De Celan à Foucault
Jan Hoffmeister
Owls do cry
- Janet Frame
I.
Il est généralement connu que Paul Celan a pris, après la Deuxième Guerre Mondiale, une position d’enseignement à l’École Normale Supérieur à Paris. Devenu connu particulièrement en Allemagne dans les annes quarants pour ses poèmes expressives il a en fait cherché une position pour partager ses connaissances de la langue Allemand qu’il avait déjà étudier dans sa patrie en Europe de l’Est.
Klaus Reichert, Erinnerungen und Briefe. Paul Celan. Berlin: Suhrkamp, 2020 (première édition). Les circonstances concrètes de l’admission a une telle position aussi symbolique dans ce qui est en fait l’école la plus respectée des langues et connaissances philosophiques dans l’Héxagone ne semblent pas êtres connus dand la litérature critique. Les personnes qui se groupaieient environ le poète : Peter Szondi, Günther Grass, Klaus Reichert et des autres ont fait la connaissance intime avec l’auteur multilingue, comme on sait tres bien, pratiquement presque seulement a Paris. L’histoire de Klaus Reichert – chercheur allemand dans le seminaire au thème des sonnettes de Shakespeare duquel je faisais parti à Francfort – est devenu une pétite légende. Le jeune Klaus Reichert arrive à l’appartement du poète déjà celebre (avril 4, 1958), écoute une sonate en arrière fond et devient dans l’avenir proche la personne qui s’occuppe de la publication des ses textes en Allemagne depuis cette période la. C’est donc dans ces circonstances que Celan se trouve souvent dans la ville allemande au centre géographique du pays pour faire sûr que ses textes seront edités de la manière adequate dans le Verlag Suhrkamp (qui se trouvait en ce temps la dans cette ville).
Comme Celan était presque quelquechose comme un star dans le panthéon de poésie d’apres guerre il est donc tres compréhensible que on voulait l’avoir comme instructeur d’allemand à la Rue d’Ulm. Il faut en plus savoir que pour les grands noms de cette école (Althusser, Canguilhem, Dumézil) une personne reconnu comme Celan etait aussi un asset parceque comme on sait, les Francais de cette époque sont allé a l’école en Allemagne en grands nombres, especialemenet dans la pensée philosophique. Comme la France avait suffrit sous l’occupation des voisins de l’autre coté du Rhin (les textes de Marguerite Duras en donnnet une idée) il était sûrement probable que on voulait y avoir quelquen qui connaissait aussi les facettes négatives du discourse de l’autre coté du fleuve. La mémoire de la Première Guerre Mondiale – chose sûr laquelle je ne peut presque pas parler a cause de manque de connaissances historiques – étaient surement aussi encore fraiches dans la faculté de la École Normale Supérieur.
La génération de penseurs qui ont commoncés leurs carrières dans la Rue d’Ulm en ce moment apres la guerre étaient d’une qualité nouvelle. Il s’agissait naturellement pas seulement de personnes de l’Héxagone mais aussi des chercheurs des colonies comme Pauline Hountondji de l’Afrique et Tran Duc Thao de l’Indochine (le Vietnam de aujourd´hui). C’etait la phénomenologie. Sartre l’avait suggeré dans les années vents et en déhors du marxisme qui occuppait particulièrement le cerveau du « Veil Alt » (c’est à dire Althusser) il s’agissait ici de la chose nouvelle car l’empirisme des Anglais et Américains n’était plus en mode (Deleuze, plus tarde, se voyait face à l’interprétation de Hume mais dans la génération que je éssaie de décriver, cela n’etait pas encore en mode). Mais, naturellement les jeunes philosophes ne venaient pas seulement de l’autre coté de la mère mais aussi de la France. Et c’est évidement ici Michel Foucault qui joue la rôle la plus importante. Né a Poitiers, comme Didier Eribon a montré, il est accepté dans la École Normale Supérieur à la fin des années quarants et commence a lire ce qui est en vogue. Les Normaliéns étaient un groupe assez proche et on a discuté ensemble ce qui était d’interèt générale. Les grands noms ici étaient évidemment Husserl et Heidegger. Mais pour vraiement masteriser ces deux il fallait surtout apprendre un peu la langue allemande. On peut donc assumer que ca a était déjà été le cas dans l’enseignement sécondaire au lycée mais pour compredndre le Logische Untersuchungen et Sein und Zeit cela ne suffisait évidamment pas. Reichert a écrit, et il nous a dit ca aussi dans le séminaire, qu’il a fait la connaissance de Paul Celan à Paris à la fin des années cinquants, comme j’ai montré déjà. Il est donc probable que dans le moment ou Reichert a sonné à l’appartement des Celans à Paris que celui-là était en train d’enseigner la génération de Michel Foucault.
