrégistre à l'aide d'une micro électrode et d'une électrode de surface, la
réponse après stimulation éfficace, d'un axone de Calmar placé dans l'eau de mer normale
(doc. 2)
Expérience 3 : l'axone pércédent est placé dans un nouveau milieu constitué de 1/3 d'eau de
mer et 2/3 d'une solution isotonique sucrée et il reçoit la même stimulation efficace. (doc.3
1. Interprète le document 1
2. Fais une analyse comparée des documents 2 et 3.
3. A partir de vos connaissances acquises sur les mouvements ioniques liés à l'excitation
de l'axone, interprète l'analyse comparée des doc 2 et 3.
EXERCICE N°3
Dans les nerfs qui partent des organes périphériques comme la peau, à la moelle épinière, il y
a des fibres nerveuses qui diffèrent par des caractéristiques dont le diamètre, la
structure…Ainsi dans ces nerfs, on distingue les fibres Aα et Aβ de gros diamètres (5 à 15 µm)
et possédant une gaine de myéline, les fibres Aδ (1 à 5 µm de diamètre) faiblement
myélinisées et les fibres C (0,25 à 1,5 µm de diamètre) qui sont dépourvues de myéline. On
porte une stimulation efficace sur un nerf cutané isolé par l’intermédiaire de deux électrodes
réceptrices, et on enregistre la réponse du nerf. Le document 1 ci-dessous représente cette
réponse
Document 1
1. Comparez les enregistrements A, B et C.

2. Expliquez cette réponse particulière obtenue à l’issue d’une seule excitation.
3. Pour mieux comprendre les correspondances entre les enregistrements et la structure
du nerf cutané, on s’est intéressé au tableau du document 2
Structures Fonctions Diamètre Vitesse de

moyen des propagation
fibres (µm) (m/s)
Fibres myélinisées -Fibres centripètes des fuseaux 13 75
neuromusculaires
-Fibres centripètes des
mécanorécepteurs 09 85
Fibres amyélinisées -Fibres géantes de calmar 700 25
-Fibres des récepteurs de la chaleur 0,5 1
a. Analysez le tableau.
b. Déduisez-en les facteurs de variation de la vitesse de propagation du message nerveux.
4. Préciser alors la correspondance entre les enregistrements A, B, C et les fibres du nerf
cutané.
5. L’enregistrement du document 3 présente la réponse de ce nerf à une excitation de
même intensité que celui qui a permis d’obtenir la réponse du document 1. Mais cette
fois-ci la distance entre les électrodes réceptrice et excitatrices a augmenté de 11 cm.
Calculez la vitesse de propagation du message nerveux, de chacune des trois
catégories du nerf cutané.
EXERCICE N°4
Pour connaitre la physiologie des fibres nerveuses, on réalise sur une grenouille spinale en
survie, 15 jours après la section en A, des expériences de stimulation. Toutes les stimulations
sont portées en B (document 1). Les modalités des expériences sont précisées dans les
tableaux suivants. Les documents 2 et 3 donnent les résultats de ces expériences.
1. Analysez les enregistrements a, b et c du document 2.

2. Analysez les enregistrements a et b du document 3.
3. Interprétez les ondes A et B des document 2 et 3.
Document 1
Intensité de la stimulation en Place de l’électrode

mA d’enregistrement sur le bout
périphérique du nerf sciatique
Enregistrement a 0,1 à 150 mm de B
Enregistrement b 1 à 150 mm de B
Enregistrement c 1 à 150 mm de B
Document 2
4. Expliquez les différences entre les enregistrements :

-b et c du document 2 ;
-a et b du document 3 ;
5. En utilisant les données du document 3 et du tableau s’y rapportant, calculez la
vitesse de conduction de l’influx nerveux.
6. Formulez une hypothèse mettant en évidence la relation entre le diamètre,
l’excitabilité des fibres nerveuses et la vitesse de conduction de l’influx nerveux.
Intensité de la Place de l’électrode d’enregistrement sur

stimulation en mA le bout périphérique du nerf sciatique
Enregistrement a 4 à 25 mm de B
Enregistrement b 4 à 25 mm de B
Document 3
Dans un film documentaire suivi sur la chaine national géographique, Kolia et ses camarades
tous au lycée moderne de Koumassi en classe de terminal D, observent que les chasseurs
utilsent les flèches pour abattre les gibiers. Ces flèches au bout pointu imbibé de substance
noire, paralyse automatiquement les animaux dès qu'ils sont atteints. Le narateur du
documentaire affirme que la substance empêche la transmission du message nerveux d'une
structure à une autre. Pour mieux comprendre la transmission du message nerveux entre deux
structures nerveuses, les élèves décident de connaitre la structure d'une synapse et son
fonctionnement.
DOCUMENT 24
DOCUMENT 27
DOCUMENT 28
EXERCICE N°1
Les figures a, b, et c ci-dessous représentent dans le désordre des phénomènes qui ont lieu au
cours de la transmission de l’influx nerveux au niveau de certaines synapses.
1- Identifie chacune des structures numérotées 1, 2, 3, 4 et 5.

2- Précise l’importance de la structure 1 dans la transmission synaptique.
3- a- Rétablis l’ordre chronologiques des a, b et c.
b- Justifie votre réponse.
c- Déduis la nature de la synapse en tenant compte de son fonctionnement
EXERCICE N°2
(Pour étudier le mécanisme de la transmission synaptique, on réalise les expériences suivantes
à l’aide d’un dispositif expérimental schématisé dans le document 1.
Expérience témoin : On stimule les neurones afférents N et on enregistre au niveau des
motoneurones M1 et M2 les réponses représentées par la figure 1 du document 2.
1. a) Indiquez la nature des réponses obtenues.
b) Déduisez la catégorie fonctionnelle des synapses B1 et B2.
Expérience test : On dépose au niveau des contacts synaptiques B1 et B2 l’aspartate seul ; le
GABA seul ; l’acide valproïque seul ; l’acide valproïque suivi d’une stimulation des neurones
afférents N, la picrotoxine seul, la picrotoxine suivie d’une stimulation des neurones afférents
N.
Les résultats des enregistrements 2 obtenus au niveau des motoneurones M1 et M2 sont
contenus dans le document 2 figure 2.
N.B : Seuls l’aspartate et le GABA existent naturellement.

2. a) Indique pour chaque synapse la nature du neurotransmetteur.
b) Justifie ta réponse.
3. Formule deux hypothèses dans chacun des cas pour explique, au niveau des
synapses le mode d’action de :
- l’acide valproïque.
- la picrotoxine.
EXERCICE N°3
On sait depuis longtemps que le curare est une substance que les indiens d'Amérique du Sud
utilisent sur les pointes de leurs flèches pour capturer le gibier. Pour comprendre le mode
d'action de cette substance, on réalise les expériences suivantes. Le muscle couturier d’une
grenouille est stimulé par l'intermédiaire de son nerf moteur. Les électrodes reliées à
l'oscillographe sont placées, l'une au contact d'une région de muscle couturier riche en plaques
motrices, l'autre à l'intérieur d'une fibre musculaire de ce même muscle. Les enregistrements
sont réalisés dans un ordre croissant avec les intervalles de temps croissants. On obtient les
courbes 1; 2; 3 et 4 ci-dessous. La courbe 1 a été réalisée avant l'action du curare et les autres
suite à l'application du curare.
1- Faites une analyse comparée des quatre courbes obtenues.
2- Interprétez-les.
3- Déduisez de vos connaissances et des analyse précédentes, le mode d'action du curare.
4- Précisez l'effet du curare sur les muscles des animaux atteints par les flèches.
EXERCICE N°3
Les neurones des cornes antérieures de la moelle épinière reçoivent un grand nombre de
terminaisons axoniques dont certaines sécrètent du GABA (acide gamma amino butyrique).
On réalise à ce niveau le montage expérimental du document 1. On stimule en E3 la
terminaison 3 (stimulation S3), en E4 la terminaison 4 (stimulation S4) et on enregistre les
modifications de la polarisation électrique membranaire au niveau des deux électrodes
internes R3 et R4. Pour chacune de ces deux stimulations, on mesure par ailleurs au niveau
d’une troisième électrode interne R3 placée cette fois au niveau du motoneurone, les
variations de potentiel électrique membranaire entrainées à ce niveau soit par la stimulation S3
soit par la stimulation soit par la stimulation S4. On obtient les deux enregistrements C et D
(voir document 1)
1. a-Les stimulations S3 et S4 ont-elles été efficaces ?

b-Justifiez votre réponse.
2. Interprétez les enregistrements obtenus en R3 en réponse aux deux stimulations S3 et
S4.
3. Quels enregistrements prévoyez-vous au niveau des deux électrodes externes R6 et R’6
l’une posée sur l’axone du neurone et l’autre indifférente en réponse à chacune des
deux stimulations S3 et S4 ? Justifiez votre réponse.
4. Quelle fonction (excitatrice ou inhibitrice) doit-on attribuer au neurone qui possède la
terminaison 3 ? Justifiez votre réponse.
Document 1
Le professeur d'EPS du lycée moderne d'Arrah, decide de sensibiliser les élèves sur les
bienfaits du sport. Il projette une vidéo montrant des athlètes de gymnase en entrainement
dans une sale. Ces athlètes présentent des muscles très contractés et transpirent abondamment.
Interogé sur l'aspect des muscles et la sueur, le professeur leur répond qu'il s'agit de
phénomènes qui accompagnent la contraction musculaire. Les élèves de terminales D
decident alors de determiner ces phénomènes et de donner leur explication.
Document 1
Document 2
Document 1
Document 2
Document 4
Document 3
Document 5
Document 1
Document 2
Document 3
Etat du muscle
Constituants Muscle au repos Muscle en activité
du muscle
O2 utlisé 0,307 l 5,207 l
CO2 produit 0,220 l 5,950 l
Glucose utilisé 0,307 g 8,432 g
Acide lactique produit 1,958 g
Glycogène (en g/kg de muscle frais) 1,08 0,8
ATP(en mmol/kg de muscle frais) 4à6 4à6
Tableau 1
EXERCICE N°1
Les mots et groupes de mots de la liste suivante sont extraits du texte ci-dessous relatif à
l’enregistrement d’une activité musculaire : rotation ; fil ; myogrammes ; démédullée ; nerf ;
stimulateur ; la patte ; stylet ; fumée noire ; le myographe ; une planchette ; muscle
gastrocnémien ; des électrodes excitatrices ; stylet ; signal électrique ; cylindre ; nerf
sciatique ; pinces ; tendon d’Achille ; une grenouille décérébrée ; stylet ; stimulateur
TEXTE :
Pour enregistrer les aspects mécaniques de la contraction musculaire, on utilise un dispositif
expérimental appelé le … (1) …. et …(2)…. et ….(3) ….. fixée sur …(4)… à l’aide de
….(5)... On met à nu le …(6)… et sur ce …(7)… , on place …(8)… reliées au …(9)... . On
met également à nu le…. (10)… de …(11)… puis on sectionne le …(12)… qu’on relie au
…(13)… inscripteur des réponses par l’intermédiaire d’un …(14)… La pointe de ce …(15)…
effleure le …(16)… en …(17)… entouré d’un papier enduit de… (18)…. Le second …(19)…
, celui du …(20)… est relié au …(21)… et sa pointe effleure également le …(22)… en
…(23)… . Lorsqu’on porte une stimulation efficace sur le… (24)… , les réponses du
muscle, enregistrées sont appelées des …(25)…. On peut ajouter à ce dispositif un diapason
qui permet d’enregistrer la durée du myogramme.
Associez chaque mot ou groupe de mots de la liste au numéro du texte qui convient.
NB : des mots ou groupe de mots peuvent être utilisés plus d’une fois.
EXERCICE N°2
Un oscilloscope à double voie a permis sur un muscle gastrocnémien de grenouille les
enregistrements C3 ; C4 ; et C5.
1. Identifie les enregistrements C3 ; C4 ; et C5

2. Justifie votre réponse à partir d’une analyse comparée.
EXERCICE N°3
Au cours du mécanisme de contraction des muscles squelettiques, des chercheurs ont identifié
deux catégories de fibres musculaires A et B ayant des caractéristiques différentes.
- Les fibres B ont une vitesse de contraction plus lente que les fibres A
- Les fibres A et B n’ont pas la même résistance à la fatigue
Pour comprendre les raisons de ces différences, des études ont été réalisées. Les résultats
obtenus ont été consignés dans le tableau ci-dessous.
1) A partir du tableau, expliquez la différence de vitesse entre ces deux catégories de

fibres.
2) a) Précisez celle qui résiste à la fatigue.
b) Justifiez votre réponse.
3) Déduisez la voie prédominante de la production de l’énergie dans chaque catégorie de
fibre.
Le document représente l’électronographie d’un organite présent dans ces fibres.
4) Représentez de façon simplifiée cet organite et annotez-le.
EXERCICE N°4
A l’aide d’un dispositif adapté, l’on enregistre simultanément les phénomènes électriques et
mécaniques du muscle. Pour cela, on porte une stimulation efficace directe sur le muscle par
l’intermédiaire de son nerf moteur. Le document ci-dessous représente les résultats obtenus.
1. Pour enregistrer le potentiel d’action, l’on a utilisé une microélectrode réceptrice.

Précisez la donnée qui le prouve au niveau de l’enregistrement.
2. Justifiez la position du potentiel d’action du muscle par rapport au mécanogramme.
3. a-Déterminez la durée du décalage entre les deux enregistrements T et Z.
b-Expliquez ce décalage entre ces deux enregistrements.
EXERCICE N°5
Pour savoir l’ordre d’utilisation du glycogène, de l’ATP et de la phosphocréatine, molécules
énergétiques intervenant dans la contraction de la fibre musculaire, on dose ces trois types de
molécules dans des muscles isolés de grenouille soumis à une série d’excitations rapprochées.
Les muscles sont placés dans différentes conditions. Le dosage est fait au temps T0, avant
excitation et au temps T1 après plusieurs minutes d’excitations.
Le tableau ci-dessous rassemble les résultats obtenus.
Concentration en mg/g de muscle frais
Condition expérimentale Glycogène ATP Phosphocréatine Réaction du muscle

T0 T1 T0 T1 T0 T1
Expérience 1 Contraction prolongée
Muscle intact 1,62 1,21 2 2 1,5 1,5 pendant toute la durée
de l’excitation
Expérience 2 Contraction soutenue
Muscle traité par l’acide pendant toute la durée
iodo-acétique bloquant la 1,62 1,62 2 2 1,5 0,4 de l’excitation
glycolyse
Expérience 3
Muscle traité par : Contraction rapidement
-l’acide iodo-acétique. 1,62 1,62 2 0 1,5 1,5 interrompue.
-l’inhibiteur de l’enzyme
permettant l’utilisation de
la phosphocréatine
1) Analysez les résultats de chacune de ces expériences.

