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Orange (fruit)

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Une orange découpée.

L'orange est le fruit de deux espèces distinctes de la famille des Rutacées, d'une part l'orange douce ou simplement orange produit par l'oranger (Citrus sinensis L.), d'autre part l'orange amère produit du Bigaradier (Citrus aurantium). Comme pour tous les agrumes, il s'agit d'une forme particulière de baie appelée hespéride.

Plante domestiquée et produit de l'hybridation de plusieurs espèces de Citrus (originaires de l'Asie du sud-est) pour devenir comestible, c'est le quatrième fruit le plus cultivé au monde, fruit juteux, sucré et réputée pour sa grande teneur en vitamine C, qui se consomme cru sans la pelure ou en salade de fruit, cuit en confiture ou marmelade, ou en jus. Il existe plusieurs variétés d’oranges, classées en quatre groupes variétaux.

L’orange a donné son nom à la couleur secondaire qui, sur le cercle chromatique, prend place entre le rouge et le jaune.

Description

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Fleurs d'oranger et oranges.

L'orange est le fruit[1],[2],[3],[4] comestible[2],[4] des orangers[1],[4] doux (C. sinensis) ou amers (C. aurantium) de couleur jaune à rouge en passant par orange. Il s'agit, en terme botanique, d'une baie qui possède une peau épaisse et assez rugueuse.

Variété locale d'orange de Kozan (Citrus sinensis var. D'Kozan).

Il existe de nombreuses variétés d'oranges parmi lesquelles on regroupe :

les 4 groupes d'orange proprement dites[6]:

  • les oranges douces ou blondes: Valencia, Jaffa, l'une des principales variétés produites au Moyen-Orient, principalement en Israël, l'orange maltaise[7] demi sanguine et maltaise blonde, Salustiana, riche en jus (60 %) et sans pépin. Obtenue par mutation spontanée de Citrus sinensis au couvent de Benimuslen, Castellon de la Plana en Espagne, Ambersweet, Tarocco, Maltaise demi sanguine de Tunisie,
  • les oranges Navel ou naveline, dont Washington Navel, Navel Late, New hall, Lane Late, Navelina[8],[9]etc.
  • les oranges pigmentées ou sanguines : Tarocco, Moro, Sanguinello. Les oranges sanguines tirent leur nom de la couleur totalement ou partiellement rouge de leur pulpe. Cette coloration est due à la présence d'anthocyanes, de couleur variable selon le pH, rouges en milieu acide (comme c'est le cas dans l'orange). La synthèse démarre chez certaines espèces quand elles subissent un coup de froid.
  • les oranges sans acidité.

Le nom d'orange peut également désigner des hybrides (orangelo oranger x pomelo) ou des mandarines (Orange du Cambodge ou Cam sành[10]).

L'Oranger, par Jean-Baptiste Oudry, 1740.

La génomique a permis à une équipe de recherche chinoise de mettre en évidence l'existence d'oranges ancestrales très acides (Chine du sud) puis d'oranges modérément acides (Jincheng) qui donnent naissance aux oranges douces et aux oranges sans acidité [réf. souhaitée]. La diversité des oranges douces est importante dans les zones de domestication méditerranéenne et américaine (2021)[11].

Dans l'Antiquité, à la différence du citron et du cédrat, les oranges sont inconnues des Grecs et des Romains ; elles ne parviennent en Europe qu'au Moyen Âge, autour de l'an 1000[12]. On peut distinguer deux grandes routes de pénétration de ce fruit en Europe. La route méditerranéenne fut empruntée, à l'époque des croisades (XIe siècle-XIIIe siècle), par l'orange amère ou bigarade : transmis par les Perses aux Arabes, ce fruit fut implanté en Andalousie, Sicile et Pays valencien, d'où il se diffusa vers le reste de l'Europe.

À la fin du XVe siècle, les portugais importent une orange douce provenant de Chine et qui sera connue ailleurs comme oranger du Portugal[13]. La description de Citrus sinensis (citrus de Chine), l'oranger doux, est attribuée à Pehr Osbeck dans son Voyage en Chine (1771)[14] mais ce sont Jonas Dryander et Joseph Banks (1797) qui nomment Citrus Aurantium ß. sinensis[15]. Elle est longtemps synonyme de la bigarade par exemple chez Risso (1818) 'Bigaradier chinois'[16] qui nomme 'Chinois' les C. myrtifolia[17]. En 1765, l'Encyclopédie, article Oranger distingue «L'orange aigre ou bigarade, l'orange douce ou de Portugal {nommée orange de Chine dans ce pays], l'oranger tortu, l'orange étoilée; l'orange à écorce douce, l'oranger de la Chine»[18]. En 1803, Le Nouveau dictionnaire d'histoire naturelle donne l'Inde comme origine de l'oranger dont il note la confusion des 54 variétés citées[19].