Comme je n’ai pas eu la chance de consulter les archives dans la ENS je ne sais pas grande chose sur ce qui occupait Foucault en ce moment là. Mais il s’agissait ici de la génération qui avait connue l’expérience de la guerre comme enfants ou comme mémoire infantile on peut s’imaginer qu’il y avaient ceux qui voulaient vraiment savoir ce qui se passait dans la pensée conservative de l’autre coté du Rhin. Pendant la guerre c’était évidemment Husserl. Mais les lécteurs à l’École Normale Supérieur qui ne partagaient pas cette expérience les choses pouvaient aurait eu été distinctes. Michel Foucault venait d’une famille médicale en provence et il est très probable qu’il a fait la connaissance de la culture Grècque a un jeune âge. En fait L’histoire de la sexualité montre que ce truc la n’etait pas une chose qui etait étrange a lui. Foucault a passé du temps en Proche Orient (Algérie, 1968) et il a montré un interet pour la Chine et le Japon (en Allemagne il yen a ceux qui l’appellent le samurai des philosophes). Donc si on assume que la phènomenologie a connu sa structure rationelle chez l’ouevre de début de Husserl qui a, en fait, comme on sait mit le dernier brick sur la tour qui a fait quasi impossible l’idée d’une théorie de la logique fondé sur l’empirie (ici la psychologie) il faut aussi voir que la pensée classique ne jouait pas une role importante dans sa pensée. Le texte sur le Lebenswelt me semble une des moments presque rares où l’auteur a montré qu’il a intenté de relationner sa théorie fondemantrice – quasi même pas douté par les Anglo-Américains aujourdhui – avec les éléments de l’histoire de la philosophie. C’est à dire : la chose historique ne jouait pas une grande rôle dans ca pensée, espécialement au début où il a montré sa structure. Dans la Rue d’Ulm, en tout cas, il y en avait ceux-là qui cherchaient des réponses structurales et rationelles (là il me manquent les noms, mais il y en a) et ceux qui avaient un intèret, disant, historique et politique. Et la philosophie francaise a été comme ca un peu, Garry Gutting l’a bien montré. L’aspect systematique, fondé sur une lecture de Platon et Kant (et peut être Descartes) auraient été satisfié avec le système Husserlienne. Mais ceux qui cherchaient des réponses historiques ou culturelles auraient peut être pas toujours été convaincus par la philosophie Husserlienne, dont a mon avis la critique du psychologisme reste la fondation – la relation entre Husserl et Descartes et une chose sur laquelle on pouvait peut être dire plusières choses mais ce n’est pa le contexte ici. Donc Foucault.
On sait qu’il a toujours eu une relation difficile avec son père qui pratiqué dans la médicine et qui a resté une personne de distance jusqu’a la morte du penseur créative. Donc il y a évidamment une fondation pour un entré systématique representé a la École Normale Supérieur par le système Husserlienne et la pensée, disant, culturel de Heidegger. Mais soit ce que soit, on peut assumer que Foucault a fait les deux: la critique fondamentale du psychologisme et les discours, disant, culturelles dans le terrain de la civilisation Grècque. Si ce sont les fondations logiques basées sur une pensée logico-structurelle c’etait peut etre son père qui avait le dernier mot, et si c’était le moment culturel-historique c’était peut être ses interèts infantiles ou artistique. En tout cas, il est tres évident que Foucault a commencé à vraiment apprendre la langue allemande au début des années cinquant pour lire Husserl et Heidegger. Et clairement l’instructeur le plus connus dans ce contexte aurais du être Paul Celan.
