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Marie-France Pisier

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Marie-France Pisier
Marie-France Pisier au festival de Cannes 1992.
Biographie
Naissance
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 66 ans)
ToulonVoir et modifier les données sur Wikidata
Sépulture
Nom de naissance
Marie-France Claire PisierVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Formation
Activités
Période d'activité
Père
Georges Pisier (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Mère
Paula Caucanas-Pisier (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Fratrie
Conjoints
Georges Kiejman (de à )
Thierry Funck-Brentano (de à )Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Distinctions
Prononciation
Films et séries notables

Marie-France Pisier est une actrice, scénariste et réalisatrice française, née le à Đà Lạt (Indochine française) et morte le à Toulon (Var)[1].

Elle est connue entre autres pour son rôle dans le cycle des films de François Truffaut consacrés au personnage d'Antoine Doinel, dans lesquels elle interprète Colette, le premier amour d'Antoine, resté platonique. Elle enchaîne des collaborations auprès de réalisateurs prestigieux tels que Luis Buñuel, Jacques Demy, André Téchiné, Roger Vadim, Jacques Rivette, Raoul Ruiz ou encore Maïwenn.

Elle a été lauréate de deux César de la meilleure actrice dans un second rôle deux années consécutives, 1976 et 1977.

Marie-France Pisier est la fille de Georges Pisier[2] ( - ), haut fonctionnaire français vichyste et maurrassien, administrateur en chef des Affaires coloniales puis de la France d'Outre-mer (en Indochine française de 1943 à 1950, puis en Nouvelle-Calédonie de 1950 à 1966), et de Paula Pisier née Caucanas ( - )[3],[4], militante féministe et future secrétaire générale de l'Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD)[5],[6]. Elle naît et passe une partie de son enfance dans ce qui est alors l'Annam, une des composantes de l'Indochine française[7].

Le couple Pisier-Caucanas a deux autres enfants : Évelyne Pisier (1941-2017), professeur des universités en sciences politiques, première épouse de Bernard Kouchner[8], et Gilles Pisier (né en 1950), polytechnicien (promotion 1969), mathématicien, membre de l'Académie des sciences depuis 2002.

Au début de la Seconde Guerre mondiale, le Japon envahit l'Indochine. En , la famille Pisier est internée dans deux camps de concentration japonais : Georges Pisier dans un camp avec d'autres officiers, Paula avec ses deux filles dans un autre pendant six mois. Rapatriée en France, Marie-France Pisier grandit alors en Nouvelle-Calédonie à Nouméa, où son père, affecté en 1950, termine sa carrière, et où naît son frère Gilles[9]. En 1956, après la séparation définitive de ses parents (divorcés et remariés), Marie-France a 12 ans et s'installe à Nice avec sa mère et sa sœur[10]. Elle y fait ses études secondaires au lycée de jeunes filles Albert-Calmette puis des études de droit et de sciences politiques à l'université de Nice au début des années 1960[11].

En , pour donner la réplique à Jean-Pierre Léaud, l'Antoine Doinel du court métrage Antoine et Colette (du film à sketches L'Amour à vingt ans[12]), François Truffaut recherche une jeune fille, « pas une lolita, pas une blousonne, pas une petite jeune femme ». Elle doit être simple, rieuse et avoir une bonne culture générale. Marie-France Pisier, qui fait alors partie d'une troupe de théâtre amateur au lycée Calmette de Nice[13], est choisie par le cinéaste. Les deux fuguent pendant un mois[14], leur escapade amoureuse inspirera au cinéaste La Peau douce[15]. On la retrouve dix-sept ans plus tard reprenant le personnage de Colette dans L'Amour en fuite, dernière aventure d’Antoine Doinel coécrite par la comédienne en 1978. Elle y croise Doinel (interprété par Jean-Pierre Léaud) dans le train et, à la fin du film, dans une scène émouvante, elle croise également Christine (interprétée par Claude Jade), successivement maîtresse, épouse et ex-épouse d'Antoine.

Marie-France Pisier en 1973.

