Esdras

« Alors tout le peuple s’est rassemblé comme un seul homme sur la place qui fait face à la porte des eaux. Ils ont demandé au scribe Esdras d’apporter le livre de la loi de Moïse, prescrite par l’Éternel à Israël, et Esdras, qui était aussi prêtre, a apporté la loi devant l'assemblée. Celle-ci était composée d’hommes et de femmes, de tous ceux qui étaient aptes à la comprendre. C’était le premier jour du septième mois. Esdras a lu dans le livre depuis le matin jusqu'à la mi-journée, sur la place qui fait face à la porte des eaux, en présence des hommes et des femmes, de ceux qui étaient en âge de comprendre. Le peuple tout entier s’est montré attentif à la lecture du livre de la loi.
« Le scribe Esdras se tenait debout sur une estrade en bois, fabriquée pour l’occasion. À côté de lui, à sa droite, se tenaient Matthithia, Shéma, Anaja, Urie, Hilkija et Maaséja, et à sa gauche Pedaja, Mishaël, Malkija, Hashum, Hashbaddana, Zacharie et Meshullam. Esdras a ouvert le livre de façon visible pour le peuple dans son entier – puisqu’il était surélevé par rapport à lui – et lorsqu’il a fait ce geste, tout le peuple s’est mis debout. Esdras a béni l’Éternel, le grand Dieu, et tous les membres du peuple ont répondu : “Amen ! Amen !” en levant les mains, puis ils se sont prosternés et ont adoré l’Éternel, le visage contre terre. Josué, Bani, Shérébia, Jamin, Akkub, Shabbethaï, Hodija, Maaséja, Kelitha, Azaria, Jozabad, Hanan et Pelaja, qui étaient lévites, expliquaient la loi au peuple, et celui-ci est resté debout sur place. Ils lisaient distinctement dans le livre de la loi de Dieu et ils en donnaient le sens pour faire comprendre ce qu’ils avaient lu. »

Esdras 4.13 offre deux points de départ pour explorer le rapport entre la traduction biblique et les études bibliques. Dans l’araméen de ce verset le traducteur tombe sur deux mots dont le sens était moins clair pour les spécialistes des générations précédentes et, chose étonnante, continue ainsi dans des versions contemporaines – notamment celles en français – malgré des découvertes éclairantes au cours des cent dernières années. Le premier but de cet article est de survoler l’histoire de l’interprétation du premier de ces deux mots araméens, soit ךְָלֲה halâk. En raison de l’espace disponible, je dois forcément me limiter à sa traduction dans les versions françaises et anglaises. Deuxièmement, cet article soulignera quelques défauts des méthodes exégétiques qui se basent sur la comparaison des versions, méthodes qui sont considérées comme des raccourcis, du moins selon un spécialiste. Troisièmement, on explorera le rapport entre des éclairages grâce aux études bibliques et des facteurs sociologiques qui ont un rôle incontournable à jouer dans les projets de traduction de la Bible dans les langues vernaculaires.

Le but de ce guide est de guider le traducteur à comprendre le texte biblique et des différences d’interprétation représentés par les versions. Le traducteur trouvera aussi des suggestions pour la traduction.

Ce guide a également été conçu pour le conseiller en traduction.

RESUMEN La presente nota estudia el texto de 4 Esdras 13,39-50, un libro considerado como apó-crifo desde el Concilio de Trento pero cuya autoridad es indiscutida en España durante todo el siglo XVI; la referencia que allí se hace al destierro de las diez tribus de Israel es el elemento clave en la polémica sobre el posible origen judío de los indios americanos. La nota estudia algunas de las obras más representativas de esa polémica durante el siglo XVI.

Dans le christianisme contemporain, et surtout dans les enseignements et prédications bibliques, la démonologie et le diable prennent plus d’importance au point que Jésus-Christ semble être relégué au second rang. Loin de cet univers de la démonologie et des esprits, l’auteur choisit au contraire, le côté réaliste et étudie certains personnages de la Bible qui se sont comportés comme ennemis ou adversaires. On peut citer : Jambrès et Jannès, les deux magiciens de la cour de Pharaon qui s’opposèrent à Moïse (Ex. 7 :11, 22 ; 2Tim. 3 :8) et dans la restauration des murailles de la ville de Jérusalem, Néhémie qui fera face à plusieurs ennemis dont les plus teigneux seront: Tobija, Sanballat, et Guéschem l’arabe.
Qui étaient donc les adversaires de l’apôtre Paul dans l’épître aux Galates, et Alexandre le forgeron qui fit tant de mal à l’apôtre Paul (2Tim. 4 :14)? Enfin, qui était donc Diotrèphe (3Jn. 9-15) ? Tous ces personnages bibliques se sont-ils comportés comme ennemis ou adversaires ? Quels furent leurs actes et comportements ?
Ce livre nous fait un décryptage de chaque personnage et de ses œuvres. A travers cette œuvre, l’auteur nous invite à une prise de conscience afin qu’on ne prenne pas ces personnages comme étant d’une époque très éloignée de nous. Mais au contraire, de considérer leurs vécus et faits comme d’actualité et que chaque personnage étudié nous amène à tirer des leçons pratiques pour une bonne conduite sociale.