Apchon
Apchon | |||||
Église d'Apchon. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Cantal | ||||
Arrondissement | Mauriac | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays Gentiane | ||||
Maire Mandat |
Pierre Pouget 2020-2026 |
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Code postal | 15400 | ||||
Code commune | 15009 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Apchonnais, Apchonnaises | ||||
Population municipale |
183 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 15 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 15′ 00″ nord, 2° 41′ 41″ est | ||||
Altitude | Min. 833 m Max. 1 143 m |
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Superficie | 12,43 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Riom-ès-Montagnes | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Cantal
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Liens | |||||
Site web | apchon.fr | ||||
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Apchon est une commune française située dans le département du Cantal, en région administrative Auvergne-Rhône-Alpes.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]La commune d'Apchon, d'une superficie de 12,43 km2, est située à la limite nord des monts du Cantal. Elle s'étend principalement dans la vallée de la Petite Rhue, mais aussi dans celle de la Véronne (à l'ouest). Le point le plus bas de la commune est à une altitude de 833 m et le point culminant est à 1 143 m d'altitude. Le bourg d'Apchon est à 1 050 m d'altitude.
Apchon est située à 6 km au sud de Riom-ès-Montagnes et à 20 km au nord du puy Mary.
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[2].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 373 mm, avec 12,2 jours de précipitations en janvier et 9 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Riom-Montagnes »sur la commune de Riom-ès-Montagnes à 5 km à vol d'oiseau[3], est de 9,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 221,4 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Apchon est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[8],[9].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,8 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (83,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (76,5 %), zones agricoles hétérogènes (10,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (6,3 %), forêts (3,3 %), zones urbanisées (2 %), zones humides intérieures (1,6 %)[10]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Habitat et logement
[modifier | modifier le code]En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 219, alors qu'il était de 210 en 2013 et de 209 en 2008[I 2].
Parmi ces logements, 47,5 % étaient des résidences principales, 39,9 % des résidences secondaires et 12,7 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 96,3 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 3,7 % des appartements[I 3].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Apchon en 2018 en comparaison avec celle du Cantal et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (39,9 %) supérieure à celle du département (20,4 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 73,1 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (71,6 % en 2013), contre 70,4 % pour le Cantal et 57,5 pour la France entière[I 4].
Typologie | Apchon[I 2] | Cantal[I 5] | France entière[I 6] |
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Résidences principales (en %) | 47,5 | 67,7 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 39,9 | 20,4 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 12,7 | 11,9 | 8,2 |
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est attesté sous les formes Castellum Apjone[11] et Apione[12] au XIIe siècle, Apchonium en 1297, Apchonia en 1310.
Ce toponyme Apchon est identique en langue française et en langue occitane; d'après Albert Dauzat et Charles Rostaing, il provient du nom d'homme latin Appius, et du suffixe -onem; voir également Apchat (avec le suffixe -iacum) et Apcher (avec le suffixe -arium)[13].
Histoire
[modifier | modifier le code]Politique et administration
[modifier | modifier le code]Découpage territorial
[modifier | modifier le code]La commune d'Apchon est membre de la communauté de communes du Pays Gentiane[I 1], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Riom-ès-Montagnes. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[14].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Mauriac, à la circonscription administrative de l'État du Cantal et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[I 1].
Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Riom-ès-Montagnes pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 1], et de la deuxième circonscription du Cantal pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[15].
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[21].
