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Stéphane C. Berguig Commentaire littéraire et historique du premier livre des Maccabées Paris, 2019 203 Septième annexe : liste des abréviations Liste des abréviations La liste a été créée de manière anticipée afin de limiter les problèmes de panation, si bien qu’il est poible que quelques abréviations ne soient finalement pas utilisées. 1M Premier livre des Maccabées 1Mgr Premier livre des Maccabées en grec ancien 1MTOB Version française de 1M dans la TOB 1MUR Version en hébreu moderne de 1M par UR 2M Second livre des Maccabées 2MDS Version en hébreu moderne de 2M par DS 2Mgr Second livre des Maccabées en grec ancien 2MTOB Version française de 2M dans la TOB 3M Troisième livre des Maccabées 3Mgr Troisième livre des Maccabées en grec ancien 3MTOB Version française de 3M dans la TOB 4M Quatrième livre des Maccabées 4Mgr Quatrième livre des Maccabées en grec ancien 4MTOB Version française de 4M dans la TOB ĞĹūĵĭĦijĪ ĎĭŦľ čĪķĬĺĮĬ ĴķĨĮĩ ¹ ¼¼¼¼ ¼¼¼¾ ¾½¼Ä ¼¾½ ': '< 06&2 ¿¼¾½ÂÃÅ¿Ã $= au ussi appelé uss ap ppel pelé Mithridate M rid Mith rid e Ierr A1M1 Arsace Ier qui estt aussi Ag. Aggée AIB Alexandre Ier Balas, alass, alas s, usurpateur, usu usu urp pate r, r, prétendu pr tend end du fils du fils d'Antiochos d'A d'A A tioc iochos hos IV ogiq que uees de de Pr P Israel Israel Finkelstein in nkel kelstein stein AIF Fouilles archéologiques Mégas gass AIIIM Antiochos III M héos AIIS Antiochos II Théos usurpateur, prétendu bi é d fils d'Alexandre Ier Balas AIIZ Alexandre II Zabinas, AIS Antiochos Ier Sôter AIVE Antiochos IV Épiphane AIXP Antiochos IX Philopator AJ Antiquités Judaïques de Flavius Josèphe AL Pr André Lemaire ¸ÂμÀÇË Dictionnaire et glose numériques Alpheios, disponible depuis Google Chrome. ALG Alexandre le Grand AlhAnalyse littéraire et historique AM Dr Armand Malka, médecin pédiatre, cité pour des précisions en chirurgie, car nous ne sommes pas médecin. Am. Livre dнAmos AMGN Fouilles archéologiques et publications de Pr Itzhaq Magen sur le Mont Garizim Ao Site internet archive.org Aph Alphabet paléo-hébreu Aré Alphabet araméen carré, communément appelé « alphabet carré » «šž±§š³¤ Asam Alphabet samaritain AVE Antiochos V Eupator AVID Antiochos VI Dionysos 204 AVIIES Antiochos VII Évergète Sidêtês AVIIIP Antiochos VIII Philométor AXIID Antiochos XII Dionysos AXIIIP Antiochos XIII Philopator AXIP Antiochos XI Philadelphe AXP Antiochos X Philopator AZ Pr A. Zertal B*K Pr Bezalel Bar-Kochba Ba. Baruch BdV Bibliothèque du Vatican BIU Bibliothèque interuniversitaire de la Sorbonne BSG Bibliothèque Ste-Geneviève BU Bulac, Bibliothèque universitaire des langues et civilisations orientales BUnum Ressources numériques en ligne de la Bulac CdF Collège de France CG Calendrier grégorien H Calendrier hébraïque C Cja Communauté juive dнAlexandrie ĞĹūĵĭĦijĪ ĎĭŦľ čĪķĬĺĮĬ ĴķĨĮĩ ¹ ¼¼¼¼ ¼¼¼¾ ¾½¼Ä ¼¾½ ': '< 06&2 ¿¼¾½ÂÃÅ¿Ã $= ttér térairre et e historique histor storiqu rique Clh Commentaire littéraire CO Pr Claude Orrieux ux CS Calendrier séleucide euci uc de Claude hellénistique S Si Cl d Mimouni M Mi i sur la l circoncision i i i à lнépoque lнlнé h llé i CSCMC Corpus de Pr Simon Eu ukairros, fils fil d'Antiochos d'A Antio hos VIII V DIIIE Démétrios III Eukairos, DIIN Démétrios II Nicator (deuxième règne) Nicator tor (pr tor ((premier prem emier ier règ rrègne) èg gne) gne) DIIN Démétrios II Nica DIS Démétrios Ier Sôter DJD Discoveries in the Judaean Desert Dn. Livre de Daniel en hébreu Dngr. Livre de Daniel en grec DT Diodote Tryphon, usurpateur Ed Système Encore Duet de la BIU Sorbonne EdR Empire romain EF Pr Emmanuel Friedheim EH Empire hellénistique Eh Epoque hasmonéenne EH Epoque hellénistique Eint Ecrits intertestamentaires EP Empire perse EP Epoque perse Ephe Ecole pratique des hautes études ERW Pr Elliot R. Wolfson Esd3. Troisième livre dнEsdras Esd4. Quatrième livre dнEsdras 205 Esdcan. Esdras en hébreu du canon rabbanite de lнAncien Testament ET Pr Emmanuel Tov EW Pr Edouard Will Ez. Ezéchiel E¸ե Esdras ¸ Fa Fouilles archéologiques FJ Flavius Josèphe FJ¸Flavius Josèphe en grec moderne FMA Félix-Marie Abel FMA1M Version de 1M de Pr F.-M. Abel FMA2M Version de 2M de Pr F.-M. Abel Gb Google livres GdJ La guerre des Juifs de Flavius Josèphe GdM Guerres des Maccabées IAA Israel Antiques Autorities Ib Intertextualité biblique Iclr Intertextualité avec le canon littéraire et légal rabbanite (de la Genèse au Zohar en passant par les deux Talmuds) Ilнo inalco ĞĹūĵĭĦijĪ ĎĭŦľ čĪķĬĺĮĬ ĴķĨĮĩ ¹ ¼¼¼¼ ¼¼¼¾ ¾½¼Ä ¼¾½ ': '< 06&2 ¿¼¾½ÂÃÅ¿Ã $= ma mat Ilan Université Bar-Ilan à Ramat-Gan liturgie juive rabbanite ec la ec la li iturrg itur rgie ie ju ve ra ve ban ban nite Ili Intertextualité avec Is. Esaïe I» Intertextualité entre quatre dess Ma Maccabées tre les tre es q es uatre atre livres res d res M accab ccab bées et/ou récit similaire entre les quatre livres des Maccabées bées on B Bea zley JDB Pr John Davidson Beazley JdeC Jason de Cyrènee JDT Livre de Judith JH Jean Hyrcan Jlm Jérusalem Jr. Jérémie Js. Josué JST Judaïsme de lнépoque du Second Temple JSTL Judaïsme du second Temple à lнépoque lagide, aspect du judaïsme de par la semi-hégémonie lagide JSTHa Judaïsme du Second Temple à lнépoque hasmonéenne, aspect intérieur à la Judée JSTS Judaïsme du Second Temple à lнépoque séleucide, aspect du Judaïsme de par la semi-hégémonie séleucide. L Linguistique générale Lbin Littérature binitaire : Les Livres dнHénoch Lh Linguistique appliquée à lнhébreu ³¢±š«³ž©²¥š LhébA Littérature hébraïque ancienne (Des Pentateuques au Zohar) Lmid Littérature midrachique LXX Septante LXX Est C Esther C dans la Septante 206 L¸Éϸţ¸ Littérature grecque ancienne MFB Pr Marie-Françoise Baslez MG Mikraot Gdolot MGK Mikraot Gdolot Keter de lнuniversité Bar-Ilan en version numérique, programme pour PC MHL Pr Mireille Hadas-Lebel Mi. Livre de Michée Mm Massorah Magna Mp Massorah Parva Msr Egypte MsrL Egypte lagide  Dr Nikolaos Domazakis Nd Nikoud en hébreu, soit vocalisation selon le système de Tibériade Néh. Livre de Néhémie Nli National library of Israel NR Pr Nissan Rubin NT Nouveau Testament PA Philon dнAlexandrie PAK Paix dнApamée-Kibôtos, communément nommée Paix dнApamée PB Pr Patrick Banon PdS Province de Samarie ĞĹūĵĭĦijĪ ĎĭŦľ čĪķĬĺĮĬ ĴķĨĮĩ ¹ ¼¼¼¼ ¼¼¼¾ ¾½¼Ä ¼¾½ ': '< 06&2 ¿¼¾½ÂÃÅ¿Ã $= Pr Emmanuel Emm m anu anu uel el Tov T v PET Publications de Pr paaléo éo aph ph Pie Paléographie ou analyse paléographique oromaaios oro ioss PIIP Philippe II Philoromaios ade deelp phe PP Philippe Ier Philadelphe Ps Base de données Perseus de lнuniversité de Chicago Ch (Perseus under PhiloLogic, 2018 Edition, dont http://logeion.uchicago.edu/lexidium ) Ps. Psaumes ées Perseus de lнuniversité ivers versité de d Tufts (Usa, http://www.perseus.tufts.edu/hopper/ ) PST Base de données PSV Professeur Sophie Vassilaki PTR Pr Thomas Römer Qn Qumrân RC Dr Reinhart Ceulemans, de lнuniversité catholique de Louvain (UCL, Belgique) Rce Redondance, en littérature hébraïque RdJ Royaume de Judée Rh Royaume hasmonéen RL Royaume lagide RS Royaume séleucide Rt. Livre de Ruth Rvƒ Rabénou Tam, le fils de Salomon de Troyes sam Samaritain(s) SBL Society of Biblical Litterature (Usa) Sc Catalogue national de France Sudoc Abes SCM Pr Simon Claude Mimouni SdT Salomon de Troyes, Rabbi Shlomo Ben Itzhaq, appelé communément « Rachi » Si. Siracide Sie Stratigraphie 207 SIIIK Séleucos III Sôter SIIK Séleucos II Kallinicos SIN Séleucos Ier Nicator SIVP Séleucos IV Philopator SKM Pr Sophie Kessler-Mesguisch SVIE Séleucos VI Épiphane SVIIP Séleucos VII Philométor SVN Séleucos V Nicator TB Talmud de Babylone Tc Texte consonantique v Second Temple de Jérusalem '1<!<9/!=' tmG Temple du mont Garizim TOB Traduction oecuménique de la Bible aux éditions du Cerf Tr. Revue Transeuphratène TX Site internet theotex (https://theotex.org/theotex_read.html) TvTalmud de Jérusalem UBI Université de Bar-Ilan à Ramat-Gan UChic Université de Chicago ĞĹūĵĭĦijĪ ĎĭŦľ čĪķĬĺĮĬ ĴķĨĮĩ ¹ ¼¼¼¼ ¼¼¼¾ ¾½¼Ä ¼¾½ ': '< 06&2 ¿¼¾½ÂÃÅ¿Ã $= Haïfaa UHaïfa Université de Haïfa Jérusalem Uhéb Université hébraïque dee JJé Tel-Av Avviv UTLV Université de Tel Tel-Aviv WLD Walter Louis D Dulière liè x(H) commentaire historique isto storriq ique x(HR) commentaire en histoire du Judaïsmee uii aborde ab borde bor de la la littérature l ttér ttérratu ratu ure x(L) commentaire qui x(P) commentaire en polémologie x(R) commentaire qui aborde la religion, tant le fait religieux que la doctrine x(T) commentaire en traductologie YbY Yad Itzhak Ben Zvi, Jérusalem Za. Zacharie Èx Dynastie lagide : le x est remplacé par un chiffre romain pour chacun des Ptolémées. Huitième annexe : SITES INTERNET x x x x x x x x x x x x x http://www.daat.ac.il/encyclopedia/value.asp?id1=728 le 10.12.2018 http://www.ateret4u.com/online/f_01355_part_59.html le 10.12.2018 https://www.hidabroot.org le 10.12.2018 https://he.wikipedia.org/wiki , article sur /isour oнrla/, le 10.12.2018 https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Tabula_Accentuum.pdf consulté le 12.12.2018 https://www.mechon-mamre.org/b/h/h1a.htm consulté le 17.12.2018 http://www.ateret4u.com/online/f_01083.html consulté le 17.12.2018 pour la version vocalisée du traité Orlнa https://www.academic-bible.com/en/online-bibles/septuagint-lxx/read-the-bible-text/bibel/text/lesen/ch/ca02b177c70d4eb617008e5eba22288a/# consultée en décembre 2018 pour le texte original de la Septante et de la Biblia Hebraica Stuttgartensia https://www.mechon-mamre.org/b/r/r1a.htm pour le traité orlнa du Talmud de Jérusalem www.archive.org pour le Pentateuque samaritain par August Freihern Von Gall https://www.yeshiva.org.il/wiki/index.php?title=%D7%9E%D7%98%D7%91%D7%A2%D7%95%D7%AA_%D7%91%D7%99%D7%AA_%D7%97%D7 https://www.facebook.com , groupes European Medieval History & ENLUMINURES EUROPE - VIe - XVIe s. - ILLUMINATIONS EUROPE, le 3 janv http://www.e-codices.unifr.ch/fr/thumbs/sbs/0008/Sequence-1030?fbclid=IwAR1KF_uHvkefSWvB9FBA1ASVFjLqQTcOnVdkV_TnA4apLm0SC2zIHP 41 septicémie fatale, et cнest très probablement pour cela quнil nнy a aucune attestation de construction réussie de prépuce, nous nнavons quнun sous-entendu en 1M qui est insuffisant pour envisager un taux de réussite de lнépispasme et nous nнavons rien du tout en termes de statistiques dнopérations et de chirurgies réussies pour lнinfibulation qui inverse la troisième circoncision, la quatrième étant assertée par NR comme débutant en 135 de notre ère. En résumé les sources relèvent uniquement de lнépoque séleucide et il y a deux phénomènes distincts, un renforcement de la circoncision qui vise des populations conquises et des nourrissons judéens incirconcis, et un abandon de la circoncision qui commence avant lнinterdiction de circoncision de AIVE et qui reste rémanent par la suite, avec bien des épisodes au fil du temps en décirconcisions et recirconcisions avec tous les risques médicaux que cela implique et qui sont connus à lнépoque. Et, cнest une des grandes conclusions de ce mémoire : il est très probable que la décision de transmission de la judéité par la mère soit une conséquence directe de toutes ces décirconcisions et recirconcisions, à moins quнil nнy ait en fait deux raisons, la seconde étant la tradition orale qui relate le viol de Judéennes par les Romains, ce qui est relaté à la synagogue en général, mais nнayant aucune documentation en ce sens nous portons notre présomption uniquement sur ces circoncisions et décirconcisions en tant que motif qui définit par conséquent la mère comme seul et unique vecteur de la transmission de la judéité au plus tard à partir du moment où la Mishnah fait Loi, ce qui a pu commencer avant la Mishnah mais nous nнavons pas de sources en ce sens alors que cнest notre présomption. {La circoncision et la décirconcision ainsi que la non-circoncision sont attestées à lнépoque hellénistique par Pr S.C. Mimouni, ce qui correspond naturellement à nos travaux, tandis que nous constatons nous aussi lнabsence de sources pour la Judée au troisième siècle, mais le plus important est que la décirconcision commence avant le règne de AIVE.} ĞĹūĵ ĴķĨ ': ¿¼¾ ¼¾½ Extit de la bible d’albe (1430) иi. Les livres des Maabées : une ethnogphie historique {Ce long chapitre est lнépreuve dнanalyse historique et littéraire imposé par Pr Sérandour, lequel est prépondérant pour la note finale du mémoire. Lнanalyse voulue est historique et littéraire mais nous anticipons une analyse pluridisciplinaire dans la mesure où il est question dнhistoire du Judaïsme, cнest pourquoi nous avons comme lнethnographie en diachronie sur des sources écrites comme base de travail} Analyse liéire & Analyse historique 1. Premier livre des maabées 92 Nous voulions procéder dans un premier temps en citant le corpus primaire dans la langue dans laquelle il nous est parvenu dans un premier temps, en ne citant que les versets opportuns pour cette multiple analyse par ailleurs interdisciplinaire, et finalement le texte grec de 1M reste consultable sur TX par commodité. Si cela sнavérait techniquement possible et nécessaire, nous proposerons une ou des cartes de géographie historique qui seront accessoirement des éléments potentiellement en faveur du récit historique du premier livre des Maccabées, carte qui corrèlerait le cas échéant les résultats de Pr Finkelstein tels que publiés en 2018. Les versets en grec sont issus du Sur la base des traductions de la TOB, de la traduction de FMA (Editions du Cerf, 1951), du texte grec dans sa version numérique sur TX , et de l’ouvrage de Pr Rappaport ( ), Université de Haïfa, Editions Yad Ben Zvi, Jérusalem (2004) 92 42 corpus publié sur theotex sur Internet. Cependant, il faut noter au début de cette étude, avant de rentrer dans lнanalyse proprement dite du premier livre des Maccabées, que 2M12,46 semble nнexister que pour FMA, sur la base de la version latine dont il disposa pour sa version en français. Cнest la seule grande surprise structurelle quнil nous fallait vraiment souligner avant la rédaction de cette analyse, tandis que nous devons moduler nos propos et notre intention, en fait si nous maintenons le titre « analyse littéraire & analyse historique », ce nнest que par pure convention académique : les textes évoquent et décrivent le fait religieux de lнépoque hasmonéenne, tant dans la foi doctrinale telle quнelle est à lнépoque, que dans sa pratique, laquelle relate des faits qui interpellent beaucoup parce quнils ne sont pas vraiment existants dans le Judaïsme rabbanite, tandis que dнautres faits religieux comme le Shabbat sont communs au Judaïsme rabbanite avec une législation un peu différente, en fait il y a bien des choses qui relèvent de la doctrine, de la Loi religieuse et de la pratique religieuse, dont la liturgie, qui forme ce que nous perçevons comme un corpus distinct particulièrement spécifique du premier livre des Maccabées, Pr Mireille Hadas-Lebel ayant conclu que le second livre des Maccabées a été rédigé directement en grec ancien, et cнest pourquoi nous avons dû développer avec joie une analyse du fait religieux et de son histoire, parce que cнest particulièrement opportun alors que ceci nнa à notre connaissance pas été fait à ce jour, personne nнayant remarqué le lien entre ces deux livres et la liturgie, ce qui est un des aspects de cette analyse, que nous devons à notre connaissance de la liturgie telle quнelle est actuellement. Et si la liste des versets cités avec leur originel par intertextualité sur les deux livres peut être longue tout au long du commentaire, cнest parce que cнest justement ce fait religieux insoupçonné que nous avons constaté après plusieurs lectures, tandis que, sans transition, certains versets sont cités au titre de la traductologie, parce que notre première impression aura desfois été quнil y a parfois des inexactitudes lesquelles semblent ne pas avoir pu être décelées à lнépoque des rédactions des premières versions sur lesquelles nous avons travaillé, ce qui est certainement conséquent de la non-connaissance des résultats de la recherche dont nous avons connaissance soixante-dix ans plus tard. Cela étant, la demande du directeur de recherches étant très pertinente, les traductions des livres des Maccabées seront comparées entre elles dans une logique où cela portera sur les plus récentes pour cette étude, pour laquelle nous avons retenu celles de Uriel Rappaport (UR) et 93 de Daniel Schwartz (DS), les deux en hébreu moderne, qui datent de 2004, auxquelles nous rajoutons la TOB et FMA 94, et la version anglaise du même Daniel Schwartz publiée après celle en hébreu moderne, tandis que nous maintenons le besoin de citer les versets versés aux analyses pluridisciplinaires é abl b en passionnantes. ent tes. Qua Q ant au verset distingué et constaté uniquement par FMA, il se rédigées avec joie car véritablement Quant orpuss dee citations cit citaatio ations des verse ts een n grec g du u second seecond d livre livvre re des d des Maccabées, M trouve en latin dans le ccorpus versets à la suite de ce sousl calendrier alend i grégorien é i sont avantt Jésus, Jés J i il i nнest nнe pass m chapitre. Les dates dans le mais mis de (-) devant ces dates là où est apposée lнabréviation CG. ĹūĵĭĦijĪ ĎĭŦľ čĪķĬĺĮĬ ĴķĨĮĩ ¹ ¼¼¼¼ ¼¼¼¾ ¾½¼Ä ¼¾½ ***** ***** ***** ': '< 06&2 ¿¼¾½ÂÃÅ¿Ã $= giaatt inv gia iinvolontaire, nvvolo ontai ntai e lнusage lнusag d abrévviati abrév viati « ur » pour verser au commentaire le résumé des analyses de pr uriel Afin dнéviter tout plagiat dee llнa lнabréviation m rappaport vaut usage de guillemets pour lнensemble de la phrase en question quand bien même ses commentaires ne seraient quнune ase.. N ase étan pa p bitu ué à écr ire des ph ses ccourtes qui ne seraient pas très ésthétiques nous préférons ainsi partie de ladite phrase. Nнétant pass ha habitué écrire phrases rrésoudre éso sou oudre dr ce c risque. (COMMENTAIRE SUR 1M1) Au croisement des commentaires de la TOB et de Pr Uriel Rappaport en passant par ceux de F.-M. Abel, il résulte que cнest dès le premier chapitre de 1M que les choses deviennent compliquées. En lнespèce, cнest le premier verset,, 1M1,1 qui nнest pas clair pour la TOB, en expliquant que « (…)le traducteur a transcrit tel quel le pluriel hébraïque Kittim, les Kitiens. Ce nom désigne primitivement les habitants de Kition dans lнîle de Chypre. Le terme sнétendit ensuite à lнensemble de lнîle (Gn. 10,4), puis, vers lнOuest, aux îles et aux rivages de la mer Egée (Jr. 2,10), ici la Macédoine (voir 1M8,5). Plus tard, dans les textes de Qumrân, Kittim désigne probablement les Romains. – Hellade correspond à lнhébreu Yavân (Es. 66,19), qui désigne la Grèce, lнIonie, et les autres côtes hellénisées de lнAnatolie. La phrase nнest pas claire. » Aspect sur lequel Pr Rappaport 95 a du faire un long développement pour en arriver à résoudre lнénoncé du rédacteur de 1M que nous traduisons comme suit, avec en gras nos notes de version : « Le pays de Kittim - La signification géographique de ce terme diffère dans diverses sources: Chypre (et d'autres îles de la Méditerranée orientale?), en Jérémie 2,10 et Ézéchiel 17,6. Ce nom qui désigne toute l'île vient du nom de la ville phénicienne "Kityön". Les Kittim sont cités dans les manuscrits du désert de Judée dans des formes et analogies différentes, parmi celles-ci les "Kitté d'Assyrie" (Kitté étant ici la forme en état construit de Kittim); "Kittim en Egypte" et autres occurrences. Il est accepté que ce substrantif désigne les Romains dans la plupart des occurrences si ce n'est pas dans toutes. Mais certains sont persuadés que certaines occurrences désignent les Grecs (c'est-à-dire les rois séleucides et lagides). Voyez à ce sujet Ségal, le rouleau de la guerre, pp. 14-15; 93 Rappaport, Uriel, 1 Maccabées (en hébreu), éditions Yad Ben Zvi, Jérusalem, 1994 et Schwartz, Daniel, 2 Maccabées (en hébreu), Ed. Yad Ben Zvi, Jérusalem (1994) 94 Abel, F.-M., Les livres des Maccabées, Editions du Cerf, Paris (1951) 95 Pp.93-94 43 Lionshtam, A"M, chapitre 4 (1962) pp. 394-398; Nitsan, Le commentaire de Habacuc pp. 123-128; le dictionnaire Ankor, tome IV, page 93 ainsi que d'autres occurrences. En Dn. 11,30 l'intention est sans aucun doute de désigner Rome. Ici l'intention est soit envers la Grèce de manière générale, ou uniquement la Macédoine (comparez avec 8,5 et de même avec Dn. 8,5) Darius - C'est Darius III Codoman, le dernier roi de la dynastie achéménide, qui a régné de 335 à 330. Regardez Briant, l'empire perse, pp. 711-891, et particulièrement les pages 789 à 800. Yavân (Grèce en français depuis l'hébreu moderne) - En grec Hellas, c'est soit la Grèce elle-même, qui après la victoire à la bataille de Hiéronie et la destruction de Thabée (-335) vit la souveraineté d'Alexandre le Grand sur la très grande majorité de la Grèce (ici Yavân en hébreu); ou, selon l'opinion d'Abel, il serait question de l'Asie mineure, et principalement sa côte sud-ouest, nommé Yavân dans les documents orientaux (= Ionie), qui est la première zone à passer sous le contrôle d'Alexandre lors de sa campagne de Perse - ce qui fût ultérieur à sa victoire à Granikos (-334) où les Perses furent vaincus, alors que le roi de Perse, Darius III, n'y participa pas. A tous points de vue, la géographie dans ce verser est étrange. Posons dans un tableau à deux colonnes les trois expressions citées Macédoine, Grèce et Ionie qui est en Asie mineure, et étudions les conséquences des différents commentaires. A B Macédoine, liée à ‘Alexandre le Macédonienн Macédoine (comme dans la colonne A) Kittim= Macédoine, selon FMA Kittim = Grèce Grèce = Grèce (Hellas) Grèce = Ionie (selon FMA) Si nous suivons le commentaire dнAbel, il résulte que la Grèce elle-même nнapparaît pas dans ce verset, et si la Macédoine y est citée deux fois, une fois nommée Macédoine (Alexandre le Macédonien), et une fois par la substantif Kittim. Cнest pourquoi il nous semble pertinent de prendre le chemin de la colonne B, cнest-à-dire que Kittim est la Grèce et la Grèce (Hellas) est lнIonie, mais Kittim nнest pas la Macédoine alors que Kittim est la Grèce. Si nous allons dans cette direction, alors lнintention du verset en question est quнAlexandre le Macédonien fils de Philippe est parti de Grèce (Kittim) et régna dнabord à la place du roi de Perse sur lнAsie mineure (=Grèce=Ionie). Le verset décrit donc la période qui suit la guerre de Granikos et précède la victoire dнAlexandre à Issus (333), à laquelle fait allusion le verset suivant. Et cнest lнintention du rédacteur dans lнutilisation du mot « Dнabord », cнest-à-dire au début, avant la conquête de lнintégralité de lнempire perse. » Notons que le commentaire de la TOB et ceux de Pr Rappaport ne se contredisent aucunement, cнest la ui vvient ien nt jjustement usteeme ment renforcer r forc r lнargumentation ren renf lнarrgum rgum men ntat on nd R papor Rapp ort qui qu résume très bien les choses en synthèse des deux qui dee P Prr Rappaport disant « Le verset décrit d doncc la période précèdee la victoire dнAlexandre à Issus (333 d qui suit la l guerre de d Granikos k et pr p lusion n le vverset ers suiv erse nt. Et ccнest нest lнintention llнii ention du u rédacteur ré cteu cteur dans d s lнutilisation dan llннu lisation n du du mot m « Dнabord », CG), à laquelle fait allusion suivant. avant laa conq cconquête onq ête dee lнllнintégralité нintégralité dee lнllнempire нemp emp pire ire perse. pe e » La seu ule incertitude i cert ertitud de dans d dan an le cheminement de cнest-à-dire au début, avant seule cette mini-synthèse por porte Pr Rappaport en hébreu, « la bataille de Hiéronie et la po rte sur s les toponymes oponymess cités cités par p P ĞĹūĵĭĦijĪ ĎĭŦľ čĪķĬĺĮĬ ĴķĨĮĩ ¹ ¼¼¼¼ ¼¼¼¾ ¾½¼Ä ¼¾½ ': '< 06&2 ¿¼¾½ÂÃÅ¿Ã $= destruction de Thabée. bée. » dd u ccommentaire ommentaire littéraire éra ree et historique, avant que nous ne développions plus en Cela étant, sur le fon fond du qu il ressort de d laa ttraduction raduction o dнAbel, нAb Ab l que la version grecque est très probablement une traduction détails, il faut noter, quнil littérale et non signifiée, dнoù la somme dнhébraïsmes retrouvés par les traducteurs de la TOB qui ont voulu une traduction bien plus signifiée que celle dнAbel tout en développant lнexégèse littéraire et historique autant que faire se pouvait en 2011. Cela étant, si ce sont les hébraïsmes qui sont relevés tant par FMA que par la TOB et nous-même, le texte grec étant comme nous le disions une traduction très probablement littérale de lнhébreu, il en résulte que nous sommes dans une logique allophone nнayant pas le texte originel en hébreu et ne maîtrisant pas le grec ancien, alors que cette logique allophone se conjugue à celle de la littérature hébraïque, ce qui revient à dire que les jeux dнintertextualité et de redondances sont conservés. En dнautres termes, cнest bien plus que des hébraïsmes et des sémitismes que FMA, la TOB et nous-même avons constaté, cнest tout un jeu et un système propres à la littérature hébraïque qui a réussi à persister au-delà du texte originel en hébreu. Ce qui a ses conséquences, parce que lнintertextualité a un signifié en filigrane et la redondance nнest pas une répétition. Le second aspect de notre approche est au sein de ce jeu littéraire, lнintertextualité et la redondance ne sont pas communicantes exclusivement avec ce que nous appellerons ici très simplement le texte massorétique, nous avons constaté à de maintes reprises que lнhypertexte est aussi dans la liturgie que nous connaissons, celle des jours de la semaine et de Shabbat dans la tradition séfarade consignée dans le livre de liturgie nommé « Pataнch Eliyahou » aux éditions Colbo à Paris, là où UR va plus loin en citant lнintertextualité avec la Tosefta là où cнétait inattendu. De même de nouveaux résultats ultérieurs au fil de notre rédaction pourraient sнajouter à ceux de notre triple lecture qui fut une véritable gageure tout en étant particulièrement passionnante. Et ce qui résulte pour le moment de cette intertextualité et de cette redondance, cнest que nous avons constaté que la loi religieuse évolue à lнépoque hasmonéenne, là où on a coutume de croire que la réforme commence avec la Mishnah, ce qui est faux. Cнest tant la Loi religieuse civile que les lois de guerre qui ont changés à cette époque de lнhistoire du Judaïsme, ce que nous développerons naturellement ci-dessous. 44 Quant aux dates fournies par les publications et celles trouvées par nous-même, nous rajouterons systématiquement les dates dans le calendrier hébreu là où pour les dates données dans le calendrier hébreu ou séleucide, nous donnerons les dates du calendrier grégorien, parce que la notion du temps dans le Judaïsme consiste en ce que, entre autres, le jour commence la veille au soir, dнoù par exemple le début du Shabbat au soir du vendredi. Et là où nous ne pouvons avoir de certitudes nous formulerons des hypothèses, les livres des Maccabées ayant des passages un peu vague pour ce qui est de la polémologie. Une autre complication, bien plus mystérieuse que celle expliquée ci-dessus arrive au verset 1M1,3 et se répète tout au long de 1M, il sнagit du mot « dépouilles », parce que si tout le monde est dнaccord sur la traduction, lнaspect polémologique du récit est difficile à comprendre, parce que si il est courant de récupérer les biens des soldats défunts par lнennemi, il nнen reste pas moins que le mot dépouilles fait clairement allusion en français au corps dans son intégralité, de telle sorte que depuis nos premières recherches à ce sujet nous avons pensé que la seule explication possible était une rançon demandée aux familles des soldats en échange du corps, surtout du côté grec, parce que du côté judéen nous pensions quнil était probable que ce soit du fait des lois funéraires 96 que les corps étaient pris pour être dépouillés de leurs objets de valeur pour être ensuite enterrés, mais il semble que ce ne soit pas le cas. Le mot ÊÁı¸ est traduit par tous comme dépouilles mais cela ne traduit aucune réalité historique viable pour lнépoque, nos hypothèses initiales nнayant aucune confirmation dans les sources historiques. Le problème est resté entier et irrésolu durant de longues semaines jusquнà ce que nous lisions en partie le « XIII Congress of the International Organization for Septuagint and Cognate Studies 97 » «(Ljubljana, 2007), en particulier lнarticle de Reinhart Ceulemans, page 41 et suivantes, qui résolut cette énigme en assertant au sujet de catena Procopii en accord avec les résultats de Johann Friedrich Schleusner et Pierre Chantraine dans son dictionnaire de 1964 98 ce qui suit et semble pertinent à fortiori par corrélation avec la base de données de lнuniversité de Chicago qui donne : ': '< 06&2 ¿¼¾½ÂÃÅ¿Ã $ = ķĬĺĮĬ ¾½¼Ä ¼¾½ Là où Reinhart Ceulemans explique merveilleusement em em maans ex xpliq pliq e merv m erveil illeu leusem sement ent 99 son assertion et le raisonnement suivi ainsi que celles de Johann Friedrich Schleusner et Pierre Chantrain n nt : 96 Et de même cela était supposé au titre des Lois de guerre mais nous ne savons quand elles furent écrites. ӳԉӽԃӿԎԓԉԀӢԃӼԆԃӽӻԆӬԃԎԎӿԌӻԎԏԌӿբԇӿӿԎԃԈԁӻԈԈԏӿԆԊӻԌԇԃӾнӻԏԎԌӿԍԇӿӿԎԃԈԁԍӻԈԈԏӿԆԍӾӿԆӻӳӢӬե 98 ӮԉԏԍԈнӻԐԉԈԍӻӽӽԿԍԋԏнӻԏӾԃӽԎԃԉԈԈӻԃԌӿӾӿчяьюӽӿԋԏԃԈe devrait pas léser nos recherches. 99 Reinhart Ceulemans, New Hexaplaric Data for the Book of Canticles, as Discovered in the Catenae. Presented at the 13th Congress of the International Organization for Septuagint and Cognate Studies, Ljubljana, 13 Jul 2007-13 Jul 2007, Society of Biblical Litterature, Atlanta (2008) 97 45 Cнest donc à la conjoncture données Ps de UChic 100 et le onj nj tu entre la base dee do ture lles travaux de 101RC que nous pouvons raisonnablement conclure que dee dé dépouilles pouvait clure qu uee d pouille pou uilles iil ne po ouvait être ouva ê question quesstio on que q e du butin butin récupéré sur les corps des soldats ennemis, ce très probablement avec lleurs bras sectionnés, b bl nt systématiquement s é i urs b i nné ce qui aurait eu pour objectif de prouver la mort de lнennemi de retourr au suprême est le au pays, p ys, très tr s probablement prrobableeme t devant deevan vant la la hiérarchie hi h archie militaire militai mil ita dont dont lнautorité l autor to souverain. La suite du conforter bras question parce que le u récit réc écit de de 1M semble emb co nforterr la prise rise dess br as quand and d il est que t n de dépouilles, tion dépou rédacteur précise en dнautres occurrences le cas où cнest lнensemble du corps de lнennemi qui est utilisé, comme dans ce 102passage de la TOB en 1 M11,4 o où il est ffait it un unee py pyramide ram de corps dнennemis laissée en évidence pour le souverain en 1M11,4 guise de message dнeffroi. effr ffr i De De même, mêm le récit rré it nous nous précise p préc réc quand les parties du corps rapportées sont plus que les bras, comme ce passage où question main et de la tête de Nicanor en 1M7,47. Globalement, lнensemble des ù il est qu es ion est on de laa m ma mai traductions semble faire aire iree la différence différencee entre en ntre dépouilles dépou le les et et cadavres, cad cad alors que cнest le verbe dépouiller qui vient éclairer le sens du mot dépouilles, l il est beaucoup plus l question du butin qui est sur le défunt que de son corps en soi, quand bien même il semble que lнusage consiste à en amputer les bras, soit comme trophée public une fois de retour au pays, soit, et ce nнest quнune hypothèse, en guise de moyen de preuve pour le calcul de la solde avec ses éventuels pécules. Pour mémoire, au titre de la polémologie et de la traductologie, le mot « dépouille(s) » a les occurrences suivantes en 1M : ĞĹūĵĭĦijĪ ĎĭŦľ čĪķĬĺĮĬ ĴķĨĮĩ ¹ ¼¼¼¼ ¼¼¼¾ ¾½¼Ä ¼¾½ ' ': < 06&2 ¿¼¾½ÂÃÅ¿Ã $= x x x x x x x 1M1,3 1M1,19 1M1,31 1M1,35 1M2,10 1M3,12 1M3,20 ÊÁı¸ ÊÁı¸ ÊÁı¸ ÊÁı¸ ÊÁįÂÑÅ ÊÁı¸ ÊÁͼıʸÀ 103 104 105 ӬӻԈԉԎӿӾӿӼӻԍӿӾӿӾԉԈԈՀӿԍӾӿԆнԏԈԃԐӿԌԍԃԎՀӾӿӣԂԃӽӻԁԉӻՀԎՀԉӼԎӿԈԏӿӿԈԀӻԃԍӻԈԎԏԈӽԉԊԃӿԌ-coller du mot grec de la LXX, si bien que ԈԉԏԍԊӿԈԍԉԈԍԋԏнԃԆԍнӻԁԃԎӾԏӼԉԈԇԉԎբԋԏӻԈӾӼԃӿԈԇՁԇӿԆӿԍ différentes polices de caractères nous laissent douter que la deuxième lettre du mot grec soit la même dans la LXX et dans la base de données américaine, ce qui aura fait ԆнԉӼԄӿԎӾнԏԈӿԐՀԌԃԀԃӽӻԎԃԉԈӻԐӻԈԎ dépôt du mémoire. 101 Ceulemans, Reinhart, New Hexaplaric Data for the Book of Canticles, as Discovered in the Catenae. Presented at the 13th Congress of the International Organization for Septuagint and Cognate Studies, Ljubljana, 13 Jul 2007-13 Jul 2007, Society of Biblical Litterature, Atlanta (2008) 100 « ӣԉԇԇӿԃԆӻԊԊԌԉӽԂӻԃԎӾнӡԔԉԎԉԍբԉԈԆԏԃԇԉԈԎԌӻԆӿԍӻԈӽԎԏӻԃԌӿӾӿӤӻԁՌԈԃԈӽӿԈӾԃՀբӡԔՌԎԉԍӿԎԍӿԍӿԈԐԃԌԉԈԍӾՀԎԌԏԃԎԍբԆӿԍӽӻӾӻԐԌӿԍԄӿtés çà et là et les restes de ceux qui avaient été brûlés pendant le combat, car on les avait entassés là où le roi devait passer. » 103 Euripides utilise ce mot 11 fois, Diodorus Siculus 7 fois, Polybe 10 fois, Sophocle 2 fois et Thucydides 6 fois. 104 ӤнӻԊԌԿԍӰsբӦӪԏԎԃԆԃԍӿӿԈӡӪԆӿԇԉԎÊÁÍŠÑъшԀԉԃԍӿԈӡӪӿԎчшԀԉԃԍӾӻԈԍԆӿӽԂӻԊԃԎԌӿԍӿԊԎԃԿԇӿӾӿӤӿӼӿԆԆԉӪԏӾӻԍԃӽԉ. 105 Ce radical ÒÈÇÂӿԍԎԏԍԃԎՀшцшԀԉԃԍԊӻԌӦӪӿԈӡӪբӾԃԒԃԎӰs . 102 46 x x x x x x x x x x x x 1M4,18 1M5,13 1M5,22 1M5,35 1M6,6 1M6,12 1M7,47 1M9,40 1M10,84 1M10,87 1M11,51 1M12,31 ÊÁı¸ ÒÈļ¼ʸŠIci le radical est différent mais ce lexème a bien la notion de « dépouille(r) » ÊÁı¸ ÊÁı¸ ÊÁįÂÇÀË ÊÁ¼į¾ ÊÁı¸ ÊÁı¸ ÊÁı¸ ÊÁı¸ ÊÁı¸ ÊÁı¸ En 1M1,4 4 cнest UR qui note dans sa traduction que ce verset sous entend une autonomie relative de la Judée et de lнIdumée alors là où la TOB dit « il soumit », il traduit par « il gouverna », ce quнil appelle à comparer avec Dn. 11,3, tout en précisant que la mort dнALG est en juin 323 CG au verset 5. En 1M1,66 la TOB dit comme UR en résumé que le partage de lнempire dнAlexandre ne devint définitif quнaprès la défaite dнAntigone à Ipsus en 301 CG, tandis que si la TOB traduit « officiers nobles », ce qui nнest pas faux, UR traduit par « honorables serviteurs », en précisant que « serviteurs » sous entend une conception « orientale » de ces personnes et quнil les dirigea durant douze ans et huit mois ; le verset 8 relate pour UR lнan 301 CG après la défaite dнAntigone Monophtalmos à la bataille dнIpsus, et « ses serviteurs » (terme usité en redondance au verset 8 dans sa version) désignent ici Séleucos Ier, Lysimaque, Cassandros et Ptolémée Ier. Le verset 9 est de son point de vue que nous partageons lнobjet dнune intertextualité avec Dn. 7 & 8 ainsi quнavec le Pésher de Nahum pour ce qui est de cette façon spécifique dнy nommer les individus. Cнest le verset 11 de ce premier chapitre qui a retenu toute notre attention plus que tout autre verset dans ce premier livre, UR, la TOB et FMA sont complètement dнaccord sur sa traduction là où seuls UR et nous-même notons « nous nous sommes 106séparés dнelles » avec une lecture complètement différente. En lнespèce UR et ses collègues décrivent ce passage comme infondé car nнayant pas dнécho qui aurait p permis une corrélation avec ce verset, pour dire les choses simplement. Notre analyse sistte à dire d quee dans da dans ce premier remier cchapitre hapitr il se hap emblee quнil qu u il soit s it fait so fa état, de par la tournure littéraire est différente, et consiste semble me dнautarcie dнauttarc arcie à vi isée pr ncipa cipaalem lementt re rreligieuse, gieu use la la re etrai traiitee co soutenue, dнune forme visée principalement retraite comme base de départ dнune pureté blant nt être tree iici évoquée, q , mais en fait ce nнest q ture ure des chapitres p compatible avec le culte semblant que p par la llecture suivants que le nou nou us aavons us vo on ns été ét en effet fet trèss attentif fet attentif tentif au au récit récit réc it quant q nt auxx dépouilles, qua déépouilles, ainsi ain nsi quнà nsi qu à llнextrême quн н tableau se complète, nous méticulosité avec laquelle les objets ferreux sont traités et de même à ce passage ultérieur dans lequel il est fait état de la permission cнestt en n ét diant la l rrépartition épartition des ressources en fer au Proche-Orient que nous avons constaté de battre monnaie, ett cнest étudiant ine de fer err en Judée, déee dont dé ont lнexploitation on lнexp exploit quнil nнy a quнune mine est très ancienne, et semble remonter à lнépoque royale, et éee pour p tout laisse croire quнelle est fermée cause de fin de ressources à lнépoque hellénistique, ce qui vient argumenter en ssour sso urces autonomes auto auto onome ono mes en e ferr en en Judée Jud à lнépoque hellénistique, et conjugué au récit des objets faveur dнune absencee dee re ressources dнu absence b d import dee ce imp c minerai par voie commerciale, et cнest justement cette absence de voie ferreux va en faveur dнune dнimport commerciale pour le fer qui crédibilise ce récit « en séparation », laquelle « séparation » semble ne plus être le cas pour ce qui est du commerce à partir du moment où les Hasmonéens sont, bien plus tard dans le récit, autorisés à battre monnaie. Ce qui est le premier point, tandis que le second consiste à avoir une forte présomption mais peu de moyens de preuve en faveur dнun début dнexplication dнabsence de sources historiques au troisième siècle pour la Judée : ce serait cette même « séparation » qui serait donc ancienne et cause dнabsence de sources historiques, alors que le seul début dнexplications à ce sujet serait dans ce verset. Pour notre part, quand nous constatons la recherche de plusieurs mois que nous avons du entreprendre sur le mot « dépouille », nous ne sommes pas étonnés du temps consacré à ce onzième verset, et si les traductions sont bonnes, les mots employés par le rédacteur de 1M me semblent particulièrement choisis pour ne pas dire châtiés, et donc parler de « séparation » à lнinitiative des Judéens ne peut être un récit fabulé, cнest au contraire au minimum la preuve quнil y a en ce sens au minimum un début dнexplication à lнabsence de sources pour la Judée du troisième siècle, ce qui vient se corréler au silence des payprii de Zénon de Caunos, dнoù une forte présomption, en précisant que les impôts dus par les Judéens et par la Judée sont, si nous avons bien compris, entreposés au Temple de Jérusalem, et cнest la non-évocation de ceci par Zénon de Caunos qui nous laisse penser que la « séparation » que nous présumons religieuse a eu pour première conséquence pas nécessairement automatique, une non-relation fiscale ou une non-imposabilité de la Judée et des Judéens au minimum à lнépoque dнALG puis à lнEL. En résumé il y a un vrai faisceau de présomption sans pour autant avoir de preuve indiscutable en faveur de notre théorie. UR y voit une intertextualité avec Dt. 13, ce qui ne précise pas le ou les versets en question, et avec Jr. 44,14-19, tandis que pour notre part nous nнy voyons aucune intertextualité possible et nous considérons notre faisceau de présomptions beaucoup plus probable quand bien même nous faisons à lнheure où nous écrivons ces lignes cavalier seul à ce sujet, dнabord parce que nous nнavons pas encore publié, puis parce que nous nнavons pas présenté nos travaux qui ne sont pas encore finis. Le verset 12 vient renforcer notre thèse selon laquelle la version grecque est une traduction littérale de la version hébraïque et non ĞĹūĵĭĦijĪ ĎĭŦľ čĪķĬĺĮĬ ĴķĨĮĩ ¹ ¼¼¼¼ ¼¼¼¾ ¾½¼Ä ¼¾½ ': '< 06&2 ¿¼¾½ÂÃÅ¿Ã $= 106 чӭӾԃԎ»À¸¿ļļ¿¸ ce qui est une forme usitée moins de cinquante fois dans tout le corpus en grec ancien selon Ps, la traduction renvoie bien à juste titre à « séparer րԇӻԃԍӽнӿԍԎԍԏԌԎԉԏԎԆӻԀԉԌԇӿ»À¸¿ÑÁšÑԋԏԃӿԍԎԏԍԃԎՀӿԊԉԏԌӿԒԊԌԃԇӿԌӽӿԎԎӿӻӽԎԃԉԈӾӻԈԍԆӿӽԉԌԊԏԍ grec ancien : Ps ne connaît pas cette forme 47 pas une version construite sur le signifié, ce qui pourrait expliquer les passages un peu obscurs récemment éclaircis ces dernières années. La phrase originelle en hébreu (UR a choisi de ne pas chercher la forme originelle contrairement à nous, décision prise parce que cнest justement lнintertextualité au sens large qui en émane) est ¦¢©¢«š¨ ™¯§±šœ. Ce qui correspond parfaitement à la version littérale depuis le grec ancien « la parole fût trouvée bonne à leurs yeux », ce qui est pour UR (Iį ) en télescopage avec 2M4,7-16 pour ce qui est du récit. Lнexpression en hébreu dans le verset originel est attestée dans le Tm et fréquente dans la littérature hébraïque et en guise dнexemples succints nous avons : 107Gn. 6,8 ; 1081S. 16,22 & 109 Jr.31,1 pour ce qui est uniquement du Tm. Le verset 13 renvoie selon UR à (I») à 2M4,9. Aux versets 13&14 cнest UR qui renvoie à 2M9,12 et à 2M9,12-14, et cнest le mot « donc », utilisé par la TOB qui nous fait dнune part comprendre que lнautorisation royale « dнobserver les pratiques des Nations » leur a été consentie par le roi, mais cнest surtout le début dнune présomption de citoyenneté pour ceux qui allaient au gymnase et/ou à lнéphébium112 110, citoyennetés et non-citoyennetés que nous développerons dans lнAlh sur 2M4 à la suite de Alh1M, mais notons pour le moment que ce sont des Judéens en 1M qui font cette demande au roi, laquelle est tout simplement une demande du droit de vivre à la grecque à Jérusalem, ce qui est la première marque dнacculturation véhiculée par le récit alors que cнest par la suite que nous apprendrons que ce gymnase est particulièrement proche du Temple de Jérusalem pour ne pas dire mitoyen, et si la nudité et le contact physique sont proscrits à lнépoque par les lois du Pentateuque cнest la proximité géographique avec le Temple qui constitue une aggravation des transgressions qui y sont commises du point de vue du Judaïsme du deuxième temple, laquelle transgression ne concerne pas uniquement du point de vue de la loi juive les Judéens, cнest le principe même qui est proscrit en Judée et à fortiori si près du Temple de Jérusalem à tout homme. Le verset 15 est un des piliers de notre étude sur la circoncision, et le développement ici se veut particulièrement long en tant quнoutil au titre des sources historiques. Le texte grec donne suivi de lнhébreu dнUR et du français de la TOB ceci : 109F x x x « Á¸Ė ëÈÇĕ¾Ê¸Åî¸ÍÌÇėËÒÁÉǹÍőĕ¸ËÁ¸Ė ÒÈñő¾Ê¸ÅÒÈġ »À¸¿ûÁ¾ËÖºĕ¸ËÁ¸Ė 뽼ͺĕÊ¿¾Ê¸ÅÌÇėËì¿Å¼ÊÀÅÁ¸Ė ëÈÉÚ¿¾Ê¸ÅÌÇı ÈÇÀýʸÀÌġ ÈÇžÉĠÅե » «±³ž²«¥ž±¤§³¢ž ¦¢¢ž›¥™žœ§¯¢ž²œž°³¢±šžšŸ«¢ž¥±«¦¥ž²«¢ž  « Ils se refirent le prépuce, firent défection à lнalliance sainte pour sнassocier aux païens, et se vendirent pour faire le mal. » es dee lla version, er ersio as en e g rec ni en n hé q Pour ce qui est il nнy a pas grec hébreu, de ce qu que nous avons réussi à analyser, de lien de cause à effet dans 1Mgr ni de d moy m en qui q vie drait jus tifier lнllнutilisation tifie н tilisatio on du mot mot « pour po » par la TOB, les quatre séquences moyen viendrait justifier verbales semblent énoncer une dнévènements point cependant il ressort é un succession i dнéé è nts ts dнun н i t de d vuee chronologique, ch naturellement de ce verset une tantt ph physique et politique. ne description de ript n de des de llнhellénisation hel éni hell én tion tion active acctive ta ys quee que ysi qu religieuse, religieuse, culturelle cu c Physique pour lнépispasme, religieuse sortie que nou nous pasm pasm me, re me eligieu e pour po r lнépispasme lнlнépis é passme ett la sor tie de llнAlliance, нAllia A ncee, cee qu us percevons per erccevo comme signifiant pour le fait religieux quнà lнépoque cнest la pratique qui fait que le juif est juif par cette pratique religieuse à condition quнil soit circoncis, pratique moindre pra raatiiqu qu ue q qui est st moi drree een n volume vo olum que depuis lнavènement de la liturgie ; culturelle parce que le rapprochement avec le les G Grecss p passee par pa pa lнacculturation нaccu a ultur ltu atio et lнacceptation de la culture grecque comme mode de vie, et politique parce que lee vverset erset ssous-entend ous-en en nten nd d clairement cla rem t quнils clai q ils prirent parti et devinrent donc pro-hellénistes à Jérusalem, nt de d deux d x co uraants nt opposés oppossés és ainsi nsii que qu ue la première évocation de lнépispasme qui sont consignés dans cнest donc lнavènement courants ce verset. Pour ce quii est de la version dнU dнU UR il ne faut pas y comprendre lнutilisation de substances addictives, mais un système de rétribution en contrepartie dнactes qualifiés par le rédacteur de 1Mgr de néfastes, ce qui devait être le point de vue de la population judéenne opposée à lнhellénisme. La chirurgie décrite ici pour ce qui est de refaire le prépuce est en fait lнépispasme, nom inusité en 1Mgr, mais qui correspond bien à lнidée « de se refaire le prépuce ». Cette méthode aurait consisté à lier des masses à la peau mobile de la verge afin de lнagrandir verticalement, le gain de tissu pouvant donner lнimpression visuelle dнun prépuce, lequel est normalement chez lнhomme exclusivement composé de cellules kératiniennes, ce qui sous-entend en toute logique, que ce « cylindre » de peau mobile nнétait pas suturé en dessous du sillon coronal et quнil était donc mobile, ce qui nнest plus le cas aujourdнhui ni dans le Judaïsme ni dans lнIslam, ce qui sera expliqué ci-dessous et de même dans les sous-chapitres sur les chirurgies. Ce qui ressort de cette analyse en circoncisions et ultérieurement en décirconcisions, cнest que les premiers Juifs qui allaient au gymnase avaient une circoncision visible alors quнils étaient nus au gymnase, jusquнà ce quнils entreprennent lнépispasme, cнest la meilleure façon de décrire cette situation. A lнheure où nous réécrivons en complétant, grâce à AM, nous comprenons que la circoncision, ou plutôt la première circoncision, maintenait le cylindre de peau mobile, sur lequel pouvait être réalisé lнépismasme grâce au morceau de prépuce qui restait et qui était une condition histologique et donc physique sine qua non à lнépispasme, dixit AM. Cela était pour les Grecs très inesthétique et ce de par leur culture acquise dans leur milieu dнorigine. Pour les Grecs, comme on le voit dans les vases athéniens de JDB 111, lнesthétisme masculin passe par une verge ĞĹūĵĭĦijĪ ĎĭŦľ čĪķĬĺĮĬ ĴķĨĮĩ ¹ ¼¼¼¼ ¼¼¼¾ ¾½¼Ä ¼¾½ ': '< 06&2 ¿¼¾½ÂÃÅ¿Ã $ = 107 6!