COURS Surveillance Trafic Maritime CFDAM
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des Transports,
de l’Equipement,
du Tourisme
et de
la Mer
direction générale
de la Mer et des
Transports
direction des
Affaires maritimes
Groupe Ecoles -
Centre de
LA SURVEILLANCE
Formation et de
Documentation
des Affaires
Maritimes
DU TRAFIC
MARITIME
1
Avertissement
NMd1/JLL/2005/AEM/0005
2
LA SURVEILLANCE DU TRAFIC MARITIME
SOMMAIRE
INTRODUCTION
2.1 Définition
3.1. Généralités
3
4.1 La constatation des infractions.
5 .2 Principes d’action
5 . 3 Prévention opérationnelle
TEXTES REGLEMENTAIRES
ANNEXES
4
LA SURVEILLANCE DU TRAFIC MARITIME
INTRODUCTION
Dans les zones maritimes à forte densité de trafic, les risques pour la sécurité
des personnes embarquées et des biens ainsi que pour l’environnement conduisent
les états côtiers à exercer ce qu’il est convenu d’appeler une surveillance du trafic
maritime. Cette surveillance connaît un véritable développement, là où elle existe
déjà, par la modernisation des installations et l’amélioration des dispositions
réglementaires mais aussi dans d’autres régions où les états concernés ont pris
conscience de l’intérêt d’assurer cette nouvelle mission.
Suite à de récents évènements de mer ( naufrages des Tankers ERIKA en
1999 et PRESTIGE en 2002, naufrage du chimiquier IEVOLI SUN en 2000) ayant
entraîné des dommages importants sur le littoral européen et de lourdes
conséquences économiques, les états côtiers prennent de plus en plus d’initiatives
unilatérales afin de contrôler voir de limiter le trafic des navires transportant des
marchandises dangereuses et polluantes jusqu'à une distance de 200 milles de leur
littoral.
D’une manière générale, on assiste donc à « une grande offensive
internationale en matière de sécurité maritime » comme le souligne la commissaire
européenne aux transports dans une lettre adressée en janvier 2003 à tous les pays
voisins de l’Union Européenne et autres partenaires ainsi qu’à différentes instances
internationales. Le droit international de la mer fait l’objet de nombreuses pressions
afin que soit améliorer le régime juridique international des pollutions provoquées par
les navires et que soit trouvé un meilleur équilibre entre la liberté de circulation et les
intérêts des Etats côtiers qui doivent pouvoir protéger leurs côtes contre les
désastres écologiques.
La commission a par ailleurs présenté en février 2003 un texte qui, s’il est
accepté par les ministres et le parlement européen, imposera aux Etats membres de
définir des sanctions dissuasives allant des amendes à des peines de prison pour les
responsables de pollutions mêmes accidentelles
5
• Visibilité nulle pendant 30 jours et inférieure à 2 milles pendant 3 mois.
Des études ont mis ainsi mis en évidence les principaux flux de trafic et
ont ainsi fait ressortir les zones à risques notamment en termes de collision entre les
différents axes des routes de navigation.
Enfin, comme corollaire à cette situation, les éléments naturels comme c’est
le cas en Manche accentuent potentiellement les risques de navigation et imposent
de mettre en place au niveau de l’Etat côtier un système de surveillance afin d’ en
prévenir les conséquences et qui répond également à la réglementation
internationale en cette matière.
6
Cependant, quelque que soit la situation , la surveillance du trafic maritime
repose sur 4 fondements principaux que sont :
7
1. L’ORGANISATION DU TRAFIC MARITIME
8
- organiser le trafic de manière à éviter les zones dans lesquelles la
navigation de tous les navires ou de certaines classes de navires n’est
pas souhaitable
- réduire les risques d’échouement en fournissant des directives
spéciales aux navires à fort tirant d’eau dans les zones où la
profondeur de l’eau est incertaine ou critique.
Les trois DST de Manche situés dans les eaux françaises ont été adoptés par
l’OMI.Il s’agit du DST d’Ouessant, du DST des Casquets et du DST du Pas-de-
calais. Par voie de conséquence, la règle 10 « dispositifs de séparation de trafic »
du règlement international pour prévenir les abordages en mer (COLREG 72) s’y
applique.
