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Le Quesnel-Aubry

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Le Quesnel-Aubry
Le Quesnel-Aubry
Vue du Quesnel-Aubry.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Clermont
Intercommunalité Communauté de communes de l'Oise picarde
Maire
Mandat
Émilie Dubourget
2020-2026
Code postal 60480
Code commune 60520
Démographie
Population
municipale
223 hab. (2021 en évolution de +3,72 % par rapport à 2015)
Densité 47 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 30′ 34″ nord, 2° 18′ 37″ est
Altitude Min. 89 m
Max. 164 m
Superficie 4,75 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Beauvais
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Just-en-Chaussée
Législatives 1re circonscription de l'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Le Quesnel-Aubry
Géolocalisation sur la carte : France
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Le Quesnel-Aubry
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Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Le Quesnel-Aubry

Le Quesnel-Aubry est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Géographie

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Localisation

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Communes limitrophes de la commune du Quesnel-Aubry.

Le Quesney-Aubry est une commune située à 72 km au nord de Paris, 18 km à l'est de Beauvais, 39 km à l'ouest de Compiègne et à 43 km au sud d'Amiens[1].

Communes limitrophes

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Topographie et géologie

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La commune du Quesnel-Aubry a été établie sur le plateau picard, au sommet d'un coteau dominant la haute vallée de la Brêche. Le territoire culminant à 164 mètres d'altitude au calvaire du Sion, au nord, est orienté en pente douce vers le sud. Il est délimité par deux vallées sèches : la vallée de Bucamps au nord et les vallées de Wavignies, Saurette et Marguerite au sud. Dans cette dernière se trouve le point le plus bas, à 91 mètres. L'église du village se situe à 150 mètres au-dessus du niveau de la mer[2]. Le Quesnel-Aubry se trouve en zone de sismicité 1, c'est-à-dire très faiblement exposée aux risques de tremblement de terre[3].

Hydrographie

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La commune est située dans le bassin Seine-Normandie. Elle n'est drainée par aucun cours d'eau[4],[Carte 1].

La commune fait partie du bassin versant de la Brêche, rivière située à un kilomètre en aval. Les talwegs ou vallées sèches conduisant les eaux de ruissellement vers ce cours d'eau. Deux mares ont été creusées dans le village, l'une dans la Grande Rue, la seconde à l'angle de la rue des Jardins-et-des-Poissonniers[2]. Les zones les plus basses du territoire dans le fond des vallons sont situées au-dessus de nappes phréatiques sous-affleurantes[5].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique du Quesnel-Aubry[Note 1].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (°C)[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 696 mm, avec 11,2 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Tillé à 15 km à vol d'oiseau[8], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 655,5 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Milieux naturels

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Hormis les espaces bâtis couvrant 17 hectares pour 3,6 % de la surface communale, le territoire comprend plus de 81 % d'espaces cultivés sur 391 hectares et 9 hectares de vergers et de prairies, auquel on peut ajouter 5 hectares de pelouses sur sol calcaire. Les espaces boisés situés sur les coteaux s'étendent sur 58 hectares pour 12 % de la surface communale. Ils sont représentés par les bois de la Muraille, des Marnes et du Larris du Cul de Lampe au sud, au nord par le bois des Longs-Boyaux[12],[2].

Le coteau boisé dit Larris du Cul de Lampe au nord de la commune constitue une zone Natura 2000 inscrite dans l'ensemble du réseau de coteaux crayeux du Beauvaisis[13] ainsi qu'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique de type 1[14]. Le fond de la vallée Marguerite constitue un corridor écologique potentiel[15].

Au , Le Quesnel-Aubry est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[16]. Elle est située hors unité urbaine[17]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Beauvais, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[17]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18],[19].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (85,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (84,8 %), forêts (9,2 %), zones urbanisées (6 %)[20]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Hameaux et lieux-dits

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L'espace bâti se concentre uniquement au chef-lieu. La commune ne possède ni hameaux ni écarts habités[2].

Morphologie urbaine

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Le village est organisé en « village-tas » convergeant vers le centre ancien. Ce secteur constitué de corps de fermes et maisons anciennes se situe au sud du chef-lieu actuel et s'est prolongé au nord par un habitat plus étalé mêlant pavillons et habitations plus anciennes[2].

