Mur en Béton Arme
Mur en Béton Arme
Mur en Béton Arme
Réaliser par :
KHARROUBI Nidhal & GMATI Firas
1 GÉNÉRALITÉS
1.1 Definition:
Les ouvrages de soutènement sont des constructions destinées à prévenir l’éboulement ou le
glissement d’un talus raide. Ils sont essentiellement employés, - soit en site montagneux pour
protéger les chaussées routières contre le risque d’éboulement ou d’avalanches ; - soit, en site
urbain pour réduire l’emprise d’un talus naturel, en vue de la construction d’une route, d'un
bâtiment ou d’un ouvrage d’art. II existe deux grandes classes d’ouvrages de soutènement.
- Les murs qui sont composés d’une paroi résistante et d’une semelle de fondation. C’est le cas
des murs en T renversé ou des murs-poids en béton armé ou encore en maçonnerie (briques,
pierres,…) ou formés d’éléments spéciaux (murs végétalisés, gabions métalliques, …).
- Les écrans qui sont composés seulement d’une paroi résistante.
Exemples : - rideau de palplanches formé de profilés métalliques emboîtés les uns dans les
autres et fichés dans le sol ; - paroi moulée en béton armé : - mur en terre armée avec parement
composé d’écailles en béton. Le présent chapitre se limite à traiter des murs de soutènement en
béton armé, en L ou en T renversé, avec ou sans contrefort, avec ou sans console, coulés en
place, partiellement ou totalement préfabriqués.
mécaniques des matériaux (c, ϕ) : M ; - les résistances en aval, par exemple la résistance au
poinçonnement, au cisaillement à la base du mur, … : R. Cela en association avec 3 approches
possibles notées de 1 à 3, qui consistent à appliquer de façon cohérence les coefficients de
pondération A, M et R entre eux (Cf. art. 3.8). L’Eurocode 7 reste néanmoins ouvert sur les
applications pratiques, et ce sont ses normes d’application nationale de préciser les possibilités
qui conviennent à chaque catégorie d’ouvrage. Les ouvrages murs de soutènement considérés
ici, appartiennent à la catégorie géotechnique 2, à savoir pour les ouvrages de types classiques,
les fondations qui ne présentent pas de risque exceptionnel ou les conditions de terrain ou de
chargement difficiles. Ils sont couverts principalement par la norme NF P 94-281 [3]3 et
certaines parties de la norme NF P 94-261 [4]4 qui traite des fondations superficielles. Le choix
entre ces deux normes doit s’appuyer sur une analyse du comportement des constructions
portées, et notamment sur le niveau de la déformation que ces dernières sont capables de tolérer.
- Si le soutènement ne reprend que la pression des terres y compris celle créée par des charges
sur le remblai, le mur est alors justifiée à partir des exigences de la norme NF P 94-281. - Par
Figure 1.
contre, si l’ouvrage est soumis à la pression des terres et à d’autres efforts, dus par exemple à
un tablier d’ouvrage d’art dans le cas d’une culée à mur de front ou à un bâtiment, il est justifié
à partir des exigences de la norme NF P 94-261.
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Figure 2.
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C’est la forme fréquente pour un mur en béton armé (Fig. 5.1), dite encore cantilever du fait du
voile encastré dans la semelle. Sans contreforts, il est économique pour des hauteurs jusqu’à.
5.0 G’ 5 mètres et peut être érigé sur un sol de qualités mécaniques peu élevées. Par
Figure 3.
Rapport au mur-poids de même hauteur, à largeur égale de semelle il engendre des contraintes
plus faibles sur le sol.
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Dans le cas de murs en déblai, c’est-à-dire réalisés en terrassant un talus, les limitations de
volume de terrassement et les difficultés de tenue provisoire des fouilles obligent à réduire la
longueur du talon et à augmenter celle du patin.
Figure 4.
Parfois, la stabilité au glissement du mur nécessite de disposer sous la semelle une bêche. Celle-
ci peut être mise soit, à l’avant ou à l’arrière de la semelle, ou parfois encore en prolongement
du voile. Cette bêche, toujours coulée en pleine fouille sans coffrage, le premier cas peut
paraître intéressant car il permet de mettre la semelle totalement hors gel. Mais à l’ouverture de
la fouille de la bêche, il y a un risque de décompression du sol dans la zone où il est le plus
sollicité. De plus, il y a aussi un risque de voir, après la construction du mur, la butée devant la
bêche supprimée par des travaux de terrassement (ouverture d’une tranchée pour pose d’une
canalisation par exemple).