2) Interprétez chaque réaction en précisant les équations des réactions qui interviennent.
(Partir de l’expérience 3 et finir par l’expérience 1)
3) Dégagez de cette étude, l’ordre d’utilisation de ces molécules énergétiques.
Aux cours d’Éducation Physique et Sportive (EPS), le professeur fait régulièrement la
promotion d’une bonne musculature pour avoir de bonnes performances sportives. Selon lui,
les muscles striés squelettiques sont les organes spécialisés permettant les mouvements d’un
organisme. Des élèves intéressés par le sujet veulent comprendre le fonctionnement du
muscle strié squelettique. Ils décident alors de déterminer sa structure, et d’expliquer le
mécanisme de son fonctionnement.
Document 3
Document 1
Document 2
Document 3
Document 4
EXERCICE N°1
La figure 1 représente l’électronographie d’une fibre musculaire en état de repos.

La figure 2 représente des coupes transversales effectuées à 3 niveaux de la fibre musculaire.
Figure 1 Figure 2
1) Identifiez la portion B de la fibre musculaire.
2) Localisez les structures a, b et c de la figure 2 par rapport aux structures X, Y et Z de la
figure 1.
3) Identifiez les éléments A de la figure 1.
3) Faites une interprétation schématique du document de la figure 1.
EXERCICE II
EXERCICE N°2
Pour comprendre les phénomènes énergétiques de la contraction musculaire, des études ont
été réalisées. Le graphique ci-dessous représente les enregistrements simultanés de l’activité
mécanique d’un muscle et les variations de pH à l’intérieur des fibres de ce muscle.
1) Analysez l’évolution du pH au cours de la contraction musculaire.

2) Expliquez ces variations de pH au cours de la contraction musculaire.
Le dosage de l’ATP avant et après la contraction musculaire montre que sa valeur demeure
constante.
3) Nommez les phénomènes à l’origine de
4) La constance de la teneur de l’ATP.
Un organite joue un rôle important au cours de ce phénomène
5) Nommez cet organite.
6) Schématisez et annotez l’ultrastructure de l’organite.Précisez la ou les voies par
lesquelles se réalise le phénomne au sein de cet organite.
EXERCICE N°3
A l'aide d'un thermocouple et d'un oscilloscope, on peut enregistrer les variations de la
quantité de chaleur produite et le raccourcissement obtenus au cours de la contraction
musculaire. Des mesures très précises réalisées sur un muscle de crapaud maintenu au départ
à 0°C donnent les résultats graphiques du document 1.
1. Analyse les graphes du document 1

2. Explique le délai entre le début de C et le début de R.
3. a-Indique les voies rapides de régénération de l'énergie utilisée au cours du
raccourcissement du muscle.
b-Écris les équations des réactions correspondantes.
Les photos A et B du document 2 ont été utilisées à différents moments des enregistrements
du document 1.
4. Fais un schéma d'interprétation annoté de chacune des photos A et B.
5. A partir du document 1, indique en te justifiant, à quel moments les photographies A
et B (document 2) ont été réalisées.
Les schémas du document 3 résument les phénomènes moléculaires qui accompagnent
l'activité musculaire.
6. a-Nomme les éléments a et b.
b- En utilisant les schémas A, B, C et D du document 3, explique le mécanisme de
cette activité musculaire.
EXERCICE N°4
A l’aide d’un dispositif adapté, l’on enregistre simultanément les phénomènes électriques et
mécaniques du muscle. Pour cela, on porte une stimulation efficace directe sur le muscle par
l’intermédiaire de son nerf moteur. Le document ci-dessous représente les résultats obtenus.
1. Pour enregistrer le potentiel d’action, l’on a utilisé une microélectrode réceptrice.

Précisez la donnée qui le prouve au niveau de l’enregistrement.
2. Justifiez la position du potentiel d’action du muscle par rapport au mécanogramme.
3. a-Déterminez la durée du décalage entre les deux enregistrements T et Z.
b-Expliquez ce décalage entre ces deux enregistrements.
EXERCICE N°5
Les figures a et b du document 1 représentent deux états d’une même fibre musculaire.
1. Analysez les deux états a et b représentés par ces figures.

2. Nommez l’état que chacun d’elle représente.
Dans le cadre des préparatifs de leur exposé sur le cœur, les élèves de la terminale D2 du
Lycée Moderne YEBARTH2 de San-Pedro, ont suivi un documentaire présentant un cœur
isolé de batracien, placé dans un milieu de culture. Ils observent que le cœur du batracien a
continué de battre pendant plusieurs heures. Impressionnés, ces élèves cherchent alors à
expliquer le fonctionnement du cœur et les phénomènes qui l'accompagnent.
Document 1
Document 2
a b c
Document 3
EXPERIENCES RESULTATS
a. Grenouille décérébrée et Il y’a battements cardiaques
demédullée
b. Cœur isolé de grenouille
placé dans du liquide de Ringer Les battements du cœur continuent
c. Destruction du tissu nodal à Arrêt des battements cardiaques
un cœur isolé et perfusé
d. Destruction du nœud sinusal. Contraction simultanée des oreillettes et des ventricules à un
rythme plus lent.
e. Section du faisceau de HIS à Dissociation du rythme auriculo-ventriculaire :
un cœur dénervé. -Rythme normal pour les oreillettes.
-Rythme lent pour les ventricules
Tableau 1
PA d’une cellule du nœud sino- PA d’une cellule musculaire ventriculaire
auriculaire
Document 3
Document 1
B F
B’ E
A F’
D’
Phase auriculaire
SA DA
Phase ventriculaire
SV DV
DG
Document 2
Document 1
EXERCICE N°1
Les tracés du document ci-dessous représentent l'enregistrement simultané de deux
phénomènes liés au fonctionnement du cœur d'un sujet au repos.
1. Identifiez les tracés A et B.

2. a-Indiquez les phénomènes qu'ils traduisent.
b-Nommez le dispositif expérimental permettant d'enregistrer chacun de ces tracés.
3. a-Déterminez la durée d'une révolution cardiaque à partir du document A.
b-Calculez le rythme cardiaque du sujet.
4. Représentez une révolution cardiaque et analyse-la.
5. Établissez en une phrase ou deux, la relation qui peut exister entre les deux
phénomènes représentés par les tracés A et B.
EXERCICE N°2
Lorsqu'on cultive des cellules du tissu cardiaque d'embryon de rat préalablement sélectionnés,
on observe deux types de comportement différents :
- quelques cellules se contractent rythmiquement.
- les autres ne se contractent pas.
Puis les cellules se multiplient. Si par la suite, elles peuvent établir des contacts entre elles,
toutes se contractent ensemble.
1. Précise la nature de ces deux catégories de cellules.

2. Précise si possible, les caractéristiques de ces cellules.
3. Annote et légende le document ci-dessous, en reportant sur votre copie les chiffres
désignant les structures.
EXERCICE II
EXERCICE N°3
différents cœurs de tortues sont isolés et placés dans un liquide physiologique. Ils continuent
de battre. Les cœurs non placés dans le liquide physiologique s’arrêtent de battre quelques
minutes après.
1. Déduisez de cette observation, la caractéristique des battements cardiaques.

2. Précisez l’importance du liquide physiologique.
CŒUR A Destruction des ventricules et Le sinus veineux bat à un rythme
des oreillettes. normal
CŒUR B Destruction du sinus veineux Les battements du cœur s’arrêtent. Les
ventricules reprennent leurs battements
plus tard, mais à un rythme lent.
CŒUR C Destruction des ventricules. Le sinus veineux et les oreillettes
battent à un rythme normal
3. a-Analysez ces résultats.

b-Dégagez les informations qu’ils vous apportent.
EXERCICE N°4
Le schéma du document1 représente la coupe longitudinale du cœur d’un mammifère.
Document 1
1. Représentez puis annotez sur ce schéma le tissu nodal du cœur.

2. Expliquez l’importance de ce tissu dans le cœur.
Des électrodes réceptrices sont implantées à différents niveaux d’un cœur isolé de rat placé
dans un liquide physiologique adéquat. Le cœur continue de battre. A l’aide d’oscilloscopes
électroniques reliés aux électrodes réceptrices, on enregistre les courbes du document 2.
Document 2
1. Nommez ces différentes courbes.

2. Précisez pour chacune des courbes, la structure nodale à laquelle elle se rapporte.
3. Expliquez le décalage suivant l’axe des temps entre ces différentes courbes.
4. Sachant que le cœur n’a pas été excité, déduisez la caractéristique.
Au cours d'une séane de TP, les élèves de la terminale D du lycée moderne d'Adjamé
demédulent et décerebrent une grenouille. Il ouvre ensuite sa cage thoraccique et observe que
le cœur est aussi relié au reste de l'organisme par des nerfs. Surpris, ils décident dedéterminer
le rôle du système nerveux dans l'activité cardiaque.
Document 13 : SCHEMA DE L’INNERVATION CARDIAQUE
Type de cellules Nombre de potentiel d’action
déchargés par minute
A 120
B 50
Tableau 1
Opération initialement Rythme cardiaque

effectuée (en battement /minute)
Rien 120
Desctruction des cellules A 50
Destruction des cellules A et B 0
Tableau 2
EXERCICE N°1
A un cardiographe est fixé un cœur de grenouille muni d’une innervation parasympathique.
On excite ce cœur et on obtientl’enregistrement ci-dessous (document)
Document
1) Analysez cet enregistrement.

2) Nommez le phénomène qu’il met en évidence.
3) Expliquez-le.
EXERCICE N°2
Dans la série d'expérience suivantes, on étudie les contractions cardiaques d'une grenouille
dont les centres nerveux sont détruits.
A-Isolé de l'organisme et placé dans du liquide physiologique, le cœur continue de battre
normalement.
1. Dégage l'intérêt du liquide physiologique.

2. Déduis de cette expérience la particularité physiologique du cœur.
B- Pour étudier les contractions d'un cœur de grenouille en place dans l'organisme, on utilise
le montage montré par le document 1.
1. a-Nomme ce montage.
b-A chacun des numéros de ce montage, fais correspondre le nom qui convient.
c-Indique le sens de rotation du cylindre.
d-Explique son principe de fonctionnement.
2. Le document 2 représente le cardiogramme obtenu.
a-Évalue à partir de ce cardiogramme la durée en seconde d'une révolution cardiaque
ainsi que celle de la fréquence cardiaque en cycle/mn.
b-Reproduis soigneusement une révolution cardiaque et analyse-la.
EXERCICE N°3
On veut comprendre le mécanisme d’action de la variation de la pression artérielle sur la
fréquence cardiaque et la puissance des contractions cardiaques. Pour cela on enregistre, dans
des conditions de pression artérielle faible ou élevée les potentiels d’action des nerfs
cardiaques orthosympathiques, parasympathiques puis ceux des nerfs de Hering et de Cyon.
Les résultats sont représentés par le document ci-dessous.
Pression artérielle Hypotension Tension normale Hypertension
(en mm de Hg)
120
80
Message nerveux
vers le bulbe
rachidien
Nerf de Héring
Message nerveux
vers le bulbe
rachidien
Nerf de Cyon
Message nerveux
vers le cœur
Nerf X
Message nerveux
vers le cœur et les
artérioles
Nerf
parasympathique
Fréquence Accélérée Normale Ralentie
cardiaque
Puissance des
contractions Augmentée Normale Diminuée
cardiaques
1. Relevez à partir du document les résultats obtenus dans le cas d’une diminution de la
pression artérielle puis ceux obtenus dans le cas d’une augmentation de cette pression.
2. Expliquez alors, à partir de ces observations et de vos connaissances, les mécanismes

par lesquels ces phénomènes permettent à l’organisme de maintenir la pression
artérielle constante et normale.
Koffi est un élève en classe de terminale D au Lycée Moderne de Marcory. A chaque fois
qu'il consomme beaucoup d'eau, il remarque qu'il pisse abondamment. Intrigué par
cette remarque, il approche son professeur des SVT, pour en savoir davantage. Celui -ci
lui répond que c'est le rein qui crée cette abondance d'urine. Pour mieux comprendre la
formation de l'urine, Koffi décide de connaitre la structure du rein et d'identifier ses
fonctions.
Document 1
Document 2
Concentration dans Concentration dans
Principaux constituants le plasma l’urine définitive
en g.l-1 en g.l-1
Na+ 3,2 3à6
K+ 0,2 2à3
Ca2+ 0,1 0,1 à 0,3
Substances SO2-4 0,02 2
minérales HPO42- et H2PO4- 0,04 2
HCO3- 1,6 0 à 0,2
Cl- 3,6 6à8
NH4 (ammoniaque) 0 1à4
Protéines 60 à 80 0
Substances Acides aminés 0,05 à 0,1 0
organiques Lipides 4à8 0
Glucoses 1 0
Déchets Urée 0,3 20
Créatine 0,01 à 0,03 0,8 à 2
Acide urique 0,03 à 0,06 0,6
Acide hippurique 0 0,5
Document 01 : Tableau comparatif des constituants du plasma, et de l’urine definitive
Concentration Concentration Concentration

Principaux constituants dans le plasma dans l’urine dans l’urine
en g.l-1 primitive définitive
en g.l-1 en g.l-1
Na+ 3,2 3,2 3à6
K+ 0,2 0,2 2à3
Ca2+ 0,1 0,1 0,1 à 0,3
Substances SO2-4 0,02 0,02 2
minérales HPO42- et H2PO4- 0,04 0,04 2
HCO3- 1,6 1,6 0 à 0,2
Cl- 3,6 3,6 6à8
NH4 (ammoniaque) 0 0 1à4
Protéines 60 à 80 0 0
Substances Acides aminés 0,05 à 0,1 0,05 à 0,1 0
organiques Lipides 4à8 0 0
Glucoses 1 1 0
Déchets Urée 0,3 0,3 20
Créatine 0,01 à 0,03 0,01 à 0,03 0,8 à 2
Acide urique 0,03 à 0,06 0,03 à 0,06 0,6
Acide hippurique 0 0 0,5
Document 02 : Tableau comparatif des constituants du plasma, de l’urine primitive et de

l’urine definitive
Document 1
Document 2
EXERCICE N°1 EXERCICE I

Le schama ci-dessous est relatif à la structure du rein.
1. Annotez-le en utilisant les numéros.
2. Légendez-le.
EXERCICE N°2
Les noms de la liste suivante sont relatifs au schéma ci-dessous : tube contourné distal, tube
collecteur, capsule de Bowman, tube contourné proximal.
Associez chaque numéro au nom de la liste qui convient.
EXERCICE N°3
Le schéma ci-dessous résume de façon simplifiée un constituant fondamentale du rein des
mammifères. Chaque rein en contient environ 106.
Le schéma ci-dessous résume de façon simplifiée un constituant fondamentale du rein des

mammifères. Chaque rein en contient environ 106.
1. Identifiez ce constituant fondamental du rein des mammifères.