On doit à Alphonse de Candolle (1883) une première synthèse sur les origines de l'orange douce, selon lui originaire de Chine et Cochinchine. Elle serait déjà cultivée en Europe dès le XIVe siècle (Espagne, Italie) et l'orange introduite par le Portugais depuis la Chine ne serait qu'un cultivar spécialement sucré[20].

Jusqu'à la première moitié du XXe siècle, l'orange était un fruit de luxe, et souvent offert comme cadeau de Noël et de la Saint-Nicolas (Belgique et Pays-Bas) aux enfants. Sa culture en bac a longtemps été un symbole de pouvoir pour les aristocrates qui lui dédiaient des bâtiments spécialisés : les orangeries.

Étymologie

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Le substantif féminin[1],[2],[3],[4] orange (prononcé [ɔʀɑ̃:ʒ][2]) est un emprunt[1], par l'intermédiaire de l'italien arancio[1], à l'arabe nārang(a)[1],[2], lui-même emprunté au persan narang[1],[2], de même sens[1]. Ce mot persan est emprunté au mot sanscrit naranga qui apparait vers l'an 100 dans le traité de médecine hindoue Charaka Samhita, le mot nar y signifiant “parfum”[21].

D'après le Trésor de la langue française informatisé, la plus ancienne occurrence de orange est l'anglo-normand pume orenge qui se trouve dans les Commentaires sur le Cantique des Cantiques d'Alexandre Neckam, datés de vers [2] ; l'ancien français pomme d'orenge est attesté dans la Chirurgie d'Henri de Mondeville, datée de [2] ; puis orenge seul, par ellipse de pomme, est attesté dans le Ménagier de Paris, daté de vers [2]. L'ancien français pomme d'orenge serait un calque de l'ancien italien melarancio, -a.

L'arabe nārang(a) est également à l'origine de naranja en castillan et en espagnol ou encore aràngi en provençal. Pendant longtemps ces fruits remontèrent le Rhône jusqu'à la ville d'Orange, du latin Arausio qui a donné Ouranjo en provençal et Orange en français. Puis elles furent distribuées à partir du port fluvial de cette ville, d'où leur nom de pomme d'Orange, puis d'orange, peut-être aussi par amalgame d'Orange et d'arange[22].

Culture d'orangers au Brésil.

L'industrie de l'orange représente un chiffre d'affaires mondial de l'ordre de deux milliards de dollars américains, les premiers pays producteurs étant le Brésil et les États-Unis (principalement la Floride).

Pour consommer ce fruit tous les mois de l'année, des orangers dits « de contre-saison » sont cultivés. Cette production en zone tempérée chaude réduit l'extension des surfaces de production dans l'hémisphère Sud. Le Chili, l'Uruguay, l'Afrique du Sud et la Nouvelle-Zélande s'imposent. Les ventes estivales sont caractérisées par l'étroitesse de l'offre.

L'exemple de l'Uruguay est ici précisé. Lors de l'indépendance algérienne, des agriculteurs français producteurs d'oranges, décident d'émigrer en Uruguay pour y implanter des cultures fruitières. Après une installation déstabilisante, les cultivateurs francophones découvrent un marché local difficile. Les exportations lointaines sont un impératif, mais nécessitent une organisation rigoureuse de toute la filière : calibrage, conditionnement, équipements, moyens de transport routiers et maritimes. En 1972, des aides économiques insérées dans le plan Citrico commun au pays voisins de l'estuaire de la Plata, Uruguay et Argentine, posent les jalons jusqu'en 1992.

Nueva Palmica en Uruguay produit des oranges, Campana en Argentine produit des citrons. Les deux villes deviennent des pôles de récolte et d'exportation d'agrumes : des usines lavent, calibrent et trient la récolte. Celle-ci est chargée dans des camions réfrigérés qui transportent les fruits aux navires frigorifiques sur palettes et en cartons. Les plates-formes de distribution traitent avec les enseignes de grande distribution. Les rebuts du tri et du calibrage sont utilisés pour des desserts et des salades de fruits.

