Saint-Rome-de-Tarn
Saint-Rome-de-Tarn | |||||
La place du Ravelin à Saint-Rome-de-Tarn. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Aveyron | ||||
Arrondissement | Millau | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de la Muse et des Raspes du Tarn (siège) |
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Maire Mandat |
Jacques Arlès 2020-2026 |
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Code postal | 12490 | ||||
Code commune | 12244 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Saint-Romains | ||||
Population municipale |
895 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 17 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 02′ 54″ nord, 2° 53′ 54″ est | ||||
Altitude | Min. 300 m Max. 665 m |
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Superficie | 52,06 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Raspes et Lévezou | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Aveyron
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
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Liens | |||||
Site web | Site officiel | ||||
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Saint-Rome-de-Tarn est une commune française, située dans le département de l'Aveyron, en région Occitanie.
De la Révolution française jusqu'à 2015, la commune a été chef-lieu d'un canton.
Géographie
[modifier | modifier le code]Généralités
[modifier | modifier le code]Au sud du Massif central, dans la moitié sud du département de l'Aveyron, la commune de Saint-Rome-de-Tarn est située à l'intérieur du parc naturel régional des Grands Causses. Le territoire communal, qui s'étend sur 52,06 km2, est arrosé par le Tarn sur plus de dix kilomètres dans des gorges appelées Raspes, dont cinq kilomètres lui servent de limite territoriale au nord-est et au nord-ouest, en deux endroits distincts.
L'altitude minimale se trouve localisée à l'extrême nord-ouest, près du lieu-dit Puech Gazal, dans la retenue du barrage de Pinet, là où le Tarn quitte la commune et sert de limite entre celles de Saint-Victor-et-Melvieu et Viala-du-Tarn. L'altitude maximale avec 665 mètres est située dans le sud, au sud-est du lieu-dit la Vayssière.
À l'intersection des routes départementales (RD) 31 et 993 et dominant le Tarn en rive droite de près de 50 mètres, le bourg de Saint-Rome-de-Tarn est situé, en distances orthodromiques, seize kilomètres à l'ouest-sud-ouest du centre-ville de Millau et quarante-deux kilomètres au sud-est de Rodez.
La commune est également desservie par les RD 50, 73, 96, 250 et 527.
Saint-Rome-de-Tarn se situe en zone de sismicité 1 (sismicité très faible)[1].
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Saint-Rome-de-Tarn est limitrophe de sept autres communes. Les communes limitrophes sont Les Costes-Gozon, Montjaux, Saint-Affrique, Saint-Georges-de-Luzençon, Saint-Rome-de-Cernon, Saint-Victor-et-Melvieu et Viala-du-Tarn.
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Sud-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 000 à 1 500 mm, minimale en été, maximale en automne[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 957 mm, avec 11 jours de précipitations en janvier et 5,2 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Millau à 15 km à vol d'oiseau[4], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 713,2 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Saint-Rome-de-Tarn est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[9],[10].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Les mentions anciennes de Saint-Rome-de-Tarn sont : en 1322 Sancti Romani de Tarno[11], 1327 Santo Romano de Tarno[12], 1332 locus Sti Romani de Tarno[13], 1334-1342 locus S. Romani de Tarno[14], 1341 parrochiarum bailivie Sancti Romani de Tarno[15], 1441 he de Sant-Roma-de-Tarn[16], 1666 St Roume de Tarn[13], 1757 Saint-Rome-de-Tarn[17]. Durant la Révolution, la commune porte le nom de Pont-Libre[18].
En occitan rouergat la commune porte le nom de Sant Roma de Tarn.
Histoire
[modifier | modifier le code]La première apparition du nom de Saint-Rome-de-Tarn date du Ve siècle lorsque saint Amans partit évangéliser le Rouergue. Au Xe siècle, un château fort, dit « de la Tour grosse », est construit.
Place forte du protestantisme, le bourg est ruiné après les guerres de Religion.
Au XVIIIe siècle, la ville dépendait administrativement de la province du Rouergue, du diocèse de Vabres, du parlement de Toulouse, de l'Intendance de Montauban, et de l'élection de Millau[19].
À la Révolution française, la commune devient chef-lieu d'un canton[18]. Elle porta, au cours de la période révolutionnaire de la Convention nationale (1792 – 1795), le nom de Pont-Libre[18].
La commune s'agrandit en 1843 avec la fusion de trois autres communes Saint-Michel-de-Landesque, Saint-Victor-et-Melvieu et Les Costes-Gozon[18]. En 1852, ces trois territoires sont cédés pour former les communes de Saint-Victor-et-Melvieu et Les Costes-Gozon, cette dernière absorbant le territoire de Saint-Michel-de-Landesque[18]. À une date non précisée, comprise entre 1820 et 1852, la commune de Montredon a également fusionné avec Saint-Rome-de-Tarn[18].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[23].
En 2021, la commune comptait 895 habitants[Note 1], en évolution de +2,64 % par rapport à 2015 (Aveyron : +0,17 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
[modifier | modifier le code]Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]Santé
[modifier | modifier le code]Sports
[modifier | modifier le code]Économie
[modifier | modifier le code]Revenus
[modifier | modifier le code]En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 325 ménages fiscaux[Note 2], regroupant 676 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 860 €[I 2] (20 640 € dans le département[I 3]).
