Guesnain
Guesnain | |||||
La mairie en septembre 2018. | |||||
Héraldique |
|||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Nord | ||||
Arrondissement | Douai | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Douaisis | ||||
Maire Mandat |
Maryline Lucas 2020-2026 |
||||
Code postal | 59287 | ||||
Code commune | 59276 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Guesninois | ||||
Population municipale |
4 656 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 1 150 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 21′ 11″ nord, 3° 08′ 44″ est | ||||
Altitude | Min. 20 m Max. 42 m |
||||
Superficie | 4,05 km2 | ||||
Type | Grand centre urbain | ||||
Unité urbaine | Douai-Lens (banlieue) |
||||
Aire d'attraction | Douai (commune du pôle principal) |
||||
Élections | |||||
Départementales | Canton d'Aniche | ||||
Législatives | Seizième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Nord
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
| |||||
modifier |
Guesnain [ɡenɛ] est une commune française, située dans le département du Nord (59) en région Hauts-de-France. La Compagnie des mines d'Aniche y a ouvert la fosse Saint René.
Géographie
[modifier | modifier le code]Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Hydrographie
[modifier | modifier le code]Réseau hydrographique
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par le Bayon et divers autres petits cours d'eau[1],[Carte 1].
Gestion et qualité des eaux
[modifier | modifier le code]Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Scarpe aval ». Ce document de planification concerne un territoire de 624 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de la Scarpe aval, comprenant la Pévèle, la plaine de la Scarpe et le bassin minier avec l'Ostrevent. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le , puis révisé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le parc naturel régional Scarpe-Escaut[2].
La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (3 °C)[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 680 mm, avec 12,3 jours de précipitations en janvier et 8,8 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Douai à 5 km à vol d'oiseau[5], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 729,2 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Température minimale moyenne (°C) | 3,4 | 3,5 | 5,3 | 7,4 | 10,5 | 13,3 | 15,5 | 15,8 | 13,6 | 10,4 | 6,9 | 4,2 | 9,2 |
Température moyenne (°C) | 5,5 | 5,7 | 7,7 | 10,3 | 13,3 | 16,1 | 18,4 | 18,8 | 16,5 | 13 | 9 | 6,2 | 11,7 |
Température maximale moyenne (°C) | 7,6 | 8 | 10,2 | 13,1 | 16 | 18,9 | 21,2 | 21,7 | 19,3 | 15,6 | 11,1 | 8,3 | 14,3 |
Record de froid (°C) date du record |
−13,4 17.01.1985 |
−18 12.02.1929 |
−7 02.03.1929 |
−5,2 05.04.1911 |
−1 04.05.1929 |
3 30.06.1892 |
6 04.07.1911 |
4 28.08.1927 |
3,4 27.09.1912 |
−4 21.10.1908 |
−7 10.11.1908 |
−12,2 14.12.1899 |
−18 1929 |
Record de chaleur (°C) date du record |
16,4 01.01.22 |
19,1 24.02.21 |
24,8 24.03.1896 |
28,4 29.04.1955 |
34 31.05.1892 |
34,8 11.06.1900 |
41,3 25.07.19 |
36,2 19.08.1932 |
35,2 08.09.1898 |
28 01.10.1908 |
20,3 02.11.1899 |
16,6 23.12.1977 |
41,3 2019 |
Précipitations (mm) | 53,9 | 45,4 | 41,9 | 36,7 | 45,5 | 54,5 | 58,5 | 64,2 | 64,9 | 73 | 79,5 | 72,8 | 690,8 |
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Guesnain est catégorisée grand centre urbain, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Douai-Lens[Note 2], une agglomération inter-départementale regroupant 67 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 3],[10],[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Douai, dont elle est une commune du pôle principal[Note 4],[11]. Cette aire, qui regroupe 61 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[12],[13].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (60,2 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (65,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (49,2 %), zones urbanisées (39,8 %), prairies (11 %)[14]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]La commune est traversée par la ligne A du bus à haut niveau de service de Douai ainsi que par la ligne 12 du réseau Évéole.
