Mémoire Malika
Mémoire Malika
Mémoire Malika
FACULTE DE TECHNOLOGIE
DEPARTEMENT D’ELECTRONIQUE
Thème
ETUDE ET EVALUATION D’UNE CHAINE DE
TRANSMISSION OPTIQUE POINT A POINT AVEC
UNE LONGUEUR D’ONDE 1.55µ𝗺
Présenté par
AMARI MALIKA
HAMRI BELLEL
MERCI
Sommaire
Sommaire
Glossaire
Introduction générale
IV.1.Atténuation linéique : 07
IV.2.a) L’absorption 09
IV.3) La dispersion 11
IV.3.a) La dispersion chromatique 11
IV.3.b) La dispersion intermodale 12
IV.3.c) Dispersion modal de polarisation (PMD) 13
IV.3.d) La dispersion du guide d’onde 13
IV.4. Effets non linéaires 14
IV.5. Les pertes de connectique 15
V.3.2) L’épissure 22
VII. Conclusion 29
La Fibre optique 63
III.5. Conclusion 82
Conclusion General 84
Reference 86
Liste Des Figures
Liste de figure
Figure I.1 : structure de la fibre optique. 01
Figure I.2 : Guidage de la lumière dans le cœur de la fibre. 02
GLOSSAIRE
Acome : Association Coopérative d'Ouvriers en Matériel Electrique.
OM :Optical Mode.
FC : Ferrule Connector
MU : Miniature unit
Introduction générale
Les dernières années ont été marquées par l’introduction de nouveaux services
qui exigent une grande largeur de bande tels que la vidéo à la demande, la voix sur IP
ou la télévision haute définition. L’offre de ces services nécessite la planification ainsi
que l’introduction de nouvelles technologies dans les réseaux de télécommunication et
particulièrement dans le réseau d’accès. Par conséquent, Les compagnies de
télécommunication ont entrepris de moderniser l’infrastructure réseau en augmentant
la portion occupée par la fibre optique. En effet, la fibre optique est le support
physique qui offre la plus grande largeur de bande actuellement, en plus de présenter
une faible atténuation du signal.
Ce mémoire s’organise sur trois chapitres. Le premier chapitre est consacré aux
généralités sur la fibre optique, un bref aperçu sur les différents types de la fibre
optique et leurs caractéristiques sont présentées ainsi que les détailles sur les
atténuations comme l’absorption et les pertes de courbures. Nous présentons aussi les
dispersions chromatique et intermodale.
Enfin, une synthèse sur les différents cas est illustrée dans le troisième chapitre,
le logiciel COMSIS permet de simuler et de voir les caractéristiques de chaque
compartiment de la chaine de transmission à fibre optique.
Chapitre 01 : Généralité sur La fibre optique
I.1. Introduction :
La fibre optique est un support transparent, dans lequel les informations sont
transportées sous forme de lumière, guidée au sein d’une zone d’une dizaine de
microns de diamètre nommé « le cœur », qui offre des caractéristiques optimales pour
1
Chapitre 01 : Généralité sur La fibre optique
une propagation du signal avec un niveau d’atténuation linéique aussi faible que
possible.
Physiquement, plus la fréquence d’un signal est élevée, plus il peut transporter
d’informations par unité de temps. Les longueurs d’onde de la lumière étant beaucoup
plus courtes que celles des ondes radio de la communication sans fil ou des ondes
électromagnétiques utilisées sur les liaisons classique de cuivre (ADSL, câble…), les
débits permis sont beaucoup plus importants . Les distances possibles entre deux
équipements actifs sont également plus élevées (plusieurs dizaines de kilomètres), en
raison de phénomènes d’atténuation moins marqués.
La réalisation de la préforme
Le rétreint
Le tirage
2
Chapitre 01 : Généralité sur La fibre optique
II.1. Préforme
3
Chapitre 01 : Généralité sur La fibre optique
4
Chapitre 01 : Généralité sur La fibre optique
III- Types des fibres optiques :
Dans ces fibres, le diamètre de cœur est très petit afin de ne laisser se propager
qu’un mode unique.
Les premières fibres optiques étaient des fibres multimodes à saut d’indice.
Elles sont constituées d’un cœur d’indice uniforme et d’une gaine avec une rupture
d’indice, ou saut, à la frontière cœur-graine. La lumière est guidée par réflexion totale
interne à l’interface cœur-graine, elle suit un chemin en zigzag.
5
Chapitre 01 : Généralité sur La fibre optique
Figure I.7: fibre optique multimode à saut d’indice avec son trajet lumineux.
Figure I.8: fibre optique multimode à gradient d’indice avec son trajet lumineux.
6
Chapitre 01 : Généralité sur La fibre optique
IV- Atténuation dans la fibre optique :
Une perte, ou atténuation se traduit par la perte d’énergie lumineuse dans la
fibre. Elle est mesurée en dB/Km. Les longues portées utilisées avec les fibres
optiques influent directement sur le signal lumineux, mais ce n’est pas la seule cause
d’atténuation qui existe, en effet, l’absorption, la diffusion, les courbures et les pertes
de connectiques sont les principales causes de l’atténuation. La perte du signal est
aussi causée par les deux phénomènes : la dispersion chromatique et la dispersion
modale.