#! š ’' '†1'— 4— C0 ’ % x — 8š / † š ´™ œ 1w ’# '1'š 4— ’C0% x — 8š /¡' † š V' – 1™v 6š + ’ { –# š 1¡ š /š 4™': ” / œ r  —+'fx ™ –'¡++K ˜ v f%„ š +™ f’ –Q ™# 108 – 1™v 6š + ’ { –# š 1¡ š /š 4™': ” / œ r  —+'fx ™ –'¡++K ˜ v f%„ š +™ f’ –Q ™# 109 '1'š 4— C0 ’ % x — 8š /† š ¡'V' 110 111 ӣԀեшӭԊԉԏԌԆнՀԊԂՀӼԃԏԇ Beazley, John Davidson, Attic Red-Figure Vase Painters, Volumes I and II, Oxford at the Clarendon Press, 1956 and 1963 48 de petite taille au repos avec un prépuce si possible conséquent (cf. annexes), et le contraire leur était non seulement inesthétique, mais surtout en corrélation directe avec le dieu Priape. Il y a donc, au moment où nous écrivons, la certitude que les Grecs trouvaient cela inesthétique de par les fondations de lнesthétisme masculin grec et de ses mesures dans la culture grecque antique, sans parler dнéventuelles dimensions de taille supérieure au repos qui auraient pu aggraver pour eux ce même inesthétisme, un prétexte de plus à la moquerie et à la qualification dнinesthétique, moquerie par la corrélation et lнanalogie au dieu Priape, inesthétisme par la culture et précisément de leur notion dнesthétisme chez lнhomme, ces deux faits au premier degré étant, et cнest peut-être le plus important pour le fond, non pas le fait immédiat et local de la rencontre des cultures, mais une réaction, ou plutôt des réactions, qui relèvent dнun déterminisme multiple : cнest la culture grecque originelle des Grecs installés à Jérusalem qui leur a « naturellement » engendré ces réactions défavorables, ils auraient eu les même réactions avec toute population masculine côtoyée nue et circoncise en dнautres pays conquis, ce qui revient à dire que ce nнest pas, du moins de notre point de vue, de lнantisémitisme inné, pour ce qui est des moqueries sur la circoncision nous nнy voyons pas vraiment dнantisémitisme en soi, lequel se manifestera plus tard ; nous y voyons surtout un choc des cultures dans lequel les moqueries des Grecs étaient préprogrammées de par leur culture. Pour conclure sur ce sujet, la TOB renvoie à 1121Co.7,18 qui est en parfaite intertextualité avec 1M1,15. 1620 Les versets seize à vingt reflètent la situation politique entre Lagides et Séleucides entre autre du fait de la Judée ; la TOB note à juste titre que 1M ne cite pas la deuxième campagne qui est notée par 2M sans quнil fasse état de la première campagne, cнest dire combien la synthèse des deux livres est pertinente et lнhébraïsme quнelle donne est en fait 113œš¤¦« tout en précisant que le verset 17 parle de la première campagne contre Ptolémée Philométor de 169 avec un retour de la campagne dнEgypte au verset 20 à lнautomne 169 CG. UR, qui donne aussi 169 CG pour le verset 20, développe sur les relations entre Lagides et Séleucides de par lнaspect judéen du dossier en précisant que les Séleucides considéraient illégale la souveraineté de Ptolémée Ier sur la Judée alors quнil bénéficiait de lнalliance de Séleucos Ier dans le conflit qui les opposait à Antigone Monophtalmos ; cнest à la quatrième guerre de Syrie quнAntiochos III domine temporairement le pays dнIsraël115F 114, ce qui devint définitif à la fin de la cinquième guerre de Syrie. De là nous supposons deux choses, dнune part, cette instabilité peut compléter le début dнexplication sur lнabsence de sources au troisième siècle pour la Judée, mais surtout nous avons une présomption selon laquelle lнinstabilité des souverainetés lagides et séleucides aurait très bien pu être un motif politique de la part des Judéens pour refuser de payer les impôts souverains, avec lнargument e t aucune ucu cu rais ra q u ils i n a bl imposition la même année en cas de ble évident quнils nнavaient raison de croiree qu quнils nнauraient pas de double ar lнautre llнau utre pa rtie ce que rtie, que nous n us pensons peenso nsons probable probable ablee sur su ur lнensemble llннensem mble de d la période des guerres de Syrie, ce reprise de la Judée par partie, é i d sans san sources éécrites i isca sc é stable bl d de p нinst qui serait donc une période et sans fi fiscalité par llнinstabilité politique de la Judée secouée nc d entre Lagides et Séleucides,, do donc dee 274 CG jus jusquнau plus maiss il fau faut préc préciser que qu au a p us ttard ard à 198 198 CG, mai m ma ciser q ue dans cette hypothèse de llнhistoire нhi histo oirre d lнest es de la la méditerranée m it méd iteer née et du Proche-Orient Pr he he--Orient qu нaauteur de 1M vient prouver le récit très résumé de de lнest que fait llнauteur quнen Judée on sait au moins à peu près ce qui se passe dans la région : cette « séparation » évoqué au verset onze nнest mentt éétanche men tanche vi s-à-à-vv s de llнextérieur. нexttérie donc pas complètement vis-à-vis Ce sur quoi nous rajoutons que si la « séparation » aurait u ccela la aaur rait été prob pro blement reli bl rel effectivement eu lieu, aurait probablement religieux et donc fiscal, ce lien de cause à conséquence du au fait que usalem m qui qui sert sert rt de d caisse ccaisse des d dépôts pôt pour p cнest le temple de Jérusalem lнensemble des impôts tant judéens que ceux du souverain gém ém monie. Donc Donc nos no hypothèses hypothès hè s see conscrivent cons par voie de semi-hégémonie. dans un faisceau de présomption agrandi mais à ce éi jour nous nнavons pas d de moyen de preuve sérieux à ce sujet. UR précise quнaprès la prise de la Judée les Lagides nнont pas vraiment eu la digestion facile, si bien quнils surnomment la Judée « la volée116 115 » ou « la chapardée », au point que cela envenimait grandement les relations entre les deux empires, dans lesquelles, côté lagide « 116Avalaïos » et « Lanaïos » étaient très influents 117 à ce sujet, tandis que lнannée 143 CS fait allusion à lнautomne 169 CG pour la TOB, là où UR note que Jason et Ménélas ne sont pas cités alors que contemporains du récit, ce que nous supposons du à la volonté de lнauteur de constituer une mini-unité au sein du premier chapitre exclusivement relative au conflit entre Lagides et Séleucides, ce qui permet dнy voir un peu plus clair dans un récit à lнéconomie 118 fortement prononcée. Cнest à supposer que la transmission du document avait une contrainte de copie et quнil fallait faire court afin de diffuser au plus vite, contrairement à la forme non abrégée de 2M écrite par Jason de Cyrène, œuvre qui hélas ne nous est pas parvenue. 2113F ĞĹūĵĭĦijĪ ĎĭŦľ čĪķĬĺĮĬ ĴķĨĮĩ ¹ ¼¼¼¼ ¼¼¼¾ ¾½¼Ä ¼¾½  : < 06&2 ¿¼¾½ÂÃÅ¿Ã $= 14F 15F 16F 17F « ӬнԏԈՀԎӻԃԎ-ԃԆӽԃԌӽԉԈӽԃԍԆԉԌԍԋԏнԃԆӻՀԎՀӻԊԊӿԆՀ հӱԏнԃԆԈӿӾԃԍԍԃԇԏԆӿԊӻԍԍӻӽԃԌӽԉԈӽԃԍԃԉԈեӬнӻԏԎԌӿՀԎӻԃԎ-il incirconcis հӱԏнԃԆԈӿԍӿԀӻԍԍӿ pas circoncire. » Là où le NT en grec selon théotex donne « ¼ÉÀ̼ÌľÄñÅÇËÌÀËëÁÂû¿¾գü ëÈÀÊÈÚÊ¿Ñե<ÅÒÁÉǹÍÊÌĕß (N ÒÁÉǹÍÊÌĕß ÌÀË ëÁÂû¿¾ ĺ ÒÁÉǹÍÊÌĕß ÁñÁ¾̸ĕ ÌÀË֖ ÌÀËëÁÂû¿¾գü ȼÉÀ̼ÄÅñÊ¿Ñե » ӥԎԈԉԏԍԈнӻԐԉԈԍԊӻԍԆӿԍӽԉԇԊՀԎӿԈӽӿԍԊԉԏԌӽԉԇԊԌӿԈӾԌӿӽӿԋԏԃԍӿ passe en grec dans ce verset, la fléche reste pour moi très mystérieuse. 113 La TOB donne pour intertextualité unԃԋԏӿԇӿԈԎӮӼեшцբшцԇӻԃԍԆнӿԒԊԌӿԍԍԃԉԈտ ‘am kaved » sans préposition est en fait en Is. 1,4 :L%K: š $†œ š1+x — :š g’ –'fL† 9¡= ’ K ˜ 8} ” 1! – #! yš ’'¡=K ˜ „ ’$4-' š =' r – %– f’ /-'x ™ 1– C-' š 4– v :— /3 ’ :ۄ™ $0 ˜  #v 4š „˜ V˜ 4| ™ &œy— %'L „E £'L!„ ӮԉԎԉԈԍӻԏԊӻԍԍӻԁӿԆнӻԎԎӿԍԎӻԎԃԉԈӾӿԆӻӾԃԊԂԎԉԈԁԏӿփԉ՘փӾӻԈԍԏԈԎӿԒԎӿӽӻԈԉԈԃԋԏӿբӽӿԋԏԃԊԉԏԌԌӻԃԎՁԎԌӿԉԊԊԉԌԎԏԈӾӻԈԍӾӿԍՀԎԏӾӿԍӿn linguistique de ԆнՀӽԌԃԎբӿԈԎԌӿԂՀӼԌӿԏԍӻԇӻԌԃԎӻԃԈբԂՀӼԌӿԏӾӿӪՀԌԏԍӻԆӿԇӿԎԆӻԈԁԏӿԍԐӿԌԈӻӽԏԆӻԃԌӿԍӾӿԍӪԏԃԀԍӾӿӢӻӼԓԆԉԈԃӿբԍӻԈԍԊӻԌԆӿԌӾӿԍ études à faire en contact de langues, ce qui seraient des avancées majeures. 114 Dans ce passage UR ԈӿԊԌՀӽԃԍӿԊӻԍԍнԃԆԍнӻԁԃԎӾӿԆӻӪԏӾՀӿseule ou de la Judée et de la Samarie en même temps, il ne parle que du « ԊӻԓԍӾнөԍԌӻՂԆ », ce qui est étonnant. 115 en hébreu, nous nнavons pas le terme en grec. 112 116 117 2#'1+#2#'+## dixit UR Mais nous ne trouvons pas la moindre documentation à leur sujet ni la moindre citation de leurs noms sur internet en français, hébreu et grec. 118 UR ԊӿԈԍӿԍԏԌԆӻӼӻԍӿӾнӡӪӸөөբшъь-шышӿԎӾӿъӱшъюԋԏнӡԈԎԃԉӽԂԏԍԍӿԌӻԃԎԐӿԈԏӾӿԏԒԀԉԃԍԷӪՀԌԏԍӻԆӿԇӿԎԈԉԈԏԈӿԀԉԃԍբԎԉԏԎӿԈԐԉԓӻԈԎ tout au long de son commentaire bien des analogies avec le livre de Daniel. 49 23 La TOB et UR renvoient évidemment à 1R7 là où UR complète par Ex. 25, ce qui apporte une confirmation de ce qui était présent dans le TdJ, mais le problème est différent. UR évoque ses confrères qui pensent que cнest la paix dнApamée qui est à lнorigine des pillages séleucides. Après réflexion, le problème ne se pose pas en ces termes de notre point de vue quand bien même ce nнest pas impossible ni nécessairement contradictoire avec nos hypothèses. Les difficultés financières séleucides sont avérées et ne sont pas finies, se conscrivantes logiquement dans un déficit pécuniaire dнabord pour les dommages et intérêts dus au titre de la paix dнApamée, et dнautre part cнest la certitude évidente que les Séleucides nнen ont pas fini avec les Lagides, ce dont ils doivent avoir conscience, si bien quнils pouvaient anticiper des difficultés financières de plus en plus conséquentes pour ces deux motifs, lнanticipation étant au minimum due au titre de la paix dнApamée, ce qui est une première chose. Le deuxième point cнest que le TdJ est réputé pillé dans ce récit au niveau des objets du culte en or et des décorations elles aussi en or, ce qui peut remplir les caisses séleucides, mais cela aurait été plus facile de prendre lнargent entreposé au titre des impôts judéens ainsi que les dépôts en numéraire, ce qui semble ne pas avoir été le cas là où même lнhypothèse dнun refus fiscal ou dнune exemption fiscale vis-à-vis du souverain semihégémonique nнaurait pas pour autant exempté les Judéens des impôts dus au titre de la religion tels que définis par le Pentateuque, et les trésors dont parle 1M ne sont pas nécessairement, en lнabsence de preuves formelles dans le récit, la recette des impôts ni les dépôts. Dans cette optique, ces deux sommes dнargent ne pouvaient pas ne pas être au Temple si bien que le premier problème est que nous ne savons pas pourquoi AIVE ne prend pas ce numéraire qui aurait été très pratique pour payer ses diverses dettes et anticiper lнeffort de guerre. Le second problème est un peu plus complexe, et nous sommes étonnés quнil nнait pas été évoqué dans la littérature scientifique. A supposer que cette saisie dнobjets du culte au TdJ ait vraiment eu lieu, cнétait dнune part lнimpossibilité technique dнexécuter le service sacré, et dнautre part ça ne pouvait pas se passer sans réponse de la part de la population judéenne, ce alors que si cette confiscation avait vraiment eu lieu alors il nнy avait plus vraiment besoin de ce fameux décret dнAntiochus Epiphane dans la mesure où ces objets du culte sont liés à la quintessence même du Judaïsme : il est vrai quнil nнest nullement besoin de Candélabre pour circoncire mais notre point de vue est quнà lнépoque du Second Temple le culte de la religion de Moïse et de la communauté de Jacob ne pouvait se faire sans le Temple, si bien que nous nous limitons à dire que nous avons des incertitudes sur cette saisie dнobjets du culte, qui selon nous aurait du avoir un effet bien plus grave que celui du décret dнAntiochus Epiphane de la part des Judéens, et nous supposons même que les Judéens pro-hellénistes ne seraient pas restés insensibles à cette vvraiment eu lieu, e , cce se sserait e a de notre point de vvue le vrai début du décret dнAntiochus saisie du fait du roi. Et si ce cela a vra écret écrit é it nнétait écr nнétait fina nн ffinalement lem nt rrien ien en de grave gravee ap près une u telle telle razzia, raz Epiphane dont le décret après auquel cas, cela sнimbriquerait é uen d la l paix i dнA A é ett ccr dibi i dibil i le it illages age séleucides des temples des diverses effectivement avec les conséquences de dнApamée crédibiliserait les pillages Nouss avons a ons ns bien religions au Proche-Orient. Nous ien n noté oté llнexpression exp ession « ttrésors réso ccachés achés » m mais a nou nous us mai m maintenons ntee nt nos hypothèses tudee à ce sstade tude tad de llнanalyse nalyyse naly yse de de 1M 1M quнil uнil il ssнagisse нaagis gisse se de d la la recette rece ecette tte des des impôts impôts ou des de dépôts, hypothèses nнayant aucune certitude auxquelles nous rajoutons trois arguments simples, le premier étant 3Q15, le trésor décrit nнa jamais été retrouvé pas uxième argu ment com mplé plus que sa cachette,, eett lee deu deuxième argument complémentaire est quнAntiochus aurait du, pendant quнil y était, saisir 119 en les chaînes de clochess 11 n orr massif ma f que qu lee Gra and nd Prê portait depuis ses épaules jusquнau sol ainsi que le pectoral qui Grand-Prêtre ais avec avec plus plus de va val eur qu d égal ; et le troisième argument est littéraire, 2M a été écrit était moins lourd mais valeur quee llнor à p poids pte, te, res ste à ssupposer upposeer à llнintention нin nten ten on de de qu pour les Juifs dнEgypte, reste qui 1M a été écrit, selon toute vraisemblance vers 100 CG, et d la l littérature li é cнest là que nous posons lнhypothèse de politique, cнest-à-dire que cнest lнobjectif politique de 1M à lнégard de Judéens voulus conservateurs par les Hasmonéens qui peut venir expliquer quнon décrit en 1M une des pires choses possibles à lнépoque du Second Temple : le vol des objets de culte en or. Cela étant, UR argumente sur la base de 2M4, 28, 32&39, en disant, quнeffectivement, il est possible que les caisses soient vides de numéraire de par la prise dнargent par Jason et Ménélas versée à Antiochus, cнest pourquoi nous nнavons pas de présomptions définitives. 24 En outre nous doutons nous aussi comme la TOB de la réalité du massacre de Judéens décrit ici. 25-28 Ce passage en poésie a ceci dнintéressant quнil se veut descriptif dнun deuil, mais la scène décrite dans son ensemble nнest pas un deuil juif, lequel consiste à sнasseoir au sol et se couvrir de cendres ou de terre avec des habits déchirés voire en portant un haillon, le tout durant sept jours, et le paradoxe en 1M cнest que ce que nous venons de décrire est dнune part très spécifique au Judaïsme mais surtout décrit de manière très similaire en 1M dans les chapitres suivants comme prélude au combat, si bien quнil semble quнil faille supposer, si le récit est vrai, que lнusage actuel du deuil dans le Judaïsme rabbanite nнétait pas autrefois réservé uniquement au deuil et pouvait donc faire partie des rituels de guerre, mais cela nous laisse particulièrement perplexe, de même que les les cris préludes au combat qui sont décrits comme ayant pour objectif de solliciter la divinité, ce que nous verrons ultérieurement, le Tm en parle mais nous doutons que ce soit encore le cas au deuxième siècle. 29 est un verset complexe parce que la TOB et UR ne sont pas dнaccord : TOB dit approximativement 167 CG au printemps, là où UR se positionne en 168 CG, mais le problème de traduction est un peu plus compliqué. La TOB voit une erreur dans lнhébreu qui consisterait en /sar hamisim/ (ce qui est lнerreur) au lieu de /sar hamusim/(ce qui est exact), soit ministre des impôts là où on devrait lire « le chef des Mysiens », autrement dit le mysarque qui est le chef des Mysiens, ce que UR et la TOB attestent par 2M5,24, UR développe son analyse en allant dans le même sens et explique son analyse en considérant que le grec ÓÉÏÇÅÎÇÉÇÂǺĕ¸Ëest faux en tant que version de lнhébreu, alors que théotex rapporte la variante ÓÉÏÇÅ̸ ÎÇÉÇÂǺĕ¸Ë, et nous présumons que le suffixe ̸ a son importance. UR considère lнorthographe de /sar hamisim/ ĞĹūĵĭĦijĪ ĎĭŦľ čĪķĬĺĮĬ ĴķĨĮĩ ¹ ¼¼¼¼ ¼¼¼¾ ¾½¼Ä ¼¾½  : < 06&2 ¿¼¾½ÂÃÅ¿Ã $= 119 Exode 28,35 avec les explications sur http://tora.us.fm/tnk1/tora/jmot/pamonim.html le 18 mars 2019 qui en français donnent : « Seul le grand prêtre est autorisé à entrer dans le Saint des Saints et ce verset nous apprend que, lorsqu'il entre dans le Saint des Saints, il doit porter un manteau avec des cloches qui font retentir un son. » 50 similaire à celle de /sar hamusim/, et il est vrai quнà lнépoque les deux sнécrivent de la même façon tout en se lisant différemment : ¦¢ª§±². Lнerreur étant explicable par 120Ex. 1,11. Tout en rejoignant la TOB, il est pour lui aussi question dнun général et de son armée originaire de ‘Mysieн, ce qui préciserait effectivement son parcours jusquнà Jérusalem en passant par Antioche. FMA précise que selon lui il sнagirait précisément du commandant des mercenaires de Mysie, et nous pensons quнil a raison, parce que nous présumons que pour ce qui est de la polémologie de lнépoque quнil y a quelques différences entre un soldat et un mercenaire, entre un commandant dнarmée régulière et un commandant de mercenaires, ici le commandant des mercenaires de Mysie. De notre point de vue à hauteur de nos connaissances, le soldat ne connaît que la caserne et le champ de bataille là où le mercenaire est bien plus polyvalent, surtout pour des opérations en dehors du champ de bataille, à toute heure du jour et de la nuit, avec une « corvéabilité » supérieure à celle du simple soldat qui fonctionne sur la base de ce quнil a appris durant ses classes, y compris à lнépoque. Tandis quнen plus un mercenaire est bien plus adapté aux actions urbaines quнun soldat qui est normalement prévu pour le champ de bataille. La seule chose sur laquelle nous pouvons asserter est que lнhébreu « deux années de jours » ¦¢§¢¦¢¢³©² signifie en fait deux années environ, si bien que le principe de lнestimation de la TOB est bon et nous aurons tendance à compter nous aussi un minimum de deux ans depuis 169 CG, soit le printemps de 167 CG, parce que deux années de jours veut dire tout simplement en hébreu deux ans environ avec une durée supérieure à deux ans, mais cela sнexplique surtout par le calendrier hébreu, cнest lнannée 3594 121 CH qui bénéficie dнun deuxième mois dнAdar, appelé « Adar Beth 122 », laquelle année hébraïque commence le soir du mercredi 9 septembre 166 CG, et cнest sûrement ce qui vient expliquer lнexpression deux années de jours, lнauteur de 1M ayant conscience des spécificités de la notion du temps dans le Judaïsme, lequel temps est considéré rattraper son retard tous les trois ans avec lнajout du mois dнAdar Beth, et cнest pourquoi nous émettons le postulat sur la base des notes 1,17 & 20 de la TOB, en comptant dans le calendier hébreu et donc approximativement dans le calendrier séleucide 3592+2 soit 3594 CH, aux alentours du printemps, donc mars à mai 167 123 CG et 145 CS. 30 FMA traduit par « puis il tomba sur la ville à lнimproviste », cet enchaînement dans le récit nous laisse supposer que le discours du Mysarque fût prononcer à lнentrée de la ville, (cнest le verset 31 qui parle dнun mur dнenceinte) et que cнest donc ce même discours qui facilita son entrée en nombre à Jérusalem, sinon il nнaurait jamais eu besoin de faire un discours, et « parmi le peuple dнIsraël » laisse aisément comprendre que les Séleucides nнallaient pas sнen prendre aux Grecs de Jérusalem, mais permet de supposer facilement et ce avec une forte présomption que les Juifs hiérosolomytains étaient ou mercenairess séleucides de Mysie fraîchement arrivés, e facilement acil ci en distinguables ent es par par a les les soldats sso s diifférrenc ence ssoit oit ves mentaire pour p les es Juifs Juifs dans d s llнlнespace нesp pace public alors que les femmes juives si bien quнil semble que laa différence vestimentaire semblent être voulues très è casanières, asaniè surtout avant le l mariage, ar aria sii b bi bien i n qu que nous us ssupposons la « Mézouza 124 » comme signe distinctif entre les maisons grecques less m maisons juives, mais nou nouss p pensons sons g ecqu s ett le ais s ju uives, mai m ensons surtout urtout que que la l différence était une séparation par quartiers qui devrait logiquement mitoyen iers : des iers des quartiers q quar ers juifs j ifs fs et e un un quartier quar uarti tier grec, grec, qu ui d rait lo giqu uem nt êêtre mi toy du gymnase et de lнéphébium. 31 Le pillage de la ville ici raconté rejoint lнhypothèse des pillages des temples par les Séleucides après la PAK et confirme que les cai caisses aissses es séleucides séleuc leu dees éta étaient en ntt een nm mauvaise auv posture, ce alors que si le TdJ servait de caisse des dépôts, il gr nd d ch h hose ille en n ville villee si s ce nнest la monnaie du quotidien pour les courses au marché, ce qui ne devait pas y avoir grand-chose à piller semble se confirmer par 332 où il est est fait fa t état ét t de éta de laa saisie s e du si d bétail, qui ne devait pas être un très grand cheptel à huit cent ecc peu p de plu uie hor h ormiss le mbes hive mètres dнaltitude avec pluie hormis less tr trombes hivernales qui réalimentent très temporairement les wadis qui dé & M L i en captivité des femmes et des enfants a ici une visée pécuniaire qui font partie des sites décrits par 1M&2M. La mise vient compléter celle du bétail et du pillage de la ville. Ce qui sous-entend que si la saisie au TdJ décrite en 21-24 est vraie alors le gain conséquentiel nнétait pas suffisant pour Antiochus, soit uniquement au titre du montant de lнimpôt dû, soit au titre du pillage du TdJ comme lнauraient été les autres temples de lнempire séleucide des suites de la PAK, voire les deux à la fois. 33 La TOB utilise le verbe « rebâtir » là où FMA & UR parlent de bâtir. Sнil était question de rebâtir le mur dнenceinte de 31, alors la TOB aurait raison sur le verbe choisi, mais la suite du récit précise « la ville de David » qui pour FMA est en fait un des quartiers de Jérusalem et pour la TOB cette même « ville de David » désigne à lнépoque hellénistique la ville haute bâtie par les rois de Juda à lнouest de la dépression du Tyropéon sur la colline occidentale. Ne sachant pas si lнenceinte dans laquelle il est question en 31 entourait ce quartier nous ne pouvons asserter pour ou contre une construction ou une reconstruction tout en notant que la TOB utilise les mots ‘enceinteнet ‘rempartsн là où FMA parle dн ‘enceinteнet de ‘grand mur très fortн et UR utilise uniquement le mot §ž . Notre présomption est que ces travaux ont eu lieu dнune manière ou dнune autre parce que les tours ont besoin dнune base épaisse pour tenir alors que le récit relatif à lнAkra nous paraît parfaitement réaliste, et nous nнavons pas de matériel en archéologie qui viendrait éclairer ce point de manière plus détaillée. 34 ne décrit pas lнinstallation dнun régiment dнinfanterie mais celui dнune population civile qui ĞĹū Ĺ ĵĭ ĵĭĦ ĭ ijĪ ĎĭŦľ čĪķĬĺĮĬ ĴķĨĮĩ ¹ ¼¼¼¼ ¼¼¼¾ ¾½¼Ä ¼¾½  : < 06&2 ¿¼¾½ÂÃÅ¿Ã $= 120 – :„ — g š #'{ +š 4K/' š g– šQ ™# ' 22— /’ 4™ :¡= ™ ˜ ’#-œ=x a¡= – ! ˜ œ3v :’ 6™ + ’ =L1 { V’ 2’ /' – :— 40 š ˜ Q–~ ™#-=Y r š ’ 2– CL ’ =œx ^40 ™ 4™ /† ™ +’ -'_v– /' ӴԉԏԎӿԍԆӿԍӾӻԎӿԍԈӿԍԉԈԎԋԏнӿԍԎԃԇӻԎԃԉԈӻԏԇԉԇӿԈԎӾԏӾՀԊՌԎӾԏӽԂӻԊԃԎԌӿԆӿщӻԐԌԃԆшцчяբԇӻԃԍӻԊԌԿԍԐՀԌԃԀԃӽӻԎԃԉԈԍբԆӿԍӾԉԈԈՀӿԍӾe la TOB étant fiables, nos dates sont donc réputées vraies. 122 ӣӿԋԏԃӻԌԌԃԐӿԏԈӿԀԉԃԍԎԉԏԍԆӿԍԎԌԉԃԍӻԈԍӻԆԉԌԍԋԏӿԆнӻԈԈՀӿԍԂӻӼӼӻԎԃԋԏӿӻԌԌԃԐӿԎԉԏԍԆӿԍԍӿԊԎӻԈԍբԍԉԃԎӾӿԏԒԇԉԃԍӾнӡӾӻԌӢӿԎԂdans chaque cycle shabbatique de sept ans. 123 Les dates données dans le calendrier grégorien dans ce mémoire sont toujours antérieures à Jésus-Christ, les signes le précisant par ӽԉԈԐӿԈԎԃԉԈԍԈӿԍԉԈԎԊӻԍԏԍԃԎՀԍӾӻԈԍӽӿԇՀԇԉԃԌӿԊӻԌӽԉԇԇԉӾԃԎՀӿԍԎԂՀԎԃԋԏӿӿԎԊӻԌӽӿԋԏӿԆӿԍԏԄӿԎӻԊԉԏԌԆԃԇԃԎӿԆӿӾՀӼԏԎӾӿԆнՀԊԉque romaine en Judée. 124 Parchemin écrit avec la même encre que celle utilisée pour le rouleau du Pentateuque, à base de noix de Galle, qui est fixé sur la ԊԉԏԎԌӿӾԌԉԃԎӿӾӿԆнӿԈԎԌՀӿӾӿԆӻԇӻԃԍԉԈӿԈՀԎӻԈԎԌԉԏԆՀԍԏԌԆԏԃ-ԇՁԇӿեӣԂӿԔԆӿԍӳӻԇӻԌԃԎӻԃԈԍӽнӿԍԎԆӿԇՁԇӿԎӿԒԎӿԇӻԃԍԊӻԍԈՀӽӿԍԍӻԃԌӿment ԍԏԌԏԈԊӻԌӽԂӿԇԃԈբԎӻԈӾԃԍԋԏнԃԆӿԍԎԈՀӽӿԍԍӻԃԌӿԇӿԈԎӾՀԊԆԉԓՀӿԎӾԉԈӽԊӻԌԀӻԃԎӿԇӿԈԎԆԃԍԃӼԆӿԷԆнӿԈԎԌՀӿӾӿԍԇӻԃԍԉԈԍԍӻԇӻԌԃԎӻԃԈӿԍե 121 51 logiquement est constituée de chefs de famille membres de lнarmée séleucide, et cнest évidemment avec une succession dнadjectifs qualificatifs particulièrement péjoratifs que le regard des Judéens sur eux est exprimé. 35 Les armes sont un import depuis Mysie ou Antioche mais les provisions semblent en toute logique faire partie du butin conséquentiel au récit de 31-32, ce qui laisse comprendre que ce nнest pas uniquement le bétail mais aussi le grain qui a été confisqué, et pour ce qui est des dépouilles, nous pensons dans ce cas pratique que ce nнétait pas seulement un trophée ni un éventuel moyen de calculer la prime due au zèle si elle existait, nous pensons surtout que cнest un moyen de chantage contre rançon, qui concernait logiquement les dépouilles des hommes vu que les femmes et enfants étaient vendus en esclavage, chantage qui a dû être efficace vu que le Judaïsme exige des rites funéraires immédiatement après le décès, dans un contexte où lнâme est réputée souffrir tant que le corps nнest pas en grotte fermée pour sнy décomposer ou mis en terre. Cela étant, les moyens pécuniaires devaient être faibles après la main basse séleucide sur la ville. UR voit dans lнusage du mot ȸɊÅÇÄÇţ là où TX lit ȸɸÅĠÄÇÍËբ un début dнévidence dнune présence juive helléniste et donc une analyse complètement différente de la notre avec comme version !#9$%='#-'&#%-'<13<:-3-<#/'<'# . Littéralement cela donne « Ils y mirent un peuple mauvais, des pêcheurs et ils sнy fortifièrent. Cнest le mot /chotim -'&#%/ en hébreu qui nous laisse supposer une logique selon laquelle seul un Juif à lнépoque peut transgresser la loi juive, mais nous pensons quнil peut aussi être question à proximité du TdJ de lнinterdiction faite aux non-Juifs dнaller dans plusieurs parties du Temple, si bien que nous nнinfirmons pas lнhypothèse de Juifs pro-hellénistes dans la nouvelle résidence séleucide mais nous nнavons pas assez de matière pour pouvoir conclure en ce sens. Aussi nous campons donc sur nos positions pour ce verset, mais nous voulons quand même compléter in situ lнargumentation dнUR : il utilise deux mots hébreux dans sa version, /rashнa/ et /chotim/, le premier veut dire mauvaise personne et cнest le Judaïsme qui sнapproprie cet adjectif dans un concept de quatre catégories de personnes citées dans la Aggadah de Pessaнch (+#<+ 3#' #1'<# ,-= ,-)% ,3<:), lesquelles synthétisent la perception de la filiation dans le cadre de lнéducation juive religieuse, et si la Aggadah écrite remonte au Moyen-âge, nous présumons que le rite de Péssach et son récit de littérature orale devait déjà exister à lнépoque du Second Temple. Mais là cнest le peuple qui y réside qui est mauvais, tandis que /chotim/ que nous avons traduit par pêcheurs parce que cнest ce quнil y a de plus simple en français est en fait lнhébreu pour ‘transgresseursнde la loi, parce que dans le Judaïsme il nнy a pas de péché, le pêcher fait partie du domaine chrétien du point de vue du Judaïsme, mais le problème en p prenant ce mot stricto senso, ce qui vient mettre de lнeau au moulin dнUR, cнest très oin nt de d vue v juif uif il ne n peut peut y avoir avoirr de de transgression trrans ression n que qu ue par p un un Juif Jui dans le cadre des Lois du Judaïsme simplement que du point ici par p la som mmee de ess aactions tions ionss à fair ffaire ree eet la so omme me de es aactions ction à ne pas faire, et donc utiliser ici que nous définissonss ici somme des somme des /chotim/ cнest sous-entendre logiquement une présence juive dans la résidencee séleucide, logiq gi uem em p j sé uci , le seul bémol consiste en ces ch ces cchez hez ez FMA & TOB du mot lнabsence dнoccurrences m pê cheurs ou cheur u transgresseurs, trans anssgreess esseur eurs, seul seul eul théotex thééo éotexx lнutilise lнut uttilise mais m pour la première pêcheurs partie de la phrase en traduisant « ils y mirent une race de péché, des hommes méchants, et ils s'y établirent puissamment és » po ourrait être tre les Juifs uifs pro p pro-hell ; » , la race de « péchés pourrait pro-hellénistes auquel cas ce verset ne décrirait pas lнinstallation séleucide rqu uoii nous nou nous ous cantonnons an nton nnons à citer lнhypothèse sans avoir matière à y adhérer. 36-40 Ces cinq nnon à cet endroit. Cнest pou pourquoi versets constituent une poésie lugubre et tragique qui décrit les conséquences des méfaits séleucides sur la ville de ugu gu Jérusalem et son Temple. mple. UR n note ote lнintertextualité ote llннin ntertexxtua nter tualité avec ec 2M5,62 M5, et Ps. 79,1-3126 125, ce qui est vrai pour Ps. 79 mais il semble quнil y ait une coquille dнimpression en héb hébreu de UR, 2M5,62 nнexiste pas, aussi nous précisons sans lle d нi i n dans da dans lнédition lнéditi di déformer ses propos que 2M5 parle du pilage du Temple du verset 15 au verset 23. Pour notre part notre présomption va en faveur dнune préméditation séleucide pour ce qui est de lнembuscade pour le Temple, tandis que le verset 37 exprime la perte de la sainteté émanente du Temple de par sa souillure et par le sang innocent versé : dans le Judaïsme un lieu saint comme le Temple ou une synagogue ou une école juive est considéré comme ayant une « aura » de sainteté qui se diffuse aux alentours, et ce qui est sous entendu ici cнest cette perte de /kédousha/, de sainteté émanente, dнune part par les dégâts en impureté au Temple et dнautre part par le sang versé autour du Temple qui rend la ville impure tant pour les notions de pureté que pour les notions de sainteté, et cнest cette conséquence qui est expliquée au verset 38 et les versets 39 et 40 ne sont que le développement de 38 qui dit ce que sous-entendent 36&37, sous-entendu tacite quand on connaît le Judaïsme et surtout ses lois de pureté et les causes et conséquences de la ‘saintetéн/kédousha/ ; pour ce qui est de la perte de la pureté en dehors du Temple, cнest dнune part lнimpureté de la mort et dнautre part lнimpureté du sang qui se conjuguent dans les méfaits séleucides à lнorigine de lнabandon conséquentiel de Jérusalem, lequel est crédible et se crédibilise par la suite du récit qui relate lнinstallation dans les montagnes. Desfois nous nous demandons si le duel exprimé de nos jours dans le mot Jérusalem en hébreu moderne nнexprime pas la dualité de deux villes en une, lнune étrangère et lнautre judéenne, lнétrangère étant lagide puis séleucide puis romaine. 41-661 UR explique dans une longue analyse que le décret dнAIVE est pour lui un document fictif, ce qui va dans le sens de bien des chercheurs à ce sujet, mais ce qui est encore plus intéressant, cнest quнil complète lнanalyse de IF quatorze ans avant sa republication avec une mise à jour dнune collection de ses articles au sujet des réalités hasmonéennes dans quelques livres du Tm, et pour ce passage qui nнest pas des moindres, UR renvoie à Esdras du Tm 1,2-12 & 7,11-26, de telle sorte quнen ayant des raisonnements et des approches différentes cнest UR, IF, AS & ET qui concluent dans la même direction pour certains aspects de lнépoque hasmonéenne, pour lesquels la documentation est citée au chapitre bibliographie qui est à la fin de ce mémoire. 41-51 Nous ne croyons pas vraiment nous non plus à lнexistence du décret de AIVE tandis que nous pensons quнeffectivement ĞĹūĵĭĦijĪ ĎĭŦľ čĪķĬĺĮĬ ĴķĨĮĩ ¹ ¼¼¼¼ ¼¼¼¾ ¾½¼Ä ¼¾½ ': '< 06&2 ¿¼¾½ÂÃÅ¿Ã $= 124F 125 :g† ™ C’ –'/r š iš !5L ™ 4„ ++ ’ )š ” /U' Ž ™ y ˜ š 4= ” +™  ’ –1¡=K ˜ ƒ1=’ š1 -'Q– 4– +[„ ’ +™ fK: š ’'¡=K/ ˜ gU x š fr ˜ ’ 9+„ š )'™ !¡= — K ˜ ]’ &U Ž – =˜y +š %” ™1C£’ 'LK ‰– C-' š !Y ƒ– 65 “ 2† š Œš +:L ’ /y ’$/–  :L90' — „ — ’#-– +š y fK: š '=L ’ '– 2’ –']™y V£™ /š‰ K š ) 6’ fš 7:˜ ¡L= š ’'%™ ’+U'' y ˜ 2– %” 52 il y a bien eu une interdiction de la circoncision, ce qui se conscrit dans un raisonnement interne au texte de ces dix versets qui reste un peu complexe. En 41-42 cнest la formation dнun seul peuple par un seul culte, ce qui pour lнépoque nнest pas synonyme de monoethnique tant dans la civilisation grecque que dans la civilisation romaine : ce sont des logiques polythéistes dont le culte est un pluriel pour ce qui est du fait religieux, il y a plusieurs faits religieux avec plusieurs dieux, le tout conçu dans une même religion, la religion de la Grèce antique et la religion romaine. La TOB explique à la note du verset 43 quнil sнagit « avant tout du culte de Zeus Olympien, dieu cosmique et dieu personnel du roi qui lui parut un excellent facteur dнunité. (…) Lнextension de ce culte est attestée par les monnaies des villes séleucides, mais lнédit lui-même nнest pas mentionné par les historiens ». Le problème cнest que 1M ne le dit pas et nous nнavons pas lнédit de AIVE, tandis que lнéloge du culte du roi séleucide sur les pièces de monnaies de lнépoque atteste bien de son fait religieux personnel, mais ne peut prouver que cela devint le fait religieux commun, pour ce faire nous aurions dû avoir plusieurs attestations dans des Fa de temples où était célébré le culte de Zeus Olympiens, ce que nous nнavons pas à ce jour. Mais ce nнest pas le but de cette démonstration qui se veut aussi logique que faire se peut tandis que nous pensons quнaccessoirement les difficultés rencontrées en Judée pour lнinstauration de ce culte auraient dû être rencontrées ailleurs dans le RS dans lнhypothèse formulée par plusieurs chercheurs selon laquelle les conséquences de la PAK auraient entre autre consisté en le pillage des temples du territoire séleucide, ce qui aurait rendu le cas échéant difficilement acceptable pour les autochtones lнimposition dнun nouveau culte commun, avec en plus la crainte dнêtre une nouvelle fois dépouillés des biens et avoir de ces nouveaux temples avec les joies dнune nouvelle fiscalité supposée qui aurait donc été proportionnelle aux besoins pécuniaires inhérents à la paix dнApamée et aux besoins budgétaires séleucides annuels qui incluent leurs efforts de guerre. La renonciation aux coutumes, qui sous-entendent le fait religieux traditionnel local, me semble peu probable comme fait avéré, nous aurions plus matière à penser que les pillages des temples, si on pouvait les prouver, auraient laissé une amertume polymorphe qui aurait donné la nostalgie du culte local temporairement impossible et le refus du nouveau culte par refus de modifier son identité en renonçant à cette partie de lнidentité que constitue le fait religieux initial. En résumé, il y a un fond qui est crédible mais la forme ne peut être attestée et le récit tout au long de 1M nнest pas toujours en faveur de sa propre crédibilité alors que nous avons aussi le cas contraire où cнest la logique interne au texte qui vient crédibiliser certains faits. 