Production en 2019[23]
Données de FAOSTAT (FAO)

Pays Production
(en milliers de tonnes)
Part mondiale
Drapeau du Brésil Brésil 17 074 22 %
Drapeau de la République populaire de Chine Chine 10 436 13 %
Drapeau de l'Inde Inde 9 509 12 %
Drapeau des États-Unis États-Unis 4 833 6 %
Drapeau du Mexique Mexique 4 737 6 %
Drapeau de l'Espagne Espagne 3 227 4 %
Drapeau de l'Égypte Égypte 3 197 4 %
Drapeau de l'Indonésie Indonésie 2 563 3 %
Drapeau de l'Iran Iran 2 309 3 %
Drapeau de la Turquie Turquie 1 700 2 %
Drapeau d'Afrique du Sud Afrique du Sud 1 686 2 %
Drapeau de l'Italie Italie 1 650 2 %
Drapeau du Pakistan Pakistan 1 615 2 %
Drapeau de l'Algérie Algérie 1 200 2 %
Drapeau du Maroc Maroc 1 182 2 %
Autres pays 11 782 15 %
Monde Monde 73 079 100 %

Production en 2013[23]
Données de FAOSTAT (FAO)

Pays Production
(en milliers de tonnes)
Part mondiale
Drapeau du Brésil Brésil 17 550 24 %
Drapeau des États-Unis États-Unis 7 501 10 %
Drapeau de la République populaire de Chine Chine 7 306 10 %
Drapeau de l'Inde Inde 6 426 9 %
Drapeau du Mexique Mexique 4 410 6 %
Drapeau de l'Espagne Espagne 3 394 5 %
Drapeau de l'Égypte Égypte 2 855 4 %
Drapeau de l'Iran Iran 2 547 3 %
Drapeau d'Afrique du Sud Afrique du Sud 1 811 2 %
Drapeau de la Turquie Turquie 1 781 2 %
Drapeau de l'Italie Italie 1 701 2 %
Drapeau de l'Indonésie Indonésie 1 655 2 %
Drapeau du Pakistan Pakistan 1 401 2 %
Drapeau de l'Algérie Algérie 891 1 %
Drapeau de la Grèce Grèce 876 1 %
Autres pays 10 975 15 %
Monde Monde 73 079 100 %

Les pays de l'Union européenne ont produit 6,5 millions de tonnes d'oranges en 2018[24].

Consommation

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Oranges et jus d'orange.

Surtout dans la première moitié du XXe siècle, l'orange de Noël, dans les foyers modestes, ouvriers et paysans, désigne un précieux cadeau de Noël, une simple orange éclatante de couleur au cœur de l’hiver, belle pour sa forme, son odeur. Des écrivains comme Alphonse Daudet, Jean Guéhenno, Michel Peyramaure, l’ont évoquée dans leurs œuvres[25].

La pomme est le premier fruit consommé en France (part de marché en 2010 : 22,6 %) devant l'orange (12,3 %) et la banane (12,2 %)[26].

Utilisations

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Alimentation

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Le fruit est consommé frais, mais il est aussi utilisé dans d'innombrables recettes comme le jus d'orange (54 % du marché des jus de fruits), les confitures, les pâtisseries, les peaux d'orange confites, certains alcools, ou le canard à l'orange…

Informations nutritionnelles

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Orange crue
(valeur nutritive pour 100 g)
eau : 86,75 g cendres totales : 0,44 g fibres : 2,4 g valeur énergétique : 47 kcal
glucides : 11,75 g sucres simples : 9,35 g protéines : 940 mg lipides : 120 mg
oligo-éléments
potassium : 181 mg calcium : 40 mg phosphore : 14 mg magnésium : 10 mg
fer : 100 µg zinc : 70 µg cuivre : 45 µg sodium : 0 mg
vitamines
vitamine C : 53,2 mg vitamine B1 : 87 µg vitamine B2 : 40 µg vitamine B3 : 282 µg
vitamine B5 : 250 µg vitamine B6 : 60 µg vitamine B9 : 0 µg vitamine B12 : 0 µg
vitamine A : 225 UI rétinol : 0 µg vitamine E : 0,18 µg vitamine K : 0 µg
acides gras
saturés : 15 mg mono-insaturés : 23 mg poly-insaturés : 25 mg cholestérol : 0 mg

Les zestes, confitures ou marmelades faits avec des écorces d'oranges traitées avec des produits phytosanitaires peuvent contenir des quantités significatives de résidus de pesticides[27]. Les écorces attaquées par des champignons ou moisissures (moisissure bleue notamment) peuvent également contenir des mycotoxines.

