TD_Phy_G-Archi
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Dans un repère orthonormé (~ex , ~ey , ~ez ), on considère les points A(7, 4, 1) et B(−2, 5, 3).
On demande :
7. Les coordonnées des points A et B relativement au repère (0, ~ex0 , ~ey0 , ~ez 0 ) où ~ex0 = ~ey , ~ey0 = ~ex .
−−→ −→ −−→
Trouver les coordonnées du point D0 défini par OD0 = OA ∧ AB. Est-ce que D0 coïncide avec D ?
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Exercice 4 : axe central
Un demi-disque de centre C est soumis à trois forces dans le plan du disque. En quel point de la
→
−
circonférence faut-il appliquer une force pour maintenir le demi-disque en équilibre ? | F A | = 3, 5 N ,
→
− →
−
| F B | = 4, 3 N , | F C | = 5, 1 N . (Idée : trouver l’axe central du torseur des trois forces.)
Un hélicoptère doit soulever une dalle de 900 kg. Les câbles sont attachés selon le schéma. Déterminer
la tension dans chaque câble. Déterminer la tension dans chaque câble.
Données : A(0; 0; 1), B(0; −1; 0), C(0, 6; 1, 2; 0) et D(−0, 5; 1, 4; 0), [L] = m et g = 9, 81 ms−2 .
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z
O C
y
B C
Exercice 7
Exercice 8
−→ −−→ −−→ −→ −−→
Soit un parallélépipède rectangle construit sur 3 arêtes OA, OB, OC, telles que [OA] = 3a, [OB] = 4a,
−−→ −→ −
−→ −
−→
[OC] = 5a. Soit (0, ~ex , ~ey , ~ez ) un repère tel que : ~ex = OA
3a ; ~
e y = OB
4a et ~
e z = 5a . On désigne par [T]
OC
−−→ −−→
le torseur de deux vecteurs glissants AB et CD.
→
− −−−→
1/◦ Calculer la somme S et le moment M(0) du torseur [T ].
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EXERCES DE TRAVAUX DIRIGÉS, SÉRIE No 2
THÈME : MÉCANIQUE DU POINT MATÉRIEL
Un randonneur se situant en un point A s’est égaré en forêt. Il marche alors pendant 2 h à la vitesse
v1 = 6 km/h dans la direction Nord-Est jusqu’à un point B puis 1 h 30 dans la direction Sud à la
vitesse v2 = 4 km/h avant de retrouver la sortie de la forêt en C.
1. Déterminer la distance totale (AC) parcourue par le randonneur entre le point de départ A et le
point d’arrivée C.
3. Dans quelle direction aurait-il dû partir ? Donner l’angle en degrés que fait cette direction avec
l’axe Ouest-Est.
Un tracteur partant d’un point A situé sur une route rectiligne doit atteindre un point B situé dans
un champ à la distance d = CB de la route, et ce, dans un temps minimal (voir figure ci-dessous). On
suppose les trajets successifs AD et DB rectilignes et parcourus à vitesse constante par le tracteur
qui va deux fois moins vite dans le champ que sur la route. On pose AC = l et AD = x.
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Exercice 3 : Mouvement rectiligne uniformément varié.
Sur le quai d’une gare, une voyageuse, en retard court, pour essayer de prendre son train, à une vitesse
constante v = 8 m.s−1 . Le train démarre alors qu’elle est encore à 100 mètres du dernier wagon.
L’accélération constante du train est de a = 0, 5 m.s−2 .
1. La voyageuse rejoindra-t-elle son train ? Sinon, à quelle distance minimale s’en trouvera-t-elle ?
2. Reprendre la question 1 dans le cas où le démarrage du train a lieu lorsque le dernier wagon est
à 40 m de la voyageuse.
3. Quelle devrait être, à l’instant du démarrage, la distance minimale entre le train et la voyageuse
pour que celle-ci atteigne effectivement le dernier wagon ?
Soit un avion pouvant accélérer à 12 m · s−2 et qui doit atteindre la vitesse de 200 km · h−1 pour
décoller. On veut savoir si cet avion est capable de décoller depuis la piste du porte-avions Charles de
Gaulle (la longueur de la piste est de 194,5m).
Un point matériel M est animé d’un mouvement par rapport à un repère à R(O, ~ux , ~uy , ~uz ), défini
par les équations horaires suivantes (en coordonnées cartésiennes) : x = acos(θ), y = asin(θ) et z = ht ;
où θ est fonction du temps, a et h sont des constantes positives, h = 0, 1m.
Un pilote de chasse fait un looping. La trajectoire circulaire est située dans un plan vertical. La
vitesse est supposée constante et égale à 1800 km · h−1 . Sachant que le corps humain ne peut pas
supporter une accélération supérieure à 10g (g = 10 m · s−2 ), calculer le rayon minimal que le pilote
peut donner à la trajectoire.