2. Nommez les structures désignées par les numéros 1 à 9.
3. Nommez les liquides 10 ; 11 et 12.
EXERCICE N°4
Le tableau ci-dessous donne la concentration de quelques constituants de 3 liquides : le
plasma sanguin, l'urine primitive et l'urine définitive.
Substances (g/l) Na+ Cl- Protéines Urée Glucose NH4+

Plasma 3,3 3,6 80 0,3 1 0
Urine primitive 3,2 3,6 0 0,3 1 0
Urine définitive 3à6 3à6 0 20 0 1à3
1. Comparez :
a-La composition du plasma et de l'urine primitive
b-La composition de l'urine primitive et de l'urine définitive
2. Propose une conclusion.
EXERCICE N°5
Voici les résultats d’analyses réalisées chez un sujet physiologiquement normal.
Concentration (en g.l-1) Plasma Urine primitive Urine définitive

Na+ 3,2 3,2 3à6
K+ 0 ,2 0,2 2à3
Protéines 60-80 0 0
Glucose 1 1 0
Urée 0,3 0,3 20
Quantité d’eau par 24 h (les deux reins) 170 l 1,5 l
1. a. Définissez l’urine primitive.

b. Dites où et comment se forme l’urine primitive.
2. a. Comparez la composition de l’urine définitive, à celle de l’urine primitive.
b. Trouvez-vous une différence ?
c. Si oui, donnez les raisons de cette différence.
3. Indiquez le fonctionnement du néphron vis-à vis des substances citées.
4. Faites le schéma annoté du néphron.
EXERCICE N°6
Afin d’étudier le rôle du rein au sein de l’organisme, on a mesuré, chez trois individus A, B et
C, la composition en gramme par litre de leur urine, de leur sang et de leur plasma.
Le tableau ci-dessous synthétise ces résultats :
Sujets Na Cl Glucose Protéines Urée

Plasma Urine Plasma Urine Plasma Urine Plasma Urine
A 7 10 1,9 2 70 0 0,3 20
B 7 10 1 0 70 0 0,3 20
C 7 10 1 0 60 1,5 0,3 20
1- Parmi ces trois sujets, indiquer le seul qui n’est pas malade. Justifier ce choix.
2- A partir de l’analyse des résultats obtenus chez ce sujet normal, préciser le
comportement du rein vis-à-vis de certaines substances.
3- Identifier, en justifiant la réponse, les sujets malades.
4- Expliquer les résultats obtenus chez les sujets malades.
Sylla est élève en classe de teminale D au Lycée moderne de Kolia. Depuis 6 mois, il souffre
d'une maladie quelconque. Vu l'urgence, son père le conduit au CHU de BOUAKE où il
effectue des examens. Les résulats des analyses revélent une anomalie au niveau de la
quantité d'eau et de sodium dans le sang. Le medecin infome son père que les reins ne
fonctionnent plus. Pour mieux comprendre le rôle du rein dans le maintien du milieu interieur,
il convient d'expliquer la régulation de l'eau et du sodium par les reins et par d'autres organes.
Expérience 1
On fait ingérer 250 ml d'eau à un chien ce qui le place dans un état de surcharge hydrique et
on mesure l'évolution de sa diurèse. Les résultats sont traduits en graphe ci-dessous.
Expérience 2
Une heure après l'ingestion de 250 ml d'eau à un chien, on lui injecte 20 ml d'une solution de
NaCl à 20 ‰ dans une artère carotide et on mesure l'évolution de sa diurèse. Les résultats sont
traduits en graphe ci-dessous.
Document 1
Document 2
document 1
Doucment 2
Texte
L’équilibre acido-basique de l’organisme est essentiel à la vie. De multiples réactions
enzymatiques sont dépendantes du maintien dans une étroite limite du pH des milieux extra et
intracellulaire… tout ce qui constitue l’être vivant est extrêmement sensible à la moindre
variation de pH. Ceci explique l’importance d’une régulation étroite du pH sanguin : entre
7,35 et 7,45 (limites compatibles avec la vie : 6.8 – 7.8).
Il existe trois niveaux de maintien du pH sanguin permettant de répondre plus ou moins
rapidement à une brusque variation du pH :
-Les systèmes tampon (permanents, instantanés, mais limités).
-Deux systèmes de régulation.
Le système respiratoire (rapide).
Le système rénal (le plus lent).
Extrait de : https://docplayer.fr/39702234-Controle-du-ph-du-sang.html (mercredi 10/10/18 à15H)
EXERCICE N°1
Diverses experiences permettent de reconstituer la boucle de régulation de la pression
osmotique du plasma par la valeur de la diurese (voir document).
1. Annote le document avec soin.

2. Précise les grands phénomenes au niveau des rectangles. (ne considerer que les
chiffres)
EXERCICE N°2
On mesure le taux plasmatique d’hormone antidiurétique (ADH) avant et après une
hémorragie. Les résultats sont exprimés par le graphique ci-dessous.
1) Identifie :
b. L’organe qui synthétise l’ADH
c. L’organe qui sécrète l’ADH.
2) Analyse ce graphique.
3) Explique la fluctuation du taux d’ADH.
EXERCICE N°3
A. On perfuse les corticosurrénales d’un certain nombre de moutons par voie intra vasculaire
à l’aide d’une solution isotonique au plasma dont on fait varier la teneur en sodium. Les
variations du débit de la sécrétion d’aldostérone sont données par la figure 1.
Fig. 2
1. Analyse ce graphique.
2. Déduis-en les conditions de sécrétion de l’aldostérone.
B. On réalise les expériences suivantes.
Expérience 1 :
Du sang prélevé chez un mouton A en état d’hypersécrétion d’aldostérone, est perfusé à
travers les surrénales isolées d’un mouton B. Les surrénales du mouton B augmente leur
sécrétion d’aldostérone.
3. Interprétez ce résultat
Expérience 2
Un mouton est mis en état d’hypersécrétion d’aldostérone. On pratique l’ablation des reins
suivie d’une injection d’extraits de reins. La figure 2 représente les variations des sécrétions
d’aldostérone.
4. Analyse ce graphique.
5. Fais une interprétation quant à l’effet de l’ablation et de l’injection d’extraits des reins.
EXERCICE N°4
Le foie est un organe très important dans l’homéostasie. Le schéma ci-dessous représente cet
organe et les vaisseaux sanguins qui l’irriguent.
Document 1
On détermine chez deux chiens A et B, le taux de glycogène dans le sang. Le chien A est
soumis à un jeûne. On donne au chien B une nourriture riche en glucides. Quelques heures
après, on détermine les taux de glucose dans les veines porte-hépatique et sus-hépatique ainsi
que les taux de glycogène hépatique chez les 2 chiens. Les résultats obtenus sont regroupés
dans les documents 2 et 3.
GLYCEMIE Dans la veine Dans la veine

porte- hépatique sus- hépatique
CHIENS
A 0,70 g/l 1 g/l
B 2,1 g/l 1 g/l
Document 2
GLYCOGENE Avant le traitement Après le traitement

du chien du chien
CHIENS
A 51 g/ kg de foie 36,8 g/ kg de foie
B 49 g/ kg de foie 61 g/ kg de foie
Document 3
1) Définis les expressions Homéostasie ; milieu intérieur ; glycémie

2) Analyse conjointement les deux tableaux des documents 2 et 3.
3) Explique chez les deux chiens, l’évolution du glucose, de la veine porte-hépatique à la
veine sus-hépatique.
4) Déduis la fonction du foie mise en évidence.
5) On constate que l’ablation du pancréas supprime cette fonction du foie. Explique.
Koré, élève en classe de terminale habite une cour commune à Abobo. Dans le mois de
Février passé, deux enfants (Amon et Fatou) de cette cour ont été atteints de varicelle. Amon
guérit sans traitement alors que Fatou guérit après plusieurs traitements médicaux. Koré
raconte ces faits à ses camarades de classe. Étonnés, ceux-ci décident de déterminer les
différents moyens de l'organisme, pour lutter contre les maladies et de comprendre leur
mécanisme.
Document 1
Document 3
Document 2
Neutralisation de l’Ag Destruction des complexes Ac- Ag Destruction des complexes Ac-Ag
(Formation de complexes immuns) par phagocytose par le complément
Document 4
Document 1
Document 2
PHASES REPONSE IMMUNITAIRE A REPONSE IMMUNITAIRE A
MEDIATION HUMORALE MEDIATION CELLULAIRE
(RIMH) (RIMC)
INDUCTION Présentation par le macrophage d’un Présentation par le macrophage d’un
déterminant antigénique associé aux déterminant antigénique associé aux
molécules CMH molécules CMH
Reconnaissance par les lymphocytes Reconnaissance du déterminant
B (LB) dont les anticorps antigénique et du CMH par les
membranaires sont spécifiques lymphocytes T(LT) dont les
(compatibles) du déterminant récepteurs membranaires sont
antigénique par formation de spécifiques (compatibles) du
complexes immuns déterminant antigénique.
Les lymphocytes T auxiliaires (LTa Les lymphocytes T4 sensibilisés par
ou T4 ou T helpers) sensibilisés par l’antigène sécrètent des interleukines
le même antigène sécrètent des (TCGF) qui induisent l’activation et
interleukines (BCGF) qui activent la prolifération des LT sélectionnés
les LB sélectionnés qui se donnant un clone de LT
multiplient pour donner un clone de spécifiques.
LB spécifiques
Stimulés par les LT4 sécrétant Stimulés par les LT4 sécrétant
AMPLIFICATION d’autres interleukines (BCDF), les d’autres interleukines (TCDF), les
lymphocytes B du clone se lymphocytes T du clone se
différentient en : différentient en :
❖ Plasmocytes qui sécrètent ❖ LT cytotoxiques ou
des anticorps spécifiques de cytolytiques (LTc ou LT8)
l’antigène. ❖ LT mémoires
❖ Lymphocytes B mémoires ❖ LT effecteurs (sécréteurs
sui conservent leur aspect d’interleukines)
initial ❖ Suppresseurs (LTs)
Les anticorps spécifiques sécrétés Les LTc par contact direct libèrent
neutralisent en formant des par exocytose des perforines qui
complexes anticorps-antigènes ou perforent la membrane et entraine
EFFECTRICE complexes immuns détruits par une lyse de la cellule cible
phagocytose ou par les molécules (l’antigène) par choc osmotique (cas
enzymatiques du complément d’une cellule cancéreuse ou infectée
(soi modifié) ou d’une cellule
étrangère dans une allogreffe).
Les réponses immunitaires acquises :

les deux voies de la réponse immunitaire acquise comportent trois phases essentielles :
➢ Identification de l'antigène : elle fait intervenir un macrophage qui décape l'antigène et

présente les déterminants antigéniques aux lymphocytes T et B.
➢ Activation et différenciation : sous contrôle de lymphocyte T auxiliaires (Th), certains
lymphocytes B et T sont stimulés. Ils se multiplient et se différencient :
- Les L.B activés conduisent à des plasmocytes et des L.B. mémoires.
- Les L.T activés conduisent à des L.T cytotoxiques, T effecteurs et T mémoires.
➢ Phase effectrice : les plasmocytes libèrent des anticorps. Les T cytotoxiques détruisent
les cellules transgenres ou infectées ; les T effecteurs libèrent des lymphokines
stimulant les macrophages. Les réactions s'arrêtent sous l'action des T suppresseurs.
Les lymphocytes T et B mémoires permettent une réponse puissante et rapide lors
d'une nouvelle rencontre avec l'antigène.
✓ Les LT suppresseurs arrêtent les réactions immunitaires quand l’antigène est
supprimé.
✓ Les LB et LT mémoires formés au cours du 1er contact avec l’antigène sont
sensibilisés et sont responsables de réactions secondaires rapides et efficaces.
✓ Les LB seuls ne peuvent pas produire beaucoup d’anticorps. En effet, leur
activation et leur différenciation en plasmocytes sécréteurs d’anticorps
nécessitent l’intervention des LTa (LT4) : cette collaboration entre LB et LT4
est appelée coopération cellulaire
Document 1 : les organes lymphoides
Document 2
EXERCICE N°1
Les figures ci-dessous du document représentent les étapes d’un phénomène qui intervient
dans la défense de l’organisme.
1) Nomme ce phénomène.
2) Rétablis l’ordre en le justifiant.
EXERCICE N°2
Dans les cas mortels d’hépatite B, il se produit une nécrose massive du foie. Afin de
comprendre le mécanisme de cette importante destruction des cellules hépatiques infectées
par le virus, on réalise les expériences suivantes : Un virus A est injecté à des souris de lignée
X. Sept jours plus tard, on prélève dans la rate de ces souris, des lymphocytes T et on les
ajoute à trois lots de culture de fibroblastes (cellules du tissu conjonctif). Le document 2
précise les conditions expérimentales ainsi que les résultats obtenus.
1) Analyse les résultats des expériences.

2) Interprète les résultats obtenus.
3) Déduis de ces expériences les conditions de la lyse des cellules infectées.
4) Donne une explication simplifiée à la nécrose de foie dans les conditions mortelles
d’hépatite B.
EXERCICE N°3
L'organisme dispose d'un ensemble de mécanisme qui lui permettent de se protéger contre
tout corps étranger. La photographie ci-dessous illustre certaines étapes de la neutralisation
d'une bactérie.
1. Annote cette photographie en identifiant la cellule X et les éléments A et B.
2. Nomme la phase correspondant à la présence de la structure A, puis explique
brièvement le déroulement de cette phase.
3. Nomme la phase correspondant à la présence de la structure B, puis explique
brièvement le déroulement de cette phase.
4. En déduire le mécanisme de la défense immunitaire mise en évidence.
EXERCICE N°4
On injecte à un lapin A0 de l’anatoxine tétanique. Au bout de 15 jours, on prélève du sang sur
ce lapin devenu A1. A ce sérum, on ajoute une solution aqueuse d’anatoxine et on constate un
précipité (voir document ci-dessous)
1) Interprète le résultat de cette expérience.