Emploi
[modifier | modifier le code]Division | 2008 | 2013 | 2018 |
---|---|---|---|
Commune[I 4] | 7,3 % | 6,4 % | 8,1 % |
Département[I 5] | 5,4 % | 7,1 % | 7,1 % |
France entière[I 6] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 473 personnes, parmi lesquelles on compte 79,4 % d'actifs (71,2 % ayant un emploi et 8,1 % de chômeurs) et 20,6 % d'inactifs[Note 3],[I 4]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département, mais inférieur à celui de la France.
La commune est hors attraction des villes[Carte 1],[I 7]. Elle compte 274 emplois en 2018, contre 325 en 2013 et 262 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 342, soit un indicateur de concentration d'emploi de 80,3 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 49,8 %[I 8].
Sur ces 342 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 132 travaillent dans la commune, soit 39 % des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 79 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,2 % les transports en commun, 11,5 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 8,4 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].
Activités hors agriculture
[modifier | modifier le code]Secteurs d'activités
[modifier | modifier le code]81 établissements[Note 4] sont implantés à Saint-Rome-de-Tarn au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 5],[I 11].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 81 | ||
Industrie manufacturière, industries extractives et autres |
16 | 19,8 % | (17,7 %) |
Construction | 15 | 18,5 % | (13 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration |
24 | 29,6 % | (27,5 %) |
Activités financières et d'assurance | 3 | 3,7 % | (3,4 %) |
Activités immobilières | 1 | 1,2 % | (4,2 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien |
6 | 7,4 % | (12,4 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale |
8 | 9,9 % | (12,7 %) |
Autres activités de services | 8 | 9,9 % | (7,8 %) |
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 29,6 % du nombre total d'établissements de la commune (24 sur les 81 entreprises implantées à Saint-Rome-de-Tarn), contre 27,5 % au niveau départemental[I 12].
Entreprises
[modifier | modifier le code]Les deux entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[25] :
- Entreprise Jacques Arles, transports routiers de fret de proximité (7 644 k€)
- Aveyronnaise Transports Location, activités des sociétés holding (484 k€)
L'économie de la commune est caractérisée par une agriculture traditionnelle extensive axée sur l'élevage pour la production laitière de brebis destinée à l'élaboration des fromages de Roquefort et du pérail, tomme et pour la production de veaux et agneaux destiné à l'engraissement. Il existe une diversification : bois de chauffe, apiculture. Des commerces sont présents dans le bourg ainsi que deux artisans d'art, une potière et une vitrailliste. Les loisirs influent également sur l'économie communale: location estivale de maisons meublées, camping, randonnée, vélo tout terrain, découverte nature, pêche de parcours première et seconde catégorie, chasse à partir du quinze août.
Agriculture
[modifier | modifier le code]La commune est dans les Monts de Lacaune, une petite région agricole occupant le sud du département de l'Aveyron[26]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 6] sur la commune est l'élevage d'ovins ou de caprins[Carte 2].
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 36 | 23 | 19 | 18 |
SAU[Note 7] (ha) | 3 029 | 2 571 | 2 921 | 2 835 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 36 lors du recensement agricole de 1988[Note 8] à 23 en 2000 puis à 19 en 2010[28] et enfin à 18 en 2020[Carte 3], soit une baisse de 50 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations[29],[Carte 4]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 3 029 ha en 1988 à 2 835 ha en 2020[Carte 5]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 84 à 158 ha[28].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Témoignages du passé préhistorique de la région, cinq mégalithes ont été répertoriés sur le territoire communal : les dolmens d'Auriac[30], du Borie Blanque[31], de Font Réal[32], de Taurine[33] et des Tourelles[34].
- Les portes du bourg, vestiges des XIVe et XVe siècles.
- Le bourg médiéval, avec ses ruelles étroites, ses maisons décorées (logis à tourelle, fenêtre à meneaux…)
- À Auriac, on peut voir les ruines d'un ancien château fort.
- L'église Saint-Romain de Saint-Rome-de-Tarn.
- L'église Saint-Médard d'Olonzac.
- L'église Saint-Clément de Saint-Clément.
- Une statue de Monseigneur Denys Auguste Affre, natif de Saint-Rome-de-Tarn, est érigée sur la place du Terral. Une autre statue provenant d'Affreville (ville d'Algérie située à 120 kilomètres d'Alger et fondée en 1848 en l'honneur de Denys Affre, aujourd'hui Khemis-Miliana) se tient devant la maison de retraite portant son nom, enfin une autre est dressée place de la Cité à Rodez.
- Les cascades.
-
Le dolmen du Borie Blanque.
-
Ancienne porte de ville.
-
Castel du XIXe siècle dans le bourg.
-
Ruelle dans le bourg.
-
Le monument aux morts.
-
Le pont de la route départementale 993.
-
Cascade se déversant dans le Tarn.
-
carte postale ancienne de la grande cascade.
