الامتحان-الوطني-في-الفيزياء-والكيمياء-ترجمة-فرنسية-2020-مسلك-علوم-رياضية-ترجمة-فرنسية-الدورة-العادية
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1
8
المسالك الدولية
*I 0202 الدورة العادية
– الموضوع-
SSSSSSSSSSSSSSSSSSSS NS 30F
7 المعامل )شعبة العلوم الرياضية (أ) و (ب) (خيار فرنسية الشعبة أو المسلك
I- Diffraction de la lumière.
L’acidité d’un lait augmente par fermentation lactique en cas de mauvaise conservation. Le dosage de
l’acide lactique de formule CH3 CHOH COOH permet donc d’apprécier l’état de conservation du lait.
Moins le lait est frais, plus il contient de l’acide lactique.
On se propose de doser l’acide lactique présent dans un lait de vache, qui n’a subit aucun traitement, par une
solution aqueuse d’hydroxyde de sodium. On supposera que l’acidité du lait est due uniquement à l’acide
lactique.
L’acide lactique sera simplement noté HA.
Données :-Toutes les mesures sont effectuées à 25C ;
- Le produit ionique de l’eau : K e 1014 ;
- Masse molaire de l'acide lactique : 90g.mol1 .
Un technicien de laboratoire dose l’acidité d’un lait de vache. Il réalise le titrage pH-métrique à l’aide de la
solution aqueuse (SB ) d’hydroxyde de sodium de concentration molaire CB . Pour cela il introduit , dans un
bécher un volume VA 25,0 mL de lait, puis il verse progressivement un volume VB de la solution (SB ) et note
pour chaque volume versé le pH du mélange réactionnel.
On note VBE le volume de la solution d’hydroxyde de sodium versé à l’équivalence et K A la constante
d’acidité du couple HA(aq) / A(aq) .
2-1- Ecrire l’équation chimique modélisant la réaction du dosage. (0,5pt)
2-2- Etablir la relation permettant de déterminer la concentration CA en acide lactique du lait en fonction
de VA , CB et VBE . (0,5pt)
2-3- Etablir la relation : VB .10 pH K A .(VBE VB ) avec 0 VB VBE .(0,75pt)
2-4- La courbe de la figure 1 représente les variations de 10 pH.VB en fonction de VB : 10 pH.VB f (VB ) .
En s’aidant de la courbe de la figure 1 :
2-4-1-déterminer le volume VBE et en déduire la concentration CA .(0,5pt)
-
2-4-2-déterminer le pK A du couple HA(aq) /A(aq) .(0,5pt)
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8 ) شعبة العلوم الرياضية (أ) و (ب) (خيار فرنسية- الفيزياء والكيمياء: مادة-
5.10 4
VB (mL)
0
2 4 Figure 1
La pile chrome-argent est composée de deux compartiments liés par un pont salin. Le compartiment(1) est
constitué d’une lame de chrome plongée dans un volume V=100 mL d’une solution aqueuse de nitrate de
3+
chrome (III) Cr(aq) +3NO3(aq) de concentration molaire initiale Cr(aq)
3
C1 0,100 mol.L1 .Le
i
compartiment(2) est constitué d’une lame d’argent plongée dans le volume V d’une solution aqueuse de
nitrate d’argent Ag(aq) NO3(aq) de concentration molaire initiale Ag (aq)
= C1 .
i
Données :
3+
- Couples intervenant dans la réaction : Cr(aq) / Cr(s) ; Ag(aq) / Ag(s) ;
- Constante de Faraday : 1F 9,65.104 C.mol1 ;
- Masse molaire: M(Cr) 52g.mol1 .
On monte en série avec la pile un conducteur ohmique (D) , un ampèremètre (A) et un interrupteur K .
A un instant de date t 0 = 0 on ferme le circuit, l’ampèremètre indique alors le passage d’un courant électrique
d’intensité positive constante I 0 lorsque sa borne COM est reliée à l’électrode de chrome.
Au cours du fonctionnement de la pile, la masse de l’une des électrodes diminue de 52 mg après une durée
t t1 t 0 de fonctionnement.
