Mamoudzou
Mamoudzou | |
Le port de plaisance et le marché couvert. | |
Blason |
Logo |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Mayotte |
Département | Mayotte (préfecture) |
Intercommunalité | Communauté d'agglomération de Dembeni-Mamoudzou (siège) |
Maire Mandat |
Ambdilwahedou Soumaila (LR) 2020-2026 |
Code postal | 97600, 97605, 97650 et 97680 |
Code commune | 97611 |
Démographie | |
Gentilé | Mamoudzous |
Population municipale |
71 437 hab. (2017 ) |
Densité | 1 689 hab./km2 |
Population agglomération |
103 593 hab. (2017) |
Géographie | |
Coordonnées | 12° 46′ 53″ sud, 45° 13′ 54″ est |
Altitude | Min. 0 m Max. 570 m |
Superficie | 42,3 km2 |
Type | Commune urbaine et littorale |
Unité urbaine | Mamoudzou (ville-centre) |
Aire d'attraction | Mamoudzou (commune-centre) |
Élections | |
Départementales | Cantons de Mamoudzou-1, Mamoudzou-2 et Mamoudzou-3 (bureau centralisateur) |
Législatives | Première circonscription Deuxième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | www.mamoudzou.yt |
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Mamoudzou est une commune française située dans le département de Mayotte. La commune est depuis le 27 août 2023 chef-lieu de Mayotte et accueille le siège du conseil départemental et la préfecture de Mayotte (de jure, le chef-lieu était auparavant fixé à Dzaoudzi[1]). Mamoudzou concentre aussi les principales activités commerciales et artisanales de Mayotte.
La commune compte, en 2017, 71 437 habitants[2] (soit environ 27,8% de la population totale de Mayotte), ce qui en fait la plus peuplée de Mayotte. Il s'agit de la 45e ville de France, et l'aire urbaine de la ville est la 45e de France.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Mamoudzou est située à l'est du département de Mayotte, entre la Réserve Forestière de Majimbini et l'océan Indien.
Elle est distante de 728 km de Tananarive (Madagascar), de 1 410 km de Saint-Denis (La Réunion), pour environ 2h de vol, de 1268km de Dodoma (Tanzanie), de 1576km de Nairobi (Kenya), de 2.290km de Pretoria (Afrique du Sud), de 3.414km de Kinshasa (Congo Kinshasa) et de 8 040 km de Paris.
Les vols entre La Réunion et Mayotte AR sont opérés par deux compagnies aériennes ː Air Austral et Corsair
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Les communes limitrophes sont Dembeni, Koungou, Ouangani, Tsingoni, Dzaoudzi et Pamandzi.
La ville de Mamoudzou est située en Grande-Terre face à l'île de Petite-Terre. Elle est à cheval entre un relief montagneux et le littoral, d'où partent les barges qui vont de Grande-Terre à Petite-Terre.
La commune se compose de sept villages en plus de Mamoudzou : Kavani, Kawéni (activités industrielles et grande surface), Mtsapéré, Passamaïnty, Vahibé, Tsoundzou I et Tsoundzou II. Les villes les plus proches sont Koungou et Dembeni.
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]Situé en bord de mer, l'est de la commune est formé par une bande littorale, de plaine, représentant près d'un tiers du territoire communal. Le centre et l'ouest de Mamoudzou sont vallonnés ou montagneux, ponctués par les vallées des différentes rivières la traversant, dans le sens ouest-est. Le point culminant de la commune est le Mlima Mtsapéré situé en limite nord, à 570/571 m.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Le territoire de Mamoudzou est arrosé par plusieurs cours d'eau :
- La Kwalé ;
- Le Gouloué ;
- Le Doujani ;
- Le Majimbini ;
- Le Kawéni la joli.
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Mamoudzou est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5]. Elle appartient à l'unité urbaine de Mamoudzou, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[6] et 103 593 habitants en 2017, dont elle est la ville-centre[7],[8].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mamoudzou, dont elle est la commune-centre[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 17 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[9],[10].
La commune, bordée par l'océan Indien à l'est, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[11]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[12],[13].