43-47 Le verset 43 est déjà bien moins sujet à controverse, les Juifs pro-hellénistes sont attestés en histoire ancienne, et du gymnase aux idoles et à la profanation du Shabbat en passant pa par lнéphébium pas phé h um iil nнy a quнun seul seu ul pa as à faire,, et lнidolâtrie est st décrite par le récit massorétique depuis les premières heures du royaume verset ro oyaume dнIsraël. d dнIsra Israël aël.. Notons No ons au au passage pass assage que ce ve rsett ne ccite ite pas la décirconcision par épispasme bl t afin aaffi dнéviter dнé i une répétition. é é i i . En E 44 llнorganisation évoquée en 15, probablement н nisa i administrative adm séleucide nнest pas assez explicitement décrite p pour ce qui messagers, une seu seul qui eestt du système ystème ème de de m sagers, on n ne n sait ait si ccнest est un est ul messager m mes ag dнAntioche qui est mess relayé par dнautres depuis epuis is Jérusalem Jéru Jéru usalem ou si s cнest cнes esst un un messager m mess ger par bourg bourg de de Judée Ju udé dée qui qu ui fait f it le trajet trajet depuis dep Antioche, mais la dep tournure du verset au pluriel nous laisse supposer que le sous-entendu est de deux groupes de messagers, un pour ourr laa Judée. Judée Cнest Cнest le verset verset 4455 qu vers Jérusalem et lнautre pou pour qui est aussi peu viable en lнétat actuel de la recherche que 41&42, parce quнil y est sous-entendu don dнubiquité dans le culte. Pour mémoire, le Judaïsme de s entendu du u de prime rime ime abord bord un bo un certain cer lнépoque consiste pour ur ce ce qui qui est est du fait fa t religieux rel gieux qui liee le Juif reli J de Judée au Temple dнy aller trois fois par an uniquement, ce alors que les holocaustes, tous les jours. Donc si une telle interdiction avait été oca caustes, sacrifices sacrifices es et libations libatio tio s y ont ont lieu l transmise aux Judéens de Judée qui ne sont pas à Jérusalem cela nнaurait sous-entendu que le culte religieux, non pas celui quнils exécutent à Jérusalem vu quнils ne sont pas Cohen, mais celui auquel ils assistent depuis lнemplacement dans lequel ils sont autorisés à stationner à lнintérieur du Temple. Cнest donc un message peu efficace pour ce qui est des modifications du lien religieux entre les Juifs de Judée en dehors de Jérusalem et le Temple, ce alors quнen Judée il nнy a pas dнautre temple voué à la religion de Moïse qui est celle de la communauté de Jacob. « Profaner sabbats et fêtes » est déjà un peu plus viable comme constituant du message du messager mais le rédacteur de 1M semble ne pas savoir que trois fêtes sont toujours fêtées à Jérusalem, du moins cнest ce que la loi religieuse prévoit. 46 FMA traduit « souiller le temple et les saints », lнerreur de version est avérée mais le sens est conservé, il nнy a pas de saints dans le Judaïsme du second temple. La TOB fait mieux en disant « souiller le sanctuaire et les choses saintes ». On imagine mal des Juifs qui ne sont pas pro-hellénistes agir ainsi mais le récit semble se contredire parce que nous ne voyons pas vraiment ce qui reste de choses saintes dans le Temple de Jérusalem après la saisie-confiscation attribuée à AIVE du verset 21 au 24. Et cнest cette somme de faits logiques entre eux et cette autre somme de faits illogiques entre eux qui est une des bases de notre commentaire, nous pensons que ce nнest pas une mauvaise méthode quand bien même nous pouvons malgré nous nous retrouver avec une impression de ton un peu vindicatif, en fait il nous est question de faire avancer un tant soi peu la recherche quinze ans après UR et DS dнune part par ces systèmes logiques et illogiques intrinsèques au texte et en analogie avec les résultats actuels en histoire et archéologie tout en y ajoutant la perspective du corpus doctrinal du Judaïsme du Second Temple qui vient à notre avis éclairer pertinemment le texte de 1M. Il ne peut y avoir de choses saintes à souiller après la saisie dнAntiochus hormis les pierres des autels pour être précis. Cнest ce qui vient sнajouter aux arguments en faveur et en défaveur des faits relatés. 47 Lнimpression donnée par ce verset est que le rédacteur de 1M connaît lнexistence du tmG et peut-être avait-il eu vent de celui dнEléphantine, et si lнédit avait effectivement existé, alors AIVE en avait aussi logiquement connaissance. Le Judaïsme à cette époque connaît les temples et les autels mais nous doutons quнil connaisse les chapelles, ce qui devait être nouveau pour les Judéens à lнéventuelle audition avérée de cet édit. Par contre ce qui est bizarre, pour ne pas dire très bizarre, cнest que le porc est cité à part des animaux impurs, alors que le JST ne fait pas de différences entre les animaux impurs, ce qui nнest pas pur est à égalité dans lнimpureté. La tradition orale de notre enfance chez les Juifs orthodoxes mettait le porc au paroxysme de lнimpureté dans le récit de Hannoukah mais nous nнavons aucune raison de croire quнin situ il y ait une différence qualitative en impureté parmi les ĞĹūĵĭĦijĪ ĎĭŦľ čĪķĬĺĮĬ ĴķĨĮĩ ¹ ¼¼¼¼ ¼¼¼¾ ¾½¼Ä ¼¾½  : '< 06&2 ¿¼¾½ÂÃÅ¿Ã $= 53 animaux impurs. Et à fortiori, encore une fois, le rédacteur semble ne pas savoir que le culte exécuté au TdJ est le fait des Cohen et non pas le fait des simples juifs, aussi se pose effectivement la question du contenu de cet éventuel édit parce quнil ne reflète pas vraiment la réalité du JST. 48 Lнinterdiction de circoncision aurait été plus précise en évoquant les nouveau-nés, mais peut-être quнà lнépoque déjà la jaunisse en particulier et les autres pathologies en général étaient un motif de report de la circoncision qui est prévue par Gn. 17 au huitième jour après la naissance, le jour étant toujours compté à lнapparition de trois étoiles de taille moyenne dans le ciel, ce qui en Judée est toujours entre 17 et 19 heures (heure locale). Cнest le corps du mémoire lui-même qui explique notre vision du déroulement des choses, et le plus simple à dire ici cнest quнà partir du moment où lнépispasme est attesté alors lнhistoire de la chirurgie en circoncision à lнépoque hellénistique devient crédible. Les profanations et autres impuretés évoquées sont celles du non-respect du Shabbat et des fêtes juives de lнépoque (il nнy avait pas encore Hannoukah, mais la liste des solennités de lнépoque semble être bien reflétée tant pour celles du culte israélite que pour les fêtes nationales judéennes ou plutôt hasmonéennes par la Méguila Taнanit), la fin de la séparation de la viande et du lait, la fin du bain rituel et lнabsence de pause dans la vie du couple, ainsi que la consommation dнanimaux interdits et de sang, cнest la somme de tout ce qui était possible en transgression à lнépoque et cнest ce qui serait demandé par cet édit introuvable cité dans ce verset. Cнest le verset suivant 49 qui vient confirmer le développement fait en 48, la Loi sнen retrouve donc oubliée et les pratiques sont altérées pour la TOB alors que nous préférons la traduction de FMA « délaissant toutes les observances » qui rejoint celle de theotex « (…) de sorte qu'ils oubliassent la loi et qu'ils renversassent toutes les ordonnances de Dieu ; » 50 Cette phrase est un grand classique de la littérature historique quнon retrouve dans de nombreuses civilisations et nнa rien de spécifique à lнES. 51 Ici cнest une redondance de 41 et aussi de 44, cнest très spécifique de la littérature hébraïque et cela vient se rajouter si besoin était à la somme des preuves que le texte originel était en hébreu pré-mishnique car écrit vers lнan 100 CG. La création des inspecteurs si elle était avérée serait un coût financier supplémentaire pour le régime séleucide déjà dans une situation délicate mais cнest surtout jusquнici pour ce qui est de lнanalyse une somme de faits énoncés qui ne colle pas vraiment avec le JSTS. Lнarchéologie nнa à ce jour mis en évidence que des sacrifices dнanimaux à lнimmédiate proximité de synagogues ou Beth-Midrach attestés, qui sont probablement les /kaparot/ de Kippour 126, il nнa pas été retrouvé de vestiges en faveur dнun autre culte à ce jour. 52 Les « gens du peuple » sont à la limite du pléonasme mais ici cela semble désigner les Juifs de Judée qui ne sont pas Cohen ni Lévi ni Rabbis. La TOB renvoie à Dn. 11,30 & 12,4-10 en ort rt d ap ù UR y vo confirmant le nombree important dнapostats là où voit oit ce que Myriam Bat Belga el symbolise à elle toute seule. Lнhébreu elg haaнam/, lit téraalem ment le peeupl et aucunement aucu uneemeent /нam /нam a haaretz/ qui aurait pu être utilisé, le originel est ici /anshéé haнam/, littéralement les genss du peuple û nt p / é haнam/ h н / dans dans une logique l i ue o ù ce sont son les Juifs des villes qui sont réputés choix du terme sнest sûrement portéé sur /anshé où visés par cet édit comme le ditt 444. 4. 553 Les lieux ieux dee re ieux refuge fug sont sont dee même mêm natu nature re que ceux ce des ceu des do documents ocume du Wadi Daliyeh, ussa sag ge troglodyte, tro tro oglo yte, qui oglo ui son ssontt très très fréquentes f équeentees en en Judée, J dée, d et unee pa tie d нen en ntre elles ell étaient à lнépoque à savoir des grottes à usage partie dнentre utilisées pour le rite funéraire juif, qui consistait à laisser dans une grotte fermée le corps durant un an au terme duquel il était mis en 127ossuaire, sua uaairre, e, lequel leq que était était souvent s uvventt déposé dépos dans une grotte funéraire familiale. A lнépoque cнest la norme n terre tterr rrre immédiate immédia édi e arrive arrive arri ve dans dan le culte beaucoup plus tard. 54 Enfin nous avons une date commune et la misee en uinze Ki K Kis ew 145 145 CS es supplémentaire, le quinze Kislew eest stt een n fa a pou fait pour la TOB décembre 167 mais cнest précisément le soir du mardi 2 G décembre 167 C jusquнau quнau ssoir oir d du um mercredi ercredi 3 d décembre éc mbre 1167 67 CG, ce qui donne dans le CH le quatrième jour de la semaine H R qui est le quinze Kislew l de lнan 3595 C . Pour P U et ses confrères, en 2004, la date est problématique, il pense à une erreur de copie, mais il préfère la maintenir en lнétat sur la base du principe lectio difficilor. Au moment où nous écrivons nous nнavons pas lнétat des arguments qui plaide en faveur dнune erreur de copie du scribe, ce qui peut arriver après dépôt de ce chapitre. La suite de son analyse est bien plus compliquée, il traduit ¹»ñÂͺĸëɾÄļʼÑËpar ¦§ž²§®ž°¢² et renvoie à Dn. 8,13 ; 9,27 ; 11,31 & 8,25 tout en expliquant 129 128quнil ne peut être question dнautre chose quнun os qui a souillé lнautel et par conséquent choqua les Juifs fidèles au Pentateuque. La TOB renvoie aussi à Dn. (9,27 ; 11,31 & 12,11) tout en expliquant que « lнabomination de la dévastation » en question est celle dont parle Dn. Et cнest précisément lнautel de Zeus Olympien assimilé au Baal-Shamêm phénicien qui fût installé sur le grand autel des holocaustes. Le récit pour le Temple de Jérusalem nous semble crédible, le culte juif rabbanite actuel semble y trouver sa source pour la fête de Hannoukah, par contre nous nнavons aucune matière pour infirmer ou confirmer le culte étranger dans les villes de Judée là où les mouvements de populations conséquentiels à ce refus de polythéïsme semblent crédibles. En résumé comme nous le disions il y a une trame de fond qui semble très crédible mais cнest la forme qui est dans le récit qui est un peu incohérente, cнest presque à dire que nous avons lнimpression dнavoir à faire à un récit romancé. 55 Cнest la suite en idolâtrie dont la description commence en 54 qui porte ici sur un aspect bien plus singulier. Lнencens est à notre avis à comprendre comme similaire au sacrifice végétal au Temple de Jérusalem, lequel avait probablement aussi lieu au tmG et à Elephantine à lнépoque où il était en service. La différence cнest que cette fois ci il est décrit comme fait en dehors du Temple de Jérusalem dнune part, mais plus précisément « aux portes des maisons et sur les places », donc à proximité des Mézouzoth130 129 et en dehors des temples, autels et chapelles qui auraient dû à la lecture du texte être préalablement construits dans cette logique où le culte imposé devait y être exécuté par les simples Juifs qui devaient être nécessairement ĞĹūĵĭĦijĪ ĎĭŦľ čĪķĬĺĮĬ ĴķĨĮĩ ¹ ¼¼¼¼ ¼¼¼¾ ¾½¼Ä ¼¾½ ': < 06&2 ¿¼¾ ¼¾½ ¾½Â ½Âà ÂÃÅ¿Ã $ $ $= = 127F 128F ӣԉԏԌԍӾнӡӳբшцчю-2019. Cf. « CIIP » en bibliographie 128 « !:#=+-'1/1!-'#!'!+#3'='<:::#3#%$/!+#+'%+-:<-830):#/ » (UR, 2004 ½½ÄĦ 129 Nous souhaitons ԐӿԌԍӿԌԷԆнՀԎԏӾӿԋԏӿӾӿԈԉԍԄԉԏԌԍӿԈӽԉԌӿԆӿԍӪԏԃԀԍԉԌԎԂԉӾԉԒӿԍӬԉԏӼӻԐԃԎӽԂӻԆԆԏԇӿԈԎԆӻӨӻԈԈԉԏԅԃӻԂԍԏԌԏԈӿӽԂӻԃԍӿԷ ԆнԉԊԊԉԍՀӾӿԆӻԇՀԔԉԏԔӻӾӿӽԂӻԋԏӿԊԃԿӽӿӾӿԆӻԇӻԃԍԉԈբԎӻԈӾԃԍԋԏӿnous ne pouvonԍӻԏӽԏԈӿԇӿԈԎӻԍԍӿԌԎӿԌӾнԏԈԆԃӿԈӿԈԎԌӿԆӿԌՀӽԃԎӿԎԆӿ fait religieux actuel, ayant trop peu de connaissances sur la branche orthodoxe Loubavitch. 126 127 54 ceux des villes : il nнest pas question en 1M1 de culte de Zeus Olympien à domicile, il y est question de la non pratique du culte juif, et les places des villes ne sont pas prévues par le récit de lнédit comme lieu de culte de Zeus Olympien vu que cнest précisément en son nom que des constructions sont sollicitées. Cнest donc un récit de fait religieux qui ne correspond pas pour ce qui est du lieu de culte à ce que dit lнédit quelques lignes auparavant. Par contre lнencens est attesté dans la religion grecque et dans la religion assyrienne. Mais notre impression est que si cette offrande olfactive avait eu lieu, lнencens et les végétaux brûlés auraient été ceux du culte fait au Temple de Jérusalem, pour ce qui est de sa composition qualitative et quantitative, et non pas la version grecque, parce que le récit laisse peu de place à un temps suffisant pour sнadapter au fait religieux grec là où ledit récit parle dнinspecteurs sans parler de formateurs, lнexercice du culte grec y est donc perçu comme dнune facilité naturelle et innée pour tous, alors que cнest du culte privé du roi séleucide dont il est question, ce qui rend la forme du récit un peu plus trouble. 56 Lнenjeu est de taille dans ce verset pour ce qui est de la paléographie et des informations quнon peut en obtenir pour ce qui est de lнétat de lнéconomie de la Judée en 168 CG début 167 CG. La bonne nouvelle est que FMA utilise le verbe « lacérer » qui est spécifique du cuir dans sa version, tandis que la TOB et UR utilisent le verbe « déchirer ». Quant à TX il donne aussi « déchirer ». Reste à essayer de comprendre pourquoi FMA utilise le verbe « lacérer » ? Est-ce la version grecque qui le dit ou est-ce la synthèse de ses gloses et mss utilisés pour sa version ? Ses notes ne donnent pas de précisions à ce sujet. Pour ce qui est de lнanalyse du verbe, Á¸Ì¸ÊÏĕʸÅ̼ËբÁ¸Ì¸est noté par Chantraine dans son dictionnaire de grec ancien comme adverbe et préposition avec comme sens premier parmi de nombreux autres de « vers le bas », et le verbe ÊÏĕʸÅ̼Ënнest pas attesté par son dictionnaire pas plus que Á¸Ì¸ÊÏĕʸÅ̼Ë, mais les dictionnaires de traitement automatisé des langues comme celui de Google donne, pour ce qui est du grec moderne « des fentes », on aurait donc des fentes vers le bas, ce qui nнest pas le monopole du cuir, si bien que nous ne pouvons asserter sur la nature du matériau des rouleaux des Pentateuques de lнépoque nнayant pas de certitude sur lнusage avéré du verbe « lacérer » que nous comprenons en français comme spécifique du cuir, mais toujours-est-il que si ces rouleaux étaient en cuir, cela serait dнune part cohérent avec la Loi juive, et dнautre part cela aurait sous entendu une bonne santé financière à Jérusalem comme la Paléographie médiévale a pu le constater ci-et-là en Europe au Moyen-âge 130. Cela étant, de mémoire, cнest après la destruction du Second Temple ou plutôt bien après que la loi religieuse relative aux Scribes a été modifiée pour ce qui est de lнimpératif du cuir comme support de lнécrit 131, si bien que nous savons donc quнil sнagit effectivement de rouleaux en cuir, et il semble donc probable que FMA connaissait un u tant ant nt soi peu p le Judaïsme, e,, ne se era erai q serait-ce que de par son vé vécu à Jérusalem. En résumé, lнusage par er » es st ju ustiffié parce p parce quнil parc qu quнil sнagit agit de rrouleaux ouleaux de Pen oul ntaate teu u es en ccuir, et pour ce qui est de lнéconomie, uque FMA du verbe « lacérer est justifié Pentateuques f dнu trame de d fond, d celle ll que ue nous n von dans d s 1M1 1M pour le moment, qui consiste en nous pouvons aller en faveur dнune percevons blème èm de trésorerie ésorerie chez chez les es Séleucides, Séleucid ucides très rès pro pr obablement obab nt con nséque nséq ce quнil y ait bien eu des p problèmes probablement conséquentiels à la PAK, et les eraient donc erai don nc d tés dee la pér riod de q écède ce d ame fi scal, so soit it un nm inim mu de deux ans, mais rouleaux de la Loi seraient datés période quii pr précède drame fiscal, minimum nous aurions tendance à supposer que lнâge dнor budgétaire de la Judée aurait été parallèle aux guerres de Syrie auxquelles p rt pa rt,, mais mais 1M1,11 M1,11 nous nous laisse laisse comprendre c la Judée nнa pas priss part, une séparation des nations, donc nous comprenons âge dнor dнorr budgétaire bud taire air à llнépoque нépo oque que de probable non pas un âge des guerres de Syrie mais une situation viable à tous les étages, qui partir de laa PAK et de ses conséquences. par ne lнest plus vraimentt à partir nsé sé Les rouleaux seraient donc antérieurs à la PAK, et donc ngt-et et-un ans, anss, ccee qu ui eest stt eencore core ore jeune eun pour un mss de Judée au vu du climat. De par les mss de eun au minimum âgés dee vi vingt-et-un qui Qn il nous semble peu probable quнils éétaient i conservés dans des cylindres de bois creux, nous penchons plus pour une conservation dans des poteries comme à Qn ou une mise en couture avec une mise sur baguettes comme dans les mss ashkénazes des rouleaux du Pentateuque. 57 Nous avons des doutes comme UR sur la faisabilité de la possession par un particulier dнun Pentateuque, parce que cela est toujours très onéreux, donc nous pensons que cela ne devait pas être très commun alors que de notre point de vue quand cнest le cas cнest toujours le fait dнune famille très à cheval sur la loi juive. UR va dans ce sens pour ce qui est de la distribution du Pentateuque et pense que ce nнétait pas nécessairement un Pentateuque complet qui était dans quelques maisonnées, ce serait plutôt le mss du Dt. qui serait à usage domestique sans les quatre autres livres, ce qui devient plus crédible pour lнaspect pécuniaire et laisse donc penser à une diffusion à domicile du Dt. qui pouvait être aussi le fait des classes moyennes de lнépoque et numériquement supérieur pour ce qui est du nombre de copies diffusées. 58 Cнest UR et TX qui sont les plus fidèles à la version grecque, et ce quнils nнont pas omis nнest pas du tout un détail insignifiant. En substance, UR donne ¦¢±«šž²œž š²œž ¢œ§¦¢™¯§©¥¥™±²¢¥ ¦ ž¤š£¤ž²«¢ž, ce qui se traduit littéralement par « Cнest ainsi quнils firent à Israël, aux présents, chaque mois, dans les villes. » Et TX donne de même « C'est ainsi qu'ils traitaient, dans leur puissance, le peuple d'Israël, qui se trouvait chaque mois dans les villes. », et cнest le mot « présents » qui nнest pas dans la TOB ni chez FMA, lequel a une importance qui nнest pas des moindres, parce que ce verbe vient se corréler au verset 38 qui commence par « Les habitants de Jérusalem s'enfuirent à cause d'eux, », et cнest cette corrélation qui vient confirmer lнexode urbain conséquentiel aux douceurs séleucides, et vient donc confirmer le fond des exactions antisémites là où il y a la preuve de lнabsence dнédit de AIVE pour ce qui est de la forme. Cela étant, le rythme de « chaque mois » semble être en grec littéralement « mois et mois » pour « ľÅĖ Á¸Ė ľÅĖ », cнest donc lнidée avérée dнun rythme mensuel, et donc non pas quotidien, qui vient décrire le processus exécutoire séleucide : ils étaient donc présentés au bourreau une fois par mois, ce qui sous-entend quнil est très probable quнils ĞĹūĵĭĦijĪ ĎĭŦľ čĪķĬĺĮĬ ĴķĨĮĩ ¹ ¼¼¼¼ ¼¼¼¾ ¾½¼Ä ¼¾½ ': '< 06&2 ¿¼¾½ÂÃÅ¿Ã $= 130 Cours de Pr Judith Olszowy-Schlanger, Ephe, 2013-2015եӣнӿԍԎӼԃӿԈӻԊԌԿԍԆӻӾӿԍԎԌԏӽԎԃԉԈӾԏӳӿӽԉԈӾӴӿԇԊԆӿԋԏнӿԍԎӻԏԎԉԌԃԍՀԆнԏԍӻԁӿ de supports végétaux à défaut de pouvoir dispԉԍӿԌӾӿӽԏԃԌӾӻԈԍԏԈӽԉԈԎӿԒԎӿՀӽԉԈԉԇԃԋԏӿӿԎԊԉԆԃԎԃԋԏӿӾԃԀԀԃӽԃԆӿԊԉԏԌԆӿԍӪԏԃԀԍӾнӥԏԌԉԊӿե 131 Cours de Pr Judith Olszowy-Schlanger, Ephe, 2013-2015եӮԉԏԍԊԉԏԌԌԃԉԈԍӻԐԉԃԌԏԈӿԇӿԃԆԆӿԏԌӿԐԃԍԃӼԃԆԃԎՀӾӿԆнԂԃԍԎԉԃԌӿӾӿԆнՀӽԉԈԉԇԃӿӾӿ la Judée si nous retrouvions les ӽԉԈԎԌӻԎԍӽԉԇԇӿԌӽԃӻԏԒӾӿԆнՀԊԉԋԏӿӿԎԆӻӽԉԇԊԎӻӼԃԆԃԎՀԀԃԍӽӻԆӿԇӻԃԍԷԈԉԎԌӿӽԉԈԈӻԃԍԍӻԈӽӿԷԊӻԌԎԆӿԍԇԍԍ ӾԏӷӻӾԃӤӻԆԃԓӿԂԈԉԏԍԈнӻԐԉԈԍԊӻԍӾнӻԏԎԌӿԍӾԉӽԏԇӿԈԎԍե 55 étaient incacérés dans lнAkra séleucide pour une durée maximum dнun mois, cela très probablement dans une volonté de provoquer lнeffroi par lнexposition prolongée des corps en place publique. 59 Lнautel dressé sur lнautel ancien se corrèle dans les chapitres suivants quand il est question de faire un nouvel autel pour purifier le Temple alors que les pierres souillées sont mises de côté dans lнattente quнun prophète dise ce quнil faut en faire. Cнest donc une assertion qui consiste en ce que le culte juif ait cessé durant la période où était célébré au Temple Zeus Olympien, ce qui est logique car il nнest pas pour ce qui est de la doctrine et de la pratique compatible avec une logique polythéiste. Cela étant, UR utilise le mot 132§š pour lнautel qui est « sur lнautel » en français, parce quнil nнest pas certain que ce soit un autel et il utilise donc le mot qui signifie au sens premier « estrade » ou de nos jours « scène », cнest lнidée dнun sol surélevé par rapport à celui qui est foulé. Notre impression est quнil faut regarder le fait religieux grec, car il serait parfaitement logique que cette surface surélevée soit conforme aux prescriptions de la religion grecque. Pour ce qui est de la date qui donne « le vingt-cinq du mois », cнest en toute logique entre contexte et pragmatique du mois de Kislew dont il est question. Et pour être plus précis il est question du vendredi soir du 12 décembre 167 CG qui est le début du vingt-cinquième jour du mois de Kislew 3595 CH, ce qui donne bien après maintes vérifications en CG le soir du vendredi 12 décembre 167 CG jusquнau soir du samedi 13 décembre 167 CG, et FMA précise que cнest in CS lнannée 145. Toutefois nous précisons que dans la notion du temps hébreu le Shabbat en question commence les vendredis soir de la veille. Il y a donc dû y avoir des sacrifices à Zeus Olympien les jours du Shabbat alors que le feu est interdit ce jour dans la religion juive et à fortiori au Temple, si bien que cela ne faisait quнaggraver le ressentiment des Judéens. FMA donne en page 41 le mois de décembre 164 CG pour la purification du Temple, et notre calculateur Casio nous donne le soir du samedi 9 décembre 164 CG jusquнau soir du dimanche 10 décembre 164 CG. Il faut donc comprendre une période de presque trois ans CG durant lesquels il y a évidemment eu dнautres vingt-cinquièmes jours de mois qui sont tombés le jour du Shabbat, et nous supposons que ces coïncidences ont dû motiver le ralliement de la population aux Maccabées qui avaient pris « le maquis. » 60 Les versions diffèrent quant à lнagent circonciseur, la TOB utilise le verbe circoncire avec les femmes comme sujet, FMA donne « faire circoncir » et UR dit ¨¢©š³™ž¥§±²™¦¢²© , littéralement « les femmes qui ont circoncis leurs fils », mais il y a lнhypothèse où le Mohel circonciseur serait un pléonasme dans une telle phrase, ce à quoi nous confrontons la circoncision du fils de Moïse par Séphora sa femme, ce alors que notre lecture intuitive nous laisse comprendre que dans la version en hébreu cнest bien les femmes qui ont circoncis leurs fils, mais cнest le verset suivant qui contredit notre lecture, là où il est u avaient a aien e opéré p péré s on »»,, alo le question de « ceux qui la circoncision alors que p pour donner lнensemble du paysage, le grec donne Á¸Ė ̼ÌľÁÍ ÁÍĕĕ¸Ëբ et een n grec g le sujet ujet est est bien b n « les bie ess femmes femm mes » et le le verbe verb est bien « circoncire » et non pas ÌÛ˺͟ėÁ¸ËÌÛËȼÉÀ̼ÌľÁÍĕ¸Ëբet OB, UR et TX d н pourquoi rqu i entre la l TO « faire circoncire ». Cнest on la micro-glose ont i l lose dont a éétéé fai faite nous pensons quнil est ici question g ts cir onci nci urs, les les mères m mèr des nouveau-nés, nouvveau vea nés alors a ors que al qu le verset v set qui ver vers qu suit développe par dнun premier groupe dнagents circonciseurs, des rtan rtan nt une u information in nformatio no uveelle, le deuxième d uxième groupe grrou dнagents dнagen nts circ nciseurrs, een nh redondance en apportant nouvelle, circonciseurs, hébreu les /Mohalim/ a lui aussi été passé par les armes. Il y a donc deux groupes de circonciseurs fin 167 CG début 166 CG, les mères et les po urr un u éédit dit qui uii sem blee po our llee m /Mohalim/. Le tout pou pour semble pour moment ne jamais avoir été, là où il semble quнil y ait juste eu des ordres antisémites qui pas édit. ui nнont нon nt p as fait f lнobjet lнobj ob t dнun dнun n éd itt 661 Ce qui est intéressant, cнest lнexpression de la haine qui ne veut rsiibilité de rs d la circ co oncision pa par épispasme, sp pas connaître la réversibilité circoncision les nouveau-nés sont tués alors que lнépispasme est possible uнil nн n нy a au cune in iinformation nforrma matio io à ce stad sstade tad de 1M qui évoque la réforme ultérieure de la circoncision sur eux aussi parce qu quнil nнy aucune l loin l i dans ce mémoire. Il y a donc en 1M un « rétropédalage » par épispasme en faveur de laquelle nous argumentons plus pour les nouveau-nés qui est possible et cela nнouvre aucunement la porte à la moindre grâce ou amnistie royale, cнest le fait dнavoir exécuté une prescription du Judaïsme qui vaut lнapplication de la peine capitale avec une volonté de cruauté avérée. Pour ce qui est de ceux qui avaient opéré la circoncision, cнest ce détour autour de lнhébreu /Mohalim/ qui est intéressant alors que nous ne pouvons le résoudre : pourquoi nнy-a-t-il pas de mot en grec ancien vers lнan 100 CG pour traduire en un seul mot, voire deux, le terme /Mohalim/ ? 62-63 133 La TOB donne la meilleure traduction pour 62 en disant « Toutefois, plusieurs en Israël restèrent fermes et eurent la force de ne pas manger de choses impures ». Les choses impures sont les poissons interdits et les viandes dнanimaux interdits ainsi que les viandes dнanimaux autorisés dont lнabattage rituel aura été un échec dans ce mouvement précis de va-et-vien sur le cou de lнanimal. Cette situation est logique vu que Jérusalem est à huit-cent mètres dнaltitude, avec des reliefs qui ne sont pas naturellement voués à lнagriculture, dans un contexte où le verset 32 nous informe de la saisie-confiscation du bétail par les Séleucides. Cнest donc une situation où les aliments non autorisés sont disponibles alors que ceux autorisés sont manquants, ou abattus de manière non-conforme à la Loi juive ou encore impropres à la consommation après vérification des poumons, situation qui concerne les locaux qui nнont pas fui Jérusalem, lesquels se retrouvent devant le dilemme qui consiste à manger et transgresser le Judaïsme ou ne pas manger et ne pas survivre plus de trente jours, de sorte que les décès de Judéens par famine ont dû avoir lieu entre décembre 167 CG et janvier 166 CG. Tout cela implique lнabsence dнéchanges commerciaux alimentaires avec le reste de la Judée, la Judée rurale ainsi que lнabsence de commerce avec les villes maritimes à une période où la Judée nнa pas encore son propre accès à la mer. Au niveau sociologique il y a donc les pro-hellénistes et les anti-hellénistes, dans lequel nous posons deux sous-groupes, ceux qui ont pris le maquis et ceux qui sнen sont abstenus alors que le texte ne donne pas plus de détails sur les groupes sociologiques judéens de Jérusalem ; quнest-ce-qui peut motiver un Judéen anti-helléniste à se laisser mourir de faim dans une Jérusalem envahie par les Séleucides alors quнil ĞĹūĵĭĦijĪ ĎĭŦľ čĪķĬĺĮĬ ĴķĨĮĩ ¹ ¼¼¼¼ ¼¼¼¾ ¾½¼Ä ¼¾½  : < 06&2 ¿¼¾½ÂÃÅ¿Ã $= 132F 132 Ici lire sans voyelles /bamAh/ UR aborde dans son commentaire sur 1M1 « la mort pour la sanctification du Nom » que nous nнavons pas vu avant 1M2 mais que nous avons ԐԏӻԐӻԈԎӾнӻԐԉԃԌԆԏӿԈӾԃӻԁԉԈӻԆӿԆӻԀԃԈӾԏӽԉԇԇӿԈԎӻԃԌӿӾӿӵӲԍԏԌчӭчբӽԀեnotre commentaire sur 1M2 pour une explication pertinente, là où UR parle de /Qiddoush HaShem/ nous parlons plus précisément de /Motë ‘al Qiddoush HaShem/. 133 56 pourrait sauver sa vie en prenant le maquis ? Une hypothèse consiste en lнimpossibilité de se déplacer, pour les enfants et surtout les personnes âgées, lнautre suppose de par le récit une absence de commerce alimentaire avec la plaine et la mer, une ville refermée sur elle-même après lнexode urbain des Judéens, mais ce nнest quнune hypothèse. 64 La colère judéenne nнest pas localisée uniquement à Jérusalem, cнest aussi et surtout le ressentiment des Judéens qui ont pris le maquis, et celui des ruraux qui semblent ne pas être pour le moment importunés par les Séleucides alors quнil nнest pas impossible quнils sachent néanmoins ce qui se passe à Jérusalem depuis quelques mois, en ayant probablement croisé des exilés urbains qui passaient par leurs champs et leurs villages, ne serait-ce que pour sнy nourrir. (COMMENTAIRE SUR 1M2) 1M2,1 Au premier verset cнest un structuralisme biblique qui est utilisé pour construire le verset, et lнemphase porte ici sur le verbe se lever /laqoum/ (se lever) qui est ici à lнaccompli troisième personne masculin singulier -9 /qam/ et renvoie à ces treize versets où il est usité dans le Tm pour le simple fait de se lever ou celui de se lever contre lнennemi comme cнest le cas ici. La version hébreu convenable est facile de par la structure et donne : xr{rlnwjxtƒ‚murltvru‚nrwlrinmjrrnmrryjiixmtxn{w‚xjxypnmrxjnmrƒƒwv€vrwrvƒnij"  Cette structure biblique exprime la volonté dнanalogie avec le Tm mais aussi une vision du fait maccabée comme analogue avec la période de complète souveraineté sur la Judée. Ce qui est étonnant cнest que la filiation à la prêtrise nнest pas claire et se limite à dire quнelle est entre les fils de Ioarib. Lнintérêt du choix de Modîn cнest quнelle est en contrebas de Jérusalem à mi-chemin entre la mer et la capitale avec un relief bien plus enclin à lнagriculture car plus plat et moins escarpé, mais cнest aussi que du fait des montagnes de Judée la pluie qui arrive avec les nuages depuis la mer tombe sur la plaine et non pas sur Jérusalem 134. 2-5 Les surnoms sont intéressants pour le fait de langue orale mais nous nнavons pas dнexplication pour « Thassi », tandis que Gaddi qui est ici un surnom est aussi usité comme prénom, le suffixe /s/ de « Apphous » aurait pu signaler comme tous les substantifs qui finissent en /s/ quнils sont des néologismes par contact de langues et usités dans lнusage verbal en grec ancien mais ce nнest le cas que dans la version de la TOB. En grec moderne odeern nee llee no om dнune d un une personne p per nne porte porte la l désinence d sinencee /s/ /ss/ comme co omme par omm pa exemple dans Démétrios ou nom ue laa femme feemme mariée marriéee porte porte lee nom m du u mari mar avec la désinence désineencee finale ffina du génitif /ou/, soit par exemple Stéphanos, tandis que monsieur Démétrios et madamee Démétriou, mais ce nнest que dans la version quнon trouve cette désinence D i française ç q ait pu êêtre tre la pre ve d de lнllнusage нusage du u grec grec comme c mmee langue com laangue vernaculaire vernac nacul ulaire en 167/166 167/1 7/ finale tandis que ça aura aurait preuve CG qui se conjuguerait avec lнusage vers lнan dнun particulièrement châtié effectif du Tm lн 100 CG d н hébreu héb héb i li lè hâ ié de d par un fin fi connaisseur i et de la liturgie laquelle donc exister vers elle llee sem ssemble em mblee d mbl ncc déjà ex xiste isteer ve ers lнan l 100 CG quand bien même cette désinence nнest pas en 1Mgr. er /Oren/ /Ore O en// 0:# pour our « Awarân Aw warân », », le vav prononcé /wa/ est connu mais ici cнest bien le prénom Oren UR a raison de donner g ie « petit sapin » ou « petit pin », ce qui est une allusion aux arbres de Jérusalem, en tant que surnom, lequel signifie surtout du côté de lнéglise St-Simon dont tant « Saint-Simon » que /guivat oranim/ (-'1:#=3), église se St S St-Simon don d on nt lee quartier qu uart se se nomme nom om la vallée des petits pins, ou des petits sapins. Pour le surnom Maccabée cнest une analyse et argumentation un peu plus i compliquées mais fondées : « ÇÍ»¸Ëĝ Á¸ÂÇŧļÅÇ˸ÁÁ¸¹¸ėÇË », notre analyse étymologique donne deux résultats possibles, le premier est lié à la racine h.k.h (.!)!) en hébreu pour « frapper », ce serait donc Judas le frappeur, mais ĞĹūĵĭĦijĪ ĎĭŦľ čĪķĬĺĮĬ ĴķĨĮĩ ¹ ¼¼¼¼ ¼¼¼¾ ¾½¼Ä ¼¾½ ': '< 06&2 ¿¼¾½ÂÃÅ¿Ã $= cela ne résout pas la présence du 9 dans le mot Maccabée, et la seconde renvoie à lнusage du verbe « talonner » dans la version francophone de 1M, ce qui serait la racine ‘.q.v. (.93) et on aurait donc dans la traduction en grec la perte du ‘ayin « dont le phonème nнexiste pas en grec ancien, ce qui pourrait peut-être expliquer, nous ne sommes pas encore hellénistes, pourquoi nous avons deux Áde suite dans le grec rendu par « Maccabée » là où il nнy a quнune seule consonne en hébreu qui par ailleurs nнa pas de daguesh, et en hébreu ce serait donc à lнorigine la forme ¢š°«§œž¢ avec perte du « là où lнhébreu contemporain garde un q ° et non un k ¤ , q étant la deuxième lettre de la racine pour talon et talonner, verbe utilisé dans la version de 1M en français ; les deux faits semblant se corréler alors que cнest une base de présomption, de plus que lнanalyse nнest pas nécessairement fausse, et de là nous arrivons à notre hypothèse que nous pensons crédible, soit la forme dépourvue de « par élision, ce qui nous donne ¢š°§œž¢, laquelle élision semble due à la version en grec ancien dнune part, et dнautre part il y a aussi lнhypothèse du contexte in situ de lнénonciation et de la prononciation des gutturales : nous ne serons pas étonné quнon publie dans les prochaines années en faveur dнun contact de langues qui aura eu naturellement tendance à « adoucir » la prononciation des gutturales, lesquelles nous présumons reprononcées à nouveau avec lнexpansion de la langue arabe à partir de la naissance de lнIslam, laquelle aura eu pour autre conséquence la perte de lнusage de lнaraméen par les populations autochtones. En résumé, cнest la racine ‘.q.v. privée de sa première lettre radicale par élision qui semble à lнorigine du mot « Maccabée » en hébreu. Plus loin dans ce commentaire sera analysée la construction du prénom « Iamlikos », ce qui permettra dнenvisager différentes pistes de contacts des langues et dнévolution de lнécrit de lнhébreu au grec. Cнest donc Juda le talonneur quнil faut comprendre pour Juda Maccabée, talonneur très probablement en référence à sa technique dнattaque, de combat et 134 Cours de géographie de Terre-sainte, lycée français de Jérusalem, 1990-91 57 surtout de pistage préalable, dнoù le terme talonner dans la version francophone, reste à retrouver le verbe en grec. 6 Nous préférons traduire Judée plutôt que Juda, cela nous semble plus convenable, mais cнest surtout la 135 Site archéologique supposé en 2015 être celui de lнAkra, photo : Asaf Peretz pour Israel Antiques Authorities. Les murs sont très similaires à ceux découverts dans les Fa à lнintérieur de la vieille ville de Jérusalem, y compris ceux qui sont sous le St-Sépulcre. Les portes dнentrée devaient avoir une charpente en bois et sur les poutres droites de celles-ci devaient être fixées les Mézouzot aux parchemins roulés là où cнétait complètement déplié voire écrit sur support rigide et non pliable à lнentrée des maisons juives samaritaines. preuve interne au texte que le récit de lнencens brûlé sur les place et à lнentrée des maisons dans les villes de Judée est cohérent, auquel il faut joindre la tradition juive qu consiste à allumer la Hannoukiah, le candélabre de Hannoukah, sur une chaise face à la mézouzah de chaque chambre, ce qui semble être une réponse à la suie qui avait noirci les mézouzot. 7 Le peuple semble plus important à Juda Maccabée que la ville de Jérusalem, cнest le même état dнesprit qui privilégie la vie à la ville qui est relaté dans le TB. 8 Lнhomme sans gloire est une métaphore pour dire un Temple sans service sacré. 9 Les « objets emmenés captifs » sous-entendent une confiscation jusquнà paiement dнune dette qui est probablement un arriéré dнimpôt, on peut donc supposer que les objets du Temple liés au service sacré nнont pas été transformés en monnaie, et seraient donc à Antioche ou dans lнAkra. Les exécutions devaient effectivement avoir lieu en place publique, là où entre autres était brûlé de lнencens en lнhonneur de Zeus Olympien. A se demander si les deux nнavaient pas desfois lieu en même temps. Mais FMA parle dнenfants égorgés là où la TOB parle de petits enfants massacrés. UR donne /нolalim/ pour enfants (-'++#3) et TX dit « Les vases de sa gloire ont été emportés en captivité ; ses vieillards ont été égorgés sont tombés souss le glaive des ennemis. », si bien que TX rgé dans dan an less rues, ru et ses jeunes eune unes hommes ho omm m R нobj o etss, là où U par rle dee /kléé kvouda/ rle kvoud da/ (!#) da/ !#) '+)) '++)) +)) ce qui quii eest st littéralement st l parle de vases et non d dнobjets, parle des ustensiles du service sacré et non pas des vases. Il reste donc à analyser mot-à-mot la ver version grecque afin dнen savoir un peu plus. m mo gre grec ĞĹūĵĭĦijĪ ĎĭŦľ čĪķĬĺĮĬ Ĵķ̧ĨĮĩ ¹ ¼¼¼¼ ¼¼¼¾ ¾½¼Ä ¼¾½ ': '< 06̧&2 ¿¼¾½ÂÃÅ¿Ã $ = « ÌÛ ÊÁ¼į¾ÌýË»Ġƾ˸ĤÌý˸ĊÏÄÚÂÑ̸ÒÈûÏ¿¾բÒȼÁÌÚÅ¿¾ÌÛ ëÏ¿ÉÇı. » ĤÌýË ĤÌý ˸ĊÏ ĊÏÏÄÚÂÑ Ñ̸Ò ûÏ¿¾ ÒȼÁÁÌ Ñ̸ ÁÌÚ ÚÅ¿¾ÌÌÛ ÅûÈÀ¸¸ĤÌýËëÅ̸ėËȸ̼ĕ¸À˸ĤÌýËբÇĎ Åû ¸¸ĤÌýËËë ËëÅ Å̸ ̸ėėË Â¸Ì¼ Â¸Ì ĕ¸ÀË ¸ ¸ĤÌÌýýËբ ż¸ÅĕÊÁÇÀ¸ĤÌýËëÅģÇÄθĕß Å¼¸ÅĕÊÁÇ ÊÁÇÀ¸ ÇÀ¸ĤÌýË Ìý Nos recherches donnent pour pour », nentt « ustensiles ustensil s » pour p ur ÊÁ¼į¾et ÊÁ¼įį¾ et « gloire ÊÁ¼ oiree » pou p ur »ĠƾËբÅûÈÀ¸est » ¾Ë ÅûÈÀ¸ ¸ est lle grecc po our « nourrissons n ż¸ÅĕÊÁÇ signifie « jeune homme 136 », et dans le sens contraire, « vase » a plusieurs traductions possibles 137, comme Ò¸¹¸őÉÇÎŦÉÇËբÒÄÎÀÎÇɼŧË, ÎÇɼ ÎÇ É¼ŧË ¼ŧËË, ¹¸ÅÑÌŦË, ¹¸ÅÑ ¸ÅÑ ŦË ŦË, ¹¼É¹ţÅÀ¸, ¹¼É ÅÀ ÅÀ¸,, »É¸ÁÌŦÅ, »É¸ÁÌŦÅ »É¸Á ÌŦÅ ëÏÀÅš¸, ÁŠÂ¸¿ÇË, żÁÉÇÁÇÉţÅ¿À¸, ÈÉŦÏÇÇË ou encore Ĩ»ÉŠÅ¸, et cнest pourquoi nous gardonc la version « ustensiles il » dans la mesure où cнest la version du mot grec et quнaucun des mots qui signifient « vases » ne radical n ressemble rress essemble parr le rad ica à ÊÁ¼į¾ե ÊÁ ¾ե TX a donc une erreur mais cнest rare jusquнà présent. Cela étant le texte se contredit, nourrissons aux cous de leurs mères là où il est ici question de redit, lles nou urrissson sons étai éétaient en réputés ent ép put uté tés pendus pe massacres tandis que « les jeunes gens tombaient sous les mains de lнennemi » est cohérent en ce quнil explique pourquoi seuls les femmes et les enfants avaient été mis en esclavage par les Séleucides. Et le mot « ustensiles » semble indiquer que la liste qualitative antérieure est plus grande que ce qui était listé mais cнest peut-être un listage incomplet là où il semble que la Ménorah ait fait lнobjet dнune confiscation en attendant le paiement du retard de lнimpôt. 10-12 La métaphore ressemble beaucoup de par son aspect féminin à celles utilisées dans la littérature midrashique, ici cнest le mot parure chez FMA & TOB sur lequel se base ladite figure de style puis lнadjectif possessif première personne pluriel qui pose « notre beauté et notre gloire » qui complète lнimage dнune épouse bien-aimée. 13 Tandis que « A quoi bon vivre encore ? » évoque lнhistoire des idées internes au Judaïsme de lнépoque, il semble quнil nнy ait pas de vie viable sans Jérusalem et son Temple, et donc sans liberté de culte et de souveraineté locale. Cнest ce schèma de pensées qui a mené à la chute tragique de Massada. 14 Le fait religieux du deuil porté sur la perte de souveraineté sur Jérusalem est intéressant parce que cнest aujourdнhui chez les conservateurs le fait religieux du deuil dнun défunt par lien de parenté au premier degré dans la vision conservatrice du Judaïsme, tandis que de nos jours le deuil du Temple au mois dнAv consiste en la non-consommation de viande hormis Shabbat et lнinterdiction dнévènements joyeux du premier au dix Av. Plus généralement au fil de 1M&2M, ce qui ressort du fait religieux à ce sujet cнest lнusage contemporain lors du deuil dнun parent au premier degré qui est usité à lнépoque hellénistique pour plusieurs motifs possibles, et là où nous nнavons pas dнautres attestations que dans 1M&2M à ce jour, nous restons néanmoins perplexes pour cette pratique en dehors du deuil que nous verrons plus loin dans ces deux commentaires. 15 Comme UR nous doutons à la lumière des publications en archéologie dнune véritable ville de Modîn à lнépoque. Mais cнest surtout lнusage du mot apostasie qui nous intéressent. Les publications en ligne142 138 évoquent143 139 à juste titre le Dt., précisément 13,6-10 et cela correspond 137F 135 138F http://www.antiquities.org.il/Article_heb.aspx?sec_id=25&subj_id=240&id=4155 le 18 mars 2019 Notre dictionnaire numérique nous donne le singulier. 137 http://www.perseus.tufts.edu/hopper/definitionlookup?type=begin&q=vase&target=greek 138 https://fr.wikipedia.org/wiki/Apostasie#Judas%C3%AFsme sur la base du dictionnaire encyclopédique du Judaïsme. 