En 2021, la commune comptait 183 habitants[Note 1], en évolution de −2,66 % par rapport à 2015 (Cantal : −1,36 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]Église Saint-Blaise
[modifier | modifier le code]Ruines du château
[modifier | modifier le code]Source Saint-Éloi (dite Font Salée)
[modifier | modifier le code]Accès et découverte de la source
[modifier | modifier le code]La source Saint-Éloi, dite de la "Font Salée", se trouve à l'extrémité Nord de la commune, sur la rive gauche de la rivière Petite Rhue. On peut y accéder par le hameau de La Ribeyre (sentier de la Font Salée), ou depuis le pont de la D 36 situé au Sud du hameau de La Rodde, après un cheminement de l'ordre du kilomètre. Cette source est canalisée, et collectée dans un bac couvert par une voûte en pierre. Son nom interpelle d'emblée sur sa composition. Sur site, un mince filet d'eau (observé à l'été 2019) parcourant la végétation forestière en surface en provenance du bac, et marqué d'un dépôt continu d'une couleur orangée, atteste d'un faible débit et d'une teneur très significative en métaux. Toutefois, les conditions climatiques estivales difficiles de ces dernières années peuvent en avoir réduit le débit. L'examen et la dégustation révèlent une eau froide, jaunâtre, non salée au sens usuellement accepté, légèrement pétillante, et présentant un goût métallique extrêmement prononcé. Aussi le nom de Saint-Éloi - patron de la métallurgie - semble-t-il se justifier d'emblée.
Composition minérale (sources documentaires)
[modifier | modifier le code]D'après le site officiel de la commune d'Apchon, il s'agit d'une "source d'eau ferrugineuse". Le site officiel de Geocatching, citant le Guide des sentiers de randonnée du Pays Gentiane, précise quant à lui que "La source de la Font Salée [...] peu minéralisée et au goût neutre, porte donc mal son nom ! Toutefois, Deribier du Chatelet lui prêta des vertus inattendues pour les personnes souffrant "d'embarras gastriques" et de "pâles couleurs". À la fin du XIXe siècle, Emise Pigot, un restaurateur parisien, entreprit de la commercialiser sous le nom d'eau Saint-Eloy. [Pour des raisons de difficulté d'exploitation] l'autorisation fut retirée en 1952." Par deux aspects (minéralisation faible, et goût neutre), cette description est douteuse.
Cette source est par ailleurs citée dans l'inventaire[24] des sources thermales et minérales du Cantal publié par le BRGM en 1975, et issu de la thèse de Bernard Henou[25]. L'inventaire évoque les failles Nord-Sud du socle métamorphique oriental du Cézallier, à l'origine du métallotecte de plusieurs sources locales, dont celle de la Font Salée, dont le captage est mentionné, ainsi que le faible débit de l'ensemble des sources du district (de l'ordre du litre par minute). D'après cet inventaire (p. 9), "toutes [c]es sources minérales sont froides, et il n'existe aucune analyse chimique faite. Elles sont gazeuses et doivent être de type bicarbonaté sodique". Ce document corrobore ainsi le constat empirique de la température, et du caractère gazéifié de cette source, mais n'apporte aucun éclairage sur sa métallicité.
Teneur en cations métalliques (analyses chimiques en laboratoire) : une eau non-ferrugineuse
[modifier | modifier le code]Devant l'absence d'analyse chimique, une analyse minérale exhaustive de la source de la Font Salée a été effectuée auprès du laboratoire Aquatycia sur un prélèvement opéré au mois d'août 2019. De façon surprenante, l'analyse a révélé une quasi-absence d'ions fer (ferreux et ferrique, avec un total de 1,3 μg.l−1, pour une ligne directrice de 0,2 μg.l−1 selon les normes européennes de 1998), invalidant l'hypothèse d'une eau ferrugineuse (selon l'AFSSA, une eau est qualifiée de ferrugineuse au-delà d'un seuil de 1 mg.l−1 en ion Fe2+[26]). En revanche, l'analyse a mis en évidence une teneur très prononcée en manganèse soluble (1,1 μg.l−1), l'amenant au-delà du seuil de vigilance pour une eau de consommation courante (la ligne directrice définie par l'OMS selon les normes de 1993 pour cet élément est de 0,5 μg.l−1; celle définie par l'Union Européenne est de 0,05 μg.l−1). Cette teneur peut être sous-estimée, eu égard au prélèvement opéré dans le bac de la source où l'eau se décante, et à la continuation du dépôt de précipité dans l'échantillon. Il est à noter que la couleur de l'oxyde de manganèse II / MnO présente une couleur brun-orangé cohérente avec la couleur des dépôts observés sur site.