Entre-temps, l'actrice est devenue une égérie du cinéma d'auteur, jouant dans un premier temps devant la caméra de son compagnon Robert Hossein, puis apparaissant dans les univers oniriques d'Alain Robbe-Grillet (celui-ci l’avait repérée à la une du magazine Lui le , posant en cuissardes[16]), de Luis Buñuel, de Jacques Rivette et, surtout, du jeune André Téchiné, qui va devenir son réalisateur fétiche. Dans le cadre de sa collaboration avec ce dernier, elle obtient deux fois le César du meilleur second rôle, en 1976 et en 1977. En 1976, année de la première consécration, c’est pour sa prestation dans Cousin, Cousine de Jean-Charles Tacchella. Parmi ses autres directeurs : Roger Vadim et Jacques Demy, dans des films qui ne remportent pas l'adhésion[réf. nécessaire].

Son rôle en 1972 dans la série télévisée Les Gens de Mogador lui vaut une reconnaissance populaire[17]. Elle connaît alors plusieurs succès populaires. Partenaire de Jean-Paul Belmondo (qui la surnomme avec affection et déférence « Marie-Pense Pisier, la star de la Cinémathèque »[18]) dans Le Corps de mon ennemi d'Henri Verneuil en 1976, et dans L'As des as de Gérard Oury en 1982, elle joue l'année suivante une productrice cynique avec Le Prix du danger d'Yves Boisset.

Son prestige lui ouvre plusieurs expériences internationales en vedette, notamment le délirant De l'autre côté de minuit, Chanel solitaire dont elle tient le rôle-titre entourée de Timothy Dalton et Rutger Hauer, et tenant le rôle de Clawdia Chauchat dans l'adaptation du roman La Montagne magique de Thomas Mann.

Marie-France Pisier au Festival du cinéma américain de Deauville (en 2007).

Elle s'inspire de son séjour en Nouvelle-Calédonie pour son roman Le Bal du gouverneur, paru en 1984. Elle adapte son roman et réalise le film du même titre en 1990. En 2002, elle écrit, réalise et interprète son deuxième film, Comme un avion, qui aborde le suicide de ses parents, à deux ans d’intervalle, quinze ans plus tôt.

Elle joue moins souvent dans les années 1990, mais on retient son interprétation de George Sand dans La Note bleue, mis en scène par Andrzej Żuławski (avec Sophie Marceau dans le rôle de Solange Sand, la fille de l’écrivain), son émouvante composition de femme en mal d'enfant dans Marion de Manuel Poirier, et son interprétation de Madame Verdurin dans Le Temps retrouvé de Raoul Ruiz. Sollicitée par les jeunes auteurs, elle tourne ensuite avec Laurence Ferreira Barbosa, Christophe Honoré ou Maïwenn, dans Pardonnez-moi (doublement nommé aux Césars 2007).

Le vers h 30 du matin, Marie-France Pisier est retrouvée par son mari Thierry Funck-Brentano inanimée au fond de la piscine de leur villa de Saint-Cyr-sur-Mer[19],[20]. Sa tête et ses épaules sont coincées dans le croisillon métallique d'une « lourde chaise en fer forgé » et elle porte des bottes en caoutchouc[21],[22]. Sa mort est constatée à Toulon[23] à h du matin[1].

Le rapport d'autopsie ne permet pas de déterminer les circonstances de la mort. Des analyses médico-légales toxicologiques (« un taux d'alcool important a été détecté par les analyses, qui ont mis en évidence la présence d'antidépresseurs et d'antalgiques à doses thérapeutiques »)[24],[25] puis l'autopsie finale conduisent à évoquer l'hypothèse d'un suicide de l'actrice, qui souffrait d'une récidive de cancer du sein[26], diagnostiqué pour la première fois en 2003, rendant une seconde opération avec ablation mammaire inéluctable, comme pour sa mère[27].