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Figure 5.
Le troisième cas peu usité, est néanmoins intéressant car il permet de réaliser facilement le
ferraillage de l’encastrement du voile sur la semelle en prolongeant dans la bêche les treillis
soudés formant aciers en attente.
Figure 6.
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Pour limiter les poussées des terres sur le voile des murs, on peut encore adopter les solutions
des figures. Mais d’emploi peu fréquent. Ces solutions, certes astucieuses et séduisantes, ont
l’inconvénient d’être d’exécution difficile et de grever le coût du mur, même si l’on peut
économiser par ailleurs sur la matière.
Figure 7.
Le présent titre se propose de rappeler les principes du calcul des poussées à partir des
données sur les valeurs des propriétés du terrain. Trois approches différentes existent en
pratique : la théorie de Rankine ; la théorie de Boussinesq et la théorie de Coulomb. Dans la
suite, il sera utilisé l’approche de Boussinesq avec la solution par des tables (Caquot, Kerisel,
Absi).
Figure 8.
Ka : le coefficient de pression active des terres au repos (coefficient de poussée). C’est le ratio
des contraintes effectives (rapport de la contrainte horizontale sur la contrainte verticale).
Le coefficient Ka dépend de :
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L’angle δ dépend de l’état de rugosité du parement, fonction du type de coffrage utilisé pour
la réalisation le béton de l’écran. La contrainte p(M) se décompose en : - une composante
horizontale : pH(M) = p(M).cos (λ+δ) = KaH.γ.z, avec KaH = Ka.cos (λ+δ) ; - et une
composante verticale : pV(M) = p(M).sin (λ+δ) = KaV.γ.z, avec KaV = Ka.sin (λ+δ). 2.2.
MODELES DE COMPORTEMENT CONTOUR DU BLOC MONOLITHIQUE 2.2.1. Mur
en T avec talus incliné infini (Fig. 5.11) Soit un mur en T en béton armé, représenté par la
figure 5.11, qui retient un remblai ayant un angle de frottement interne ϕ et limité par un talus
infini incliné (de pente d’angle β sur l’horizontale). . (5.3) La variation des composantes pH et
pV, peut être représentée par deux diagrammes en fonction de la cote de profondeur z du
point M. Si l’angle δ reste constant sur la longueur L de l’écran, ces deux diagrammes se
déduisent l’un de l’autre par affinité. b) L’effort résultant PG des poussées, sur la hauteur L de
l’écran, est appliqué au tiers inférieur du parement (distribution triangulaire) avec une
inclinaison δ. L’intensité est donnée par :
PG = Ka .γ.L²/2 (5.4)
Figure 9.
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Soit un mur en T en béton armé, représenté par la figure 5.11, qui retient un remblai ayant un
angle de frottement interne ϕ et limité par un talus infini incliné (de pente d’angle β sur
l’horizontale).
Figure 10.
- La droite ∆ coupe le talus en un point C, dans ce cas, le massif AO’BC est considéré comme
solidaire du mur. La méthode rigoureuse consiste à calculer la poussée sur un écran fictif BC
en considérant des valeurs du coefficient de poussée données par les tables de Caquot-Kérisel
[5]5 , en fonction des paramètres β/ϕ , δ/ϕ et ϕ pour λ = 0° ou 10° (Cf. titre 7). L’angle δ
d’inclinaison de la poussée par rapport à la normale à BC, est égal à ϕ.
- La droite ∆ coupe la face interne du voile (Fig. 5.13). Sur la partie inférieure BC, les
considérations précédentes s’appliquent. Quant à la partie CA, l’angle δ est égal à 2ϕ/3.
Dans ces deux cas, le calcul par les méthodes exposées se révèle fastidieux. Aussi, est-il
d’usage de simplifier ces schémas en considérant un écran fictif vertical passant par l’arête du
talon. La masse de terre AO’BC, comprise entre le parement du voile et ce plan, agit
uniquement par son poids.
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Il est d’usage général, pour les murs en T et les murs à redans en béton, d’écran vertical (λ =
0) et dans le cas du modèle d’un écran fictif vertical, de prendre pour l’inclinaison poussée δ
égale à :
Figure 11
Figure 12
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Figure 13.
