Location via proxy:   [ UP ]  
[Report a bug]   [Manage cookies]                
Aller au contenu

Ceignes

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Ceignes
Ceignes
Chapelle Saint-Laurent d'Étables.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Ain
Arrondissement Nantua
Intercommunalité Haut-Bugey Agglomération
Maire
Mandat
Alain Aubœuf
2020-2026
Code postal 01430
Code commune 01067
Démographie
Gentilé Ceigneurs ou Ceignatis
Population
municipale
261 hab. (2021 en évolution de +1,95 % par rapport à 2015)
Densité 26 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 07′ 15″ nord, 5° 29′ 54″ est
Altitude Min. 580 m
Max. 862 m
Superficie 10,01 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Pont-d'Ain
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Ceignes
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Ceignes
Géolocalisation sur la carte : Ain
Voir sur la carte topographique de l'Ain
Ceignes
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Voir sur la carte administrative d'Auvergne-Rhône-Alpes
Ceignes

Ceignes est une commune française, située dans le département de l'Ain en région Auvergne-Rhône-Alpes. Elle est située au col de Cerdon sur un large plateau que borde l'extrémité des Monts Berthiand. La commune est située à environ 40 kilomètres de Bourg-en-Bresse et 16 kilomètres de Nantua.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Localisation

[modifier | modifier le code]

Ceignes se situe au centre est du département de l'Ain dans le Haut-Bugey, dans le massif du Jura. Son territoire communal de 1001 hectares est vallonné par les Monts Berthiand. Il est délimité par les communes de Peyriat, Maillat, Labalme, Saint-Alban, Challes-la-Montagne et Leyssard. La commune comprend plusieurs groupes d'habitations, le village de Ceignes et les hameaux d'Étables et de Moulin-Chabaud.


Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Jura, caractérisée par une forte pluviométrie en toutes saisons (1 000 à 1 500 mm/an), des hivers rigoureux et un ensoleillement médiocre[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 594 mm, avec 12,2 jours de précipitations en janvier et 8,9 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Vieu », sur la commune de Vieu-d'Izenave à 5 km à vol d'oiseau[3], est de 9,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 610,3 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Voies de communication et transports

[modifier | modifier le code]

Voies routières

[modifier | modifier le code]

Ceignes est traversée, depuis 1986, par l'autoroute A 40 sur une longueur de 4,250 km, mais ne possède pas de sortie sur son territoire. Il faut se rendre à Saint-Martin-du-Frêne, à environ 5 km, pour y accéder. Deux aires de service ont été aménagées sur le territoire communal. L'aire de Ceignes-Cerdon, dans le sens Mâcon-Genève est possède un grand parking pour les véhicules de toutes dimensions ainsi qu'une station-service. La seconde est l'aire de Ceignes Haut-Bugey, dans les sens Genève-Mâcon avec également une station-service.

Cette autoroute des Titans passe par le col de Ceignes (646 m), de 8 km, dont une pente de 6 % sur 3 km.

La route départementale D 1084 traverse également la commune à hauteur du hameau Moulin-Chabaud Elle permet de se rendre en direction de Nantua ou Oyonnax par le nord, et Poncin ou Ambérieu-en-Bugey par le sud. La commune est également traversée sur la route départementale 11 entre Cerdon et Matafelon-Granges. De plus la route départementale 11 g permet d'accéder à Leyssard.

Transport ferroviaire

[modifier | modifier le code]

Une ligne de tramway existait jusqu'à la fin de la première moitié du XXe siècle[7]. Celle-ci reliait Nantua à Ambérieu-en-Bugey en longeant la route nationale 84 (aujourd'hui appelée route départementale D1084) avec une gare dans le hameau Moulin-Chabaud. Le service fut interrompu à la suite de l'effervescence du transport routier, malgré tout, il fut d'un grand service aux populations desservies.

Au , Ceignes est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9] et hors attraction des villes[10],[11].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (62 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (62 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (62 %), zones agricoles hétérogènes (29,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (5,5 %), prairies (3,3 %)[12].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le nombre total de logements dans la commune est de 104[13]. Parmi ces logements, 85,6 % sont des résidences principales, 13,5 % sont des résidences secondaires et 1 % sont des logements vacants. Ces logements sont pour une part de 97,8 % des maisons individuelles et 2,2 % sont d'autre part des appartements. La part d'habitants propriétaires de leur logement est de 69,7 %[13]. Ce qui est supérieur à la moyenne nationale qui se monte à près de 55,3 %. En conséquence, le nombre de locataires est de 28,1 % sur l'ensemble des logements qui est inversement inférieur à la moyenne nationale qui est de 39,8 %[13]. On peut noter également que 2,2 % des habitants de la commune sont des personnes logées gratuitement alors qu'au niveau de l'ensemble de la France le pourcentage est de 4,9 %. Toujours sur l'ensemble des logements de la commune, aucun ne sont des studios, 5,6 % sont des logements de deux pièces, 16,9 % en ont trois, 40,4 % des logements disposent de quatre pièces, et 37,1 % des logements ont cinq pièces ou plus[13].

