Drawing on the nascent literature on corporate brands, the economic theory of the resourced-based view of the firm and the extensive literature on the British Monarchy, this article examines the branding credentials of the British Crown.... more
Drawing on the nascent literature on corporate brands, the economic theory of the resourced-based view of the firm and the extensive literature on the British Monarchy, this article examines the branding credentials of the British Crown. This is the first time that this most arcane of institutions has been examined from organizational and management perspectives. The synthesis of these literatures confirmed the branding credentials of the Crown. From this, it is deduced that if the British Crown is a corporate brand then it ought to be managed as such. A conceptual model for the management of the monarchy is introduced and this involves the dynamic orchestration of five elements (Royal, Regal, Relevant, Responsive and Respected.) This is called “The Royal Branding Mix.” The Royal and Regal elements equate to a brand’s identity and have an explicit organizational focus. In contrast, the Relevant, Responsive, and Respected dimension have a public (stakeholder) focus. A “Corporate Branding Mix” is introduced which aims to have a more general utility and represents an adaptation of the “Royal Branding Mix.” Introduction This conceptual article explores the notion that the British Monarchy is similar to a corporate brand. As such, the British Crown is examined in the context of the nascent literature on corporate brands and from the perspective of the economic theory of the resource-based view of the firm. These comparisons confirmed the British Monarchy’s credentials as a corporate brand.
Résumé Nous étudions, dans cette seconde partie, le retour des fantômes au service de l’identité canadienne, c’est-à-dire de cette nouvelle identité forgée par les Conservateurs majoritaires au pouvoir dans la maison hantée. Ensuite,... more
Résumé
Nous étudions, dans cette seconde partie, le retour des fantômes au service de l’identité canadienne, c’est-à-dire de cette nouvelle identité forgée par les Conservateurs majoritaires au pouvoir dans la maison hantée. Ensuite, nous demandons s’il convient de prendre les « revenants » au sérieux. Par le rappel de quelques anecdotes « royales », nous réalisons que les fantômes sont sérieux. Dans le contexte du repliement identitaire, le Québec, qui ne doit plus de rire de sa situation (celle de la décomposition de son mythe moderne) peut recourir à la spectropolitique pour penser sa situation, laquelle exige la formation d’une jeune élite capable de rencontrer les fantômes, d’interpréter leur message afin de les exorciser dans le but ultime de persuader le peuple de l’importance de sa liberté.
ABSTRACT Nous étudions, dans cette seconde partie, le retour des fantômes au service de l’identité canadienne, c’est-à-dire de cette nouvelle identité forgée par les Conservateurs majoritaires au pouvoir dans la maison hantée. Ensuite,... more
ABSTRACT Nous étudions, dans cette seconde partie, le retour des fantômes au service de l’identité canadienne, c’est-à-dire de cette nouvelle identité forgée par les Conservateurs majoritaires au pouvoir dans la maison hantée. Ensuite, nous demandons s’il convient de prendre les « revenants » au sérieux. Par le rappel de quelques anecdotes « royales », nous réalisons que les fantômes sont sérieux. Dans le contexte du repliement identitaire, le Québec, qui ne doit plus de rire de sa situation (celle de la décomposition de son mythe moderne) peut recourir à la spectropolitique pour penser sa situation, laquelle exige la formation d’une jeune élite capable de rencontrer les fantômes, d’interpréter leur message afin de les exorciser dans le but ultime de persuader le peuple de l’importance de sa liberté.