Objective To systematically review the evidence for effectiveness of HIV and sexually transmitted infection (STI) prevention interventions in female sex workers in resource poor settings.Method Published and unpublished studies were...
moreObjective To systematically review the evidence for effectiveness of HIV and sexually transmitted infection (STI) prevention interventions in female sex workers in resource poor settings.Method Published and unpublished studies were identified through electronic databases (Cochrane database, Medline, Embase, and Web of Science), hand searching and contacting experts. Randomized-controlled-trials and quasi-experimental studies were included if they were conducted in female sex workers from low and middle income settings; if the exposure was described; if the outcome was externally measurable, it was after the discovery of HIV, and if follow-up was longer than 6 months. A priori criteria were used to extract data. Meta-analysis was not performed due to the heterogeneity of studies.Results Twenty-eight interventions were included. Despite methodological limitations, the evidence suggested that combining sexual risk reduction, condom promotion and improved access to STI treatment reduces HIV and STI acquisition in sex workers receiving the intervention. Strong evidence that regular STI screening or periodic treatment of STIs confers additional protection against HIV was lacking. It appears that structural interventions, policy change or empowerment of sex workers, reduce the prevalence of STIs and HIV.Conclusion Rigorous evaluation of HIV/STI prevention interventions in sex workers is challenging. There is some evidence for the efficacy of multi-component interventions, and/or structural interventions. The effect of these interventions on the wider population has rarely been evaluated.Objectif Revue systématique de l évidence de l’efficacité des interventions de prévention des infections sexuellement transmissibles et du VIH chez les professionnelles du sexe dans les régions à ressources pauvres.Méthodes Des études publiées et non publiées ont été identifiés grâce à des bases de données électroniques (base de données Cochrane, Medline, Embase et Web of Science), à la recherche manuelle et aux contacts avec des experts. Des études randomisées contrôlées et quasi expérimentales ont été inclues lorsque: elles ont été menées sur de professionnelles du sexe de régions à faibles et moyens revenus, l’exposition a été décrite, le résultat était mesurable extérieurement, c’était après la découverte du VIH et le suivi était sur plus de six mois. A priori, des critères ont été utilisés pour extraire les données. Une méta-analyse n’a pas été réalisée en raison de l’hétérogénéité des études.Résultats 28 interventions ont été inclues. Malgré des limites méthodologiques, les évidences suggéraient que la combinaison de: la réduction des risques sexuels, la promotion du préservatif et l’amélioration de l’accès au traitement des IST, réduisait l’acquisition des infections sexuellement transmissibles et du VIH chez les professionnelles du sexe recevant l’intervention. Nous n’avons trouvé aucune évidence solide prouvant que le dépistage régulier ou le traitement périodique des IST conférait une protection additionnelle contre le VIH. Il semble que les interventions structurelles, le changement de politique ou la responsabilisation des professionnelles du sexe réduit la prévalence des infections sexuellement transmissibles et du VIH.Conclusion L’évaluation rigoureuse des interventions dans la prévention des IST et du VIH chez les professionnelles du sexe est un défi important. Il existe certaines évidences pour l’efficacité des interventions à multiples composantes et/ou pour les interventions structurelles. L’effet de ces interventions sur la population plus étendue a rarement étéévalué.Objectif Revue systématique de l évidence de l’efficacité des interventions de prévention des infections sexuellement transmissibles et du VIH chez les professionnelles du sexe dans les régions à ressources pauvres.Méthodes Des études publiées et non publiées ont été identifiés grâce à des bases de données électroniques (base de données Cochrane, Medline, Embase et Web of Science), à la recherche manuelle et aux contacts avec des experts. Des études randomisées contrôlées et quasi expérimentales ont été inclues lorsque: elles ont été menées sur de professionnelles du sexe de régions à faibles et moyens revenus, l’exposition a été décrite, le résultat était mesurable extérieurement, c’était après la découverte du VIH et le suivi était sur plus de six mois. A priori, des critères ont été utilisés pour extraire les données. Une méta-analyse n’a pas été réalisée en raison de l’hétérogénéité des études.Résultats 28 interventions ont été inclues. Malgré des limites méthodologiques, les évidences