1-Ecrire l’équation bilan lors du fonctionnement de la pile.(0,5 pt)
2-Déterminer l’avancement de la réaction du fonctionnement de la pile à l’instant t1 .(0,5 pt)
3- Déduire à l’instant t1 la concentration molaire des ions chrome Cr 3 .(0,5 pt)
4 - Sachant que l’intensité du courant est I0 = 50 mA , trouver la valeur de l’instant t1 .(0,75 pt)
I- Diffraction de la lumière
Une fente de largeur a est éclairée avec une lumière laser ,rouge ,de longueur d’onde 1 632,8nm , puis par
une lumière jaune, d’une lampe à mercure, de longueur d’onde 2 inconnue . Sur un écran situé à la distance
D de la fente, on visualise successivement les figures de
diffraction obtenues. En lumière rouge, la tache centrale a une Ecran
largeur X1 6,0cm et en lumière jaune une largeur X2 5, 4cm .
2- On se limite dans le cas de faibles écarts angulaires où tan avec exprimé en radian.
2-1- Donner l’expression permettant de déterminer l’angle en utilisant exclusivement les grandeurs
présentes sur la figure.(0,25pt)
2-2- Montrer que le rapport est constant pour un dispositif expérimental donné et déduire la longueur
X
d’onde 2 .(0,75pt)
3-Si on réalise la même expérience en utilisant une lumière blanche, on observe une tache centrale blanche et
des taches latérales irisées .Interpréter l’aspect de la figure observée.(0,5pt)
4- Calculer la longueur d’onde de la lumière rouge du laser utilisé lorsqu’elle se propage dans un milieu
d’indice n 1,5 ainsi que sa vitesse de propagation dans ce milieu. (0,5pt)
II-Désintégration de l’oxygène 15
La tomographie par émission de positrons , (dénommée PET « positron emission tomography » ), est une technique
d'imagerie médicale pratiquée en médecine nucléaire qui permet d’obtenir des images précises de quelques organes du
corps en trois dimensions dans lesquels il pourrait y avoir des maladies comme le cancer . Parmi les substances
radioactives utilisées on cite le fluor, l’oxygène, l’azote…
Dans cet exercice on utilise l’oxygène 15( 158 O ) qui est l’un des isotopes de l’oxygène .
En PET, on détecte les molécules d’eau (présentes en grande quantité dans le cerveau) en utilisant de l’eau
radioactive(eau marquée à l’oxygène 15( 158 O ) )que l’on injecte au sujet par voie intraveineuse.
L’oxygène 15 se désintègre en un noyau AZ X avec émission d’un positron.
4-Pour poursuivre l’examen par PET, on suppose qu’il est nécessaire de procéder à une nouvelle injection
lorsque l’activité a(t1 ) du noyau d’oxygène 15 restant à l’instant de date t1 est de l’ordre de 0,15% de
l’activité initiale a 0 de l’injection à t 0 .
Justifier, par calcul, que l’on puisse faire une nouvelle injection au bout d’un temps proche de
t 20 min .(0,5 pt)
Les composants tels les résistors, les condensateurs, les bobines, les diodes …sont utilisés dans différents
circuits des appareils électriques et électroniques ….
On se propose d’étudier dans cet exercice : (1) K (2)
la réponse d’un dipôle RC à un échelon de tension
ascendant ;
les oscillations libres et forcées dans un circuit RLC
série. i (b)
On réalise le montage schématisé sur la figure1 E uC
C
comportant :
- un générateur idéal de tension de f.e.m E ;
- un conducteur ohmique de résistance R réglable ; R
- un condensateur de capacité C initialement déchargé ;
- un interrupteur K ; Figure 1
- une bobine (b) d’inductance L et de résistance r =12 .
i(A)
1-Charge du condensateur
On ajuste la résistance R sur la valeur R R 0 40 .
A l’instant t = 0, on place l’interrupteur K en position (1) .
1-1-Etablir l’équation différentielle vérifiée par la charge
q(t) du condensateur. (0,5pt)
1-2- La courbe de la figure 2 représente les variations de
0,1
l’intensité i(t) en fonction de q(t) .