2) Nomme avec précision la nature de la réaction obtenue.
3) Précise la propriété que l’anatoxine tétanique a conservée.
4) On injecte au lapin A1 une dose mortelle de toxine tétanique fraîche.
a) Déduis sa réaction.
b) Justifie votre réponse.
EXERCICE N°6
Des travaux sur la transplantation de la peau entre souris de souches différents (souche A et
souche B) ont permis de montrer les résultats contenus dans le document ci-dessous.
1) a-Analyse chacune des expériences.
b-Fais-en des déductions.
2) a-Nomme les types d’immunité dont il s’agit.
b-Indique le rôle de lymphocytes dans ce cas.
EXERCICE N°7
Quatre souris A, B, C et D thymectomisées (ablation du thymus) à la naissance puis irradiées
(destruction des cellules à multiplication rapide notamment celles de la moelle osseuse)
reçoivent des injections de globules rouges de mouton (GRM). Quelques jours après on
recherche dans leur sérum des anticorps anti-GRM. Le tableau ci-dessous résume les résultats
obtenus.
Souris A B C D
Traitements reçus Injection d’extraits Injection d’extraits de moelle Injection d’extraits de

Aucun de thymus osseuse et de thymus moelle osseuse
Présence d’anticorps Non Non Oui Non
1. a) Définis le terme immunocompétence

b) Précise le rôle du thymus et de la moelle osseuse
2. Que représentent les GRM pour les souris ?
3. Explique chaque résultat.
EXERCICE N°8
Le document ci-dessous récapitule, sous forme humouritique, certains aspects de la défense
immunitaire. Lorsqu'un antigène pénètre dans l'organisme, Il déclenche chez ce dernier des
réactions complexes qui font intervenir les principaux « acteurs » de la réponse immunitaire,
aboutissant souvent à la synthèse d'anticoprs.
1. Définis les termes "antigène" et "anticorps".
2. Regroupe à partir du document, tous les acteurs de la réponse immunitaire selon qu'ils
interviennent :
a-Dans une réponse immunitaire spécifique ou non spécifique.
b-Dans une réponse humorale ou cellulaire.
3. Établis les relations possibles entre le macrophage, lymphocyte B et plasmocytes.
4. Indique le type de réponse immunitaire illustré par ce document. Justifie ta réponse.
5. Explique, en une ou deux phrases, le mécanisme de « destruction » de l'antigène par la
cellule tueuse.
6. Des expériences ont montré que cette activité des lymphocytes T n'existe pas chez les
individus dépourvus de thymus. Déduis de ce constat le rôle du thymus.
7. L'observation attentive du document révèle une interaction cellulaire.
a-Nomme-la.
b-Précise, en une phrase, son importance.
8. Réalise, à partir du document et de vos connaissances, un schéma de synthèse
illustrant cette interaction dans la neutralisation de l'antigène au moyen d'anticorps.
Dans le cadre de ses activités, le club scientifique du Lycée Municipal, projette un film qui
présente des individus infectés par le VIH. Ils sont très amaigris, sans défense. Ils présentent
également de gros boutons sur tout le corps, font la diarrhée, possèdent un faible taux de
lymphocyte T4. Effrayés par l'état de santé du malade atteint du VIH, ces élèves décident de
décrire le VIH, d’expliquer le mécanisme de l’infection du lymphocyte T4 par le VIH et de
dégager les conséquences de cette infection.
0 : aucun symptôme
1 : infection aigue (fatigue,
. fièvre, céphalées et
. parfois éruptions cutanées
2 : gonflement des ganglions
3 et 4 : mauvais fonctionnement du
. système immunitaire décelable
. par des tests d’hypersensibilité
. retardée
5 : signes cliniques du . . .
. disfonctionnement du système
. immunitaire au niveau de la .
. peau et des muqueuses . .
. (muguet, herpès… )
6 : déficiences totale avec . .
. maladies opportunistes très .
. graves
EXERCICE N°1
Le document 1 ci-dessous est une représentation schématique de l’agent responsable du
SIDA.
1. Nomme cet agent.

2. Dis ce que signifie ce sigle et celui du SIDA.
Le schéma du document 2 montre les étapes de l’infection d’une cellule-cible par l’agent du
SIDA.
3. a- Nomme les cellules immunitaires qui sont les cibles du VIH. Justifiez
b- Annote ce document en utilisant les chiffres correspondant.
L’infection par le VIH déclenche une réaction immunitaire de l’organisme infecté par la
synthèse d’anticorps-antiVIH. L’on mesure par des méthodes appropriées, l’évolution des
quantités de VIH et d’anticorps chez un sujet séropositif au cours du temps. Les résultats ont
permis de construire les graphes du document 3.
4. Définis un anticorps ; un sujet séropositif
5. Explique l’évolution de la quantité de VIH et de la production d’anticorps anti-VIH.
Document 1
EXERCICE N°2
Un enfant de onze mois est admis à l'hôpital. Le diagnostic des médecins révèle qu'il souffre
d'une infection broncho-pulmonaire et d'une diarrhée persistante. Sa bouche est envahie de
plaques blanches caractéristiques d'un muguet (champignons pathogènes). Les traitements
antibiotiques administrés n'ont eu aucun effet. Jusqu'à l'âge de trois mois, l'enfant s'est
développé sans problème. L'analyse de son sang révèle un déficit immunitaire congénitale en
lymphocyte T « auxiliaire » (LTa) et l'absence d'anticorps contre le VIH. La diarrhée dont
l'enfant souffre est due à une bactérie de type salmonelle rencontrée dans les aliments avariés.
1. Nomme les maladies dont souffre l'enfant.

2. Détermine la cause de ses ennuis de santé.
3. Explique l'apparition des problèmes de santé chez l'enfant trois mois après sa
naissance et non plutôt.
4. Dis si la maladie diagnostiquée est un cas de SIDA.
5. Justifie ta réponse
6. En supposant que l'organisme de l'enfant est normal, explique par un schéma l'action
du lymphocyte auxiliaire dans la neutralisation de l'agent responsable de la diarrhée au
moyen d'anticorps.
EXERCICE N°3
Les malades atteints du SIDA développent un certain nombre de cancers. L’expérience du
document 1 montre comment un organisme sain se défend contre les cellules tumorales : on
sensibilise une souris à des cellules tumorales étrangères, puis on teste d’une part le sérum de
cet animal, et d’autre part des lymphocytes T prélevés dans la rate de l’animal.
De plus l’observation au microscope électronique du milieu 1 aux temps t1 et t2 montre des

associations cellulaires (voir document 2).
Document 1
Document 3
Document 3
1) a - Analyse ces données expérimentales.

b -Précise le type d’immunité développé contre les cellules cancéreuses.
c -Comment expliques-tu alors la fréquence importante de cancer chez les malades du
SIDA ?
2) Explique l’idée selon laquelle, l’injection massive d’une molécule (CD4 ou T4)
pourrait être envisagée comme traitement du SIDA.
Des analyses pointues ont permis de faire la représentation schématique des étapes A ; B ;
C et D de l’évolution du VIH dans une cellule infectée comme le montre le document 3.
3) a – Identifie chacune des étapes

b – Fais correspondre aux phases symptomatiques, les étapes A ; B ;
C et D du schéma.
Des molécules capables de bloquer ou de freiner la prolifération du VIH ont été découvertes.
Il s’agit de :
-l’AZT (azidothymidine) un antirétrotranscriptase.
-Un anticorps empêchant la reconnaissance du CD4
-Des interférons anti-ARN viraux.
4) Indique à quel niveau, chacune des molécules est susceptible d’agir.
Konan et ses acamarades, élèves en classe de terminale D au lycée moderne d''Angré
regardent un documentaire sur une chaine de la télévision nationale. Ce film présente 2 singes
qui s'accouplent. Quelques mois plus tard la femelle donne naissance à un petit singe qui
ressemble à ses parents. Pour en savoir plus sur la formation de ce nouvel individu, les élèves
décident de décrire les étapes de la fécondation et l’évolution de la cellule-œuf.
Document 1
Document 2
Document 3
Document 1
1 2
3 4
Document 2
EXERCICE N°1
On se propose d’étudier le devenir de l’œuf de la fécondation à la nidation chez l’espèce
humaine.
La figure 1 du document représente une coupe partielle de l’appareil génital féminin.
La figure 2 indique dans le désordre, le détail de ce qui se passe depuis l’ovulation jusqu’à la
nidation.
1) a- A chacune des lettres de la figure 1, faites correspondre un des numéros de la figure 2

en respectant l’ordre chronologique des événements.
b- Justifiez votre réponse.
2) Précisez le nombre de chromosomes des cellules A, B, C, D, E, F, G, H.
3) L’un des schémas de la figure 1 représente un blastocyste et un autre une morula. Quelles
différences faites-vous entre ces deux structures.
EXERCICE N°2
Les figures A, B, C et D sont des formations qu’on a observées dans les oviductes d’une
souris femelle. Elles représentent deux phénomènes.
1) Identifiez ces deux phénomènes.

2) Ordonnez les figures dans l’ordre de l’évolution normale des deux phénomènes.
3) Annotez-les suivants les chiffres portés sur les figures.
4) Donnez une légende à chacune d’elles.
EXERCICE N°3
A/Le microscope électronique a permis de mettre en évidence quelques étapes de la

fécondation représentées au niveau du document 1.
1. Nommez les structures désignées par les flèches en relevant les chiffres
correspondants.
2. Indiquez les évènements illustrés par les figures 1 et 2 du document 1.
B/ Grâce à la microscopie électronique à transmission, on a pu montrer le détail de l’élément

M du document 1 dont la coupe longitudinale est interprétée dans le document 2.
1. Montrez qu’il s’agit bien d’une électronographie.
2. Nommez les éléments X, Y et Z.
3. Quelle relation existe-t-il entre les éléments Y et Z.
4. Reproduisez l’élément Y et annotez-le.
C/ On a réussi à mesurer d’importants phénomènes ioniques consécutifs à l’entrée d’un

spermatozoïde dans un ovule. Le graphe du document 3 exprime les phénomènes mesurés. On
a montré que :
- Le calcium provient du réticulum lisse de l’ovocyte ;

- Le sodium vient du milieu extraovocytaire ;
- Le passage d’un ion Na+ est compensé par le passage en sens inverse d’un ion H+ ;
- L’injection d’ions calcium dans un ovocyte immature provoque la dégranulation
(libération du contenu des granules corticaux).
1. Analysez ce graphe.
2. Interprétez les résultats de votre analyse.
3. Quel phénomène toutes ces réactions évoquent-elles ?
Document 1
Depuis trois mois Aicha, élève en classe de terminale D ne voit pas ces menstrues. Elle se fait
consulter par un gynélogue qui lui prescrit des médicaments. Après le traitement, ses
menstrues apparaissent régulièrement. Etonnée, elle retourne voir son gynécologue pour en
savoir d'avantage. Il l’informe que les médicaments prescrits ont contribué à la régulation de
ses organes sexuels. Elle décide alors de décrire les cycles sexuels de la femme, expliquer la
régulation du fonctionnement des organes sexuels et le mode d’action de la pilule
contraceptive.
Document 1 : Cycle de la glaire cervicale
Document 2: Taux chez la femelle ovariectomisée
Document 3: Taux chez la femelle ovariectomisée et

chez qui on a fait un implant d'oestradiol, puis une
injection d'oestradiol.
Homme adulte Femme adulte
-Atrophie des cellules - Atrophie des ovaires
Ablation de l’hypophyse interstitielles. -Arrêt du cycle ovarien
-Absence de spermatogénèse
Greffe d’hypophyse ou -Croissance des cellules - Croissance des ovaires
injection d’extraits interstitielles. - Reprise de l’activité ovarienne
hypophysaires à un sujet -Reprise de la spermatogénèse
hypophysectomisé
Tableau 1 : Mise en évidence du rôle de l’antéhypophyse
ROLES
Chez l’homme Chez la femme
- Active la spermatogénèse dans les - Stimule la croissance et la maturation des
tubes séminifères- Stimule la sécrétion follicules.
FSH d’inhibine - Favorise la production d’œstrogènes.
LH -Stimule la sécrétion de testostérone par -Son pic déclenche l’ovulation
les cellules interstitielles - Formation et développement du C.J
Tableau 2 : Rôle des gonadostimulines hypophysaires
Document 1
Document 2
Document 1
Document 2
Document 3
Document 3
Document 3
EXERCICE N°1
1. Quel est le determinisme de l'ovolution?

2. Quel est le determinisme de la menstraution?
3. On injecte de la LH radioactive à un rat adulte : localise précisement le lieu de la
fixation de la radioactivité.
EXERCICE N°2
Les items suivants comportent chacun une ou plusieurs réponses correctes. Releve le numéro
de chaque item et indique devant chacun la (ou les) lettres(s) correspondant à la (ou aux)
reponses(s) correcte(s)
1. Parmi les cellules de la paroi du tube seminifère, celle qui sont diploïdes sont:
a-Les spematogonies
b-Les cellules de Sertoli
c-Les spermatocyte I
d-Les spoermatides.
2. Les caractères cytologiques du spermatozoide qui lui permettent de féconder le gamète

femelle sont:
a. L'existence de flagelle.
b. Sa forme hydrodynamique.
c. Son cytoplasme riche en réserve nutritive.
d. La présence d'un acrosome dans sa tête.
3. La testostérone est une hormone sexuelle :

a. Secretée par les tubes séminifères.
b. Dont le secretion est commandée par la LH.
c. Agissant uniquement sur les tubes séminifères.
d. Responsable de l'apparition des caractères sexuels secondaires.
4. La geffe d'un organe de testicule sous la peau d'un mâle castré :

a. corrige la stérilité.
b. Restaure ses caractères sexuels secondaires.
c. Provoque la baisse des sécretions hypophysaires de FSH et de LH
d. Provoque les mêmes effets que les injections d'extraits testiculaires.
5. Chez un rat adulte, on enlève l'hypophyse puis on la greffe à un endroit quelconque

sur ce même animal :
a. L'hypophyse greffée de cette manière continue à secréter des
gonadostimulines.
b. L'hypophyse greffée de cette manière cesse de secreter des gonadostimulines.
c. L'hypophyse greffée peut secreter des FSH et LH si on injecte des extraits
hypothalamiques.
d. Un lien anatomique entre l'hypophyse greffée et l'hypothalamus semble utile
pour qu'il y ait des secretions de gonadostimulines.
6. Le recontrôle testiculaire par la testosterone:

a. Permet le maintien du taux sanguin de la testostérone à une valeur constante.
b. Peut être positif ou négatif selon le taux de testostérone dans le sang.
c. Est le contrôle de l'activité testiculaire par l'axe hypothalamo-hypophysaire.
d. Est un retrocontrole négatif.
7. Chez l'homme une stérilité d'origine hypophysaire due à une lésion de l'hypophyse est
corrigée par des injections :
a. De testostérone.
b. De FSH + LH
c. De GnRH
d. D'inhibine.
8. Parmi les effets physiologiques rapportés dans la liste suivante, quels sont ceux qui
sont déclenchés par la secretion de progestérones chez la femme.
a. Developpement des caractères sexuels secondaires feminins à la puberté.
b. Déclenchement directe de l'ovulation.
c. Formation de la dentelle utérine.
d. Maintien de la gestation.
9. Parmi les tissus suivants, quels sont ceux impliqués dans la secretion de l'oestradiol ?
a. Thèque interne du follicule
b. Cellule de la granulosa
c. Cellules lutéales
d. Cellules de l'endomètre.
10. L'élévation brutale de la concentration plasmatique de LH est l'événement majeur du

cycle ovarien. cette augmentation est due dans les heures qui précèdent l'ovulation :
a. À une diminution de la secretion d'oestradiol.
b. À une augmentation de la secretion d'oestradiol.
c. À une diminution de la secretion de GnRH.
d. À une augmentation de la secretion de GnRH.
EXERCICE N°3
Le document ci-dessous résume l’ensemble des phénomènes qui se déroulent chez la femme
depuis la puberté jusqu’à la ménopause.
1. Annotez ce document en utilisant les chiffres qui y sont portés.