suggéraient que la combinaison de: la réduction des risques sexuels, la promotion du préservatif et l’amélioration de l’accès au traitement des IST, réduisait l’acquisition des infections sexuellement transmissibles et du VIH chez les professionnelles du sexe recevant l’intervention. Nous n’avons trouvé aucune évidence solide prouvant que le dépistage régulier ou le traitement périodique des IST conférait une protection additionnelle contre le VIH. Il semble que les interventions structurelles, le changement de politique ou la responsabilisation des professionnelles du sexe réduit la prévalence des infections sexuellement transmissibles et du VIH.Conclusion L’évaluation rigoureuse des interventions dans la prévention des IST et du VIH chez les professionnelles du sexe est un défi important. Il existe certaines évidences pour l’efficacité des interventions à multiples composantes et/ou pour les interventions structurelles. L’effet de ces interventions sur la population plus étendue a rarement étéévalué.Objetivo Realizar una revisión sistemática de la evidencia sobre la efectividad de las intervenciones para la prevención del VIH y otras infecciones de transmisión sexual en mujeres trabajadoras del sexo en lugares con pocos recursos.Métodos Se identificaron estudios publicados y no publicados a través de bases de datos electrónicas (Cochrane, Medline, Embase, y Web of Science), búsqueda manual y contacto con expertos. Se incluyeron ensayos controlados y aleatorizados y estudios casi-experimentales, cuando: habían sido conducidos en mujeres trabajadoras del sexo en lugares con un ingreso bajo o medio; se describía la exposición; el resultado podía medirse externamente; era posterior al descubrimiento del VIH; y el seguimiento era mayor de seis meses. Los criterios se utilizaron a priori para la extracción de datos. No se realizó un meta-análisis debido a la heterogeneidad de los estudios.Resultados Se incluyeron 28 intervenciones. A pesar de las limitaciones metodológicas, la evidencia sugiere que el combinar una reducción en el riesgo sexual, la promoción del uso del preservativo y un mejor acceso al tratamiento de las enfermedades de transmisión sexual, reduce la adquisición del VIH /ETS en trabajadoras sexuales que reciben la intervención. No encontramos una fuerte evidencia de que la búsqueda regular de ETS o el tratamiento periódico de infecciones de transmisión sexual confirieran una protección adicional frente al VIH. Parecería que las intervenciones estructurales, los cambios en política y el otorgamiento de poderes a las trabajadoras sexuales reduce la prevalencia de ETS y VIH.Conclusión La evaluación rigorosa de las intervenciones para la prevención de VIH/ETS supone un reto. Existe evidencia de la eficacia de intervenciones con componentes múltiples, y/o intervenciones estructurales. El efecto de estas intervenciones en un sentido más amplio de la población prácticamente no ha sido evaluado.Objetivo Realizar una revisión sistemática de la evidencia sobre la efectividad de las intervenciones para la prevención del VIH y otras infecciones de transmisión sexual en mujeres trabajadoras del sexo en lugares con pocos recursos.Métodos Se identificaron estudios publicados y no publicados a través de bases de datos electrónicas (Cochrane, Medline, Embase, y Web of Science), búsqueda manual y contacto con expertos. Se incluyeron ensayos controlados y aleatorizados y estudios casi-experimentales, cuando: habían sido conducidos en mujeres trabajadoras del sexo en lugares con un ingreso bajo o medio; se describía la exposición; el resultado podía medirse externamente; era posterior al descubrimiento del VIH; y el seguimiento era mayor de seis meses. Los criterios se utilizaron a priori para la extracción de datos. No se realizó un meta-análisis debido a la heterogeneidad de los estudios.Resultados Se incluyeron 28 intervenciones. A pesar de las limitaciones metodológicas, la evidencia sugiere que el combinar una reducción en el riesgo sexual, la promoción del uso del preservativo y un mejor acceso al tratamiento de las enfermedades de transmisión sexual, reduce la adquisición del VIH /ETS en trabajadoras sexuales que reciben la intervención. No encontramos una fuerte evidencia de que la búsqueda regular de ETS o el tratamiento periódico de infecciones de transmisión sexual confirieran una protección adicional frente al VIH. Parecería que las intervenciones estructurales, los cambios en política y el otorgamiento de poderes a las trabajadoras sexuales reduce la prevalencia de ETS y VIH.Conclusión La evaluación rigorosa de las intervenciones para la prevención de VIH/ETS supone un reto. Existe evidencia de la eficacia de intervenciones con componentes múltiples, y/o intervenciones estructurales. El efecto de estas intervenciones en un sentido más amplio de la población prácticamente no ha sido evaluado.