Mécanique Ventillatoire
Mécanique Ventillatoire
Mécanique Ventillatoire
Inspiration Expiration
Q=∆P/R
On utilise pour la mesure des débits instantanés un
pneumotachographe.
2) Le débit moyen :
On mesure le volume d’air mobilisé
par unité de temps : Q = Volume / T :
exprimé en L/min
Pour mesurer les volumes on utilise
un spirographe
Il est constitué d’une cuve pleine d’eau (immobile) sur
laquelle repose une cloche remplie d’air (mobile) : c’est un
circuit fermé.
Le sujet est relié à la cloche par deux tuyaux et respire par la
bouche, le nez est fermé.
Quand le sujet inspire, la cloche descend et transmet le
mouvement à l’enregistreur : le stylet monte.
A l’expiration, la cloche monte et le stylet redescend.
Ainsi le stylet inscripteur permet d’avoir un tracé
représentant la variation du volume inspiré et expiré par
unité de temps.
A partir de ce tracé on peut déterminer le débit moyen :
Q = VT x FR
C. Les volumes :
Les volumes étudiés sont les :
Volumes mobilisables : VT, VRI,
VRE. mesurés par spirométrie
Volume non mobilisable : VR.
Mesuré par méthode de dilution à
l’hélium, ou par pléthysmographie.
Plan
I. Introduction
II. Le cycle respiratoire
III. Les paramètres de la mécanique ventilatoire
IV. Les muscles respiratoires
V. Les propriétés statiques de l’appareil respiratoire
A. Les volumes et les capacités pulmonaires
B. Les propriétés élastiques du système respiratoire
VI. Les propriétés dynamiques du système respiratoire
A. Etude des résistances des voies aériennes (RVA)
B. La compression dynamique des bronches
VI. Les muscles respiratoires :
A. Les muscles inspiratoires :
L’inspiration n’est possible que grâce à la contraction des
muscles inspiratoires qui permettent d’augmenter tous les
diamètres de la cage thoracique et grâce à la plèvre
d’augmenter le volume pulmonaire.
L’inspiration est active (alors que l’expiration calme est
passive), elle est plus courte que l’expiration (l’expiration dure
deux fois plus longtemps que l’inspiration).
Les muscles inspiratoires sont mis en jeu pour
l’inspiration calme et forcée
les muscles expiratoires sont mis en jeu pour l’expiration
forcée, ou pendant un exerce physique ou un état
pathologique.
1)Le diaphragme :
C’est le plus important des muscles
respiratoires (inspiratoires).
Il sépare le thorax de l’abdomen, il est traversé
par l’œsophage et l’aorte.
C’est un muscle strié sous forme d’un double
coupole, inséré sur les vertèbres, les côtes (face
interne des 6 dernières côtes) et le sternum au
niveau de l’appendice xiphoïde.
Il est innervé par le nerf phrénique.
La contraction du diaphragme entraine :
abaissement et aplatissement de la coupole
diaphragmatique avec augmentation du
diamètre vertical
et soulèvement du sternum et écartement
des côtes inférieures avec augmentation
du diamètre transversal et
antéropostérieur.
Pendant la respiration calme, le centre de la
coupole diaphragmatique s’abaisse de 1 à 1.5
cm, et comme la surface du diaphragme est de
250 cm 2, il en résulte une augmentation de
volume de 375 ml (250 x 1.5).
Ceci représente les 2/3 du VT (500 ml).
Lors d’une inspiration forcée, la coupole
s’abaisse d’environ 10 cm avec une variation de
volume de 2.5 L
Plèvre
pulmonaire
Cavité
pleurale
Diaphragme
Plèvre pariétale ± 1 à 10 cm
Pathologies :
En cas de paralysie d’un nerf phrénique, la coupole
diaphragmatique s’élève pendant l’inspiration (au lieu
de s’abaisser) : c’est la respiration paradoxale.