Histoire
[modifier | modifier le code]Une implantation humaine datant des Mérovingiens a été attestée par des fouilles, à proximité de l'église, à l'endroit où est bâtie l'actuelle médiathèque.
Le domaine a appartenu à l'Abbaye de Maubeuge jusqu'à la Révolution.
Le développement de la localité a été lié à l'exploitation minière dès le dernier tiers du XIXe siècle. En 1865, la Compagnie des mines d'Aniche réalisa le forage d'un premier puits, celui de la fosse Saint-René. Le deuxième puits fut mis en service en 1899.
Les équipements eurent à souffrir lors de la Première Guerre mondiale. L'exploitation de la houille put reprendre dès 1921. Cette activité s'interrompit définitivement en 1964.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Les armes de Guesnain se blasonnent ainsi : "D'argent à trois chevrons de sable." |
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Lors du premier tour des élections municipales le , vingt-sept sièges sont à pourvoir ; on dénombre 3 384 inscrits, dont 1 710 votants (50,53 %), 14 votes blancs (0,82 %) et 1 673 suffrages exprimés (97,84 %). La liste étiquetée divers gauche Ensemble solidaires et responsables pour les guesninois menée par la maire sortante Maryline Lucas[15] recueille 1 007 voix (60,19 %) et remporte ainsi vingt-deux sièges au conseil municipal contre trois pour la liste divers gauche Guesnain, notre ville, votre avenir menée par Sylvain Devred avec 343 voix (20,5 %) et deux pour la liste divers droite Notre parti, c'est Guesnain menée par Éric Gola avec 323 voix (19,31 %)[16],[17].
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Alexandre Derveaux a été conseiller général du canton de Douai-Sud de 1967 à 1985. Maryline Lucas devient en 2015 conseillère départementale du tout nouveau canton d'Aniche avec Charles Beauchamp.
Maire en 1802-1803 : G. Leduc[18].
Maire en 1807 : Jacquart[19].
Maire en 1881 : Leleu-Haudion[20].
Le groupe d'histoire locale de Guesnain dresse ainsi la liste des maires de Guesnain[21] :
Identité | Période | Durée | Étiquette | |
---|---|---|---|---|
Début | Fin | |||
Auguste Jacquart (d) | 8 mois | |||
Georges Monchecourt (d) (années 1900 - ) | (mort en cours de mandat) | 2 ans et 2 mois | ||
Henri Coupez (d) ( - ) | (mort en cours de mandat) | 14 ans | ||
René Golliot (d) ( - ) | (mort en cours de mandat) | 3 ans, 4 mois et 12 jours | ||
Jules Lekien (d) (mort le ) | (mort en cours de mandat) | 11 ans, 3 mois et 18 jours | ||
Alexandre Derveaux (d) ( - ) | 31 ans | Parti communiste français | ||
Jean Pot (d)[22] | 18 ans et 10 mois | apparenté PCF (d) | ||
Maryline Lucas (d)[23],[24] (née le ) | En cours | 10 ans et 6 mois | Front de gauche Parti communiste français |
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[26].
En 2021, la commune comptait 4 656 habitants[Note 5], en évolution de −0,36 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 28,1 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 2 184 hommes pour 2 507 femmes, soit un taux de 53,44 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,77 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Bâti au milieu du XIXe s., l'édifice de brique et pierre se caractérise par la présence, de part et d'autre du portail, de deux anciens fûts de colonnes surmontés d'un chapiteau, dressés sans contact avec l'édifice lui-même. Ces deux éléments appartenaient à l'ancienne église du village.
- Hôtel-de-ville
- La Mairie est installée dans l'ancien logement patronal de la brasserie.