Voies de communications et transports
[modifier | modifier le code]Réseau routier
[modifier | modifier le code]Le réseau routier est essentiellement concentré sur la bordure littorale, la plus habitée, Mamoudzou étant accessible par la RN 2, route principale nord-sud de l'île. Depuis la ville de Passamaïnty, la RD 3 permet de traverser l'île, vers l'ouest, et de rejoindre la ville de Tsingoni via le village de Vahibé.
Réseau maritime
[modifier | modifier le code]Deux navettes maritimes régulières ont lieu toutes les demi-heures, entre Dzaoudzi, proche de l'aéroport, et Mamoudzou. L'une est vouée au trafic passagers et de véhicules légers (barge), l'autre, au transport des poids-lourds (amphidrome)[14].
Plus de 4,7 millions de passagers et 692 889 véhicules ont été recensés. De ce fait, la liaison Dzaoudzi-Mamoudzou est la ligne maritime régulière la plus fréquentée de France et elle ne désemplit pas. En effet, depuis 2010, le nombre de passagers a augmenté de 44,0 %[15].
Transports en commun
[modifier | modifier le code]Caribus est un futur réseau de transport en commun qui desservira la communauté d'agglomération de Dembeni-Mamoudzou[16] à partir de 2024. Lancé en 2008, le projet est censé désengorger les embouteillages qui paralysent quotidiennement toute l’île.
Toponymie
[modifier | modifier le code]Histoire
[modifier | modifier le code]Mamoudzou est une localité qui se développe à partir des années 1860 pour seconder le chef-lieu Dzaoudzi, situé juste en face : auparavant, il ne s'agissait que d'un lieu-dit, au nom obscur (partagé avec une ville des Célèbes, en Indonésie).
L'urbanisation a progressivement intégré d'anciens villages dont l'existence pour certains remonte à plusieurs siècles : il s'agit de Kaweni (XIVe siècle), Mtsapéré (fin XVIIIe siècle), Choa ou « pointe Mahabou », village fondé dans les années 1830 par les Sakalaves ayant accompagné Andriantsoly. Kaweni et Kavani ont accueilli, dans la seconde moitié du XIXe siècle, deux plantations sucrières avec usines dont une partie des vestiges est encore visible.
Mamoudzou n’est encore qu’une humble bourgade quand elle devient chef-lieu de facto de Mayotte en 1987 avec l’installation des bâtiments du conseil territorial et de la préfecture[17] même si de jure le chef-lieu restait à cette date fixé à Dzaoudzi. En effet, le décret no 77-129 du fixe le chef-lieu de Mayotte à Mamoudzou mais Dzaoudzi garde « provisoirement » cette fonction en attendant que le transfert soit officialisé par arrêté ministériel[18]. Malgré le transfert des bâtiments administratifs dix ans plus tard en 1987, l’arrêté ministériel n’a jamais été pris, Dzaoudzi est donc toujours chef-lieu de jure jusqu'au 26 août 2023.
Le 27 août 2023 (lendemain de la publication du décret officialisant son statut), Mamoudzou devient officiellement chef-lieu de Mayotte[19], remplaçant Dzaoudzi.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]La commune est la préfecture de Mayotte. Elle est également découpée en trois cantons : Mamoudzou-1, Mamoudzou-2 et Mamoudzou-3. Depuis le , Mamoudzou fait partie de la communauté d'agglomération de Dembeni-Mamoudzou (la CADEMA).
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Équipements et services publics
[modifier | modifier le code]Enseignement
[modifier | modifier le code]Les élèves de Mamoudzou effectuent leur scolarité dans la commune, qui dispose de 12 écoles maternelles, 28 écoles élémentaires, 6 collèges et 3 lycées[21] (dont le lycée Younoussa Bamana).