D’autres muscles inspiratoires vont intervenir pour
remplacer le rôle du diaphragme.
Dans l’emphysème pulmonaire, le thorax est
distendu et le diaphragme s’aplatit. Selon la relation
tension-longueur d’un muscle, la force générée par le
diaphragme sera plus faible et sa contraction moins
efficace.
2)Les muscles intercostaux externes :
Ils sont obliques de haut en bas et d’arrière en
avant.
Leur contraction entraine :
une élévation des côtes qui deviennent horizontales
une projection en avant du sternum
=> Augmentation du diamètre transversal et antéro-
postérieur du thorax.
Ils sont innervés par les nerfs intercostaux.
Leur paralysie réduit de 20% les capacités
inspiratoires.
3)Les muscles inspiratoires accessoires :
N’interviennent qu’en cas de ventilation sous
maximale ou maximale, lors de l’exercice
musculaire intense, lors de l’inspiration
forcée et en cas d’insuffisance respiratoire.
Il s’agit des ailes du nez, les muscles sterno-
cléido-mastoïdiens, muscles pectoraux,
scalènes et trapèzes.
Les muscles SCM et scalènes élèvent les 2
premières côtes à l’inspiration profonde.
B. Les muscles expiratoires :
L’expiration calme est passive, elle est générée par
l’élasticité du système TP. Les muscles expiratoires
interviennent seulement dans l’expiration forcée, au
cours de l’effort physique et en pathologie.
1) Les muscles abdominaux : droit- oblique et
transverse
Leur contraction augmente la pression abdominale et
soulève le diaphragme.
2) Les muscles intercostaux internes :
Ils sont obliques de haut en bas et d’avant en arrière,
leur contraction abaisse les côtes.
Plan
I. Introduction
II. Le cycle respiratoire
III. Les paramètres de la mécanique ventilatoire
IV. Les muscles respiratoires
V. Les propriétés statiques de l’appareil respiratoire
A. Les volumes et les capacités pulmonaires
B. Les propriétés élastiques du système respiratoire
VI. Les propriétés dynamiques du système respiratoire
A. Etude des résistances des voies aériennes (RVA)
B. La compression dynamique des bronches
VI. Les propriétés statiques de l’appareil respiratoire.
C’est l’étude :
des volumes pulmonaires
de l’élasticité du système thoraco
pulmonaire
A. Les volumes et les capacités
pulmonaires.
1) Les volumes mobilisables :
Ils sont facilement et directement
mesurables par spiromètre, ou avec un
pneumotachographe.
La somme de plusieurs volumes
représente les capacités.
a) Le volume courant (tidal volume = VT)
Volume mobilisé au cours d’une inspiration ou une
expiration calme lors d’un cycle respiratoire normal.
Sa valeur varie de 0.4 à 0.8 L, en moyenne 500 ml. Il est
plus élevé chez les sportifs.
Le poumon droit assure 55% du VT et le poumon gauche
45%.
b) Le volume de réserve inspiratoire (VRI)
Volume d’air maximal mobilisé au cours d’une
inspiration forcée faisant suite à une inspiration
normale.
Sa valeur varie de 1.5 à 3L, en moyenne 2.5 L (soit 5 fois le
VT)
c)Le volume de réserve expiratoire (VRE)
Volume d’air maximal mobilisé au cours d’une
expiration forcée faisant suite à une expiration
normale.
Sa valeur varie de 1.2 à 1.7 L, en moyenne 1.5 L
(soit 3 fois le VT)
Le VRI >> VRE
d) La capacité inspiratoire (CI)
C’est le volume maximal d’air mobilisé au cours d’une
inspiration forcée, estimé à 3L.
CI = VT + VRI
e) La capacité vitale (CV)
Volume maximal d’air mobilisé entre une inspiration
forcée et une expiration forcée.
CV = VT + VRI + VRE
Il varie entre 2.5 et 6.7 L, en moyenne 4.5 L ( 0.5 + 2.5 + 1.5).
