Projet Eaux Uséés
Projet Eaux Uséés
Projet Eaux Uséés
Houari Boumediene
Intitule du Projet :
Le traitement
ikjk des eaux
Et sa réutilisation
Présente par :
1. Benabdelali Riad
2. Boudjemaa Rania
3. Abdel Aziz Mohamed
4. Aouaouche Rabah
Section : D
Groupe : 2
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Le sommaire :
1. Introduction
réutilisation
7. conclusion
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Introduction :
Le traitement des eaux usées est une priorité a l’échelle mondiale , ce
dernier a une impacte sur la santé publique, plus de 4000 enfants de moins
de 5 ans meurent chaque jour de diarrhées liées a l’absence de traitement
des eaux et au manque hygiène .
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TRAITEMENT DES EAUX USÉES
INDUSTRIELLES
Tout d’abord avant de parler des différents types de traitement des eaux usées on
va aborder les deux types de réseaux de collecte.
Évacuation dans les mêmes canalisations des eaux usées domestiques et les eaux pluviales.
Ces procédés cumulent les avantages :
Mais ils nécessitent de tenir compte, dans la conception, des brutales variations de débit des
eaux pluviales et le dimensionnement des collecteurs et des ouvrages de traitement de l’eau.
Collecte des eaux usées domestiques et des eaux pluviales dans des réseaux distincts. Ce
système permet de :
éviter le risque de débordement d’eaux usées dans le milieu naturel lorsqu’il pleut.
L’entretien des ouvrages annexes comprend notamment le curage des bouches d’égout,
l’entretien des bassins de retenue, des déversoirs d’orage, des postes de relèvement des eaux
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usées et des branchements. Une exploitation efficace du réseau suppose un travail d’entretien
rigoureux et permanent du personnel qualifié du service d’assainissement.
Il existe divers procédés de filtration ou de traitements pour éliminer les particules solides ou
les pathogènes qui peuvent coloniser les réservoirs d’eaux usées. Les systèmes de traitement
disponibles sur le marché intègrent les processus suivants :
Les filtres physiques, par exemple de sable, qui retiennent les particules qui pourraient servir
de source organique biodégradable par les colonies microbiennes ;
Les processus biologiques, qui sont basés sur les mécanismes naturels de digestion par les
bactéries.
I- De type classique :
Le procédé d’épuration des eaux classique : dans une station de traitement des eaux usées
classique, le fonctionnement se base sur plusieurs étapes (prétraitements, traitements
primaires et traitements secondaires). La phase de prétraitement permet d’effectuer une
filtration d’eau et peut être composée de dégrillage, dessablage, sédimentation et dégraissage.
Cette phase filtre les principaux déchets, mais ne compose pas un traitement complet. Le
traitement primaire est l’équivalent d’une décantation (filtration, membranes). L’objectif de
cette étape est d’éliminer le plus de matière organique possible. Le traitement secondaire
assure un travail ultime contre les bactéries organiques contenues dans les eaux usées. Ce
système de traitement peut évoluer selon la chaîne de production de l’industrie source et les
normes.
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II- Les gaz industriels :
Les gaz industriels (O2, CO2 et O3) peuvent être utilisés de façon sûre, fiable, rentable et
rapide, principalement pour :
• Éliminer les composants non biodégradables et les micropolluants des eaux usées.
Les gaz industriels apportent des solutions globales et compétitives pour le traitement des
eaux, via l’introduction d’oxygène pur dans les bassins biologiques à l’aide d’injecteurs de
gaz brevetés, au lieu de la technologie traditionnelle de soufflage d’air. Le remplacement des
acides minéraux par du dioxyde de carbone rend également le contrôle du pH plus sûr pour
les opérateurs et plus respectueux de l’environnement. De plus, les traitements d’oxydation
avancée avec de l’ozone peuvent être mis en place pour traiter les effluents avec plus
d’efficacité et réduire la production globale de boues activées.
L’INJECTION D’O2 PUR ACCROÎT LA CAPACITÉ DES STATIONS JUSQU’À 50 % ET PERMET D’ÉVITER LES
COÛTS D’INVESTISSEMENT, LE TEMPS ET L’ESPACE NÉCESSAIRES POUR L’EXTENSION DE LA STATION
D’ÉPURATION.