Santé
[modifier | modifier le code]Le centre hospitalier de Mayotte se situe sur la commune de Mamoudzou[22]. Le pôle maternité a vu, en 2008, 4 470 des 8 100 accouchements constatés à Mayotte, ce qui lui vaut le surnom de « première maternité de France ». En 2007, 62 % des femmes qui y ont accouché n'étaient pas affiliées à la Sécurité sociale : parmi elles se trouvent de nombreuses Anjouanaises et Malgaches entrées illégalement sur le territoire.[réf. nécessaire]
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1978. Auparavant, on sait qu'il n'y avait pas plus de 150 habitants en 1936. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee, mais la loi relative à la démocratie de proximité du a, dans ses articles consacrés au recensement de la population, instauré des recensements de la population tous les cinq ans en Nouvelle-Calédonie, en Polynésie française, à Mayotte et dans les îles Wallis-et-Futuna, ce qui n’était pas le cas auparavant[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2002[24], les précédents recensements ont eu lieu en 1978, 1985, 1991 et 1997.
En 2017, la commune comptait officiellement 71 432 habitants[Note 3], en augmentation de 24,71 % par rapport à 2012.
Village | 1997 | 2002 | 2007 | 2012 | 2017 |
---|---|---|---|---|---|
Kavani | 3 948 | 5 488 | 8 100 | 7491 | 9 740 |
Kawéni | 6 206 | 9 604 | 11 562 | 13 276 | 17 060 |
Mamoudzou | 5 666 | 6 533 | 6 186 | 5 839 | 6 131 |
Mtsapéré | 6 979 | 10 495 | 11 283 | 12 812 | 15 880 |
Passamaïnty | 5 173 | 6 008 | 7 086 | 7 026 | 8 430 |
Tsoundzou 1 | 2 093 | 3 058 | 3 398 | 4 464 | 5 570 |
Tsoundzou 2 | 574 | 1 063 | 1 671 | 2 301 | 2 559 |
Vahibé | 2 135 | 3 236 | 3 736 | 4 072 | 6 067 |
Nombre retenu à partir de 1997 : Population sans doubles comptes |
Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]Sports et loisirs
[modifier | modifier le code]La commune dispose de plusieurs clubs dont :
- un club de rugby à XV[27] ;
RC Mamoudzou
- plusieurs clubs de football, les principaux sont :
- FC Mtsapéré ;
- AS Rosador ;
- ASC Kawéni ;
- Vahibé VCO.
- Basket-ball
- Basket Club Mtsapere
- Magic Basket
- TCO Mamoudzou
Un événement particulièrement important est la course de pneus qui s'y déroule chaque année.
Cultes
[modifier | modifier le code]Le conseil régional du culte musulman est installé dans cette commune[28], ainsi que le Tribunal du Grand Cadi.
La paroisse catholique Notre-Dame de Fatima, de Mamoudzou dépend du vicariat apostolique de l'archipel des Comores[29].
Économie
[modifier | modifier le code]La surconcentration des administrations, des commerces et industries en font la ville incontournable où se côtoient tradition et modernité.
Son marché couvert (le plus grand de l'île) à proximité du Comité de Tourisme de Mayotte place de la République, est un lieu de "convivialité" important. On y vend pêle-mêle bassines, tapis de prière, vêtements, épices et fruits et légumes locaux parmi lesquels bananes, ananas, mangues, papayes, maniocs, fruits à pain...
Revenus de la population et fiscalité
[modifier | modifier le code]Emploi
[modifier | modifier le code]Entreprises et commerces
[modifier | modifier le code]Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]La bibliothèque départementale de Mayotte est implantée dans le quartier de Kavani. En plus d'un espace de prêts pour tous de 650 m2, la structure dispose d'un bibliobus, reliant les communes de l'île[30],[31].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- M'Toro Chamou, né en 1974 à Mamoudzou, chanteur.
- Manou Mansour, né en 1980 à Mamoudzou, poète
- El Fardou Ben Nabouhane, né en 1989 à Passamaïnty, footballeur international comorien évoluant à l'Étoile rouge de Belgrade.
- Tava Colo, « supercentenaire » née en 1902 à Passamaïnty, candidate au titre de doyenne de l'humanité y est décédée en 2021.
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Guillaume d'Astorg, Le quartier de Kavani à Mamoudzou (Mayotte) : une première approche de la vie de quartier par l'espace habité (mémoire de maîtrise d'ethnologie), Université de La Réunion, , 98 p..
- Janine Fourrier et Jean-Claude Fourrier, Un M'zoungou à Mamoudzou : chronique mahoraise, Paris, L'Harmattan, , 237 p. (ISBN 2-7475-1486-2).
