Georges Gusdorf

Mitos y referencias culturales en el film El viaje de Chihiro, de Hayao Miyazaki (2001)
Autora: Lic. en Artes Camila Sabeckis

El presente trabajo tiene como objetivo desarrollar el concepto de mito desde el punto de vista de diferentes autores: George Gusdorf, Roland Barthes, Theodor Adorno y Max Horkheimer, y ejemplificar estas concepciones mediante el análisis del film El viaje de Chihiro (2001) de Hayao Miyazaki.
La pérdida del mito en tanto que fuente de explicación cosmológico y su reemplazo a manos del saber científico ha conllevado a lo largo de la historia numerosas crisis de valores hasta llegar a nuestros días en los cuales lo espiritual a perdido importancia frente a los ideales de la sociedad capitalista. Miyazaki se ha propuesto a lo largo de su extensa filmografia mostrar a sus seguidores aquellos elementos del folclore y la cultura japonesa que se han ido perdiendo a lo largo de los siglos y concientizar a los jóvenes respecto de la necesidad de no olvidar los orígenes. Mitos, dioses y seres sobrenaturales son una presencia constante en las historias que el director nipón narra en sus películas con la finalidad de preservar y dar a conocer a los más jóvenes las historias originarias de Japón, en un contexto en el cual se están perdiendo las raíces culturales debido a la globalización y el furor generado por las nuevas tecnologías. Miyazaki siente una gran preocupación por lo que está sucediendo en la cultura japonesa en la actualidad, la cual se encuentra muy influenciada por elementos de la cultura occidental y más precisamente norteamericana, lo que según el director  ha llevado a la juventud a olvidar sus raíces culturales. 

Palabras clave: mito, conciencia mítica, mana,  tradición, cultura, sintoísmo, raíces, naturaleza, religión japonesa

Intentaremos abordar, a la luz de las teorías de la autobiografía, específicamente la del crítico alemán Georges Gusdorf, una lectura crítica de este texto autobiográfico. El eje que sostiene este trabajo parte del cuestionamiento del texto ignaciano como autógrafo a través de estos tres aspectos esenciales: las singularidades del texto de la Autobiografía en relación con su génesis, el lenguaje y la cuestión del idioma, y las mediaciones a las que se vio sujeto. En segundo lugar, nos adentraremos en el juego dialéctico que se presenta como eje temático del relato de Ignacio de Loyola.

An analysis of existential communication focused on Maurice Merleau-Ponty's place in the study of logic and discourse from both an American (USA) and continental philosophy perspective. (1) Phenomenalism is compared to Phenomenology as a logic method, (2) existential modalities of direct and indirect communication are examined, (3) models of semiology are compared (Peirce, Morris, Ogden and Richards, Russel, Jaspers, Heidegger, Sartre), (4) Merleau-Ponty’s radical cogito as intentionality, (5) existential speaking (parole, langue, langage, discours), and (6) Film Studies / Cinema Theory pop Perception is used as an empirical example of eidetic principles.

Dopo aver illustrato le principali posizioni critiche sul tema delle scritture autobiografiche e aver circoscritto il campo d’indagine al periodo che segna il passaggio tra età media ed età moderna, mi propongo di mettere in evidenza come Francesco Guicciardini sfrutti diverse consuetudini letterarie dell’epoca — dal libro di famiglia all’esame di coscienza, dalla retorica classica di tipo giudiziario e consolatorio alla brevitas della forma-ricordo — per riflettere sulle propria esperienza di vita. La straordinaria novità dei Ricordi, un vero e proprio unicum nella storia letteraria europea, appare così sotto una luce nuova, inconsueta, se si considera il testo come l’approdo di un articolato percorso volto a ricercare, da parte dell’autore, una forma espressiva adeguata ai propri bisogni interiori.

En mars 1967, Michel Foucault est invité par Raymond Aron à parler dans son séminaire en Sorbonne. Au tout début de son intervention, il définit l’enjeu de sa démarche méthodologique, d’abord positivement, puis négativement :"Le problème dont je voudrais vous parler, je ne crois pas me l’être donné d’entrée de jeu ; je ne crois pas non plus l’avoir rencontré un beau jour ; mais il me semble maintenant que je n’ai pas cessé de tâtonner dans sa direction. […] Ce problème est celui-ci : comment décrire des énoncés ? Problème simple dont il faut voir tout de suite ce qu’il implique négativement. Il suppose en gros le refus de ce qu’on appelle généralement l’histoire des idées. Disons plus exactement que la description des énoncés est dans un rapport de commutativité avec l’histoire des idées." Derrière le « problème » que Foucault soumet ce jour-là à son auditoire, on reconnaît la tâche que se donnera, deux ans plus tard, L’Archéologie du savoir, à savoir la description de ces unités linguistiques que sont les « énoncés » — irréductibles, selon lui, aux « phrases », aux « propositions » ou aux speech acts. Mais ce que révèlent ces considérations liminaires, c’est bien la pars destruens, « négative », de cette entreprise méthodologique, c’est-à-dire « un refus de ce qu’on appelle généralement l’histoire des idées ». L’objet de cet article ne sera pas de revenir sur la nature et les applications de ce que Foucault a appelé « archéologie du savoir », mais de mettre en évidence cette partie négative de la méthodologie de Foucault : produire une critique de l’histoire des idées. À quoi Foucault fait-il référence par cette expression ? À quels auteurs, à quelle pratique songe-t-il ? Et surtout, pourquoi met-il tant d’insistance à en produire une critique radicale ?

Two tables illustrating the Western Humanist concept of linguistic "Voice" as an eidetic model of thought. A fundamental grounding for understanding all contemporary French philosophers and human scientist, and, for understanding the the concept of SYMBOLIC FORMS initiated by Ernst Cassirer.

En mars 1967, Michel Foucault est invité par Raymond Aron à parler dans son séminaire en Sorbonne. Au tout début de son intervention, Foucault définit clairement l’enjeu de sa propre démarche méthodologique, d’abord positivement, puis négativement :

"Le problème dont je voudrais vous parler, je ne crois pas me l’être donné d’entrée de jeu ; je ne crois pas non plus l’avoir rencontré un beau jour ; mais il me semble maintenant que je n’ai pas cessé de tâtonner dans sa direction. (…)
Ce problème est celui-ci : comment décrire des énoncés ?
Problème simple dont il faut voir tout de suite ce qu’il implique négativement. Il suppose en gros le refus de ce qu’on appelle généralement l’histoire des idées. Disons plus exactement que la description des énoncés est dans un rapport de commutativité avec l’histoire des idées."

Derrière le « problème » que Foucault soumet à son auditoire, on reconnaît la tâche que se donnera, deux ans plus tard L’Archéologie du savoir, à savoir la description de ces unités linguistiques qui selon Foucault, sont irréductibles aux phrases des grammairiens, aux propositions des logiciens ou aux speech acts des "analystes" anglais; à savoir les « énoncés ». Mais ce que révèlent ces considérations liminaires c’est bien la pars destruens de cette entreprise méthodologique : à savoir "un refus de ce qu’on appelle généralement l’histoire des idées". Tel est l’objet de la présente communication : non pas de revenir une fois encore sur la nature et les applications de ce que Foucault a appelé « archéologie du savoir » - cela a déjà été fait avant moi – mais de mettre en évidence cette partie négative de la méthodologie de Foucault : produire une critique de l’histoire des idées.