L’idée que Celan s’occupait avec la pensée de Heidegger n’est pas nouveau. Notamment comme il semble il a eu un intèret pour le moment de la poésie dans la philosophie du philosophe de la Foret Noire. Pour la pensée de Heidegger, especialemment après les débuts, c’etait le poete qui connaissait un acces au vrai que les systèmes de pensée basées sur des méthodes ne possedaient pas. Et ca aussi aurait pu été un point pour Foucault d’aller a la classe de Celan – et pour laquelle Celan a commencé a proquirer des livres Heidegeriennes apres la Guerre. En tout cas, j’imagine que l’on pourrait choisir ses lécteurs et instructeurs de langue de manière de plus au moins libre a l’École Normale Supérieur et que Foucault, qui possedait cet interet poétique-culturel a finit par être assis dans la classe de Paul Celan, peut être même en première ligne. Donc, ca serait un travail pour les historiens de montrer que ce que je dis ici c’est vraiement passé de la manière que je l’imagine. Mais il me semble tres probable. Et la il est important de noter un phenomène qui est souvent oublié: Celan savait tres bien que le hitlerisme avait été basé sur une théorie de la relation entre la culture Juive et les développements en Europe après la fin du monde Grècque classique. Foucault n’etait pas religieu. Si on regarde les tombes de lui et de son père qui sont liés de coté a coté on peut bien voir que c’est le crucifixe pour le médicin et une structure culturelle pour le philosophe. Mais si on lit Foucault et si on assume que la relation avec son père a été si difficile on peut bien s’imaginer que c’etaient aussi des questions disant culturelles qui touchaient Foucault et sur lesquelles il esperait de trouver des réponses dans la classe de Paul Celan. Celan avait cet intèret pour la position de la poésie, ou disant pour le langage comme moyen de culture, que a a mené lui en direction de la Foret Noire. Donc on trouve ici une structure interessante : un mouvement en direction de la culture historique basée sur une pensée rationelle et une manière de s’occuper avec cette pensée comme un élément de la vie. Je dis ca car Celan dans ses textes a exprimé le désir de mettre les choses dans un état de simplicité. Et c’est là peut être quelque chose que lui a relacionné au système Heideggerien. Car c’est là que le langage se montre dans son état de quotidianité avec lequelle nous sommes normalement occuppées dans nos devoirs de chaque jour. En tout cas, j’assume que Michel Foucault se voyait face à face avec Paul Celan dans un contexte d’apprentissage linguistique d’une manière ou autre dans la rue d’Ulme. Et si c’est comme ca il y a des choses importants a noter.
II.
Au milieu de son cours a l’École Normale Supérieur Foucault s’est vu dans une situation où il a été traité de facon professionelle psychiatrique, probablement dans un contexte de ce que l’on appelle depuis Bleuler et Freud la schizophrénie. J’ai lu qu’il a essaié de se blesser avec un couteu dans les halles de l’école parmis les autres étudiants et des choses pareilles. Donc qu’est-ce qui c’est passé ? Comprendre la culture Juive de la manière que Heidegger a fait dans un contexte de modernité est devenu une chose que on trouve mème de nos jours de moins en moins dans les centres urbains et bourgeois mais dans les villages et dans la pensée de la nobilitée. Heidegger venait d’une famille de paysans. Il a fait ses débuts à l’église Catholiques et il est partis pour les systèmes de pensée plus tard: la mathématique, la physique, la théologie et la philosophie. Mais il a toujours gardé avec lui cette situation difficile entre les Catholiques et les Juifs a Messkirch dans la Foret Noire: c’etait une situation de confrontation de vie et de mort dès le moment où les Romains ont quittés la région. Donc dans les textes et actions de Heidegger on peut trouver l’intente et l’essaie peut être naive et töricht d’essayer de changer la manière de vivre, penser et agir des Juifs. Celan savait bien que les Allemands étaient les premiers dans un contexte d’après révolution de se confronter avec la politique Juife. C’est a dire d’essayer de mettre en place une organisation communale liée a celle des Romains pour confronter le projet du peuple Juive envisagé, de mon avis, après l’expérience en Egypte. On sait, et Michel Foucault le savait, que les Francais ont été blessées dans ce contexte a cause de leurs commitments libérales de la période Napoléonnaire. En tout cas, le Nationalsozialismus a été, despite son nom, l’intente de se mettre contre un projet que les Juifs n’étaient pas capabale de mettre en place a cause de la violence feudale avant que l’Europe a pris le chemin de ce ce que nous appellons la modernité. Il s’agit ici pas d’une traité de théorie politique. Mais il est claire que le libéralisme – project dans lequel je ne vois pas réalment les racines dans je Judaisme comme le fait Habermas – a presenté pour les Juifs l’opportunité de mettre en place ce qu’ils ont envisagée dans le cadre de suffrance dans les cultures de la civilisation de l’Est de la Mediterranée. En tout cas, Celan a du été mis dans une situation d’alert par un jeune homme impulsive et surement un peu égomanique (si ce mot existe) qui voulait lire les textes de Heidegger en allemand avec une intention strictement pas liée à la réligion (on a touché la situation critique avec son père Catholique a Poitiers). Donc il y avait, je crois, du coté de Celan un sentiment de exitation que l’on pourrait intenter encore une fois et en étant même dans un pays avec une culture libérale dense comme la France de se mettre en face du chemin Juive avec des moyens politico-militaire comme ca s’est passé en Allemagne.