La figure ci-dessous montre les différents types d’atténuation et des pertes.
IV.1.Atténuation linéique :
Lorsqu’on injecte, à l’entrée d’une fibre optique, une puissance Pe = P(0) sous
forme d’onde électromagnétique. Cette puissance décroit avec la longueur L de la
fibre optique en fonction de l’atténuation linéique α dB/km et à la sortie on récupère
la puissance Ps = P(L).
7
Chapitre 01 : Généralité sur La fibre optique
Où 'α' dépend du matériau (plastique, silice,...) et de la longueur d'onde . (figure.1.10)
8
Chapitre 01 : Généralité sur La fibre optique
La fenêtre 3 correspond à l’atténuation minimale mais exige des composants
optoélectroniques très performants, elle est réservée aux applications à haut débit et
longues distances.
IV.2. Les pertes intrinsèques :
Les pertes intrinsèques sont dues principalement aux matériaux utilisés, et l’on
compte :
IV.2.a) L’absorption :
Figure I-12 : Pertes par absorption dans une fibre à base de Silice.
9
Chapitre 01 : Généralité sur La fibre optique
utilisée; et diminue rapidement lorsque la longueur d’onde du Rayon incident
augmente. (Figure I-13).
L'un des aspects les plus importants quand vous installez du câble fibre optique,
c'est la préservation du rayon de courbure minimal. Toute courbure excessive de la
fibre optique peut provoquer une réfraction du signal optique et des fuites à travers la
gaine. Cela peut également causer des dommages permanents, à cause de micro fêlures
des brins de fibre de verre. Et lorsqu'une courbure excessive perturbe la transmission
de la lumière, l'atténuation augmente, ce qui compromet l'intégrité de notre donnée.
10
Chapitre 01 : Généralité sur La fibre optique
IV.3) La dispersion :
11
Chapitre 01 : Généralité sur La fibre optique
Signal à l’entrée Signal à la sortie
La fibre
12
Chapitre 01 : Généralité sur La fibre optique
IV.3.c) Dispersion modal de polarisation (PMD) :
13
Chapitre 01 : Généralité sur La fibre optique
L’effet non linéaire prépondérant dans la silice qui vient affecter la propagation
est L’effet Kerr, il intervient très plus souvent lorsque des impulsions très brèves et
très intenses traversent le cœur monomode d’une fibre optique, le vecteur de
polarisation ne reste plus proportionnel au champ électrique et l’indice de réfraction
14
Chapitre 01 : Généralité sur La fibre optique
devient alors dépendant de l’intensité de l’onde optique. Dans une fibre optique, ce
changement d’indice est considéré comme instantané. Ce qui provoque une
déformation de la répartition des charges électronique des molécules de silice.
Avec l’indice de réfraction linéaire du matériau (en absence de signal optique), I(t)
l’intensité instantanée du champ optique appliqué en W.m-2, et n2 le coefficient Non-
linéaire de réfraction ou coefficient Kerr en m²/W. Sa valeur typique dans la silice est
d’environ 2,6.10-20 m²/W à 1550 nm pour une SMF (et elle varie peu en fonction du
type de fibre). Bien que cette valeur soit relativement faible en comparaison avec
d’autres matériaux fortement non-linéaires, les fortes intensités crêtes ainsi que la
faible section du cœur dans les fibres monomode rendent l’effet Kerr significatif dans
le cas d’une propagation d’impulsion ultracourte, de l’ordre de la picoseconde. Ces
effets sont exaltés par le fort confinement du mode optique ainsi que par les longueurs
d’interactions qui peuvent atteindre plusieurs centaines de kilomètres .
L’effet Raman est le plus connu des effets non linéaires. Il s’agit d’une
interaction photon-phonon, c’est-a-dire d’échange d’énergie entre l’onde optique et les
vibrations du matériau.
Les trois erreurs de couplage de base qui se produisent pendant l'alignement des
fibres sont des fibres de séparation (désalignement longitudinal), un défaut
d'alignement latéral et angulaire. La plupart des erreurs d'alignement sont le résultat
des imperfections mécaniques introduites par des techniques d'assemblage de fibres.
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Chapitre 01 : Généralité sur La fibre optique
V.1.Câblage de la fibre dans une férule : Quel que soit le type de connecteur choisi
il faut toujours commencer par insérer la fibre dans un contact appelé férule,
généralement en céramique. Cela permet ensuite de manipuler lʼextrémité de la fibre
beaucoup plus facilement.
le dénudage de la fibre, pour ne garder que les deux couches actives (la gaine et
le cœur).
le collage de la fibre dans la céramique. La fibre est introduite dans le trou de la
céramique dont le diamètre est très précis, ajusté à celui de la fibre.
le clivage de la fibre à ras de la céramique.
le polissage de lʼextrémité de la férule. Pour ce faire on utilise des toiles
abrasives de grains de plus en plus fins, afin dʼobtenir une surface de fibre
parfaitement bien polie, et d’éliminer toutes les particules résiduelles gênantes.