139 ӷԃԅԃԊՀӾԃӻԈнӿԍԎԊӻԍӻԍԍӿԔԊԌՀӽԃԍԊԉԏԌӾԃԌӿӾӿԋԏӿԆӾԃӽԎԃԉԈԈӻԃԌӿӿԈӽԓӽԆԉԊՀӾԃԋԏӿӾԏJudaïsme ԃԆԍнӻԁԃԎե 136 58 bien à la vision du traitement de lнapostasie par le JSTS pour le fond, là où nous préférons considérer Dt. 13,1-10 140, alors que la suite du récit et donc la forme ici racontée se veut tacitement une analogie à lнépisode biblique de Pinhas sans penser à Dt. 13, avec toutes les exégèses qui le commentent et le complètent. Et cela vient conforter lнassertion de UR selon laquelle en 167/166 CG la diffusion du Pentateuque écrit était principalement celle du Dt. sans les quatre autres parchemins, cнétait donc une étude surtout portée sur la loi dans la sphère privée. In extenso il semble que lнexigence de sacrifices, alors que lнautel de Modîn est réputé construit en 23, puisse laisser penser que cнétait un conflit interne aux Judéens qui limitait les ardeurs des apostats et la peur quнils avaient des anti-hellénistes, à moins que ce ne soit lнabsence de réelle volonté dнapostasie. Mais le verset 16 laisse comprendre que cнest la présence séleucide qui vient effacer la peur des anti-hellénistes, ce alors que lнautel nнavait pas été entre temps détruit. Mattathias et ses fils se positionnent en anticipant une action copie conforme de lнépisode biblique de Pinhas, mais lнépisode de Pinhas est bien plus grave que lнidolâtrie imposée en 1M du point de vue du Judaïsme parce que cнest de lнidolâtrie couplée à un rapport charnel en public. 17-20 Mattathias et sa famille sont donc déjà connus des autorités séleucides, ils ont donc dû constater son départ de Jérusalem. Et la parole adressée est évidemment à visée prosélyte, ce qui laisse penser que les Séleucides initiaient en priorité les couches supérieures de la société judéenne pour que le reste du peuple suive. Chez FMA, lнassertion de la grande avancée en conversion des Judéens et des nations du royaume séleucide est contredite par la parole rapportée de Mattathias qui répond en substance que les nations du royaume ne sont pas dans la pratique du culte de Zeus Olympien, ce qui est crédible si les temples de leurs religions originelles ont été pillés par les Séleucides. Quant au fait religieux, cнest Mattathias qui explique lнincompatibilité des religions originelles avec le culte de AIVE parce que lнapostasie est en soi automatique pour toutes les religions originelles du royaume, ce sur quoi nous ne pouvons asserter hormis pour le Judaïsme. Tandis que lнAlliance dont il est question ici est la triple Alliance, celle dнAbraham, celle dнIsaac, et celle de Jacob, là où la liturgie asserte en disant « Dieu dнAbraham, Dieu dнIsaac, Dieu de Jacob ». La loi est ici celle du Pentateuque, et surtout celle du Dt. et les observances sont les Mizvoth, celles à faire et celles à ne pas faire. Pour la TOB, UR et TX, cнest plus ambigu en 19 : « Si toutes les nations de lнempire du roi lнécoutent (…) », de par la TOB nous ne pouvons asserter sur la réussite de lнimposition du culte royal, là où UR donne ce même conditionnel « Si lнécoutent toutes les nations de la maison de royauté du roi » pour ce qui est de la traduction littérale, alors que TX donne « Quand toutes les nations obéiraient au roi Antiochus », si bien que nous ne pouvons considérer ab lнétat lé d av fu on d fusio ad du récit parce que la moitié des comme information viable dнavancée de laa d diffusion du culte royal à ce stade sens et e laa se conde moi mo tié vaa da ns llнlнautre autre direction. aut direct rection n. Mais M s cette Mai ceette opposition op versions va dans un sens seconde moitié dans de versions reste utile à signaler. 21-222 En 21 cнest н une ne eexpression ex i où ù cнest en hébreu hébreu le nom Elohim E ohim quii apparaît El app et qui est absent du grec et donc du verset originel,, très probablement phrase » complète p oba leme pr eme t par par observance obseerva ce religieuse obse relig gieu use se de lнécrivain, l écriv cri ain, et laa ph hras rase « théophore th thé est : ĞĹūĵĭĦijĪ ĎĭŦľ čĪķĬĺĮĬ ĴķĨĮĩ ¹ ¼¼¼¼ ¼¼¼¾ ¾½¼Ä ¼¾½ ': '< 06&2 ¿¼¾½ÂÃÅ¿Ã $= ƒnnwmƒinmtummƒijno{yiu‚vrmuinyypr  23—28 Cнest un pro-helléniste qui ui lance la un affront public à Mattathias mais ce qui est intéressant ici cнest lнanalogie n pas paas avec av avec Dt. D . 13 pour Dt po our lнobservance lнob ob bser nce de la Loi, mais une volonté de forcer la comparaison avec le littéraire voulue, non has afin f de fi d glorifier ifier ie Mattathias Mattathi Ma th pour cet acte courageux. Pour mémoire, le Tm donne Nb. 25,10 à récit biblique de Pinhas 30,1 143 mais lнanalogie de 1M2 est surtout en Nb. 25,1-10 : +x — :š g’ –'/˜ c† š –Q ™# 0!'˜ !Y — +K — x#%” k™ f’ Q– ™#-4š v !+ š ) ™ œ Q„ ™#0!' r ˜ !Y — ' “ %x — ’ –$+’ 4š v +šš 0:„ ˜ 9’ k– ™# L/=L š †1C¡+ ’ =L ˜ x1 ’$+– 4š v !+ š %„˜ Qš ™#-'Pr – i– C+ ™ x — :š g’ –'f†˜ Q— ™#  !x#! š ’'¡50L ™ :† % ” œ f} š' ’#f/˜ ir š ! ™ ˜Û1!x „ ˜ #!' š +™ =L3 }š 9܆ ™ L! ’#-4š v !' š f „ — :¡+ š V¡= š % ˜ 9! | ™ fœ˜y /¡+! ˜ #! ~ š ’':/ ˜ œ Q‰ ™# +— :š g’ –'C!x ’ #! š ’'5¡: † ™ %™ –Q ™#:L4r a+ ’ 4™ „ ™ +’ ¡= ˜ #'{ %š ¡+ ˜  ˜ :— 9’ ™Q ™#C+ yš —~ :š g’ –''1—‰ C’ /– Šf'! – ^—ƒ !– ’# #:L4a+ ’ 4™ † ™ +-' ’ x – /š 8’ –^!#' ™ fšv š1f' ”  „ – K{ :’ !+ – r — :š g’ –''&x — 6œ’ f¡+! ˜ fœ˜v /:/ ˜ œ Q„ ™# !+— :š g’ –Q/– %d† ™ –Q ™#!v š 4— !TL š k„ / – -{ 9š {šQ ™#0!œr — V!0 ™ œ :x !” ¡0 ™ C: ˜ $vš 4š +’ ¡0 ˜ C ˜ 2{ %š ’1'a – :’ Q™y ™# $4L/+ — !˜  œ † %=™ a-' x ˜ )œ–v !]š !„ — ’#+r — :š g’ –'¡'1— C= ’ „ ™ 4¡+ ” V'x š 1'— 4— +K! ’ fœ˜v /'„1'— 4— +=' ’ 1–v š'’ ]– !™ 140 =LU'} x +˜ 0 — =† ™ š1 ’#-L r+%-„ ” +œ— %L' x v– š1U{ C’ :’ 9– C-K ’ 9 š'¡'V–  6K^]˜ /3 – :x ™ ’= – œ +† ’##'+š v 45 š 2œ„ — =¡œ+=Lgr 4” +K ™ :x /’ f’ =L – =œ† -)˜v =’ !„ ˜ K˜8™ / ’ ')œ { – 1: š f˜ : ” yš Gš !¡+ ™ V= š „ —  ¡+L ˜ K } !v !' ™ „ – š^! ™ ':{ — ’ G¡+ – 3 ˜ /™y f’ = – œ +„ - — ’ 4š š1 ’#-kx š 4’ ™ ’'¡œ +:f† ˜ -' ” :} – %— -' ” !Y ˆ – ' “ :‰ — %” ! ™ )š€ +’ —1:/ œ r +U'x — +˜ : — C† ˜ G¡: – f˜ = ” 6L] — v !™ ’#=L { ! š Kš =6L/L — † L=œ„  ’#K)x+— k-} — )'˜ !Y — !ˆ “ #! š ’'':‰ — %” ™ !-)˜ f’ 6’ ™1¡+)š K’ )x ˜ ’ ™ +¡+ ’ š)C’ )' ˜v !Y — !„ “ #! š ’'¡= ˜ -' { – !”  œ -)˜ f’ –'!= ” 4™ y ™ +š )˜v =’  ˜ -{ )' ˜ !— Y! “ #! š ’'!_€˜ ™1/' ’ VK „ – !r !-L ™ x+%” !™ +L% †— £-„)˜ =’ ' ˜ 8L] † – !™ )' ˜~ !Y — ! “ #! ‰š ’'¡+4! ™ :š 2¡: š ‚ C˜ ' – V= „ – /K'K šy !~ !-L ™ +‰ %” ! ™ -Š +œ— %LK „ !ƒ !' ™ „ – š^!™ ’# #0K9Cš ’ =L – KK † œx 4” =L ™ =œ†  ’#K3/šv f’ =L – „+œ9K ’ K:{ œ /{ f’ k– #'=š #8’ /¡= – ˜ ’#K:' r š =– £L „ U~ k’ ¡L – U‰ ’1¡L – U]˜ ¡0 – ‚ U' ˜ %„ –  š Uƒ =' ’ 2– ’''V„ – $2UC˜ :’ d– /3 – :x š ! š k† š :’ 4™ KI – C= r š )„˜ +˜ +U' š !Y x ˜ !† “ #! š ’' }U ’K8: – fˆ ˜ T ” :˜ vG˜ !¡0 ™ / – U{ %' ” G– !™ +-' ’ v – š 4=' ” C„ — / – U{ ’ aœ !™ ’#- –':y ™ 8’ /7 – :˜ „ ˜ /— LU' x +˜ v -' — œ„ – :d’ !™ )' ˜v =— œ„ '– 2 ’ :{ f˜ -' ” ]–y 4™ !' š !Y „ — “ /— %U'=œ˜ ” ™#!kx š  ™ kš 4’ v ™ š'œ + „ :{ f˜ -' ” :v – %— ” '!Y „ –  “ !{ š ’ 4™ 1™ ’#!)šy +’ —1:/ œ r +: — =˜ _„ — C ™ xUf’ 6’ ™1V: ’ f† ˜  ” }U4” :L — U ˆ 9' y ˜ %= — f˜ „ —  }Uۆ’ š'K^˜ v :’ !™ k ™ œ{ :!' š V– '#'+š 4! š _x ˜ )™ =¡ ’ œ + ’#+/ œ † %’ =¡ ™ œ + ’##'+š v 4š U{ ’1'42L — %=¡ š œ + ’##'r+š 3 — /x ™ f’ = – œ +† ’#L+! v  „ ˜ œ =¡œ+ &7:˜ š !! š 8† — 9¡ ’ 4™ ’#7:˜ x š !! š 8† — 9’ / – šS]r ˜ /-' – 9œ„ – %:’ !š !1œš :%” ™ Cš 4x š !¡+ š V† š ™' ’#L=' r /– !” +!x ™ 1Lf š :– L š C¡! † ˜'!’ k– UR traduit vrq}‚wn€npjno{unyumurup ,mais cнest inexact parce que le mot /choq/ pour loi ne sнapplique pas vraiment au Judaïsme, on a desfois le pluriel /chouquim/ mais le Judaïsme est surtout une question de Torah, de Halacha et de Mitzvot, le mot փӽԂԉԋփӿԈӽԉԌӿӻԏԄԉԏԌӾнԂԏԃӾՀԍԃԁԈӿԆӻԆԉԃӽԃԐԃԆӿբӿԎӾӿԐӻԃԎӾՀԍԃԁԈӿԌԷԆнՀԊԉԋԏӿԆӻԆԉԃӾԏԍԉԏԐӿԌӻԃԈԍӿԇԃ-hégémonique. Notons toutefois que lнexpression desfois usitée est /chouquim oumishpatim/ mais de toutes façons /chalila/ nнexprime pas lнidée de grâce dнaprès la documentation en ligne qui cite 1S14,45. 142 https://milog.co.il/%D7%97%D7%9C%D7%99%D7%9C%D7%94 143 Dixit la documentation numérique ֕ӷԃԅԃԊՀӾԃӻԀԌӻԈӽԉԊԂԉԈӿԍԏԌӰԃԈнԂӻԍ֖ 141  59 +— :š g’ –''†1— C+ ’ 4x ™ /! — 6š v —E]™ ! ™ :{ 8™ 4š k  — ™#I=r š š 9¡+ • ! ˜ ix š – !¡= š ˜ ’#+v— :š g’ –'f'= „ – | — !' ˜v —1f¡= ’  ˜ :œ{ 9’ –Q ™#!Cyš dž !¡+ ™ + ˜ ~— :š g’ –'¡f': – %‰™  ™ œ  šQ‚#™ %L š'C% ’ /™ œ :x 65+˜ -'  š :x – g’ 4˜ ’#!4† š Cš :’ ! ™ 6r š —E]™ C-' ™ =x – ]— !K ™ w'!’ –Q ™# & Les versets Nb. 25,1-6 sont analogues de 1M2,19-23 et Nb.25,7-9 sont analogues de 1M2,24-28, là où on peut légèrement comparer la fuite dans les montagnes à la fin de lнépidémie, comme si lнidolâtrie était maladive, ce qui nнest peut-être pas complètement faux. Cнest en résumé une analogie avérée mais non complète avec le récit de Pinchas dans Nb., mais lнemphase est faite par lнécrivain en citant tacitement lнépisode biblique de Pinhas, le tout dans un contexte où lнintertextualité et la volonté de structuralisme et de syntaxe propres à lнhébreu biblique et à la liturgie sont lнeffort permanent tout au long de la rédaction. 29-30 Ce qui est intéressant ici cнest le paradoxe entre 28 et 29, 28 dit que les Judéens laissèrent leurs biens dans la ville alors quнen 30 nous apprenons quнils prirent avec eux leurs troupeaux, lesquels nнont logiquement pas pu survivre très longtemps à moins quнon soit au printemps à ce stade du récit. 31 Il est très probable que les retraites cachées du désert soient les habitations troglodytes connues localement depuis la rédaction de la documentation du Wadi Daliyeh 144. Si lнédit déposé à Jérusalem est celui qui a été mis en pièces, le récit de 1M1,41-51 laisse comprendre que les messagers en avaient copie pour lecture publique, si bien que si cet édit avait vraiment existé nous ne comprenons pas de prime abord pourquoi il nнest pas cité comme les autres ordonnances royales et les correspondances diplomatiques de 1M et 2M, est-ce à penser que les courriers desdits messagers nнétaient pas archivés ou bien quнun seul édit signé du roi a été émis dнAntioche à Jérusalem où il aurait été dupliqué pour les messagers ? Dans tous les cas lнarchive dнune simple copie aurait pu suffire à le citer dans le corps du texte. Aussi nous ne statuons pas sur lнexistence de cet édit tout en signifiant que dнune part il nнest bizarrement pas cité alors que la redondance de 1M1,41-51 signe lнhébreu et non pas le grec : cнest une oralité de langue hébraïque où il semble ne pas être fait état de la moindre tournure spécifique au grec en lнétat actuel de nos connaissances, ce quнil faudrait vérifier dans les corpus primaires contemporains de langue grecque. Pour ce qui est du trajet vers la mer morte, où dнaprès la TOB se trouveraient les grottes troglodytes (Y en a-t-il ailleurs que sur les bords de la mer morte ?), cнest soit par la route qui est dans le nord de Jérusalem et qui descend au niveau de la mer morte, chemin probable, sinon cнest par le sud via lнactuelle Arad, mais dans tous les cas il est plus probable que le moindre trajet vers la mer morte emprunte la route de Jéricho, surtout avec du bétail comme rapporté en 38. 32 Le sous-entendu est quнune cavalerie est partie de ler vite te cнest c n néc nt pa ro Jér Jé aut u passer. Le campement face aux Jérusalem, et pour aller nécessairement parr la rou route dee Jéricho quнil faut tratég égie du du Wadi W Wad di D Daliy yeh en yeh n ce qu quн il eest st q st uesti estion on de de sortir sorrtir rtir les les Judéens Ju Judéens rappelle la stratégie Daliyeh quнil question de leurs grottes refuges. Notons que cнest Shabbat, donc onc nc très probablement samedii en e journée. 33-38 3-3 145 La vviolation du jour du Shabbat consiste à se déplacerr au au-delà ville donc u delà delàà des des ffrontières onti es de d la la vi lle mais ais là ccнest нest estt en campagne ampagne où il est don nc aaussi us question de ne pas uss trop se déplacer maiss surtout murailles dнн « érouv su urtout de urto d ne n rien porter orter car car il il nнy n a pas paas de p d m mur les ni d éro v ». » Cee sont sont les deux transgressions possibles et il serait logique que ce soit le fait de porter les fers de prisonniers qui soit la transgression blèm lèm me est me est bien bien plus pllus pl us complexe c mplex plexxe xe à la la llecture de 34, car comme le disent si bien la TOB et FMA « ils refusée. Mais le problème sнabstinrent de riposter » et le doctrinal l problème è docc i l commence vraiment ici. A lнépoque il nнy a pas encore la Mishnah ni ue lee Pent P enttateuqu ue, qui dit très tr s pr la Guémara, il nнy a don doncc q que Pentateuque, précisément en Ex.22,1L+0' x = † — /r — š#!„Vš !ž ’#x^š ™E! ™ 8† — ]š –'=:˜ k} ˜ %’ ]™ C¡™ – ĹūĵĭĦijĪ ĎĭŦľ čĪķĬĺ Ĭ ĮĬ ĴķĨĮĩ ¹ ¼¼¼¼ ¼¼¼¾ ¾½¼Ä ¼¾½ ': '< 06&2 ¿¼¾½ÂÃÅ¿Ã $ = mentaire TB S anhédr éd ine, folio folio io 72a 2a qui qui commente com -'/– Get š cнest le commentaire Sanhédrine, ce verset en donnant comme exégèse "- #:#!+-)<! -(:!+", si bien que cet adage très populaire nнexistait pas dans la littérature religieuse du deuxième siècle, et le comportement sans aucune résistance des Judéens sнexplique donc par lнabsence de loi qui passe avant le respect du Shabbat =<!%#<61%#9'6 nнest pas attesté à lнépoque vu quнil est énoncé à lнépoque de Raban Gamliel, cнest pourquoi les Judéens ne pouvaient se défendre le jour du Shabbat et nous étudierons les autres occurrences de cette situation le jour du Shabbat dans la suite du commentaire. Ce qui change pour ce qui est de lнaspect légal immédiatement après cet évènement relaté selon la TOB par FJ en AJ XII,274 et cнest en 39-42150 146 que commence ce changement qui est double, tant pour la forme que le fond. La décision est prise par les Maccabées de modifier la loi qui consiste désormais à être en droit de combattre lнennemi le jour du Shabbat et pour le fond cнest la première modification de la loi initiée par les Maccabées, ce qui est important à signaler dans un contexte ou lнépoque 145F 144 145 Cf. les ouvrages de Jan Dušek et sa thèse de doctorat : http://www.theses.fr/2005EPHE4041 UR aborde pour 34 /Pikuнach Nefesh/ là où nous précisons /Pikuнach Nefesh doché Shabbat/, ce qui est la même notion en droit ԂՀӼԌӿԏԷԆнՀԊԉԋԏӿԂӿԆԆՀԈԃԍԎԃԋԏӿբԇӻԃԍԈԉԏԍԈӿԆнӻԐԃԉԈԍ ԊӻԍԆԏӻԐӻԈԎӾнӻԐԉԃԌՀӽԌԃԎբӾӻԈԍԆӻԇӿԍԏԌӿԉՓnous préférons désormais faire apparaître les commentaires de UR en bas de page pour éviter le moindre risque de plagiat. Cela étant, UR ӾԃԎԋԏӿӽнӿԍԎԍԏԌԎԉԏԎԆӿԌӿԀԏԍ ӾӿԍӿԌӿԈӾԌӿԋԏԃԀӻԃԎԋԏнԃԆԍԈӿԍӿԌӿԈӾӿԈԎԊӻԍբԆԷԉՓԈԉԏԍԊӿԈԍԉԈԍԊԆԏԎՌԎԋԏӿӽнӿԍԎԆӿԌӿԀԏԍӾӿԊԉԌԎӿԌӳԂӻӼӼӻԎԋԏԃӿԍԎӾéterminant, là où la TOB ԌӻԄԉԏԎӿӿԈӾԃӻӽԂԌԉԈԃӿԋԏнԉԈԈӿԊӿԏԎԇӻԌӽԂӿԌӳԂӻӼӼӻԎԷԊԆԏԍӾнԏԈԇԃԆӿӾӿӽԂӿԔԍԉԃբԍԏԌԆӻӼӻԍӿӾӿԆӻӭԃԍԂԈӻԂԋԏԃӿԍԎԏԆԎՀԌԃӿԏԌe à 1M. 146 UR évoque la question de qui étaient ces fameux Asidéens, laquelle définition est débattue. Nous pensons ԋԏӿӽнӿԍԎԆӿԇԉԎԂՀӼԌӿԏ /chassidim/ qui prend sa source dans /chassadim/, les /chassidim/ les ayant comme exemple à suivre, lesquels /chassadim/ sont des ӪԏԃԀԍԎԌԿԍӼԃӿԈԐԏԍԊӻԌԆӻӾԃԐԃԈԃԎՀբԷԎӿԆԊԉԃԈԎԋԏӿԆӻԆԃԎԏԌԁԃӿӾԃԎӾнӿԏԒԋԏнԃԆԍԍԉԈԎԍԉignés de tous maux par la divinité elle-même (gomel chassadim tovim) ; la TOB a de notre point de vue une bonne analyse qui voit les Asidéens comme courant source des Esséniens et des ӰԂӻԌԃԍԃӿԈԍբԊӻԌӽӿԋԏӿԾӻԇӿԊӻԌӻՆԎԁԆԉӼӻԆӿԇӿԈԎӽԉԂՀԌӿԈԎԇӻԃԍԾӻԈнӿԒԊԆԃԋue pas pourquoi ils ont disparu à la naissance des obédiences esséniennes et pharisiennes. Pour les esséniens, pharisiens et Sadoqites, UR utilise le mot secte, /kète/, nous pensons néanmoins que le mot obédience est plus réaliste. 60 hasmonéenne semble avoir réformé le Judaïsme pour quelques aspects, ce qui ressort de notre étude à ce jour. 43-47 Cнest en 44 que la traduction littérale rapportée par la TOB donne « sans loi », et il est très probable que vers lнan 100 CG le vocabulaire utilisé en hébreu soit globalement commun hormis la prononciation, et on devrait avoir ici /bliнal/ +3'+ comme à Qn. Le verset 46 est à confronter à notre développement dans ce mémoire sur le mode opératoire de la circoncision ; en substance le texte dit simplement que Mattathias et ses amis circoncirent les enfants incirconcis dans le territoire dнIsraël. Le petit problème est pourquoi parler dнIsraël si lнhistoire ne parle que de la Judée, et le grand problème consiste en ce quнil faut comprendre dans ce verset sans faire mentir le texte. Circoncire un incirconcis, est-ce après lнépispasme la deuxième circoncision qui est pratiquée, laquelle est réversible par épispasme, ou bien est-ce la troisième circoncision, celle pratiquée encore de nos jours, laquelle ne peut être inversée par lнépispasme. En lнétat actuel de notre recherche, nous pensons que lнintérêt des Maccabées était quнune circoncision effectuée ne puisse être réversible, ce afin de lutter contre lнhellénisation de la Judée et les pro-hellénistes, mais ce nнest aujourdнhui quнune présomption qui nнa comme preuve que la logique qui consiste en ce que lнobjectif devait normalement être une circoncision non réversible, à ceci près que si cнest une circoncision de force cнest à fortiori probablement une circoncision irréversible par épispasme, mais pour ce qui est de lнhistoire nous nнavons aucune attestation en ce sens, là où les enfants incirconis en 1M2,46 sont ceux dont on parle quelques années plus tôt en 1M1,48, dнoù lнusage pertinent du terme « enfants » et non pas « nourrissons ». 48 « La loi de la main des nations », cela désigne bien le Pentateuque qui avait été lacéré par les Séleucides, mais ici il est question dнun Pentateuque, qui pour changer, intéresse les nonjuifs, et la seule hypothétique explication serait une allusion à LXX, parce que nous ne voyons pas trop comment on peut imposer le culte de Zeus Olympien dнun côté et sнintéresser au Pentateuque de lнautre... La TOB souligne pertinemment la traduction littérale de « (…) ne laissèrent pas lнavantage au pécheur » qui est « ils ne donnèrent pas une corne au pécheur » tout en donnant lнusage du mot corne dans Si., Dn. et Hé., lesquels livres ne sont pas vraiment très éloignés de 1M pour ce qui est de la date de rédaction, ce qui va en faveur dнune étude lexicale qui serait donc à même de participer à la datation approximative dнun texte, et cнest probablement une des raisons pour laquelle lнuniversité de Tufts aux Usa a créé la base de données Perseus. 49-61 Mattathias était donc visiblement malade, dнune maladie fatale pour lнépoque, « le règne de lнarrogance et de lнoutrage » résume bien le point de vue maccabée sur la présence séleucide, mais cнest surtout « le zèle de la loi » et lнinjonction « de donner sa propre vie pour lнAlliance de leurs pères » qui sontt in intéressants res es ts en 50. Le zèlee de la Loi L peut être êtr supposé le p point de départ dans lнhistoire des idées du mouvement-obédience surtout donner ience ce des des Zélotes, Zéélotes, es, tandis tandis tan dis que ue cнest cнest est sur su rtou lнinjonction rtou lнinjon oncti ction on de de d do onne nn sa vie pour lнAlliance de ses pères qui est important pour le Judaïsme, et ce au niveau de la doct doctrine. En hébreu précisément la notion de « mort aï aïsm do ébre cнest st très tr t 47-<!<#'9+3=#/) n du u Nom Nom m (divin)», (div n) n)»», ( 147 pour la sanctification qui -< <!<#'9+ =#/ /) q ui eest une ne notion noti ot on un u peu p u complexe complex plexe : il est question de d la l transgression t i de d la l L i llequell d dé é è d f d t i vaut du point de vue du mourir dans un refus de Loi, décès dans un refus de transgression nss llнau-delà, au delà, eet d au ans la l mesu m mes ure où cнest c Judaïsme une vie dans dans mesure cette vie dans lнau-delà qui est somme toute le but du odes es confondues, conf nffonduees, ce quнil uнil il faut faut souligner sou Judaïsme toutes périodes cнest quнils sont donc à lнépoque des guerres des d Maccabées puis à lнépoque hasmonéenne dans une position où la vie terrestre importe peu du moment que la vie dans le monde suivant ( 1488!-+#3) !-+#3) eest st aacquise cqu uise de pa tiqu religieuse qui consiste en dehors du culte au Temple à par la pr pratique appliquer la loi religieuse alors que la mort pour sanctification du Nom donne eus au quotidien idi dien n et e durant durant les fêtes, fêê l immédiatement accès au Ciel. Lнinjonction de Mattathias sнadresse naturellement aux anti-hellénistes mais en dehors du mouvement pro-helléniste la vie dans lнau-delà était lнobjectif désiré obtenable par la pratique religieuse. Et jusquнà la réforme qui est au verset 41 il faut comprendre que les Juifs attaqués Shabbat nнavaient pas envie de transgresser la loi parce quнils savaient que mourir pour lнavoir respecté leur offrait plus simplement et plus rapidement le Paradis. A partir de cette réforme très importante pour le Judaïsme, les choses changent et il est beaucoup moins possible de se prévaloir dнêtre mort pour la sanctification du Nom quнauparavant, mais la suite du récit nous montrera que les Séleucides ont su être inventifs et les Judéens toujours aussi récalcitrants à lнhellénisation parce quнils savaient de par leur foi ce quнils obtiennent en conséquence de cette fameuse mort pour la sanctification du Nom. La suite de ce passage jusquнen 61 est une éloge de lнépreuve de la foi qui prend plusieurs aspects au fil du récit du Tm et cнest dans le but de les encourager à mourir pour la sanctification du Nom que ces personnages bibliques sont évoqués, ceci avec le sous-entendu beaucoup plus terrestre que la guerre à venir jusquнau retour de la souveraineté judéenne sera coûteuse en vies humaines pour peu quнils aillent sur le champ de bataille, et cнest cet exercice auxquels les Judéens sont peu habitués somme toute qui est encouragé avec un argument de choix. 62-63 Nous pensons que la TOB a raison en supposant que lнévocation de ces deux versets est en fait celle de AIVE alors que lнauteur de 1M connaît effectivement Dn. 64-70 Lнencouragement à la pratique religieuse et la présentation de Simon et Juda comme successeurs de Mattathias en 64 et 65 sont antagonistes de 62 et 63. Comme nous le disions précédemment notre présomption pour le nom « maccabée » est quнil relève de lнhébreu maнaqav dнoù maнaqabim qui devint en grec par élision de la gutturale maqabim, et le début de preuve consiste en ce que lнhébreu écrit ce nom avec un q et non un k. Le facteur déterminant pour le groupe et ses membres étant « ceux qui observent la Loi », cнest donc un groupe fondé sur la pratique religieuse dans une logique de perspective théocratique, et si cнest le cas cнest entre autres causes dû à la volonté de diffusion du polythéïsme de AIVE. La TOB souligne les hébraïsmes en 67 et 69 mais il semble quнil nнait pas été compris quнil sнagit de deux infinitifs absolus qui sont le fait du Tm avant toute autre occurrence et dнailleurs à ce jour nous nнavons pas ĞĹūĵĭĦijĪ ĎĭŦľ čĪķĬĺĮĬ ĴķĨĮĩ ¹ ¼¼¼¼ ¼¼¼¾ ¾½¼Ä ¼¾½ ': '< 06&2 ¿¼¾½ÂÃÅ¿Ã $= 147 148 /mot ‘al kiddoush haShem/ փнԉԆӻԇԂӻӼнӻփ 61 trouvé dнinfinitif absolu ailleurs que dans le Tm et dans 1M comme ici, cнest donc un rédacteur qui connaît vraiment très bien la stylistique du texte biblique tel quнil était à lнépoque. Les deux infinitifs absolus sont /naqem tinqom/ et /shalmou téshalmou la goyim/ (-#91=-91Ɔ-''#+ #/+<=#/+<, soit « venger tu vengeras » et « payer tu feras payer aux Gentils », Gentils et non pas païens comme le dit la TOB, parce que du point de vue Maccabée c’est la pratique religieuse qui fait le Juif judéen, pour eux le Juif pro-helléniste n’est plus juif, d’où le terme générique « Gentils » à défaut d’ĦĻĴĮķĹķĴĺĻūIJĮĪĺĽ 69 Semble évoquer l’idée d’une sépulture commune à la famille Maccabée, ce que le récit confirmera par la suite alors que les archéologues ne l’ĴijĹĵĦĸķĪĹķĴĺĻūĪLa date donnée par la TOB est le printemps 166 CG, soit comme le dit le texte 146 CS qui est pour le printemps en question 3595 CH« Tout Israël le pleura en grand deuil » alors qu’il n’est pas parent par lien sanguin va en faveur d’une souveraineté maccabée sur les Juifs antihellénistes qui seraient donc majoritaires, et définit Israël en 166 CG comme ıĪĸĦĩĭūķĪijĹĸŢıĦķūĻĴıĹĪIJĦĨĨĦħūĪ (Coentaire sur 1M3) 1-2(L) La succession de Judas est logique parce quнelle corrèle les propos de Mattathias à la fin du chapitre précédent, qui ne sous-entend aucunement une succession de Simon. Dнoù lнabsence de litige interne à ce sujet. 3-9(L) Ceindre le harnais du combat est tacitement usité en 3 pour lнopposer à « ceindre le diadème », utilisé pour les rois grecs dans la suite du récit, afin de signifier que lнexercice maccabée du pouvoir est avant tout belliqueux, cнest un pouvoir dнopposition. La rivalité avec le lion « dans ses hauts faits », comme le dit si bien FMA est un aspect littéraire très important pour mieux comprendre la pensée maccabée. Cнest une notion et une conception relatée par le Tm, en Am. 3,8 149, cette intertextualité vise à exprimer la crainte engendrée par Juda Maccabée telle celle du lion, mais le lion est aussi la métaphore du Temple de Jérusalem 150 qui est comparé au lion pour sa morphologie, étroit quand regardé de derrière, large quand regardé de devant, cнest dans la Mishnah et en TB , traité Midot, chapitre 4, folio 7., dнoù son surnom « Ariel 151 », ce qui renvoie à Is. 29,1. En 5 cнest lнusage certain en hébreu du mot /bliнal/ (+3'+), qui donne « aux sans Loi », terme très largement repris à Qn dans le mss de la guerre qui fait partie du corpus des mss du eur quнil eu q monastère de St-Marc. « La terreur inspirait » en 6 renvoie à la métaphore du lion, et la « libération » du joug otio on religieuse religieu use de délivrance dél rance /guéoula/ /guéo uéoula (!+#), (!+#), laqu llaquelle uelle est uelle e commune au Tm et à la liturgie. La séleucide renvoie à laa no notion da Maccabée en hauts-faits pass das pa uit JJacob par ses actions », Jacob ayant description des actions de Judas passe ici par « [Il] réjouit celui dнIsraël, d Isrraël, aël cнest нest est une ne analogie aanalogie avec a c llнexpression expression sio de la la foi fo foi qui qu ui est e dans dan ns la la prière prièr riè du « Shéma changé de nom pour celui Jac J ob-Issraë pour pou exprimer exprimer le le monothéisme m nothéismee absolu, ab b olu, et ce tous tous les les matins mat m ins po Israël », qui sнadressee à Jacob-Israël pour toutes les obédiences de nos jours, ce qui devait être le cas à lнépoque durant lнusage des phylactères. En 7 « sa mémoire sera en bénédiction à jamais » re renvoie une env nvvoiee à u ne expression expr sssion ion n très très commune co post-mortem au sujet du défunt /zichrono libracha/ (!):+#1#:)$), ce qui renvoie en iintertextualité ali é à Mi. i 10,7 152. « Le courroux (du Ciel) » en 8 vient confirmer à lнintérieur u cu lte de Zeu Ze us O Olym mpien en JJudée, ée on p du texte lнexercice du culte Zeus Olympien peut raisonnablement supposer que des autels avaient été as ttrès rès lon ng ccomme omme co ns cttio nst ion n En 9 cнest lнintertextualité de lнextrême qui vient comparer construits car ce nнestt p pas long construction. Juda Maccabée avec la divinité qui est réputée être Celui qui rassemblera les dispersés157 153, ce que nous trouvons 154 en Dt. 30,1-6159 155, Is160 156. 11,11-12161 157, Jr. 29,14162 158, et Ez. 20,4116 159. 10-26164F 160 Le contingent de Samarie en 10 qui vient ĹūĵĭĦijĪ ĎĭŦľ čĪķĬĺĮĬ ĴķĨĮĩ ¹ ¼¼¼¼ ¼¼¼¾ ¾½¼Ä ¼¾½ ': '< 06&2 ¿¼¾½ÂÃÅ¿Ã $ = 15F 152F 154F 15F 156F 157F 158F 153F 159F — š^ –'œ +' † /: x – Cv˜ G– !{ –L! ’''1 š  ” :' r š –'œ +' „ / „ – x š f!† š '— :’ ™ 149 150 Obtenu par la littérature numérique en hébreu. ±§™©²¢±™¥§žœžž¢©­¥§š ±žž¢± ™§±¯¥¤¢ž(™¡¤¢«²¢) "±¯¥¤¢¬™ž¢©­¥§š ±žž¢± ™§±¯¢±™§œžœ© ³¢±°¥™¢±™¥™¢±™¢ž ž¢©­¥§š ±žž¢± ™§. La citation est issue du wikipédia en hébreu, lнintertextualité du lion relevée initialement est mienne. !)š :š ’ +L – 3y :’ ™$ ’#!r#˜+’ /K0ۄ ™ 1L%-LQ — !¡+ Ž ™ Vš 152 153 ӬнԃԈԎӿԌԎӿԒԎԏӻԆԃԎՀӿԍԎӾӿԈԉԎԌӿԀӻԃԎբԆӻӽԃԎӻԎԃԉԈԎԌԉԏԐՀӿԌӿԆԿԐӿӾԏӽԉԌԊԏԍԈԏԇՀԌԃԋԏӿӿԈԆԃԁԈӿӿԈԂՀӼԌӿԏե 154 Littérature numérique en hébreu, in wikipédia israélien, de très bonne qualité car révisé par le corps enseignant qui publie les corpus primaires au format numérique en hébreu sur plusieurs sites internet. 155 ¡4 ™ kš€ ’ f™ ’# !]š fU' š !Y x ˜ !† “ #! š ’' }U%' ” G– !: – fˆ ˜ ” 'LE v– !¡+ ™ )š‰ CU ’ v˜ ’š +¡+ ˜ =œš{ f— !” ™#U'r1˜ 6š ’+'k– =x ™ š1:f† ˜ ! ” +š v +š d’ !™ ’#!{ )š :š C’ !! ™ ˜Xy— !-' š :„ – š G’ !¡+ ™ VU' š +˜ ~ 4K š œ‰ š'¡')– !Š š'!š ’#  151 -']–v 4™ !¡+ „ š Vš / – U{ 8’ C˜ 9– ’#fšy ’#U/r ˜ %” :– ’# xU=K ’ f¡= ’ U' ˜ !Y } ˜ !ˆ “ #! š ’'fš‰ ’# Uf˜ 6’ ™1¡+)š K ’ xU’ š +¡+ ’ )š CU' ’ 1˜v K! š k„ š -L ™ rQ! ™ xU ’K8™ /' ’ )œ† – 1¡: š f˜ + ” œ)} VL ’ +œv 9 ’ k„ š 4’ /™ fš ’#U'{ !Y ˜{ ! “ #! š ’' U'=œx ˜ K ” f† :’ š'¡:f˜ 7 ” :˜ } š !¡+ š U' ˜ !Y y˜ !„ “ #! š ’'U€ ' ” – !“ ˜# !U%˜ dš –'-ix š /KU' – !Y v˜ !„ “ #! š ’'U{ 8’ C˜ 9™ ’'-išy /– –'/r š iš !!„ ™ 8— 9’ C – xU%” Gۙ 1!† – '˜ !’ –'¡-– !]š fU' š !Y x ˜ !† “ #! š ’' }U’8'6– !: “ fˆ ˜ ” U'Q˜ %0 ™ 4™ /† ™ + ’ xUf ’ 6’ ™1¡+)š K ’ †U’ š +¡+ ’ )š CU' ’ !Y } ˜ !ˆ “ #! š ’'¡=! ˜ €š !” ™ +Ur ’ 4˜ :’ ™$„ ™ +¡= ’ ˜ ’# xU’ š +¡= ’ U' ˜ !Y } ˜ !ˆ “ #! š ’'+/K š‰ #U'=˜ œ” / — xUC’ :’ !– ’# †U’ &'– !— ’#Ikr š f’ :'– #– 156 - šQ!'x ™ Q— – /K= — /šv %” /K „ — :{ 4š ’1i– /K– +'š 4— /KfK — Vy /K2L – :„ =’ a™ /K– –':~ ™ 8’ ]– /K:K – i‰ ™ / — Š:— iš –' :f„ ˜ L ” ]r 4: ™ „ š f¡= ’ =L ˜ x19’ +L – v š'=' { –1f£' — 1 š 5' ” 2L'K ‰– !y !-L ™ „QC£!„ ™ 'š !š ’# ' 7:˜ š !=L š 6† ’1V3 ™ Cx ™ :’ ™ /7 — Cv— 9™ ’'!{ K! š ’'=L86ž ’1K+r — :š g’ –''%„ — ’ –152x ™ š ’#-'LE v– + ™ 2{ —1g† š š1 ’# ' 157 Wikipédia israélien, MGK ne me donnait pas de réponses sur /kibboutz galouyot/, idem pour toutes les citations en intertextualité avec 1M3,9. 158 -)˜v =’ ' ˜ =œ„ – f– !™#!r ” #! š ’'¡-ž ’1-f-} x š )˜ =’ ' ˜ k– %ˆ’ G™ !: – f˜‰ =Ly ” /L9]’ !¡+ ™ Vš /K– 'LE €– !¡+ ™ Vš /– )˜ =’ ' ˜ ‚ k„ – 8’ C™ 9– ’#-)˜y =K ’ f’ )˜y =Q ’ f¡= ’ ' ˜ k„ – ’ f™ ’#t! š#! ’'¡-ž ’1z-)˜ +' š =„ – 8— /’ –1 ’# ' -iš /-x – )˜ =’ ' ˜ =' – +† — ’!¡: – f˜ -L ” 9v ]š !¡+ ™ ‰˜ 159 160 - –'LE!'† ™ 1'— 4— +-x ’ )˜ ' š k’ † – fG™ 9’ –1 ’#-C-x r š =œ˜ 86œ ’1:f† ˜ =L ” 8v :š ” !¡0 „ š /– )˜v =’ ' ˜ k„ – 8’ C™ 9– ’#-']–v 4™ !¡0 „ š / – -{ )˜ =’ ' ˜ '– 8L! – Ct ’ -)˜ =’ !„ ˜ 8˜ :’  ˜ ´œz ™ %' –1´'™ :„ — C’ / ӬӻԊӻԌԎԃԎԃԉԈӽԂԉԃԍԃӿԌӿԊԌӿԈӾӾӿԍԀԉԃԍӽԉԇԇӿӽнӿԍԎԆӿӽӻԍԃӽԃԆӻԍԎԌԏӽԎԏԌӿӾԏԎӿԒԎӿӾӿԍԍԃԈՀӿԊӻԌӦMA. 62 guerroyer contre les Judéens en 166 CG ou au pire en 165 CG nous fournit une précieuse information sur lнétat des relations entre les Judéens et les Samaritains : la destruction du tmG par Jean Hyrcan semble trouver ses motivations dans un ou des motifs de la première moitié du deuxième siècle, et au plus tard en 166-165 CG161, tandis que cнest la première occurrence en 1M du fait des choses entre Samaritains en Judéens en 1M. Nous doutons que ce contingent soit exclusivement grec et le contraste entre les deux groupes distincts de par lнusage du terme « païens » va à notre avis en ce sens, avec le très probable sous-entendu que les Samaritains et les Judéens sont le même º¼ÅÇË. La zone de combats évoquée en 11 est en toute logique sur le flanc nord de la Judée à la frontière avec la Samarie qui pour lнépoque est bien mobile entre les conquêtes judéennes et lнoctroi ultérieur des trois nomos par le souverain séleucide, mais la délimitation de la zone de combats se conscrit de par notre estimation sur une bande au maximum de quatrevingts kilomètres vers le nord depuis Jérusalem. Il est très probable que B*K ait des estimations plus fines que les notres, ce alors que le livre numérique sur les guerres des Maccabées lui est attribué sans quнil soit officiellement signé par lui. Les dépouilles ramassées en 12 doivent avoir les mêmes usages que ceux rapportés au commentaire de 1M, et la prise de lнépée dнApollonius vient compléter notre théorie sur la base de 1M1,11, le texte ne dit pas quelles armes avaient les Maccabées dans ce passage, mais cнest la redondance de la méticulosité maccabée avec les armes prises à lнennemi séleucide qui vient à chaque épisode un peu plus accréditer notre théorie qui est au début de ce chapitre. Le fait sociologique du groupe Maccabée est difficile à distinguer en 13 entre « la troupe de gens de guerres et une assemblée de fidèles », nous ne pouvons que supposer que le premier concerne des jeunes hommes valides et le second les femmes avec les enfants et les personnes âgées, mais pour être plus précis nous rajoutons dans le second groupe les jeunes hommes valides qui ont le droit de faire valoir une dispense de guerre de par la loi qui à lнépoque est uniquement celle du Pentateuque et surtout celle du Dt. de par sa forte diffusion. 14 Les hauts-faits signent le nom dans la culture grecque, mais notons surtout quнici il est question de « lнordre du roi » et non pas de lнédit du roi, ce qui vient compléter notre argumentation en doutes quant à lнédit à proprement parlé. 15-16 Le substantif « montée » en hébreu est ici la base de la traduction en français, la montée de Béthoron mène à Jérusalem, et en hébreu il est question du terme « aliyah » car en hébreu il nнest pas question dнaller à Jérusalem mais de monter à Jérusalem ; la traduction du substantif qui est littérale renvoie au verbe /laнalot/ spécifique de lнhébreu pour le trajet vers Jérusalem. 16 Cнest quand Apollonius sнapproche de la montée de Béthoron quнil est vu par Juda Maccabée, si bien quнon peut penser quнApollonius était pisté que ce soit en le suivant sté sans ans n pour ur autant u a soit physiquement phys hy an derrière lui, cela peut plus probablement être un à celle dнApollonius, ce n pistage piistagee visuel vissuel uel très trèès logiquement logiq ement à une un ne altitude a itud tude sensiblement sensibllemen nt supérieure su н ge d b talonner l uss présumons pé com b que nous raccrochons à llнusage du verbe que nous comme base du mot Maccabées en hébreu. Le n 1177 m pistage visuel est confirmé en mais ais is ccнest st lнeffectif l effectif q qu qui retient retient reti entt notre no otre tre attention, tten tention, lequel lequ semble sem mble être ê re infinitésimal par dнA A olloni Apo nius. i m la issee pe nse que le bét ail jjudéen d n vvers dée erss Qn avait er rapport au régiment dнApollonius. Laa fa faim laisse penser bétail vait vitee dépéri dépé ou était devenu rapidement insuffisant, entre la faible quantité de végétaux disponibles et les possibles maladies qui les rendent om mmat mation. 1188 Laa TOB me impropres à la consommation. mentionne entionn ne à juste titre lнintertextualité avec 1S 17,46 et Ps. 20,8-9, mais ce nнest pas tant que ça la volonté parler divinité en vain ou à la légère dont il est question, il est question olo ontté de nee pas pa pa arler de la d du Ciel parce quнil estt question et les anges, et les personnages fantastiques de 2M ne question tion de de lнinteraction l inte terac a tion ion entre en les lee Judéens J d sont que des anges que et dans 1M il est question dнobtenir non pas lнaide ue llнabréviateur нab bréviateur ne nomme nom mm mee pas p expressément, expr exp pressé i celle dнun ou des d anges, et cнest dans ce contexte que nous versons à lнétude toutes les de la divinité en soi mais « hodayot » de Qn : si cнétait le cas à Qn, ça ne devait pas être très différent à ce sujet chez les Judéens dans des courants plus majoritaires de lнépoque, et cнest aussi la littérature binitaire qui vient marquer cet engouement pour lнassistance céleste des anges. De nos jours le Judaïsme rabbanite nнa pas de hodayot et nнévoque pas la notion des anges dans le Judaïsme, et cнest un sujet dont il nнest dit presque rien dans le cadre contemporain du fait religieux juif. 19 Cнest la croyance ferme en lнimplication du Ciel dans la vie des Judéens à lнépoque, alors que lнantithèse existe dans le Judaïsme en disant que lнépisode de Pourim 162 marque la fin de lнintervention divine dans la marche du monde, précisément de lнhistoire. 20 La persistance systématique du dépouillement tout au long du récit laisse penser quнeffectivement la situation économique était défaillante dans le RS et ce depuis la PAK si bien que cela touchait aussi semble-t-il les individus, dнoù une quête permanente de richesses sans labeur aucun. 21-22 La pensée de Juda Maccabée se complète, du Ciel et ses anges, on passe à la divinité elle-même pour ce qui est de lнassistance, mais dans ce verset ce nнest pas le fruit du hasard, « Lui les brisera » renvoie directement à la liturgie où il est question de la divinité qui brisa les cèdres du Liban, mais cнest aussi dans le Tm en Jg. 9,1 163, Is. 2,13 164 et surtout en Ps. 9,5169 165, si bien que Judas Maccabée sнidentifie au récit biblique et ses propos viennent anoblir la révolte maccabée, ce qui est un des faits littéraires récurrents dans 1M. 23-26 Lнattaque par surprise est une stratégie récurrente chez les Maccabées qui sнinscrit en deuxième partie de leur méthode, laquelle semble consister à dнabord talonner lнennemi puis à se ruer dessus à ĞĹūĵĭĦijĪ ĎĭŦľ čĪķĬĺĮĬ ĴķĨĮĩ ¹ ¼¼¼¼ ¼¼¼¾ ¾½¼Ä ¼¾½  : '< 06&2 ¿¼¾½ÂÃÅ¿Ã $= 164F 161 162 La TOB ӾԉԈԈӿԆӿԊԌԃԈԎӿԇԊԍӿԎԆнՀԎՀӾӿчььӣG Cours de Judaïsme de Monsieur le Rabbin Maïmon Retbi, lycée français de Jérusalem, 1990-1991. 0L1š X’ !'† ™ $— :’ ¡= ™ + ˜ ) x ™ œ = ’#&vš š !¡0 „ š / – f{  — 8— k— 0 –'¡w™ – ’#'Xr – 8– K ’ 2„ %K ” œCx -)' ˜v +— 4 ” T{ +˜ /˜{ +' ’ =œ– -'%‰– fœ’ /-Š k˜ = ™ /„ ˜ “ C˜ t ƒ– -'8– 4— !¡+ š  ˜ z &š š !: š / ˜ œ Q„ ™# 163 0fš Cš !'† ™ 1LX — ¡+ ™ V+ š 4x ™ ’#-'r – jš –^!™ ’#-'/x – :š !0L š v1š X’ !'„ ™ $— :’ ¡+ ™ V š {+4™ ’# 164 0L1š X’ !'† ™ $— :’ ¡= ™ ! ˜ #! yš ': ’ C† — f™ ’' ™#-'r$– :š :„ ” œ— f! š#!Ž'+L ’ 9„ 165 63 lнimproviste. La TOB donne lнintertextualité en 1S, 14 ; 17 et 2S 5, tandis que la crainte et le tremblement des nations alentours est une analogie tacite avec la crainte de la divinité par les peuples voisins au long du récit du Tm quand cнest le cas, mais ce qui est intéressant ici cнest le parallèle avec les travaux de IF 166 qui dresse la liste des ennemis du royaume de Judée du temps de Jonathan et Simon mais mieux encore comme il le dit si bien au début du règne de Jean Hyrcan. 1M3,25 donne dans la TOB « les nations alentour » pour ÌÛ ì¿Å¾ÌÛ ÁįÁÂĿ ¸ĤÌľÅ, alors que IF donne pour ennemis depuis Jonathan jusquнà Jean Hyrcan la Samarie, Ammon à lнest de la Pérée, les Arabes et Ashdod : 1M3,25 se corrèle avec IF (2018 :79-82). Cнest en 26 que « son renom remonte jusquнau roi », ce qui vient nous conforter dans lнidée que les Maccabées étaient « connus » du pouvoir séleucide à Jérusalem, y compris après sнêtre établi à Modîn comme le raconte 1M2,17. 27-30 est un passage qui montre, ce qui est plausible, quнAIVE nнavait pas vraiment anticipé une situation budgétaire délicate, ce pour quoi le rédacteur de 1M nous précise que cela est à fortiori dû à lнabrogation des lois ancestrales dans chaque pays du royaume, cela ayant donné lieu à des dissensions. Il est donc encore plus probable que les temples du RS aient été pillés après la PAK et que les réponses locales aient consisté en un refus de sнacquitter du moindre impôt royal, mais nous nнavons pas, hormis 1M de documentation sur le sujet. 31-33 La TOB note que la campagne dнAIVE concernait en fait toute la Transeuphratène171 167 et que Lysias est attesté par Polybe tout en précisant que le fils dont il est question est le futur AV qui aura pour tuteur Philippe. 34-35 168 Les éléphants de guerre sont attestés dans la littérature et sur les mosaïques de la synagogue de Huqoq dans le Nord dнIsraël, une partie venait dнInde et une autre partie pouvait venir dнAfrique, ce avec une logistique déjà un peu complexe pour lнépoque. Ils étaient un élément central de lнorganisation au combat mais plus généralement des animaux étaient utilisés au combat alors que lнeffet de lнéléphant était plus conséquent. Le petit reste de Jérusalem doit faire allusion à la partie juive de la ville, mais il ne nous est pas possible de statuer vu le nombre de reconstructions de Jérusalem rapportées par 1M2M là où lнarchéologie ne corrobore pas les textes, aussi notre seule certitude est quнil devait rester peu de Juifs antihellénistes à Jérusalem alors que le gymnase et lнéphébium avaient dans leurs effectifs des Juifs pro-hellénistes. 