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“Malheureux à qui n’a plus rien à désirer!

” Présent est déficitaire, se contenter de ce que l’on


possède pour atteindre la sérénité.
Nous avons tout pour être heureux . Le présent est un authentique bonheur.

Il est essentiel de cesser de repousser le bonheur à plus tard, car chaque jour perdu à attendre
un moment idéal est une opportunité manquée de savourer les petites joies de l'instant présent
et de construire un épanouissement durable ici et maintenant.

Parle de bonheur comme quête

Effort fourni aujourd’hui pour bonheur demain, le bonheur se construit, insatisfaction

Bonheur comme sentiment


nostalgique

On peut passer du bonheur

Relation complexe entre le bonheur


et le désir

Constante quête du bonheur


“Malheureux à qui n’a plus rien à désirer!” Présent est déficitaire, se contenter de ce que l’on
possède pour atteindre la sérénité.
Rousseau → “N’est-on pas jamais heureux qu’on nous attendant de l'être”

Satisfaction des désirs = être heureux


Bonheur = satisfaction des attentes

Vivons comme des êtres incomplet,la quête du bonheur est vaine , rien ne vient remplir ce qui
nous manque

Le bonheur se présente comme un état où rien ne manque

Fiche de Révision : Le Bonheur et le Présent

Le bonheur différé: Si nous attendons le bonheur, c'est que nous ne le trouvons pas dans le
présent.
Le présent déficitaire: Notre perception d'un présent "déficitaire" nous pousse à reporter le
bonheur.
Le bonheur comme complétude: Nous associons le bonheur à un état de plénitude où tous
nos désirs sont satisfaits.
L'idéalisation du bonheur: Cette vision du bonheur est très idéalisée et difficile à atteindre
dans la vie réelle.
La comparaison avec les Dieux:Le bonheur est comparé à la félicité éternelle des Dieux, ce
qui souligne son caractère inaccessible.
L'invitation à la réflexion: La phrase nous encourage à réfléchir à notre perception du bonheur
et à l'apprécier dans le présent.

Le rôle du désir:Le bonheur est lié à la satisfaction de nos désirs.

La perception du présent: Notre perception du présent influence notre capacité à ressentir le


bonheur.
L'inaccessibilité du bonheur idéal: Le bonheur parfait et éternel est une notion idéale et
difficile à atteindre.

Fiche de Révision : Le Lièvre du Bonheur

Le lièvre du bonheur: La phrase utilise l'image d'un lièvre pour symboliser le bonheur que
nous poursuivons tous.
L'objectif de vie: Le bonheur est le but ultime de nos actions
quotidiennes.
L'impossibilité de l'atteindre: Malgré nos efforts, le bonheur reste
inaccessible.
L'épuisement: La poursuite incessante du bonheur nous épuise.
La perfection inaccessible: La perfection et le bonheur parfait
n'existent pas dans notre monde.
“Malheureux à qui n’a plus rien à désirer!” Présent est déficitaire, se contenter de ce que l’on
possède pour atteindre la sérénité.
Le paradoxe de l'existence: Ce qui nous motive à vivre est quelque chose que la vie
elle-même ne peut nous offrir.

La nature illusoire du bonheur: Le bonheur est une notion illusoire et impossible à atteindre.

Geste pathétique → Quand on atteint pas le bonheur on fait des gestes pathétique & inutile

Ataraxie : état de tranquillité parfaite de l'âme, sans troubles ni passions, recherché par les
philosophies antiques comme les Épicuriens et les Stoïciens.

Fiche de Révision : Désir et Bonheur

I. Problématique

●​ Le bonheur est-il possible lorsque nous sommes dominés par le désir ?


●​ Peut-on être heureux ici et maintenant, sans attendre de satisfaction future ?

II. Le désir comme obstacle au bonheur

1.​ Critique du désir :​

○​ Le désir est infini et insatiable, ce qui mène à un sentiment d'insatisfaction


permanent (Platon, Gorgias : métaphore du « tonneau percé »).
○​ La poursuite du désir nous éloigne du bonheur, car chaque satisfaction
éphémère relance une nouvelle attente.
2.​ La sagesse antique : suspendre les attentes :
○​ Bonheur = absence de désir (ataraxie).
○​ Les Anciens (stoïciens, Épicure) préconisent :
■​ Maîtriser le désir : régler nos attentes sur nos capacités (régler le vouloir
sur le pouvoir).
○​ Proverbe : « Ce qui nous rend malheureux, ce n'est pas la réalité, mais le
décalage entre nos désirs et cette réalité. »
3.​ Concept clé :​

○​ Neutraliser le désir permet d’atteindre un bonheur réel, absolu et accessible,


contrairement au bonheur illusoire.

III. Limites d’une vie sans désir : le bonheur dans l’attente active
“Malheureux à qui n’a plus rien à désirer!” Présent est déficitaire, se contenter de ce que l’on
possède pour atteindre la sérénité.
1.​ Le paradoxe du bonheur sans désir :
○​ Une vie dénuée de désir risque d’être monotone, marquée par l’ennui et
l’apathie (Schopenhauer, Rousseau).
○​
○​ Exemple : Lettre à Ménécée d’Épicure → l’ataraxie, bien qu’idéale, peut être
perçue comme une forme de mort intérieure.

2.​ Le bonheur dans le désir lui-même :


○​ Attendre et désirer procurent une intensité et une joie profonde, même si le
bonheur espéré est incertain.
○​ Pascal et Leibniz : le bonheur réside dans l’effervescence et l’activité créative
que suscite l’attente.
3.​ Concept clé : le bonheur comme chemin :
○​ Le bonheur n’est pas un but fixe, mais se trouve dans l’exercice actif du désir :
aimer, penser, créer, rêver.
○​ Aristote : Le bonheur est la "fleur de l'acte", un plaisir qui accompagne
l’exercice de nos facultés.

IV. Conclusion

●​ Le bonheur ne consiste pas uniquement à combler le désir ni à suspendre toute


attente, mais à trouver un équilibre :
“Malheureux à qui n’a plus rien à désirer!” Présent est déficitaire, se contenter de ce que l’on
possède pour atteindre la sérénité.
○​ Accepter l’intranquillité du désir comme moteur de la vie et source de
créativité.
○​ Reconnaître que le bonheur n’est pas dans la possession, mais dans le
cheminement vers le bonheur lui-même.
●​ En définitive, désirer, rêver, et espérer activement sont au cœur d’une vie heureuse.

Références clés

●​ Platon, Gorgias : la métaphore du tonneau percé.


●​ Épicure, Lettre à Ménécée : l’ataraxie comme bonheur suprême.
●​ Rousseau, La Nouvelle Héloïse : le désir comme essence du bonheur.
●​ Pascal et Leibniz : l’attente et l’intensité du désir.
●​ Aristote, Éthique à Nicomaque : le plaisir dans l’action comme « fleur de l'acte ».

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