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Chapitre 01 : Généralité sur La fibre optique
Lʼalignement des fibres n’est jamais parfait, il existe donc une perte de lumière
lors du passage de celle-ci d’un côté à l’autre. Cette perte est plus ou moins importante
suivant les défauts résiduels dʼalignement ou de polissage:
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Chapitre 01 : Généralité sur La fibre optique
Avantages:
Inconvénients:
• La mise en œuvre est moins rapide que la fusion, et requiert une expérience
ainsi que des outillages spécifiques.
• La perte de lumière due à la connexion est plus élevée que dans le cas d’une
épissure
Pour les réseaux multimodes tels que ceux utilisés dans les immeubles ou les
campus, le connecteur le plus utilisé est le ST. Il est pourvu d'un système de
verrouillage à baïonnette ainsi que d'une férule en céramique qui garantit de hautes
performances. Ce connecteur ST est le connecteur multimodal le plus utilisé car il est
peu cher et simple à installer.
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Chapitre 01 : Généralité sur La fibre optique
Le connecteur SC a un mécanisme de verrouillage push-pull qui prévoit
l'insertion et l'enlèvement rapide. Il s'utilise avec les fibres optiques monomodes et
multimodes. On différencie ces deux connecteurs selon leurs embouts (carrés pour SC
et ronds pour ST).
L'Opti-Jack est lui aussi un connecteur à noyau double proche du style et de la taille du
connecteur RJ.
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Chapitre 01 : Généralité sur La fibre optique
V.3.1.b) La technologie à lentilles (à faisceau expansé):
Ici c’est lʼalignement des carrosseries entre elles qui va garantir que le faisceau
collimaté issu de la première lentille sera bien refocalisé dans la seconde lentille. La
précision mécanique des pièces dʼinterface du connecteur est primordiale. Comme
précédemment les défauts de décalage latéral et surtout de décalage angulaire ainsi
qu’un mauvais polissage engendreront des pertes.
• La perte de lumière engendrée par la connexion (appelée Perte dʼInsertion) est plus
importante que dans le cas précédent, à cause de la présence des lentilles et parfois
aussi de hublots (environ 1 à 1,5 dB typique).
• Ce type de connexion est peu sensible aux pollutions (poussière, boue…) car le
faisceau est beaucoup plus large que celui qui sort directement d’une fibre. Ainsi une
poussière située à lʼinterface de deux connecteurs fibre à fibre créera une perte
beaucoup plus importante que si cette même poussière se trouve à lʼinterface de deux
connecteurs à lentilles.
21
Chapitre 01 : Généralité sur La fibre optique
V.3.2) L’épissure : Cette opération consiste à raccorder directement les deux fibres
par soudure au moyen d’un arc électrique, en alignant le mieux possible les deux
cœurs de fibre. Elle se fait grâce à un appareil appelé soudeuse ou épissureuse.
Avantage:
Inconvénients:
Une soudure optique est un joint permanent qui permet d'établir une connexion
entre deux fibres optiques. Le système de connexions doit garder les propriétés (faible
perte). La soudure optique permet également de réparer des fibres optiques abimées
lors de l'installation ou du transport.
22
Chapitre 01 : Généralité sur La fibre optique
La soudure optique est choisie par les concepteurs lorsque connexions et
déconnexions sont inutiles ou indésirables. L'épissure mécanique et l'épissure par
fusion sont deux catégories qui décrivent les techniques utilisées pour la soudure
optique.
L'épissure par fusion localise une forte source de chaleur et fusionne deux
fibres côte à côte. Les deux systèmes visent à réduire au maximum les pertes et à
optimiser les performances de la fibre optique.
V.3.2.c) Exemple de soudeuse optique : en prend par exemple, la société ABSYS qui
propose différents modèles de soudeuses fibre optique, tel que :
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Chapitre 01 : Généralité sur La fibre optique
La soudeuse fibre optique haute-gamme le modèle
AbsySplicer-AV6472
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Chapitre 01 : Généralité sur La fibre optique
Le câble interne est conçu de manière à être souple et léger et peut être doté
d’un revêtement répondant aux réglementations anti-incendie. Le câble externe offre
une résistance à l’eau, aux rayons ultraviolets et aux attaques de rongeurs et oiseaux.
La fibre de verre peut être placée dans un ensemble de tubes, dont le but est de
la protéger des dommages potentiels. Ces tubes, identifiés par des codes de couleur,
permettent également d’empêcher les fuites de lumière. Les codes de couleurs
facilitent la gestion des fibres étant donné le nombre important d’éléments contenus
dans un câble.