A - L’injection d’O2 pur est intéressante si vous recherchez une solution rapide, efficace,
temporaire ou durable et limitant les coûts d’investissement pour accroître votre
capacité de traitement de l’eau :
L’enjeu aujourd’hui consiste pour nous à traiter des eaux selon des niveaux d’exigences plus
élevés tout en limitant les investissements, les coûts opérationnels et les dépenses de
fonctionnement..
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L’étape biologique aérobie survient lors du traitement secondaire et nécessite de l’oxygène
pour permettre la respiration des micro-organismes. Ils s’agglomèrent sous forme de flocs et
forment ce qu’on appelle les « boues activées » ou « biomasse ». Cette étape est fondamentale
dans le traitement des eaux usées car elle permet d’éliminer les composés biodégradables
contenant du carbone et de l’azote.
L’injection de CO2 est une solution plus sûre, plus durable et souvent plus économique que
l’utilisation d’acides forts pour la régulation du pH.
L’objectif de chaque système de régulation du pH est d’ajuster le pH du flux de processus afin qu’il
soit dans la plage acceptable définie.
L’injection de dioxyde de carbone (CO2) est une alternative plus sûre à l’utilisation des acides
minéraux car elle réduit l’exposition environnementale et le risque de blessures accidentelles. Le CO2
peut être injecté directement dans des canalisations, sur un débit dérivé ou via des diffuseurs
immergés dans un bassin. Le CO2 ne présente pas de risque lorsqu’il est utilisé avec d’autres
produits, contrairement aux acides qui peuvent être dangereux quand ils sont associés à d’autres
agents.
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A - Les polluants non biodégradables (DCO réfractaire ou DCO dure) doivent être
éliminés pour respecter la réglementation :
Des traces de polluants préoccupants pour la santé humaine et écologique ont été détectées
dans les eaux de surface et les eaux usées.
La pollution non facilement biodégradable inclut généralement des composés
pharmaceutiques actifs et des produits d’hygiène personnelle appelés « micropolluants » (ou «
contaminants émergents »). La plupart de ces composés sont difficilement biodégradables.
Les tensio-actifs issus des produits de nettoyage et d’hygiène sont considérés de la même
façon.
Les micropolluants présents dans les eaux usées tels que les oestrogènes sont responsables de
la féminisation des poissons mâles dans les compartiments des eaux recevant ces effluents.
De nouvelles réglementations ou des réglementations existantes plus strictes émergent et
pourront exiger un traitement spécifique dans un avenir proche.
B - L’ozone est un agent oxydant puissant qui dégrade les molécules complexes en
pollution biodégradable :
• L’ozone peut également être utilisé pour dégrader les molécules complexes et organiques
et/ou pour réduire la toxicité des eaux usées avant un traitement biologique complémentaire.
L’objectif de ce prétraitement est d’augmenter la biodégradabilité des eaux usées en éliminant
les polluants toxiques et en permettant une meilleure action des micro-organismes.
Pour l’efficacité du processus d’oxydation, il est important que les eaux usées soient traitées
de façon adéquate avant l’ozonation.
Le traitement tertiaire (ou avancé) enlève les substances dissoutes, comme la couleur, les métaux,
les produits chimiques organiques et les substances nutritives comme le phosphore et l'azote. Il y a
un certain nombre de processus de traitement physiques, chimiques et biologiques qui sont utilisés
pour le traitement tertiaire. Un des processus de traitement biologiques est appelé le Déplacement
Nutritif Biologique (BNR). Ce diagramme montre les étapes de traitement que traversent les eaux
usées de Saskatoon. Dans ces usines de traitement, Les eaux usées subissent d'abord le traitement
principal et secondaire. Pour le traitement tertiaire, le BNR se produit dans le bioréacteur. Le
processus BNR utilise des bactéries dans différentes conditions situé dans plusieurs réservoirs pour
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éliminer (par digestion) les polluants dans l’eau. Il y a trois réservoirs et ils ont tous des
environnements uniques avec des quantités d’oxygène différentes. L’eau va passer par les trois
réservoirs le phosphore est enlevé et l’ammoniac est détruite dans le nitrate et l’azote (gaz) car les
bactéries ne peuvent pas l’éliminer. Le processus BNR enlève plus de 90% de phosphate tandis que
les processus traditionnels enlèvent beaucoup moins de 90%. L’eau va environ neuf fois dans le
bioréacteur, avant d’entrée dans le clarificateur secondaire qui est un réservoir où la boue chargé de
bactéries descend au fond du réservoir.