Près de dix années après sa mort, un conflit avec sa sœur Évelyne à propos des actes d'inceste commis par Olivier Duhamel, mentionné lors de l'enquête, est rappelé par sa nièce Camille Kouchner[28]. Dans son livre La Familia grande, celle-ci révèle que sa mère, informée en 2008-2009 des agissements d’Olivier Duhamel, a choisi de ne rien divulguer et de protéger son mari, comportement qui a choqué Marie-France Pisier. « On a compris qu’Évelyne pensait que Marie-France s’était plutôt suicidée », explique Camille Kouchner[28]. L'autopsie révélant le peu d'eau dans ses poumons suggère que Marie-France Pisier n'est pas morte par noyade[29], ce qui conduit à évoquer la possibilité d'une mort par crise cardiaque avant de tomber dans la piscine[22] ou par hydrocution[30] après cette chute. L'hypothèse d'un meurtre n'était pas écartée par l'autopsie[31].

À la suite de la publication du livre de sa sœur Camille, Julien Kouchner, fils aîné d'Évelyne Pisier, interrogé par Le Parisien le , revient sur la mort de Marie-France Pisier : « Je n'ai jamais cru que ma tante se soit suicidée, mais je ne sais pas comment elle est morte. Ma seule certitude, c'est que toute cette histoire [concernant l'inceste sur son frère] l'a tuée[32]. » Dans son livre de souvenirs[33], Georges Kiejman, qui fut son mari de 1973 à 1979, écrit : « Sans avoir aucune certitude, je penche pour un appel au secours qui aurait mal tourné. Cette mort brutale reste un chagrin et un mystère […] ».

L'actrice est inhumée le dans l'intimité familiale au cimetière de la Guicharde de Sanary-sur-Mer[34], dans le tombeau de la famille Duhamel-Brentano[35], allée des Pivoines.

Vie privée et engagements

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Alors qu'elle tourne une dizaine de films depuis l'âge de 18 ans, Marie-France Pisier continue à étudier à l'université de Nanterre, où elle obtient une licence de droit public, puis un diplôme d’études supérieures de science politique[36],[37]. Moins proche que sa sœur Évelyne des meneurs du mouvement, Marie-France aide toutefois Daniel Cohn-Bendit. De nationalité allemande, celui-ci est frappé d'un arrêté d'expulsion du ministre de l'Intérieur[38] le , alors qu'il se trouve aux Pays-Bas. Il rentre cependant clandestinement le à Paris puis, après quelques jours de clandestinité, décide de repartir. Marie-France Pisier lui teint les cheveux en noir et l'exfiltre dans sa MG décapotable jusqu'au Luxembourg. Ils font ensuite un séjour en Sardaigne et ont ensemble une aventure de quelques semaines[39].

Marie-France Pisier a été mariée à l'avocat Georges Kiejman (de 1973 à 1979), puis a épousé le Thierry Funck-Brentano (son compagnon depuis 1984), directeur de cabinet (1982-1993) de Jean-Luc Lagardère[40] et cogérant de Lagardère SCA (2010), avec qui elle a eu deux enfants : Mathieu, né le , et Iris, née en 1986[41]. Thierry Funck-Brentano est également le cousin germain d'Olivier Duhamel[42], lui-même beau-frère de Marie-France Pisier[43]. Autrement dit, les deux cousins germains (Olivier et Thierry) sont également devenus beaux-frères par alliance, à la suite de leurs mariages respectifs avec les deux sœurs, Évelyne et Marie-France.

Les parents de Marie-France Pisier se sont mariés et ont divorcé à deux reprises. Tous deux se sont suicidés, Georges par arme à feu en 1986, Paula par empoisonnement le après avoir contracté un double cancer du sein et subi une ablation mammaire[44],[45].

Intellectuelle engagée dans les combats de son époque, Marie-France Pisier est l’une des signataires du manifeste des 343 rédigé par Simone de Beauvoir en faveur du droit à l'avortement, paru le dans Le Nouvel Observateur[46].

Plaque 26 rue Guynemer (Paris), où elle vécut.

Le , un office est célébré pour elle en l'église Saint-Roch à Paris, bien qu'elle fût agnostique.

La même année lui est dédié le film de Christophe Honoré sorti l’été suivant, Les Bien-aimés.

Le lui est consacrée l'émission Un jour, un destin[47].

La ville de Paris, par le vote du conseil du 16e arrondissement et des conseillers de Paris, lui ont dédié un espace vert dans les jardins de l'Avenue-Foch[48] (entre les nos 70 et 82 de l'avenue Foch)[49]. À Angers, un square porte son nom[50].