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Chapitre 01 : Généralité sur La fibre optique
26
Chapitre 01 : Généralité sur La fibre optique
et que la longueur d'onde de 1 383 nm est susceptible d'être utilisée dans le futur,
certains fabricants, dont ACOME, généralisent OS2.
Le tableau ci-dessous présente les différents modèles de câble de fibres
optiques.
Largeur de bande
Dimensions Largeur de bande
Fibre Type OFLBW
(micron) RML (850 nm)
(850 nm-1 300 nm)
OS1 Monomode 9 / 125 > 10 GHz•km (non spécifié) > 10 GHz•km (non spécifié)
OS2 Monomode 9 / 125 > 10 GHz•km (non spécifié) > 10 GHz•km (non spécifié)
Exemple :
Cela signifie qu’il s’agit d’un câble multimode (OM) de dimension 50/125
microns et qui a 12 fibres, marque ACOME
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Chapitre 01 : Généralité sur La fibre optique
VI. Avantages et inconvénients des fibres :
VI.1. Avantages :
Des pertes peuvent être causées par des courbures du câble, des connecteurs
mal positionnés ou sales, des inhomogénéités dans le verre de la fibre.
Difficultés d’adaptation avec les transducteurs optoélectroniques.
Exigences micromécaniques importantes (connexions, alignement).
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Chapitre 01 : Généralité sur La fibre optique
VII. Conclusion :
Nous savons maintenant, que la lumière lorsqu’elle entre d’un bout d’une fibre
optique, elle ne sort pas de la même forme. Ceci est dû à des phénomènes divers et
complexe que la lumière rencontre durant sa propagation, ce qui peut présenter soit des
avantages, soit des inconvénients pour les systèmes optiques.
La lumière se propage sous forme d’onde, qui selon le milieu, peut subir de
l’absorption, réflexion, réfraction, diffraction, dispersion et les pertes de connectique.
Donc, l’étude de la propagation de la lumière dans la fibre optique a une grande
importance dans l’analyse et l’optimisation des performances des systèmes optiques.
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Chapitre 02 : Les Composants Optoélectroniques
I. Introduction :
Issue des sciences et technologies des nouveaux matériaux, la fibre otique fait
l’objet d’un développement industriel considérable. Une normalisation à l’échelle
mondiale a accéléré son introduction dans des réseaux de toutes natures et dans de
multiples dispositifs. Le champ d’application de la fibre optique est donc
particulièrement vaste.
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Chapitre 02 : Les Composants Optoélectroniques
La partie émission d’une liaison par fibre optique a pour rôle de délivrer au
support de transmission un signal optique sur lequel sont inscrites les données. En
suite le canal de transmission (la fibre optique) transporte une porteuse optique
modulée contenant l’information. Enfin le récepteur a pour rôle de convertir au mieux
le signal optique en signal électrique.
II.1. Emetteur optique :
Depuis le début des télécommunications par fibre optique, le choix des sources
optiques s’est porté sur les émetteurs à semi-conducteur à cause de leurs petites
dimensions en rapport avec celles du cœur des fibres optiques, de la relative facilité
que l’on a à moduler directement la lumière émise en agissant sur le courant, de leur
spectre optique relativement étroit et de leur faible consommation énergétique. Ainsi la
diode laser est la source la mieux adaptée pour les télécommunications optiques car
elle permet d’avoir la meilleure efficacité de couplage optique avec la fibre.
32
Chapitre 02 : Les Composants Optoélectroniques
Le choix des sources optiques s’est appuyé sur les émetteurs à semi-conducteur
dont l'évolution des structures s'est faite de manière parallèle aux autres types de
lasers. Avec ses nombreux avantages :
Petites dimensions (volume de 1,5.10-3 mm3) en rapport avec celles du cœur des
fibres optiques.
Excellente capacité de modulation en agissant sur le courant.
Couverture spectrale importante (0,4 μm< λ < 30 μm) avec un spectre optique
relativement étroit.
Alimentation très commode (une simple source de courant est suffisante pour
enclencher le processus d'émission stimulée) avec une faible consommation
énergétique pour donner une puissance pouvant atteindre plusieurs Watts en
continu, et donc un bon rendement.
Faible coût de fabrication avec une très bonne fiabilité.
Facilité d’intégration avec d'autres composants optoélectroniques.
Le laser à semi-conducteur est la source la mieux adaptée pour les
télécommunications optiques en permettant ainsi une meilleure efficacité de
couplage optique avec la fibre.
II.1.a.1) L’émission spontanée
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Chapitre 02 : Les Composants Optoélectroniques
II.1.a.2) L’émission stimulée
Frappé par un photon, l’électron peut retomber dans l’état le moins énergétique
(état lié) en émettant un photon stimulé dont le rayonnement correspond à la même
longueur d’onde, la même phase, le même état de polarisation et la même directivité
spatiale que le photon incident, on parle alors de lumière cohérente. Avec l’émission
stimulée s’introduit la notion de gain ou d’amplification du rayonnement incident
puisque, à partir d’un photon, on en obtient deux.