-
Plage le long du Tarn.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Raymond de Mostuéjouls (Monstucjouls ou Musfojoli) né vers 1280, à Saint-Rome-de-Tarn, issu d'une grand famille du Rouergue[35]. Il fut nommé évêque de Saint-Flour en 1318[36],[35]. C'était un homme profondément érudit et hautement qualifié dans le domaine de la discipline ecclésiastique. Il est élu cardinal, le ; il vécut jusque vers 1335, et fut enterré sous le portique de Saint-Guilhem-le-Désert[35].
- Jacques Affre-Saint-Rome (1791-1868), frère de Denys, député de l'Aveyron de 1848 à 1851.
- Denys Affre (1793-1848), archevêque de Paris de 1840 à 1848, natif de la commune.
- Michel Loirette (1943-), écrivain dont la famille était originaire de Saint-Rome-de-Tarn a consacré plusieurs livres à cette région.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | ||
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Détails | Ce blason est identique à celui de la Soule. Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- (oc + fr) Christian-Pierre Bedel (préf. Alain Marc), Sant-Roma : Aissenas, Broquièrs, Brossa, Las Còstas, L'Estrada, Sant-Victor, Lo Truèlh / Christian-Pierre Bedel e los estatjants del canton de Sant-Roma, Rodez, Mission départementale de la culture, coll. « Al canton », , 239 p., ill., couv. ill. ; 28 cm (ISBN 2-907279-20-3, ISSN 1151-8375, BNF 36688572)
- Maurice Chalhoub, Auriac : commune de Saint-Rome-de-Tarn : des origines à nos jours, Saint-Rome-de-Tarn, le Païssel Saint-Romain, , 92 p., ill., couv. ill. ; 30 cm (ISBN 2-9503350-0-4, BNF 40108742)
- Albert Carrière, Notes sur Saint-Rome-de-Tarn par Albert Carrière, 1913, Saint-Rome-de-Tarn, le Païssel Saint-Romain, , 146 p., ill., fac-sim., couv. ill. ; 24 cm (ISBN 978-2-9503350-0-5 et 2-9503350-0-4, BNF 41234048)
- Michel Loirette, La légende des Grands Causses : chronique romanesque, Etiolles, Lotra, coll. « Mémoire de nos vies », , 319 p., couv. ill. en coul. ; 21 cm (ISBN 978-2-9512682-4-1, BNF 41459273)
- André Bonnefis (préf. Jean Delmas), L'histoire de Saint-Rome-de-Tarn, Saint-Rome-de-Tarn, le Païssel Saint-Romain, , 248 p., ill. en noir et en coul., fac-sim., couv. ill. en coul. (ISBN 978-2-9503350-2-9, BNF 42489794)
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[27].
- Cartes
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Saint-Rome-de-Tarn » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans l'Aveyron » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Saint-Rome-de-Tarn » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans l'Aveyron » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Saint-Rome-de-Tarn » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Saint-Rome-de-Tarn » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans l'Aveyron » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- Plan séisme
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Saint-Rome-de-Tarn et Millau », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Millau » (commune de Millau) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Millau » (commune de Millau) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- Secousse, Ordonnances des rois de France de la troisième race (1750), t. 8, p. 475-476.
- Gaujal (M.-A.-F.), Études historiques sur le Rouergue (1858), p. 495.
- Romanische Forschungen (1902), t. 22, p. 64-65.
- Vidal (J.-M.), Benoît XII (1334-1342) Lettres communes… (1911), t. 3, p. 275.
- Molinier (A.), La Sénéchaussée de Rouergue en 1341, Bibliothèque de l'École des Chartes p. 481.
- Verlaguet (P._A.) Cartulaire de l'abbaye de Silvanès (1910), p. 479 n. 2.
- Plan de Cassini, IGN.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Robert de Hessein, Dictionnaire universel de la France, 1771, p. 136.
- Décès en cours de mandat : « Saint-Rome-de-Tarn : décès du maire Marcel Calmels », centrepresseaveyron, 28 juin 2019.
- Les Elus, site de Saint-Rome-de-Tarn, consulté le 3 juillet 2020.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Entreprises à Saint-Rome-de-Tarn », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
- « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Saint-Rome-de-Tarn - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département de l'Aveyron » (consulté le ).
- Dolmen d'Auriac, Mégalithes du monde, consulté le 6 juillet 2020.
- Dolmen du Borie Blanque, Mégalithes du monde, consulté le 6 juillet 2020.
- Dolmen de Font Réal, Mégalithes du monde, consulté le 6 juillet 2020.
- Dolmen de Taurine, Mégalithes du monde, consulté le 6 juillet 2020.
- Dolmen des Tourelles, Mégalithes du monde, consulté le 6 juillet 2020.
- MORONI ROMANO (Gaetano) Dizionario di erudizione storico-ecclesiastica da s. Pietro sino (1847), t. 47, p. 133.
- FLEVRY (prêtre) Histoire ecclesiastique: Depuis l'an 1300. jusques à l'an 1339, (1720), t. 19, p. 264.
- « Saint-Rome-de-Tarn », sur L'Armorial des villes et des villages de France (consulté le ).