Ceignes et ses hameaux n'ont pas gardé le même nom suivant les années[14]. Ceignes s'appelait Cyennies en 1299, Cyennis Jusqu'en 1369, Cegnies jusqu'en 1394, Ceynies en 1394, Ciegne et Ceigne au XVIIe siècle et au XIXe siècle.

En arpetan, une ceigne est un espace défriché et devenu boueux ; sans doute, une zone de défrichement dont les sols, imperméables ou faiblement perméables, avaient tendance à se transformer rapidement en espaces boueux.[réf. nécessaire]

Les hameaux

[modifier | modifier le code]

Étables était Stabulis jusqu'en 1223 puis Estrablos jusqu'en 1250. Le nom d’Estrable apparait pour être remplacé par Estable en 1670 et devenir Étable jusqu'à la fin du XVIIIe siècle.

Le second hameau, Moulin-Chabaud s'appelait autrefois les Barraques.

Héraldique

[modifier | modifier le code]

Faits historiques

[modifier | modifier le code]
Ceignes vue de la route de Peyriat

Le site d'Étables[15] semble avoir été une étape sur la voie romaine venant de Lyon.

Au Moyen Âge, d'abord dépendant des seigneurs de Coligny puis de ceux de Thoire, Étables passe sous domination savoyarde en 1402 et ceci jusqu'en 1601, date de rattachement des Pays de l'Ain à la France, par le Traité de Lyon. Un château semble avoir existé à l'emplacement le plus élevé du village, mais il ne reste aujourd'hui que les vestiges des murailles. Une tradition veut qu'au début du XVIIe siècle, les maisons du village aient été totalement détruites par les flammes.

En 1790 déjà, la population du hameau de Ceignes dépasse celle d'Étables. En 1809 la paroisse est transférée à Ceignes, et en 1879, Étables cesse d'être le chef-lieu de la commune au profit de Ceignes. En 1926 et la fin du sectionnement électoral, le hameau perd même les 3 sièges qui lui étaient réservés au conseil municipal.

Politique et administration

[modifier | modifier le code]
Mairie.

Tendances politiques

[modifier | modifier le code]

Administration municipale

[modifier | modifier le code]

Le conseil municipal est composé de 11 membres, dont le maire et une adjointe pour la mandature 2020-2026.

Liste des maires

[modifier | modifier le code]

Liste de l'ensemble des maires qui se sont succédé à la mairie de la commune :

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1794 1800 Jean Pierre Clerc-Lazard    
1800 1816 Jean François Clerc    
1816 1819 Joseph Vuarin    
1819 1831 Jean Baptiste Vuarin    
1831 1865 Jean Marie Clerc    
1865 1871 J. F. Clerc    
1871 1874 Jean Baptiste Mercier    
1874 1876 César Gustave Clerc    
1876 1881 Jean Baptiste Mercier    
1881 1904 Alphée Molard    
1904 1908 Jules Vuarin    
1908 1912 Eugène Chardeyron    
1912 1925 Jules Vuarin    
1925 1929 Henri Berne    
1929 1945 Jules Molard   réélu en 1935, maintenu en 1940
1945 1947 Claudius Balland    
1947 1953 Joseph Déléaz    
1953 1959 Raymond Berne    
1959 1965 Henri Molard    
1965 1971 Joseph Déléaz    
1971 1977 Henri Girousse    
1977 1995 Ernest Clerc    
1995 2001 Yves Brossier    
2001 2008 Jean-Luc Perret    
2008 En cours Alain Aubœuf SE Professeur des écoles
Les données manquantes sont à compléter.

La commune n'a pas développé d'association de jumelage.

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[16]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[17].

En 2021, la commune comptait 261 habitants[Note 1], en évolution de +1,95 % par rapport à 2015 (Ain : +4,96 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
352373442444402435436411417
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
393355350308319287291267259
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
239225185178150146135128134
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
131124114136160230273282265
2014 2019 2021 - - - - - -
263255261------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[19].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

[modifier | modifier le code]

L'école de Ceignes se situait dans la mairie. Un bâtiment à trois niveaux qui fut construit en 1877, au centre du village, sur la place. Le rez-de-chaussée abritait la salle de classe alors que le premier niveau était le logement de l'instituteur. Le second étage étant le lieu du conseil municipal et les archives. L'école fut fermée en 1982 à cause du manque d'effectif, mais la salle de classe est toujours conservée en l'état. Les enfants de Ceignes sont scolarisés à Nurieux, et bénéficient d'un transport scolaire avec ramassage dans les hameaux.

Le collège le plus proche de Ceignes est le collège "Théodore-Rosset" de Montréal-la-Cluse. Le département de l'Ain met à disposition un transport scolaire gratuit le matin et le soir qui passe par plusieurs arrêts dans les différents hameaux de la commune.