- Vestiges de l'ancienne brasserie
- La date de construction (1883) est encore parfaitement visible sur le cylindre de brique qui subsiste de la cheminée. La brasserie fut en service jusqu'au début de la Seconde Guerre mondiale[31].
-
L'église Sainte-Aldegonde.
-
La chapelle Notre-Dame-de-Grâce.
-
Le monument aux morts.
-
Le cimetière.
-
Les vestiges de la fosse Saint-René, détruits en 2021.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Daniel Leclerc y a entraîné l'équipe de football du SC Guesnain de 1990 à 1992
Activités associatives, culturelles, festives et sportives
[modifier | modifier le code]- Les géants le Nain Gaillou et Maud de Saint-René[32], défilent chaque année avec d'autres pour une parade organisée par l'association Les Tiots de Guesnain[33].
- Musiciens et choristes de L'Accord musical, association active depuis 1999[34].
- Société colombophile[35]
- Football : Le SC Guesnain, club local de niveau régional qui évolua en CFA 2 (5e division nationale) entre 1997 et 2000 et obtint la 5e place de ce championnat en 1998 (meilleur résultat du club)
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Liste des communes du Nord
- Bassin minier du Nord-Pas-de-Calais
- Fosse Saint René de la Compagnie des mines d'Aniche
Liens externes
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l'agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Douai-Lens comprend quatre villes-centres (Douai, Hénin-Beaumont, Lens, Liévin) et 63 communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique de Guesnain » sur Géoportail (consulté le 21 septembre 2024).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- « Fiche communale de Guesnain », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Nord-Pas-de-Calais (consulté le )
- « SAGE Scarpe aval », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Guesnain et Douai », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Douai » (commune de Douai) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Douai » (commune de Douai) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Douai-Lens », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Guesnain ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Douai », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Julien Gilman, « Maryline Lucas veut mener au bout les projets de l'école et du Cœur d'îlot », La Voix du Nord, édition Douaisis, no 24162, , p. C.
- « Élections municipales, Guesnain », La Voix du Nord, édition Douaisis, no 24165, , p. 33.
- « Élections municipales 2020 - 1er tour, Guesnain », L'Observateur du Douaisis, no 897, , p. 9.
- Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 278, lire en ligne.
- « Annuaire statistique du département du Nord Année 1807 », p. 134-135 (images 164-165)..
- « Le Petit Nord : journal politique quotidien ["puis" journal républicain quotidien du matin "puis" journal républicain absolument indépendant] », sur Gallica, (consulté le ), p. 3..
- « Les maires de Guesnain dans l'Histoire récente », sur guesnainhistoirelocale.blogspot.com, .
- « Guesnain : l’honorariat pour Jean Pot, l’ancien maire », La Voix du Nord, : « Élu pour la première fois en 1989, et maire pendant dix-neuf ans à partir de 1995, Jean Pot a été fait maire honoraire de la commune. Une initiative de sa remplaçante, Maryline Lucas. »
- J.-F. Guybert, « Canton d’Aniche : Charles Beauchamp et Maryline Lucas passent devant le FN », La Voix du Nord, : « Ils étaient qualifiés pour le second tour, mais avaient devant eux les candidats du Front national. Finalement, les deux représentants du Parti communiste l’emportent de 1692 voix dans le nouveau canton d’Aniche »
- Benjamin Dubrulle, Julien Gilman et Stéphane Labdant (infographie), « Municipales : la nouvelle carte politique du Douaisis », La Voix du Nord, Lille, no 24270, , p. 10 (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, BNF 34418428, lire en ligne) :
.« Guesnain : Parti communiste »
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Guesnain (59276) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
- Base Mérimée
- Benjamin Dubrulle, « Le SOS de passionnés pour sauver des géants abandonnés », La Voix du Nord, no 24596, , p. 14-15
- Site de l'association Les Tiots de Guesnain
- Site de L'Accord musical
- La Voix du Nord du 28 nov. 2008