II.1.a.3) L’absorption
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Chapitre 02 : Les Composants Optoélectroniques
II.1.b). La diode électroluminescente (DEL):
Une diode électroluminescente, abrégée sous les sigles DEL ou LED « light-
emitting diode », est un composant optoélectronique capable d’émettre de la
lumière lorsqu’il est parcouru par un courant électrique. Une diode
électroluminescente ne laisse passer le courant électrique que dans un seul Sens
(le sens passant, comme une diode classique, l'inverse étant le sens bloqué) de plus
elle produit un rayonnement monochromatique ou poly chromatique incohérent à
partir de la conversion d’énergie électrique lorsqu'un courant la traverse. Les LED
sont considérées, par beaucoup, comme une technologie d'avenir dans le domaine de
l'éclairage général.
35
Chapitre 02 : Les Composants Optoélectroniques
II.2.b) La modulation externe [1] :
De même que pour les modules d'émission, de nombreux efforts ont été fournis
pour rendre les modules de réceptions de plus en plus performants. Le rôle du
récepteur est de convertir au mieux le signal optique en signal électrique. Ce module
est donc composé de trois blocs fonctionnels Figure II.8
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Chapitre 02 : Les Composants Optoélectroniques
II.3.a) La photodiode PN :
La lumière à la sortie de la fibre est focalisée sur une jonction P-N à laquelle on
applique les caractéristiques du point de fonctionnement (courant inverse de bais) afin
de générer une paire d’électron-trou pour chaque photon empiétant sur ou près de sa
région active. Le courant inverse ainsi appliqué crée un champ magnétique au travers
de la jonction P-N ; ce qui cause une hausse du photo-courant avant la recombinaison
permettant ainsi le passage du signal numérique optique en impulsion électrique.
37
Chapitre 02 : Les Composants Optoélectroniques
II.3.b) La photodiode PIN :
Afin que le rapport signal sur bruit soit suffisamment important, l’idée d’utiliser
le phénomène de multiplication interne pour qu’un photon incident n’engendre plus un
seul photoélectron, mais plusieurs a été soulevée, ceci pour augmenter la puissance du
signal électrique correspondant à une puissance optique incidente donnée. En faisant
croître le champ électrique dans la jonction PIN, l’énergie des porteurs s’élève,
jusqu’au point d’ioniser un atome en cas d’impact avec celui-ci. Des ionisations en
chaîne se produisent alors et les porteurs se multiplient.
Une comparaison des performances entre les deux photodiodes permet de faire
un choix. Le rapport Signal sur Bruit (S/B) est défini par le rapport du (Photo-courant
engendré par la puissance du signal optique sur le Courant de bruit du photo-détecteur
plus courant de bruit de l'amplificateur. Pour de faibles niveaux, le rapport signal sur
bruit est meilleur avec une photodiode à avalanche alors que pour des niveaux plus
forts, il vaut mieux utiliser une photodiode PIN.
II.4.Amplification optique:
39
Chapitre 02 : Les Composants Optoélectroniques
Cependant, ce répétiteur, tant par leur capacité restreinte (conversion optoélectronique,
complexité pour un système multi-canaux) que par leur coût élevé a conduit à étudier
un système amplifiant directement le signal optique c’est l’amplificateur optique qui a
révolutionné l’évolution des systèmes de transmission. Il est devenu au début des
années 90 l’un des éléments primordiaux des systèmes à multiplexage. Le signal
optique peut être alors transmis sur une distance beaucoup plus grande sans aucun
démodulation/remodulation des signaux de chaque canal .Sa large bande passante
permet en effet d’amplifier simultanément plusieurs longueurs d’onde d’un signal
multiplexé.
40
Chapitre 02 : Les Composants Optoélectroniques
antireflets, pour éviter la formation d’une cavité laser (création d’une oscillation). Il est
constitué d’une jonction p-n à l’intérieur de laquelle est insérée une couche d’environ
0.1 mm d’un matériau semi-conducteur de bande interdite plus faible que celles des
zones avoisinantes mais de structure cristalline très proche. Cette couche centrale,
aussi appelée zone active, sert à confiner à la fois les porteurs de charge (électrons et
trous) et les photons. Lorsque la jonction est polarisée en direct, il se créé une
inversion de population, c'est-à-dire une injection de porteurs (électrons) dans l’état
d’énergie supérieur. Le passage d'un photon de longueur d'onde correspondant à la
bande interdite de la zone active provoque alors l'émission d’un autre photon à la
même longueur d'onde par recombinaison radiative d’un électron avec un trou.
L'amplification du signal optique résulte alors de cette production de photons, connue
sous le nom d'émission stimulée utilisée par les lasers à semi conducteur .Les
principales caractéristiques de ce type d’amplificateur optique sont :
41
Chapitre 02 : Les Composants Optoélectroniques
Faible durée de vie des porteurs (de l’ordre de la nanoseconde), entrainant une
dépendance du gain par rapport au signal pour des fréquences inférieures au GHz.