Remarques : 1) La méthode, qui consiste à prendre en compte un écran fictif à partir des plans
de glissement, est applicable pour la vérification de la stabilité externe. Pour le calcul de la
résistance interne d’un mur de soutènement, il est d’usage de considérer que les poussées
s’appliquent directement sur le parement du mur avec un angle d’inclinaison δ sur la normale,
δ est choisi en fonction de la rugosité de ce parement, ou du tassement relatif possible entre le
mur et les terres en amont.
2) Pour les propos traités ici, elles sont non contradictoires à l’Eurocode 7 et ses normes
d’application. Elles peuvent parfois sembler un peu théoriques et sujettes à discussion,
néanmoins elles ont l’avantage de proposer des solutions simples et réalistes tenant compte de
la géométrie arrière des murs.
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Le cas d’un talus incliné à un angle β sur l’horizontale et limité par un terre-plein horizontal
infini (Fig. 5.16), est fréquent en pratique. La poussée finale résulte de deux diagrammes de
poussée.
- Pour la poussée due à un remblai horizontal infini passant par le point D’, le coefficient de
poussée est désigné Kao (pour β = 0).
- La poussée due à un massif limité par un talus infini d’angle β (≠ 0) sur l’horizontale, le
coefficient de poussée est Kaβ.
Figure 14
Figure15.
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La théorie de Coulomb montre que l’effet d’une charge uniforme infinie q est semblable à celui d’une
épaisseur h” de sol supplémentaire. Si γ désigne le poids volumique du remblai,
On a : h” = q/γ (5.6)
On admet que la charge se diffuse dans le terrain suivant des directions faisant un angle ϕ avec
l’horiz
Figure16.
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La solution est définie de façon semblable. L’effet de la charge d’exploitation est entre les
deux droites d’influence inclinées sur l’horizontale de ϕ et de π/4+ϕ/2
Figure17.
2.2.5. Charge locale uniformément répartie:
Si la distance entre les joints verticaux, est suffisamment grande, la présence d’une charge
uniforme locale n’est généralement pas déterminante pour la stabilité externe d’un mur de
soutènement. En effet, l’influence de la charge se répartit sur le parement verticalement et
horizontalement entre les joints.
Avec l’impact rectangulaire sur l’écran devenant important, la pression diminue rapidement.
En revanche les murs préfabriqués, constitués d’éléments de courtes largeurs sans
solidarisation longitudinale, requièrent un examen plus approfondi. La norme NF EN 15258
spécifie les prescriptions afférentes à ces types de structures.
Figure 18
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Le supplément de poussée exercé sur le parement par une charge uniforme locale (d’intensité
p et d’impact rectangulaire bxd), dont le bord le plus proche du parement est à une distance a
de celui-ci qui peut être déterminée par la méthode de KREY [7]7. La diffusion de la poussée
(Fig. 5.20) se développe dans une zone délimitée par :
- dans le sens vertical, deux plans passant par les bords parallèles au mur du rectangle
d’impact (bxd) et inclinés d’un angle ϕ et de π/4+ϕ/2 sur l’horizontale ;
- dans le sens horizontal, deux plans passant par les angles du rectangle d’impact (bxd) les
plus proches du parement et correspondant à une diffusion suivant une pente 1/2 (27° env.).
La surface de charge sur le parement, est déterminée en considérant les deux épures, on
trouve:
Remarques : Cette méthode, théorique néanmoins approximative, peut être utilisée tant que la
charge n’est pas trop proche de l’écran (b petit devant a). En cas contraire, il est conseillé pour
la diffusion horizontale de faire passer les plans verticaux à 27° par l’arrière de la surface de
charge. Cela revient à remplacer a par (a + b) dans la formule donnant qmax.
Dans le cas particulier d’une charge concentrée Q, la surface d’impact d’une charge (par
exemple la roue de véhicule) est très petite par rapport aux dimensions du mur.
La répartition des poussées sur l’écran. Dans ces deux cas, l’écran peut être fictif ou réel.
Mais si l’on étudie la stabilité externe du mur, le plan de calcul à prendre en compte est
l’écran fictif vertical passant par l’arrière du talon. Dans le calcul du voile (mur), le
diagramme de poussée qui doit être considéré, est celui où l’écran est le parement du mur, ce
qui est moins sévère.
Figure 19
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- la poussée unitaire du sol de poids volumique apparent égal au poids volumique déjaugé γ’.
