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í COMPTES RENDUS ,ridge, Cambridge 18,5 X 12 cm, VI:er le seul livre IV iui nous sont par1s qui concement imaque, structure, ivre a la question nt: Non moins sur­ ü.ec, qui a servi de plus de trente ans 'antham reste done '), a laquelle elle n de F. Bomer. : de commentaires :>ns religieuses qui it remplacé canam ,el sur son utilisa­ : V énus [p. 89], ou 9) pour l'usage de intéret : mais elles rprétation : p. 122, ifié ses sentiments tes, qui oubliaient a question envisa­ na'ivetés, comme, ·e en bois et platre, chez Ovide, pour seos de quaestum 1file, mais étant un t prostitution mas­ eur· comparée des sur la réaction de 'une Bacchante, a veau chez Lucrece tres choses impor­ ti ne le sont pas ! iere)» (IV, 778): n songe qu'il y a rr la fondation de 731 Rome, on peut aussi interpréter le cri de Romulus : «Périsse ainsi quiconque tentera de franchir mes murailles» comme un ornen. La bibliographie est bien mince, les livres et articles cités ne sont pas utilisés, J'ai ainsi démontré daos l'Étiologie religieuse (1985), simplement en utilisant les textes, qu'il était impossible d'attribuer a Énée le défi du vio qu'on met a la base des Vinalia, puisque ce défi est placé par les plus vieux textes (Caton l'Ancien p. ex.) sous le regne d'Ascagne, apres la mort d'Énée. - Sont attribuées a des auteurs récents (p. ex. Groen, 1990) des idées qui remontent a bien plus loin daos le passé (H. Graillot, 1912: Attale ne pouvait pas livrer une déesse qui ne luí appartenait pas, et offrit tout simplement un bétyle «de chez lui»). Un commentaire, done, tres, trop riche sur le plan littéraire ou grammati­ cal(doit-on vraiment croire que l'enjambement de IV, 637-640 est dí1 au fait que les cendres de veaux des Parilia sont utilisées pour une autre fete? Et j'avoue que savoir que ast est utilisé six fois daos les Métamorphoses, une fois ici [IV, 637] et jamais daos les reuvres érotiques d'Ovide, me laisse de glace: si l'on possédait les six autres livres ou Médée, on aurait peut-etre des surprises). - Je crois que, pour les Fastes, il faut sortir de l'aspect purement littéraire et s'intéresser a leur valeur sciennfi.qu Savoir pourquoi Ovide précise qu'il arrive de Nomentum pour se rendre au oo· Robigo, ce qui est un itinéraire irnpossible; ou qu'il fasse entrer de meme Quinta, guidant la procession de Cybele, par la porte Capene, apres un bain de l'i daos l'Almo, voila qui présente un intéret véritable, meme si l'on ne peut pas répon­ dre avec certitude. Parce que ríen ne l'obligeait a le faire. Ce genre de problem écarté avec un peu de désinvolture : «Mommsen commits the documentary fallacy of treating a poetic text as a record(, ..), Yet one can still ask why he introduced the refe­ rence to Nomentum,» S'il en est ainsi, j'ai bien peur que Mme Fantham et moi ne regardions pas les Fastes du meme reil. Danielle PoRTE. Alfredo ENCUENTRA ORTEGA, Ruodlieb y Huida de un cautivo. Dos poemas anónimos del s. XI. Traductor A. E. O., Madrid, Gredos, 2002 (Clásicos medievales, 25), 22,5 X 16 cm, 212 p., ISBN 84-249-2319-7. En este volumen conjunto se ofrecen al lector en lengua castellana dos joyas de la poesía latina medieval, Ruodlieb y Huida de un cautivo, anónimos del siglo XI. Ambas traducciones vienen precedidas por sendas introducciones en las que se tratan los aspectos más relevantes de los mismos: datación y autoría, estructura y argu­ mento, género y fuentes, intención y sentido de la obra. En general, Encuentra ha vertido con fidelidad el texto latino al español y lo ha dotado de una serie de anota­ ciones que hacen más fácil su lectura. Cierran esta obra dos índices que hacen referencia al texto y a las notas. Apreciamos una cierta disparidad cualitativa tanto en el estudio como en la traducción de ambas obras. La introducción y el comienzo de Ruodlieb están algo descuidados, con ciertos deslices y erratas que podrían haberse evitado ; además, la parte de «introducción general», que pretende explicar el ambiente histórico en siete páginas, es tan simple que hubiera resultado mejor senci­ llamente omitirla Por otro lado, en el apartado sobre argumento y estructura, el tra­ ductor presenta una redacción con no pocas oscuridades, que hacen difícil seguir el hilo de sus argumentos. El lector habrá de tener paciencia si quiere disfrutar de la riqueza y variedad de este poema, pues poco a poco tanto la traducción como las notas van ganando consistencia hasta alcanzar un nivel que podríamos calificar de excelente. La versión, en general, es fiel al original y se lee con gusto. Hay, con todo,