2. Au cours du cycle sexuel chez la femme les organes A, B et C interviennent.
a. Précisez l’action de l’organe A sur l’organe B, puis de l’organe B sur l’organe C
pendant la phase folliculaire.
b. Précisez l’action de l’organe A sur l’organe B, puis de l’organe B sur l’organe C
pendant la phase lutéinique.
c. Au 28ème jour du cycle, que se passe-t-il en A, B et C :
- En cas de non fécondation.
- En cas de fécondation.
EXERCICE N°4
Le document ci-dessous, les effets sur les sécrétions hormonales de la prise quotidienne de
pilules.
1) Définissez « pilule contraceptive"

2) a) Analysez ces graphiques.
b) En déduire les organes sur lesquelles la prise de pilule semble avoir un effet.
c) Indiquez l’effet des pilules sur ces organes.
3) A partir de ce qui précède, expliquez le mode d’action des pilules.
4) Citez un autre niveau d’action de la pilule contraceptive.
EXERCICE N°5
Chez la femme, les possibilités d'avoir un enfant sont limitées à une période de la vie qui
s'étend de la puberté(vers 11-13 ans) à la menopause (vers 45-50 ans). Cette dernière se
manifeste par des modifictions physiologiques parmi lesquelles on se propose d'étudier celles
qui concernent l'activité ovarienne.
Les femmes, en déhors des périodes de grossesse, ont des ovulations cycliques et
menstruations qui, au dela de 50 ans disparaissent. Les documents 1 et 2 présentent des

dosages d'hormones ovariennes réalisés quotidiennement pendant une durée de 28 jours, chez
deux groupes de femmes. Les unes agées de 25 ans et les autres agées de 50 ans. Des coupes
d'ovaires effectuées chez des femmes de 50 ans ne présentent aucun follicule mûr ou de De
Graaf. Les follicules primaires sont dégénérescents, l'ovaire est envahi par des tissus
conjonctifs.
SITUATION D'APPRENSTISSAGE
Zamblé est un élève de terminale D au lycée Ehivet Gbagbo de Yopougon. Dans la cour de
l'école se trouve deux manguiers qui fleurissent deux fois par an. Chaque saison, Zamblé
observe quelques fleurs qui se transforment en fruit contenant une graine. Pour comprendre le
passage de la fleur à la graine, il décide d'expliquer la formation de la graine.
DOCUMENT 1 : SCHEMA D’UNE FLEUR DE SPERMAPHYTE
DOCUMENT 2: COUPES TRANSVERSALES D’UNE ANTHERE JEUNE ET D’UNE ANTHERE MURE
Document 1
Document 4
Document 5
Document 1
Document 2
Document 3
Document 1
GERMINATION DU GRAIN DE POLLEN FORMATION DES ANTHEROZOÏDES
Document 2
Document 2
Document 3
Document 3: SCHEMAS DS DIFFERENTS TYPE DE GRAINES
EXERCICE N°1
A. Les schémas ci-dessous montrent quelques étapes de la transformation d’une cellule-mère
située dans une anthère.
1. Donnez une légende à ce document.
2. Rétablissez l’ordre chronologique. (Justifiez votre réponse)
B. Les figures A et B représentent des phénomènes qui se produisent au cours de la

reproduction chez les Spermaphytes.
1. Nommez les phénomènes représentés par les figures A et B.

2. Annotez les figures A et B.
3. Décrivez le phénomène cytologique observable en B.
4. Indiquez les modifications qui s’ensuivront.
EXERCICE N°2
Le document représente quelques étapes d’un phénomène biologique qui se déroule dans un
organe végétal.
Document :
1) Identifiez le phénomène biologique dont il s’agit.

2) Classez les différents stades de ce phénomène dans l’ordre chronologique en justifiant
votre réponse.
Une étape déterminante entre les deux derniers stades est absente sur ce document.
3) Déterminez ce stade.
4) En prenant 2n = 4, schématisez ce stade et annotez-le.
5) Expliquez le déroulement et les résultats du phénomène étudié.
EXERCICE N°3
Le document 1 représente un organe végétal.
Document 1 : organe végétal Document 2 : structure X
1) Nommez cet organe.

2) Identifiez les parties du documents indiqués par les chiffres.
L’observation microscopique au niveau de l’élément 3 du document 1 montre une structure X
ci-dessus représentée (document 2).
3) Reconnaissez cette structure.
4) Nommez les parties indiquées par les chiffres.
5) Expliquez à l’aide de schémas, la formation de la structure X.
6) Donnez le résultat du phénomène étudié.
EXERCICE N°4
Un paysan désire améliorer sa production de maïs par la création d'une nouvelle variété à gros
épis et grains sucrés. Dans ce but, il pratique sur une même parcelle, des semis de grains de
maïs de deux lignées pures :
Épis minces à grains sucrés :
Gros épis à grains fades.
À la première récolte, il obtient des épis, tous gros avec des grains sucrés. La saison suivante,
il pratique les semis avec les grains issus de la première récolte ; il obtient les résultats ci-
dessous :
- 4562 gros épis à grains sucrés.
- 1513 gros épis à grains fades.
- 1519 épis minces à grains sucrés.
- 505 épis minces à grains fades.
1. Interprétez les différents résultats obtenus.
2. Écrivez les génotypes possibles des individus à épis minces et grains fades.
Un autre paysan désire perpétuer une variété de maïs à gros épis et grains sucrés. Pour cela, il
utilise les procédés (1) et (2) représentés dans le document ci-dessous.
1. a-Nommez les procédés utilisés.

b-Justifiez l'usage de toile de gaze fine.
2. a-Précisez le procédé qui convient au paysan.
Pour savoir le rôle que jouent les éléments X de l'inflorescence A dans la formation des grains
de maïs, l'expérience suivante est réalisée. Dans une boite de pétri contenant un milieu nutritif
composé de gélose, on saupoudre les éléments X. Une fine tranche de l'inflorescence B
portant des éléments Y est ensuite déposée au centre de la préparation. Quelques jours plus
tard, on obtient le résultat représenté dans le document ci-contre.
3. Indiquez le phénomène qui s'y déroule.

4. Nommez les éléments X, Y et Z.
5. a-Schématisez l'élément X.
b-Représentez les étapes qui conduisent à la formation de Z.
Anita élève en classe de terminale C est régulièrment malade. Son père la conduit à l'hôpital
où elle effectue un bilan de santé. Ce bilan revèle qu'elle soufre de la drépanocytose. Sur
conseils du medecin, le père de Annita décide de faire le bilan de toute la famille. Le père, son
fils et son petit fils soufrent tous de la drépanocytose sous différentes formes. Informé, le
professeur de SVT de Anita lui, déclare qu'il s'agit d'une maladie héréditaire. Anita et ses
camarades de classe, décident alors d'identifier quelques caractères héréditaires et d'expliquer
leur transmission chez l'homme..
Photographie 1
Photographie 2 Photographie 3
Document 1 : code d’un pédigré
Document 2 : pédigré d’une filliation comportant des albinos.
Document 3 : pédigré d’une filliation comportant des daltoniens.
Document 4 : pédigré d’une filliation comportant des drépanocytaires.
Document 5 : pédigré retraçant les groupes sanguin d’une filliation.
Déterminisme autosomal récessif : l'individu II2 est

Déterminisme autosomal dominant : Tous les individus
porteur du caractère qui est absent chez ses deux
atteints ont un parent atteint et transmettent le caractère à
parents, bien que présent chez le frère de I2. II2 ne
environ la moitié de leur descendance.
transmet pas le caractère à sa descendance, même
masculine.
Document 6
Determinisme récessif lié au sexe : Determinisme dominant lié au sexe :
Le caractère apparait chez III2 et III4 alors qu'il est Le caractère n'apparait que dans la descendance
absent chez les deux parennts. Il affecte essentiellement des individus atteints et « change de sexe » à
les hommes, mais n'apparait pas dans la descendance chaaque génération : le pèreI2 transmet le
des hommes affectés. caractère à ses filles II2 et II4 et la mère II2 à son
fils III2 .
EXERCICE N°1
On sait qu’une forme de daltonisme est une anomalie héréditaire, récessive, liée au
chromosome sexuel X. une femme daltonienne épouse un homme dont la vision des couleurs
est normale. Ils ont 3 enfants : Marie, Jacque et Dominique. Ceux-ci se marient ; leurs
conjoints ont une vision normale des couleurs et leurs familles ne comportent pas de
daltonien. Marie a 3 filles, Jacques a 1 fils et 1 fille, Dominique a 2 garçons et 1 fille. Parmi
ces 8 enfants, un seul est daltonien.
1. Etablissez le pédigrée de cette famille.

2. Indiquez les génotypes de chacune des personnes de cette famille et le sexe de
Dominique.
EXERCICE N°2
On sait que les daltoniens confondent les couleurs en particulier le rouge et le vert. Pierre est
affecté de cette anomalie ainsi que ses deux frères et sa mère. Ses deux sœurs, son père, les
deux frères de son père et la seour de son père, ses grands paternels ne sont pas affectés par
l'anomalie. Une de ses sœurs épouse un homme non daltonien; les deux filles issues de cette
union ne sont pas affectées par l'anomalie, les deux garçons le sont.
1. Établissez le pédigrée pour cette famille.

2. L'allèle responsable du daltonisme est-il récessif ou dominant ?
3. En considérant le père de Pierre, homozygote sain, et la fratrie renfermant Pierre,
précisez la localisation du gène.
4. Précisez le ou les génotypes possibles de cette famille.
EXERCICE N°3
L’épithélioma adénoïdes cysticum est une maladie héréditaire humaine qui se traduit par la
présence sur le visage de petits nodules colorés. Le reste du corps porte également des
tumeurs de dimensions variables. Le document ci-dessous représente l’arbre généalogique
d’une famille dont certains sont atteints par cette maladie.
1- Par un raisonnement logique montrez que :
a) L’allèle responsable se cette maladie est récessive ou dominante.
b) L’allèle responsable de cette maladie est porté par un autosome ou par un
hétérochromosome.
2- Écrivez le génotype des individus 1, 2, 3 et 4.
3- a) Donnez les résultats théoriques de la descendance du couple 9-10.
b) Comparez ces résultats à ceux observés sur le pedigree avec le même couple.
c) Déduisez le génotype de la femme
EXERCICE N°4EXERCICE 2
L’albinisme est une anomalie de la pigmentation de la peau due à l’absence d’un pigment, la
mélanine. Les réactions conduisant à sa synthèse sont bloquées par l’absence d’une enzyme,
la phényloxydase. L’arbre généalogique ci-dessous est celui d’une famille dont certains
membres sont albinos.
1) L’allèle responsable de l’albinisme est-il dominant ou récessif ?

2) La transmission est-elle autosomale ou liée au sexe ?
3) Expliquez la fréquence d’apparition de l’albinisme parmi les enfants du couple 11-12.
4) Un couple attend un 4ème enfant.
a- Quelle est la probabilité qu’il soit un albinos ?
b- Qu’il soit une fille albinos
EXERCICE
EXERCICE 5
Une maladie redoutable se manifeste par des troubles digestifs et des encombrements des
voies respiratoires. Les sujets atteints ont le regard anxieux, toussent sans cesse et ne
grossissent pas. La fréquence élevée de la maladie s'explique par un nombre important
d’hétérozygotes dans les deux sexes. L'arbre généalogique ci-dessous est celui d'une famille
où sévit cette maladie.
1. A partir d'un raisonnement logique :

a. Montrez que l'allèle responsable de la maladie est dominant ou récessif.
b. Précisez le déterminisme génétique de cette maladie (liaison ou non au sexe).
2. Déterminez le génotype des individus IV4 ; IV5 ; III2 ; III3.
3. Déduisez de l'analyse de l'arbre généalogique, le ou les enseignement(s) que le
mariage III2-III3 vous révèle.
EXERCICE 6
La drépanocytose ou sicklémie ou anémie falciforme est caractérisée par la forme en faucille
que prennent les hématies lorsque la pression en oxygène diminue. Les hématies renferment
une hémoglobine anormale S différente de l’hémoglobine normale A.
Le document ci-dessous représente le pedigree d’une famille dont certains membres sont
atteints de la drépanocytose.
1- Montrez que cette maladie est héréditaire.

Soit A l’allèle normal et S l’allèle de la maladie.
2- Montrez que la drépanocytose est une affection autosomale ou liée au sexe.
3- La drépanocytose est une affection codominante, cependant elle semble transmise
selon le mode récessif. Justifiez votre réponse.
4- Donnez le génotype de l’individu II1 ainsi que ceux de ces parents.
EXERCICE 7
Découverts en 1900 par Landsteiner, les groupes sanguins du système ABO sont dus à la
présence de marqueurs appelés agglutinogènes à la surface des hématies.
L’arbre généalogique ci-dessous montre les groupes sanguins ABO au sein d’une famille.
1- A partir du document, déterminez les différents phénotypes.

2- Combien y’a t-il de gènes allèles ?
3- Déterminez les rapports de dominance entre ces allèles.
4- Les gènes sont-ils portés par des autosomes ou par des chromosomes sexuels ?
5- Écrivez les génotypes des membres de cette famille.
EXERCICE 8
L’arbre généalogique ci-dessous représente celui d’une famille où, l’on a observé la présence
d’une maladie, le rachitisme vitamino-résistant.
1- Montrez que la maladie est héréditaire

2- Indiquez à l’aide d’un raisonnement cohérent, le mode de transmission de maladie.
3- Indiquez les individus dont on est indiscutablement sûr qu’ils sont hétérozygotes.
Justifiez vitre choix.
4- Indiquez les individus dont on est indiscutablement sûr qu’ils sont homozygotes.
Justifiez votre choix.
5- Le garçon III2, dans un second mariage, épouse une femme divorcée malade, qui a eu
avec son précédent mari un enfant sain. Quel est pour eux le risque d’voir un enfant
malade ?
EXERCICE 9
Au sein de la famille dont l’arbre généalogique est représenté ci-dessous, il y’a des individus
atteints d’une maladie héréditaire rare.
Grace à une technique de pointe, on peut repérer, dans l’ADN d’un individu, de longues
séquences de nucléotides caractéristiques d’un gène donné. C’est ainsi qu’on a cherché chez
les membres de cette famille, les séquences correspondant à l’allèle normal (M) du gène et
son allèle muté (M) responsable de cette maladie. Les résultats obtenus sont consignés dans le
tableau ci-dessous.
Individus A B C D E
Nombre de séquences d’ADN (allèle normal) 1 2 1 0 1
Nombre de séquences d’ADN (Allèle muté) 0 0 0 1 1
1- Le gène responsable de cette maladie est-il dominant ou récessif ?