- Joël Ninon, « La dynamique urbaine à Mayotte : l'étalement de Mamoudzou et la périphérisation des centres petits-terriens », Les Cahiers d'Outre-Mer, vol. 60, , p. 305-318 (lire en ligne).
- Jacques Rombi, Carnets de route : Mutsamudu, Mamoudzou : deux villes, un devenir, Mamoudzou, Édition du Baobab, , 68 p. (ISBN 2-908301-36-9).
- Didier Benjamin et Henri R. Godard, « Centralisation et polarisation : l'aire urbaine de Mamoudzou et les villages mahorais », Mappemonde, no 64, (lire en ligne).
Liens externes
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- Site officiel
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative à la géographie :
- Ressource relative à la musique :
- Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généraliste :
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au , millésimée 2017, définie dans les limites territoriales en vigueur au .
Références
[modifier | modifier le code]- Le décret no 77-129 du 11 février 1977 (paru au Journal officiel le lendemain) indique que le chef-lieu est fixé à Mamoudzou mais que, jusqu’à une date précisée par arrêté ministériel, ce chef-lieu reste provisoirement fixé à Dzaoudzi. Cet arrêté ministériel n’ayant jamais été pris, Dzaoudzi restait de jure le chef-lieu. Un décret du 24 août 2023 vient abroger le décret no 77-129, et officialise le statut de Mamoudzou en tant que chef lieu de Mayotte.
- « 256 500 habitants à Mayotte en 2017 », sur Insee, Insee Focus, no 105, (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Mamoudzou », sur insee.fr (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Mamoudzou », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Les communes soumises à la loi littoral. », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
- « La loi littoral », sur collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
- « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Horaires des navettes par bateau »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur aeroport-mayotte.com (consulté le ).
- Marie-Anne Poussin-Delmas (dir.), Mayotte : Rapport annuel 2016 (rapport), Institut d'émission des départements d'outre-mer, (ISBN 978-2-916119-98-4, lire en ligne [PDF]).
- Djamilat Soidiki, Caribus : lancement des travaux du projet de transport en commun à Mayotte, France-Info, 10 février 2022 (consulté le 17 novembre 2022)
- Marie Céline Moatty et Yves Moatty, Mayotte en 200 questions-réponses, Chevagny-sur-Guye, Orphie, , 191 p. (ISBN 978-2-87763-479-3).
- « Fac-similé JO du 12/02/1977, page 00861 | Legifrance », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).
- « Décret n° 2023-819 du 24 août 2023 portant fixation du chef-lieu de Mayotte » , sur Legifrance.gouv.fr, (consulté le ).
- Mohamed Majani (dir.), Mamoudzou Ma ville no 4, Mamoudzou, Mairie de Mamoudzou, (lire en ligne), p. 10-11.
- liste des écoles, collèges et lycées
- centre hospitlier de Mamoudzou
- Titre V de la loi no 2002-276 du 27 février 2002 relative à la démocratie de proximité
- Décret no 2002-974 du 9 juillet 2002 fixant la date et les conditions dans lesquelles sera exécuté le recensement général de la population de Mayotte en 2002, publié au JORF du .
- Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2013 - Recensements harmonisés - Séries départementales et communales
- pour les années 1978, 1985, 1991, 1997, 2002, 2007, 2012 et 2017
- Club de Rugby à XV
- « CONSEIL REGIONAL DU CULTE MUSULMAN DE MAYOTTE (CRCM) », sur www.net1901.org (consulté le )
- « Paroisse Notre-Dame de Fatima à Mayotte: Histoire », sur Paroisse Notre-Dame de Fatima à Mayotte (consulté le )
- « Bibliothèque départementales - Mayotte - Annuaire | Service-Public.fr », sur lannuaire.service-public.fr (consulté le )
- Département de Mayotte, « Département de Mayotte », sur Département de Mayotte (consulté le )
- Altitudes, coordonnées, superficie : répertoire géographique des communes des DOM 2013 (site de l'IGN, téléchargement du 19 mars 2014)
- insee populaire aire urbaine de Mamoudzou