En s’aidant du graphe de la figure 2, trouver :
0,05
1-2-1-la valeur de E. (0,25pt)
1-2-2-la valeur de la constante de temps. (0,5pt) q(C)
1-3-Vérifier que C 2,5 F . (0,25pt) 0
5 10 Figure 2
2-1-1-Montrer que l’équation différentielle régissant l’évolution de la charge q(t) du condensateur s’écrit :
d 2q(t) dq(t) q(C)
2
+ A. + B.q(t) = 0 où A et B sont deux
dt dt
constantes positives. (0,5pt)
2-1-2- Déterminer la valeur de la tension aux bornes
de la bobine juste après le basculement de
l’interrupteur K en position (2) .(0,25pt) t1 t(ms)
0
2-1-3- En considérant que la pseudopériode des
oscillations est égale à la période propre du circuit LC,
vérifier que L =1, 0 H .(On prend 2 10 ).(0,25pt) 10 C
On alimente le circuit, formé par les dipôles précédemment utilisés(la bobine(b), le conducteur ohmique de
résistance réglable R et le condensateur de capacité C)par un
R (L, r) C
générateur GBF délivrant une tension alternative sinusoïdale
u(t) Um cos(2..N.t ) de fréquence N variable (figure 4).
L’intensité du courant passant dans le circuit s’écrit :
i(t) Im cos(2..N.t) . A
On ajuste la résistance R sur la valeur R 2 .
On visualise, à l’aide d’un système d’acquisition informatique GBF
adéquat, la tension u R (t) aux bornes du conducteur ohmique sur la
Figure 4
voie YA et la tension u(t) aux bornes du générateur sur la voie YB .
On obtient l’oscillogramme représenté sur la figure 5.
3-1-Déterminer l’intensité indiquée par l’ampèremètre sachant 1V
2ms
que l’impédance du circuit mesurée est Z 390, 4 . (0,5pt)
3-2- Calculer la valeur de R 2 .(0,5pt)
3-3-Ecrire l’expression numérique de la tension u(t) .(0,75pt)
Figure 5
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On étudie dans cette partie le mouvement d’un skieur sur un plan incliné dans deux cas :
- Premier cas : la force de frottement fluide exercée par l’air est négligeable,
- Deuxième cas : la force de frottement fluide exercée par l’air n’est pas négligeable.
Un skieur glisse sur une piste plane inclinée d’un angle 45 par rapport au plan horizontal, selon la
ligne de plus grande pente (Figure 1).
On modélise le skieur et ses accessoires par un système solide (S) de masse m = 75kg et de centre
d’inertie G .
On étudie le mouvement de G dans un repère orthonormé (O,i,j) lié à un y
j
référentiel terrestre supposé galiléen. O
A l’instant t = 0 , le skieur part sans vitesse initiale. A cet instant, G i
coïncide avec l’origine O du repère (O,i,j) (Figure 1) .
G
-2
On prendra l’accélération de la pesanteur : g = 10 m.s et on négligera
la poussée d’Archimède.
En plus des mêmes forces exercées sur (S) dans le premier cas, (S) est soumis à des frottements fluides dûs à
l’air que l’on modélise par la force F v , où v est la vitesse du centre d’inertie G à un instant t et une
constante positive de valeur = 5 S.I. .
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2-1- En utilisant la deuxième loi de Newton, montrer que l’équation différentielle du mouvement de G
dv
s’écrit : + A.v + B = 0 avec v vi et A et B deux constantes.(0,5pt)
dt
Partie II :Mouvement d’une sphère chargée dans le champ de pesanteur et dans un champ électrique
Deux plaques métalliques verticales (A)et (C) sont placées dans le vide à une distance d l’une de l’autre et
sont soumises à une tension VA VC U0 positive. La longueur de chaque plaque est . Entre les deux
plaques, règne un champ électrostatique uniforme E (figure 3).
Une petite sphère (S) pesante de masse m, portant une charge positive q, est abandonnée sans vitesse initiale à
l’instant t = 0 du point M 0 .
On étudie le mouvement du centre d’inertie G de la sphère (S) dans un repère orthonormé R(O,i, j) lié au
référentiel terrestre considéré galiléen. Les coordonnées du point M 0 dans le
y
d
repère R(O,i, j) sont : ( x 0 ; y0 )(figure 3).Entre les deux plaques la M0
2
sphère est soumise en plus de son poids à la force électrostatique F qE .
q (A) E (C)
Données : g =10 m.s-2 ; =1m ; d = 4cm ; α= =10-6 C.kg -1 .
m
j
U
On rappelle que : E 0 .
d O x
i d P
1- En appliquant la deuxième loi de Newton, établir les équations horaires 2
du mouvement x(t) et y(t) du centre d’inertie G en fonction de U 0 et Figure 3
. .