Propriétés

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La peau de l'orange est composée de deux couches, une couche extérieure colorée orange nommée l'épicarpe ou le zeste, qui contient de nombreuses glandes à essences, et une deuxième couche distincte blanchâtre et spongieuse, l'albédo ou mésocarpe[28].

Les peaux d'oranges, mais aussi des autres agrumes (citrons, pamplemousses, etc.), libèrent communément par pression ou par grattage des molécules de furocoumarines. Un contact prolongé ou un frottement avec la peau couplé à une exposition au soleil peut provoquer des rougeurs irritantes et des démangeaisons désagréables, il s'agit de brûlures (« coups de soleil ») favorisées par les furocoumarines qui sont photosensibilisantes pour la peau, et non d'une allergie. Ce sont ces mêmes gammes de molécules à base « coumarine » qui expliquent l'odeur des essences d'oranges et leurs implications relaxantes[29]. Une étude chez l'homme a montré l'effet anxiolytique de l'odeur de l'essence d'orange diffusée dans l'atmosphère[30].

Pomme d'ambre

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Une « pomme d'ambre » : orange plantée de clous de girofle.

L'orange, ou autre agrume, piquée de clous de girofle et enrobée de poudre d'épices est la version végétale du bijou en métal précieux ciselé contenant l'ambre gris, la civette ou le musc et nommé « pomme de senteur »[31] « pomme d'ambre »[32], pomander[33], pomandre[34] ou pommandre[35]. Portée sur soi dans un sachet suspendu au cou, elle était, au Moyen Âge, censée protéger de l'infection. En ameublement, elle sert aujourd'hui à parfumer et décorer la maison ou, placée dans les armoires, à protéger le linge contre les mites[réf. nécessaire].

Calendrier républicain

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Le nom de l'orange fut attribué au 24e jour du mois de brumaire du calendrier républicain ou révolutionnaire français[36], généralement chaque 14 novembre du grégorien.