2- Pouvez-vous déduire à partir du pedigree si la maladie est liée au sexe ou
autosomale ? Envisagez chaque cas.
3- Le tableau ci-dessous vous permet-il de répondre avec précision à la question
précédente ? Justifiez votre réponse.
4- A quel prénom de l’arbre généalogique correspond respectivement chaque individu A,
B, C, D et E ? Justifiez chacun de vos choix.
5- Quel est le génotype de chaque individu ?
(Symboles choisis : Allèle muté = m ; Allèle normal = M)
Après la leçon sur la transmission d'un caractère héréditaire chez l'homme. Koné élève en
classe de terminale D au lycée LEBOUTOU de Dabou, découvre dans un livre de biologie
que la transmission de deux caractères existe aussi chez les êtres vivants. Koné informe son
professeur des SVT, qui confirme cette découverte. Les élèves décident alors d'expliquer la
transmission de deux caractères.
METHODES DE RESOLUTION D’UN PROBLEME DE DIHYBRIDISME

1. Observation.
1er caractère et phénotypes.
2ème caractère et phénotypes
2. Étude du 1er croisement (F1)
Analyse de la F1
Interprétation de la F1
3. Étude du 2ème croisement (F2 = F1 X F1).
a. Étude caractère par caractère.
Pour chaque caractère, faire :
❖ L’analyse : (calcul des proportions et ségrégation obtenue)
❖ L’interprétation :
Dominance ou de codominance des allèles du gène impliqué dans le Xt.
Croisement réalisé
Phénotypes dominants et récessifs (éventuellement).
Choix des symboles.
Génotypes des individus croisés.
b. Étude simultanée des caractères.
❖ Recherche de la ségrégation (système branché), dans le cas de
gênes indépendants.
❖ Test de l’hypothèse d’indépendance :
Si l’effectif théorique = l’effectif observé alors les 2 gènes étudiés sont
indépendants.
Si l’effectif théorique ≠ l’effectif observé alors les 2 gènes sont liés.
(Position des allèles ; génotypes du croisement ; distance génétique ; carte
factorielle)
4. Vérification : Interprétation chromosomique des croisements
Expérience 1
Premier croisement
On croise des pois à graines lisses et jaunes de race pure avec des pois à graines ridées et
vertes également de races pures. On obtient uniquement des pois à graines lisses et jaunes.
Deuxième croisement
Les graines lisses et jaune récoltées à l'issue du 1er croisement sont semées ; elles germent et
engendrent des plants qui fleurissent. Leurs pollens fécondent leur propre pistil
(autofécondation), on récolte alors :
- 3057 graines lisses et jaunes

- 1021 graines lisses et vertes.
- 1012 graines ridées et jaunes.
- 341 graines ridées et vertes
Troisième croisement
On croise des graines lisses et jaunes obtenues à l'issue du 1er croisement avec des graines
ridées et vertes. On obtient :
- 496 graines lisses et jaunes

- 507 graines lisses et vertes.
- 496 graines ridées et jaunes.
- 500 graines ridées et vertes
Analysez et interprétez les résultats de ces croisements.
Expérience 2
Chez le Maïs le croisement entre plant A à grains rouges et ronds et plant B à grains blancs et
déprimés a donné une descendance composée de :
176 grains rouges et ronds

23 grains rouges et déprimés
17 grains, blancs et ronds
184 grains blancs et déprimés
Interpréter ce résultat sachant que les allèles rouges et ronds dominent respectivement les
allèles blancs et déprimés.
EXERCICE N°1
On croise deux variétés d'hibiscus de race pure, différents par plusieurs caractères. Les
hybrides F1 croisés entre eux fournissent en F2 la descendance suivante :
- 82 plantes à corolle ouverte rouge.

- 156 plantes à corolle ouverte rose.
- 81 plantes à corolle ouverte blanche.
- 28 plantes à corolle fermée rouge.
- 56 plantes à corolle fermée rose.
- 26 plantes à corolle fermée blanche.
1. Relevez les caractères transmis dans ce croisement.

2. Démontrez que chaque caractère est gouverné par un couple d'allèles.
3. Par un raisonnement rigoureux, précisez si les couples d'allèles sont liés ou indépendants :
4. Déterminez :
a-Le génotype des parents croisés
b-Le génotype des gamète produits avec leur fréquences de formation.
5. Dressez l'échiquier de croisement en indiquant clairement les phénotypes et les génotypes.
EXERCICE N°2
Chez le maïs, l'autofécondation d'un plant a donné la descendance suivante :
- 66 grains noirs et sphériques.

- 16 grains blancs et ridés.
- 9 grains blancs et sphériques.
- 9 grains noirs et ridés.
Interprétez ce résultat
EXERCICE N°3
Premier croisement
On croise une drosophile de souche sauvage (corps, gris et ailes longues) avec une drosophile
de souche mutante (corps noir et ailes vestigiales). Toutes les drosophiles issues de ce
croisement sont à corps gris et à ailes longues.
Deuxième croisement
On croise les drosophiles issues du 1er croisement entre elles ; on obtient :
- 719 drosophiles à corps gris et à ailes longues.

- 44 drosophiles à corps gris et à ailes vestigiales.
- 46 drosophiles à corps noir et à ailes longues.
- 216 drosophiles à corps noir et à ailes vestigiales.
Troisième croisement
Eon réalise deux test cross :
1er test cross : On croise une femmelle issue du 1er croisement avec un mâle à corps noir et à
ailes vestigiales. On obtient :

- 34 drosophiles à corps gris et à ailes vestigiales.
- 36 drosophiles à corps noir et à ailes longues.
2ème test cross : On croise un mâle issu du 1er croisement avec une femelle à corps noir et à
ailes vestigiales. On obtient :

Interprétez les résultats de tous ces croisements.
EXERCICE N°4
On croise 2 variétés d’Hibiscus de race pure différents par plusieurs caractères. Les hybrides
F1 croisés entre eux donnent une descendance F2 composée de :
- 82 plantes à corolle ouvertes rouge

- 165 plantes à corolle ouvertes rose
- 81 plantes à corolle ouverte blanche
- 28 plantes à corolle fermée rouge
- 53 plantes à corolle fermée rose
- 26 plantes à corolle fermée blanche
1. Déterminez les phénotypes des parents de race pure et ceux des hybrides F1.
2. Déterminez, pour chaque caractère, le ou les couple(s) d’allèles qui le gouverne(nt)
3. Dans le cas de deux couples d’allèles, démontrez qu’ils sont liés ou indépendants.
EXERCICE N°5
On étudie chez le Lupin la transmission de deux couples d'allèles

- un couple d'allèle commandant la couleur des fleurs
- un couple d'allèle commandant la déhiscence (ouverture) ou l'indéhiscence (non ouverture)
des gousses renfermant les graines.
Deux croisements sont réalisés:
1er croisement: on croise des plantes à fleurs jaunes et à gousses déhiscentes avec des plantes
à fleurs blanches et à gousses indéhiscentes.
Les graines obtenues donnent toutes des plantes à fleurs jaunes et gousses déhiscentes.
2ème croisement: on croise des plantes issues des graines de la génération F1 avec des plantes
à fleurs blanches et gousses indéhiscentes.
On obtient:
- 135 plantes à fleurs jaunes et gousses déhiscentes
- 138 plantes à fleurs blanches et gousses déhiscentes
- 140 plantes à fleurs jaunes et gousses indéhiscentes
- 133 plantes à fleurs blanches et gousses indéhiscentes
A l'aide d'un raisonnement rigoureux, expliquez les résultats obtenus lors de ces 2 croisements
successifs Exercice
EXERCICE N°6
On étudie la transmission de deux caractères du pélage chez la souris.
1er coisement : on croise une souris à pélage noir et court avec une souris de race pure à
pélage blanc et long. On obtient une portée de 5 souris à pélage noir et court.
1. Déterminez en jus tifiant votre réponse, les phénotypes dominants et récessifs.
2ème croisement : on croise des souris ) pélage noir et court avec des souris à pélage blanc et
long, et on obteint :
- 63 souris à pélage noir et long

- 61 souris à pélage blanc et court
- 9 souris à pélage noir et court
- 8 souris à pélage blanc et long
1. Déterminez pour chaque caractère, le ou les couple(s) d’allèles qui le domine(nt)

2. Dans le cas de deux couples d’allèles, démonterz qu’ils sont liés ou indépendants.
3. a-Calculez dans le cas où les couples d’allèles sont liés, la distance génétique.
b-Etablissez la carte factorielle.
EXERCICE N°7
Morgane croise des drosophiles femelles aux ailes atrophiées (vestigiales :vg) et aux yeux
bruns (brown :bw) par des drosophiles mâles sauvages (ailes longues, yeux rouges). Toutes
les drosophiles de la F1 sont de type sauvage. Par la suite, il croise des mâles aux ailes
vestigiales et aux yeux bruns par des femelles de la F1 et obtient une descendance composée
de :
- 1430 drosophiles aux ailes vestigiales et aux yeux bruns ;

- 600 drosophiles aux ailes vestigiales et aux yeux rouges ;
- 597 drosophiles aux ailes longues et aux yeux bruns ;
- 1423 drosophiles aux ailes longues et aux yeux rouges.
1) Interprétez l’ensemble de ces résultats.

2) Déterminez la répartition de 3000 drosophiles issues d’un croisement entre les femelles
aux ailes vestigiales et aux yeux bruns avec des mâles F1.
3) Déterminez le résultat attendu en croisant des mâles et des femelles F1 entre eux.
La sécheresse est de plus en plus rude dans la région ; la plupart des éleveurs voient leurs
bêtes maigrir progressivement pour mourir ensuite. Mais les élèves du lycée de cette région
sont surpris d’observer que le cheptel de Monsieur Sangaré est presque intact comme s’il ne
subissait pas les effets de cette sécheresse. L’ayant approché, les élèves apprennent que ses
bêtes sont en fait issues des croisements entre l’espèce locale et une espèce résistante à la
sécheresse, qu’il a fait venir d’un pays sahélien. Pour convaincre leurs parents à adopter cette
technique d’amélioration des espèces, des élèves se fixent pour objectif de les expliquer.
Un pied de mais porte à la fois une

inflorescence mâle et une inflorescence
femelle : il y a dans ce cas autofécondation. Si
l’on veut obtenir des maïs hybrides, il faut
éviter l’autofécondation et pratiquer
artificiellement une fécondation croisée entre
deux variétés. Pour ce faire, avant la maturité
des fleurs mâles, les épis femelles sont
emballés dans un sac en gaze fine permettant
une aération normale de l’épis, mais constitue
une barrière pour le pollen. Lorsque les fleurs
mâles sont à maturité, l’homme pratique une
fécondation croisée : il ôte le sac protecteur de
l’épis femelle de la variété A, saupoudre les
stigmates avec le pollen de la variété B, puis
replace le sac pour éviter toute pollinisation
étrangère. Il pratique ensuite de même pour
l’épis femelle de la variété B qu’il féconde
avec le pollen de la variété A. les grains ainsi
obtenus sont des hybride F1.
Document 1
Document 2
Document 3
Document 4
Document 5
EXERCICE 1
Il existe deux variétés de caféier de race pure : l’arabica cultivé en pays tempéré, à petits
grains et rende ment faible mais à bon goût et le robusta cultivé en pays tropical à gros grain,
à mauvais goût. On croise ces deux variétés et on obtient appelée arabusta plus résistante,
supportant les deux types de climat, à bon goût et à gros grain. Cependant lorsqu’on croise les
arabusta entre eux, les caractères génétiques se dispersent dans la descendance.
1) Nommez le type de croisement ayant permis d’obtenir l’arabusta.

2) Définissez-le.
3) Précisez l’avantage de ce croisement.
4) Expliquez à partir du texte pourquoi cette technique améliore qualitativement et non
quantitativement l’espèce.
5) Nommez une technique qui permet de vulgariser l’arabusta obtenu.
EXERCICE 2
Le tableau ci-dessous donne les caractéristiques de deux races pures bovines : la race A vit au
Sahel et la race B dans la région montagneuse du Kenya.
Le centre de recherche animale de Bingerville a réussi à obtenir des descendants de ces deux
races incapables de supporter les conditions climatiques de Bingerville.
Races Taux de matières grasses (en %) Poids vif (en Kg)

Races A 35 520
Races B 32 547
Descendants 38,9 600
1) a – Proposez la méthode la plus probable pour obtenir cette descendance.

b – Indiquez ses principales les étapes.
2) Du point de vue génétique :
a – Nommez le croisement réalisé pour obtenir ces descendants (justifiez votre
réponse)
b – Déduisez-en la situation des descendants.
3) a - Analysez le tableau.
b - Indiquez la particularité des descendants ainsi mis en évidence.
4) Expliquez la façon dont le centre pourra disposer de suffisamment d’individus pour
former des échantillons aux différents centres d’élevage.
EXERCICE 3
Un couple se préoccupe de n’avoir pas d’enfants. L’examen gynécologique révèle chez la
conjointe, une obuturation irréversible des oviductes (trompes). Sur conseils du gynécoloque,
les conjoints consentent de subir cette technique dont les étapes sont énumérées ici dans le
désordre.
1- L’embryon (4 à 6 cellules) obenu après la fécondation, est récupéré et déposé dans
l’utérus de la conjointe.
2- Prélèvement par aspiration des follicules de l’ovaire.
3- Le liquide contenant des spermatozoides est mélangé à celui contenant l’ovocyte II
dans l’éprouvette.
4- Des dosages hormonaux sont effectués quotidiennement durant la période
préovulatoire.
5- Le sperme du conjoint est recueilli dans une éprouvette et traité.
6- Les follicules aspirés sont observés au microscope de manière à isoler l’ovovyte II.
a. Etablissez l’ordre chronologique de ces différentes étapes en utilisant les chiffres.

b. Précisez le but du traitement des spermatozoides.
c. α-Nommez la technique utilisée par le gynécologue.
β-Précisez son but
d. Donnez le but de l’étape 3
EXERCICE 4
Des expériences de transplantation nucléaires chez les vaches ont permis d’obtenir les
résultats suivants.
1- Résumez ces expériences