En tout cas c’est après son expérience avec le système psychiatrique – pour n’importe quelles raisons – que Foucault a commencer a s’occuper d’une manière systématque et rationelle avec l’histoire de la psychiatrie en Europe. Alors, il reste a faire une stipulation qui est un peu audace mais qui me semble pas trop fausse en relation avec le projet politique du peuple Juive. Si on lit les premiers livres de Freud on voit le suivant : il a commencé, comme il est bien connu, comme chercheur empirique sur les structures neuronales du cérveau (toujours de plus au moins intacte) et il est parti après ca en direction d’un chemin de ce que nous appéllons thérapie aujourdhui. En tout cas, dans la correspondence entre Bleuler et Freud on voit tres bien que le dernier a exprimer le désir de soumettre le système psychiatrique, de la maniére rudimentaire comme il existait à l’époque, sous la controle de la psychoanalyse (« eines Tages erobern wir die Psychiatrie ») et que Freud a, comme Melanie Klein apres lui, vu dans l’institution de la psychiatrie un moyen de continuer la lutte du peuple Juive dans le terrain moderne qu’il avait pris après la destruction des monarchies en Europe. Comme dans le période féodale la confrontation entre les gentiles et les Juives avait été marquée par un moment de force ouvert c’est que dans le systeme nouveau il fallait se mouvoir dans un contexte que Foucault a plus tard appellé « discipliné », c’est a dire avec un moment de supprimation de expression directe. Il me semble que Freud a vu que avec le moyen d’une psychiatrie basée sur la psychoanalyse on pourrait au moins essayé de continuer le combat que l’on avait fait semblence d’avaoir finit dans la période de Kant et Rousseau. Le traitement de Foucault a l’École Normale Supérieur devait été passé sous un discours de Janet et Freud –noms qui avaient gagnés de stabilité dans le système médicale en France en ce moment. Mais pour Foucault, comme pour pas mal des gens, cette expérience peut avoir une coté horrorisante. On a l’impression de perdre son autonomie. Donc la situation est la suivante : Paul Celan voit qu’il y a parmis ces élèves un jeune homme Francais un peu égomanique d’une famille riche qui lit Heidegger et commence a s’occuper de l’histoire de l’institution de la psychiatrie avec une intention un peu révolutionnaire (on se trouve en France). Et il y a le danger de reconnaître une structure qui a peut être dans la pensée de Freud (et plus tard de Melanie Klein) l’image comme une mélange de rève et de stratégie : continuer le combat dans une situation de « docilité » (Foucault).
Personne n’a achevé de comprendre l’histoire medicale et sociale de la psychiatrie de la même manière que Foucault – pas en Europe et pas en Angleterre. Mais il n’a jamais fait la connection entre le combat Juive et cette institution comme il aurait pu peut être possible après une préoccupation intensive avec la pensée de Heidegger. Et c’est peut etre là que le chemin de notre petit essaie se trouve : n’est il pas possible que Celan a essayé d’arreté Foucault dans un chemin qui aurait montré ce jeune homme de famillie priviligé quelle facon le combat entre les peuples avait en partie pris après le 14 juillet ? C’est à dire est-ce que l’on ne peut pas imaginer que Celan a fait tout ce qu’il pouvait pour que Foucault ne fasse pas la relation entre les deux discours : le système Heidegerienne et l’institution de la psychiatrie en partie fondée sur la révolution Freudienne ?