Voies de communications et transports

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La commune est traversée d'ouest en est la route départementale 61, reliant Essuiles à Hardivillers. Elle constitue la rue principale du village, dite Grande Rue. Plusieurs routes communales se dirigent vers les communes voisines de Montreuil-sur-Brêche, Bucamps et du Plessier-sur-Bulles[2].

La gare SNCF la plus proche est située à Saint-Just-en-Chaussée à 9 km à l'est, sur la ligne de Paris-Nord à Lille[1].

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 619 et 6114 du réseau interurbain de l'Oise[21]. Une navette de regroupement pédagogique intercommunal (ligne 6659) relie le village aux communes voisines de Montreuil-sur-Brêche et de Bucamps[21].

L'aéroport de Beauvais-Tillé se trouve à 15 km à l'ouest[1] et l'aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle se situe à 58 km au sud-est[1]. Il n'existe pas de liaisons par transports en commun entre la commune et ces aéroports.

Le sentier de grande randonnée GR 124, balisé de Cires-lès-Mello dans l'Oise à Rebreuviette dans le Pas-de-Calais traverse une partie de la commune par l'ouest par la vallée de Bucamps.

Le nom de la localité est attesté sous les formes Kesneel (1133) ; Roberto de Cainello (1149) ; Caisneel (1164) ; Kaisneel (1164) ; de Kaisnaio (1174) ; Caisneels (1175) ; Albericus de Deneel (vers 1190) ; Kesnel (1194) ; Albericum de Kesneel (1200) ; Quesneel (vers 1200) ; Albericus de Qeneel (1202) ; de Kesnao (vers 1210) ; Quernetum (vers 1210) ; Quernota (vers 1210) ; du Quesneel (1211) ; Keneel (1229) ; le quesnel mons Baudry (1230) ; Radulphus de Kayneello in Belvasino (1267) ; Quesnellum supra Bullas (1280) ; Quesnel sur Bulles (1303) ; le quesneel dessus Bulles (1339) ; le Quaisnel (1345) ; Quenel (vers 1500) ; le Quesnel Obry (vers 1500) ; Quesnel Aubri (vers 1500) ; le Quesnel-Aubry (1667)[22].

Le Quesnel, de l'oïl picard kaisne « chêne » avec le suffixe diminutif -el, Quesnel, « jeune chêne »[23] ou le « petit chêne ».

Aubry, du bas latin Alto Braco, composé du latin altus (« haut »), la seconde partie du mot étant peut-être le gaulois *bracu (« terre humide » → voir bray)

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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La commune se trouve dans l'arrondissement de Clermont du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de l'Oise.

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Froissy[24]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune fait désormais partie du canton de Saint-Just-en-Chaussée.

Intercommunalité

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La commune faisait partie de la communauté de communes des Vallées de la Brèche et de la Noye créée fin 1992.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[25], le préfet de l'Oise a publié en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, qui prévoit la fusion de plusieurs intercommunalités[26], et notamment celle de Crèvecœur-le-Grand (CCC) et celle des Vallées de la Brèche et de la Noye (CCVBN), soit une intercommunalité de 61 communes pour une population totale de 27 196 habitants[27].

Après avis favorable de la majorité des conseils communautaires et municipaux concernés[28], cette intercommunalité dénommée communauté de communes de l'Oise picarde et dont la commune est désormais membre, est créée au [29].

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
  1989[30] René Moittié   Maçon
mars 1995 2008 Gérard Ghesquiere    
mars 2008[31] mai 2020[32] Jean Louis Castier   Agriculteur retraité
mai 2020[33] En cours
(au 22 juillet 2020)
Émilie Dubourget   Collaboratrice du groupe LR-divers droite au conseil départemental de l'Oise
Vice-présidente de la CC de l'Oise Picarde (2020 → )

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[35].