Le nouveau dispositif du rail d’Ouessant a été mis en place le 1er mai 2003, l’
objectif ayant été de modifier le dispositif actuel à 3 voies qui entraînait des risques
de cisaillement entre les routes des pétroliers et la voie descendante à un point
connu sous l’appellation de « point Charly ».
Le nouveau dispositif se décale plus à l’ouest (24 milles) avec cette fois-ci la
voie descendante à l’extérieure et un double sens large de 2 milles pour le cabotage
à l’intérieur des eaux territoriales.
Le taux plus élevé d’identification obtenu par CNIS DOVER par rapport au
CROSS GRIS-NEZ s’explique par le fait qu’HM Coastguard dispose d’un avion de
surveillance spécialement dédié à cette mission.
La quasi totalité des infractions relevées par CROSS GRIS-NEZ sont
commises par des navires de pêche de Boulogne.
9
Sur 73 abordages recensés qui se sont produits les 5 dernières années entre
des navires de pêche et des navires de commerce, plus de la moitié se sont produits
aux abords des DST dont 21 % à l’intérieur des dispositifs.
2.1 Définition
La notion de STM (en anglais on utilise le sigle VTS pour Vessel Traffic
Service) est récente. Elle est définie par l’OMI dans la résolution A.578 (14) du 20
novembre 1985.
Pour résumer, on peut dire qu’au sens de cette résolution, les STM sont
des services mis en place par une autorité compétente dans le but d’améliorer la
sécurité, l’écoulement du trafic et la protection de l’environnement. Leurs
attributions vont de la simple diffusion d’informations à une gestion globale du
trafic dans des zones d’approches portuaires.
Les circulaires de l’OMI SN/CIRC 198 et 201 du 26 mai 1998 relatives aux
systèmes d’organisation du trafic autres que les dispositifs de séparation sont
applicables aux bouches de BONIFACIO et complète la résolution A 776 du 14
novembre 1993 prises par l’ OMI relative à la navigation dans les bouches de
Bonifacio.
Ces dispositions instituent d’une part une route recommandée à double
sens de circulation assortie d’une zone de prudence à chacune des extrémités des
bouches et d’autre part un système obligatoire de compte rendu. ( arrêté du préfet
maritime 84/98 du 03/11/98 )
10
En Manche ,pour la Grande-Bretagne, le service gardes-côtes (Maritime
Coastguard Agency/ MCA) assure une surveillance du trafic dans la voie
descendante (voie Sud-Ouest) du Pas-de-Calais au moyen de CNIS (Channel
Navigation Information Service) Dover, HM Coastguard ne déclare pas CNIS Dover
comme STM pour des questions liées à la qualification des opérateurs , non pas
parce que ses opérateurs ne sont pas qualifiés mais parce qu’il n’a toujours pas été
défini de normes précises en matière de formation des opérateurs STM.
Par ailleurs, il est important de noter que la présence d’un DST ne signifie
pas qu’un STM en assure la surveillance comme le DST des îles scillyes dans les
eaux anglaises.
L’instruction CROSS définit les tâches qui incombent à nos trois STM en
matière de circulation maritime. On distingue entre les zones couvertes par les
radars et celles qui ne le sont pas.
Dans les zones couvertes par leur radars, les CROSS/STM sont chargés :
Hors de leur zone de couverture leurs tâches rejoignent celles des CROSS
d’Etel et de Lagarde.
- recueil d’informations en vue de détecter des situations anormales,
- diffusion d’ informations aux navigateurs
- réception des messages de compte-rendus SURNAV
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Pour le cas particulier des bouches de Bonifacio, la station « Bonifacio
Traffic » qui assure la surveillance radar et l’enregistrement des comptes rendu pour
la partie française, est assurée par un sémaphore de la marine nationale. A noter
qu’a la suite d’un accord avec les autorités italiennes en date du 12 /11/98 la station
en service est assuré à tour de rôle par le sémaphore de la marine nationale
française et les gardes-côtes italiens.