Elle a vécu 26, rue Guynemer (6e arrondissement de Paris)[51], où une plaque lui rend hommage.

Filmographie

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Longs métrages
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Courts métrages
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Télévision

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Téléfilms
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Séries télévisées
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Documentaires

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2011 : Belmondo, itinéraire… de Vincent Perrot et Jeff Domenech : elle-même (témoignage)

Scénariste

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Réalisatrice et scénariste

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Publications

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  • Le Bal du gouverneur, Grasset, , roman (+ rééd. France-Loisirs et Le livre de poche, existe aussi sur cd audio, lu par elle-même)
  • Je n'ai aimé que vous, Grasset, (+ rééd. Le Grand livre du mois et Le livre de poche)
  • La Belle Imposture, Grasset, , roman (+ rééd. Le Grand livre du mois et Le livre de poche)
  • Le Deuil du printemps, Grasset, , roman (+ rééd. Le Grand livre du mois et Le livre de poche)

Distinctions

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Récompenses

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Nominations

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Notes et références

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  1. a et b « Actes de naissance et de décès », sur CinéArtistes (consulté le ).
    La mort a été constatée à Toulon, selon l’acte de décès en référence. La mort est survenue, selon l’autopsie qui n’a pu trancher, à la suite d’une noyade, d’une hydrocution ou d’une crise cardiaque qui a eu lieu dans la piscine de son domicile de Saint-Cyr-sur-Mer.
  2. Académie des sciences d'Outre-Mer, « Pisier Georges », sur Comité des travaux historiques et scientifiques, .
  3. « matchID - Fichier des décès - Caucanas Paula Marie Blanche », sur deces.matchid.io (consulté le )
  4. « Caucanas – GénéaFrance », sur geneafrance.com (consulté le )
  5. « La mort de Paula Caucanas-Pisier », sur Le Monde, (consulté le ).
  6. Secrétaire générale de l’Association pour le droit de mourir dans la dignité et membre du bureau de la Fédération internationale des sociétés pour le droit de mourir, elle a écrit avec Paul Chauvet, en 1986, le livre Vivre sa vie, choisir sa mort.
  7. Aimé Grimald, Gouverneur dans le Pacifique. Indochine, Nouvelle-Calédonie, Polynésie, Berger-Levrault, , p. 165.
  8. Michel Revol, « D'où viens-tu, Dany ? », Le Point, .
  9. Jacques Dalloz, Dictionnaire de la Guerre d'Indochine. 1945-1954, Armand Colin, , p. 254.
  10. Pascale Nivelle, « Un instant d'abandon », sur Libération.fr, (consulté le )
  11. « Décès de l'actrice Marie-France Pisier », Associated Press, 24 avril 2011. Consulté le 28 avril 2011.
  12. Coréalisé par Shintarō Ishihara, Marcel Ophüls, Renzo Rossellini, François Truffaut et Andrzej Wajda.
  13. Les Années Lycée, livre de poche édité par le Ministère de l'Éducation Nationale et Axa, 1994, p.85 : "Nous avions formé une petite troupe de théâtre amateur au lycée. Un journaliste de Nice-Matin nous avait photographié et quand il a appris que François Truffaut recherchait une jeune fille, il lui a envoyé mes photos."
  14. Antoine de Baecque, Serge Toubiana, François Truffaut, Gallimard, , p. 365.
  15. Benoît Gautier, « Lettre à Marie-France Pisier », sur LExpress.fr, (consulté le )
  16. « Magazine Lui, n° 27 », sur abebooks.fr, (consulté le )
  17. Piero Zanotto, Encyclopédie Alpha du cinéma, Alpha, , p. 170.
  18. Julien Dokhan, « Décès de la comédienne Marie-France Pisier », sur allocine.fr, (consulté le ).
  19. « Mort de Marie-France Pisier », lci.fr, 24 avril 2011.