Il est fixe et varie avec l’âge, le sexe et la taille.
La capacité vitale permet de permettre les véritables
capacités ventilatoire du sujet. Elle est comparée à des valeurs
théoriques.
Une variation > 20% par rapport à la valeur théorique est
anormale.
Sa diminution peut révéler une restriction.
2) Les volumes non mobilisables
a) Le volume résiduel (VR)
Volume de gaz qui reste dans les poumons après une
expiration forcée. Il est d’environ 1.5 L. il indique que
les poumons ne reviennent jamais totalement sur eux
même(le poumon ne satisfait jamais complètement
son élasticité).
C’est un volume fixe variant avec l’âge, le sexe et la taille.
Si le VR augmente => limitation de la capacité du sujet
(il n’est pas mobilisable).
Sa mesure est indirecte, et se fait grâce par la
détermination de la CRF (VRE + VR).
b) La capacité résiduelle fonctionnelle (CRF)
Volume de gaz intrathoracique à la fin d’une
expiration normale calme = volume dans lequel vient
se diluer l’air frais inspiré.
CRF = VRE + VR
La CRF = 40% de la CV (et CRF/CPT = 25 % chez le sujet
normal)
C’est le volume de relaxation du système thoraco-
pulmonaire : les forces de rétraction élastique (FRE)
du poumon et de la cage thoracique sont égaux, mais
de sens opposé
c) La capacité pulmonaire totale (CPT)
Volume de gaz maximal intrathoracique
(en moyenne 6 L) :
CPT = CV + VR
3) Mesure de la CRF :
Volume de gaz contenu dans les poumons à la
fin d’une expiration calme.
3 méthodes pour la mesurer :
Pléthysmographie
Technique de lavage à l’azote
Méthode de dilution à l’hélium (gaz
traceur) : technique d’inhalation. la plus
utilisée
Appareillage : spirographe à cloche et analyseur rapide
d’hélium.
Le sujet après une expiration normale calme est relié au
spiromètre auquel on avait ajouté de l’hélium à une
concentration connue C1.
Le sujet respire le temps nécessaire (temps mixique =5 à 10
minutes) pour obtenir une homogénéisation de la
concentration de l’He dans le volume du spiromètre et la
CRF.
C1 x V = C2 x (V + CRF)
CRF = V (C1 – C2) /C2
Au cours de la même épreuve, on demande au sujet de faire une expiration forcée, ce
qui permet de mesurer le VRE. On en déduit le VR = CRF – VRE
4) La ventilation minute
La ventilation/min = VT x FR = 5 à 8 L/min
La fréquence respiratoire chez l’adulte est
de 14 à 20 cpm, elle est plus élevée chez
l’enfant, et augmente au cours de l’effort
physique, en cas de fièvre...
La ventilation maximale minute = V
max/minute est obtenue en faisant effectuer
une ventilation forcée pendant 20 secondes, on
multiplie le volume obtenu par 3 pour le
ramener à la minute.
B. Les propriétés élastiques du système respiratoire.
Le système thoraco-pulmonaire
est déformable (variation de
volume)
Il est soumis à des contraintes :
vaincre les résistances élastiques du
système TP et les résistances
dynamiques des VA.
1) L’élasticité du système thoracopulmonaire :
Définition: Un corps est dit élastique
lorsqu’il se déforme quand on lui applique
une force et lorsqu’il revient à sa position de
repos quand la force s’arrête.
Propriétés élastiques du système TP: Le
poumon et la cage thoracique sont des
structures élastiques.
L’élasticité de la cage thoracique
La paroi thoracique est déformable (extension et rétraction).
Son élasticité est difficile à mesurer. Elle peut être mise en
évidence par le pneumothorax : l’air pénètre dans la plèvre,
dont la pression devient nulle : Le poumon se rétracte et la
paroi thoracique se distend.