Les personnels armant les centres STM sont désignés sous l’appellation
d’opérateurs STM. Le quart est effectué à deux opérateurs dont un chef de quart.
Les attributions de ces opérateurs dans les trois CROSS de la Manche
sont donnés en annexe.
Les STM de la Manche sont notamment dotés des équipements suivants
pour assurer leur mission de STM :
. de moyens de radiocommunications VHF et HF,
. de radiogoniomètres,
. d’installations permettant de visualiser la zone de surveillance (radar
de surveillance, chaîne de traitement, consoles d’exploitation)
. de systèmes d’archivage et d’exploitation en temps différé des
informations du trafic (statistiques, trajectographies).
- De récepteur AIS ( automatic identification system) à titre
expérimental au CROSS CORSEN.
.
Toutes ces informations sont traitées par le logiciel SYTAR qui est un
logiciel d’interface destiné à la gestion du trafic maritime à l’intérieur d’un VTS côtier
utilisé par les 3 CROSS et qui permet de gérer les éléments suivants :
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Lorsqu’un navire arrive dans le champ de détection du radar, le système
affiche à l’écran un vecteur avec la position, la route et la vitesse. Lorsque le contact
radio a été établi, l’opérateur ouvre une fiche de saisie dans la base de données,
attribue un numéro de passage et collecte les données concernant le navire :
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• les navires de plus de 300 pratiquant une navigation internationale
• les navires de plus de 500 ne pratiquant pas une navigation
internationale
• les navires à passagers quelque soit leur taille.
Obligatoire pour tous les navires construit après le 1er juillet 2002, un
calendrier prévoit les échéances pour les autres navires concernés selon leur types
du 1er juillet 2003 au 1er juillet 2008.
Lorsque l’AIS est intégré dans un VTS, l’AIS est un outil complémentaire
pour permettre d’identifier les échos radar mais aussi pour continuer d’avoir une
couverture de la zone lorsque l’image radar est dégradé soit par le mauvais temps
ou par tout autre interférence.
Comme autre utilisation, l’AIS peut également être utilisé par les
coordonnateurs des missions SAR pour contrôler les mouvements des navires,
avions et hélicoptères équipés d’un tel système.
14
3. LES SYSTEMES DE COMPTES-RENDUS
3.1. Généralités
Dès lors tout état membre pouvait proposer à l’OMI l’adoption d’un
système de comptes-rendus obligatoire ce que fit immédiatement la France pour
Ouessant. Le système OUESSREP décrit plus loin est entré en vigueur le 30
novembre 1996.
15
Récemment la France en liaison avec les autorités britanniques a mis en
place un système de compte –rendus obligatoires pour la région Pas de Calais à
partir du 01 juillet 1999 ( CALDOVREP) et pour les Casquets à partir du 01 juin 2001
( MANCHEREP) adoptés tous deux par l’ OMI.
16
3.3. Le système OUESSREP (OUESSANT REPORT ) MANCHEREP ET
CALDOVREP
Jusqu’en 1994, le système visait les navires à risques pour les comptes-
rendus de position et tous les navires pour les comptes-rendus de défectuosités.
Depuis 1978 et jusqu’en novembre 1996 , le régime de signalement
obligatoire n’existait que dans la voie montante intérieure du DST (voie montante-
est), seule voie située en eaux territoriales. L’obligation des navires étaient de se
faire reconnaître – c’est à dire de répondre aux appels d’Ouessant Trafic deux
heures avant leur entrée dans cette voie.
17
3.3.3. La progression du taux d’identification.
18
méditerranéenne. Ces arrêtés ont pour objet de réglementer l’approche des côtes
françaises par les navires à risques.
- en vrac :
• des hydrocarbures
• des substances liquides nocives classées catégorie MARPOL A ou B
• d’autres substances liquides nocives nommément désignées
• des gaz
- en colis :
des matières fissiles ou irradiées ( Ne pas assimiler cette expression à toutes les
marchandises de la classe IMO 7.)
•
- prendre toute mesure que le préfet maritime peut leur prescrire dans les
eaux territoriales.
