Tout le monde a entendu ou lu l’expression Allah Akbar que l’on nomme Takbir et que les musulmans prononcent habituellement et en toutes occasions, pour exprimer la grandeur de Dieu, durant la prière, l’émerveillement ou encore par les... more
Tout le monde a entendu ou lu l’expression Allah Akbar que l’on nomme Takbir et que les musulmans prononcent habituellement et en toutes occasions, pour exprimer la grandeur de Dieu, durant la prière, l’émerveillement ou encore par les terroristes islamistes avant de perpétrer un attentat. D’où vient alors cette expression ? De quand date-t-elle ? Que veut-elle dire ? et que recouvre-t-elle ? Il n’est pas facile de répondre à ces questions, car il n’existe pas beaucoup d’écrits sur ce sujet. On peut déjà essayer de la définir et ce que l’on peut dire à ce stade, c’est qu’elle ne signifie pas Dieu est grand ni que Dieu est le plus grand. Elle signifie littéralement : Dieu est plus grand. Si l’on s’en tient à cette définition littérale, on s’aperçoit qu’il manque un bout de phrase et que de ce fait, une autre question se pose : plus grand que qui ? plus grand que quoi ? on peut faire une autre remarque : Allah Akbar pourrait être Allah wa Kobar et là les choses changent. Qui est Kobar ? A quoi le mot faisait référence ?
C’est donc dans les origines de cette expression qu’il faudra chercher des éléments d’explications, à travers les rares écrits concernant les premiers temps de l’islam. Le premier auteur qui a décrit cette période est un théologien chrétien, du nom de Jean Damascène (676-749) qui a vécu au cœur même du système Ommeyade et qui a participé à sa gestion, puisqu’il fut le percepteur de l’impôt de la Jizya que les chrétiens et les juifs devaient acquitter auprès de l’administration fiscale du califat, une sorte de ministre des finances. Il fut donc un acteur privilégié et bien placé pour observer et décrire de l’intérieur, les rouages des débuts de l’islam. D’autres auteurs byzantins, qui ont succédé à Jean Damascène retiendront notre attention et seront évoqués pour tenter d’éclairer le sens de cette expression. Enfin, notre contribution s’attardera sur le mot Kobar et son rapport avec le culte des peuples du Moyen-Orient et du bassin méditerranéen.
El objetivo de este trabajo es profundizar el conocimiento sobre la difusión del culto de las diosas madres en el área central de la península itálica. En particular, el enfoque será dirigido a dos diosas, la Bona Dea y la diosa Cupra; se... more
El objetivo de este trabajo es profundizar el conocimiento sobre la difusión del culto de las diosas madres en el área central de la península itálica. En particular, el enfoque será dirigido a dos diosas, la Bona Dea y la diosa Cupra; se intentará demostrar, a través de la arqueología y de la epigrafía, como el culto de estas diosas haya sido influenciado por la proximidad con lo de Venus. Por lo tanto se recogerán los testigos de lugares de culto sagrados a las tres diosas en cuestión,indicando las eventuales semejanzas y diferencias entre las estructuras templares, los lugares donde estos se encontraban y las sacerdotisas que se ocupaban del culto. El análisis de una muestra de inscripciones relativas al culto de Bona Dea y Cupra permitirá de definir las características de las dos diosas y, en el caso de la Bona Dea, de decir cual tipología de mujeres fuesen las elegidas por su sacerdocio. En fin, también a través de la recopilación de topónimos presentes en el marco de las regiones V y VI, se asumirán los posibles canales de difusión de dichos cultos, datando con la máxima precisión posible el arco temporal de existencia de los cultos en cuestión.