Tout le monde sait que les clériques Francais ont en grande partie connu la forme que le combat entre les peuples a pris pendant l’histoire de l’occident et que il s’agit ici pas vraiement des nouveautés. Mais après le 14 Juillet ces gens ont d’un certain point de vu perdu leur parole. Et les libérales le savaient. Donc pour une personne d’une famille vraiment Catholique d’être dans le systéme psychiatrique n’a jamais été si diffcile comme pour une partie des gens qui ne connaissaient pas cette critique du rationalisme moderne (fondé, comme on sait bien, sur la parole péripatique). Donc il me semble probable que Paul Celan a essayé d’avoir les deux choses en séparation: Heidegger et la psychiatrie. Et d’un certain point de vu il a réussi. Dans l’ouevre tres fort de Michel Foucault le nom de Heidegger n’apparait presque pas. Mais on sait bien qu’il l’a lu et étudié. Donc qu’est ce qui c’est passé a la Rue d’Ulme? Celan a fait Foucault comprendre l’allemand mais il ne lui a certainment pas reinforcer dans un chemin qui aurait pu montrer que Freud a aussi vu dans une psychiatrie moderne un moyen de continuer le combat d’antiquité et de la periode féodale.
Il est faut, de mon avis, de voire dans les textes de Foucault une préoccupation avec la homosexualité ou la prison. Ce qui se trouve au fond de tout ca a mon avis est la psychiatrie et la perte d’autonomie qu’elle peut signifier de nos jours même dans un système legale. Car le pouvoir des psychiatres est dans une telle situation presque infini. Qui peut lui échapper surtout si on se trouve en face d’un père Catholique avec lequel on veut se « battre » comme on dit dans la période infantile et une méfiance de la monarchie Bourbonne que l’on a fait le diable politique ?
III.
Les derniers pages de Surveiller et punir finissent avec l’idée que les anciens batailles aujourd’hui continuent derrière une surface de tranquilité et de structure qui peut être une illusion. Il s’agit ici, pour des raisons que je ne peut pas vraiment comprendre, du texte le plus celèbre de l’auteur. Mais Foucault n’a jamais compris quelle faconne cette bataille avait pris après que les Abrahamites avaient quitté l’Egypte. C’est a dire il a laissée tombé la lécture de Heidegger au moment ou ca aurait peut être pu être une chose critique. Et c’est ici que Celan n’est pas innocent – peut être il a appellé Heidegger un sophiste ou quequechose comme ca – chose qui a été évidemment pas exceptionelle après la guerre. En tout cas Foucault n’a pas vu ce que Lunatic (group du rap Parisienne) a bien compris : « dans mon quartier ... ». Ca veut dire il a vu que avec la controle sur le systeme psychiatrique un group sociale ou politque possède un pouvoir presque infini dans la societe moderne mais il n’a pas compris quelles sont les batailles qui se trouvent dans nos societiés – et qui se sont trouvés la bas pour des millinaires. « Dans mon quartier .. » Ali et Booba savaient quelles sont les batailles de plus au moins. Mais ils n’etaient jamais dans les seminairs de la Rue d’Ulme. C’est dommage. Car si Lunatic auraient pu voire les connections de la maniere que Foucault aurait été capable, nos batailles de nos jours seraient peut être d’une autre facon.
Je ne crois pas que Foucault a eu une vie mauvaise. Il a amait les chats. Il a eu un appartement sympa et il a su celebrer la vie – dans le moyen age ce que lui impressionnée parmis les clériques a été leurs gout pour la nouriture bonne (loin des concepts medicales). Et Celan? Klaus Reichert a parlé souvent du moment oú dans la redaction de Suhrkamp un mec est arrivé et a commencé a crier : « Celan ist verschwunden » (« Celan a disparu » [123]). Ca a été un truc fort a Francfort dans ce moment et la personne qui le verbalisait était Dieter Hildebrand, lecteur dans cette ville. Reichert décrit en détail que Celan avait été de plus en plus vieu et qu’il prenait des medicaments psychiatriques (chose presque harmless si on connaît la chimie un peu) mais son disparaisson a été liée à son séjour dans un hopital psychiatrique à Paris et on a dit qu’il est tombé dans la Seine a un moment donné. Est-ce que c’est vrai ? Je ne le sais pas, mais il a pris les etudiants Francais pas mal de temps de voir la connection entre Heidegger et la psychiatrie qui aurait pu se montrer apres une lecture stricte des ces textes et un regarde ouverte dans la société dans laquelle nous vivons.
Fribourg en Allemagne, Septembre 5, 2024.
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