En outre, cet arrêté fait obligation aux navires transportant des cargaisons
dangereuses (cette fois dans un sens beaucoup plus large, c’est à dire celui de la
directive HAZMAT) ou polluantes, provenant d’un port situé hors de l’Union
Européenne et à destination d’un mouillage situé dans les eaux territoriales
françaises, d’adresser au CROSS géographiquement compétent un message détaillé
d’informations relatives à sa cargaison.
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l’atténuation de tout risque significatif pour la sécurité maritime, la sécurité des
personnes ou l’ environnement, les Etats membres doivent prendre toutes les
mesures appropriées pour veiller à ce que le capitaine d’un navire navigant dans leur
zone de recherche et de sauvetage, leur ZEE ou équivalente signale immédiatement
au centre compétent tout incident relatif à la sécurité du navire, de la navigation, à
une situation conduisant à une pollution ainsi que toute observation de nappes de
produits polluants ou de conteneurs et colis dérivant . Ce signalement est visée par
la résolution A.850 (20) de l’OMI
(4) Les navires venant mouiller en eaux territoriales sont également visés
(voir § SURNAV)
20
- L’exploitant d’un navire quittant un port d’un état membre doit notifier à
l’autorité compétente de cet état membre des informations sur le navire, le voyage
envisagé et la cargaison.
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3.6 Les autorisations de mouillage
Une autorisation devrait être aussi demandé pour toute circulation ou tout
mouillage qui, dans les eaux territoriales , ferait perdre son caractère inoffensif au
sens de l’art 19 de la convention de Montego Bay.
• Mise à l’eau de plongeurs, d’embarcations
• Communication avec la terre, embarquement ou débarquement de
marchandises et de personnes
• Pollution grave
• Mise en l’air d’aérostat.
3.6.3 Délégation
22
4.CONSTATATIONS ET SUIVI DES INFRACTIONS
La procédure est la même que celle prévue pour un navire français (voir § a)
23
- Le C.R.O.S.S. adresse le dossier de constatations de l’infraction au
Quartier des Affaires Maritimes siège du T.M.C. concerné et si, au vu des
informations disponibles, il apparaît que le navire est susceptible de faire escale à
terme dans les ports français, diffuse aux quartiers concernés un message (voir
modèle en appendice) signalant que le navire a fait l’objet d’un constat d’infraction.
Dans le cas il n’y a pas lieu d’établir un constat d’infraction. Par contre, il
convient d’adresser au DSI. la fiche d’infraction prévue au § ci-dessus.
24
Le CROSS se met à la disposition de la préfecture maritime et apporte
son concours pour analyser la gravité de la situation : base de données
SIRENAC,EQUASIS, antécédents concernant les avaries et les contrôles au titre de
la sécurité dans le cadre du mémorandum de Paris.
A titre préventif, les CROSS doivent ainsi détecter les navires bannis ou
qui risquent d’être banni au sens du mémorandum d’entente de Paris ( liste noire) et
le signaler pour action auprès du capitaine de port concerné, du centre de sécurité
des navires concerné et pour information à la DRAM et à la préfecture maritime
concerné Cette liste de navires bannis est disponible auprès de nombreux serveurs :
SIRENAC, EUROPA et site Internet du MOU.
5 .2 Principes d’action
Dans le cas où cette mise en demeure reste sans effet ou n’a pas produit les
effets attendus dans le délai imparti, ou d’office en cas d’urgence, l’Etat peut faire
exécuter les mesures nécessaires aux frais, risques et périls de l’armateur, du
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propriétaire ou de l’exploitant ou recouvrer le montant de leur coût auprès de ces
derniers.
Il convient de noter que dans les ports maritimes et sur le rivage, les autorités
portuaires et les préfets disposent des mêmes compétences (Décret n° 86-38 du 7
Janvier 1986 relatif aux mesures de police maritime à l’égard des navires, aéronefs,
engins ou plates-formes pouvant causer une pollution marine accidentelle).
5 . 3 Prévention opérationnelle
5.3.3 L’intervention
Dans le cadre des mesures qu’il est habilité à prendre pour faire cesser une
menace de pollution, le préfet maritime peut décider d’intervenir sur un navire dans
les cas suivants :
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cesser le danger de pollution. L’intervention du préfet maritime est
effectuée aux frais et risques de l’armateur.