En 2021, la commune comptait 223 habitants[Note 3], en évolution de +3,72 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
415518450464448430416382346
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
326274248207214204190172171
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
15113714810511395116121115
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
134118120130122127155159200
2017 2021 - - - - - - -
213223-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 39,9 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 21,6 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 109 hommes pour 110 femmes, soit un taux de 50,23 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,11 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[37]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
0,0 
3,8 
75-89 ans
5,6 
16,0 
60-74 ans
17,8 
17,9 
45-59 ans
16,8 
21,7 
30-44 ans
20,6 
19,8 
15-29 ans
15,0 
20,8 
0-14 ans
24,3 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2021 en pourcentage[38]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,5 
75-89 ans
7,6 
15,6 
60-74 ans
16,3 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,6 
15-29 ans
16,2 
20,6 
0-14 ans
19,1 

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Église Notre-Dame-de-la-Nativité : l'édifice est assez remanié, cependant les murs du chœur sont très anciens.
  • Stèle en hommage aux aviateurs du

Personnalités liées à la commune

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique du Quesnel-Aubry » sur Géoportail (consulté le 22 septembre 2024).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a b c et d « orthodromie : distance à vol d'oiseau », sur le site lion1906.com, site personnel de Lionel Delvarre (consulté le ).
  2. a b c d e et f « Carte au 1/15000e » sur Géoportail (consulté le 29 mai 2018)..
  3. « Géorisques : Mieux connâitre les risques sur le territoire - Le Quesnel-Aubry »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Fiche communale du Quesnel-Aubry », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie (consulté le )
  5. « Carte de remontée des nappes », sur innondationsnappes.fr (consulté le ).
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  8. « Orthodromie entre Le Quesnel-Aubry et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Beauvais-Tillé » (commune de Tillé) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Beauvais-Tillé » (commune de Tillé) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  12. « Synthèse des zonages du patrimoine naturel et paysager, de la faune, de la flore et des habitats naturels », sur donnees.picardie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Réseau de coteaux crayeux du bassin de l'Oise aval (Beauvaisis) », sur natura2000-picardie.fr (consulté le ).
  14. « Larris du Cul de Lampe, fiche znieff détaillée », sur inpn.mnhn.fr (consulté le ).
  15. « Carte des corridors écologiques potentiels au Quesnel-Aubry », sur donnees.picardie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  16. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  17. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Beauvais », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  21. a et b « Transports en commun au Quesnel-Aubry », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  22. Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l'Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 461.
  23. Toponymie générale de la France : Formations pré-celtiques, celtiques, romanes, Genève, Droz, , p. 267.
  24. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
  26. « Projet de schéma départemental de coopération intercommunale de l'Oise » [PDF], Préfecture de l'Oise, (consulté le ), p. 13-25.
  27. « La nouvelle carte intercommunale de l'oise : intercommunalité à fiscalité propre au  », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers,‎ , p. 15.
  28. R. Th., « La fusion des communautés de communes est définitive », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3417,‎ , p. 6 « Les 6 projets de fusion de communautés de communes ou d'agglomération ont tous recueilli une majorité favorable ; ils pourront ainsi tous être conduits à leur terme ».
  29. Sylvie Godin, « Naissance de l'Oise picarde : Jacques Cotel dirige un territoire de 26 500 habitants », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3430,‎ , p. 17.
  30. « René Moittié ne peut s'empêcher de s'interroger sur la rénovation de l'église, à mesure qu'il constate la dégradation des joints du bâtiment. Il évoque même une affaire de gros sous. », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne) « René Moittié, ancien conseiller municipal et ancien maire du village, a décidé de remettre sur le tapis une affaire... vieille de 20 ans. « L'église avait de l'éclat après sa rénovation, au début des années 2000. ».
  31. Le bonhomme picard du 26 mars 2008
  32. Sylvie Godin, « Émilie Dubourget veut succéder à Jean-Louis Castier », Le Bonhomme picard, édition Breteuil Crèvecœur, no 3589,‎ , p. 9 « Jean-Louis Castier ayant fait savoir qu'il ne se représentait pas, Émilie Dubourget a choisi de briguer la mairie du Quesnel-Aubry, 230 habitants ».
  33. « Le Quesnel-Aubry 60480 », Résultats aux municipales 2020, sur lemonde.fr (consulté le ).
  34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune du Quesnel-Aubry (60520) », (consulté le ).
  38. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).