2- a. Nommez chacune des vaches (1, 2 et5)
b. Justifiez ces appellations
3- Nommez cette technique d’amélioration des espèces.
4- Citez les avantages cette technique
Pendant le cours de géographie en classe de Terminale D, le professeur a expliqué aux élèves
la nécessité pour notre pays de diversifier ses sources de revenus. Selon lui, l’exploitation des
richesses du sous-sol ivoirien va dans ce sens. L’exemple du gisement d’or d’Ity a même été
donné. Intéressés par le sujet, les élèves entreprennent de localiser les principaux gisements
miniers de la Côte d’Ivoire, d’identifier les roches dans lesquelles ils se forment et
d’expliquer le mécanisme de leur formation.
Eléments et Minerais Localisation Forme du gîte Roche encaissante
symbole
-Korhogo (Diawala)
-Daoukro (Ouellé) -Placers -Roches magmatiques
Or (Au) -Danané (Ity) -Filons (Filons de quartz)
-Or massif -Bouflé (Angovia) -Amas -Roches sédimentaires
-Toumodi (Kokumbo) (Alluvions, graviers,
-Aboisso (Anivri ….) sables)
-Roches magmatiques
Diamant (C) -Carbone -Séguéla (Bobi) -Placers ou Dykes basiques (Kimberlites)
(Indice de dureté= -Katiola (Tortiya) -Filons ou inclusion -Roches sédimentaires
10) (Alluvions)
-Magnétite (Fe3O4) -Man (Mont Nimba)
-Hématite (Fe2O3) -Man (Mont Gao) -Stratiforme (lits -Roches métamorphiques
Fer (Fe) -Limonite -Man (Mont Klahoyo) successifs
(FeO(OH),nH2O) -Man (Mont Tia) de quartzite et de -Roches sédimentaires
-Biankouma (Sipilou) magnétite) (Latérites, grès..)
-Odienné (Kaniasso)
-Sassandra (Monogaga)
Manganèse -Pyrolusite -Odienné (Ziénougoula) -Nodules -Roches magmatiques
(Mn) (MnO3) -Grand-Lahou (Lauzoua) polymétalliques -Roches sédimentaires
-Manganite -M’bouessou -Oolithes
(MnOOH)
-Biankouma (Sipilou) -Roches magmatiques
-Biankouma (Touoba) -Filons mafiques et
Nikel (Ni) -Pentlandite -Touba (Foungouesso) -Couches ultramafiques
(Ni,Fe)9S -Touba (Viala) -Roches sédimentaires
(sulfures métalliques)
-Cuprite (Cu2O) -Toulépleu (Zeitouo) Roches magmatiques
Cuivre (Cu) -chalcopyrite -Sassandra (Monogaga) -Lentilles ou mafiques et
(CuFeS2) -Danané (Samapleu) inclusions ultramafiques
-Bongouanou
Aluminium -Toumodi (Guéto) -Plateaux -Roches magmatiques
(Al) -Bauxite : minerai -Divo (Digo-Mokouédou) bauxitiques -Roches sédimentaires
d’aluminium (40% -Bouaflé (yahouré) -Couches stratifiées -Roches métamorphiques
au moins à 1203) -Sinfra (Vanfoué) lenticulaires
-Roches magmatiques
Etain (Sn) -Cassitérite (SnO2) -Man -Filons (granites)
-Toulepleu -Placers -Roches sédimentaires
(alluvions)
Molybdène -Foulakourou -Roches magmatiques
(Mo) - Molybdène -Guehiebli -Filons ou inclusions -Roches métamorphiques
(MoS2) -Sassandra (Monogaga)
-Ilménite -Ferkessédougou (Bavé) -Placers -Roches magmatiques
Titane (Ti) -Titano-magnétite -Man (Ganleu-Singuiné) -Placers (alluvions) basiques
-Roches sédimentaires
(sables)
Tantalite -Columbo- Issia -Placers -Roches sédimentaires
(Ta) Tantalite (Ta2O5)
TABLEAUX DES PRINCIPAUX GITES MINERAUX DE COTE D’IVOIRE
DOCUMENT 02
DOCUMENT 04: Mode de formation des gisements primaires
Origine des gisements :
Les filons aurifères sont en générale en gangue quartzeuse et sont liés à des massifs de roches
magmatiques plutoniques. Les processus naturels qui concentrent l’or font intervenir des
fluides où l’or est transporté en solution puis déposé sous l’action de variation physico-
chimiques. Ces gisements primaires, essentiellement de nature hydrothermale, sont à
distinguer de ceux résultant de la sédimentation ou des dépôts alluviaux des particules d’or
formées précédemment : ce sont les gisements secondaires.
Document 03
Document 1
Document 2
EXERCICE 1
Le tableau ci-dessous présente quelques minerais du sous-sol ivoirien avec leurs sites de
localisation.
Minerais Or Manganèse Diamant Fer Nikel Cuivre Aluminium Étain

Localisation
Korhogo (Diawala)
Toumodi (Kokumbo)
Katiola (Tortiya)
Odienné (Ziénougoula)
Biankouma (Sipilou)
Bongouanou
Sassandra (Monogaga)
Toumodi (Guéto)
Man
Bouaflé (yahouré)
Sinfra (Vanfoué)
Toulepleu
Touba (Foungouesso)
Daoukro (Ouellé)
Odienné (Kaniasso)
Toulépleu (Zeitouo)
Identifie avec précision les sites de localisation de chaque minerai en notant une croix dans la
case qui convient.
EXERCICE 2
Le tableau ci-dessous présente quelques minerais du sous-sol ivoirien avec leurs roches
encaissantes.
Roches encaissantes Roches métamorphiques Roches sédimentaires Roches magmatiques

Minerais
Or (Au)
Diamant (C)
Fer (Fe)
Manganèse (Mn)
Nikel (Ni)
Cuivre (Cu)
Aluminium (Al)
Etain (Sn)
Molybdène (Mo)
Titane (Ti)
Tantalite (Ta)
Associe chaque minerai à la roche encaissante correspondante en notant une croix dans la
case qui convient.
EXERCICE 3
On connait la teneur moyenne de divers métaux contenus dans les roches de l’écorce terrestre.
Des études réalisées dans les roches d’une région donnée pour la recherche des minéraux
métallifères ont fourni les résultats consignés dans le tableau 1 ci-dessous
Minéraux Teneur moyenne dans Teneur dans les roches de

l’écorce terrestre (%) la région étudiée (%)
Fer 5,00 4,53
Or 0,0000005 0,0000027
Cuivre 0,0070 0,0069
Aluminium 8,00 16,90
Nikel 0,008 0,007
Zinc 0,013 0,019
Tableau 1
1. Définissez le terme minerai métallifère.

2. En observant le tableau le tableau, citez le minéral ou les minéraux qu’on pourrait
avoir dans cette région.
Le rapport entre le taux du métal présent dans le minerai et son taux moyen dans la croute
terrestre est appelé facteur de concentration. C’est seulement quand ce facteur dépasse un
certain seuil, que l’exploitation du minerai considéré est économiquement intéressante (Voir
tableau 2)
Minéraux Facteur de concentration (K)

Fer 6
Or 4
Cuivre 100
Aluminium 4
Nikel 150
Zinc 300
Tableau 2
3. a-Analysez les données du document 2,

b-Proposez une hypothèse pour expliquer ces valeurs données.
4. A partir de ces informations ci-dessus, déterminez en justifiant le (s) minerai (s) du
tableau 1 dont l’exploitation est économiquement intéressante.
EXERCICE 4
En Côte d’Ivoire, les nombreux placers aurifères sont exploités traditionnellement depuis le
début du siècle à Bouaflé, Toumodi et Aboisso par la technique de la batée.
Le document ci-dessous illustre une formation géologique présentant des gisements d’or.
1. Nommez les gisements indiqués par les lettres A, B et C.

2. Précisez l’origine de chaque gisement.
3. Expliquez succinctement le processus de formation du gisement C.
EXERCICE 5
Le document ci-contre indique des formations géologiques indiquées par des lettres et des
gites d’or, par des chiffres.
1. Identifiez les formations géologiques.

2. Identifiez les gites d’or.
3. Expliquez la formation des gites 1 et 2.
4. Comment peut-on exploiter le gite 1 ?
Justifiez votre réponse.
Koffi est élève en classe de terminale D au lycée municipal de Hiré. Il accompagne son oncle
au champ les samedis. Il y découvre de grands trous d'environ 10 mètres de profondeur,
creusés dans le sol. Il interroge son oncle sur le but de ces trous, qui lui répond : « c'est pour
exploiter l'or ». Étonné, Koffi informe ses camarades de classe. Ensemble ils décident
d’identifier les différentes méthodes de prospection et d’extraction des ressources minières,
puis d’en déduire l’impact sur l’environnement et la qualité de vie.
Texte 1
La prospection minière se fait suivant deux méthodes : les méthodes directes et les méthodes
indirectes.
➢ LES METHODES DIRECTES : regroupent la prospection géologique, la prospection
alluvionnaire et la prospection géochimique.
• La prospection géologique consiste à examiner d’éventuelles minéralisations
observables sur les affleurements, au cours des levées géologiques :
-prélever des échantillons ( à l’aide de marteaux) ;
-analyser les échantillons et identifier leur propriétés ;
-déterminer le type de roche encaissante ;
• La prospection alluvionnaire est la méthode facile et rapide qui donne de bons résultats.
Elle consiste à rechercher les minéraux dans les sédiments des cours d’eaux, par la
technique de la "batée".
• La prospection géochimique : on échantillonne les matériaux (eaux, roches, sols,
végétaux…) afin de déterminer la concentration des minéraux. Cette détermination se
fait par :
- la préparation des échantillons (les échantillons sont désagrégés et séchés puis passés
au tamis fin, seul le sous tamis est conservé) ;
-l’analyse des échantillons qui se fait par des techniques de dosages appropriés à
chaque minéral.
Ainsi pour l’or on procède par une attaque par l’eau chlorée suivie d’un dosage par la
rhodamine.
➢ LES METHODES INDIRECTES (= PROSPECTION GEOPHYSIQUE) comportent la
méthode magnétique et la méthode électrique, la méthode radiométrique… Ces méthodes
se distinguent les unes des autres par les moyens mis en œuvre, et le degré de précision.
• Dans le cas de la méthode électrique, on utilise des appareils de mesure pour
déterminer la valeur de résistivité et de conductivité des minéraux.
• La méthode magnétique est basée sur le magnétisme des minéraux et est utilisée pour
établir des cartes.
• La méthode radiométrique utilise un scintillomètre ou un compteur Geiger sur un
certain nombre d’itinéraires permettant de déterminer la radioactivité de chaque
affleurement.
Extrait de Géologie structurale, minière et énergétique de Côte d’Ivoire. PARMEN, novembre 1999, P.55-56 et
adapté.
Texte 2 : Les différentes techniques d’exploitation minière
L’exploitation d’une mine consiste à extraire des roches ou minerais ayant une valeur
économique. Plusieurs techniques d’exploitation minière existent mais dépendent de la
morphologie du gisement. Elles peuvent être réparties en trois grandes familles :
• la mine à ciel ouvert (Figure 1) ;
• la mine souterraine (Figure 2) ;
• l’exploitation par dissolution et la lixiviation in situ.
En complément, une quatrième famille peut être définie elle concerne l’exploitation des
placers qui est très spécifique même si elle reste du type ciel ouvert.
Source :http://www.mineralinfo.fr/sites/default/files/upload/tome_06_exploitation_miniere_et_traitement_des_minerais_final24032017
.pdf
Figure 1 : Mine à ciel ouvert de cuivre cuivre-plomb-Zinc en Espagne
Figure 2 : Schéma d’une exploitation souterraine
Figure 3 : Entrée principale de la mine souterraine de tungstène de Mittersill, en autriche
Figure 4 : Technique de la batée
Figure 5 : Schéma d’une exploitation à ciel ouvert en fosse (source :http://ticri.univ-loraine.fr)
Texte 3
« La Côte d’Ivoire dispose d’importantes ressources minérales dont l’or, le diamant, le
cuivre, le cobalt, le coltan, le fer, le manganèse. Cependant, ce secteur est négativement
impacté par plusieurs activités illicites d’exploitation et de pratiques portant atteinte à
l’environnement biophysique et aux intérêts des populations » déplore le Ministre de
l’Environnement et du Développement durable. Pr Joseph SEKA SEKA. Allant dans le
même sens, la Directrice générale de l’Agence Nationale De l’Environnement (ANDE)
déclare : « L’impact négatif du secteur minier sur l’environnement est grand ».
Dressant un tableau de la gestion environnementale, sociale et sécuritaire du secteur minier en
Côte d’Ivoire, le Responsable en charge de l’Environnement minier au Ministère des Mines et
de la Géologie a énuméré les impacts négatifs de l’industrie extractive sur l’environnement et
la population : déforestation, destruction et pollution du sol, de l’eau, production de déchets
industriels, développement de maladies respiratoires et cutanées chez les orpailleurs pour non
utilisation d’équipements de protection Individuelle, développement du VIH SIDA, infections
sexuellement transmissibles et prostitution, insécurité (braquage, vols, agression à main
armée), existence de conflits communautaires, d’où insécurité alimentaire, cession des terres
par la population rurale, destruction du toit de la nappe phréatique, contamination de la nappe,
disparition de la pêche.
L’orpaillage clandestin a fait perdre à l’Etat ivoirien 498 milliards de FCFA en 2016 a estimé
la BCEAO selon le Président du Bureau Exécutif National du Groupement des Exploitants
des Petites mines et Acheteurs de Côte d’Ivoire.
Source : https://reddplus.ci/cote-divoire-le-secteur-minier-sinscrit-davantage-dans-les-principes-du-developpement-durable-agence-
nationale-de-lenvironnement-ande/
Texte 3 : Impact du secteur minier sur l’économie nationale

Production consolidée :
 Or : 25 tonnes en 2016, contre 14,28 tonnes en 2013
 Manganèse : 247 000 tonnes en 2016 contre 110 000 tonnes en 2012
Contribution à l’économie nationale directe
 Chiffre d’affaires des exportations : +/- 490 000 000 000 FCFA
Sociale directe*: +/- 9000 emplois
A l’horizon 2020,
i) 5% du PIB avec l’ouverture de quatre nouvelles mines d’or
ii) Plus de 30 000 emplois directs avec la rationalisation de l’artisanat minier
Source : http://www.cires-
ci.com/pdf/CIRES_FORUM/Pr%C3%A9sentations%20Grow%20Policy%20Forum/Panel%202/2017_Pr%C3%A9sentation%20GPMCI_RSE&WI
M.pdf
EXERCICE 1
Le tableau ci-dessous est relatif aux méthodes de prospection minières avec leurs différents
principes
Méthodes Principes
1. La prospection a. Consiste à échantillonner les matériaux (eaux, roches, sols,
géophysique végétaux…) afin de déterminer la concentration des minéraux.
2. La prospection b. Permet de localiser les zones anormales à partir de techniques
géologique telles que le magnétisme, électromagnétisme, radiométrie,
électricité…
3. La prospection c. Elle consiste à rechercher les minéraux dans les sédiments des
géochimique cours d’eaux, par la technique de la "batée".
4. La prospection d. Consiste à examiner d’éventuelles minéralisations observables sur
alluvionnaire les affleurements, au cours des levées géologiques
Associe chaque méthode de prospection au principe correspondant en utilisant les chiffres et

les lettres.
EXERCICE 2
La carte de prospection géochimique présentée ci-dessous a été réalisée en vue de la
recherche de minerais métalliques. Des prélèvements d’alluvions analysés permettent de
dresser des courbes isoteneurs.
1. Définissez une courbe isoteneur.

2. Identifier la méthode de prospection géochimique qui pourrait permettre de dresser ces
courbes
3. Nommez ces types de gisements que nous présente le document
4. Sachant qu’il s’agit de gisement aurifère, expliquez leur mise en place.
5. a-Sur cette carte, précisez les zones des minerais les plus concentrées.
b-Proposez une hypothèse possible pour expliquer cette répartition.
EXERCICE 3
Le document ci-dessous présente trois types de gisements aurifères numérotés 1 ; 2 et 3.
1) Nommez-les.
2) Expliquez le processus de formation du gisement 1.
La prospection géochimique de l’or a permis de déterminer sa concentration dans le gisement
1.
3) Expliquez le mode de la prospection géochimique de l’or.
4) a- Identifiez les modes d’exploitation de l’or qui conviennent au gisement 1 et au
gisement 2.
c- Justifiez votre réponse.
EXERCICE 4
La République du Congo Démocratique possède de nombreux gisements miniers dont le
coltan, minerai utilisé dans la fabrication des téléphones portables. Le document ci-dessous
représente un gisement de coltan à faible profondeur.
1) Nommez la roche encaissante

2) Identifiez le type de gisement minier.
3) Expliquez le mécanisme de sa mise en place.
4) Décrivez la méthode de prospection utilisée.
5) Proposez une technique d’exploitation
EXERCICE 5
La recherche de gisements aurifères dans la zone forestière de Kocoumbo a permis à des
chercheurs d’effectuer différents travaux de propection sur la terre ferme.
A/Dans un prfemier temps, ils éffectuent à partir d’un point X, des travaux de surface limités
à 0,5 m de profondeur et qui consisteet qui consiste à déterminer la teneur de l’or à différents
endcroits. Les résultats obtenus sont représentés par le document ci-dessous.
1. a-Nommez le type de proposction utilisée par ces chercheurs.

b-Expliquez en quoi il consiste
2. Calculez la distance sur laquelle s’étend la zone minéralisée suivant les axes AB et CD
Echelle : 1cm 200m
B/Dans un deuxième temps, ils réalisent les travaux de recherche en profondeur et les
resultats obtenus sont consignés dans le tableau suivnat :
Profondeur du sol (en m) 0 10 20 30 40 50 60 70 80 90 100 110 120

Teneur en or du sol (en g/t) 3,8 3,9 3,8 3,8 3,8 3,8 3,79 2,5 2 0,6 0 0 0
1. Analysez les résulats onbtenus.