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Exercice 7 : système de coordonnées polaires, mouvement circulaire
uniforme varié
Un point M est en mouvement décrit par les équations horaires suivantes (dans le système polaire) :
θ(t) = ωt, r(t) = at2
ω et a sont des constantes positives.
Une masse m supposée ponctuelle est accrochée à un ressort dont l’autre extrémité est fixe. Le ressort
est vertical, de coefficient de raideur k, de longueur à vide l0 .
(b) la masse oscille dans un liquide visqueux qui exercice une force de frottement visqueux
f~ = −α~v .
Un traîneau de masse m = 200 kg est tiré suivant une ligne de plus grande pente d’un plan incliné
par l’intermédiaire d’un câble faisant un angle β avec celui-ci (voir figure ci-après).
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2. On augmente la tension et le mou- vement du traîneau devient uniformément accéléré.
→
−
(a) Le coefficient de frottement traîneau-sol restant identiques, la réaction R est-elle modifiée ?
(b) La vitesse du traîneau passe de 10 km.h−1 à 20 km.h−1 sur une distance de 10 m. Calculer
la puissance exercée par la tension du câble lorsque la vitesse vaut 15 km.h−1 .
On dispose d’un ressort à boudin BC, de raideur k = 20 N.m−1 , de masse négligeable, de longueur à
vide l0 = 10 cm et d’une masse m = 100 g considérée comme ponctuelle fixée à l’une de ses extrémités.
On attache l’extrémité B du ressort à un fil inextensible de masse négligeable, de longueur l1 = 40 cm.
L’autre extrémité du fil est fixée à l’extrémité supérieure d’une tige verticale qui, en tournant, entraîne
le fil, le ressort et la masse d’un mouvement de rotation uniforme (voir figure ci-après).
Après un régime transitoire, l’angle θ entre le fil et la tige verticale prend une valeur constante égale
à 60°.
2. Quelle est, en nombre de tours par seconde, la vitesse de rotation de la tige ? On prendra
g = 10 m.s−2 .
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EXERCES DE TRAVAUX DIRIGÉS, SÉRIE No 3
THÈME : STATIQUE DES SOLIDES INDÉFORMABLES
M
h
L’eau exerce sur la paroi du barrage une action mécanique définie par la densité surfacique : f~M =
ρe g(h − z)~ex , avec :
— ρe , la masse volumique de l’eau ;
— g, l’accélération de pesanteur ;
— z, l’abscisse du point M .
Ne ne considérant que l’unité de longueur du barrage :
2) Calculer le poids du barrage ainsi que la position de son centre de gravité G suivant l’axe (O, ~ex ).
→
−
3) Soit R la résultante générale du torseur d’action mécanique du sol sur le barrage. Déterminer :
(a) Le point d’intersection I de l’axe central du torseur d’action mécanique du sol sur la barrage
avec l’axe centre (O, ~ex ).
(b) La valeur minimum du coefficient de frottement f entre le sol et le barrage pour que le barrage
ne glisse pas sur le sol.
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Exercice 2 :
−→ −→
Trouver les forces FB et FC exercées par le mur (figure ci-dessus) ; le câble est de poids négligeable et
les poids de la poutre et du corps suspendu sont 15 et 300 kg. (Au point fi il y a un pivot, c’est-à-dire
que le moment des forces agissant sur B est nul.)
Exercice 3
On maintient une poutre en équilibre statique à l’aide d’une charge P suspendue à un câble inextensible
de masse négligeable, passant par une poulie comme indiqué sur la figure. La poutre a une longueur de
8 m et une masse de 50 Kg et fait un angle de 45° avec l’horizontale et 30° avec le câble. Déterminer
la tension dans le câble ainsi que la grandeur de la réaction en A ainsi que sa direction par rapport à
l’horizontale.
Exercice 4
Trouver la force minimale nécessaire pour élever un disque de faible épaisseur, de 350 kg et 2 m de
→
−
diamètre au-dessus d’une marche de 40 cm de hauteur sous l’action d’une force F horizontale appliquée
au point D situé à la même hauteur que le centre O du disque (figure ci-après). (On considère qu’à
tout instant le cylindre est en équilibre.)
On donne g = 10 m.s−2 .
F C
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Exercice 5
Une barre homogène de longueur 20 m, pesant 40 kg est appuyée contre un mur parfaitement lisse
en un point B situé à 16 m du sol. Son centre de gravité est situé à 1/3 de sa longueur à partir du
bas. Un homme pesant 70 kg grimpe jusqu’au milieu de l’échelle et s’arrête. On suppose que le sol est
rugueux et que le système reste en équilibre statique.
Déterminer les réactions aux points de contact de l’échelle avec le mur et le sol.
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