Remarques : - Si la nappe aquifère a un niveau variable, la représentation précédente doit être
adaptée en fonction des coefficients de pondération des actions. Dans le cas du mur non
drainé, la poussée de l’eau est toujours perpendiculaire à l’écran. Lorsque celui-ci est vertical,
elle n’intervient donc pas dans le diagramme de la composante verticale de la poussée. En cas
du mur drainé et la nappe n’est pas complètement rabattue au droit du mur, le calcul doit en
tenir compte. Un rabattement de la nappe provoque dans le massif une pression de courant
inclinée qui s’a
Figure 20.
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- la poussée unitaire du sol de poids volumique apparent égal au poids volumique déjaugé γ’.
Remarque :
3.1.1 Introduction :
L’essai permet de déterminer la résistance à l’usure par frottements réciproques des éléments
d’un granulat.
Le matériau évolue pendant l’essai par frottement des éléments les uns sur les autres, sur le
cylindre de la machine en rotation et sur les boulets (charge abrasive) à sec ou en présence
d’eau.
La granularité du matériau soumis à l’essai est choisie parmi les classes granulaires :
4-6.3mm; 6.3-10 mm; 10-14 mm; 25-50 mm .Pour les essais effectués sur les gravillons entre
4 et 14 mm, une charge abrasive est utilisée.
3.1.3 Principe de l’essai :
Si M est la masse du matériau soumis à l’essai, m la masse des éléments inférieurs à 1,6 mm
produits au cours de l’essai, la résistance à l’usure s’exprime par le coefficient Micro-Deval
qui s’écrit :
CMD = 100 × (m / M)
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Que ce soit l’essai à la fragmentation dynamique ou l’essai MICRO DEVAL, les paramètres
obtenus étaient des masses de refus au tamis 1,6 mm et des coefficients correspondant à
chacune des expériences. Ces coefficients ont pour but de nous permettre d’apprécier la
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dureté des granulats. Cette dureté connue, il est plus facile d’utiliser les matériaux et il n’y a
plus à craindre la destruction de l’ouvrage mise en place
3.2.1 Objectif :
L’essai a pour objet de mesure en laboratoire des caractéristiques de plasticité (rupture) d’un
échantillon de sol fin soumis à un cisaillement direct selon un plan imposé, à une vitesse
suffisamment lente pour que la pression interstitielle u reste nulle tout au long de l’essai
En sont déduites les valeurs de l’angle de frottement effectif ϕ’ et la cohésion effective c’,
paramètre utilisés pour le dimensionnement de fondation, les calculs de vérification des
coefficients de sécurité Fs à la rupture de talus et pour et pour la détermination les actions de
poussée
L’essai s’effectue sur une éprouvette de sol placé dans un bâti de cisaillement constitué de
deux demi-boites indépendantes. Le plan de séparation des deux demi-boites constitue de
glissement correspondant au plan de cisaillement de l’éprouvette.
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L’essai consiste à :
Condition de l’essai :
-pas maxi des mesures : tous les δl = 0,2 mm jusqu’à δI = 2 mm puis tous les δl = 0,5 mm
- Critère d’arrêt : si pour δl = 0,5 mm, T < 1/100 Tmax ou lorsque δI> 5mm.
Appareillage :
D'une demi- boite inférieure comportant une pierre poreuse et un circuit d'eau qui permet
l'imbibition de l'échantillon.
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D'une demi- boite supérieure dans laquelle on dispose au-dessus de l'échantillon une pierre
poreuse puis un piston destiné à transmettre la charge verticale N appliquée à l'échantillon.
Un bâti de consolidation sur lequel on dispose la boite surmontée d'un étrier recevant les
poids qui vont fournir la charge.
D'un chariot dans lequel on vient placer la boite de CASAGRANDE ; ce chariot est animé
par un moteur d'un mouvement translation à vitesse constante et réglable.
Les dimensions intérieures des deux boites couramment utilisées sont carrées ou circulaires.
* une étuve.
* Des comparateurs.
* Un Chronomètre.
* Un Papier filtre.
* Un Couteau.
* Une Tare.
_ On prend une quantité de notre sol pulvérulent pour remplir la plaquette carrée de l'appareil
de CASAGRANDE (10cm de côté et de 03cm de hauteur). L’échantillon est placé entre deux
demi- boites, mobile l'une par rapport à l'autre sans contact ; en ajoutant un peu d'eau.
_On place l'étrier sur le piston et à l'aide d'un levier- mètre on règle le bras du levier à
l'horizontal.
_On installe le comparateur au contact avec l'étrier, et on la règle à z tracer point par point la
droite de coulomb.
3.2.4 Conclusion :