La teneur en manganèse de l'eau de la Font Salée en fait une eau impropre à une consommation régulière. En effet, si le manganèse est un oligo-élément essentiel à de nombreuses fonctions biologiques, la carence en cet élément n'a jamais été démontrée chez l'homme[27]. Son excès peut en revanche avoir des incidences graves sur la santé, et causer à long terme des pathologies irréversibles au plan neurologique, au rang desquelles l'évocatrice folie du manganèse (voir la section relative à la toxicité de cet élément).
Autres aspects de la composition minérale : une eau non "salée"
[modifier | modifier le code]Parmi les autres éléments dont la présence est notable, peuvent être cités, le calcium (150 μg.l−1) dont la concentration lui donne le statut d'eau "calcique"[26], puis le magnésium (30 μg.l−1) et le fluor (50 μg.l−1), présents en quantité significative. Les carbonates, évalués à 50 μg.l−1 sont sans doute sous-estimés du fait de la dégazage progressif de l'échantillon à l'ouverture. Enfin, la teneur en sodium (65 μg.l−1) reste insuffisante pour lui donner le statut d'eau "sodique"[26], au contraire de la supposition formulée dans l'inventaire des sources du Cantal[24]. La teneur totale en éléments minéraux en fait une eau "faiblement minéralisée"[26].
Conclusions
[modifier | modifier le code]Le qualificatif de Font "Salée" de cette source ne peut résulter que de la teneur frappante en sels métalliques, constatée à l'examen de la source et de l'analyse chimique. Les propriétés essentielles de l'eau de la Font Salée tiennent à sa teneur en manganèse, puis à son caractère carbonaté, remarquables au goût. Elles suggèrent encore que son caractère commercial passé n'a pu relever que de la curiosité et de l'attrait mondain. Ses vertus sanitaires ne sont pas établies, voire contredites par sa composition minérale. Ces propriétés, ainsi que le caractère confiné des lieux, lui confèrent un attrait touristique évident.
-
Église paroissiale.
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Ruines du château (construit entre 1408 et 1422).
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Vue du village, depuis le château.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Héraldique
[modifier | modifier le code]Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- « Apchon »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur le site de l'Institut géographique national
- « Apchon »
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Chiffres clés - Logement en 2018 à Apchon » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Apchon - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Apchon - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans le Cantal » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Apchon et Riom-ès-Montagnes », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Riom-Montagnes », sur la commune de Riom-ès-Montagnes - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Riom-Montagnes », sur la commune de Riom-ès-Montagnes - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Dans la charte de Clovis.
- Ernest Nègre - Toponymie générale de la France - page 675 - (ISBN 2600028838).
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 22.
- « communauté de communes du Pays Gentiane - fiche descriptive au », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
- « Découpage électoral du Cantal (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
- « Les Maires »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur le site de la Mairie d'Apchon (consulté le ).
- « Apchon », sur le site des archives départementales du Cantal (consulté le ).
- « Registres paroissiaux et d'état civil en ligne », sur le site des archives départementales du Cantal (consulté le ).
- Liste des maires du Cantal, site de la préfecture du Cantal (consulté le 15 juillet 2014).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- BRGM (1975). Inventaire des ressources naturelles du département du Cantal.
- Henou B (1973). Les sources minérales et thermales du Cantal. Thèse de doctorat, Université de Clermont, 133p.
- AFFSA (2008). Lignes directrices pour l'évaluation des eaux minérales naturelles au regard de la sécurité sanitaire. 88 pp.
- AFSSA (2008). Avis de l’Agence française de sécurité sanitaire des aliments relatif à l’évaluation d’allégations génériques dans le cadre de l’élaboration d’un registre tel que prévu dans le règlement européen relatif aux allégations nutritionnelles et de santé. Saisine no 2005-SA-0169. 79 pp.