42
Chapitre 02 : Les Composants Optoélectroniques
Figure II.11: Structure d’un amplificateur optique à fibre dopée Erbium avec
pompage bidirectionnel.
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Chapitre 02 : Les Composants Optoélectroniques
la bande spectrale offerte par les amplificateurs optiques à fibre dopée a l'erbium,
limitée au maximum à 40 nm, peut s'avérer être un facteur pénalisant. Chose qui a créé
des tendances de recherche pour nouveaux amplificateurs optiques tels que les
amplificateurs Raman qui prennent une part non négligeable dans les systèmes de
télécommunications. Son principe de fonctionnement est basé sur l’effet Raman et
consiste à injecter dans la fibre un signal pompe continu de forte puissance à une
longueur d’onde plus courte d’environ 100 nm que la longueur d’onde du signal utile.
Ce phénomène peut être spontané, s'il n'y a pas de photon signal, ou stimulé par la
présence d'un photon signal. Ainsi, dans le cas de l'amplificateur Raman, l'onde
incidente, dite onde de pompe, stimulée par l'onde signal, va créer une autre onde
signal et un phonon l'amplification est alors réalisée L’effet Raman offre une
amplification sur une large bande (aussi bien dans la bande C que dans les nouvelles
bandes L ou S) à condition de multiplexer plusieurs diodes de pompe à différents
longueurs d’onde, dans la fibre. Cette amplification multi-pompes peut être employée
pour combler la plage spectrale non couverte par les EDFA, pour améliorer
l’homogénéité du gain d’amplification, ou pour compenser les effets Raman dans les
télécommunications multiplexées en longueur d’onde à 1.55 μm en jouant sur la
puissance relative des diverses pompes Raman utilisées.
Figure II.12: le principe qui est utilisé pour guider la lumière dans la fibre
45
Chapitre 02 : Les Composants Optoélectroniques
II.6. Le multiplexage [4] :
II.6.1.a) TDM :
Figu
re II.13: la technique TDM
46
Chapitre 02 : Les Composants Optoélectroniques
II.6.1.b) WDM :
Chaque laser est modulé par un canal comprenant un signal à émettre, chaque
laser émet une longueur d'onde différente. Le multiplexeur (MUX) se charge d'injecter
les différentes longueurs d'onde dans la fibre et le démultiplexeur (DEMUX) fait
l'opération inverse.
II.6.1.c) DWDM :
La technologie WDM est dite « dense » (DWDM Dense WDM ou MDLO pour
« multiplexage dense en longueur d'onde ») lorsque l'espacement utilisé est égal ou
inférieur à 100 GHz ou 0,8 nm. Les systèmes DWDM commercialisés aujourd'hui
comportent 32, 80 voire même 160 canaux optiques, ce qui permet d'atteindre des
capacités de 80, 200 voire jusqu’à 400 Gbit/s en prenant un débit nominal de 2,5
Gbit/s... et de quatre fois plus avec un débit nominal de 10 Gbit/s.
47
Chapitre 02 : Les Composants Optoélectroniques
Lorsque les signaux lumineux doivent franchir de longues distances, il faut
installer, à intervalles réguliers de 50 à 100 km, des amplificateurs à fibre dopé à
l'erbium (EDFA). Ceux-ci permettent de compenser les pertes d'insertion dues au
multiplexage et au démultiplexage des longueurs d'onde, et de limiter le « bruit » qui
parasite les liaisons.
La Fenêtre à 1550 nm a été choisie par l'UIT pour deux raisons : c'est l'une des
fenêtres présentant le plus faible niveau d'atténuation et elle se situe dans la bande de
fonctionnement des amplificateurs optiques dopés à l'erbium.
III. Conclusion :
Dans ce chapitre nous avons vu une description de la liaison par fibre optique,
et ses différents composants (l’émetteur, le récepteur, l’amplificateur, le canal de
transmission,...) et leurs caractéristiques.
48
Chapitre 03 : Simulation Et Interprétation des résultats
III. Simulation d’une chaine de transmission optique
50
Chapitre 03 : Simulation Et Interprétation des résultats
Elle contient tout types de modèles qui permettent de réaliser les différents
schémas blocs: entrées, régénérateurs, codeurs, modulateur, filtres,…
51
Chapitre 03 : Simulation Et Interprétation des résultats
III.2.Etude d’une chaîne de base pour transmission optique :
52
Chapitre 03 : Simulation Et Interprétation des résultats
III.2.1.b) Le laser :
Ce modèle permet de simuler une diode laser à semi conducteur. Il est possible
de le décrire par ses paramètres physiques internes (coefficient de gain différentiel,
facteur de compression de gain, durée de vie des photons...), mais également par des
grandeurs "système" ou mesurables, souvent plus accessibles, notamment dans les data
skeet fournies par les constructeurs (courant de seuil, RIN, rendement…).