  20. « Marie-France Pisier retrouvée inanimée chez elle à Saint-Cyr », Var-Matin.
  21. Aurélia Vertaldi, « Le doute plane sur le décès de Marie-France Pisier », sur lefigaro.fr, (consulté le )
  22. a et b « L’actrice Marie-France Pisier n’est pas morte noyée », sur SudOuest.fr, (consulté le )
  23. « Fichier des décès - Marie-France Claire Pisier », sur matchid.io (consulté le ).
  24. « Mort de Marie-France Pisier : toujours des questions après l'autopsie », sur leparisien.fr, (consulté le )
  25. « Décès de Marie-France Pisier : les analyses révèlent un taux important d'alcool et des médicaments », sur LePoint.fr, (consulté le )
  26. « Marie-France Pisier: la piste du suicide », sur lefigaro.fr, (consulté le )
  27. Bernard Pascuito, Morts étranges, Archipel, , p. 166.
  28. a et b Ariane Chemin, « Olivier Duhamel, l’inceste et les enfants du silence », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  29. Toutefois, les pompiers lors de la réanimation d'une personne trouvée dans l'eau, exécutent des manœuvres qui font régurgiter l'eau contenue dans les poumons, ce qui aurait effacé les traces permettant aux médecins légistes d'affirmer qu'elle est morte par noyade. Source : « Marie-France Pisier : le mystère s'épaissit », sur estrepublicain.fr, (consulté le ).
  30. « Exclusif : Marie-France Pisier n'est pas morte noyée », sur France Soir.fr, (consulté le )
  31. « Décès de Marie-France Pisier: une troublante découverte », sur BFMTV.com, (consulté le ).
  32. Pauline Weiss, « Affaire Duhamel : pour Julien Kouchner, "beaucoup savaient les agissements" de son beau-père », sur marieclaire.fr, (consulté le )
  33. Georges Kiejman et Vanessa Schneider, L'homme qui voulait être aimé, Paris, Grasset, , 251 p. (ISBN 978-2-246-82858-7), p. 104
  34. « Marie-France Pisier inhumée dans l'intimité familiale à Sanary », sur varmatin.com, .
  35. « Pisier Marie-France (1944-2011) - tombe de la famille Duhamel-Brentano - Cimetières de France et d'ailleurs », sur landrucimetieres.fr (consulté le )
  36. Les Années Lycée, livre de poche édité par le Ministère de l'Éducation nationale et Axa, 1994, p.85
  37. Gilles Caron, Sous les pavés, la plage. Mai 68, La Sirène, , p. 125.
  38. Et non pas d'une « interdiction de séjour » (dans telle ville, département), ni d'une « interdiction du territoire français », peines prononcées par la justice. L'arrêté d'expulsion est un acte du pouvoir exécutif.
  39. Emeline Cazi, Le Vrai Cohn-Bendit, Plon, 2010, p. 77.
  40. « Actrice, Marie-France Pisier était aussi romancière » [archive du ], sur Livres Hebdo.fr, (consulté le ).
  41. Roland Mihaïl et Antoine Silber, « Marie-France Pisier : son questionnaire de Proust », sur lexpress.fr, (consulté le ).
  42. La mère de Thierry Funck-Brentano, Monique Duhamel, est en effet la sœur jumelle de Jacques Duhamel, le père d'Olivier Duhamel.
  43. Olivier Duhamel a en effet été le dernier mari d'Évelyne Pisier, sœur de Marie-France, de 1987 jusqu'à la mort de cette dernière en 2017.
  44. Fait évoqué par l'actrice dans l'émission Thé ou Café de France 2.
  45. Sophie Grassin, La Véritable Marie-France Pisier, Paris, Flammarion, , p. 27.
  46. Le texte du manifeste et la liste des signataires sur nouvelobs.com.
  47. « Un jour un destin », sur france.tv, (consulté le )
  48. « Conseil de Paris », sur paris.fr.
  49. « Jardins de l’Avenue-Foch », sur paris.fr (consulté le )
  50. « Square Marie-France Pisier, Angers (Hauts de Saint-Aubin) », sur rues.openalfa.fr (consulté le )
  51. « La belle en fuite », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  52. « Just a woman par Marie-France Pisier », sur bide-et-musique.com (consulté le )

Bibliographie

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  • Sophie Grassin et Marie-Élisabeth Rouchy, La véritable Marie-France Pisier, éd. Pygmalion, 2014.

Liens externes

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