/
Exercice 1 : Chimie (6,5 points)
Première partie : dosage de l’acide lactique dans un lait
1-1-Etablissement de l’expression de pH :
K
D’après le produit ionique de l’eau : K e = [H3 O+ ]éq . [HO− ]éq ⟹ [H3 O+ ]éq = [HO−e]
éq
K
On a : pH = −log[H3 O+ ]éq ⟹ pH = −log ([HO−e] )
éq
Ke CB
pH = −log ( ) ⟹ pH = log ( ) ⟹ pH = logCB − logK e (1)
CB Ke
1-2-Vérification de la valeur de CB ∶
C C
D’après la relation (1) : pH = log (KB ) ⟹ KB = 10pH ⟹ CB = K e . 10pH
e e
2-2-Etablissement de la relation de CA :
Le tableau d’avancement :
Avant l’équivalence 0 < VB < VBE le réactif limitant est HO− donc : xmax = CB . VB
x C .V CA .VA −xmax CB .VBE −CB .VB
[A− ]éq = max = B B ; [HA]éq = =
V +V
A V +VB A B VA +VB VA +VB
CB . VB
VA + VB VB
K A = 10−pH . = 10−pH .
CB . VBE − CB . VB VBE − VB
VA + VB
VB . 10−pH = K A . (VBE − VB )
La courbe VB . 10−pH = f(VB ) est une fonction affine, son équation s’écrit : VB . 10−pH = aVB + b (2)
10−3 −0
a est le coefficient directeur : a = 4,4.10−3 −12,4.10−3 = −0,125
a = −K A b K A . VBE
{ ⟹ = = −VBE
b = K A . VBE a −K A
b
VBE = −
a
−1,55.10−5
VBE = − = 12,4.10−3 L
−0,125
VBE = 12,4 mL
Déduction de CB :
2-4-2-Détermination de pK A ∶
On a : a = −K A ⟹ K A = −a
pK A = −logK A = − log(−a)
pK A = − log(1,55.10−5 ) ⟹ pK A = 3,90
2
2-5- Le lait étudié est-il frais ?
m
CA . V = ⟹ m = CA . M. V
M
m = 2,48.10−2 × 90 × 1 = 2,23 g
1,0.10−1 g → 1 °D
On a : { ⟹ x°D = 22,32 °D
2,23 g → x° D
2- L’avancement à t1 :
Le tableau d’avancement :
∆n(Cr) = −x
∆m(Cr) |∆m(Cr)| 52.10−3
{ ∆m(Cr) ⟹ = −x ⟹ x = ⟹x= = 10−3 mol. L−1
∆n(Cr) = M(Cr) M(Cr) 52
M(Cr)
n(Cr 3+ ) C1 . V + x x 10−3
[Cr 3+ ] = = ⟹ [Cr 3+ ] = C1 + ⟹ [Cr 3+ ] = 0,1 + = 0,11 mol. L−1
V V V 0,1
4- La valeur de t1 ∶
3 × 10−3 × 96500
t1 = = 5,79.103 s ⟹ t1 = 1h 36 min 30 s
50.10−3
3
Exercice 2 : Ondes (2,5 points)-Transformation nucléaires (2,25 points)
𝐈 – Diffraction de la lumière
4-affirmations fausses.
2-1- L’expression de θ ∶
X
D’après la figure ci-contre : tanθ = 2D
λ
L’expression de L’écart angulaire θ ∶ θ = a (2)
λ X λ a
D’après (1) et (2) : a = 2D on écrit : = 2D
X
a = cte λ
{ ⟹ = cte
D = cte X
Déduction de λ2 ∶
a a
λ2 = . X2 λ2 2D . X2 λ2 X 2 X2
{ 2D ⟹ = a ⟹ = ⟹ λ2 = . λ1
a λ1 λ1 X1 X1
λ1 = .X
2D 1 2D . X1
5,4 cm
λ2 = × 632,8 nm ⟹ λ2 = 569,5 nm
6,0 cm
4- Calcul de λR et ∨R :
λ1 λ1 632,8
On a : n = ⟹ λR = A. N ∶ λR = ⟹ λR = 421,86 nm
λR n 1,5
c c 3.108
On a : n = ∨ ⟹ ∨= n A. N ∶ ∨= ⟹∨= 2.108 m. s −1
1,5
4
𝐈𝐈 − Désintégration de l’oxygène 15
15 = A + 0 A = 15
{ ⟹{
8= Z+1 Z= 8−1= 7
𝟏𝟓 𝟏𝟓
𝟖𝐎 ⟶ 𝟕𝐗 + 𝟎𝟏𝐞
2- Détermination de |∆E| :
N0
p=
N
N m m
= ⟹N= .N
NA M(H2 O) M(H2 O) A
m ρ. V
ρ= ⟹ m = ρ. V ⟹ m = .N
V M(H2 O) A
ln2
On a : a0 = λ. N0 avec : λ = t
1⁄2
a0 a0 . t 1⁄2
N0 = =
λ ln2
a0 . t 1⁄2 M(H2 O)
p= .