36 Notons que lнinstallation de fils dнétrangers sur un territoire conquis est attesté dès 722 ou 721CG, lors de la destruction du royaume dнIsraël, les Assyriens avaient déporté lнélite et avaient installé en Judée une population dнorigine mésopotamienne et lнarchéologie répond au Midrach en disant que cнest lнélite du royaume dнIsraël qui semble avoir été déportée, car il sнagit de peu de gens finalement dans la mesure où la stratigraphie ne montre pas de réelle chute da alo o quнil qu il y a une continuité t u ui dans uité da les poteries. dan p él démographique soudaine alors Les Séleucides ont donc la même stratégie ela qu ue lles es quel q que ques Ju que JJudéens udé ns qui qu ui sont sso ontt encore en ore re à Jérusalem Jérussaleem ne n risquent ris mais ils rajoutent à cela que quelques pas vraiment dнobtenir la d Jérusalem. Jé l citoyenneté de la ville grecquee de La TOB d donne nn le printemps nne i mps 165 6 CG p pour 147 CS, ce qui est lнan 3597 37 L CH. 38-41 Cнest logiquement q à pro proximité mité dнEmmaüs d Em Emm maüs qui maüs qu est dan dans ns la la pl p plaine ne que q Lysias qu Lysias sia établit tablit son s cantonnement, ca zone rtilee où où la la végétation vég atio pousse pou ussee sans sans difficultés difficu fficultéés sauf sauf de de juin ju n à septembre, septe bre b , ce qui qui a pu les aider à de la plaine plutôt fertile compléter leur ravitaillement. Il nнy a que TX qui lit Èñ»¸Ëquнil traduit par « enfants » là où tout le monde lit /pédas/ nous constatons c stat ns que précédemment con cons précédem mme les hommes nнavaient pas été vendus en esclavage alors quнici pour entraves, mais nous venduss UR ttraduit ils seraient les seuls vendus. uit p d Isra sra », peut-être est-ce à une fin généraliste afin dнéviter toute parr « fil filss dн dнIsraël ssion, mais ma s toujours toujo ours est-il ou est il que qu le texte te p imprécision par omission, présenté par TX, de ce que nous arrivons à lire, semble urre rrencees avec avec les consonnes consonness /p/, / , /d/ /d/ et /s/ /s : comporter deux occurrences 16F 167F ĞĹūĵĭĦijĪ ĎĭŦľ čĪķĬĺĮĬ ĴķĨĮĩ ¹ ¼¼¼¼ ¼¼¼¾ ¾½¼Ä ¼¾½ ': '< 06&2 ¿¼¾½ÂÃÅ¿Ã $= « 169Á¸Ė ôÁÇÍʸÅÇĎ ìÄÈÇÉÇÀÌýËÏļɸËÌġ ěÅÇĸ¸ĤÌľÅÁ¸Ė 츹ÇÅÒɺįÉÀÇÅÁ¸Ė ÏÉÍÊĕÇÅÈÇÂİ ÊÎĠ»É¸Á¸Ė Èñ»¸Ë Á¸Ė ö¿ÇżĊËÌüÅȸɼĹÇÂüÅ ÌÇı ¸¹¼ėÅÌÇİËÍĎÇİË Êɸ¾Â¼ĊËȸė»¸ËեÁ¸Ė ÈÉÇʼÌñ¿¾Ê¸ÅÈÉġ˸ĤÌÇİË»įŸÄÀËÍÉĕ¸ËÁ¸Ė ºýËÒŬÇÎįÂÑÅե » Aussi nous faisons confiance à la majorité tout en restant avec des questions en suspens. 42-44 se corrèle avec ici avec 35, il est question de détruire radicalement le peuple de Judée, et cнest la première occurrence de prière préalable au combat, le saint lieu en question est le Temple de Jérusalem. Lнusage des mots pitié et miséricorde va en faveur dнun système de pensée où tout est décidé par la divinité, et les situations comme celle-ci sont vues comme une punition divine, dнoù la demande de pitié sur la transgression et la demande de miséricorde que le Judaïsme considère comme le neuvième dнune mesure de Justice qui doit être en neuf mesures, les huit autres étant celles de Justice. 45 vient conforter notre hypothèse de Jérusalem ville fermée par les Séleucides et résume bien la situation à Jérusalem. « En Jacob » devrait faire référence à tout le pays dнIsraël du temps de David, alors que les Maccabées sont uniquement de Judée, mais peut-être est-ce le sous-entendu dнune propriété totale à venir du pays dнIsraël, ce qui se corrèle avec lнexpansion territoriale de la Judée, à moins que ce soit une façon de dire quнil nнy a de descendant de Jacob que les Judéens pro-hellénistes. Il est probable que la tension soit déjà avérée entre Samaritains et Judéens, mais nous pensons plus prudent de considérer la destruction du tmG comme début du clivage ethnique. 4660 Le toponyme dont il est question est en hébreu /mitspa/ de la racine ts.p.h qu signifie contempler ou regarder, avec lнidée fréquente de contempler ou regarder en étant en altitude, comme le mont Scopus à Jérusalem, ce qui pourrait peut-être aider à retrouver ce site à lнemplacement incertain. La TOB montre que lнautel qui y était servit à Salomon, ce qui donne toujours selon la TOB 1R 3,4 , Jg. 20,1 et 1S 7,5-7. Le fait religieux en 47 conjugue le jeûne et le deuil. Le jeûne permet dнamplifier la réception de la prière et le fait de deuil dont il est question ici est très probablement en 166 Hasmonean Realities behind Ezra, Nehemiah, and Chronicles, SBL (2018), page 79 ӲՀԁԃԉԈԋԏԃӻԍӻԊԌԉԊԌӿԌӿԐԏӿӿԈԀԌӻԈԾӻԃԍӾӿԊԏԃԍчяюяբԋԏнԉԈԊӿԏԎԎԌԉԏԐӿԌӿԈԃԈԎՀԁԌӻԆԃԎՀԷԆӻӼԃӼԆԃԉԎԂԿԋԏӿӾӿԆӻӳԉԌӼԉԈԈӿե 168 B*K (1976) Cf. Bibliographie. 169 1M3,41 depuis https://theotex.org/septuaginta/1maccabees/1maccabees_3.html le 26 mars 2019 167 64 mémoire des morts au combat, mais nous doutons quнil réfère à ceux réduits en esclavage. Tandis que cнest une double circonstance religieuse, dнune part le deuil, dнautre part la supplication de gagner grâce à lнaide céleste le prochain combat. Ce qui est aujourdнhui le rite du deuil des parents au premier degré est à lнépoque une prière qui précède le combat, mais nous pensons, du moins nous ne serions pas étonnés, que ce soit un néologisme religieux propre aux Maccabées. En 48 cнest une activité en voyance dans les rouleaux du Pentateuque, la TOB dit que cнest inconnu dans la Bible, mais en fait cнest un peu plus subtil que cela : il faut connaître le Judaïsme tel quнil est enseigné aux enfants en école juive pour comprendre ce dont il est question. Ce nнest pas de la sorcellerie ni de la voyance pour ainsi dire, cнest beaucoup plus simplement que le Judaïsme considère des /simanim/, des systèmes de signes visuels qui peuvent se manifester exclusivement aux pieux, et en 48 cнest donc dans lнespoir de voir quelques mots devenir lumineux grâce à lнaction dнun ange bienveillant que les Maccabées scrutent le Pentateuque. Antérieurement à ces conflits avec les Séleucides, depuis le premier Temple, cнétait le pectoral du Grand-Prêtre qui voyait certaines de ses pierres précieuses sнilluminer 170 quand on posait des questions devant lui, dont des questions relatives à lнissue de lнéventuel combat, et la combinaison de pierres 171 illuminées était un code quнil fallait pouvoir déchiffrer 172. Il faut donc prendre en compte le système de /simanim/ enseigné dans la sphère juive particulièrement pieuse. Les nations 173 en 52 renvoient en toute logique à IF (2018 :79), et ce même 52 renvoie à Ps. 94,11 174 pour ce qui est de Dieu qui sait les desseins et le secours divin /hatsilénou/ (#1+'8!) renvoie entre autres à Ex. 2,19 175 ; Jg. 10,15178 176 ; 1S12,10179 177 et 2S19,10180 178. La trompette utilisée est rapportée par le Tm depuis lнépisode de Jéricho. En 55 la TOB rappelle que cette organisation du peuple date du temps de lнExode, mais les cas dнexemptions de combat sont de mémoire celles prévues par la loi du Pentateuque, ce que la littérature numérique nous situe pertinemment en Dt. 2,8181 179 & 20,6182 180, surtout la dispense pour celui qui avait peur pour ce qui est de notre mémoire, ce qui est antérieur à la Mishnah qui dit la même chose que 56 dans le traité Sota183 181, chapitre 8, verset 7184 182. Le pluriel pour nations en 58 renforce une fois de plus le postulat de IF (2018 :79), et cнest à la fin du chapitre, en 60 quнest une fois de plus exprimée la conception selon laquelle cнest la divinité qui décide de lнissue du combat, ceci dans une logique interne à la foi durant JSTS selon laquelle tout mauvais évènement est punition divine dont la délivrance ne peut être que la Grâce de la divinité. 175F 178F 180F 170 176F 17F 179F 18F ĞĹūĵ ĵĭ ĭĦijĪ ĎĭŦľ čĪķĬĺĮĬ ĴķĨĮĩ ¹ ¼¼¼¼ ¼¼¼¾ ¾½¼Ä ¼¾½ ': '< 06&2 ¿¼¾½ÂÃÅ¿Ã $= Littérature numérique en hébreu reu moderne, reu m mo in wikipédia israélien. 171 Cf. Ex. 28,30 ; Nb. 27,18-21 14,37 14,41 30,7-8; Esd. 2,63 Neh. 7,18 8-21 ; 1S S 14, 14 7 ; 1S 28,6 ;1S 14 41 ; 11S S 30 0, -8; 0,7 8 E sd. 2,6 63 & Ne N eh. 7,65 77,65.: .: 2'/– k!x š #! š ’''†1— 6’ +L – C} +¡+ – 4+ ™ +ˆ — :š g’ –'¡' —1C& ’ a ‰af/ ™ ‰ f’ /¡= – 0œ ˜ œ :!”  ™ ‚ g„ š š1 ’#!r#! š ’''„1— 6’ +L ’ œ :v !” „ ™ +¡+ ™ K'{ !š ’#-']–v kž !¡= ™ ˜ ’#-' { ':K – !¡= š & ˜ aš y f’ ]– !0 ™ f˜ „œ%¡+ ˜ kš€ =™ š1 ’# + af +– œx œC0 +— +4 L=œx !=' † š –K8– ’#!r š 4— !¡+ š V'x š 1— 6’ +– ’#00! !œ—v V!: !:„ – L= =œy k k„ š ’ /™ 4” !™ ’#’#’# &'#' š xUš'¡= ’  ˜ k† š )’ /™ 2š ’#LC r ´K™ :¡: „ f˜ f' ” 0K x – v1¡0C – µ™ fL! „ ž ’'¡= ˜ U{ +¡% ’ 9! ™ fœ˜y /¡+! ˜ #! ~š ’':/ ˜ œ Q‰ ™# %' !V ™ :„$š 4š +’  ˜ '{ —16’ +L = & & # +š 4 4U ™ f† š ’#/ œv4 ” ™'00!œ !œ { — V! !: ™ :$4 $š 4š +’ ' ˜ 1—‰ 6’ –+ ’# )+— :š g’ –''†1— C= ’ x ™ 4¡+ ” VK š 3v /’ f’ –'04™ /„ ™ ’+#'r+š 4š xUL! ’ /! — k† š =™ š1 ’# )-!'˜ —1'4— +’ #'a¡+ „ – 4™ ’#K~ 8’ —'#'a¡+ – ‰ 4!r ™ #! š ’''„1— 6+ 6’ +– -'':K :K x – ! !& š &af &a† ™ f’ /– C’ LL++}+++ +f 4' } œy šš' !š 4— !¡+ š )š ’#Lkx + – † — :š g’ –'¡' —1C¡+ ’ )š ’#K!K K!!-L ™ †QCK!x ™ 1š 4 š œ +† ’#+r — :š g’ '„ –'„'™'C-x ’ 1— k’ =– !-' ” k–v f’ +–+6' 6': ’ :„„:— %”  ™ { :— — !™ -'!Y v– C— {+K f+ š ™ f’ –Q ™# $+ } Y%” C-ˆ ™ E!r ™ #! š ’'K!x1š 4 š œ +† ’#!#!' vš C ™ {+K š +™ f’ –Q ™# # -'– – ’^C™ E† ™ -':K x – C-† š E™ =L/Y {+ f+ K8š š'-4† š !š ’#+Kx fš ’#0=} š š1L')ˆ — Xš –Q ™# -'/r – =! š š !„ š +x — :š g’ –''!Y † — !} “ #! š ’'¡++K ˜ y f: š / ˜ œ Q„ ™# / !xO˜ !¡K ™ ’E!' ™ :† — %” 5 ™ œ G} :’ : ˜ / œ v  —+!{ š#!'C ™ #–G+ š ‰™ f’ –Q ™# %#–G¡+ š ˜ L6x — !¡= š ˜ :=} š š'’ fˆ ˜ E— ™Q ™# L6r — !š '+† x – ^¡! š f' š E– !T ™ ˜+/' ˜v %– ¡0 ” C ˜ 0!œ { — V!: ™ =š š'’ ¡+ ˜  ˜ #y– G: š / ˜ œ Q„ ™# $ { / ˜ œ Q ™#K^r˜ j– ™ !™ +'c– k+ ™ c† — !™ ’#'jx – k ™ j† — !¡' ™ V5 – œ v :’ L+: -']– =ž ’+K-':K † – ’+0!œx — V/ œ † 4 ” 4-' } ™ fr – š d• !f ™ ˜ œd„ /K – x+) ’ œ '¡œ+:f† ˜ ” !v˜ + š { =š f{š :’ k– !: ™ / ˜ œ Q ™# 2 -']– =ž ’#-':K † – ’+0!œx — V! ™ œ/† 4 ” 4-' } ™ fr – š d• !f ™ ˜ œd„ /K – x+) ’ œ '¡œ+:†f˜ ” !˜v + š { =š f{š :’ k– !: ™ / ˜ œ Q ™# !2 172 Cours de Judaïsme pour enfants, obédience orthodoxe, 1979-1989 173 Pour la TOB ӽӿԍԉԈԎԆӿԍԈӻԎԃԉԈԍբԊԉԏԌӵӲӽнӿԍԎԆӻԇՁԇӿӽԂԉԍӿӿԈԂՀӼԌӿԏԇӻԃԍԋԏӻԈӾӵӲӾԃԎտ goyim րԈԉԏԍԈӿԍӻԐԉԈԍԊӻԍԍԃԃԆԍнӻԁԃԎ ӾӿԆнԃԈԎӿԌӻӽԎԃԉԈԃԈӾԃԐԃӾԏӿԆԆӿӾӿԍԈӻԎԃԉԈԍԀԌԉԈԎӻԆԃԿԌӿԍӻԐӿӽԆӻӪԏӾՀӿԉԏԍԃӽнӿԍԎԏԈԇԉԏԐӿԇӿԈԎտ fédéral séleucide » dirigé par Antioche. ӥԈԆнՀԎӻԎӻӽԎԏӿԆӾӿԈԉԍԌӿӽԂӿԌӽԂӿԍԈԉԏԍԈԉԏԍԌӿԊԉԍԉԈԍԍԏԌԆӻԊԏӼԆԃӽӻԎԃԉԈӾӿөӦ֕шцчю :79-82) pour chaque occurrence du mot « nations » dans 1MTOB 174 +˜ !! š ]š !¡' † — V– r š =L š „ f’ %’ / ™ µ™ Ž— œ'!#! yš '’ ' 175 0œ c!¡= ™  ˜ 9’ fx’ Q™ ™#K1+ š v !{ +š ! š YG¡š ™ ’#-'4œr – :!„ š Q™ /K1x – +'š c– !' – :v – 8’ /f' – š „ – 0:’ / ™w œ k ™# !O˜ ™!-L †Q!x ™ 1K1 š +' † — c– !T ™ U'r } ™ 1'˜ 4— CL ’ Px !¡+ ™ )š VK1 ’ +! š v k„ š ¡! ™ g— 4K1 ” &vš % š !{ š#! ’'¡++ ˜ — :š g’ –'¡' —1K ’ :‰ / ’ œ Q ™# 176  šS˜ ’ 4™ ™1’#K1'x — ’'œ† ™Q/K1} – +'— c– !! ™ kšy 4™ ’#=L:r kš f’ 4™ !¡= š ˜ ’#-'+x – 4š C’ !¡= ™  ˜ œ† 4” ™^ ™#!#! v š ’'¡= ˜ K1{ ’ $™ { 4' š VK1 – &vš %K š :„ / ’ œ Q ™#:„ ž / ’ œ Q ™#!{ š#! ’'¡+K ˜ 94” ’$ –Q ™# 177 -L+fš ’ + ™ 4† ™ /7 — :˜ x š !¡0 š /% – :† ™ C! š k} š 4™ ’#-'k–v f’ +– a5„ ’ V™ / – K1{ {&š X’ /K – ! ’#K1'y— ’'œ5„V™ /£K1„ – +'š c– !T – +˜ ]˜~ !: ™ / œ r ++ — x — :š g’ –''&† — ’ f¡+ – )š C0L ’ v š1-{ 4š !¡+ š )' š !– ’' ™# 178 179 Lš +’ V#' – %x š  ˜ † ™ +¡= ’ 2 ˜ ]–' } ™ œ +† ’#L=' r — + ’ œ f„ š' ’#Tx+— —'vš X— !T ™ :„ ™ ’#{ :— šQ!f' ™ – !¡' š /K – :y /’ š ’#t-4š !¡+ š :„ ˜ C— ™ ’+z-':– &œ’ i!K ™ 6„ 2’ š' ’# % 180 K^+˜ X’ %™ ’':%x — f' ™ † – ’#!/šv %š ’+]– C ™ =K/ { š'¡0aL ˜ =' r — + ’ œ f„ š' ’#Tx+— —'L+v X’ % – œ +„ ’#-{ :˜ V3 ˜ { &† ™ š1¡:f˜ f' ” €– !¡' š /K– # 181 !#!''::/$&+#'Ó!=6#%/!+)##:%/0=%Ó#+'68#'+#)!--!#8/=/%+/+=#<:!=/%+/-':#/-':!/$#% !=6#%/!+)##:%/0=%Ó#+'60'8#'+#)!!#%=/%+/+!#8/=/%+/-':#/-':!/". 182 http://beinenu.com/sites/default/files/alonim/52_39_72.pdf le 26 mars 2019 65 (COMMENTAIRE SUR 1M4) 1-7 Cнest toujours la même stratégie maccabée qui est appliquée, laquelle consiste à talonner son ennemi mais ici cнest bien plus subtil que les épisodes précédents car ce sont des éclaireurs qui vont au-delà de la ligne ennemie pour savoir leur nombre et leurs mouvements, ce qui permit à Juda Maccabée de lever le camp avant lнarrivée de Gorgias. Cнest en 6 quнon constate une fois de plus lнinsuffisance en ressources ferriques côté judéen, ce qui se corrèle de notre point de vue directement à 1M1,11. 8-15 Lнanalogie de la situation avec la traversée de la mer rouge est tacite et cнest là encore lнexpression dнune foi qui consiste à ce que tout soit agréé ou refusé par Dieu, mais pour ce qui est du cri pour Le solliciter nous doutons que cela ait encore lieu à lнépoque hellénistique, si bien que nous restons perplexe car le Shofar a toujours été disponible et cнest lнinstrument clé pour solliciter Dieu en tous temps dans le Judaïsme alors que les trompettes sont à notre connaissance un instrument de guerre depuis lнépisode de Jéricho. La poursuite des troupes de Gorgias à pied est faisable depuis Emmaüs mais cнest aux limites de ce que le corps peut supporter, aussi sur ce passage du récit il nнy a pas dнexagération. 16-27 A la fuite vers la plaine succède un retour des forces de Gorgias encore valides qui pour changer suivent les Judéens, il faut supposer quнils nнavaient pas vraiment de ravitaillement entre les deux épisodes sur le champ de bataille si bien que globalement la fatigue a pris le dessus. Judas Maccabée continue comme toujours à pister ou à talonner lнennemi avec semble-t-il une longueur dнavance, ce qui compense partiellement les difficultés en armement qui se résolvent en 23, où par « dépouilles » il faut ici surtout comprendre le dépouillement post-mortem. En 24 cнest évidemment comme le dit si bien la TOB une intertextualité avec Ps. 118,1-29 mais cнest surtout de la séquence LG2’ %-„ ™ +L3 š +' ’ Vx – dont il est question parce que si le psaume 118 est intégralement énoncé chaque Sabbat, cнest /ki léнolam chasdo/ qui est emphatisé par le public dans la liturgie commune à voix haute et ce psaume faisait probablement partie de la culture commune déjà dans la première partie du second siècle. Dнailleurs notons néanmoins quнil soit possible pour les rédacteurs de 1M et 2M ainsi que pour lнabréviateur quнils se soient inspirés de Lv. XXVI,8 pour ce qui est de l'extrême dextérité et efficacité au combat dans lesquels un soldat maccabée serait à même d'anéantir plusieurs dizaines de soldats séleucides, ce qui permet aussi de consolider l'avis favorable du lecteur à la dynastie hasmonéenne. 28-35 Le séquençage qui est de la TOB donne début 164 CG pour 28 et nous précisons que cнest 148 CS & 3597 CH. Camper à Bethsour à lнépoque ne donnait pas de désavantage car au printemps le sud de la ou quelques ue uelq nes es u n uem niqu si b im désertique ne se faisait pas encore Judée est verdoyant mai mais pou pour semaines uniquement bien que le climat ode de de lнannée. llннann année. En En 3300 ccнest ressentir à cette période нes enco encore ore re une u e allusion all sion n au u Tm Tm pour pour lequel pou lequ la TOB cite 1S 17,23-54 et 1S l volonté l ite de sнidentifier d fier au récit cit b 14,1-14, cнest autant lle ffait d dee la liturgie que la tacite biblique qui sont la base de cette allusion verbale, ce qui naturellement motiver ui vie vvient nt na n atu lem nt m atur mot iverr les troupes, roupes, cee qui qu est lee troisième troisièm objectif objectif de de cet c énoncé. En 33 lнhébreu originel est particulièrement particulièreme t flagrant fla rant et rappelle rap ppell la liturgie, liturgie, ce c qui donne donne en hébreu hébreeu qui q était éta à notre avis le ĞĹūĵĭĦijĪ ĎĭŦľ čĪķĬĺĮĬ ĴķĨĮĩ ¹ ¼¼¼¼ ¼¼¼¾ ¾½¼Ä ¼¾½ ': '< 06&2 ¿¼¾½ÂÃÅ Ã ¿Ã $= texte originel ici énoncé lequel était aussi très probablement dans la liturgie de lнépoque : utnsrjmnijpjvlrw‚m q p L corps corp à corps corp cor corps évoqué é qué évo qué en en 34 sous-entend que la cavalerie séleucide a été anéantie dans le vrr‚jsnpj‚rsw‚r{lnr {l r . Le {l p s pris part au deuxième combat, lequel est exclusivement composé de fantassins combat précédent ou quнils nнont pas rs q que les Ju déens son ieu armés rm s qu des deux côtés ce alors Judéens sontt m mieux quнauparavant ayant récupéré le butin des dépouilles ité jjudéenne dé ennemies. Lнintrépidité en 3355 est un peu pe due d aux propos de Judas Maccabée mais toujours est-il quнil nous semble quнils sont tous au combat quнils perçoivent être « pour la Sainteté de Son nom » (évoqué précédemment), ce qui vient expliquer leur intrépidité parce quнils savent que la religion prévoit pour ce type de décès une place/partie dans le monde à venir (!-+#39+% -#9/). Cela étant, nous ne pouvons définir si les étrangers recrutés par Lysias toujours en 35 sont des étrangers parmi les populations du RS ou sнils sont extérieurs au RS, mais ce qui va en faveur dнun recrutement extérieur au RS est en 29 et nous nнavons pas de contre-argument. 36-60 Nous maintenons le séquençage de la TOB que nous ne pouvons éviter dans nos quatre lectures et relectures, lequel passage relève tant du Judaïsme que de son histoire et la perpétuation des faits religieux inhérents à ce passage jusquнà aujourdнhui. La dédicace dont il est question en 36 sous-entend le fait dнériger à nouveau le Temple après lнavoir purifié, et cнest le même mot que pour la fête conséquentielle encore de nos jours et la même expression pour dire en hébreu pendaison de crémaillère : Hannoukah et Hanoukat-baÿt pour pendaison de crémaillère (='-=)#1%!)#1%). La tradition juive voit aussi dans le mot Hannoukah un jeu de mot-composé, chanou (#1%), « il se sont reposés », kah pour écrire vingt-cinq en hébreu (!Ó)), dнoù la lecture « ils se sont reposés le vingt-cinq ». La végétation en 38 devait donc avoir trois ans, et lнétat décrit laisse penser que le culte de Zeus Olympien qui y était voulu par AIVE nнa apparemment pas été accompli durant ces trois années, ce alors quнen CG cнest dans cette même année 164 quнil aura décédé. Le deuil en 39 est un deuil qui se répète et le texte confirme là encore lнusage de la trompette suivi de cris pour se manifester auprès du Ciel mais notons quнil nнest toujours pas question de Shofar. 42 précise que la purification ordonnée en 36 ne peut être réalisée que par des Cohen mais en précisant des Cohen exempts de souillures lнauteur pense précisément aux interdits spécifiques aux Cohen qui sont des interdits en impureté, ce qui commence par lнinterdiction de femme précédemment mariée et va jusquнà lнinterdiction complète de toute impureté émanante de la mort, donc interdiction dнaller au cimetière, de toucher le corps dнun défunt, et ici nous présumons quнil est fait état de Cohen qui ont contracté lнimpureté de la mort en victimes des attaques séleucides sur les civils judéens ou bien des Cohen qui auraient pris part au combat, ce alors que nous nнavons pas de documentation qui nous permettrait de plaider pour lнune ou pour lнautre option, voire pour les deux à la fois. Pour le verbe « sanctifier » nous présumons que cнest le verbe hébreu /léqadesh/ (<9+) qui a ici le sens de « purifier » et par conséquent sanctifier mais nous ne savons pas si nous devons compter le 66 chandelier parmi les nouveaux ustensiles, parce que nous pensons que cнest un peu trop grand pour être compté comme tel. En 50 par contre il nнest pas fait état du récit traditionnel de Hannoukah qui dit que lнhuile pour une journée de candélabre avait finalement duré huit jours, il y a donc un écart entre la tradition juive rabbanite et 1M tandis que 47-51 résume bien le culte au Temple mais ne fait pas état de sacrifices dнanimaux. Le 25 Kislew 148 CS est pour la TOB aux alentours du 14 décembre 164 CG, dans nos calculs le 25 Kislew de lнan 164 CG et 3598 CH est en fait le samedi soir 9 décembre 164 CG au soir jusquнau dimanche 10 décembre 164 CG au soir, ce alors que le 25 Kislew 145 CS est le 25 Kislew 167 CG ce qui est 3594 CH, soit le vendredi soir 12 décembre 167 CG jusquнau lendemain soir le samedi soir 13 décembre 167 CG, ce qui donne dans le calendrier grégorien un écart de trois ans et trois jours CG. En 56 cнest la dédicace qui est fêté huit jours durant, ce qui semble être la base effective de la fête de Hannoukah. En 59, fêter huit jours durant la dédicace se fait depuis le la veille au soir de la journée du 25 Kislew, le décompte dнune journée commençant le veille à la sortie de trois étoiles de taille moyenne, la date de chaque fête étant mobile sur quatre semaines CG du fait du mois dнAdar Beth (Adar II) qui est rajouté une fois tous les trois ans. Le chapitre se finit en évoquant la menace iduméenne qui est racontée dans le chapitre suivant. (COMMENTAIRE SUR 1M5) 1 « Les nations » sont ici une occurrence supplémentaire et renvoient à IF (2018 :79). 2 marque lнhostilité aux Judéens des nations limitrophes en tuant les Judéens expatriés, mais se pose la question de leur qualité de vie dнexpatrié là où le sentiment dнhostilité anti-judéens ne devait pas être nouveau ni soudain. 3 Cнest bien le flanc sud de la Judée qui est le site des combats de Judas Maccabée, et lнAkrabattène dont il est question dans le texte est très nécessairement une région particulièrement peuplée de scorpions, qui se dit /‘aqrav/ en hébreu (:93. Nous pensons comme la TOB que cette longue liste de campagnes militaires a du sнétaler sur plusieurs mois et il me semble logique que ce soit bien 163 CG soit 3598-3599 CH, quant à Iazér cнest à environ 18 km au sud-sud-ouest de Philadelphie, lнactuelle Amman, dixit la carte de UR. 9-11 Ce passage semble être le paroxysme de ce qui vient conforter si besoin était IF dans ses publications rééditées en 2018 (2018 :79-82). 13 se corrèle avec 2 mais ce quнil faut signaler cнest lнanalogie avec les méthodes séleucides utilisées à Jérusalem dans cet épisode précédent où les hommes étaient tués alors que les femmes et les enfants étaient mis en esclavage en 1M1,32 nous estimons à moins de 10 000 le nombre de Judéens qui av avag 3 et nou n T Tobie » avant avant ce ce m ma ass re o utre-jourd in n, ssur ur la bas se de de mill m résidaient « au pays de Tobie massacre outre-jourdain, base mille hommes morts nous pensons à mo m i de d h it enfants f t par ffamille, am amil 00 est e le maximum estimable. 14 des familles nombreuses avecc moins huit sii bi bien que 10 0000 atteste de lettres portées par confirme système communication par p des deess messagers, m ssag rs, ce c qui qui con rm me le sys tèm de com co mmuni tion mmu n pa ar rrelais ela de messagers à elai lнépoque si bien que llнéventuel нévventue tueell édit de AIVE a été du pliq qué pour qu po our être être lu u en en place place publique pu ubliqu ubli qu ue dans d dans les les villes v dupliqué de Judée, et il est probable que ces messagers toujours ici en 14 aient déchiré leurs vêtements en signe immédiat de deuil pour des parents au premier degré deg eg gréé auquel a uel cas auq auqu as ils ont o t commencé com mmencé les sept jours de deuil après avoir relayé cette information et 833. 8 lнintertextualité en 155 eestt IIss 183 8,23. La La TOBB con confirme nfirme ce que nous savions déjà sur la Galilée, mais plus généralement nfirm sur la partie septentrionale de la Ter Terre sainte. 16 Les messagers g ont dû apporter ces informations à Jérusalem qui avait vu le retour dнune population dédicace 17 Juda délègue à Simon une mission dнampleur pulati pu lation on judéenne jud udéenne ne avec avec la dé ave ac du Temple. ac T égale à celle quнil fera en même temps, ce quii renvoie aux dernières paroles de Mattathias, en 1M2,65, où il était question que Simon soit le conseil et Juda le chef de Guerre, mais lнexpérience au fil des années semble avoir montré à Judas quнil pouvait déléguer une partie des campagnes à Simon. 18-19 Cette stratégie qui consiste à ne pas laisser sans défense la moindre entité judéenne durant les campagnes militaires semble constante tout au long du récit, mais ce qui est nouveau ici cнest lнinterdiction dнengager le combat, lнarmée ne peut donc que répondre si besoin était, si bien quнon suppose aisément quнelle est en fait invitée à faire preuve de retenue de prime abord. 20 Le nombre de soldats alloués à chacune des deux campagnes doit logiquement refléter la démographie de Galilée et de Galaaditide. 21-23 La fuite des « païens » vers Ptolémaïs sнexplique par le relief du nord de Terre sainte, depuis la Galilée au nord-est ce sont les reliefs montagneux du Golan, et au nord cнest le massif de lнanti-Liban, et depuis la Galilée la fuite la plus raisonnable était effectivement vers Ptolémaïs. Et en 23 1Mgr ne semble pas faire état de Juifs si ce nнest dans le sous-entendu17 184 entre contexte et pragmatique : ĞĹūĵĭĦijĪ ĎĭŦľ čĪķĬĺĮĬ ĴķĨĮĩ ¹ ¼¼¼¼ ¼¼¼¾ ¾½¼Ä ¼¾½ ': '< 06&2 ¿¼¾½ÂÃÅ¿Ã $= 182F 183F Á¸Ė ȸÉñ¸¹¼ÅÌÇİËëÁÌý˸ÂÀ¸ĕ¸ËÁ¸Ė ëÅɹ¸ÌÌÇÀËÊİÅ̸ė˺͟ÀÆĖÅÁ¸Ė ÌÇėËÌñÁÅÇÀËÁ¸Ė ÈÚÅ̸բĞʸöŸĤÌÇėËբÁ¸Ė ôº¸º¼Å¼ĊËÌüÅ ÇÍ»¸ĕ¸Å ļ̼ĤÎÉÇÊįžËļºÚ¾Ëե Et on peut présumer quнils nнétaient pas judéens mais galiléens, ce qui confirme lнarchéologie des trente dernières années (Knoppers 185, 2013). 24-28 Les campagnes ici relatées ont dû prendre un certain temps, et le récit reprend la forme du récit biblique classique des combats armés comme « passer tous les mâles au fil de lнépée » etc, cнest là encore une volonté dнanalogie avec le récit biblique pour sнen prévaloir et sнy intégrer, ce qui eût lieu dans le NT uniquement. 29-36 Le récit des campagnes est souvent de même structure en 1M, mais notons surtout quнen 33 lнarmée maccabée reçoit lнordre de progresser vers les arrières de lнennemi, ce qui est du talonnage et renvoie à notre analyse - –'LE!+' ™ +x – ’E0Gv — :’ ™Q!: ™ „˜ 4— -{ šQ!T ™ :˜ G˜ 'Cr – )’ !0L – :x %” ™ !š ’#'+– v kš 6’ ™1!8š :’ „ ™ ’#0K+ { ž ’$!8š :’ + ™ 9€ ™ !0L — f y :– !=„ š 4— Vt š I š+9„8K/: š f„ ˜ ” + ™ 5z 4K/ š œ +' „ V„ – ) 183 184 Extrait de TX. Knoppers, Gary, N., Jews and Samaritans, The origins and theory of their early relation, Oxford University Press (2013) 185 67 étymologique de /maqqabim/ en hébreu, et lнinvocation dont il est ici question en 1MTOB nous faisait penser à une hodaya jusquнà ce quнen 1Mgr il soit tout simplement question de prière, ce qui est aussi une invocation mais non pas une hodaya ֕Á¸Ė ëÆý¿¼ÅëÅÌÉÀÊĖÅÒÉϸėËëÆĠÈÀÊ¿¼Å¸ĤÌľÅբÁ¸Ė ëÊÚÂÈÀʸÅ̸ėËÊÚÂÈÀºÆÀÅÁ¸Ė ë¹Ġ¾Ê¸ÅëÅÈ ÈÉÇʼÍÏĉ.). 37-44 En 37 le mot torrent est bien ϼÀÄÚÉÉÇÍen 1Mgr et cela implique quнon soit en hiver ou au pire au début du printemps. En 38-39 cнest une attestation supplémentaire dнusage dнéclaireurs par lнarmée maccabée. Lнavantage dont Timothée parle en 40 signifie que le combat armé ne pouvait avoir lieu dans lнeau du fait du fort courant car il semble quнil nнy ait pas de cavalerie des deux côtés et en 41 nous pensons que cнest bien plus la peur du courant que la peur de lнennemi, si bien que nous pensons à une période entre décembre 163 et février 162 CG ou au plus tard décembre 162 à février 161 CG. 42-44 La TOB précise que les scribes du peuple sont en fait les officiers dнadministration de lнarmée et leur présence dans les rangs de cette campagne vient confirmer les effectifs donnés en 20, et en 44 cнest une stratégie concentrique qui est décrite et qui se corrèle avec le niveau de technique de 33, dнabord la ville puis le sanctuaire, ce qui évite évidemment dнavoir un sanctuaire encerclé par les citadins alors quнune bonne partie des richesses de la ville sнy trouve. 45-54 45 est similaire à 23 pour lнexode juif vers la Judée, ce qui est une bonne stratégie pour protéger la population qui était en milieu hostile. 46-53 est un récit très classique au niveau littéraire de campagne militaire maccabée toujours similaire aux récits de combats dans le texte biblique, mais ici le motif est uniquement lнhostilité qui est telle que le droit de passage est refusé tandis quнici la nouveauté est lнexpression de la durée du combat qui vient conforter notre présomption de combats qui se sont étalés sur plusieurs jours, ce qui signe une certaine économie de la part du rédacteur de 1M qui se cantonne finalement à un structuralisme et un style parfaitement bibliques. 54 Lнutilisation du verbe gravir en français se trouve dans la 1MTOB et FMA1M pour le verbe ÒÅñ¹¾Ê¸Åmais il ne faut pas sнy méprendre en supposant une route délabrée et un trajet qui relève de lнescalade, ce verbe en Matthieu 13,7, Marc 4,7 , Luc 18,10 et Jean 7,10 est toujours traduit en anglais par des verbes avec la particule « up », cнest en fait uniquement lнidée de montée qui est ici en grec, lнhébreu doit donc en toute logique être /laнalot/ (=#+3+) et les holocaustes offerts peuvent être originaires de Galaaditide comme ils peuvent être de Judée. La TOB donne comme date la pentecôte de 163 CG , ce qui est une date statique car elle est dans CH le cinquantième jour du Omer, donc cinquante jours après le quinze nissan 3598 CH qui est le lundi soir du 26 mars 163, ce qui donne une Pentecôte 3598 CH le vendredi soir du 12 mai 163 CG, ce qui donne, sauf erreur de notre part et après maintes vérifications une arrivée à Jérusalem le même vendredi 12 mai 163 CG, donc avec av des ave e sacrifices cr crifi rt du soir du samedi rtir s ai 163 CG. 55-59 Cнest une simple offerts à pa partir 13 mai volonté de rentrer dans annales hauts-faits guerre maccabées vient motiver Joseph et Azarias à initier ans le lles ess an nnalles nnal es des des hau h au uts aits de utsd g uerrre re m accaabées es qui qui vie ntt m mo leur propre campagne jusquнàà cce niveau du récit sans en référer à Judas ni à Simon éf éfér on eet le style direct dans 1MTOB laisse éco outté dans d ns lнétat-major da l tat tat--majorr maccabée maccabé et ccнest нest est lнensemble lнense ble de 1M qu aissse p en er à une organisation ens penser que tout était écouté qui laisse penser dнéclaireurs polyvalents quнà dont lнarmée. 60-62 nts tant tant avant tan aavant les ess co ccombats mbats qu q uнàà llнintérieur нin in rieu rieur même m mêm me de llнorganisation нorganisaatio maccabée maccab ccabée do Cнest en 61 quнil est dit q que Joseph p et Azarias nнavaient pas écouté Juda et ses frères mais cela semble un peu paradoxal parce quнil nнest pas qu question bouche q uesstio on de cconseils on nseils seils dee la la bouc b che de Juda mais dнordres à tous points de vue tout au long de la che monographie qui émane d de 1M, tandis cette écoute au sein même de lнétat-major maccabée on imagine d quнavec a av difficilement Juda ne pa pass êt être tre re informé nformé dнun nfo d un tel mouvement mo em nt de d troupe, si bien que le récit reste cohérent pour cette mnia. 63-68 campagne contre Jamnia. 6 3 -6 8 S Sii en n 6688 ccнest нest e une un guerre uer erre re contre con lнidolâtrie qui rappelle lнépisode de Josèphe quant à des Judéens qui refusent 186 les « affiches » romaines à Jérusalem, épisode très drôle qui résume bien le conservatisme judéen, en 67 cнest un récit beaucoup plus compliqué : Pour la dédicace du Temple il était question de prêtres qui nнavaient pas de souillures, ce que nous avons assimilé aux lois sur les impuretés relatives aux prêtres, mais ici il sнagit de Cohen qui « voulait faire acte de bravoure, en allant au combat de façon téméraire », et dans la littérature légale juive il nнy a à notre connaissance quнune seule possibilité dнavoir un Cohen sur le champ de bataille, cнest le cas du 0!) ĞĹūĵĭĦijĪ ĎĭŦľ čĪķĬĺĮĬ ĴķĨĮĩ ¹ ¼¼¼¼ ¼¼¼¾ ¾½¼Ä ¼¾½ ': '< 06&2 ¿¼¾ ¼¾½ ¾½ÂÃÅ ÃÅ¿Ã $ = %#</ 187!/%+/ ĎĪĶĺĮĪĸĹķĦĵĵĴķĹūĵĦķıĦıĮĹĹūķĦĹĺķĪijĺIJūķĮĶĺĪĨĴIJIJĪūĹĦijĹĪijďĹ 20,2 , ce qui est aussi plus tard en Mishnah Sota 8, et en TB ĞĴĹĦÀ¼ħĘĦĮĸıĪĸĦĨĹĪĸĩĪħķĦĻĴĺķĪĩĪĸĎĴĭĪijĩĴijĹĮıĪĸĹĮĨĮĶĺĪĸĹĮĴijĸĴijĹĺijijūĴıĴĬĮĸIJĪ absolu, si bien que s’il y avait aĺĵĦķĦĻĦijĹĩĪĸ ĎĴĭĪijIJĦĸĭĴĺĦĨĭIJĮıĨĭĦIJĦ ĨĪĶĺĮij’avait aucune raison de ne pas être présent aux effectifs dans les guerres maccabées, alors que ces même actes de bravoure ne correspondent pas du tout au rôle du !/%+/%#</0!) et c’est pourquoi notre présomption consiste en deux fonctions au combat chez les Cohen, la première étant celle classique du !/%+/%#</0!) ĵķūĻĺĪĵĦķďĹ¾¼¾ŢıĦĶĺĪııĪĸĪķĦįĴĺĹĪĩĪĸĎĴĭĪij combattants, ce qui implique un problème légal religieux de souillure par impureté de la mort, de sorte qu’il est impossible de dire si les prêtres qui avaient des souillures à la dédicace du Temple relevaient de l’impureté de la mort au combat ou de l’ĮIJĵĺķĪĹūĨĴijĹķĦĨĹūĪĵĦķıĪĨĴijĹĦĨĹĦĻĪĨĩĪĸĨĴķĵĸĩĪĩūīĺijĹĸĨĮĻĮıĸĻĮĨĹĮIJĪĸĩĪĸĞūıĪĺĨĮĩĪĸė’absence de l’évocation de !/%+/%#</0!) dans 1M laisse présumer que c’était une présence évidente dans les rangs, ce qui vient conforter les discours motivants avant les combats, qui peuvent donc tout à fait avoir été dits une fois par le chef de guerre maccabée et une seconde fois par le !/%+/%#</0!), ce qui ne devait pas être de trop pour motiver les troupes en faibles effectifs avec peu d’ĦķIJĪĸĩĦijĸıĪĸĵķĪIJĮĪķĸĨĴIJħĦĹĸ 186 187 GdJ II, 9, 2-3 Littéralement « Cohen oint de guerre » 68 ***** Interlude : Il serait possible que la saisie-confiscation des objets de culte du Temple en 1M1 soit en fait le premier épisode dнune guerre fiscale, et le souverain séleucide nнaurait pas pu solder la dette fiscale de par ladite saisieconfiscation ce qui serait donc une une guerre fiscale et non pas un évènement soudain en soi, ce qui nous donne la forte présomption que lнinterdiction de pratique du Judaïsme était une mesure punitive pour dette fiscale non soldée, ce qui est beaucoup plus cohérent quнun édit publié sans la moindre logique de cause et conséquence, et la saisieconfiscation serait plus fermement mise en application à cause des conséquences financières de la PAK, ce qui vient minorer lнimportance de la volonté dнhellénisation des Judéens : sнil nнy avait pas eu cette dette fiscale le souverain séleucide aurait fait piller le Temple de Jérusalem comme les autres temples sur le territoire séleucide et en serait resté là avec un pillage de plus qui serait venu compléter les caisses en se rajoutant à lнimpôt judéen qui aurait dû être crédité dans les caisses royales. Ce serait donc une mesure répressive et punitive proportionnelle à lнerrance budgétaire séleucide de par la PAK aggravée par cet impôt non acquitté qui prend donc une autre dimension bien plus conséquente là où Josèphe atteste en GdJ II, 9, 2-3 dнun épisode ultérieur dнaffiches déchirées par les judéens à Jérusalem. (COMMENTAIRE SUR 1M6) 1-4 La TOB ne connaît pas Elymaïs, mais UR pense quнil sнagit de la région montagneuse au nord-est de Suse, et lнanalyse de UR188 est ici très pertinente : Elymaïs nнest pas une ville mais un pays, une contrée, dont la ville principale est Suse, et lнusage du mot Perse est inexact car « Elymaïs nнen faisait pas partie » : 189 qui est en Perse. Lнinformation donnée ici et dans la suite est erronée, Elymaïs nнest pas une ville mais un pays, dont « Elymaïs la ville principale est Suse. De même lнusage du nom de Perse (‘Persisнen grec), peut-être sous lнinfluence du Tm est inexacte parce que Elymaïs nнest pas incluse dans la Perse, mais son usage par le rédacteur de 1M (13 vient préciser les parties orientales du royaume sélecide, mais dans 1M6 et 2M13 ce terme vient souligner les parties orientales du royaume séleucide et de lнempire parthe qui incluait ces zones au moment de la rédaction de 1M cнest-à-dire durant les jours de Jean Hyrcan ; les commentaires de 1M14,2 et mpl p quнAntiochus uнAnt A ait pi ller était lle é étai n 2M9,2 expliquent quee le temple voulait piller celuii de Persépolis. Lee noyau historique de lнhistoire est la volonté tre la la main m n sur sur les le trésors trésors tré sors du temple emple dнElymaïs d dннElym E maï maïs qui ui éétait tait dé tait édié au édié au die d di eu o eu dнAntiochos de mettre dédié dieu oriental nommé en grec Artémis (chez ho de par le refus hou efus de la population pop locale (Polybe 31, Apion 11,6 et Polybe), ou Aphrodite (chez ¸ÈÀ¸ÅÇË, ¸Å Ë Apion). Cette tentative a échoué ¸ÅÇ tableau ta tab bleau n°4 n 4 à la page page 106 pag 106 ci-dessus.) c d sus. » ci ĞĹūĵĭĦijĪ ĎĭŦľ čĪķĬĺĮĬ ĴķĨĮĩ ¹ ¼¼¼¼ ¼¼¼¾ ¾½¼Ä ¼ ¼¾½ ': '< 06&2 ¿¼¾½ÂÃÅ¿Ã $= 5-7 Le récit ffait i à AIIVVE est conforme f à ce qui était précédemment é éd d racontéé en 1M. 8-13 La maladie de AIVE semble être dégénérative, nнarrive plus à dormir. En 12 AIVE parle dнobjets dнor et dнargent, ce qui ativ tivvee,, preuve p uve en preu n est quнil q il n arrivve p correspond à 1M1,23, des Judéens peut laisser penser quнune dette fiscale ne pouvait 3, et e lнextermination lнexte e teerm tion ion sans an n motif ns motiff de aboutir à une condamnation à mort,, et ce serait donc un système légal où une dette est soldée par saisie ou saisieconfiscation. 14-15 La TOB pré précise cise qu que ue Philippe P Philippe est e rival va de Lysias, L alors que le précepteur est récurrent dans la dynastie séleucide. 16-17 La TOB d donne septembre t mbre ou o octobre octo ct 164 164 4 CG, ce qui donne 3597-3598 CH, lнannée 3598 CH commençant le soir du dimanche 17 septembre 164 CG. 18-27 La souveraineté maccabée nнest pas totale sur Jérusalem, il reste la citadelle dans laquelle réside les Juifs pro-hellénistes, si bien quнon devine une géographie urbaine en deux camps distincts, les Maccabées et les Juifs anti-hellénistes dнun côté, les Séleucides et les Juifs pro-hellénistes de lнautre (en 21) qui semblent avoir besoin de la sécurité donnée par la citadelle qui est difficile à prendre comme dit en 20, 150 CS étant 163-162 CG pour la TOB, ce qui est 3599/3600 CH. Les technologies de guerre semblent maîtrisées par les Judéens, ce qui va de pair avec leur stratégie avant et durant le combat. En 23 le style direct rapporte que les Juifs prohellénistes ont respecté les édits de AIVE, mais leurs propos semblent dissimuler le culte à Zeus Olympien réputé imposé par AIVE, si bien quнici nous nнavons pas de corrélation avec les passages précédents à ce sujet. En 24 il est question des concitoyens, ce qui fait allusion à ceux qui assiègent la Citadelle, les Juifs anti-hellénistes, et il nous semble important de formuler le doute quant à la possession de la citoyenneté de la ville grecque de Jérusalem par les Juifs anti-hellénistes, mais nous ne connaissons pas les dates de lнexistence de cette citoyenneté grecque à Jérusalem, François Varlin 190 atteste que les Juifs au troisième siècle sont citoyens des villes grecques, donc une citoyenneté lagide, mais pour lнinstant nous nнavons pas de documentation qui nous permettrait de définir plus précisément les termes de cette citoyenneté de la ville de Jérusalem au deuxième siècle. UR traduit par « fils de notre peuple », FMA parle aussi de concitoyens, TX dit comme UR, et nous ne trouvons pas ÊÍÄÈÇÂţ̼Ëen 24, si bien que nous ne pouvons asserter ni sur le mot concitoyens ni sur la citoyenneté de Jérusalem en 150 CS, 163-162 CG, là ou le dictionnaire grecallemand de Pape confirme « Mitbürger » pour ÊÀÄ-ÈÇÂÀÌÀË, ce qui est bien « concitoyens » en français et nous nнavons pas de synonymes, donc la question reste en suspens. 26-27 Lнobjectif maccabée que constitue la prise de la Citadelle sнinscrit dans une stratégie cohérente, le tout dans un mouvement de campagnes militaires de grande ampleur aux frontières de la Judée et les Juifs pro-hellénistes font une bonne analyse de la situation, laisser faire Juda Maccabée cнest le rendre incontrôlable. 28-47 Le régiment du train dans la TOB en 28 ne peut exister à lнépoque, il est en fait question 188 (2004 :187) -+'3 ĪijĭūħķĪĺ 190 Comprendre la Bible, page 62 (2005) 189 69 de /saré harechèv/ pour UR, ce qui peut être les chefs de cavalerie dont les chars, ou peut-être les chefs des chars uniquement, ce qui est moins probable, le verbe /lirkov/ faisant à lнépoque allusion au fait de monter un animal, et principalement un cheval à lнépoque. 29 Les troupes mercenaires sont réputées être principalement basées à Chypre, mais ce nнest pas leur seul lieu de résidence. 30 Les effectifs séleucides sont très conséquents mais restent crédibles alors que ce passage ne dénombre pas les effectifs maccabées, soit par méconnaissance, soit par crainte de transgression en dénombrant les Juifs, ce qui est interdit dans le Judaïsme ancien mais nнest plus vraiment en vigueur aujourdнhui. 31 La TOB note pertinemment que lнitinéraire qui longe la côte semble être celui emprunté comme en 1M4,29. 32-33 Le combat a donc eu lieu sur une route qui avait lнavantage dнêtre globalement plate hormis les éventuelles montées et descentes, ce qui permit une confrontation rapide voulue par Antiochus comme fulgurante de par le nombre et les composantes, les animaux jouaient un rôle important dans les combats. 34-38 La stratégie dнanimaux aux combats est bien établie avec une méthode sophistiquée, ce qui laisse deviner que ce nнest pas un néologisme des quelques années précédentes, la littérature antique relate par ailleurs des animaux immolés courants dans les lignes ennemies. En 38 on constate que cнest le roi qui organise lui-même lнavancée et lнorganisation des différents régiments, ce qui permet de constater quнil est fin stratège en disposant « le reste de la cavalerie sur les deux flancs de lнarmée pour faire du harcèlement et couvrir les phalanges». 39 Les boucliers qui reflètent la lumière du soleil éclairent les montagnes environnantes mais ce que 39 ne dit pas cнest que la lumière est une arme en ce quнelle est aveuglante quand dirigée vers les yeux des ennemis qui se retrouvent soit aveuglés soit obligés de fermer les yeux ou de les couvrir avec leur éventuel casque ou leurs boucliers. La tradition relate que les miroirs étaient des armes de guerre juives à lнantiquité mais nous nнavons pas de référence précise, ceci relevant de la littérature orale alors que cela reste cohérent comme usage de boucliers. 