A l’état normal, la cage est sous tension, dans le sens de la
compression.
Pendant l’expiration le thorax subit des contraintes
importantes
Pendant l’inspiration, il se libère progressivement de la
contrainte.
L’élasticité thoracique est due à des facteurs anatomiques :
côtes et muscles intercostaux.
L’élasticité pulmonaire :
Elle est due à :
Des facteurs histologiques : fibres
élastiques et de collagène de l’interstitium
et de l’arbre bronchique (forces élastiques
du tissu pulmonaire = 50%)
Des facteurs physico-chimiques : Force
élastique due à la tension superficielle =
50%
Le surfactant : agent tensio-actif à l’interface air-
liquide.
Lipoprotéine complexe secrétée par le pneumocyte de
type 2 : le constituant principal est le DiPalmitoyl
Phosphatidine Choline (DPPC)
Rôles physiologiques :
Abaisse la TS alvéolaire et donc augmente la
compliance pulmonaire
Stabilise les alvéoles de taille différente en
empêchant les petites alvéoles de se vider dans les
grandes alvéoles.
Diminue la quantité de liquide filtré hors des
capillaires (maintient les alvéoles à sec), et rend la
surface alvéolaire imperméable aux protéines.
Déficit en surfactant : détresse respiratoire du
nouveau né prématuré:
Diminution de la compliance pulmonaire :
augmentation du travail ventilatoire
Collapsus/distension alvéolaire : mauvaise
ventilation pulmonaire
Présence de protéines à la surface des
alvéoles (maladie des membranes hyalines) :
mauvais échanges gazeux.
2) Détermination des propriétés
élastiques du système respiratoire : la
courbe pression- volume
Pression = élastance x volume = E x V
On utilise la compliance = 1/E
C = ∆V/∆P
La compliance pulmonaire est augmentée ou diminuée dans certaines
pathologies :
Dans l’emphysème pulmonaire : poumon très
distensible avec compliance élevée à 0.3 L/cmH2O.
une petite pression mobilise donc un grand volume.
L’inspiration est facile mais l’expiration est très
difficile (activation des muscles expiratoires), avec
augmentation du travail ventilatoire.
Dans la fibrose pulmonaire : le poumon est peu
distensible, sa compliance est basse 0.05 L/cmH2O. il
faut une grande pression pour mobiliser un petit
volume. L’inspiration est difficile. Le travail
ventilatoire augmente par la mise en jeu des muscles
inspiratoires accessoires.
NB :
La compliance pulmonaire et thoracique
déterminent le niveau de la CRF
l’augmentation de la compliance
pulmonaire au cours de l’emphysème
entraîne une augmentation de la CRF
La diminution de la compliance
pulmonaire au cours de la fibrose entraîne
une diminution de la CRF
2) La force de rétraction élastique :
La FRE du système TP est le moteur de
l’expiration : pour un volume donné, plus
cette force est grande, plus le retour est facile.
Chez le sujet atteint de fibrose : la dyspnée
est de type inspiratoire.
Chez l’emphysémateux : la dyspnée est de
type expiratoire
3)Les volumes de relaxation :
Pour le système TP: le niveau ventilatoire de repos se
trouve à la CRF.
La pression de distension du système à la CRF est = 0, les
FRE pulmonaire et thoracique sont égales et de sens
opposé
Pour le thorax : Le volume de relaxation est à 70% de la
CV.
Pour le poumon : le volume de relaxation < VR (le
poumon ne satisfait jamais son élasticité)
A grand volume pulmonaire (vers la CPT),
les FRE du poumon et de la cage thoraciques
vont dans le même sens et tendent à réduire le
volume TP => tendance à l’expiration.
A bas volume pulmonaire (<CRF), les FRE
du poumon et de la cage thoracique sont de
direction opposée, mais celles du thorax
l’emportent sur celles du poumon => tendance
à l’inspiration.