IV- En Algérie :
En Algérie c’est la méthode classique qui est la plus utilisé et dirigé par SEEAL, qui gère et exploite
cinq stations de traitement d’eau sur les périmètres d’Alger et de Tipasa parmi elles on retrouve
celle de BOUDOUAOU qu’on prendra pour exemple, de MAZAFRAN, ou de Hamr el Ain.
Mise en service en 1986, la station de traitement d’eau de Boudouaou est, historiquement, la plus
importante infrastructure de production des eaux conventionnelles alimentant la Capitale. Elle fait
partie du système SPIK (Système de Production Isser Keddara) et est alimentée à partir du barrage de
Keddara (capacité 142 Millions m3), lui-même principalement alimenté par pompage depuis le
barrage de Beni Amrane (capacité 12 Millions m 3), approvisionné par l’oued Isser et, en dépannage,
par délestage du barrage de Koudiat Accerdoune (capacité 640 Millions m 3).
Quelle que soit sa source, les eaux prélevées du milieu naturel ne sont jamais distribuées
sans traitement. Ainsi, Une petite quantité de chlore est ajoutée aux eaux souterraines pour
s’assurer qu’elles répondent aux exigences bactériologiques. Les eaux de surface, plus
sensibles aux risques de pollution, subissent un processus de traitement plus profond, qui se
divise en six étapes.
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Étape de prétraitement, phase de dégrillage grossier :
Sur les périmètres d’Alger la station de traitement de Boudouaou , commencent par la
séparation es déchets solides les plus gros dont le diamètre dépasse 4cm, retenu par un
système de tamis ou de grilles. Ensuite l’eau est pompée vers la phase suivante "Dégrillage
fin" oú sont enlevés les déchets de moyenne et petite taille.
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Étape de clarification :
Le clarificateur est le bassin circulaire équipé d’un pont racleur, où s’effectue la
séparation par décantation des flocs biologiques constitués dans le bassin d’aération de l’eau
traitée, et l’eau clarifié est évacué par une surverse située sur la périphérie de l’ouvrage vers la
prochaine étape.
Concernant les boues activées, elles sont transférées vers l'épaisseur des boues puis vers
l'unité de déshydratation mécanique. Premièrement, les boues épaisses sont mélangées avec le
polymère, afin de se coaguler et faciliter l'opération de séparation. Puis, elles sont dirigées
vers les centrifugeuse qui séparent les phases liquide et solide, du fait de leur densité, par
accélération centrifuge. Enfin ces boues sont transportés via des bennes.
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Étape de désodorisation :
Afin de respecter l'environnement et respecter et éviter toute nuisance olfactive de
voisinage, l'air extrait a la station, passe par une désodorisation physico-chimique. Le principe
consiste à transformer les composants odorants en des composants inertes par ajout de réactifs
chimiques
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La relation de la VRD et le
traitement des eaux :
Le rapport :
L’eau est un bien public indispensable à toute urbanisation et doit être disponible en
quantité suffisante pour assurer les besoins des populations.
Les VRD interviennent dans son champ d'application afin de répondre à ce besoin, par la
conception et implantation d’ouvrages, qui devront répondre à ces exigences , car les travaux
de VRD sont soumis à des réglementations et à des normes qui envois toujours a la sécurité
des habitants. Et comme on ne peut pas faire ce que l’on veut en matière de raccordement à
l’eau ; il y a des lois à respecter. Des normes relative aux marché :
- Limiter les coûts d'investissement sans pour autant négliger les problèmes techniques.
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- Créer un cadre de vie satisfaisant pour les usagers.
Conclusion :
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