ln2 ρ. V. NA
3,7.107 × 122 × 18
p= = 3,89. 10−14 ⟹ p = 3,89. 10−16 %
ln2.6,022. 1023 × 1 × 5
uR + uC = E ⟹ R 0 . C. i(t) + C. uC = C. E
dq(t)
R 0 . C. + q(t) = C. E
dt
dq(t) 1 E
+ . q(t) =
dt R0. C R0
E
et b l’ordonnée à l’origine : b = R
0
1-2-1- La valeur de E ∶
E
b = R ⟹ E = b. R 0 graphiquement on trouve : b = 0,25 A
0
E = 0,25 × 40 = 10 V
1-2-2- La valeur de τ ∶
1 1
a=− ⟹τ=−
τ a
∆i 0,25 − 0,05
a= = = −10−4 s −1
∆q 0 − 20. 10−6
τ = 10−4 s
6
1-3- Vérification de la valeur de C ∶
τ
τ = R0. C ⟹ C =
R0
10−4
C= = 2,5.10−6 F ⟹ C = 2,5 μF
40
uC + uR + uL = 0
di
C. uC + R1 . C. i(t) + r. C. i(t) + L. C. =0
dt
dq(t) d2 q(t)
q(t) + (R1 + r). C. + L. C. =0
dt dt 2
d2 q(t) R1 + r dq(t) 1
+( ). + . q(t) = 0
dt 2 ⏟ C dt ⏟
L. C
=A =B
R1 +r 1
On pose : A = et B = L.C
C
d2 q(t) dq(t)
2
+ A. + B. q(t) = 0
dt dt
⏟ = 0 وuC (0) = E
uR (0) = R1 . i(0)
=0
On a : T0 = 2π√L. C
T02
T02 = 4π2 L. C ⇔ L =
4π2 . C
(10.10−3 )2
L= ⟹ L = 1,0 H
4 × 10 × 2,5.10−6
7
2-1-4- L’énergie dissipée par effet Joule :
On a : ∆ET = ET (t1) − ET (t = 0)
A l’instant t1 ∶
1 1 2
ET (t1 ) = Em (t1 ) + Ee (t1 ) = L. i12 + .q
2 2C 1
A l’instant t = 0 ∶
On a : A > 2√B
R+r 1 1 L
> 2√ ⟹ R T > 2L. ⟹ R T > 2√ ⟹ R T > R C
L L. C √L. C C
L
On a : R C = 2√C
1⁄2
[L]
[R C ] = ( )
[C]
[U]. [t] [I]. [t]
[L] = ; [C] =
[I] [U]
1⁄2
[U]2 [U]
[R C ] = ( 2 ) = ⟹ [R C ] = [R]
[I] [I]
8
- La valeur minimale de R ∶
L L
R T > R C ⟹ R + r > R C ⟹ R > R C − r ⟹ R > 2√ − r ⟹ R min = 2√ − r
R R
1
R min = 2√ − 12 = 1252,91Ω ⟹ R min = R ≈ 1253 Ω
R = 2,5.10−6
Um
Ieff =
Z√2
Graphiquement : Um = 3V
3
A. N : Ieff = 390,4 = 5,43. 10−3 A ⟹ Ieff = 5,43 mA
√2
URm URm
URm = R 2 . Im ⟹ R 2 = ⟹ R2 =
Im Ieff . √2
2
R2 = = 260,44 Ω ⟹ R 2 ≈ 260 Ω
5,43. 10−3 × √2
π
u(t) = Um . cos(2πN. t + φ) ⟹ u(t) = 3. cos (250π. t + )
4
∑ ⃗Fext = m. a⃗G ⟹ ⃗P + ⃗N
⃗ + ⃗T = m. a⃗G
Projection sur Ox :
Px + 0 + Tx = m. ax ⟹ P. sinα − T = m. aG ⟹ m. g. sinα − T = m. aG
T
aG = g. sinα −
m
Projection sur Oy :
T k. N k. m. g. cosα
aG = g. sinα − ⟹ aG = g. sinα − ⟹ aG = g. sinα −
m m m
aG = g. sinα − k. g. cosα ⟹ aG = g. (sinα − k. cosα)
∆∨ 1,4 − 0
aG = ⟹ aG = ⟹ aG = 0,7 m. s −2
∆t 2−0
10
Deuxième cas : Mouvement du skieur avec frottement fluide
intensité : F = λ.∨
Application de la deuxième loi de Newton, dans le repère (O, ⃗i , j ) lié à un référentiel
terrestre supposé galiléen :
⃗ ext = m. a⃗G ⟹ P
∑F ⃗ +N
⃗⃗ + T
⃗ +F
⃗ = m. a⃗G
Projection sur Ox :
d∨ d∨
Px + 0 + Tx + Fx = m. ax ⟹ P. sinα − T − λ.∨= m. ⟹ m. g. sinα − T − λ.∨= m.