Notes et références

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  1. a b c d e f g et h « Orange », dans le Dictionnaire de l'Académie française, sur Centre national de ressources textuelles et lexicales (consulté le ).
  2. a b c d e f g h et i Informations lexicographiques et étymologiques d'« orange » (sens I, B, 1) dans le Trésor de la langue française informatisé, sur le site du Centre national de ressources textuelles et lexicales (consulté le ).
  3. a et b Entrée « orange », dans Émile Littré, Dictionnaire de la langue française, t. 3 : I – P, Paris, Hachette, , 1396 p., gr. in-4o (BNF 30824717, lire en ligne [fac-similé]), p. 847 (fac-similé (consulté le )).
  4. a b c et d Entrée « orange », sur Dictionnaires de français [en ligne], Larousse (consulté le ).
  5. « Bigarade », dans le Dictionnaire de l'Académie française, sur Centre national de ressources textuelles et lexicales (consulté le ).
  6. (en) Sebastiano Seminara, Stefania Bennici, Mario Di Guardo et Marco Caruso, « Sweet Orange: Evolution, Characterization, Varieties, and Breeding Perspectives », Agriculture, vol. 13, no 2,‎ , p. 264 (ISSN 2077-0472, DOI 10.3390/agriculture13020264, lire en ligne, consulté le )
  7. « Maltais », dans le Dictionnaire de l'Académie française, sur Centre national de ressources textuelles et lexicales (consulté le ).
  8. Tout savoir sur les oranges Navel.
  9. Les variétés d'oranges selon lanutrition.fr.
  10. Indochine française Direction des affaires économiques, « Bulletin économique de l'Indochine », sur Gallica, (consulté le ).
  11. (en) Lun Wang, Yue Huang, ZiAng Liu et Jiaxian He, « Somatic variations led to the selection of acidic and acidless orange cultivars », Nature Plants, vol. 7, no 7,‎ , p. 954–965 (ISSN 2055-0278, DOI 10.1038/s41477-021-00941-x, lire en ligne, consulté le )
  12. Jacques Brosse, Mythologie des arbres, Paris, Plon, 1989, p. 292.
  13. Alain Blondy, Louis Savoye, Joseph Nicholas Savoye, Le commerce des oranges entre Malte et la France au XVIIIe siècle, Éditions Bouchene, , p. 13.
  14. (en) Pehr Osbeck, A Voyage to China and the East Indies, Benjamin White, (lire en ligne)
  15. (la) Jonas Dryander et Joseph Banks, Botanici, Typis Gul. Bulmer et Soc., (lire en ligne), p 637
  16. Antoine Risso et Pierre Antoine Poiteau, Histoire naturelle des orangers, (lire en ligne), p. 103
  17. Henri Baillon, Dictionnaire de botanique. Tome 1 / par M. H. Baillon ; avec la collab. de MM. J. de Seyne... [et al.] ; dessins de A. Faguet, 1876-1892 (lire en ligne)
  18. Denis Diderot, Encyclopédie: ou dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des métiers, (lire en ligne), p 558
  19. Nouveau dictionnaire d'histoire naturelle, appliquée aux arts, principalement à l'agriculture, à l'économie rurale et domestique, Deterville libr., (lire en ligne), p 389 à 391
  20. Alphonse de Candolle, Origine des plantes cultivées, G. Baillière et cie, (lire en ligne), pp 145 et sq.
  21. Bernard Aubert, « première partie - Genèse du développement de la culture des agrumes, chapitre 1 : Contexte Historique, Scientifique et Artistique de l'Histoire Naturelle des Orangers », dans Bernard Aubert, Joseph Marie Bové, Histoire naturelle des orangers de Risso et Poiteau, Commentaires et Développements, C&M - Connaissance & Mémoires, (ISBN 2-914473-40-0), p. 40.
  22. Le provençal pour les nuls, 2011, p. 76.
  23. a et b « FAOSTAT : Pays par produits - Oranges », sur fao.org (consulté le ).
  24. EU production and trade in oranges - Products Eurostat News - Eurostat.
  25. « Dossiers pédagogiques de la radio et de la télévision scolaire. École élémentaire », sur Gallica, (consulté le ).
  26. Jean-Paul Frétillet, « les petits secrets des pommes », Magazine Ça m'intéresse no 356, , p. 88.
  27. (en) Roger F. Albach, Bruce J. Lime, Pesticide residue reduction by the process of preparing whole orange puree ; J. Agric. Food Chem., 1976, 24 (6), p. 1217–1220 DOI 10.1021/jf60208a025 Date de publication : .
  28. « Orange », sur snv.jussieu.fr (consulté le ).
  29. Les diverses coumarines du foin ont un effet décontractant et reposant similaire, connu depuis des temps immémoriaux. Les éleveurs paysans, après les harassants travaux de fenaison, s'assoupissaient facilement, s'étalant sur une couverture placée sur le foin entassé.
  30. (en) Lehrner J, Eckersberger C, Walla P, Pötsch G, Deecke L. Ambient odor of orange in a dental office reduces anxiety and improves mood in female patients. Physiol Behav. (en) 2000 Oct 1-15;71(1-2):83-6. PMID 11134689.
  31. De la « pomme de senteur » à la « pomme d'ambre », p. 83 Le Parfum et la chair, Annick Le Guérer, in Odeurs, Isabelle Balsamo (dir), Terrain : carnets du patrimoine ethnologique no 47, Paris, Éditions MSH, 2006, 164 p. (ISBN 9782735111305).
  32. (en) De la pomme d'ambre à la pomandre p. 44 Tudor costume and fashion, Herbert Norris, Courier Dover Publications, 1997, 832 p. (ISBN 9780486298450).
  33. Le pomander à la renaissance, p. 107-108 Le parfum des origines à nos jours, Annick Le Guérer, Paris, Odile Jacob, 2005, 406 p. (ISBN 9782738116703).
  34. La pomandre dans les chapelets et autres bijoux, p. 160-162 Flore au paradis : emblématique et vie religieuse aux XVIe et XVIIe siècles, volume 9, Paulette Choné, Bénédicte Gaulard, Glasgow, Department of French, University of Glasgow, 2004, 230 p. (ISBN 9780852618097).
  35. La pommandre de La Guirlande de lauriers, John Skelton, p. 815 in Patrimoine littéraire européen : anthologie en langue française, volume 6 : Prémices de l'humanisme, 1400-1515, Jean-Claude Polet (dir.), Bruxelles, De Boeck Université, 1995, 940 p. (ISBN 9782804120788).
  36. Ph. Fr. Na. Fabre d'Églantine, Rapport fait à la Convention nationale dans la séance du 3 du second mois de la seconde année de la République Française, p. 20.

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Articles connexes

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Bibliographie

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  • Alain Blondy, Parfum de Cour, gourmandise de rois. Le commerce des oranges entre Malte et la France au XVIIIe siècle, d’après la correspondance entre Joseph Savoye, épicier à Paris, et son fils, l’abbé Louis Savoye, chapelain conventuel de l’Ordre de Malte, Paris, Bouchène/Fondation de Malte, 2003, (ISBN 2-912946-52-2).

Liens externes

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