40-41 Le combat nнest plus uniquement sur la route mais « sur les hauts de la montagne et sur les contrebas », dans une logique de mieux cerner les Maccabées et de les empêcher de fuir. Seule la TOB utilise le mot « rumeur » en 41, et nous ne le trouvons pas en 1Mgr : « Á¸Ė ëʸ¼įÇÅÌÇÈÚÅ̼ËÇĎ ÒÁÇįÇÅ̼ËÎÑÅýËÈÂû¿ÇÍ˸ĤÌľÅÁ¸Ė ĝ»ÇÀÈÇÉĕ¸ËÌÇı ÈÂû¿ÇÍËÁ¸Ė ÊͺÁÉÇÍÊÄÇı ÌľÅĞÈÂÑÅжöźÛÉ÷ ȸɼĹÇÂü ļºÚ¾ÊÎĠ»É¸Á¸Ė ĊÊÏÍÉÚ. » (1M6,41) Si bien que nous ne pouvons asserter en faveur dнune guerre psychologique, laquelle ne nous semble pas probable à cen morts m mo séleucides s sél sur un effectif eeffec ef ctif de cent-vingt-mille ent soldats so o séleucides, cнest donc une défaite cette époque. 42 Six-cents qui ne dit pas son nom, om, ce ce qu qui ui est esstt courant co ourant our ant en en histoire istoire chez chez hez les le vaincus, vaincus cuss, s, dнoù dнoù ù la tournure to ourn urn de 1M dans ce passage. 43-46 Eléazar surnommé « Orèn » en h hébreu ne devait pas savoirr où frapper lнéléphant, ce qui marque une méconnaissance élép de lнanatomie animale, alors que danss le des dessous soudain signifie e, aalor rs q qu ue fr ffrapper pper dan de ssou de llнéléphant нéléph han ett mourir mourir dans d dan son écroulement écroul ou em quнEleazar avait sectionné unee artère quнil probablement ionn onn né un artè e principale, pri cipaale ce qu pr quн н fît ttrès rès pro oba emeent nt avec avec une u épée épée plutôt p tôt plu ôt longue. 47 Ici le texte dit « Les Juifs , constatant la force impétueuse des troupes royales, rompirent le contact » dans la TOB et chez FMA et TX, soit en grec « «Á¸ «Á¸Ė ¼č»ÇÅÌüÅĊÊÏİÅÌý˹¸ÊÀ¼ĕ¸ËÁ¸Ė Ìġ ĞÉľĸÌľÅ»ÍÅÚļÑÅÁ¸Ė ëÆñÁÂÀŸÅÒȸĤÌľÅե », mais nous ne Á¸Ė ¼č »ÇÅ ÌüüÅ ÊÏÏİİÅÌ Ë¹ »ÇÅ ¹¸ÊÀ¼ À¼ĕĕ¸ËÁ ¸ i en grec nii chez h UR, aussi nous comprenons que cнest le contexte qui fait trouvons pas le mot grec pour « Juifs » ici ns les es ver sions ffrancophones, rancop pho hones ce q apparaître ce mot dans versions qui est logique, mais cнest surtout intéressant de par le fait que les signifiie quнil quнil n нyy av ait pas ou pas as as aassez ssez de « Cohen oint de guerre » (!/%+/%#</0!)), dont le rôle Juifs se retirent, cela signifie nнy avait au combat était dнempêcher les fuites de soldats, et cela se confirme au moins en partie par lнabsence dнinformations sur les effectifs maccabées et le faible nombre de victimes séleucides. Peut-être les Cohen avaient-ils préféré servir au Temple pour le service sacré plutôt que de rejoindre les forces maccabées au combat. 48-54 Lнannée sabbatique en question est 3598 CH, ceci dit sur la base de la TOB qui précise que cнest la description la plus complète de lнartillerie séleucide qui était très sophistiquée. La victoire séleucide était inévitable durant une année sabbatique avec des vivres moins conséquentes suite aux migrations juives vers Jérusalem depuis les territoires hostiles racontées précédemment, mais lнarmée maccabée reste organisée malgré le début de disette et le dispersement a dû se diriger surtout vers lнouest où il est plus facile de trouver de lнeau et de la nourriture que dans le désert de Judée. 55-57 Cнest effectivement comme le dit la TOB suite à la mort de AIVE que Lysias anticipe les suites de sa rivalité avec Philippe, et cette volonté de paix avec les Judéens nнa pas dнautre but à notre avis que de prendre le pouvoir à Antioche et dнaugmenter la cacophonie ambiante ce qui devait être une défaveur pour Philippe, ce qui devait fragiliser un peu plus la souveraineté séleucide quнil voulait probablement occuper à Jérusalem et donc avoir moins de troupes disponibles à Antioche. Tout ceci a dû permettre à Lysias dнavoir une longueur dнavance sur la bataille dнAntioche, et cнest donc un Lysias rival de Philippe qui sнimpose à Antioche jusquнà ce quнil soit tué avec Antiochus sur lнordre de Démétrius dans le chapitre suivant. ĞĹūĵĭĦijĪ ĎĭŦľ čĪķĬĺĮĬ ĴķĨĮĩ ¹ ¼¼¼¼ ¼¼¼¾ ¾½¼Ä ¼¾½ ': '< 06&2 ¿¼¾½ÂÃÅ¿Ã $ = (COMMENTAIRE SUR 1M7) 1-7 Démétrius rejoint Antioche et fait exécuter Lysias et Antiochus, mais 5 nous dit que cнest après cela que les Juifs pro-hellénistes conduits par Alkime qui voulaient la charge de Grand-prêtre pour demander un audit sur la Judée, ce qui selon la TOB en 2M14,4 fût le deuxième rendez-vous dнAlkime avec Démétrius. Mais la question qui se pose est de savoir pourquoi Alkime ne sнest pas entretenu de cela auparavant avec Lysias ? Il est possible que ce soit parce que Alkime pensait que Lysias nнallait pas faire long feu au pouvoir ce qui nнallait pas consolider le statut demandé par Alkime, ou bien il est possible que Lysias ait été perçu par les Juifs pro-hellénistes comme partisan des Maccabées de par sa paix en Judée somme toute très temporaire, à moins que ce ne soit les deux en même temps. Le texte ne le précise pas. 8-9 Démétrius donne le sacerdoce à Alkime en le « chargeant de tirer vengeance des fils dнIsraël », et nous pensons que si cнest un exercice délicat, cнest surtout grâce à son poste officiel de grand-prêtre quнil 70 pourra essayer de faire basculer les Juifs pro-maccabées et anti-hellénistes du côté des Juifs pro-hellénistes, mais cнest plus quнun exercice délicat dans la mesure où le titre de grand-prêtre nнest pas vraiment de ce qui peut être décidé par un souverain semi-hégémonique, il y a donc un risque avéré quнAlkime échoue de prime abord. 10 vient attester du service de messagers couramment utilisé à lнépoque. 11-12 Cнest la deuxième occurrence des scribes en 1M, ils semblent faire partie de la haute société judéenne et dans la littérature biblique cнest une des rares occurrences de congrégation de scribes ou dнagrégation de livres et parchemins, ce qui pour nous vient en faveur dнune réécriture des textes bibliques au deuxième siècle, comme IF, AS et ET. 13-17 Les Assidéens sont donc influents, avec une perception filiale des choses, un Cohen est voué à fonctionner comme il se doit de par sa filiation, rien nнest moins sûr à lнépoque, preuve en est le massacre de soixante dнentre eux en 16-17 ce alors quнauparavant les Assidéens avaient rejoint le camp maccabée et que nous ne savons pas hormis un désir de paix et donc dнun Temple qui fonctionne avec un Cohen qui devrait être comme il doit lнêtre de par sa filiation quelles pouvaient être leurs motivations à changer de politique dans ce conflit qui est en fait triple entre les Séleucides, les pro-maccabées et les pro-hellénisme à tendance plus ou moins opposée aux maccabées, cнest lнimage qui ressort de ce chavirement assidéen, fresque sociologique dynamique tout au long du récit. 17 est comme le dit la TOB Ps. 79,2-3 191 et on peut supposer que ce psaume est contemporain de ces évènements pour ce qui est de sa rédaction. 18 Alkime a fait exactement ce quнil ne fallait pas faire pour se légitimer auprès du peuple. 19 1M ne dit pas pourquoi Bakkhidès tua ceux qui sнétaient ralliés à lui, ce qui ne semble pas très logique. 20-22 La difficulté dнAlkime à sнimposer était évidente après un tel massacre dнAssidéens, la question sans réponse est de savoir pourquoi ces exécutions décidées par Alkime et par Bakkhidès ont eu lieu alors quнelles allaient évidemment compliquer lнadmission dнAlkime comme grand-prêtre. 24 est la réponse logique de Juda Maccabée, il ne pouvait rester les bras croisés. 25-38 De 25 à 32 on comprend quнAlkime était en défaveur, et cнest la stratégie de Nikanor qui est la cause de son échec, mais il ne sait pas que Juda Maccabée est bien renseigné, ce qui ne semble pas être le cas côté séleucide, notons que jusquнà présent il nнy a pas eu dнévènement initié par les Séleucides qui aurait fait lнobjet dнun renseignement ou dнune communication discrète pour ne pas dire secrète, preuve en est que le rédacteur de 1M sait tout vers 100 CG comme sнil était contemporain des évènements. En 33 il est pertinemment noté que des holocaustes en faveur du roi sont offerts, après cette période réputée dédiée à Zeus Olympien, et si il est question dнhommage au roi, cнest que la prêtrise et le peuple restent conscients quнils sont sous semi-hégémonie séleucide acc béee en n tter e a neté ne é.. L m malgré les progrès maccabées terme de souveraineté. Les holocaustes en hommage au roi sont analogues des prières les synagogues synagogues pour po pour les chefs hefs de gouvernements gouverneme gou emeents locaux, lo ocaux, ce ce qu contemporaines danss les qui se conscrit dans la loi du TB /dina + +/+ ) d bl retrouver ro rou d ses aspects ts en e 1M7 bien longtemps avant la lémalchouta dina/ (1'=#)+/+1') dont on semble un de B rédaction du T , il y aur aitt donc do onc u un sui dans dans ce prin p pe de lloi oi qui q serait rai tr rait ès aantérieur nté eur au TB. 3377 renvoie pour nous aurait unee suite principe très 192 surtout à Is. 56,7 . 339-50 9-50 Dee 339 à 455 no n nous us ssommes ommes da danss le pre premier emier éépisode sod dee de d littérature littér uree comparée comparé aré avec 2M et le Tm, la TOB précise que lнange g q qui combat les ennemis dнIsraël est en 2R19,35, et cнest un thème redondant en 2M où on peut d littérature litttératur atur fantastique, fantas antas iq ique, que, laquelle laquell laq uell trouve donc sa source en 2R. Quant à la date de fête décrétée pour ainsi dire parlerr de sur la base du 13 Adar de llнan 160 CG qui est ess 3601 CH cнest le lundi 22 février 160 CG. La poursuite qui dure une journée est bien le temps pourr cee faire poursuite mp pss estimé estim mé pou faire et cette c ep ursu trouve sa raison dнêtre à notre avis dans le butin qui est sur la dépouille alors qu quee laa so sonnerie poursuite peut être de la trompette ou du Shofar. En 46 on note que les nnerie de la pou ursu rs e pe peu eut êt villageois sont informés de ce qui se passe, il y a donc une communication intérieure aux anti-hellénistes ce alors que tout au long du récit les Judéens des villages ne semblent pas être très concernés par la politique séleucide. 47 confirme la prise du butin sur les dépouilles, cнétait donc très probablement le véritable objectif tandis que pour changer on a un autre usage de la dépouille, celle de Nikanor, sa tête et sa main droite sont sectionnées pour être exhibées à Jérusalem. La fête ordonnée chaque treize Adar (Adar I précisément) est listée dans la MT mais elle nнa plus cours de nos jours alors que le TB résume lнensemble des festivités du mois dнAdar tel quнil est de nos jours en disant que cнest en entrant dans le mois dнAdar que la joie se décuple (!%/<0':/: 21)1<'/), ce qui est en TB et donc en Mishnah 193. ĞĹūĵĭĦijĪ ĎĭŦľ čĪķĬĺĮĬ ĴķĨ Ĵķ ķ Įĩ ¹ ¼¼¼¼ ¼¼¼¾ ¾½¼Ä ¼¾½ ': '< 06&2 ¿¼¾½ÂÃÅ¿Ã $ = 192F (COMMENTAIRE SUR 1M8) 1-5 Lнhébraïsme en 1 se confirme et cнest %)=/8#3'+3-'/#:!-<=3/<!#!'. La politique romaine à cette époque dont fait état la TOB est du pain béni pour Judas Maccabée parce que le RS est exactement le profil de souveraineté contre lequel ils sont particulièrement enclins à soutenir des rebelles. 2-4 Judas Maccabée a donc connaissance de la Gaule et de la péninsule ibérique et il se pourrait que les ressources minières ibériques lнintéressent particulièrement ce qui laisse présager des relations diplomatiques stratégiques ainsi que commerciales alors que cнest probablement cette connaissance attestée de la péninsule ibérique au deuxième siècle qui est peut-être à lнorigine de la présence juive en Espagne attestée au troisième siècle après J.-C. 5 La TOB précise que les rois de Macédoine ne sont pas les Kitiens dont il est question en 1M1,1. 6-7 Le chiffre de cent-vingt éléphants est effectivement complètement exagéré et Polybe est bien plus crédible en parlant de cinquante-quatre éléphants et ce sont là effectivement les termes 191 Nous donnons Ps. 79,1-щԊӻԌӽӿԋԏӿэяբчԍӿԇӼԆӿӻԆԆӿԌӿԈԀӻԐӿԏԌӾнԏԈӿԌՀӾӻӽԎԃԉԈԷԆнՀԊԉԋԏӿӾӿԍԀӻԃԎԍӾӿчӭэ : U'' y ˜ 2– %: ” g† ™ C’ –'/r š iš !5L ™ 4„ ++ ’ )š ” /U' Ž ™ y ˜ š 4= ” +™  ’ –1¡=K ˜ ƒ1=’ š1 -'Q– 4– +[„ ’ +™ fK: š ’'¡=K/ ˜ gU x š fr ˜ ’ 9+„ š )'™ !¡= — K ˜ ]’ &U Ž – =˜y +š %” ™1C£’ 'LK ‰– C-' š !Y ƒ– “ 652† š Œš +:L ’ /y ’$/–  :L90' — „ — ’#-– +š y fK: š '=L ’ '– 2’ –']™y V£™ /š‰ K š ) 6’ fš 7:˜ ¡L= š ’'%™ +’ 192 193 +-!' } ˜ %— ’ –$ ’#-!' ˆ ˜ =YL3' — =–v šX6– k=' ’ „ — C ’ -' { k– %’ ]™ g– ’#'f–y ’ 9: š !¡+ „ ™ -' ˜ =L' –€ – !” ™# $--']– 4™ !¡+ š )š + ’ :x — dš –'!X† š 6– k¡=' ’ C' — =' –v ' — V' „ – %r – C’ ’$/¡+ – 40L ™ 8 x :š ߒ ӭԃԍԂԈӻԂӴӻнӻԈԃԎъբьӿԎӴB ӴԌӻԃԎՀӴӻнӻԈԃԎբԀԉԆԃԉшяӻ 71 de la PAK. 8 La TOB ne se trompe pas en disant quнil y a une corruption textuelle, lнIonie et la Mysie sont bien plus crédibles que la Médie et la Lysie. 9-11 La stratégie qui consiste à compenser lнeffort de guerre en mettant les civils en esclavage semble être sous-jacente de cette mise en captivité, ce qui se corrobore avec les méthodes séleucides et serait donc un usage courant. 12-13 Cette amitié romaine semble avoir été effective en termes dнassistance au deuxième siècle mais pour ce qui est de la Judée, le rédacteur de 1Mgr semble peu explicite quant à lнaspect pratique des choses entre la Judée et Rome qui fait et défait dнaprès 13 les souverainetés. 14-16 Cнest une très bonne description en quelques mots de la démocratie romaine qui semble être un mode dнorganisation qui laisse le rédacteur un peu rêveur vers lнan 100 CG, environ 40 ans avant lнarrivée effective des Romains en Judée. 17-32 17-18 Eupolème aurait selon la TOB écrit un traité dнhistoire qui ne nous est pas parvenu, mais ce qui est intéressant cнest que son prénom est complètement grec, on y trouve pas la moindre origine hébraïque, alors quнil est pro-maccabée voire maccabée, ce qui expliquerait pourquoi sa filiation est citée, probablement pour des hauts-faits quand bien-même cнest lнusage à lнépoque de se définir par le nom de son père, et nous avons donc un Maccabée auquel a été donné un prénom grec, ce qui ne gêne pas du tout les Maccabées dans le récit et sнavère un renseignement très utile pour les ossuaires de Judée du CIIP. Quant à Akkôs il aurait été possible que ce soit le prénom ‘Aqiba avec la désinence finale /s/ qui viendrait prouver que son nom était énoncé en grec, ce qui aurait été à verser pour une éventuelle étude en contact des langues en Judée à lнEH mais il nнen est rien. 19 Il faut compter un minimum de huit jours et huit nuits de bateaux de Joppé ou de Ptolémaïs jusquнà Rome, avec un vent contraire presque toujours, il devait donc être probablement question dнun bateau avec des rameurs qui à lнépoque aura longé la côte égyptienne jusquнà Carthage pour enfin remonter vers Rome en longeant les actuelles îles italiennes. 20-21 Cнest un usage diplomatique normal à Rome que de se présenter ainsi et lнavis favorable du Sénat était antérieur à leur venue : ce nнest quнune formalité de protocole. 22 Nous présumons que la lettre était écrite en grec en lettres capitales, et le support en bronze est crédible, laquelle écriture a dû être un dur labeur, alors que le cuivre le plus proche de la Judée se trouve un peu au Nord de Etsion-Guéber, lнactuelle Eilat, et les mines en question auraient été la propriété de Salomon. Toujours est-il que cнest la première occurrence en 1M dнun document en bronze qui vient se corréler avec 3Q15 uniquement pour le matériau car le texte parle de tables de bronze et non pas dнun rouleau, ce qui devait donc avoir un certain poids pour être valorisé dans ce protocole diplomatique et probablement pour y être conforme. Il est très peu probable que le bronze utilisé pour Rome soit issu des gains de 35& 5& dans d dan o ce c conflit co co guerre potentiels de 1M6,35&39 la mesuree où relaté en 1M6 nнaa p pas vraiment lнair dнune victoire. 23-32 23-25 Cнest une convention ention ion milit m militaire taire airee bi bilatérale latéral en m mise ise à disp d disposition sitio ition de d troupes ttrou upes en upes e cas c de conflit qui commencerait après la validation de cette convention. onv i onve 26-27 6 sont les l termes me d mes de non-assistance sist sista à llнlнennemi нe de Rome ou de la Judée, ce qui se répète en 28, là où nous uss aur aurions ur ns traduit t adu duitt dans dans la TOB p par ar « et ils tiendront endron ront leurs leeurs engagements ngaagem ments loyalement », plutôt men ont le ont lleurs eu urs eengagements urs nga eme ts lo oyallement »,, pa rce qu oute llogique ogiq que un n ac ccorrd ccommercial om que « mais ils tiendront loyalement parce quee een ttoute accord judéen avec un pays qui devient ennemi de Rome ne peut quнêtre rompu au nom de cette convention judéenne-romaine. 29 Les termes ont été répétés éss pour po our être être parfaitement parffaitemen nt compris comp pris à lнoral, nous ne savons pas si cela était lнusage à Rome où si cнétait une redondance aurait ce propre ropree à lнhébreu lнl breu reu qui ui au ui rait été véhiculée dans un texte en grec. 30 Le droit romain des ats sem mble d fférrent e t de rin s de d conventions entre états semble différent dess p principes droit des contrats que nous avons aujourdнhui en France sur ain in Actuellement Acctuellemen ntt tout tout ajout ajout ou u soustraction sou ous ustrac la base du droit romain. dнun contrat signé par deux ou plusieurs parties doit l par une signature i être ratifié à nouveau ce qui se signale dans les documents contemporains. Dans le contexte dнune convention entre Rome et la Judée, il y a lнécrit transposé ici et énoncé au Sénat, mais nous ne serions pas étonnés que le sous-entendu consiste en ce que Rome soit en fait en droit de modifier les termes de cette convention à sa guise, pour peu que cette convention persiste car côté judéen cнest une logique où cet accord avec Rome est la pièce maîtresse de la politique maccabée contre les Séleucides, laquelle convention est espérée comme plus puissante que les victoires au combat. 31 Ce qui est intéressant ici cнest que Rome ne comprend pas non plus la politique séleucide envers la Judée, ce pour quoi nous avons des hypothèses et des faisceaux de présomption. Tandis quнen 32 cнest le premier acte effectif de cette convention bilatérale qui consiste en une missive diplomatique prévenant le souverain séleucide de ce qui pourrait être un casus belli. ĞĹūĵĭĦijĪ ij ĎĭŦľ čĪķĬĺĮĬ ĴķĨĮĩ ¹ ¼¼¼¼ ¼¼¼¾ ¾½¼Ä ¼¾½  : < 06&2 ¿¼¾½ÂÃÅ¿Ã $= (COMMENTAIRE SUR 1M9) Le neuvième chapitre est tant politique que militaire et les deux sont intimement liés, avec un aspect polémologique récurent depuis les chapitre précédents alors que les détails du récit ont toute leur importance. Pour ce qui est de la désinence finale /s/ des prénoms dans les versions francophones, nous pensions que cнétait initialement dans le texte grec, ce qui nнest pas le cas chez TX, aussi devrons-nous vérifier plus en détails avec plusieurs corpus primaires dans la mesure du possible. 1-22 relatent la mort de Juda Maccabée au combat. 1 Lнexpression « aile droite de lнarmée » nнest pas claire mais on peut supposer quнil sнagit des combattants dнélite envoyés pour pallier à la défaite précédente. 2 Le trajet qui va dнAntioche à Jérusalem et qui passe par la Galilée avant avril-mai passe nécessairement à cette période de lнannée par des zones humides un peu difficiles à éviter et il faut donc supposer quнils nнont pas quitté la route disponible et ne sont pas allés à travers champs, tandis que Mésaloth comme le rapporte UR nнest clair pour personne et nous proposons la lecture suivante qui consiste à reprendre le sens premier de lнhébreu /mésila/ qui est au pluriel /mésiloth/ ce qui donne en français « pistes », et il serait donc possible quнil soit question dнavoir assiéger les 72 routes du bourg dнArbèles 194, ce qui ne serait pas incohérent parce que nous savons quнà lнAntiquité, dominer un territoire revient à dominer les routes de ce même territoire. Nous restons sur le verbe choisi par la TOB volontairement en dégageant lнidée dнun siège des routes principales et secondaires dнArbèles alors quнil reste une autre possibilité bien moins probable, à savoir que la racine s.y.h. en hébreu pour /mésila/ ressemble un peu à sh.нեl, et le fond de notre pensée consiste en ce que la version vers le grec ait transformé /mishнol/ le sentier en /mésila/ ici au pluriel /mésilot/, mais la probabilité est faible vu la mission de cette deuxième campagne. Cela étant, Arbèles commence par « Ar » ce qui est la syllabe qui désigne la montagne en hébreu, et il y a une montagne à lнouest de Tibériade qui se nomme « Arbèle » en hébreu, aussi nous ne serions pas étonnés quнil soit en fait question des « pistes de la montagne Arbèle, mais ce nнest quнune hypothèse qui donne en résumé en hébreu +::!=#+'2/, il faudrait que les spécialistes du grec ancien envisagent lнhypothèse dнune corruption du texte par erreur de traduction ou par erreur de copie et dans le contexte de 1M9 nous penchons plutôt en faveur dнun texte originel en hébreu qui parlerait des pistes dнArbèles, y compris celle de la montagne à proprement parler, ceci dit après avoir relu FJ en GdJ I,16,1-2 195. 3 Le premier mois de lнan 152 CS commence selon toute vraisemblance, selon Casio tout du moins sur la base du fait que cнest du mois de Nissan dont il est question, le soir du mardi 10 mars 160 CG, ce qui est beaucoup plus fiable que calj.net ceci dit en passant qui de toutes façons nнa pas été prévu pour les dates antérieures à lнère chrétienne contrairement à Casio. 4 Pour arriver à Béerzeth les Séleucides ont dû passer par les vallées de Samarie ou par la route de Jéricho à Jérusalem, mais si ils passent à lнouest du lac de Tibériade sans quнon sache vraiment où est Arbèles, il devient beaucoup plus probable quнils soient passés par cette zone escarpée qui est le « milieu » de la Samarie, climat doux en mars, quelques pluies, des tempêtes de sable et un sol dur et calcaire. 5 Lнemplacement dнElasa nнest pas évident à localiser tandis que les trois mille guerriers dнélite mobilisés par Judas Maccabée donnent une idée du combat à venir face à vingt mille fantassins mais surtout face à deux-mille cavaliers, tandis que cнest la première fois quнil est fait état de guerriers dнélite judéens. 6 La fuite des soldats judéens est évidente mais cнest surtout lнabsence de « Cohen oint de guerre » qui a pour rôle dнempêcher les fuites de soldats qui est à noter. 7-10 Judas Maccabée nнest pas très réaliste mais dans ce nouvel épisode il ne sollicite pas lнaide céleste ce qui change dans sa conception le rapport de forces qui reste donc réaliste, et ses soldats dнélite ont ceci de particulier quнils sont réalistes contrairement aux combats précédents où tout reposait sur lнaide céleste, et cнest au terme cette discussion quнil préfère sauver lнhonneur des Judéens en mourrant au champ dнhonneur. 11-17 Less Sé Séleucides uci ci o eux aussi adop ont adopté té laa tr trompette, ette son utilisation tio io est une arme de guerre car assourdissante elle trouble fortiori usage perdure roub blee les ble les facultés facultés és cogn ccognitives ogn niti es à fort niti iorii si son on u sag sag ge per ge p erdur dure tout tou au long du combat, et cнest dans tou cette même lancée de techniques les maccabées, ce qui en est la qu judéennes quнils se mettent ques en eux aussi à talonner ent tal r le séleuccide qui conjuguée onju uée à leurs leurs effectifs ef ctifs nee po ouv t que que leur leur donner don er la la victoire victoire et neutraliser Juda première occurrence séleucide pouvait yait ait pa es cho es au rem ment qu ue vvaincre ncre o up érir C нest en en 18 Maccabée qui ne voyait pass le les choses autrement que ou périr. Cнest 18 qu q quнill su succombe cco ombe ssous lнépée ennemie et de 19 à 21 cнest la répétition p désormais classique q en 1M du décès suivi de la mise au caveau familial puis du deuil collectif pour ne pas di dire ree national, natio atio ona mais ona m een n 2222 ccнest нest une une tournure copiée sur les livres des Rois et des Chroniques pour d verset est complètement l em le début, là où la fin du originale en disant que le reste des exploits etc nнa pas été écrit « car il y en avait trop ». 23-24 24 Il eest st éévident vident qu quee les les pro-hellénistes pro ro-én stes tes allaient se manifester pensant que le conflit interne avait pris fin avec le décès de Juda de Jud da Maccabée, Mac M cabée ée, et llнaugmentation нaugm ntat atio ion de leurs effectifs dûs à la famine est surtout dûe à ce quнelle ait été précédée dнune année sabbatique, on peut supposer que les Séleucides disposaient de vivres amenées depuis le nord du RS bien moins enclin à la sécheresse que la Judée. 25-27 Lнinnovation séleucide cette fois-ci consiste à ne pas tuer les Judéens pro-maccabées, ce qui sнexplique par une volonté de rester populaire dans lнopinion publique, à laquelle semble sнajouter lнoctroi de vivres sous-entendues en 24. 28-31 Le choix de Jonathan comme successeur de Juda nнest pas décrit comme évident, il semble que ce soit à la lumière du contexte dнune recrudescence du mouvement prohelléniste quнil ait été désigné chef à la suite de Juda, ce qui sous-entend naturellement une continuité dans la doctrine politique dirigeante. 32-42 32-33 La décision de Bakkhidès était attendue car évidente et le choix du désert de Thékoé est évident, car pas trop loin de Jérusalem ni de Modîn tout en étant bien moins inhospitalier que les rives de la mer ĞĹūĵĭĦijĪ ĎĭŦľ čĪķĬĺĮĬ ĴķĨĮĩ ¹ ¼¼¼¼ ¼¼¼¾ ¾½¼Ä ¼Ä ¼¾½ ': '< 06&2 ¿¼¾½ÂÃÅ¿Ã $ = 194 Cf. Polybe, Commentaire 5,70,12 AJ 12,420&14,413 GdJ (Whiston)1,304 La vie de Josèphe (Brill),1,188&1,311 La vie de Josèphe (Whiston),1,185&1,309 ÉġË»ò ÌüÅñÈÎÑÉÀÅëÅÅÀμÌŊ ÊÎÇ»ÉÇÌÚÌĿ »À¸ÅįʸËÒÁÇÅÀÌĖ ȸɸ¸ĹÚżÀÌüÅÈĠÂÀÅÈÉġ ÌýËëÎĠ»ÇÍÌľÅÎÍÂÚÁÑÅ ëÁÎͺĠÅÌÑÅեìÅ¿¸ÌÇİËîÈÇÄñÅÇÍËĨÈġ ÌÇı ϼÀÄľÅÇËÁ¸ÁÑ¿ñÅ̸ËÒŸ¸¹ļÅբÈÇÂÂü »Џ öÅÒοÇÅĕ¸ÌľÅëÈÀ̾»¼ĕÑÅբëÈĖ ÌÇİËëÅ ÌÇėËÊȾ¸ĕÇÀËĹÉľÌÇÂþÊÌÚËբÇĐ ÈÇÂÂüÅÌýËÏļɸËÁ¸Ì¸ÌÉñÏÇÅ̼ËÇĤÁëÂÚÌÌÑÁ¸ÁÛ ÈÇÂñÄÇÍ»À¼Ìĕ¿¼Ê¸ÅÌÇİËëÈÀÏÑÉĕÇÍËե ÈÉÇÈñÄиË»ò ȼ½ľÅÌÉĕ¸Ìñ¾Á¸Ė Äĕ¸Åċ¾ÅĎÈÈñÑÅÈÉġËɹ¾Â¸ÁļľÅ¸ĤÌġËļÌÛ Ì¼ÊʸÉÚÁÇÅ̸÷ÄñɸËëÈý¿¼ÅļÌÛ ÌýË ÂÇÀÈýË»ÍÅÚļÑËեÇĤ ÄüÅÈÉġËÌüÅìÎÇ»ÇÅ컼ÀʸÅÇĎ ÈÇÂñÄÀÇÀբļÌÛ »ò ÌľÅĞÈÂÑÅÒÈûÅÌÑÅëÄȼÀÉĕ¸ÅÄòÅÈǼÄÀÁüÅìÏÇÅ̼ËբÌġ »ò ¿ÉÚÊÇËÂþÊÌÉÀÁĠÅե ÊÍŸÂĠÅ̼˺ÇıÅÌŊ ÊμÌñÉĿ »¼ÆÀŊ Ìġ ¼ĤļÅÍÄÇÅÁñɸËÌľÅHÉļ»ÇÍÌÉñÈÇÅ̸ÀեȼÉÀ¼Â¿ĽÅ»ò ̸ÏñÑËHÉļ»¾ËëÁÌÇı Á¸¿Џ î¸ÍÌġÅ»¼ÆÀÇı ÈÉÇʼ¹Çû¿¼ÀÁ¸Ė Ìġ ÄòÅÇĊÁ¼ėÇÅëÈñÊÌɼμÅëÁÌýËÎͺýËբÌÇėË»ò »ÀļÁÇÍÊÀÅëÄÈĕÈÌÑÅÒÅñÁÇÈ̼ÅÌüÅĝÉÄüÅÄñÏÉÀ ÌÛËÁ¸ÌÛ ÊÌĠĸÈÉÇʹÇÂÛËÄü ÎñÉÇÅ̼ËëÆñÁÂÀŸÅե (sections 304 à 306 dans la numérotation de Whiston) 195 73 morte tout en ayant des grottes où il est possible de séjourner voire de se cacher ; Amos y taillait des sycomores pour son troupeau et encore aujourdнhui cнest une zone bien moins aride que la mer morte. 34 est un verset incertain quant au trajet de Bakkhidès, le désert de Thékoé étant à lнouest du Jourdain il ne nous reste quнà conclure quнil était stationné à lнest de ce dernier. 35-42 La frontière constituée par le Jourdain était donc poreuse, ce qui explique que Simon ait pu sнentretenir avec les Nabatéens, mais cнest lнaspect temporel qui est ici important, en deux versets le rédacteur relate la mort de Jean Maccabée avec une économie tacitement volontaire, soit parce quнil nнa pas plus de détails, soit par souci dнéconomie en préférant emphatiser sur la vengeance, ce qui correspond beaucoup plus à lнesprit de 1M. Quant « aux fils de Jambri, ceux de Madaba », après relectures nous présumons quнils ne sont pas nabatéens, mais le texte laisse un léger doute. La vengeance du sang en 42 renvoie à une expression ancienne et usuelle suite à un meurtre qui change la perspective du décès et donc celle du deuil, dans le Judaïsme en cas de meurtre il nнest pas question de bénir comme la mort naturelle en disant « Béni soit le Juge de vérité », mais de solliciter la vengeance céleste qui renvoie à lнépisode de Caïn dans le Tm en disant publiquement « Dieu vengera son sang ». 43-49 Le verset 43 répète 34 avec une légère redondance qui consiste en ce que son armée est nombreuse, mais cнest presque un pléonasme. 44 atteste lнintertextualité orale quand Jonathan dit « hier et avant-hier », ce qui est en Rt. 2,11 196. 45 Le « marais et le fourré » dont il est question impliquent que lнépisode se passe évidemment sur les rives du Jourdain mais précisément sur le flanc nord de Jéricho car la sécheresse du sol sнaccentue en allant vers le nord de la mer morte de même que la salinité de lнeau augmente dans la même direction. 46 Le cri en guise de prière est attesté dans le Tm, mais nous sommes étonnés quнil persiste à lнépoque maccabée alors que la liturgie semble être déjà disponible. 47-49 Dнaprès le récit, Jonathan aurait pu sнapprocher de Bakkhidès, il faut donc supposer quнil était en première ligne, et que cнétait avec une épée que Jonathan essaya de lнatteindre, ceci dans un contexte où encore une fois les Maccabées nнavaient pas de chevaux, bien commodes pour cette région, et cнest la première occurrence dнune traversée du Jourdain explicitement à la nage, là où nous pensons le nombre de morts côté séleucide exagéré. 50-57 50 Le verrou sнavère selon la TOB être une barre transversale qui bloque les portes, ce qui est important à signaler car on pourrait croire à la lecture de 1M à une haute maîtrise de la forgerie mais il est juste question de parties métalliques soit en « U », soit fermées en rectangle au travers desquelles est logée une planche en bois, à lнépoque cнétait probablement du chêne ou du cèdre, le pin étant trop fragile et lнolivier pas vraiment voué à être travaillé en menuiserie. La liste des forteresses de superficie s per er e de Timna jusquнà q à Tap qu T ppo p ér couvre une très grande Tappouah en passant par Jéricho, et le choix des sites semble trattég gie qui consiste con nsiste à encercler en ercler la Judée, Judée, Jud dée cee qui qu ui se s confirme c firm con me en 51. 52 La citadelle semble être correspondre à une stratégie lнapogée de cet encerclement l en posant une place stratégique é ique qu à lнintérieur lнi é i ur m même ê de JJérusalem, cнest donc un encerclement périphérique certitude un point central q (sans ( an ans pouvoir p uvoi localiser localiser avec loca a ertitud dee Bethsour, Beth our, Beth ur Pharathôn Pharathô et Gazara) G ara) avec Gaz a av qui est le plus stratégique. giqu ue Et cнest ue. cнest en n 5533 que se con confirme firm la pré prédominance dom min nce str stratégique atég giqu de la Cita C Citadelle del en y enfermant les fils des chefs du pays. 54 La TOB donne avril-mai 159 CG pour le deuxième mois de 153 CS, et effectivement lнannée 3602 CH a un second d mois mois mo is dнAdar, dнAd A a ccee q Adar qui ui d donne onne u un nm mois o de Iyar, qui court du soir du mercredi 27 avril 159 CG au soir du vendredi 27 mai 1159 59 CG, à mo moins quнil qu ne quнi ne soit soit fa fait it aallusion au mois dнAdar II, mais ce nнest pas la lecture que nous it uel cas cas ce se rait ait de la veil vveillee d 8 février au soir du 28 mars 159 CG. Le mur de la cour intérieure faisons du texte, auquel serait du 28 V IV antérieeur à A E, E, m ais bie np qu ue lнœuvre ue llнœ œ du Temple est donc antérieur mais bien pluss que des Prophètes détruite, nous croyons comprendre l différents d dif quнil sнagit dнun des murs séparateurs entre les groupes autorisés à rentrer dans le Temple, ce qui nнest pas sans poser de problèmes du point de vue de la loi juive avec pour commencer une impossibilité pour les Juifs pieux de côtoyer dans le Temple des femmes juives ou des non-juifs. 55-57 Le décès dнAlkime relève de la punition divine et Bakkhidès pense ne pas faire le poids face à Jonathan, dнoù deux ans de calme en Judée, tout en notant quнil nнa pas demandé à Antioche de remplaçant à Alkime, ce qui sнexplique peut-être par le fait que son remplaçant éventuel devait nécessairement être Cohen et que dans cette lignée personne ne souhaitait rejoindre les rangs séleucides. 58-73 58 Il est probable que la fin de 1M9 commence deux ans après la datation qui est donnée en 54, nous serions donc en 157 CG et probablement au printemps. 59-62 Bakkhidès ne pensait pouvoir rester physiquement présent en Judée mais cнest tout un réseau officieux de pro-hellénistes qui est ici relaté, de même quнon comprend une fois de plus que les Maccabées étaient très bien renseignés sur tout le territoire de la Judée. Les mises à mort ici relatées ont probablement consisté à couper les têtes des pro-hellénistes mais il nнest pas impossible que Jonathan ait choisi en réponse à la haute trahison de leur faire ingérer du plomb liquide mais le déménagement maccabée à Bethbasi semble évoquer une Jérusalem majoritairement pro-helléniste. 63-69 La stratégie de Jonathan de dédoubler le front a porté ses fruits tandis que le mieux est lнennemi du bien : il suffit de mettre le feu aux machines de guerre pour les neutraliser. Mais Bakkhidès savait probablement que cette tentative était peine perdue sans lнappui dнun Cohen pro-helléniste en remplacement dнAlkime, mais il décide cependant que cнest la faute des autres, ici les Juifs pro-hellénistes, dнoù cette vengeance en 69. 70-73 Ce qui avait apparemment surpris Jonathan, et comme dit le proverbe « les ennemis de mes ennemis sont mes amis », dнoù cette sortie de crise bilatérale où Jonathan et Bakkhidès sortent gagnants, Bakkhidès sнen sort vivant et Jonathan récupère les prisonniers de guerre, ce qui allait augmenter sa popularité et légitimer ses jugements à Makhmas. ĞĹūĵĭĦijĪ ĎĭŦľ čĪķĬĺĮĬ ĴķĨĮĩ ¹ ¼¼¼¼ ¼¼¼¾ ¾½¼Ä ¼¾½  : ' : '< '< 06&2 ¿¼¾½ÂÃÅ¿Ã $= -Lf ’+f+L – /† k’ k’ 4™ x ™ š'¡œ+:f† ˜ ” 4¡ ™ w +' ˜ )–v +’ k„ — ™#Tk—v ’ ™+L/7{ :˜ ˜{ ’#T]—y – ’#T'„ – ' š €– ’$4™ k™ ™#Tf' r — =L – /' „ :x — %” T ™ =L/ —v %¡= ”  ˜ =' { g– 4¡: š f˜ + ” œV '+ – y E™ ~ ! ž E— ‰ !I ž +: š v / ˜ œ Q„ ™#${ 4™ œ C0 { 4™ Q™ ™# 196 74 (COMMENTAIRE SUR 1M10) 1 Cнest le vendredi soir du quinze septembre 153 CG que commence la nouvelle année 3609 CH et elle se termine le lundi trois septembre 152 CG et 160 CS. Peut-être AIB aurait-il été plus crédible en se prénommant Antiochus lui aussi. 2-11 Démétrius sнinquiète dнun imposteur, et préfère prendre les devants, car AIB a été reconnu par Rome, dixit la TOB, ce qui se conscrit dans lнalliance bilatérale entre Rome et la Judée. Les termes du message sont pour ainsi dire ce qui relève dнun édit vu lнimportance des décisions prises, tout en notant que Jérusalem reste encore sous la direction des Séleucides en 153-152 CG et pour le règne dнAIB lнimposteur nous pensons quнon peut parler dнun roi pseudo-séleucide car usurpateur, ce qui permet de faire la différence dans ce commentaire avec la lignée royale séleucide ; Lнautorisation donnée de fabriquer des armes en 6 doit logiquement inclure un octroi de minerai de fer parce quнil nнy en a plus en Judée, la mine de Makhmas étant raisonnablement complètement exploitée en 3609 CH vu que son exploitation semble remonter à lнépoque royale et que les objets métalliques récupérés dans les premières guerres maccabées faisaient lнobjet de bien des attentions. La libération des prisonniers de la Citadelle a dû favoriser lнinstallation de Jonathan à Jérusalem, ceci dans une cohabitation facilitée par la souveraineté dнAIB et cнest tout au long du récit de 1M que Jérusalem est détruite puis reconstruite, si bien que nous ne savons pas ce quнil est possible dнextraire comme informations dans les FA et surtout plus précisément dans les SI pour le deuxième siècle. 12-21 12-14 Cette missive par messager a vraiment les effets dнun édit, les étrangers quittent la Judée, les Judéens « païens » sont conviés à rester à lнécart des Judéens pratiquants. 15-18 Cнest un système de renseignements qui se généralise des deux côtés, y compris chez AIB, et la logique politique veut que ce qui est soutenu par Rome ait les faveurs des Judéens qui ont un accord bilatéral avec Rome qui ne concerne pas AIB dans la mesure où il a été reconnu par Rome et est donc justement soutenu par le Sénat romain : lнaccord bilatéral ne comprend que des articles relatifs aux ennemis de Rome et de la Judée 18-21 La courte lettre dнAIB est inversement proportionnelle en puissance, car cнest comme si Rome ellemême nommait Jonathan grand-prêtre, ce avec toutes les conséquences que cela peut avoir sur le camp pro-helléniste, surtout à Jérusalem. 22-45 22-24 Si Démétrius sнinterroge sur les faveurs judéennes faites à AIB, cнest quнil semble méconnaître lнaccord bilatéral de Rome avec la Judée qui valut précédemment une missive en avertissement de casus belli et la reconnaissance de la souveraineté dнAIB par Rome, il semble donc peu renseigné. 25-45 Les conventions de 25 renvoient aux accords antérieurs à visées pacificatrices, et parler de conventions est presque exagéré, mais ça devient quand uan nd Dé Démétrius émétrius éécrit crit qu que les JJudéens udéenss ne sont udée ont pa pass pass p passés assés du d côt côté ennemi des Séleucides, cнest à se burlesque en 26-27 quan demander ce quнil entend quellee pér période tend précisément pré p éciséément en e ces ces termes rmes et à quel que q riod de il fait faait allusion, all a usio mais nous pensons plutôt que cнest une tournure littéraire tacite quнil propose de faire tabula rasa acitee qui qui sous-entend so q p p asa. Les ess aavantages g fiscaux qui débutent en 28 peuvent pencher er een er n fav ffaveur avveu ur d dнun n déboire dé oir d oire fi fiscal scall en 11M1 M1 qui qui accréditerait accrédi créditera terait it llнhypothèse нhypot pothè hèse de de llaa ccause aus de la saisieaus confiscation au Temple. 29-35 est un passage clé de la fiscalité séleucide, il corrobore les principes fiscaux de Zénon de Caunos sur les végétaux et en numéraire, ces exemptions et cette immunité au ux et cite cite les le impôts im mpôt en n métaux métau ux précieux p relèvent presque du fantastique fan asttiqu qu ue et e du u féérique féé qu que et et il est fait état des trois bourgs octroyés à la Judée avant ce courrier, et cнest très probablement cette fiscalité proposée en exemption qui vient légitimer le surnom de « la volée » donné par alité lité p p p e. 336-37 les Lagides à la Judée. 6-37 C Ces es deu deuxx vversets erseets son ssont on à no n noter o er p parce quнils proposent lнégalité dans les rangs séleucides, ce qui vient renforcer les conséquences es probables p sé uen séq uences d de la non-citoyenneté de la ville grecque de Jérusalem de ses résidents judéens avec une inégalité qui semble sнêtre appliquée à tous les Judéens dans le RS. Cнest donc lнexemption fiscale, lнimmunité civile, lнégalité militaire, la « discrimination positive » qui sont dans ce passage proposés par Démétrius Ier à Jonathan et il va de soi que cнest beaucoup trop beau pour être vrai mais ce qui est pertinent cнest que ça vient décrire le contexte pratique sociétal des Judéens en Judée sous semi-hégémonie séleucide. 38 Lнannexion des trois ÅÇÄÇÊ par la Judée sur ordre de Démétrius Ier est entérinée par décret royal, et fait suite à un simple « rajout », mais est-ce-que ce fût réellement le cas pour lнaspect légal en annexion si Jonathan décide de retenir la proposition dнAIB, nous savons que cela fût effectif mais nous nнavons pas de documentation en annexion à proprement parler. 39-45 Cнest là le paroxysme de cette proposition ô combien féérique pour ne pas dire fantastique, car cнest au point que Démétrius Ier propose de donner de lнargent à la Judée sur ses fonds propres quнil propose dнutiliser pour en plus payer les travaux de reconstruction de Jérusalem et du Temple. 46-50 Le choix dнAlexandre par Jonathan et le peuple était évident et le terme dнallié pour le qualifier est très pertinent, ça ne pouvait être mieux si ce nнest après le décès de Démétrius Ier qui eut lieu à lнhiver 3611 CH, soit lнhiver 151-150 CG. 51-66 La suite logique en politique passait évidemment par lнEgypte lagide, le mariage de Cléopâtre avec AIB sous la bénédiction de son beau-père Ptolémée est une formalisation concrète de lнalliance désormais établie entre AIB, Jonathan Maccabée de Judée, Ptolémée roi lagide dнEgypte et Rome, personne ne pouvait rêver meilleur contexte politique pour la Judée qui pouvait désormais se permettre bien plus facilement dнéradiquer lнhellénisme de Judée en se confrontant aux pro-hellénistes qui sont en mauvaise posture depuis le départ de Bakkhidès, mais ne sont pas nécessairement moins nombreux au moment du mariage dнAIB et de Cléopâtre. La note 10,57 de la TOB nous laisse comprendre que Démétrius Ier Sôter était encore vivant pour encore quelques mois à lнautomne 150 CG qui est la saison durant laquelle le mariage fût célébré. En 61-62 il est fait état descriptif des Juifs pro-hellénistes qui essaient en vain dнinfluencer le roi lagide, mais cнest le fait que leur requête soit arrivé à ses oreilles quнil faut retenir, cнest donc une structure pro-helléniste qui persiste après les procès de Makhmas avec la capacité de quémander directement au roi lagide. Demande qui fût évidemment refusée. En 66 Jonathan est désormais stratège et gouverneur, cнest la fusion des pouvoirs en une seule personne quнil faut souligner. 