Plan
I. Introduction
II. Le cycle respiratoire
III. Les paramètres de la mécanique ventilatoire
IV. Les muscles respiratoires
V. Les propriétés statiques de l’appareil respiratoire
A. Les volumes et les capacités pulmonaires
B. Les propriétés élastiques du système respiratoire
VI. Les propriétés dynamiques du système respiratoire
A. Etude des résistances des voies aériennes (RVA)
B. La compression dynamique des bronches
V. Les propriétés dynamiques du système respiratoire :
Pendant le cycle respiratoire, le débit
ventilatoire doit vaincre les
résistances :
Résistances tissulaires de frottement
(dites visqueuses) : représentent
environ 10% des R
Résistances dynamiques des voies
aériennes.
A.Etude des résistances des voies aériennes (RVA)
1) Aspect théoriques
Résistance = difficulté à laquelle l’air se heurte pour circuler
entre 2 points des voies aériennes sous l’action d’une
différence de pression donnée.
L’étude des RVA se base sur la loi de Poiseuille quand il
s’agit d’étudier les résistances qui s’appliquent dans un tube
fin (faible débit), droit, où l’écoulement est laminaire.
R = ∆P / Q
R= 8ηL / πr4
η= viscosité du gaz, L = longueur du tube, r = rayon du tube
R est exprimé en cmH20/L/sec
2) Mesure des RVA
L’écoulement de l’air dans les voies aériennes est assimilé à
un écoulement laminaire.
La mesure des RVA se base sur la loi de poiseuille :
R = PA – PB /Q
Mesure du débit (Q) avec un pneumotachographe
Mesure de la pression alvéolaire (PA) par
pléthysmographie
La pression buccale (PB): avec un pneumotachographe
Chez le sujet normal les résistances sont à 1 à 2 cmH2O/L/s
3)Les facteurs modifiant les RVA
a) Le volume pulmonaire
Parce que les bronches sont enchâssées dans le parenchyme
pulmonaire, leur rayon augmente avec le volume
pulmonaire. La résistance des voies aériennes diminue donc
lorsque le volume pulmonaire augmente et inversement.
b) La gravité
La pression pleurale étant plus négative au sommet où le
diamètre des bronches est plus élevé qu’au niveau de la
base, donc les résistances au sommet sont inférieures à celles
de la base.
c)Les facteurs nerveux et humoraux
Le parasympathique est bronchoconstricteur
Le sympathique est bronchodilatateur
L’histamine est bronchoconstricteur
d) La densité de l’air
Les RVA augmentent avec la profondeur de la plongée.
B.La compression dynamique des bronches :
1) Le débit maximal :
a) En fonction du temps :
mesure du VEMS, au cours de la spiromètrie :
Le VEMS = volume expiratoire maximal seconde. Mesuré au
cours de la première seconde d’une expiration la plus rapide et la plus
forte possible qui suit une inspiration forcée.
Il dépendant de l’âge, du sexe, de la taille et du volume pulmonaire.
Sa diminution traduit une obstruction (il faut toujours le
comparer avec le VEMS théorique)
Le coefficient de Tiffeneau =VEMS /CV = 80 %
le débit expiratoire maximum (DEM 25 – 75): mesuré entre 25 et 75%
de la CV
DEM / CV = 90%
b) En fonction du volume : courbe débit –volume
Obtenue au cours d’un cycle ventilatoire forcé.
Obtenue par un pneumotachographe
A l’expiration faisant suite à une inspiration forcée
Chez le sujet normal, la courbe est concave vers le haut.
Elle présente des points caractéristiques :
Peak flow : débit de pointe
Débits à 75 %, 50% et 25% de la CV
Elle permet l’exploration de l’obstruction bronchique :
débit de pointe et à 75% explorent les grosses voies
aériennes.
Les débit à 50% et 25 % explorent les petites voies aériennes.
Le spiromètre à l’eau
Le spiromètre électronique
Le spirogramme:
L’embolie pulmonaire