Il en est de même pour le transport jusqu'au lycée. Ceignes se situe dans le secteur du lycée "Xavier-Bichat" de Nantua, mais certaines navettes permettent aux jeunes d'aller jusqu'aux lycées "Arbez-Carme" de Bellignat ou "Paul-Painlevé" d'Oyonnax suivant les orientations choisies.

Manifestations culturelles et festivités

[modifier | modifier le code]

La commune de Ceignes possédant deux églises — l'église Sainte-Catherine dans le chef-lieu et la chapelle Saint-Laurent dans le hameau d’Étables — il y a deux fêtes patronales : le pour la fête de Sainte-Catherine et le pour la fête de Saint-Laurent[20].

En 2021, le comité des fêtes s'est reconstitué et a déjà proposé plusieurs manifestations.

Les pharmacies les plus proches sont celles d'Izernore, de Saint-Martin-du-Frêne et de Montréal-la-Cluse. Des médecins s'y trouvent également.

Ceignes se situe dans le secteur du centre hospitalier du Haut Bugey à Oyonnax. Ce bâtiment ouvert en 2007 a permis le regroupement des hôpitaux d'Oyonnax et de Nantua qui dataient de l'avant-guerre, mais également une mise aux normes de leurs infrastructures.

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]
  • Henri Romans-Petit (Firminy, Loire 1897 - Ceignes 1980) : colonel, chef des maquis de l'Ain et du Haut-Jura dès 1942 ; il organisa (à la tête de ses maquisards), le , "au nez et à la barbe" de l'occupant nazi, un défilé dans les rues d'Oyonnax avec dépôt de gerbe au monument aux morts. Il termina sa vie à Ceignes et est inhumé au cimetière d'Oyonnax.
  • Henri Girousse (1913-1998), compagnon d'Henri Romans-Petit pendant la guerre, a fini sa vie dans la commune de Ceignes où il a exercé la fonction de maire.

Revenus de la population et fiscalité

[modifier | modifier le code]

Jusqu'en 1950, l'agriculture était l'activité principale de la commune. Aujourd'hui, une seule exploitation subsiste et les surfaces agricoles sont louées aux agriculteurs des communes extérieurs.

Aujourd'hui[Quand ?], l'atelier de matière plastique, les artisans ainsi que l'aire de service de l'autoroute A40 sont sources d'emplois.

Entreprises de l'agglomération

[modifier | modifier le code]

Une entreprise de volets roulants, créée en 1990, emploie une trentaine d'habitants des environs de la commune.

Des commerçants ambulants viennent chaque semaine dans le village, notamment : un boulanger qui vient de Saint-Martin-du-Fresne et un poissonnier qui vient de Montréal-la-Cluse.

Culture et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
Lavoir d'Etables

Monuments laïques

[modifier | modifier le code]

Il existe plusieurs fours à pain sur la commune ainsi qu'un lavoir communal. On retrouve aussi la trace d'un chemin gallo-romain.

Monuments religieux

[modifier | modifier le code]
L'église Sainte-Catherine.

Patrimoine naturel

[modifier | modifier le code]

Le marais des Lèches, zone humide, située à proximité d'Etables, est un écrin protecteur pour la faune et la flore. Un sentier pédestre sur pilotis et un observatoire permettent une approche de l'étang. Le site est équipé de tables de pique-nique et de places de stationnement.

Gastronomie

[modifier | modifier le code]

Patrimoine culturel

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]

Notes et cartes

[modifier | modifier le code]
  • Notes
  1. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Ceignes et Vieu-d'Izenave », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Vieu », sur la commune de Vieu-d'Izenave - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Vieu », sur la commune de Vieu-d'Izenave - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. A. Clerc, J. Déléaz, Colonel Henri Girousse, J. Piavoux, Richesses Touristiques et Archéologiques du Canton d'Izernore, ITALIQ, 1998, p. 36 (ISBN 2-907656-29-5).
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  9. Insee, « Métadonnées de la commune ».
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. a b c et d Données INSEE compulsées par Linternaute - Logement à Ceignes.
  14. A. Clerc, J. Déléaz, Colonel Henri Girousse, J. Piavoux, Richesses Touristiques et Archéologiques du Canton d'Izernore, ITALIQ, 1998, p. 35 (ISBN 2-907656-29-5).
  15. A. Clerc, J. Déléaz, Colonel Henri Girousse, J. Piavoux, Richesses Touristiques et Archéologiques du Canton d'Izernore, ITALIQ, 1998, p. 36 - 37 (ISBN 2-907656-29-5).
  16. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  17. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  18. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  19. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  20. a et b « Ceignes »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur quid.fr
  21. « La chapelle Saint-Laurent d'Étables », notice no PA00116354, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

[modifier | modifier le code]
  • A. Clerc, J. Déléaz, Colonel Henri Girousse, J. Piavoux, Richesses Touristiques et Archéologiques du Canton d'Izernore, ITALIQ, 1998, p. 34 - 49 (ISBN 2-907656-29-5)

Article connexe

[modifier | modifier le code]