Parmi les moyens d’intervention les remorqueurs civils de haute mer, affrétés
par les préfets maritimes et en alerte permanente sont des éléments essentiels du
dispositif d’intervention.
Enfin, il est rappelé que l’assistance aux navires en danger s’inscrit dans le
cadre juridique de la convention de Bruxelles de 1910 sur l’assistance et le
sauvetage et de la nouvelle convention internationale de 1989 sur l’assistance.
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citernes ( rapport entre le port en lourd et le volume de chargement. Ce
dernier critère n’est pas utilisable pour le transport de bitume.
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Le capitaine reste, sur la base de son appréciation de professionnel au sens
de la convention SOLAS, libre de sa décision.
• D’ici fin 2005, les Etats membres devront communiquer à la commission des
plans en vue d’accueillir des navires en détresse dans les eaux relevant de
leur juridiction. Ces plans comportent les procédures nécessaires qui
garantissent que les navires en détresse puissent se rendre immédiatement
dans un lieu de refuge en tenant compte des contraintes opérationnelles et
environnementales sous réserves de l’autorisation de l’autorité compétente.
Ces plans comportent la fourniture de moyens et d’installations pour l’
assistance, le sauvetage et la lutte contre la pollution.
Par la résolution A 949 du 5 décembre 2003 adoptant des directives sur les
lieux de refuges, l’OMI recommande que les Etats côtiers mettent en place
des procédures pour recevoir des demandes d’assistance et y donner suite en
vue d’autoriser s’il y a lieu, l’utilisation d’un lieu de refuge approprié. Pour
chaque lieu de refuge, les autorités maritimes devraient procéder à une
analyse objective des avantages et inconvénients en tenant compte de
l’analyse de la situation factuelle du capitaine , de sa compagnie et de son
assistant et des résultats d’une éventuelle équipe d’inspection.
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5.6 Le projet de création d’une ZMPV. ( zone maritime particulièrement
vulnérable)
30
TEXTES REGLEMENTAIRES
A. TEXTES INTERNATIONAUX
6. Protocole de 1973 sur l’intervention en haute mer en cas de pollution par des
substances autres que les hydrocarbures.
8. Résolution A /648 (16) de l’OMI sur les principes généraux applicables aux
comptes rendus de navires.
11. Résolutions :
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• A.284 (VIII) du 20/11/73 sur le DST du pas de calais
• MSC XXXVIII/22/Add du 10/05/78 sur le DST d’ Ouessant
• MSC 52/66 sur le dispositif OUESSREP
• MSC sur le dispositif CALDOVREP ( 01/07/1999)
• MSC 110/73 sur le dispositif MANCHE REP ( 01/06/2001)
• A-475 (XII) sur l’ adoption d’une route profonde dans le DST Pas
de Calais
• A- 851 (20) du 20/11/97 sur le compte rendu et la notification
d’évènements mettant en cause des marchandises dangereuses,
des substances nuisibles et /ou polluantes.
• MSC.85(70) du 07/11/98 sur le Mandatory Ship Reporting System
• A. 949 du 5 décembre 2003 sur les directives sur les lieux de refuge
pour les navires ayant besoin d’assistance
• A.950 du 5 décembre 2003 sur les services d’assistance maritime.
B. TEXTES NATIONAUX
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7. Les Arrêtés des Préfets maritimes réglementant la navigation, la
circulation, l’accès, le signalement et le mouillage aux approches des côtes
françaises en vue de prévenir les pollutions marines accidentelles.
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ANNEXES
34
ANNEXE 1
Equipe d’évaluation
- Mise en demeure
+ remorqueur
+ hélicoptère
+ équipe d’intervention
+ tout autre moyen
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ANNEXE 2
NAVIRE EN AVARIE
EN HAUTE MER
En dérive
Non en dérive
Pétroliers ou
marchandises
non oui
Danger de Non oui
pollution
Vigilance
non oui
oui non
Vigilance
- mise en demeure
+ remorqueur
+ hélicoptère
+ équipe d’intervention
+ tout autre moyen
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ANNEXE 3
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