2. a-Précisez la méthode d’exploitation minière qui convient à ce gisement d’or.
Tioma est élève en classe de terminale D au lycée moderne de Tiassalé. Quand il retourne au
village pour les congés, il aide régulièrement ses parents pour les travaux champêtres. Au
champs, il observe que les sols de cultures sont nus, érodés et souvent brulés. Les rendements
des récoltes sont de plus en plus faibes. Tioma explique ses observations à ses camarades de
classe. Préoccupés et surtout soucieux d’aider les parents, ces élèves s’activent à expliquer les
méthodes d’amélioration et de protection des sols et d’en dégager les avantages.
Expérience 1
Un ingénieur agricole réalise des expériences d’épandage d’engrais chimique sur une parcelle
dont la production est en baisse. Les résultats sont consignés dans le tableau ci-dessous.
Dose d’engrais chimiques apportée (kg/ha) 50 100 150 200 250 300
Rendement (quintaux/ha) 48 67 82,5 80 60 40
Expérience 1
Dans la fertilisation des sols de forêts, les vers de terre jouent un rôle très important. Ils
perforent le sol, consomment la terre mélangée à la matière organique et rejettent leur
déjection. Le tableau suivant donne la composition en sels minéraux d’un sol où vivent des
vers de terre et celle d’un sol sans vers de terre.
Sols Sans vers de terre Avec vers de terre

Eléments minéraux (u.a)
Calcium 1,990 2,79
Manganèse 0,162 0,492
Nitrate 0,004 0,022
Phosphore 0,009 0,067
Potassium 0,032 0,358
Type de sol Sol fertile Sol infertile
Propriétés
- Structure grumeleuse, (Complexe - Structure compacte et instable
Propriétés argilo-humique floculé soudant les (CAH dispersé incapable de souder
physiques éléments terreux en agrégats stables) les éléments terreux en agrégats
- Perméabilité, humidité et aération stables
bonnes - perméabilité et une aération
- Sol facile à travailler réduite
Propriétés - pH plus élevé (sol neutre) - pH faible (sol acide)
chimiques - Forte teneur en sels minéraux - - pauvre en sels minéraux
-- Absorption normale des ions par - faible absorption des ions par les
les plantes ; plantes
Propriétés - Intense activité des Bactéries et des - Faible activité biologique (sol
biologiques vers de terre (décomposition, pauvre en êtres vivants micro-
humification : minéralisation) organismes)
TABLEAU DE COMPARAISON DES PROPRIETES D’UN SOL FERTILE ET D’UN SOL
INFERTILE
Structure particulaire Structure compacte Structure grumeleuse
TEXTE 1-Les amendement calcaires
❖ Le chaux vive réservée aux sols très acides, a un fort pouvoir tampon. Elle s’hydrate,
puis se dissocie dans l’eau du sol.
CaO + H2O Ca(OH)2
Ca++ qui se fixe sur le complexe argilo-humique en échange des ions H+
Ca(OH)2
2OH- qui se combinent aux ions H+ libérés pour former l’eau.
Aucun résidu acide n’apparait, l’élévation du pH est rapide.
❖ Le carbonate de calcium convient aux sols légers et en générale aux chaulages.

Les calcaires broyés finement sont attaqués par l’eau chargée de gaz carbonique et par des
acides du sol et transformés en bicarbonate de calcium.
CaCO3 + CO2 + H2O Ca(CO3H)2
Ce bicarbonate soluble se dissocie
Ca(CO3H)2
2CO3H- qui se combinent aux ions H+ libérés pour redonner de l’acide
carbonique (acide faible) qui attaque de nouvelle quantité de calcaire.
La présence de ce résidu acide fait que le pH s’élève moins vite dans le cas d’un apport de
chaux.
❖ Le sulfate de calcium (du plâtre) se dissocie dans l’eau du sol. Cet engrais calcique
apporte beaucoup de calcium aux culture exigeantes : exemple le tabac, l’arachide.
CaSO4
SO4- qui se combinent aux ions H+ libérés pour former de l’acide
sulfurique H2SO4.
Cet acide fort s’oppose à l’élévation du pH, le sol est riche en calcium, mais son pH reste
pratiquement inchangé.
TEXTE 2 : Les amendements humifères

Les amendements humifères servent de supports et d’aliments aux microorganismes, et sont
la source de l’humus et des colloïdes organiques du sol. L’humus substance organique variée,
de couleur brune ou noirâtre, de composition chimique mal définie, résulte de la
décomposition de matières organiques d’origine exclusivement végétale.
La matière organique fraiche subit d’abord une décomposition microbienne : les molécules
complexes se transforment et libèrent des composés simples le plus souvent solubles.
Une partie subit la minéralisation primaire et donne des composés minéraux solubles ou
gazeux (CO2, SO4 −, PO4−). Une autre partie permet l’édification de molécules nouvelles, plus
complexe, de nature colloïdale et de couleur foncée dont l’ensemble forme l’humus : c’est le
phénomène de l’humification. Les composés "composés humiques" contractent des liens plus
ou moins étroits avec les composés minéraux (argiles et oxydes) pour donner le complexe
argilo-humique.
L’humus peut subir une minéralisation dite secondaire pour donner les composés minéraux.
SCHEMA DE LA DECOMPOSITION DE LA MATIERE ORGANISUE FRAICHE, DE

L’HUMIFICATION ET DE LA MINERALISATION
Document 1
Document 2
ORIGINE TYPES COMPOSITION

Engrais vert Végétaux à croissance rapide, du groupe des Légumineuses, à
incorporer au sol
Tourbes Proviennent de la transformation de végétaux dans les
VEGETALE tourbières ou marécages
Tourteaux Résidus obtenus après extraction de matières grasses des
plantes oléagineuses
ANIMALE Guanos Déjections et cadavres d’animaux marins
Fumier Constitué par des déjections d’animaux et les litières placées
sous eux
Composts Mélange de feuilles, d’herbes, de cendres, de résidus de cuisine
MIXTE en décomposition
Terreaux Formés de fumier ou de composts après addition de ferments
bactériens et nitriques
Tableau 1 : différents types d’engrais naturels
Document 1
Document 2
Document 3
QUELQUES TECHNIQUES DE PROTECTION DES SOLS
EXERCICE 1
Un agriculteur cultive une variété de céréale sur une parcelle. Depuis quelques années, il
observe une baisse de sa production. En tenant compte des résultats d’expérimentation déjà
effectuées dans sa région (voir tableau ci-dessous), et pour améliorer sa production,
l’ingénieur agronome de sa ville lui conseille une dose d’engrais de 150kg/ha
Doses d’engrais chimique (kg/ha) 50 100 150 200 250
Rendement (quintaux/ha) 48 67 82.5 80 60
1- Définissez un engrais, puis indiquez les différents types d’engrais qui existent.
2-Dites pourquoi l’ingénieur agronome a conseillé la dose d’engrais de 150kg/ha ?
3-Comment peut-on nommer une telle dose d’engrais ?
4-A partir de cette étude, précisez les effets que l’utilisation d’engrais chimique peut
avoir sur le développement d’une plante.
EXERCICE 2
Deux séries de bacs de végétation contiennent des cultures nourries de solution nutritives :
- L e 1er lot ne contient pas d’humus
- Le 2me lot est additionné d’humus.
Les 2 lots réçoivent des doses croissantes d’azote. On donne dans le tableau ci-dessous le
rendement exprimé en unités arbitraires (u.a) des végétaux.
Doses d’N( g.l) 0.1 0.15 0.20 0.25 0.30 0.35 0.40 0.45 0.50 0.60 0.70
Rdt sans humus 32 48 53 56 55 52 49 45 41 32 20
en u.a
Rdt avec 28 44 56 62 66 68 69 70 70 70 70
humus en ua
- Tracer la courbe du rendement des végétaux en fonction des dose croissantes d’azote.
Echelle : 1cm 10 u.a et 1cm 0.05 g.l
- Analysez chacune et interpretez des courbes.
- Déduisez l’action de l’humus sur le sol et sur le developpement des végétaux
EXERCICE 3
Deux coopératives agricoles du village de Biélé (Man) utilisent, après conseils d’un ingénieur
agronome, des techniques différentes :
-coopérative 1 : apport d’engrais - apport d’humus
-coopérative 2 : paillage-plantes de couverture
1- Indiquez le but recherché par chaque coopérative.
2- Nommez la technique qui consiste à apporter de l’humus au sol.
3- Citez deux autres techniques de protection des sols, en précisant le principe de chacune
d’elle
EXERCICE 4
Des études pédologiques réalisées sur un sol acide dont le rendement est faible ont permis de
réaliser le document ci-dessous.
1-Expliquez l’acidité de ce sol.

2-Déduisez son effet sur la nutrition minérale de la plante.
3-Pour réduire l’acidité de ce sol et par conséquent améliorer son rendement, on décide faire
un amendement calcaire. On dispose de la chaux vive, du carbonate de calcium et du sulfate
de calcium. En solution on a
Ca (OH)2 Ca2+ + 2 OH-
Ca (CO3H)2 Ca2+ + 2 HCO3
CaSO4 Ca2+ + SO42-
a. Identifiez lequel de ces trois produits doit-on utiliser.
b. Justifiez votre réponse.
c. Expliquez pourquoi on ne doit pas utiliser les autres produits.
Après l’apport de ce produit, on applique au sol de l’engrais potassique (KCl).

4-Expliquez l’effet de cet engrais sur le sol.
EXERCICE 5
On établit une comparaison entre une jachère naturelle et des jachères arborées plantée de
l’une des 4 espèces de légumineuses suivantes à croissance rapide. Acacia mangium, Acacia
auriculiformis, Albizzia lebbeck, Leucaena leucocephala.
A la fin de la jachère qui a duré 6 ans, les légumineuses ont été détruites et le maïs a été semé
sur toutes les parcelles. L’analyse du sol effectuée sur toutes les jachères ainsi que le
rendement en grains de maïs ont été comparés. Les résultats sont consignés dans le tableau
suivant.
Jachères arborées
Acacia Acacia Albizzia Leucaena Jachère

mangium auriculiformis lebbeck leucocephala naturelle
pH du sol 6.92 7.09 7.32 7.32 7.12
Carbone (C) (totale matière 19.9 17.3 22.8 20.3 20
organique en %
Azote (N) total en % 1.85 1.59 2.48 2.13 1.05
Rendement en Kg/ha 910 810 950 1320 840
1-Définissez la jachère.
2-la décomposition de la litière est jugée satisfaisante lorsque le rapport carbone/azote (C/N)
est supérieur à 10.
a. Calculez pour chaque jachère le rapport C/N et concluez.
b. Indiquez la propriété du sol mise en évidence par le rapport C/N.
c. Précisez le rôle essentiel des légumineuses dans un sol.
3-Calculez en pourcentage (%), la variation du rendement de différentes jachères en
considérant la jachère naturelle comme témoin.

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REPUBLIQUE DE COTE D’IVOIRE ANNEE SCOLAIRE 2019-2020

MINISTERE DE L'EDUCATION NATIONALE Conseil d'Enseignement des SVT

EDITION VIE & TERRE

Ce support de cours est un recueil de documents

Expérience 1 : Expérience de PAVLOV

1-Un stimulus neutre :

2-Le réflexe inné :

3-Le stimulus absolu :

4-Le réflexe conditionnel :

Choisis dans chaque cas la proposition qui est correcte.

1. Nomme la réaction observée dans la 1ère série d'expériences.

B/ Les figures a, b, c et d du document 2 représentent quelques organes qui interviennent

C/ Le document 3 représente des coupes transversales a et b d’axones de fibres conductrices

1. a) Nomme ce type de comportement.

B/ Un dispositif expérimental a permis de détecter, au niveau des fibres nerveuses de la corde

2. a) Tire une conclusion de chaque expérience.

Eclaire de lumière + viande Eclaire de lumière

1. Construis sur papier millimétré la courbe montrant le comportement du chien vis-à-vis

2. Analyse cette courbe.

1. Nomme les enrégistrements obtenus aux figures 1; 2 et 3B.

a) Justifie l'utilisation de la solution de concentration en ion Na+ est de 450.10-3mol.l-1.

Concentration en ion Na+ (10-3 mol. l-1) 450 230 119

A l’aide de l’échelle ci-après, on construit la courbe de variation de l’intensité du

Intensités de la stimulation (en u.a) 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9

1. Comparez les enregistrements A, B et C.

Structures Fonctions Diamètre Vitesse de

1. Analysez les enregistrements a, b et c du document 2.

Intensité de la stimulation en Place de l’électrode

4. Expliquez les différences entre les enregistrements :

Intensité de la Place de l’électrode d’enregistrement sur

1- Identifie chacune des structures numérotées 1, 2, 3, 4 et 5.

N.B : Seuls l’aspartate et le GABA existent naturellement.

1. a-Les stimulations S3 et S4 ont-elles été efficaces ?

1. Identifie les enregistrements C3 ; C4 ; et C5

1) A partir du tableau, expliquez la différence de vitesse entre ces deux catégories de

1. Pour enregistrer le potentiel d’action, l’on a utilisé une microélectrode réceptrice.

Concentration en mg/g de muscle frais

Condition expérimentale Glycogène ATP Phosphocréatine Réaction du muscle

1) Analysez les résultats de chacune de ces expériences.

La figure 1 représente l’électronographie d’une fibre musculaire en état de repos.

1) Analysez l’évolution du pH au cours de la contraction musculaire.

1. Analyse les graphes du document 1

1. Pour enregistrer le potentiel d’action, l’on a utilisé une microélectrode réceptrice.

1. Analysez les deux états a et b représentés par ces figures.

1. Identifiez les tracés A et B.

1. Précise la nature de ces deux catégories de cellules.

1. Déduisez de cette observation, la caractéristique des battements cardiaques.

3. a-Analysez ces résultats.

1. Représentez puis annotez sur ce schéma le tissu nodal du cœur.

1. Nommez ces différentes courbes.

Document 13 : SCHEMA DE L’INNERVATION CARDIAQUE

Opération initialement Rythme cardiaque

1) Analysez cet enregistrement.

1. Dégage l'intérêt du liquide physiologique.

2. Expliquez alors, à partir de ces observations et de vos connaissances, les mécanismes

Document 01 : Tableau comparatif des constituants du plasma, et de l’urine definitive

Concentration Concentration Concentration

Document 02 : Tableau comparatif des constituants du plasma, de l’urine primitive et de