53
Chapitre 03 : Simulation Et Interprétation des résultats
Pourquoi on a choisi λ= 1550nm :
La figure III.7 montre l'atténuation spectrale d'une fibre en silice, pour les
télécommunications. L'atténuation minimale de 0,22 dB/km n'est pas très loin du
minimum théorique pour la silice. La différence s'explique par le fait que l'on ne peut
pas utiliser de la silice pure. Il faut doper soit le cœur, soit la gaine et cela augmente
les fluctuations de composition et donc les pertes par absorption.
L’analyse statique du laser donne pour les paramètres résumés dans le tableau ci
dessus, la caractéristique courant-puissance suivante :
54
Chapitre 03 : Simulation Et Interprétation des résultats
Le rendement total est le rapport entre la puissance lumineuse émise et la
Le courant de seuil
Le rendement
d’où
D’après la courbe de la figure II.7 .On peux extraire les valeurs dispersion en
(ps/nm.km) et l’atténuation en (db/km) correspondant la différente longueur d’onde λ.
55
Chapitre 03 : Simulation Et Interprétation des résultats
56
Chapitre 03 : Simulation Et Interprétation des résultats
Résultat obtenue pour λ=1550 µm. Avec L=100km.1Gbit/s
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Chapitre 03 : Simulation Et Interprétation des résultats
Résultat obtenue pour λ=1600 µm Avec. L=100km.1Gbit/s
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Chapitre 03 : Simulation Et Interprétation des résultats
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Chapitre 03 : Simulation Et Interprétation des résultats
D=200Mbits s-1
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Chapitre 03 : Simulation Et Interprétation des résultats
D=12Gbits s-1
On remarque cette fois-ci, pour un débit de l’ordre des Mbit/s, une légère
perturbation au niveau des l’amplitude. On note l'effet des oscillations de relaxation
dès que le débit binaire dépasse 2Gbits.s-1 avec le modèle de diode laser considéré.
Les impulsions sont alors loin d'être idéales. Et pour le haut débit on constate que le
signal est perdu, cela est du a l’incapacité de la diode laser à générer le signal correct
en utilisant la modulation direct.
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Chapitre 03 : Simulation Et Interprétation des résultats
Pour remédier le problème de l augmentation de débit binaire qui se présente
au niveau à l’amplitude par une perturbation .on utilise la modulation externe a fin de
travailler avec des grands débits.
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Chapitre 03 : Simulation Et Interprétation des résultats
L’injection du signal de puissance continue résultant du laser à l’entrée d’un
modulateur MEA, provoque une atténuation obligatoire causée par la modulation de ce
dernier et donc affaiblissement de puissance de sortie de l’émetteur qui peut être
calculé de la manière suivante :
P(sortie émetteur) [dBm] = P(laser) [dBm] - Pertes d’absorption [dB] – Pertes d’insertion [dB].
D=20GBbit/s D=40GBbit/s
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Chapitre 03 : Simulation Et Interprétation des résultats
D=1Gbit/s. L=100km
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Chapitre 03 : Simulation Et Interprétation des résultats
D=1Gbit/s. L=200km
D=1Gbit/s. L=300km
On remarque que la qualité de signal reçu est plus faible plus la longueur de la
fibre est augmentée. Cela est du à la perte linéique de la fibre (coefficient
d’atténuation). Donc d’après ces résultats nous constations une limitation de la
longueur à utiliser dans la chaine de simulation.
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Chapitre 03 : Simulation Et Interprétation des résultats
III.3.2. Influence de l'effet de Kerr , Raman sur la distance :
Selon le Schéma suivant ; une simulation est faite avec un débit binaire fixe
(D=500Mbit/s.), une sensibilité de détecteur type PIN égale à 0.5 A/w et une longueur
de fibre fixé à 100Km.
Pour visualiser l'effet de Kerr, et l’effet Raman sur le long de la chaine, on joue
sur les caractéristiques de la fibre séparément :
Comme c’est présenté dans la figure III-20. Avec le maintien les conditions initial de
la chaine optique.
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Chapitre 03 : Simulation Et Interprétation des résultats
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Chapitre 03 : Simulation Et Interprétation des résultats
Les résultats obtenus sont comme suit:
α=0.2db/Km
α=0.5db/Km α=0.9db/Km
Pour commencer on va prendre la même sensibilité qui est égale a : 0.5 pour les
trois détecteurs, et après paramétrages des blocs de la chaine, on va varier (le débit de
la source, et cette sensibilité) pour voir le comportement de chaque détecteur.
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Chapitre 03 : Simulation Et Interprétation des résultats
III.4.1 : Influence de débit et la sensibilité sur les 3 détecteurs
On a pris des chaines optiques identiques, seulement les détecteurs qui sont de
différents type, mais avec les mêmes paramètres (valeurs) de mesure.
