Camille Robert
Camille Robert est candidate au doctorat en histoire à l’Université du Québec à Montréal. Son projet de thèse, financé par une bourse d’études supérieures du Canada Vanier, porte sur les conflits liés au travail de reproduction sociale dans le contexte du tournant néolibéral de l’État québécois, à travers l’étude de trois grèves dans les secteurs de l’éducation (1982-1983), de la santé et des services sociaux (1986, 1989). Dans le cadre de son mémoire de maîtrise, elle s’est intéressée aux discours et aux mobilisations des féministes québécoises pour la reconnaissance du travail ménager. Ses recherches ont été publiées sous forme de livre aux Éditions Somme toute en 2017. Plus récemment, elle a codirigé un ouvrage collectif sur le travail invisible des femmes au Québec, paru aux Éditions du remue-ménage en 2018. Depuis 2015, elle travaille à titre d’assistante de recherche au Centre d’histoire des régulations sociales. Elle est également chargée de cours, conférencière, collaboratrice à HistoireEngagée.ca et membre du comité de rédaction de la revue À Bâbord!.
Pour me contacter : www.camille-robert.info
Supervisors: Martin Petitclerc and Magda Fahrni
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Comment se décline l’enjeu du travail invisible dans différents milieux, et où en sont les revendications pour faire reconnaître ce travail et le sortir de l’ombre? Rassemblant des militantes féministes et des intellectuelles engagées sur ces questions, cet ouvrage collectif entend remettre le sujet du travail invisible à l’ordre du jour politique tout en proposant des pistes de réflexion et de mobilisation concrètes.
*
Des textes de Stella Adjokê, Sandrine Belley, Sonia Ben Soltane, Annabelle Berthiaume, Jenn Clamen, Hélène Cornellier, Irène Demczuk, Myriam Dumont Robillard, Claudia Foisy, Monica Forrester, Elizabeth James, Elene Lam, Widia Larivière, Valérie Lefebvre-Faucher, Linda Li, Camille Robert, Annabelle Seery, Valérie Simard et Louise Toupin.
La réponse à ces questions et à bien d’autres se trouve dans ce Dictionnaire critique du sexisme linguistique, recensant des centaines d’expressions sexistes. Un projet qui invite les féministes à passer des actes à la parole !
Suzanne Zaccour et Michaël Lessard vous invitent à la rencontre d’une trentaine de voix féministes québécoises de différents milieux, qui relèvent le pari de faire rire, sourciller, décrier, sourire et grimacer avec des textes aussi riches que colorés.
Avec la collaboration de : Dorothy Alexandre, Dalila Awada, Isabelle Boisclair, Marie-Anne Casselot, Catherine Chabot, Sarah R. Champagne, Élise Desaulniers, Audrey-Maude Falardeau, Catherine Dussault Frenette, Rosalie Genest, Marilyse Hamelin, Naïma Hamrouni, Céline Hequet, Caroline Jacquet, Sarah Labarre, Diane Lamoureux, Louise Langevin, Louise-Laurence Larivière, Widia Larivière, Annick Lefebvre, Judith Lussier, MamZell Tourmente, Catherine Mavrikakis, Emilie Nicolas, Florence Ashley Paré, Julie Podmore, Marie-Michèle Rheault, Sandrine Ricci, Camille Robert, Annelyne Roussel, Marie-Ève Surprenant, Cathy Wong, Suzanne Zaccour
Comment se décline l’enjeu du travail invisible dans différents milieux, et où en sont les revendications pour faire reconnaître ce travail et le sortir de l’ombre? Rassemblant des militantes féministes et des intellectuelles engagées sur ces questions, cet ouvrage collectif entend remettre le sujet du travail invisible à l’ordre du jour politique tout en proposant des pistes de réflexion et de mobilisation concrètes.
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Des textes de Stella Adjokê, Sandrine Belley, Sonia Ben Soltane, Annabelle Berthiaume, Jenn Clamen, Hélène Cornellier, Irène Demczuk, Myriam Dumont Robillard, Claudia Foisy, Monica Forrester, Elizabeth James, Elene Lam, Widia Larivière, Valérie Lefebvre-Faucher, Linda Li, Camille Robert, Annabelle Seery, Valérie Simard et Louise Toupin.
La réponse à ces questions et à bien d’autres se trouve dans ce Dictionnaire critique du sexisme linguistique, recensant des centaines d’expressions sexistes. Un projet qui invite les féministes à passer des actes à la parole !
Suzanne Zaccour et Michaël Lessard vous invitent à la rencontre d’une trentaine de voix féministes québécoises de différents milieux, qui relèvent le pari de faire rire, sourciller, décrier, sourire et grimacer avec des textes aussi riches que colorés.
Avec la collaboration de : Dorothy Alexandre, Dalila Awada, Isabelle Boisclair, Marie-Anne Casselot, Catherine Chabot, Sarah R. Champagne, Élise Desaulniers, Audrey-Maude Falardeau, Catherine Dussault Frenette, Rosalie Genest, Marilyse Hamelin, Naïma Hamrouni, Céline Hequet, Caroline Jacquet, Sarah Labarre, Diane Lamoureux, Louise Langevin, Louise-Laurence Larivière, Widia Larivière, Annick Lefebvre, Judith Lussier, MamZell Tourmente, Catherine Mavrikakis, Emilie Nicolas, Florence Ashley Paré, Julie Podmore, Marie-Michèle Rheault, Sandrine Ricci, Camille Robert, Annelyne Roussel, Marie-Ève Surprenant, Cathy Wong, Suzanne Zaccour