dt dt
T λ d∨ d∨ λ T
g. sinα − − .∨= ⟹ + .∨ + − g. sinα = 0
m m dt dt m m
λ T d∨
On pose : A = m et B = m − g. sinα ⟹ L’équation différentielle s’écrit : + A.∨ +B = 0
dt
T
B − g. sinα m. g. sinα − T m. g. sinα − k. N
0 + A.∨ℓ + B = 0 ⟹∨ℓ = − ⟹ ∨ℓ = − m = =
A λ λ λ
m
m. g. sinα − k. m. g. cosα sinα − k. cosα
∨ℓ = ⟹ ∨ℓ = m. g
λ λ
sin(45°) − 0,9 × cos(45°)
∨ℓ = 75 × 10 × ⟹ ∨ℓ = 10,6 m. s −1
5
2-3-La valeur de ∨2 ∶
11
∨2 = (−B − A.∨1 ). ∆t +∨1
∨2 = (−(−0,71) − 0,067 × 6,30) × 1,40 + 6,30 ⟹ ∨2 = 6,70 m. s −1
q
a⃗G = ⃗g + . ⃗E
m
Ex = E → (E⃗ ∥ ⃗⃗⃗⃗
Ox ) ⃗ ⊥ ⃗⃗⃗⃗
g x = 0 → (g Ox )
⃗ {
E ; ⃗g {
⃗ ⊥ ⃗⃗⃗⃗⃗
Ey = 0 → (E Oy) g y = −g → (E⃗ ∥ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
Oy )
d
C1 =∨0x = 0 C3 = x0 =
{C =∨ = 0 ↔ { 2
2 oy
C4 = yo = ℓ
q d ∨x q q q
ax = g x + . Ex = . E intergation ∨x = E. t + C1
m dt m ∨x = E. t
⃗aG { q ⟹{ → ⃗∨G { m ⟹{ m
d ∨y ∨ = −g. t + C ∨ = −g. t
a y = g y + . Ey = −g y 2 y
m dt
dx q 1q 1q d
= E. t intergation x(t) = E. t 2 + C3 x(t) = E. t 2 +
{ dt m → { 2m ⟹{ 2m 2
dy 1 2 1 2
= −g. t y(t) = − g. t + C4 y(t) = − g. t + ℓ
dt 2 2
U0 q
On a : E= et α = m
d
1 U0 2 d
x(t) = α .t +
{ 2 d 2
1 2
y(t) = − g. t + ℓ
2
12
1 −6
U0 2
4. 10−2
x(t) = . 10 . .t + −5 2 −2
A. N: { 2 4.10−2 2 ⟹ { x(t) = 1,25.10 . U0 . t + 2.10
1 y(t) = −5. t 2 + 1
y(t) = − × 10. t 2 + 1
2
2- L’équation de la trajectoire :
x − 2.10−2
x = 1,25.10−5 . U0 . t 2 + 2.10−2 ⟹ 1,25.10−5 . U0 . t 2 = x − 2.10−2 ⟹ t = √
1,25.10−5 . U0
2
x − 2.10−2
y = −5. t + 1 ⟹ y = −5. +1
1,25.10−5 . U0
5 5.2. 10−2 4.105 8.103
y=− .x + +1 ⟹y=− .x + +1
1,25.10−5 . U0 1,25.10−5 . U0 U0 U0
3- Montrons que U0 = 8 kV ∶
Au point P on a : P(xP = d, yP = 0)
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