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Chapitre 03 : Simulation Et Interprétation des résultats
s=0.2A/w
PIN ID
s=0.5 A/w
PIN ID
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Chapitre 03 : Simulation Et Interprétation des résultats
s=1 A/w
PIN ID
s=0.2 A/w
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Chapitre 03 : Simulation Et Interprétation des résultats
s=0.5A/w
s=1 A/w
On remarque que les deux types de détecteurs PIN et PDA présente une
perturbation aux niveaux des amplitudes par rapport à la photodiode idéal, cela est du
au différents bruit (d’obscurité et quantique), en plus nous observant un gain dans la
sortie de détecteurs PDA G10 due à l’amplification réaliser par la jonction PDA.
Ces perturbations au niveau d’amplitude sont augmentées en fonction de
l’augmentation du débit binaire à des pics et devenir des oscillations
En fin nous constatons que les photodiodes PIN sont les plus utilises car ils sont
peu couteuses et simples à utiliser avec une performance satisfaisant, les photodiodes a
avalanche sont plus performantes mais ils sont plus couteuses et demande des
exigences de control (entretien régulier, une tension d’alimentation élevée et stable) se
qui rend difficiles a les utiliser
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Chapitre 03 : Simulation Et Interprétation des résultats
III.4.1. Effet de la puissance du signal optique et de la puissance du signal de
pompe de l'EDFA sur les signaux de la liaison point à point mono-longueur
d'onde
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Chapitre 03 : Simulation Et Interprétation des résultats
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Chapitre 03 : Simulation Et Interprétation des résultats
Résultat obtenu est comme suit:
D=1Gbit/s,L=150 Km
D=1Gbit/s,L=200Km
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Chapitre 03 : Simulation Et Interprétation des résultats
III.4.1 .b. simulation d’une chaine de transmission avec trois amplificateurs
(régénérateur) :
Liaison 300km(3x100)
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Chapitre 03 : Simulation Et Interprétation des résultats
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Chapitre 03 : Simulation Et Interprétation des résultats
Simulation d’une liaison par la technique (WDM) :
Cette simulation port sur la transmission d’un signal WDM à travers une fibre
monomode.
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Chapitre 03 : Simulation Et Interprétation des résultats
Démultiplexeur : Ce modèle permet de simuler un démultiplexeur à base de
réseaux de Bragg ne tenant pas compte de la polarisation .
Figure III-27 :. Forme temporelle des signaux optiques en sortie des générateurs
pseudo-aléatoires.
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Chapitre 03 : Simulation Et Interprétation des résultats
Figure III-28 : Forme temporelle des signaux optiques en sortie des diodes laser.
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Chapitre 03 : Simulation Et Interprétation des résultats
III.5. Conclusion :
Notre travail nous a permis d’étudier une liaison optique point a point avec le
simulateur comsis. Les résultats obtenus de cette simulation ont été basé sur le
diagramme de puissance afin de voir et comprendre les différents paramètres qui
influents sur la qualité de la liaison optique (longueur d’onde, longueur de fibre,
coefficient d’atténuation, dispersion chromatique, débit binaire, etc,…)
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Conclusion General
Conclusion générale
Malgré la maîtrise actuelle des techniques de développement des systèmes de
communication, cela n’a pas suffit à combler la demande continuelle des dispositifs
pouvant générer de fortes puissances. Lorsque cet objectif est atteint, ces puissances
trop élevées ont engendré à leurs tours de nouveaux phénomènes qui peuvent modifier
quelques paramètres de transmission.
On sait que l’injection d’une puissance dans le guide optique va nous livrer de très
grandes puissances, puisque la puissance injectée à l’entrée est confinée dans une très
faible surface, du fait de la petite dimension de leur zone guidance. Les champs
électromagnétiques intenses qui ont résultent sont susceptible de modifier les
propriétés de la silice (matière dont les guides optiques sont constitués en général), qui
représente le support de la propagation. Ainsi, l’interaction entre un diélectrique, fibre
monomode, et un signal de forte intensité va automatiquement produire des
phénomènes non linéaires. Ces non linéarités vont déformer le signal, et ils vont forcer
l’indice de réfraction à adapter une variation. C’est le phénomène connu sous le nom
effet de Kerr optique. Le milieu qui représente ces caractéristiques est dit alors un
milieu non linéaire.
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Référence
Références
[1] MEDJDOUB FADILA, «Optimisation par la Simulation Système d’une
Chaine de Transmission Numérique par Fibre Optique Haut Débit », Mémoire
de Magister en Télécommunications ,2010 Université Abou Bekr Belkaid-
Tlemcen.
Cite internet :
https://fr.scribd.com/doc/170227431/Simulation-1
https://fr.scribd.com/document/110153423/2-Transmission-Optique.
https://fr.slideshare.net/miyamiya/amplificateurs-optiques-soa-raman-edfa-14602775
http://www.soudeuse-optique.fr/bien-choisir-votre-soudeuse-fibre-optique/
http://www.memoireonline.com/01/17/9518/Etude-d-une-liaison-de-transmission-par-
fibre-optique-et-simulation-d-un-resonateur-optique.html#_Toc456006690.
https://en.wikipedia.org/wiki/Optical_fiber_connector.
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