67-89 En 67 la TOB donne 147 CG, ce qui est 3614/3615 CH pour 165 CS, ce qui donne une durée de cinq ans depuis le début du chapitre en 1M10,1 précisément et cнest en cette année que Démétrius II Nikator entre en scène. 68-69 Démétrius II ĞĹūĵĭĦijĪ ĎĭŦľ čĪķĬĺĮĬ ĴķĨĮĩ ¹ ¼¼¼¼ ¼¼¼¾ ¾½¼Ä ¼¾½ ': '< 06&2 ¿¼¾ ¼¾½ÂÃÅ¿Ã $= 75 Nikator semble ne pas avoir de réelles difficultés dans le récit de 1M10, difficultés à faire autorité et la Judée semble être le premier objectif alors que AIB est roi de Syrie, mais la souveraineté de Démétrius II Nikator est bien compliquée et en pointillés, lesquels commencent par le don par ÈVI de la main de sa fille Cléôpatre quнil reprend à AIB après que ce dernier ait tenté de le tuer. 70-73 Les propos à tenir devant Jonathan semblent être oraux et cнest une provocation en conflit armé qui prend son sens par les très grandes difficultés à contrer Jonathan sur le niveau politique qui est en fait le niveau politico-religieux et judiciaire à la fois. Le terrain accidenté dont il est question est très probablement lнillusion dнoptique sur une toute petite partie du flanc ouest de la mer morte qui donne lнimpression dнun sol dur et parfaitement plat alors quнil ressemble à de la dentelle aux grandes mailles quand on rentre dedans, et la chute de lнennemi dans ces cavités faisait toujours gagner la guerre aux Judéens si ils rencontraient leurs ennemis à cet endroit. 74-77 Jonathan décide de prendre les armes et gagne Joppé sans grandes difficultés. 78-83 Cнest le renseignement de Jonathan qui lui permet de neutraliser la ruse dнApollonius qui avait dissimulé mille cavaliers, ce dans un contexte judéen où la déshydratation est rapide de par le climat, si bien quнeffectivement les chevaux ne pouvaient pas tenir longtemps au combat. 84-85 Il semble que les lieux de culte soient des lieux neutres où les combats ne peuvent entrer, ce qui nнest pas vraiment le cas du temple de Jérusalem et cнest peut-être ce qui motive Jonathan à détruire le temple de Dagôn alors quнil a comme motif supplémentaire la lutte contre lнidolâtrie en Judée. 85-89 « Jonathan 197 profite de lнinvasion de la Coelé-Syrie par Ptolémée VI roi dнEgypte, lequel prétexte de défendre son gendre AIB, pour sнemparer dнAscalon, Ashdod et Joppé tandis que Akkarôn lui est donné par AIB, qui règnera encore deux ans, jusquнen 145 CG, lequel sнest rebéllé contre son beau-père et a tenté de le tuer, ce qui décida Ptolémée VI à donner sa fille à DIIN, tandis que AIB perd la bataille de lнOinoparas dont il fuit puis Ptolémée VI décède peu de temps après avoir reçu la tête de AIB. » (COMMENTAIRE SUR 1M11) 1 Lнhébraïsme est ici « sur la lèvre de la mer » qui est en hébreu -'!=6<+3. 2-4 Cнest ici la campagne militaire de ÈVI pour envahir la Coelé-Syrie, alors quнen parallèle, comme cité précédemment, Jonathan profite de la situation pour étendre son territoire. « (…) car on les avait entassés là où le roi devait passer » vient compléter le début dнétude transversale sur les dépouilles de g guerre au deuxième siècle, ici cнest un moyen de susciter lнeffroi, ou du moins de V gar tenter de susciter lнeffroi. ffroi. 5-7 5-7 ÈVI garde de le ssilence ilen e fac face cee aau u rré récit écit des es acti aactions ons dee Jon Jo Jonathan natha très probablement parce quнils na нen n 6 il n nнest нest pa pass rapporté rapp té de de faire-part faiire-par pa de litige litig ge territorial tterrritor itorrial lors lo de la rencontre dнune journée et sont alliés à tel point qu quнen dнune nuit à Joppé, cette rencontre donc comprendre quнici « qui ontre on re aurait ura été très écourtée sнil y avait un différent,, il faut urai ut d ne dit mot consent »,, à mo moins redéploiement mais nous nнavons m o s que oins q des es aaccords ord ord ds een n re edéplo edéplo oiem oiem men nt aaient ient éété ient té pris té pris ma ais no n ous u n нaavons aaucune documentation qui va en ce sens. Et lнaccompagnement de ÈVI jusquнau fleuve Eleuthère par Jonathan indique quнils b ns termes terrme à tous les ess niv veau ux. 8-13 8 Cнest la campagne de ÈVI qui est décrite ici, laquelle Séleucie sont vraiment en trèss bo bons niveaux. OB B maritime est selon laa T lee po port lagides auprès de DIIN sont en mission suite à la ort dнAntioche. ntio hee Et les am ntioc aambassadeurs m tentative de meurtre de ÈVI par AIB sson gendre, et la sentence consiste à faire alliance avec DIIN en lui donnant g Cléopâtre pour épouse, se, reprise se, repris rep rise à AIB et dés désormais de DIIN. En parallèle la campagne de ÈVI est un orm orm mai épouse p e acceptée pou ac on roi d onc e dнAsie dнAsie A su ssur un territoire i succès et il devient donc dнEgyptee et de taille inférieure à celui dнALG au moment de son décès. 14-17 AIB a été très présomptueux de croire quнil pouvait gagner contre ÈVI qui se conscrit au sein dнune grande alliance qui semble désormais inclure les Arabes. La royauté lagide sur lнEgypte et lнAsie prend vite fin avec le décès de ÈVI le surlendemain du meurtre de AIB comme le dit si bien la TOB qui cite AJ XIII, 117s. 18 Le peuple séleucide semble apprécier DIIN sans que 1M explique les motifs de cette popularité, toujours est-il que son couronnement en 167 CS est selon la TOB août ou septembre 145 CG ce qui est 3616 CH ou 3617 CH, le nouvel an juif prenant effet le soir du mercredi 17 septembre 145 CG. 20-37 20 La technologie des machines de guerre est désormais maîtrisée par les Judéens, ce qui implique de par le récit quнils ont accès à toutes les matières premières nécessaires pour ce faire, et il est très probable quнen 145 CG les Judéens maîtrisent le travail du fer à un niveau qui leur permet de fabriquer des verrous en forgeant des pièces de fer en « U » ou en rectangle, ce qui implique une taille de pierre en prévision ou plus probablement un mortier entre les pierres dans lequel sнencastraient les parties métalliques. 21 Les gens sans foi ni loi sont ici des Juifs pro-hellénistes. 22 Le déplacement dнAntioche à Ptolémaïs de DIIN est probablement une anticipation dнun déplacement à Jérusalem dans le cas où Jonathan ne viendrait pas à lнaudience royale. 23 Jonathan cherche à justifier le siège de par lнintervention sollicitée dнanciens du peuple et de Cohen, ce qui signifie que dans le conflit entre pro et anti hellénistes ce sont les institutions sociétales ancestrales qui donnent le la. 24-29 La question qui se pose est de savoir ce qui pousse DIIN à avoir un accueil favorable aux actions et demandes de Jonathan, il nнest pas impossible que le vide béant des caisses du trésor séleucide y soit pour quelque chose, mais nous pensons que cнest surtout une directive lagide de ÈVI non attestée qui doit être sous-jacente à ces faveurs, entre la mort de AIB et la fille de ÈVI pour épouse et le trône, DIIN nнa pas vraiment de raisons de refuser le maintien de termes particulièrement courtois que son beau-père avait initiés et dнailleurs le silence final de DIIN est particulièrement semblable à celui de ÈVI pour ce qui est de la prise dнAscalon et des autres villes par Jonathan. 30-37 Cнest la mise à lнécrit des faveurs octroyées à Jonathan mais cнest particulièrement intéressant quant aux détails cités. DIIN est roi mais il réfère quand même officiellement à son père Lasthène, certainement pour approbation dans les premières années dнun règne qui aura été finalement en dents ĞĹūĵ ū ĭĦijĪ ĎĭŦľ čĪķĬĺĮĬ ĴķĨĮĩ ¹ ¼¼¼¼ ¼¼¼¾ ¾½¼Ä ¼¾½ ': '< 06&2 ¿¼¾½ÂÃÅ¿Ã $= ӷԃԅԃԊՀӾԃӻԀԌӻԈӽԉԊԂԉԈӿԊԉԏԌӽӿԋԏӿчӭчцԈӿԌӻӽԉԈԎӿԊӻԍӿԒԊԆԃӽԃԎӿԇӿԈԎբӻԊԌԿԍԐՀԌԃԀԃӽӻԎԃԉԈӾӿԆнӻԌԎԃӽԆӿե https://fr.wikipedia.org/wiki/Alexandre_Ier_Balas le 30 mars 2019. 197 76 de scie mais cнest probablement aussi parce que DIIN est encore jeune quнil réfère ainsi. Une copie pour information. Elle est surtout fondamentale pour la politique intérieure de la Judée et permet de consolider Jonathan au pouvoir et nous avons enfin ici un certificat dнannexion des trois ÅÇÄÇË de la Samaritide qui deviennent judéens sans réserve aucune. Les aspects fiscaux sont redondants, dнune part cités cнest aussi lнexemption qui est citée, ce qui semble particulièrement nécessaire aux Judéens entre les années sabbatiques et les mauvaises récoltes qui incluent les fruits de lнarbre qui sont évidemment très sujets à la pluie, on peut avoir moins de blé que dнhabitude, ou moins dнorge, mais les fruits de lнarbre sont beaucoup plus dans une logique binaire, si il nнy a pas de pluie au point que la terre est très sèche il nнy aura rien dнautre que des olives et des dattes, et dнailleurs il nнest jamais question dнhuile dнolive en 1M y compris dans la fiscalité énoncée alors que lнhuile est répertoriée chez Zénon de Caunos. Les marais salants sont une très précieuse information, cнétait donc du sel de mer méditerranée qui était consommé et certainement pas du sel de la mer morte qui même très dilué est particulièrement impropre à la consommation, si bien quнon peut conclure que la mer morte nнa jamais été une source de richesses à lнAntiquité. En 37 « la lettre doit être donnée à Jonathan , pour être placée sur la montagne, bien en vue. », cнest le mont Sion sur lequel est le Temple, et cet emplacement pour affichage est une très précieuse information : cela vient conforter le récit de lнédit de AIVE déchiré, et marque le croisement du religieux et du politique sur le site le plus sacré du JSTS, cнest donc une attestation que les abords du Temple étaient enclins à la discussion politique, ce qui rejoint le NT pour les propos de Jésus sur les marches du Temple : nous pensons que les abords du Temple sont devenus un site de discussions politiques à partir du moment où le Temple percevait les impôts dûs au titre de la souveraineté semi-hégémonique, lagide puis séleucide, et dans ce contexte il semble que ce soit lнexemption fiscale obtenue quand elle était obtenue qui donnait un début de gouvernance politique locale à lнintérieur de la Judée à celui qui lнobtenait. Mais il est aussi probable que les abords du Temple aient connu un épisode en discussion relatifs aux Samaritains après que ces derniers aient jeté des ossements vers lнintérieur du Temple de Jérusalem, ce qui nous est rapporté par FJ qui nous explique 198 aussi comme dit précédemment que les affiches à Jérusalem sont sujet à lнimprimatur des Judéens. 38-53 38 DIIN voulait sans aucun doute économiser à juste titre sur les soldes des régiments mais bien mal lui en a pris de ne pas avoir anticipé la précarité conséquentielle des familles desdits soldats, ce qui fût exacerbé quand la population comprit que certains soldats étrangers étaient maintenus en activité. 39-40 Tryphon rentre en scène et prépare ou plutôt commence à préparer lнaccession au trône du fils de AIB, le futur u Antiochos tioc oc s V a s ccнest e surtout les prénoms qui est q retiennent ici notre attention. Cнest qu VII Dionysos , mais g , si b ent qu uнon n trouve trouve laa désinence désin nce finale final nale /s/, //ss/, et e non n pas paas en e 1M 1 gr en français uniquement quнon bien que notre théorie antérieure en l patronymes pat patr jo ures d uelq contact des langues pour les ne tient pas, à cee jou jour nos llectures de quelques passages en grec ne rapportent ir trouvé tro vé dans d nss lee français fraançais de la TOB, il n pas ce que nous croyions avoir e pas pas question questtion dee Iamlikos Iaamlikos m nнest mais de ĸÂÁÇͼ qui no rth rth hog graaphe mais mai ce qui q ressort ressor sortt de d ce ce p rénom écrit écrit en grec grec est est unee hellénisation hellén nisa est confirmé dans son orthographe, prénom déformante du schème en arabe. La racine est m.l.k., comme dans le prénom « Malik », le schème marque ici lнinaccompli et ça rejoint danss la la TOB m le début du prénom dans ais ça nнadhère ad dhère pas pas à la désinence finale /s/ qui nнest pas dans 1Mgr: nous avons une mais arabe qui q est /Iamlik/ mlik/ lik ( forme originelle en arabe ) et qui signifie littéralement « Il règnera », si bien quнon peut se pas un n prénom prénom théophore p t éoph thé ophore avant av t lнIslam l demander si ce nнest pas chez les Arabes voisins des Judéens à moins que ce ne soit ourr le fils à sa sa naissance naiss issancee dan d an un u n nee famille famil amil logiquement très probablement souveraine. En résumé un vœu en royauté pour dans une la TOB donne encore et toujours des très è précieux é i renseignements ici encore quand elle présume Zabdiel père de Iamlikos, dont le prénom signifie « Dieu règne », ce qui va en faveur dнun « Iamlikos » théophore, et donc des prénoms théophores avant lнIslam. 41-53 Cнest un passage somme toute aussi féérique quнéphémère. DIIN accepte les demandes de Jonathan sur la Citadelle de Jérusalem tout en demandant lнaide de Jonathan, les problèmes à Antioche étant conséquentiels au limogeage des soldats séleucides alors que certains soldats étrangers étaient maintenus en poste. Lнarmée maccabée vient à bout de cette fronde populaire, la population supplie DIIN dans une formule rapportée classique pour lнépoque mais le passage contre la ville reste un peu difficile à comprendre, il est probable quнil sнagisse de lнenceinte de la ville et des bâtiments à proprement parler. DIIN paie le service judéen sans le payer de sa poche en laissant le régiment de Jonathan emporter le butin, lequel se retrouve donc à priori dans un circuit fiscal moins lourd de par les exemptions, réductions et exonérations consenties au début du chapitre par DIIN, et la situation de la population dнAntioche est aggravée par le nombre de morts et par les pertes financières alors quнil nнest pas pour le moment question de recruter à nouveau des soldats pour les rangs de DIIN. 52 relate une paix qui laisse penser à une sévérité dans lнexercice du pouvoir qui fait suite à lнintervention judéenne, cнest donc une population encore plus appauvrie qui est invitée à rester bien droit dans les rangs. Et dans ce contexte on ne comprend pas vraiment le renversement de situation qui rend DIIN soudainement inamical à Jonathan Maccabée. 54-74 54 La TOB précise que AVID règne à partir de lнété 144 CG pour deux ans au terme desquels il sera tué par Tryphon. 55-56 Le limogeage des soldats et ses conséquences économiques semblent être le moteur du renversement de DIIN, et cнest à la prise de contrôle des éléphants que la prise dнAntioche était définitivement acquise : cнest le volume des moyens et leur aspect qualitatif qui signent la victoire au combat pour les armées autres que lнarmée maccabée qui relève dans le récit de lнimploration de la divinité dans un fait religieux qui relève du deuil. 57 AVID écrit à Jonathan en des termes particulièrement jumeaux de ceux de DIIN et globalement la correspondance diplomatique est souvent très similaire tant dans la tournure que dans lнaspect pratique. On distingue aisément les lettres grecques des lettres romaines par lнusage, du moins la citation, du mot « salut » en début de missive chez les Romains et aux Romains, on peut donc ĞĹūĵĭĦijĪ ĎĭŦľ čĪķĬĺĮĬ ĴķĨĮĩ ¹ ¼¼¼¼ ¼¼¼¾ ¾½¼Ä ¼¾½  : '< 06&2 ¿¼¾½ÂÃÅ¿Ã $= 198 GdJ II, 9, 2-3 77 penser à un protocole de lнécrit romain et à un autre protocole de lнécrit chez les Séleucides. Le quatrième ÅÇÄÇË est celui dнAkrabatta comme le dit la TOB, qui est celui de lнAkrabatène, en toute logique une région infestée de scorpions, donc au climat aride, /нakrav/ signifiant scorpion en hébreu. 58-59 Les envois de cadeaux ne sont que pur protocole, et Simon semble bien établi dans son rôle de second de Jonathan, cнest un binôme où Jonathan délègue à Simon. En 60 on comprend que Jonathan porte assistance à AVID mais Ascalon semblait déjà acquise à Jonathan, aussi est-ce là probablement la véritable appropriation dнAscalon par Jonathan. 61-62 Le siège de Gaza nнa rien dнétonnant pour lнépoque, ce bourg nнa jamais été vraiment calme politiquement, à lнAntiquité et cнest dans cette optique que Jonathan prit les fils des chefs de Gaza comme otages à Jérusalem. 63-74 Cнest la deuxième fois que Jonathan va à la rencontre de lнennemi en se positionnant dans les hauteurs du lac de Tibériade, pendant que Simon est occupé à Bethsour quнil transforme en garnison. La stratégie de DIIN est de cacher une partie des troupes, alors que les soldats judéens fuient le combat, et cнest Jonathan qui commence à vaincre lнennemi après avoir imploré le Ciel, si bien que les fuyards rentrent dans les rangs et poursuivent les troupes de DIIN, pour arriver à une perte de trois mille hommes dans ses rangs, ce qui est difficile à confirmer parce que lнeffectif des troupes maccabées nнest pas donné, tandis que nous savons de par les fuites initiales des soldats maccabées quнil nнy avait pas de « Cohen oint de guerre » pour lutter contre les désertions au combat. (COMMENTAIRE SUR 1M12) 1 Dans ce contexte qui fait suite à une instabilité temporaire suite au renversement de politique de DIIN envers Jonathan, il était particulièrement évident que la Judée allait œuvrer pour consolider ce quнil y a de stabilité politique de par lнAlliance avec Rome, ce qui est dans les termes de 1M une confirmation et un renouvellement. Stabilité quнil renforce en 2 en écrivant à la cité de Sparte qui, selon la TOB reprend de lнimportance. Bis repetita en 3-4 du premier épisode au Sénat romain, le récit littéraire en 1M12 sous-entend le protocole diplomatique romain entre discussions préliminaires antérieures, présentation au Sénat, lecture énoncée des accords consignés à lнécrit et échanges de cadeaux. En 5 commence lнemphase qui est portée sur la lettre aux Spartiates qui commence en 6. La TOB précise que le Sénat judéen est en fait lнassemblée des anciens. 6-18 La lettre aux Spartiates fait douze versets, ce qui est peu en comparaison de la lettre de proposition de DIIN à Jonathan Maccabée fait dans la version française dix-neuf versets et demi, alors que la lettre aux Romains fait douze comme cellee au aux Spartiates quoique les versets de la lettre aux tre au ux R Rom main nss een n fa ait d uze com mme ce mme ux S Spa artiaates quoi q uoi Romains sont plus longs différence nнest pas fait état de cadeaux ongs dans dan d s la version version française. franç ise La diffé d féren ére ce fondamentale fo ond ndam mentale est ment est quнil q éc ange ng entre la Judée J aux Spartiates contrairement à llнéchange et Rome. 7 La TOB rapporte pp te que q e la lettre dнAréios est dite envoyée à Onias III par FJ, FJ, do donc onc av avant nt sson n dé décès écèss en écès n 174 174 CG ma m ais is lee récit récitt de 1M 1M n cite te pass so n ccontenu ont on mais nee ci son ni la réponse dнOnias III, il faut supposer quнà lнépoque la cité de Sparte était peu influente car plus faible, ce qui ne devait pas jouer vantt.. 8 Pr sur lнéchiquier du Levant. P Prendre ren e la lettre rend le ree cнest cнeest een n ac accepter les termes et il faut donc comprendre que lнusage diplomatique verbal précède vient formaliser, alors que de par son économie il peut être publiquement pr cèd cèd de lнécrit lнécr écr qui ui vvi ntt le form mali affiché ou facilement déposé aux archives. arch rc 9 « Ces choses » dans la traduction de la TOB renvoient à lнalliance et lнamitié exprimés dans le courrier urrie rrieer er à On Onias nia III nias III,, et ccнest нeest st llogique ogi ogi pour p ur ur ce qui est de lнalliance avec Sparte parce quнauparavant la cité sparte était moins puissante et nee p pouvait donc êêtre ffoncièrement utile aux Judéens et pour ce qui est de lнamitié ns p ouvait do ouv d nous pensons quнelle était mise de côté par ce que dit 1M1,11 en disant « nous nous sommes séparés dнelles », « elles » étant les nations, mais cнest ici surtout lнexpression « les livres saints qui sont entre nos mains » quнil faut retenir, la TOB parle dнun hapax, et cнest effectivement la première allusion qui de notre point de vue renvoie à un Canon judéen, dont nous pensons la réécriture et la finalisation datantes du deuxième siècle, si bien que ce verset pourrait signifier que « enfin » la réécriture et la finalisation sont bel et bien finis, ce qui renvoie aux Scribes et à leur statut social dont il est question deux fois dans les chapitres précédents. Etant à lнété 144 CG en 1M11,56 et en juin 141 CG en 1M13,51, nous pensons raisonnable de dater cet échange de courrier au printemps 143 CG, ce qui est 3618 CH et notre fourchette dнestimation plus large correspond à 3618 CH, parce que nous doutons que cela ait pu être plus tardif tandis que notre estimation au printemps 143 CG repose sur le fait quнen automne ce sont les fêtes juives qui ont dû beaucoup occupé les Judéens et lнhiver nнétait pas vraiment propice à de grandes manoeuvres diplomatiques, les trajets devenant beaucoup plus compliqués, sauf pour les campagnes militaires qui se produisent parfois en plein hiver. 10 se corrèle avec la note de 1M12,7, et on peut supposer quнun minimum de trente ans sнest écoulé depuis ce premier courrier aux Spartes et depuis la réception de la délégation sparte à Jérusalem, ce qui était sous la semi-hégémonie séleucide mais avant la saisie-confiscation au Temple. 11 Lнallusion faite aux Spartes dans les sacrifices et les prières nнest pas la prière pour la bénédiction du souverain qui est encore en vigueur aujourdнhui, il est question de bénir lнétranger qui est comme un frère dans les passages de la liturgie où il est possible dнinsérer des bénédictions pour autrui. 12 vient confirmer lнaccroissement de lнimportance de Sparte et 13 résume bien les chapitres précédents et parle des ennemis qui sont « les rois alentours », ce qui confirme les travaux de IF. 14 fait allusion à dнautres amis qui nнapparaissent pas jusquнici en 1M, et en 15 cнest la confirmation écrite à destination dнun souverain étranger que cнest la divinité qui est la seule responsable des victoires maccabées au combat, ce qui exprime une fois encore le célèbre adage (-'/<''+)! ĞĹūĵĭĦijĪ ĎĭŦľ čĪķĬĺĮĬ ĴķĨĮĩ ¹ ¼¼¼¼ ¼¼¼¾ ¾½¼Ä ¼¾½ ': '< 06&2 ¿¼¾½ÂÃÅ¿Ã $= -'/<=:'/7#%, ce qui donne en français « Tout est entre les mains du Ciel sauf la crainte du Ciel ». 16 détaille les termes de la mission judéenne à Rome et 17 éclaire le dossier en indiquant que cнest en fait une concertation tripartite avec les Spartiates dont il semble être question. 19 amorce la copie intégrale de la réponse des Spartiates à Jérusalem et sнadresse au grand-prêtre Onias et non pas à Jonathan, probablement parce que les termes à convenir doivent passer 78 par la prêtrise et par lнassemblée des anciens alors que cнest adressé au grand-prêtre aussi parce que cнest lui le plus haut personnage à ce moment du récit. 20-23 est le corps de la lettre en réponse qui est plutôt courte, mais le verset 21 relate le Midrach dont nous nнavons jamais retrouvé les références selon lesquelles Grecs et les Hébreux nнétaient quнun seul peuple, mais les Grecs perdirent le /tsadé/ (8) de leur nom et Tsiyön devint Yavân (0#'-0#'8), ce qui nнest que le fait exclusif de ce Midrach introuvable. Toujours est-il que ce Midrach est donc antérieur à 143 CG, à plus forte raison dans lнoptique où il est très probable que les Midrachim soient enseignés durant lнenfance en première approche. En 22 il est question de la santé économique de la Judée, ce sur quoi les Spartiates répondent que leurs ressources sont mises en commun avec la Judée, mais hormis un effort de guerre somme toute conséquent et des pertes humaines, dans un contexte dнexemption partielle et dнexonération totale en fonction des impôts, nous nнavons pas dнéléments en faveur de difficultés économiques graves de la Judée qui lui ferait demander de lнaide, mais nous pensons que lнassertion spartiate est en fait une réponse au possible sous-entendu en 13-14 quant à des dégâts économiques conséquentiels aux conflits armés. 23 Cнest donc une lettre courte remplie dнamitié et de bienveillance, dont lнéconomie en trois versets vient marquer une sortie de protocole écrit qui marque effectivement lнamitié. 24-34 24-25 marque le début de la seconde offensive de Démétrius contre Jonathan qui nнhésite pas à se déplacer jusquнau champ de bataille afin dнempêcher leur entrée en Judée, ce qui est une notion de frontière qui est au nord du lac de Tibériade, donc sur une zone plutôt montagneuse. 26 cite explicitement pour changer lнusage dнespions par les Maccabées, ce qui vient sûrement compenser les faibles effectifs. 27-30 Cнest le premier conflit armé dans lequel les ennemis des Maccabées ont peur sans que la divinité ne soit sollicitée et le passage de lнEleuthère par les soldats de DIIN en premier semble marquer lнavantage une fois passé de lнautre côté du fleuve, ce qui renvoie aux conflits précédents où le vainqueur est celui qui traverse le premier, ce que nous ne comprenons pas parfaitement. 31 Les Arabes sont appelés Zabadéens ce qui dнaprès la TOB renvoie au toponyme de Zebdani, mais il reste possible que cela soit originaire du prénom de Zabdiel, le père de « Iamlikos ». 32-34 Jonathan délègue une partie des dossiers à Simon mais le récit ne dit pas pourquoi il est nécessaire dнaller à Ascalon une troisième fois ni ce qui sнest passé à Joppé depuis le précédent épisode, ce qui reste dans une logique de maintien de la souveraineté territoriale, ce qui semble être le but des manœuvres, alors que la reprise de Joppé semble se conscrire dans un besoin dнaccès à la mer et au passage dнun apport en poissons qui sont nécessaires déjà à lнépoque pour le repas du vendredi soir. 35-36 Les institutions sociétales dont il est question en Judée viennent se confirmer ici pour ce qui qui est e de lнassemblée lнa des aanciens, n ens de nouv ncie nou nouveaux travaux uxx sont une fois de plus prévus, mais quand il est question nouss rrenvoie directement au récit de Néh. n en 1M12,36 1M M12,36 dee ni acheter ach hete ni vvendre, endre, cela cel nou cel envvoie env voiee dir di rectem ctem 10,32189 199&13,16 200 avec tout cee qu que cela implique pour la recherche en cours dernières années. 37-38 On peut ec eche ours ces dern ration n des dees techniques tec niqu s de construction construc on dans d dans la mesure m ure où les verrous me ver us sont ssont attestés, attes te supposer une amélioration on a donc du rs de d pierre p pierre mais m s à notre notre connaissance connaaiss ce iill nн n нarmemen nt d ns les lees mur m d pierre, et nous mortier entre les murs nнyy a pa pas d dнarmement dans murss de p p avons quelques doutes sur des charpentes temporaires en fer qui auraient précédé les définitives en bois, et la photo cice q ui ssera ui era llнAkra нAkra en en 20 15 va va een faveur, du moins de par ce que nous y voyons, de mortier dessus des vestiges de ce qui serait 2015 entre les pierres. 39-41 Jonathan rejoint Tryphon ryy h à Bethsân qui est plus connue sous le nom de Scythopolis à lнépoque puis de nos jours sous nom hébreu us le le no om hé breu u originel orriginel qui estt Beth-Shéan. B th th-S S 42-47 La ruse de Tryphon a quelque chose de grotesque dans la mesure où il pas esure o i nнa nнa pa ass dû d venir vvenir seul, s l, mais se mais le récit ne fait pas état des effectifs militaires qui doivent être inférieurs à cinq-mille, soit huit fois moins que les quarante-mille soldats maccabées mais Tryphon ne sнest pas encore levé contre Jonathan si bien que les propos de Tryphon restent plausibles parce quнil laisse Jonathan être escorté dнune partie de ses effectifs. 48-49 La ruse de Tryphon aura été de mettre à lнœuvre des civils et de neutraliser le reliquat militaire positionné en Galilée et dans la grande plaine. 50-52 Cнest lнinstinct de survie qui mène les soldats maccabées à avoir une telle dextérité face à lнennemi alors que le deuil de Jonathan est fait en 52 par ignorance de sa survie, et cнest dans la suite du récit que nous lisons quнil est encore vivant, là où le récit ne fait nullement état de son décès, ce qui pourrait porter le lecteur à confusion de la même façon que les Judéens croient quнil est déjà mort. 53 Cнest lнassertion en un consensus anti-judéen qui nнexplique pas ses origines, et à ce stade de lнétude nous ne pouvons trouver dнautres explications que lнexpansion territoriale dнune part et lнaide de Jonathan à AVID contre DIIN. 198F 19F ĞĹūĵĭĦijĪ ĎĭŦľ čĪķĬĺĮĬ ĴķĨĮĩ ¹ ¼¼¼¼ ¼¼¼¾ ¾½¼Ä ¼¾½ ': '< 06&2 ¿¼¾½ÂÃÅ¿Ã $ = (COMMENTAIRE SUR 1M13) 1 Tryphon continue en de nouvelles manœuvres contre la Judée, Jonathan captif nнest pas suffisant de son point de vue alors quнil pense que cнest toute la Judée et les Judéens qui sont lнobstacle à sa souveraineté. 2-3 Le peuple a peur tant en ville que sur le champ de bataille et cнest bien compréhensible et rationnel vu les rapports de force dans lesquels les effectifs judéens sont nettement inférieurs. Lнexpression « la maison de mon père » est une façon de citer sa noblesse dнarmes, « les lois et le sanctuaire » sont une justification politique qui reflète le consensus national judéen qui légitime par décision surtout au niveau du conseil des anciens la ligne maccabée, de même quнauprès de la prêtrise, ce sont très probablement les termes qui ont mené les institutions sociétales judéennes à avoir un avis favorable à la ligne politique maccabée, et surtout à partir de Simon. 4 Simon parle dнIsraël, et ce nнest pas la première occurrence, ce qui vient conforter lнarchéologie qui dit de par la Sie quнil nнy a pas eu dнexode massif soudain de ce qui aurait pu être celui  š'¡+) š i† š /K=' ™ 4' x – – i’ !!† ™ 1š iš !¡= ™ f ˜ œP} –1 ’#f˜ œ9r -L „'K= ’ Cx š i™ C™ !} ˜ /% — d† ™ –1¡œ+:LVv /’ –+={ Cš i™ !™ -L'C: ’ ˜ f¡+ ˜~ )š ’#=L%‰ dš ]™ !¡= ™  ˜ -' Š ' – – /’ !7 ™ :˜ ƒš !' š ]„ — 4™ ’# 199 [+š fK:' š K! – K! x š ’''†1— ’ += – C} š i™ C-' ™ :ˆ – )L/K: ’ )˜ /¡+ r ˜ )š ’#G-' x š ' † – – /I ’ K vš f„’ 'š -' { :œ– c!™ ’# 200 79 des dix tribus. 5 Ce renoncement à soi est probablement une façon dнencourager les auditeurs au combat armé mais cнest en 6 quнil exprime sa préférence pour la victoire et rester en vie, par opposition sous-jacente à mourir pour la sainteté du Nom qui est derrière le combat pour le sanctuaire. « Les femmes et les enfants » sont une allusion claire à leurs mises en esclavage dans les chapitres précédents, et on comprend que les dispositions séleucides précédentes nнont pas rendu la liberté à lнintégralité des Judéens, on peut donc supposer sans trop de difficultés quнils ont été vendus au-delà des frontières séleucides. La haine semble expliquer les motivations « des nations » mais pour ce qui est des motivations concrètes il ne peut pas à notre connaissance y avoir autre chose que les exemptions et les exonérations fiscales octroyées plusieurs fois de suite à la Judée, ce qui nнexplique pas lнévocation de la Samaritide, on lit en filigrane une tension entre la Judée et la Samarie mais rien nнest explicite ni concret hormis le récit de Josèphe sur les ossements jetés par les Samaritains sur le Temple de Jérusalem et la destruction du tmG par Jean Hyrcan. Si bien que nous ne pouvons pas concrètement asserter en bonne et due forme par défaut de documentation suffisante, y compris dans la recherche spécialisée sur le RS. 7-9 Cнest lнaval du peuple pour les décisions maccabées à venir qui est ici exprimée, cнest donc un consensus national publiquement décrété. 10-11 Les murailles de Jérusalem sont faites et refaites tout au long du récit, à tel point que nous ne savons ce que la stratigraphie pourrait nous apporter, mais là nous pensons surtout à une surélévation des murailles pour quнelles soient plus hautes que les machines de guerre attendues, tandis que nous pensons à une lourde logistique et à de grands effectifs embarqués par Tryphon pour réussir à amener du matériel de guerre aussi lourd à huit cent mètres dнaltitude, effectifs confirmés en 12 dont Jonathan captif qui vaut autant pour Tryphon que son armée mobilisée. 13 Simon se positionne à Adida en face de la plaine mais cнest la suite du récit qui nous dit que le conflit armé nнarrive pas dans la ville de Jérusalem. 14 Tryphon a un renseignement bien en retard par rapport à celui de Simon. 15-16 Cнest ici un nouvel épisode de la stratégie de Tryphon, qui consiste toujours à ruser par mensonge. 17-18 Simon accepte la proposition en se doutant que Tryphon mentait, mais cнest surtout pour garder le soutien du peuple quнil accepte les termes de Tryphon quнil concrétise en 19 alors que cнest dans le même verset quнon apprend quнeffectivement Tryphon ne tient pas parole. 20-24 La TOB donne lнhiver 143-142 CG, ce qui est 3619 CH. Simon passe par le sud de Jérusalem, la TOB nous précisant que ce fût le cas de Lysias, il y aurait donc une stratégie dнapproche de Jérusalem qui soit fonction du relief, ce qui est cohérent alors quнune fois de plus le verbe talonner est utilisé pour décrire un talonnage maccabée en bonne et due forme ce qui se en e étymologie. éty ty logi lo age g rs dee la Citadelle nнont pas su u faire preuve de discrétion mais ce conforte notre analyse Les messagers ourr le udée déens de guetter g gue er laa Citadelle. Ci Cittade tadelle Tryp pho on acc epte de epte d p nнétait pas compliquéé po pour less Ju Judéens Tryphon accepte passer « par le désert » lequel est le dé ivelé velé de d plusieurs l i i de mètres m app à Jérusalem Jéru désert de Judée, avec un dénivelé centaines de par rapport ce qui est faisable avec sa ispose isp pos ntt pa déen ns, alors ors quee ccнest e la nei est ge qui fre Trryph ryphon, nous n cavalerie, cavalerie dont ne disposent pas les Jud Judéens, neige freinee Tryphon, sommes évidemment en hiverr et cнest donc froid intense décuplé dee p par llнhumidité qui viennent cнeest est do onc aussi ussi cee fr oid int ens déc uplé d нhu um dité de d lнair lнair et par llнaltitude нa freiner Tryphon qui de toutes façons risquait bien des chutes de chevaux alors quнà la base cнest la chute de neige qui ièr ère parce paarce quнelle qu llee est sii dense d se q den uнel cache très rapidement la vue même en étant bien équipé de en est la cause première quнelle нà llнépoque épo oqu ue ça nee pou po ait être être autrement. autre utr nos jours, si bien quнà pouvait La fuite vers le pays de Galaad était le meilleur repli possible mais il est probable rob babl ab e que que laa TOB ait rai raison disant que Tryphon sнest replié en Galilée parce que Baskama est a so on en d i q ue nou us aurions aur onss pl utôt vu u au pl p lurie iel donc do en « Beth-Shiqmim », mais nous ne voyons pas en fait Beth-Seqma que nous plutôt pluriel dнantagonisme à un dé détour par le désert d de Th Thékoé, terre dнAmos, pour y laisser le corps de Jonathan puis traverser le ék Jourdain, laisser le corps à lнouest du Jourdain puis le traverser après une guerre qui nнa pas eu lieu cнest enlever une raison aux Judéens de suivre Tryphon, et traverser le Jourdain, cнest traverser le Jourdain le premier, et dans ce qui semble être la conception des choses à lнépoque, lнavantage militaire est à celui qui traverse le fleuve en premier, donc nous pensons que cet itinéraire en deux points nнa rien du tout dнimpossible, ce à quoi nous rajoutons quнil nнy avait rien de très compliqué pour Simon à se rendre en Galilée même en hiver, cнest le trajet retour qui aurait été plus difficile. Et cнest très probablement depuis le pays de Galaad quнil est retourné « dans son pays ». 25-26 Et effectivement Simon envoie récupérer les ossements de Jonathan, là où il nнest pas question du mot dépouille ni du mot corps, il faut donc comprendre que plusieurs jours se sont passés entre le meurtre de Jonathan et la récupération de ses ossements, nous doutons que Tryphon ait eu la bonté de mettre le corps de Jonathan dans une grotte fermée comme cнétait le cas la première année du décès dans le Judaïsme de lнépoque, mais notons que la région dнAmos possède de nombreuses grottes naturelles, si bien quнon peut penser que son corps ait pu y être déposé sans que pour autant ladite grotte ait été fermée. Le caveau familial est toujours à Modîn et le deuil est toujours national, mais nous pensons que le deuil de Jonathan a dû être bien plus rude que celui de ses frères. 27-30 Lнallusion à ce qui est visible par derrière et de façade renvoie au Temple de Jérusalem tel un lion, cнest ici une comparaison tacite, la pierre polie comme matériau est fréquente au premier siècle dans le CIIP mais cнest aussi la marque dнun coût financier plus onéreux car plus travaillé y compris au deuxième siècle, avec des gisements très nombreux qui sont tous en Judée. Par contre nous nнavons pas dнexplication sur sept pyramides pour six défunts mais nous doutons que ce monument funéraire soit visible depuis la mer, et de même voir la mer depuis Modîn nнest quнune illusion dнoptique. 31-42 31-32 La prise de pouvoir de Tryphon est très cohérente telle que rapportée par la TOB : « avènement de Tryphon, capture de Démétrius, et meurtre dнAntiochos VI ». 33 Les travaux ordonnés par Simon semblent viser les machines de guerre séleucides et cнest lнexpérience des combats passés qui lui fait stocker des vivres, à lнépoque des céréales et de lнhuile en amphores, mais il nнest pas impossible quнil ait fait stocker de la viande fumée ou séchée, alors que nous ne savons pas ce quнil est possible de conserver dans des amphores et des jarres hormis du vin et de lнhuile. 34-35 Cнest 34 qui vient en faveur de la chronologie de le TOB et cнest encore et toujours le volet fiscal qui semble être le plus important des volets bilatéraux. 36-41 Cнest en 36 la première occurrence de Simon grand-prêtre et en 37 il est question dнune paix ĹūĵĭĦijĪ ĎĭŦľ čĪķĬĺĮĬ ĴķĨĮĩ ¹ ¼¼¼¼ ¼¼¼¾ ¾½¼Ä ¼¾½  : '< 06&2 ¿¼¾½ÂÃÅ¿Ã $= 80 « complète », ce qui mis à lнécrit évoque de réelles sources de discordes, mais le texte nнen dit pas plus à ce sujet, tandis que les propos en abattements fiscaux sont toujours bien clairs en 1M. 38 Cнest un sous-entendu en confirmation qui relève logiquement dнun courrier judéen antérieur lequel nнest pas dans la correspondance citée tandis quнil est important de noter que cнest DIIN qui octroie la pleine propriété sur les forteresses construites par les Maccabées alors quнils nнavaient que lнusufruit jusque là. Les erreurs et délits en 39 sont une perspective séleucide des choses mais là non plus ce nнest pas explicitement cité, mais il est possible que cela fasse allusion aux fruits des campagnes antérieures de Jonathan, vu que Simon nнa pas encore connu de vraie confrontation depuis la mort de Jonathan alors quнil est fait état dнun impôt impayé qui fait ici lнobjet dнune remise grâcieuse totale, ce dans un contexte en dispositions dнexemptions et dнexonérations antérieures qui sont probablement encore en application à ce moment, mais sur lesquelles nous ne pouvons asserter, ce qui est très probablement à dater du premier semestre 142 CG vu que la TOB relève la tradition juive de dater 41 en date du 27 mai 142 CG. La TOB précise pour ce qui est du volet fiscal, quнil sнagit là du tribut annuel, Jérusalem et la Judée semblant exempts des autres taxes. 40 marque lнaspect effectif dнune relation vraiment voulue pacifiée par la proposition de transferts dнeffectifs militaires dнélite auprès de DIIN, ce qui semble être pour sa garde rapprochée, très logiquement suite aux desseins de Tryphon et en 41 nous avons une date citée précédemment qui est selon la TOB le 27 mai 142 CG, qui est le vendredi, donc le sixième jour, 8 Sivan 3619 CH. 43-53 43-49 La réussite du siège de Gazara passe par lнeffroi engendré par Simon de par les moyens engagés au combat sans parler de ses effectifs militaires qui semblent nombreux. Tendre la main droite est lнexpression de circonstances mais nous ne savons pas si elle vient du grec ou de lнhébreu. Lнaccord demandé est respecté par Simon, et il semble que lнidolâtrie ait été un des facteurs motivants la prise de Gazara, et cнest en grand combattant du monothéisme le plus pur et le plus absolu que Simon y fait son entrée par laquelle il signe le début de son époque juive et monothéïste avec en plus des commodités pour pouvoir éventuellement y prendre résidence. 49-53 49 renvoie une fois de plus au passage de Néhémie cité précédemment, du moins lнanalogie est intéressante. La famine semble être la seule stratégie qui puisse permettre à Simon de gagner définitivement la Citadelle, à fortiori après la disette judéenne entre année sabbatique et mauvaises récoltes. 50 Lнévacuation de la Citadelle se passe dans les mêmes termes que pour Gazara, le rédacteur change juste le toponyme, et cнest probablement dans une volonté dнéconomie afin de limiter la taille du recueil et donc faciliter et accélérer sa copie et sa distribution. 51 La TOB donne le 4 juin 141 CG pour le vingt-troisième o s de llнan a 171 71 là où elle ne précise p éccise ci pas pa explicitement si cнest stt sur la base de CS ou de CH, lequel 4 jour du deuxième mois jou urn née du 28 Sivan Sivan 3620 3 362 ssi ccнétait нétait ef eeffectivement ffect vementt d ans un calendrier calen ca juin 141 CG donne la journée dans séleucide parfaitement ui nнest nн n él et en CH sur lla b jumeau de lнhébraïque, ce qui pas lle cas hélas, dн нu deuxième d uxiè basee d dнun mois qui est celui de « Iyar », ce serait la journée du mardi 1eerr m us aurions aauri uri nss donc doncc en n toute to e évidence év évide vidence nce un décalage décaalag gee d yn yna mai 141 CG, nou nous dynamique de quelques end end drier drie er ssél leuc de av es in ncrééme tati t ons ba byl iennes et le ccalendrier lend drier hébraïque, hébr br semaines entre le calendrier séleucide avecc se ses incrémentations babyloniennes mais après consultation du texte de la Méguila Taнanit, notre présomption est quнil est question des mois du calendrier hébraïque M, si si bien b nq qu n ro opo posons effectivement eff dans ce passage de 1M, que nous proposons les deux dates, une qui renvoie au calcul de la TOB séquen ncee de CG vers dont le notre en conséquence ver CH, et un sec second calcul qui postule sur la base dнun décompte des mois dans ue d dan e d end drier h ébr ue ce qui éb q donne afin dнéviter toute confusion le mardi 1er mai 141 la Méguila Taнanit tell qu que danss le cal calendrier hébraïque, G ctio tion de de je ûne dee p pa ar laa M égu a T a anit qui prend effet le soir du 30 avril 141 CG. 52 Cette date C , avec une interdiction jeûne par Méguila Taнanit doit être en toute logique dans la Méguila i il Taнanit, T н i alors quнil faut noter ici lнoccurrence dнune résidence dнun grandprêtre dans la montagne du sanctuaire face à la Citadelle. 53 La nomination de Jean par Simon Maccabée son père nнest pas seulement dûe à son aptitude à diriger les armées, cнest probablement aussi parce que Simon prenant sa résidence dans la montagne du sanctuaire il veut très probablement limiter les problèmes dнimpureté en tant que grand-prêtre qui commencent dès quнun grand-prêtre fait autre chose que le service sacré pour faire très simple. ĹūĵĭĦijĪ ĎĭŦľ čĪķĬĺĮĬ ĴķĨĮĩ ¹ ¼¼¼¼ ¼¼¼¾ ¾½¼Ä ¼¾½  : '< 06&2 ¿¼¾½ÂÃÅ¿Ã $= (COMMENTAIRE SUR 1M14) 1 La TOB donne 141-140 CG pour 172 CS et nous précisons que cнest 3621 CH. Ce alors que les manœuvres de Tryphon contre DIIN ne sнaffaiblissent pas si bien quнil doit demander de lнaide en plus de celle demandée aux Judéens ce qui semble avoir été demandé pour sa sécurité personnelle. 2-3 Il semble que DIIN était mal renseigné sur les intentions de A1M1 à son égard qui le fait mettre en prison, mais ce nнest pas étonnant au vu des récits précédents que les Séleucides ne soient pas très bien renseignés. 4-15 Suit un passage en poésie qui fait lнéloge de Simon qui débute en 4. En 5 nous avons la confirmation que la prise de Joppé était bien pour avoir un accès maritime, qui plus est, est le plus proche de Jérusalem, quatre-vingt kilomètres en descente de huit-cent mètres dнaltitude, duquel port on arrive rapidement à Chypre ou à Alexandrie en longeant la côte, ce qui était lнhabitude marine à lнépoque. Le texte parle de Chypre et des îles, ce qui est cohérent dans une perspective de besoins de soutiens rémunérés octroyables par les mercenaires basés à Chypre, mais peut-être nнest ce pas la seule raison pour ce qui est de lнeffort de guerre. On peut supposer que le port de Joppé soit aussi en prévision dнimports alimentaires, surtout durant lнannée sabbatique. 6 Lнexpansion territoriale relatée est celle des conflits décrits en 1M et confirmés par les travaux de IF réédités en août 2018. Lнhébraïsme en 7 est -':-''#<7'9#!. Et la construction de ce verset sur la base du verbe /léqabetz/ (79+) a pour but tacite une intertextualité avec le Tm qui était déjà finalisé à lнépoque et cнest une intertextualité avec la vision prophétique du rassemblement des exilés qui est dans le Tm et aussi dans la liturgie, ce qui est attendu par le Judaïsme au début de la fin des temps, ce qui conjugué à lнénoncé de la lutte armée contre lнidolâtrie en Judée vient valider plus que jamais son statut de grand-prêtre auprès du lecteur. 8 Les bonnes récoltes relatées sous entendent que cнest de par la droiture religieuse de Simon que la divinité bénit les récoltes par lнabondance, cela avec la croyance rémanente selon 81 laquelle une mauvaise récolte est une punition divine, car dans la pensée judéenne, déjà à lнépoque, tout était entre les mains des Cieux, sauf la crainte des Cieux. 9 est un verset qui vient encourager lнenrôlement dans lнarmée hasmonéenne de jeunes aussi preux que courageux, ce qui semble être difficile à recruter vu la liste des cas dнexemptions ainsi que de la réalité décrite sur le champ de bataille précédemment. 10 Cнest Simon stratège aussi pertinent quнefficace, qui est ici comparé à la divinité en disant que « son nom glorieux fût nommé jusquнaux extrémités de la terre ». 11 « La paix dans le pays » exprime un état apaisé de la société alors que les causes du chaos antérieur sont multiples, ici on ne sait si le rédacteur fait allusion au conflit interne aux Judéens où à lнopposition aux Séleucides quand ce fût le cas ou encore aux conflits conséquentiels « à la haine des nations », et nous ne pouvons asserter en faveur dнune de ces possibilités ni de toutes à la fois parce que le passage nнest pas assez explicite pour ce à quoi il renvoie. 12 Cнest une intertextualité avec Mi. 4,4 comme le dit si bien la TOB. 13-14 décrivent une vie aussi paisible que féérique, avec une justice sociale effective pour les indigents, ce qui laisse comprendre que les Assidéens et lнensemble des personnes qui renonçaient à des revenus issus du travail pour étudier la Torah avaient trouvé un agrément avec Simon basé sur les lois de la Tsédaka qui devait donc leur donner une subsistance dнétat, là où cнétait auparavant un mécénat sur la base dнune Tsédaka dнindividu à individu. La suppression de lнimpie et du méchant renvoient à ces récits de procès aux portes de la ville pour motif basé sur la loi du Pentateuque, il faut donc comprendre que la sentence en exclusion de la ville était fréquemment utilisée à lнépoque et donnait donc à la ville lнimage dнune ville où il nнy a pas de pécheur, et cнest peut-être un début dнexplication aux communautés du désert de Judée et à la vivacité démographique de la Samarie relatée par AZ et AL. 15 parle de la gloire qui couvrit le sanctuaire, cнest la gloire dнune société qui repose sur la pratique et lнétude du Pentateuque, une société qui ne fait pas dans le matérialisme, une société particulièrement déiste qui nнa pas dнautre but que de servir la divinité en respectant ses lois, ce qui serait très probablement à lнépoque de Simon un respect des lois au pied de la lettre. 16-24 16-19 indique que les informations officielles sont dнune diffusion très lente, ce qui laisse peser le doute sur la forme des relations diplomatiques, nous concluons en faveur de lнabsence dнun consul romain à Jérusalem en ces années-ci, ce alors que la Judée a les faveurs de lнouest entre Rome et Sparte, ce qui est répété sur des tablettes de bronze jamais retrouvées, et la lettre des Spartes est consignée à même le texte de 20 à 23. A défaut de consul permanent qui semble ne pas exister en Judée à lнépoque ce sont des ambassadeurs mobiles que Simon envoie à Sparte, ce qui est un usage différent de celui en vigueur aujourdнhui, lequel à Vienne qui est eq q l repose r re se sur s les conventions e to ons décidées on d déc st en 1815 de notre ère au sein de la Confédération germanique. par 1M12,26 en les personnes de aniq quee. Le L rôle rôle dнambassadeurs dнam amba mbassa eurs semble sem mble avoir mbl avoir ir été été titu ttitularisé ularrisé de de pa h ett Antipater An i fil d d Jason, J ar ccнest н encore eux en 1M14,22. M1 Numénius fils dнAntiochus fils de de car Les archives publiques aavoir voi été rretrouvées trou uvées aalors uvée lor qu il es il ès p obable quee ce document ocu ume ment apposé ap app spartiates semblent ne jjamaiss avoi quнil estt tr très probable en 1M14 soit le ie exé eexécutée cuttée à llнintention cut nten on de Simon, Sim mon ce q ui llaisse aisse ccomprendre mprendre que le rrédacteur édacteur de 1M qui écrit vers reflet fidèle de la copie qui lнan 100 CG a accès à la documentation des archives du Temple de Jérusalem, ce qui est très crédible durant la période on 40 40 ans a avant av nt le dé ava ut dee lнère llннèrre romaine. ro hasmonéenne, environ début 24 est la seule occurrence de Numénius en représentation à lнétranger par ran er sans san n êêtre accompagné ns acc mp acco pagn néé p ar JJason. 25-49 25-26 Les stèles en faveur de Simon sur le mont Sion com mme but but dнexprimer d exprimer mer à S im laa reconnaissance du peuple, cнest aussi et surtout pour que cette nнont pas seulement comme Simon нunan nimité té de ttoute tou oute la la nation, natio tio da d ans la mesure où les marches du Temple étaient un lieu de reconnaissance fasse llнunanimité dans н lнécrit qui y est déposé dé é qui est voulu comme inhibiteur de toute discussion à la défaveur de discussion politique, cнest Simon. 27a En gardant 140 CG pour le 18 Eloul CH cela tombe pour Casio le mercredi 18 septembre 140 CG pour ce qui est de la journée, et non pas le 13 septembre 140 CG, mais rien nнest moins évident et sans Casio toutes nos dates seraient fausses pour ainsi dire parce que rares sont les calculateurs à prendre en compte tous les paramètres et tous les algorithmes des différents calendriers, tandis que le vendredi 13 septembre 140 dont parle la TOB est précisément le 22 Eloul 3621 CH. Ce qui donne un début de règne de Simon au plus tôt en lнannée du mois Eloul 3618, ce qui est 144-143 CG, lнannée 3618 CH commençant le soir du dimanche 6 septembre 144 CG cнest donc au plus tôt en septembre 144 CG que débuta le règne de Simon. 27b-49 Ce passage est la meilleure façon possible de résumer 1M1-14 en donnant la note dнune action qui relève de la perfection absolue qui inclut la dévotion absolue au Temple, à la loi et au peuple qui ne connaît que la droiture. Cнest un résumé mais il convient de noter des points pertinents comme suit : La première année de Simon est 3618 CH mais cнest exprimé de cette façon parce que ce nнest pas précisément trois fois une année hébraïque en cette date du 18 Eloul 3621 CH qui se sont écoulées tandis que nous sommes entre le vingt-quatrième et le trente-sixième mois de règne, parce quнil faut comprendre ici comme dans lнexpression antérieure « deux années de jour » quнon est après le vingt-quatrième mois mais avant le trente-sixième mois de règne de Simon. Pour Asaramel la TOB a raison parce que cнest cohérent pour ce qui est du fait de la langue mais nous ne trouvons pas dнattestation dans la littérature antique de cette suite de mot +-3:8%. 28 donne les institutions sociétales judéennes et cнest le verbe notifier qui est intéressant, il semble y avoir eu une discussion avec lнensemble des membres des différentes assemblées en grande assemblée nationale qui a logiquement débattu de son aval à la politique maccabée puis à celle de Simon au titre du premier souverain hasmonéen. En 29 et 31 les ennemis sont au pluriel, ce qui rejoint IF. En 30 il est fait état dнune unification du peuple sous Jonathan, ce qui laisse présumer un statut quo entre pro et anti hellénistes et comme cнest le cas fréquemment la défaite constituée par le meurtre de Jonathan nнest pas relatée, on ne garde que lнaspect victorieux de lнhistoire comme cнest souvent le cas. 32 laisse comprendre que les caisses de la Judée étaient vides, ce qui vient expliquer en partie au moins les maintes demandes dнexonérations et dнexemptions fiscales, alors que nous apprenons que Simon était doté de moyens financiers conséquents. En 33 la frontière à Bethsour est confirmée une fois de plus de même que la stratégie dнinstallation de poste dнavant-garde militaire. 34 cite les conquêtes de cités et ĞĹūĵĭĦijĪ ĎĭŦľ čĪķĬĺĮĬ ĴķĨĮĩ ¹ ¼¼¼¼ ¼¼¼¾ ¾½¼Ä ¼¾½  : '< 06&2 ¿¼¾½ÂÃÅ¿Ã $= 82 lнinstallation dans celles-ci de populations juives en ayant appris des erreurs passées en anticipant leur besoins quotidiens avec en premier les besoins alimentaires. 35 nнapporte quнun résumé des hauts-faits de Simon sans rien de nouveau, idem en 36 mais ici lнemphase passe par les sortis de la Citadelle pour souiller les abords du sanctuaire, et nous y voyons une analogie avec le récit de FJ sur les Samaritains qui viennent auprès du Temple y jeter des ossements alors que 37 est la suite de 35 sans nouveauté. En 38-39 on apprend que cнest la politique de Rome envers la Judée qui a influencé celle de DIIN. 40 sous-entend Numénius et Jason et les cite avec le titre dнambassadeurs. 41 rejoint la directive sur les pierres souillées entreposées dans lнattente de la venue dнun prophète. 42 donne la hiérarchie au sommet de laquelle est Simon pour ce qui est des nominations, il y a trois groupes de directeurs pour quatre domaines sur lesquels Simon nomme seul qui lui convient. 43 exprime le pouvoir absolu conféré à Simon pour ainsi dire, mais que reste-t-il du pouvoir des institutions sociétales ancestrales et quel droit de véto ? 44-46 Cнest ici le vrai motif pratique de ce document affiché publiquement au mont Sion, lequel consiste à interdire des disputes au sujet de Simon sur les marches du Temple en premier lieu puis dans le pays en général, mais cнest surtout pour les marches du Temple que cette interdiction est affichée, ce afin de maintenir une stabilité dans une société qui se dessine et se stabilise sur les décisions de Simon, conditions acceptées par lui-même en 47 avec détails de tous les titres revêtus et des fonctions conséquentielles. 48-49 Le support en bronze est voué à une certaine durabilité de lнaffichage de lнécrit, et les copies semblent être surtout à destination de ses fils, desfois quнils voudraient devenir de suite grand-prêtre à la place du grand-prêtre. (COMMENTAIRE SUR 1M15) 1-2 Cнest la TOB qui précise que AVIIES écrit à Simon depuis Rhodes apprenant la captivité de son frère DIIN qui omet le titre de stratège de Simon au début de sa missive, statut qui est peut-être inconnu de AVIIES à moins que ce ne soit le rédacteur qui ait oublié ou fait lнéconomie de le préciser considérant que cнest juste au chapitre précédent 1M14,47. Les pernicieux en 3 sont Tryphon et ses accolytes et la revendication du RS dont il est ici question a en toute logique été adressée à Rome pour approbation dont celle de manœuvre militaire à venir exposée en 4. Le courrier est idyllique de 5 à 8 pour Simon, toutes les remises fiscales sont confirmées, toutes les faveurs de DIIN sont maintenues, mais cнest évidemment dans un sous-entendu qui consiste à demander que soit envisagée lнaction militaire oin était, étaait, ou du moins mo oins si AVIIIIES la ju hasmonéenne si besoin Lнautre aspect idyllique de ce passage est jjugeait ugeeait nécessaire. écessaire re.. L a e asp autr rapp perr monnaie, m monn onn naie, lesquelles lesquelle monnaies mon nnaies hasmonéennes ha monééennes ont has on nt été été retrouvées ret lнoctroi du droit de frapper lors de Fa. La promesse dнhonneurs à venir en 9 vient compléter omp m les droits et privilèges lèè en 5-8 et accréditent le sous-entendu dнune demande dнaide militaire si besoin était, donc honneurs présumer des soin n ét taitt, ce sserait rait d onc dess ho onneu onn eurs militaires m militairres qui qu uii seraient serai ra ent à venir, ven nir,, ce qui nir q laisse la lai dé i efficaces, ffi é i d b et des technologies soldats hasmonéens désormais ce quii se corrèle avec lles stratégies des d derniers combats usitées. 10-14 10 La TOB do d donne onne lнautomne l auto omn 13 139 39 CG pour p 174 CS, ce qui est 3622-3623 CH, et il convient de noter que le VII S conflit entre A E ett T yphon on n se déploie dééploie jusque usque dans us daans ns les rangs de lнarmée séleucide, on peut donc parler de guerre Tryphon civile, pour ne pas dire de guerre civile intestine, alors que Tryphon se retrouve isolé de par une prise de partie VIIES si bie majoritaire en faveurr de AVII bien que nq ue 11-12 1 1 -1 2 n nouss aapprend ppre pre quнil fuit à Dôra alors quнen 13 AVIIES y fait un siège conséquent mais sanss ééléphants qui léph éph hants ce ce q ui ssнexplique нex expliq pliq que u par ar le ar le fait quнil essaie de prendre le pouvoir sans avoir eu accès aux ressources animales de lнInde ni de lнAfrique nнayant pas encore régné, il ne pouvait donc recruter que des soldats et des matelots en plus de ceux qui avaient dнeux-mêmes pris son parti contre Tryphon, dнoù un blocus maritime et terrestre aussi puissant que faire se pouvait. 15-24 15 ne précise pas qui a accompagné Numénius à Rome mais nous avons à partir de 16 jusquнen 21 copie conforme du courrier diplomatique romain en réponse à celui apporté par Numénius lequel est adressé à Jérusalem uniquement en copie pour information, les récipiendaires supplémentaires à Ptolémée et Simon sont intégralement cités de 22 à 23. En 17 ils est question dнambassadeurs au pluriel mais bizarrement à titre égal 1M ne les cite pas nominalement, et le renouvellement de lнamitié et de lнalliance se concrétise en 18 par le moyen pécuniaire dнun bouclier dнor, sur lequel la TOB précise quнil fait quarante-quatre kilos et non pas cinq-cents kilogrammes comme le dit le texte, et idem pour 1M14,24, « ce nнest pas un poids de mille mines soit cinq-cent kilos dнor mais un poids valant mille mines dнargent dнoù les quarante-quatre kilogrammes dнor ». 19-21 vient faire état des termes du courrier largement diffusé aux amis et alliés de Rome, il ne faut pas porter assistance aux ennemis des Judéens et aucune ouverture de campagne militaire contre la Judée nнest autorisée ce qui est logiquement concrétisé par lнacceptation du bouclier judéen, accord qui implique aussi, ce qui est parfait pour Simon, de séquestrer les prohellénistes pour les déférer aux autorités hasmonéennes en précisant que cнest la loi judéenne qui leur sera appliquée et donc celle du Pentateuque, quand bien même ils étaient arrêtés sur un territoire étranger avec ses lois locales, ce qui est sans précédent dans nos connaissances à ce jour. 22-23 La TOB précise que cнest une liste pêle-mêle des régions indépendantes avec leurs villes, ce qui est un bon témoignage de lнétat politique vers 150 CG. 25-26 Le détachement judéen arrive à Dôra avec une logistique conséquente sur ordre de Simon, mais cнest en 27 que le paradoxe se produit, AVIIES refusant le soutien judéen dont il était pourtant implicitement question de 2 à 9. 28-29 cнest le message de AVIIES à Simon qui nнest pas déposé auprès des forces judéennes à Dôra mais directement à Simon, message dans lequel il annule toutes les confirmations en 2-9 pour demander des redevances sur les expansions territoriales, ce qui représente selon la TOB treize tonnes dнargent, conformément à ce que demande DIIN en 13,39, et il faut donc comprendre que cнest la décision de DIIN qui fait finalement foi, ce qui laisse penser que DIIN et son frère AVIIES sont tombés dнaccord où que DIIN a imposé sa volonté. Lнétonnement dнAthénobius en 32 renvoie à la dette gracieusement remise en 1M13,39, il faut comprendre que le luxe est visible à lнarrivée dнAthénobius à Jérusalem auprès de Simon alors quнen ĞĹūĵĭĦijĪ ĎĭŦľ čĪķĬĺĮĬ ĴķĨĮĩ ¹ ¼¼¼¼ ¼¼¼¾ ¾½¼Ä ¼¾½ ': '< 06&2 ¿¼¾½ÂÃÅ¿Ã $= 83 13,39 il est fait remise grâcieuse du tribut annuel qui est dнune couronne, très probablement en or. La réponse de Simon en 33-35a est importante pour la forme car le fond vient signifier que du point de vue judéen tout territoire conquis est de plein droit judéen même si il a été perdu entre temps au cours dнun conflit, cнest une notion de souveraineté quнon peut qualifier dнindélébile, mais cela ne semble pas être le monopole de la Judée, les propos rapportés par 1M faisant état dнune notion de propriété qui persiste malgré la conquête militaire, dнoù les propositions de redevances constatées, ce qui est propre à lнAntiquité. 35b-36 marque lнétonnement dнAthénobius car il y voit du toupet alors que la Judée nнa pas le monopole de la conception de souveraineté sur un territoire perdu au combat, mais peut-être sнoffusque-t-il que dans cette relation en semi-hégémonie la Judée ose lui répondre de la sorte alors que le deuxième toupet serait cette persistance à vouloir une exemption totale de tout impôt alors que les caisses judéennes semblent pleines. Nous pensons que ce nнest pas toujours une question de solde disponible dans les caisses de Jérusalem, cнest semble-t-il aussi le fruit dнune certaine conception du fait des choses en Judée qui consiste en ce que la Judée ne trouve aucune raison à devoir payer la jouissance dнun territoire quнelle considère comme le sien en tous temps : nous pensons que ce sont les deux motifs à la fois qui viennent générer lнaspect fiscal de la politique de la Judée auxquels il faut rajouter la pensée biblique pour ce qui est donc de facto de la Terre dнIsraël, à savoir que le Tm décrète la propriété de la Terre sainte à Israël pour lнéternité, ce qui est maintes fois répété dans le Tm à tel point que nous ne citons pas les occurrences, alors quнon peut supposer que Ps. 24,1 a fait allusion à un usufruit à Israël avec une nuepropriété à la divinité, mais de toutes façons il est évident que la réponse de Simon se base sur la parole divine consignée dans le Pentateuque là où les autres souverainetés ne semblent pas faire état dнune souveraineté territoriale liée à leur fait religieux. 37-41 DIIN délègue à Kendébée les opérations contre la Judée mais ne sнexplique pas en 1M sur son point de vue devenu complètement différent en 1M15, on peut juste penser que le paiement des termes de la PAK est encore dû et que les caisses séleucides sont vides, la compétence militaire judéenne ne peut être remise en cause alors quнil les a sollicités pour sa garde personnelle auparavant, à moins que ce fût un fiasco dont nous nнavons pas connaissance, et nous ne savons pas si ce fiasco serait imputable aux soldats judéens, qui auraient dans cette perspective assisté DIIN dans sa campagne orientale où il fut capturé par A1M1, hypothèse en faveur de laquelle nous nнavons pas de documentation. Toujours est-il que la fin de 1M15 en 40-41 décrit des exactions particulièrement conséquentes envers la Judée, et ce ne serait donc pas uniquement stratégique, au sens pécuniaire des choses, mais il y aurait semble-t-il un certain contree laa Judé Judée. ce in n rressentiment e enti Ju ée. ĞĹūĵĭĦijĪ(COMMENTAIRE ĎMEN ĭNTA ŦAIR ľREčSUR ĪRķ1M Ĭ16)6ĺ) ĮĬ 1M16) (COMM (CO SU UR M M1 ĴķĨĮĩ ¹ ¼¼¼¼ ¼¼¼¾ ¾½¼Ä ¼¾½ ': '< 06&2 ¿¼¾½ÂÃÅ¿Ã $ = 1-10 1-3 Sim Simon on co on cconvoque onv nvoq voq e « sses de deux ux fils ux fils les les plus lus âgé lus ââgés gés »»,, Jud Ju Judas d s et e Je Jean an ((Hyrcan an Hy an Hy an Ier) Ier) alo alors ors que Kendébée ors continue ses manœuvres militaires. Et cнest lors de cet entretien quнil exprime le souhait « dнabdiquer », alors que cнest Jean Hyrcan Ier qui lui mais quand Prenez donc ma place et celle de mon frère », il sous-entend ui ssuccèdera, uccèd dera era m ais q an nd iill ditt « P néanmoins un binôme comme celui d de Simon S mo avec son frère Judas Maccabée. Sa demande en miséricorde sous-entend effectivement le Ciel da dans lignée dee lнadage selon lequel ns llaa li gnéee d gné l adage selo eq el « Tout est entre les mains du Ciel, sauf la crainte du Ciel ». 4-6 La riposte hasmonéenne onéenn ne passe passe p par arr Modîn M dîn qui Mod qu est st donc donc à lнépoque un site assez sécurisé pour que Jean Hyrcan Ier et son frère puissent y passer la nuit. Vingt mille soldats et des cavaliers recrutés à travers tout le pays côté hasmonéen, ce qui a dû prendre quelques jours. La TOB désigne le Wadi Qatra à juste titre, mais nous précisons que la particularité du Wadi réside en ce quнil coule uniquement en hiver voire un peu au printemps, et nous sommes très probablement en Janvier 134 CG, alors que la crainte de traverser le torrent est un bis repetita mais ne concerne ici que les soldats, les cavaliers nнayant vraiment pas de problèmes à traverser un torrent quand cнest celui dнun wadi pour la simple raison que le cheval peut sauter au dessus du wadi, voire plusieurs fois de suite si nécessaire. Cнest là où ils rencontrent Kendébée qui arrive avec une cavalerie alors que le texte nous fait état à plusieurs reprises dнune cavalerie hasmonéenne, ce qui nнa rien dнimpossible alors que cнest parfaitement nouveau, dнoù lнemphase, cavalerie hasmonéenne, qui est probablement due aux échanges avec les Arabes qui de toutes façons, ce nнétait pas le cas, nнétaient pas les seuls à avoir des chevaux à lнépoque, mais vu lнopposition séleucide, nous pensons plutôt à une acquisition auprès des Arabes avec usage des écuries de Salomon qui étaient probablement remises en service à Jérusalem, avec une autre partie du cheptel auprès des cavaliers qui étaient en réserve. 7-8 La stratégie maccabéehasmonéenne de placement des régiments en plusieurs sous-groupes en fonction des paramètres du camp ennemi nнest pas la première occurrence, cнest une fine stratégie acquise au fil des années, et si les trompettes ont toujours été utilisées au combat cнest parce que lнassourdissement rendait invalides pour quelques heures les soldats ennemis. 9-10 Juda est blessé mais encore vivant, Jean continue le combat en pourchassant les soldats ennemis alors que les pertes décrites côté séleucide semblent possibles. 11-23 11-13 Ptolémée fils dнAboubas nнarrive quнau dernier chapitre de 1M très logiquement parce quнil venait dнêtre nommé stratège de la plaine de Jéricho. 14 La TOB donne février 134 CG, ce qui est pour Casio la période allant de la veille du lundi 24 décembre 135 CG jusquнau soir du mardi 22 janvier 134 CG, ce qui sнinscrit dans 3627 CH. 15-17 Lнassassinat des Hasmonéens était parfaitement prémédité, là où nous constatons une forte consommation de vin, en hiver, ce qui nнest pas très conforme à la loi qui interdit lнivresse, là où la culture ancienne considérait déjà que connaître quelquнun, cнest connaître son verre, sa poche, et sa vexation (#23)##2')#2#), lesquels mots se ressemblent beaucoup en hébreu ( kosso, kisso, vé-ka’asso IJĦĮĸijĴĹĴijĸĶĺĪSimon et ses fils ne ĸĴijĹĵĦĸĨĮĹūĸĦĻĪĨĺijĪĪĸĨĴķĹĪIJĮıĮĹĦĮķĪĨĪĶĺĮĦĩƀīĦĨĮıĮĹĪķıĪĸIJĦijŻĺĻķĪĸĩĪěĹĴıūIJūĪ18-22 Ptolémée semble avoir pris l’initiative qu’il pensait pertinente pour le trône séleucide et continue ses offensives autant que faire se peut, il a 84 juste méconnaissance d’un système de renseignements judéen qui revient en filigrane tout au long du texte, alors qu’il essaie de faire passer au camp séleucide les chefs de milliers qui sont d’après la TOB les commandants dont il est question en 19 et c’est grâce à ce système de renseignements qu’il échoue dans la même manœuvre à JérusalemĘĦĮĸ en 21 l’information en meurtre prémédité enclenche un principe de loi qui dit qu’il faut se lever et tuer celui qui vient nous tuer, ce dont nous parlions dans les chapitres précédents, et c’est ce principe qu’applique Jean au pied de la lettre, dans la plus complète impunité légale car c’est exactement le comportement prévu ĩĦijĸĨĪĨĦĸĐij23-24 la TOB renvoie très pertinemment à ¾Ďĭķ¾ÃÃĪĹ½ĝ½À¾ÅĨĪ qui donne effectivement la même tournure stylistique ô combien précieuse en littérature comparée, c’est ici un début d’indice supplémentaire aux travaux de IF pour une apposition textuelle au deuxième siècle CG. Reste que le livre des annales ne nous est pas parvenu mais son titre en hébreu devrait être en toute logique « le livre des Jubilés », traduisant annales par /youvalim/ en hébreu (-'+#') mais 1Mgr donne ¹À¹ÂĕĿ ÷Ä¼ÉľÅÒÉÏÀ¼ÉÑÊįžËբce que nous traduisons sur la base dнune glose numérique par « le livre des jours de la haute-prêtrise » qui doit être en hébreu !+#!!1#!)!'/' ':, mais pour le premier mot /divré/ en hébreu cнest par analogie avec le titre en hébreu des Livres des Chroniques que nous posons /divré/ en enlevant le mot livre pensant que dнun côté cнest un pléonasme, mais vu que 1Mgr donne ¹À¹ÂĕĿ, nous posons donc la deuxième traduction complète possible :!+#!!1#!)!'/''::62 Conclusions sur 1M Le choix de sнarrêter après lнassassinat de Simon et deux de ses fils est voulu comme un évitement de répéter ce qui est déjà dit dans un autre livre qui ne nous est pas parvenu, mais nous pensons que cнest aussi une façon de mobiliser lнopinion du lecteur en faveur dнune conscience patriotique, alors que le lecteur originel parle hébreu mais nнest pas nécessairement contemporain des faits racontés, alors que la datation vers 100 CG nous semble convenable, ce serait donc pour la génération après la destruction du tmG que ce livre a été rédigé. Une première mouture pour les hébréophones, une seconde pour les hellénophones, très probablement à lнintention des Juifs dнAlexandrie et des autres ve en e de hors dee la Judée, Judée, alors lors que la traduction tra uctio uction vers verrs lee grec grecc a ceci c de très particulier et de très rare sites de résidence juive dehors O n ion st trictem ment littérale litttérale du du tex te en n hébreu, h hébr éb u, m que cнest une traduction strictement texte mais làà où la TOB ne voit que des hébraïsmes, cнest p e à la littérature hébraïque qui se dégage et qui est fondamentale, la suite de nos pre surtout une intertextualité propre travaux ces prochaines es années a nées passera ann pas ra par p r une un ne analyse analyse complète co omp plète de de la traduction trradu adu uct on littérale ucti littéraale de 1Mgr, 1Mgr, gr parce que nous b i choisis h i i par UR ne reflètent pensons que la syntaxe et lle vocabulaire pas la hébraïque de qui apparaît flè l llangue héb ï d lнépoque lнé dans les citations de la tr dans ttraduction rad aduction tio littérale ittéral d an la TOB comme extrêmement simple. Simplicité à laquelle il faut noter ans ial d 1M en hébreu éb breu connaît breu on n îtt sur nnaî sur le bout des doigts le Pentateuque et la liturgie, là où nous avons que le rédacteur initial dee 1M aussi des passages de Michée, des Chroniques et des livres des Rois, alors que Jonathan sнexclame en 1M12,9 en disant ÇįÌÑÅ ÑÅěÅ̼ËÈ ¼ËÈ¸É È¸ÉÚ ÚÁ¾ÊÀÅÅììÏÇÅÌ Û ¹À¹Âĕ¸ÌÛ ¹Âĕĕ¸ ¹Â ÷ļėËÇħÅÒÈÉÇÊ»¼¼ėËÌÇįÌÑÅěÅ̼ËȸÉÚÁ¾ÊÀÅìÏÇÅ̼ËÌÛ ×ºÀ¸ÌÛ ëÅ̸ėËϼÉÊĖÅ÷ÄľÅբce qui nous laisse penser est question que q tion en en 1M 1M avaient aavaient en eu u plus plu us de travail que celui qui consistait simplement à recopier les que les Scribes dont il est rouleaux des Pentateuques, les mézouzoth et les phylactères sans parler des contrats de mariage, sinon ce ne serait pas la description dнune corporation élitiste qui en serait donné comme cнest le cas ici avec des tournures très simples en français mais qui montrent néanmoins quнils sont socialement élevés. Le plus gros problème est lнédit de AIVE, en fait nous avions nos hypothèses au début de lнanalyse, mais le récit à ce sujet se corrèle logiquement là où Josèphe nous relate les affiches déchirées à Jérusalem 201, comme le fût lнédit de AIVE dнaprès le récit, et cнest avec un regard juif sur le texte que nous avons conclu que rien ne pouvait être pire que la saisie-confiscation de la Ménorah avec les autres objets précieux du Temple et quнà partir du moment où cela avait eu lieu, lнinterdiction de pratique du Judaïsme était très peu de choses, mais cнest ce qui est ordonné par lнédit qui ne nous est pas parvenu. Il nнy a donc que deux possibilités, la première est que lнédit a existé mais nнétait quнune simple formalité, le pire ayant déjà eu lieu, et si ces interdictions sont ordonnées, elles nнont de sens que comme punition collective pour impôt impayé, parce que ce qui est pris au Temple nous fait penser à une saisie-confiscation dans une logique pécuniaire conséquentielle à la PAK, et cнest lнhypothèse que nous privilégions dans un scénario où lнédit a existé. Mais il y a la seconde théorie, qui consiste en ce que si lнédit nнa jamais existé, le rédacteur de 1M devait en avoir copie en ayant accès aux courriers lus par les messagers déposés aux archives, mais ce ne fût bizarrement pas le cas, ce alors que la raison principale dнune théorie contre lнexistence de ce décret passe par le fait quнil est relaté avec une redondance qui signe le fait de langue hébraïque écrit, lequel édit arrive sans réel motif dans le texte et surtout arrive après la pire des catastrophes, la confiscation de la Ménorah, et nous ne pensons pas que le mouvement pro-helléniste ait pu engendrer de telles réactions contre les antihellénistes, cнest pourquoi nous avons une seconde théorie contre lнexistence de ce décret. Cela étant, le fond du problème semble avant tout fiscal. Lнédit relève pour nous, dans tous les cas, quнil ait existé ou non, du fond pour ce qui y est ordonné, alors que pour la forme nous avons une description dans laquelle nous apprenons que les mères circoncisent leurs bébés alors que les Mohalim existent déjà dans un contexte où au milieu du deuxième siècle cнest surtout la diffusion du Deutéronome qui marque la pensée juive anti-helléniste, et la forme relatée se confirme comme étant vraie, ce qui est pour nous un bon début de moyen de preuve par la tradition de lнallumage des bougies de ĞĹūĵĭĦijĪ ĎĭŦľ čĪķĬĺĮĬ ĴķĨĮĩ ¹ ¼¼¼¼ ¼¼¼¾ ¾½¼Ä ¼¾½ ': '< 06&2 ¿¼¾½ÂÃÅ¿Ã $= 201 GdJ II, 9, 2-3 85 Hannoukah chez les Juifs orthodoxes ashkénazes Loubavitch, à Hannoukah il y a une Hannoukiah allumée pour chaque mézouzah, les bougies étant allumées sur une chaise face à la mézouzah, et autant on nнest plus vraiment dans la recherche en histoire mais en ethnohistoire sur cet aspect précis, autant la corrélation avec 1M nous semble difficilement discutable quand on lit Á¸Ė ëÈĖ ÌľÅ¿ÍÉľÅÌľÅÇĊÁÀľÅÁ¸Ė ëÅ̸ėËȸ̼ĕ¸ÀËë¿ÍÄĕÑÅ en 1M1,55 où il est question « de brûler de lнencens et de sacrifier devant les portes », ce qui venait noircit les poutres, la porte et donc la mézouzah. Nous y voyons un témoignage des mesures antijuives mais nous ne pouvons lнutiliser comme preuve formelle en faveur de lнexistence de lнédit alors que le contenu des ordres qui étaient censés y être se corrèle avec lнensemble du récit et avec cette tradition environ deux-mille ans plus tard. Les Judéens apprennent le combat à force dнexpérience là où ils ont en filigrane un service de renseignements bien plus efficace que ceux que peuvent avoir les voisins tant amis quнennemis, et bien des termes au fil du récit renforcent la thèse de Pr Israël Finkelstein rééditée en août 2018. La notion du temps dans un récit qui se veut patriotique utilise néanmoins le calendrier séleucide pour le décompte des années mais ne cite jamais lнannée hébraïque qui y correspond, peut-être est-ce parce que les lecteurs sont dans le périmètre qui était autrefois celui du territoire dнAlexandre le Grand. Toujours est-il que nous avons calculé en faisant confiance à la TOB pour les années CG calculées par la TOB depuis CS et nous avons donné les dates dans le calendrier hébreu qui sont pour le moment une très forte présomption avant le dépôt final du mémoire, il faut nous documenter beaucoup plus sur le calendrier séleucide pour ne pas dire babylonien, mais la documentation ne semble pas conséquente, toujours est-il quнà ce jour où nous déposons ce chapitre nous pensons que nos calculs basés sur ceux de la TOB ne doivent pas être complètement faux. Lнaspect fiscal est redondant tout au long du texte, cнest tant pour des caisses pas toujours pleines que pour des considérations souveraines des Judéens qui semblent considérer quнils nнont pas à payer un droit de propriété qui leur est donné par la divinité et par les conquêtes précédentes, et ce sont des remises fiscales qui sont le moteur des relations avec le souverain semi-hégémonique, lequel nнest pas toujours constant dans sa relation à la Judée sans quнil y ait à chaque fois une raison logique quand la Judée est en défaveur du souverain séleucide. Cette nouvelle année en master 2 ne pouvait pas mieux tomber parce que si Pr Finkelstein a publié lнannée dernière en 2018, cнétait au mois dнaoût et la fiabilité du texte prime sur ses inexactitudes alors quнil se corrèle presque toujours bien avec lui-même, ceci dans une version greque stricto senso exclusivement littérale de lнoriginal en hébreu. ĞĹūĵĭĦijĪĎĭŦľ čĪķĬĺĮĬ ĴķĨĮĩ¹¼¼¼¼ ¼¼¼¾ ¾½¼Ä ¼¾½ ':'<06&2 ¿¼¾½ÂÃÅ¿Ã$= 2. Second livre des maabée maabées 202 Analyse liéire é et historique riqu Comme pour Maccabées, nous citer citerons ur le premier livre des Maccabées cit erons ons au besoin ci-dessous ci dessous les versets verse verset du livre second en grec ancien, afin de limiter les complications possibles issues des différentes versions récentes aux nombreux p p commentaires. Le texte xte een n grec ancien fait foi et nous ne considérons pas les problématiques issues des textes en latin hormis pour 2M12,46 compliqué, 6 qui est un cas bien compliqué o eet ce verset spécifique à lнétude de F.-M. Abel est cité en latin conformément à ses conclusions con nclusions . Tandis que les versets sets en grec ancien sont ici aussi présentés dans leurs traductions les plus récentes publiées liéees par plusieurs chercheurs chercheur chercheurs distincts distinct distinc s en plusieurs langues quand cela est nécessaire, alors que certains livres qui ne sont que des commentaires dнun ou plusieurs aspects du second livre des Maccabées seront cités ou présentés tout au long de notre étude pluridisciplinaire. 203 2M12,46 204 ideoque pro defunctis exorabat ut a peccato solverentur 205 ӬӿӽԉԌԊԏԍԌӿԎӿԈԏӾӻԈԍӽӿԎԎӿՀԎԏӾӿӽԉԈԎԃӿԈԎԆнԉԏԐԌӻԁӿӾӿӤӻԈԃӿԆӳӽԂԑӻԌԎԔӿԈԂՀӼԌӿԏԍԏԌшӭբӥӾԃԎԃԉԈԍӹӻӾӢӿԈӺԐԃբӪՀԌԏԍӻԆӿԇ (2004), les traductions de la TOB, celle de FMA et de TX avec des systèmes informatiques qui sont à la fois des dictionnaires et des ԁԆԉԍӿԍ֕ӰӿԌԍӿԏԍӾӿӴԏԀԎԍӵԈԃԐӿԌԍԃԎԓӿԎӰӿԌԍӿԏԍӾӿԆнӵԈԃԐӿԌԍԃԎՀӾӿӣԂԃӽӻԁԉբӻԃԈԍԃԋԏӿԆнӻԊԊԆication Alpheios sous Google Chrome et dans une moindre mesure Google Translate) 203 ӡӼӿԆբчяычբԍԏԌԆӻӼӻԍӿӾӿԆнӿԒԊԆԃӽӻԎԃԉԈӾӿԆӻԈԉԎӿӻӾӿԆӻԊӻԁӿчыяӾӿԆнՀӾԃԎԃԉԈde 1951. Cf. Bibliographie. 204 өԆԍӿԇӼԆӿԋԏӿԊӿԌԍԉԈԈӿԈӿӽԉԈԍԃӾԿԌӿԆнӿԒԃԍԎӿԈӽӿӾӿӽӿԐӿԌԍӿԎբшӭчшբъьԂԉԌԇԃԍӡӼӿԆ(1951) ӿԎԆнӿԒԊԆԃӽӻԎԃԉԈԇӿԍӿԇӼԆӿԏԈԊӿԏ ӽԉԇԊԆԃԋԏՀӿӽӿӻԆԉԌԍԋԏнӿԆԆӿԍӿԌӻԃԎӼӻԍՀӿԍԏԌӾӿԏԒԁԆԉԍӿԍӽԉԇԇӿԆӿӾԃԎӡӼӿԆӾӻԈԍԆӻԈԉԎӿԍԏԃԐӻԈԎӿӽӿԆԆӿ-ci, parce que même les Religieux ԁԌӿӽԍԉԌԎԂԉӾԉԒӿԍԈнԉԈԎԊӻԍӽԉԈԈӻԃԍԍӻԈӽӿӾӿԆнӿԒԃԍԎӿԈӽӿӾӿӽӿԐӿԌԍӿԎբԓӽԉԇԊԌԃԍӾӻԈԍԆӿԍՀӾԃԎԃԉԈԍԈԏԇՀԌԃԋԏӿԍԋԏԃԇӿԍԉԈԎӾԃԍԊԉnibles à ce jour. 205 Note de F.-ӭեӡӼӿԆբӾӻԈԍӽӿӽԉԈԎӿԒԎӿԉՓԃԆԈнԓӻӾӿшӭчшբъьԊԉԏԌԊӿԌԍԉԈԈӿԍӻԏf pour lui à ce jour, le 10 février 2019 : « Dans ce texte, objet de manipulations, deux gloses ont fini par entrer dans la phrase définitive ; 1° « il est superflu et vain de prier pour les morts րԉԊԊԉԍՀӿԷԆнӿԍԊՀԌӻԈӽӿӾӿԌՀԍԏԌԌӿӽԎԃԉԈ ; 2° « sainte et salutaire pensée » accolée à la mention de la récompense, de façon à ԍнԂӻԌԇԉԈԃԍӿԌӻԐӿӽԆнӻԀԀԃԌԇӻԎԃԉԈӾԏԎӿԒԎӿԉԌԃԁԃԈӻԆԋԏԃԇӿԎӿԈԌӿԆӻԎԃԉԈՀԎԌԉԃԎӿԆӿԍӻӽԌԃԀԃӽӿԊԉԏԌԆӿԊՀӽԂՀӿԎԆӻԊԌԃԿԌӿԊԉԏԌԆӿs défunts avec ԆнԃӾՀӿӾӿԆӻԍԏԌԐԃӿԊӿԌԍԉԈԈӿԆԆӿբӾӿԆӻԌՀԍԏԌԌӿӽԎԃon. Pour obtenir la récompense qui attend ceux qui ont sacrifié leur vie terrestre à la ӽӻԏԍӿӾӿӤԃӿԏբԃԆԀӻԆԆӻԃԎԀӻԃԌӿԎԉԇӼӿԌԆнԉӼԍԎӻӽԆӿբӽнӿԍԎ-à-dire la faute et cela est réalisé par le sacrifice pour le péché accompagné de la prière qui tient une place notable dans le plus ancien état du texte : ideoque pro defunctis exorabat ut a peccato solverentur. » En fait, ӡӼӿԆӾՀӽԉԇԊԎӿԆӿԍԐӿԌԍӿԎԍӾԃԀԀՀԌӿԇԇӿԈԎӾԏԀӻԃԎӾӿԆнӻԊԊԉԍԃԎԃԉԈ « ӽнՀԎӻԃԎԆԷԏԈӿԊӿԈԍՀӿԍӻԃԈԎӿӿԎԊԃӿԏԍӿ »բԋԏнԃԆԍӿԇӼԆӿՁԎԌӿԆӿԍӿԏԆԷ ԌӻԄԉԏԎӿԌӻԏԐӿԌԍӿԎъыբӾнԉՓԍԉԈԋԏӻԌӻԈԎӿ-ԍԃԒԃԿԇӿԐӿԌԍӿԎբԆӿԋԏӿԆԈнӿԍԎԊӿԌԾԏԈԃӽԉԇԊԎՀӾӿԊӻԌԆӿԍӾԃԀԀՀԌӿԈԎӿԍԐӿԌԍԃԉԈԍԓӽԉԇԊԌԃԍӾӻԈԍԆӿԍ Bibles en grec, parce que les Bibles en grec ne prennent pas en compte les manuscrits en latin, tout simplement. Cela étant le fait ԌӿԆԃԁԃӿԏԒӽԉԈԾԏԊӻԌӡӼӿԆԈӿԇӿԍӿԇӼԆӿԊӻԍԊӻԌԎԃӽԏԆԃԿԌӿԇӿԈԎԍԊՀӽԃԀԃԋԏӿӾԏӪԏӾӻՇԍԇӿԷԆнՀԊԉԋԏӿբԈԉԏԍӻԐԉԈԍԊԆԏԍԆнԃԇԊԌӿԍԍԃԉԈԋԏнԉԈӿԍԎ 202