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Rapport de Stage: Gattoufi Nadhem Airliquid

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Centre Sectoriel de Formation en Électricité Maintenance et Équipements

Biomédicaux

Rapport De Stage
Fin De Formation
Encadré par : Mr KARIM LOUATI
Mme MAMIA SANNANA

Réalisé par : Gattoufi Nadhem


Lieu : AIRLIQUID

1
SOMMAIRE
Remerciements ................................................................................................ 3

Cahier de charge .............................................................................................. 4

Introduction .................................................................................................... 5

I. Les Paramètres physiologiques et l’anatomie appropriée .......................... 4

A/ Les Paramètres physiologiques ............................................................... 26

B/ L’anatomie/physiologie ......................................................................... 27

1/ Le Signal électrique du cœur ........................................................................ 12

2/ SPo2 ............................................................................................................... 13

3/ Fréquence Respiratoire................................................................................. 14

4/ Pression non invasive (PNI) .......................................................................... 15

5/ Température ................................................................................................. 16

II. Étude technique du moniteur de surveillance SPACELABS XPRESSON ..... 26

A/ Présentation de l’équipement ................................................................ 26

1/Description de l’équipement ...................................................................... 12

2/ Caractéristiques technique ........................................................................ 13

3/ Les Alarmes ................................................................................................. 1

B/ Schéma Synoptique de l’équipement et rôle de chaque bloc .............. 27

C/ Analyse structurelle .............................................................................. 27

1/Le moniteur ................................................................................................. 12

2/ Le module patient ...................................................................................... 13

3/Les techniques de mesure .......................................................................... 14

III. Maintenance ....................................................................................... 26


IV. Contrôle Qualité .................................................................................. 26
V. Conclusion ............................................................................................ 28

2
Remerciement

Remerciement
Au terme de ce stage je tiens à exprimer mes vifs
remerciements tout particulièrement et à témoigner
toute ma reconnaissance aux personnes suivantes,
pour l’expérience enrichissante et pleine d’intérêt
qu’elles m’ont fait vivre durant ce mois au sein du

3
Cahier de charge
• THEME DE STAGE :
 Les équipements de réanimation et de surveillance :
MONITEUR DE SURVEILLANCE

 TRAVAIL DEMANDE :

 Principe de fonctionnement de l’équipement lors du


stage.

 L’étude technique de l’équipement (analyse de


documentation technique, etc.).

 La description des opérations de maintenance effectuées


sur ces équipements.

 Control Qualité

4
Introduction

 
Pendant les premières heures suivant un acte thérapeutique et/ ou diagnostique effectué
sous anesthésie générale, le patient est exposé au risque de complications liées aux effets
résiduels des médicaments administrés et aux conséquences de l'acte pratiqué. La
surveillance du patient est réalisée grâce à des systèmes de monitorage qui sont capables de
mesurer, d'afficher en temps réel ou en temps différé les paramètres physiologiques des
patients surveillés et d'émettre des signaux d'alarmes visuels et sonores pour signaler la
survenue d'une anomalie ou d'une situation de risque pour le patient.

Il s'agit d'un appareil électronique avec écran d'affichage dont la taille varie selon le
modèle. Cet écran peut afficher un certain nombre de données mesurées en temps réel, sous
forme de courbes, de tableaux ou d'ondes. Pour cela, les mesures s'affichent sur plusieurs
lignes pour faciliter leur lecture, et sont souvent de couleurs différentes. A cet effet, la
plupart des moniteurs sont dotés d'un afficheur de qualité, et dans certains, offrent la
fonction tactile pour une mise en œuvre facile et intuitive. A part la lecture des signes
vitaux sur l'écran, le moniteur possède aussi une mémoire de stockage interne pour
enregistrer les incidences. Lors du paramétrage, le personnel de soin saisit les chiffres liés
aux seuils de tolérance minimale et maximale, et dès que le chiffre ne correspond pas à ces
seuils durant la surveillance, l'alarme se déclenche. Le nombre des déclenchements est
également enregistré, toujours pour aider le médecin à mieux réagir et anticiper. Pour
effectuer les mesures proprement dites, l'appareil est doté de plusieurs accessoires qui sont
fixés sur le patient. Par exemple, des électrodes pour l'électrocardiogramme, une sonde
pour la prise de la température, etc.

 Surveillance des signes physiologiques


 Affichage des courbes et données sur écran lisible
 Stockage des évènements et alarmes

5
I. Bloc
Les Paramètres physiologiques Opératoires
et l’anatomie appropriée :
A. Les Paramètres physiologiques

Principaux paramètres surveillés sont les suivants :

 Fréquence Cardiaque (FC) : C'est le nombre de battements cardiaques par minute,


mesuré via l’ECG.

 Électrocardiographe (ECG): C'est l'enregistrement de l'activité électrique du cœur sur un


plan frontal (par les dérivations des membres) et sur un plan horizontal (par les
dérivations précordiales). C'est un outil permettant le diagnostic des pathologies
cardiaques rythmiques, musculaires et des problèmes extra cardiaques métaboliques,
médicamenteux, hémodynamique et autres…

 Fréquence respiratoire (FR) : Elle est sondée sur le câble d'ECG, consiste à délivrer un
courant électrique de faible intensité au niveau du thorax et mesurer les variations de la
résistance de celui-ci en fonction du temps. On mesure ainsi la Fréquence Respiratoire
(FR) ou le nombre de respiration par minute

 Température (T˚) : Elle est relevée à l'aide d'une thermo résistance transcutanée, rectale
ou tympanique.

 PNI (Pression Non Invasive) : C'est la pression brassard couramment utilisée, c'est une
mesure discontinue.

 SpO2 (Saturation pulsatile en Oxygène) : Elle consiste à mesurer l'absorption lumineuse de


2 longueurs d'ondes différentes à travers un tissu variable due aux pulsations.

6
B. L’anatomie/physiologie :

1. Le Signal électrique du cœur :

a) Introduction : le cœur est un organe musculaire creux, moteur de la


circulation sanguine qui, comme une pompe, chasse par ses contractions
rythmées le sang dans les artères et aspire par ses relaxations le sang des
veines.

b) Structure du cœur : Le cœur, organe musculaire creux recevant le sang par


les veines et le propulsant dans les artères, assurant ainsi la circulation. Le
cœur humain a approximativement la taille d'un poing fermé. IL se trouve
derrière la partie inférieure du sternum, à gauche de la ligne médiane. IL
présente une forme vaguement conique, la base étant orientée vers le haut
et vers la droite, légèrement inclinée vers l’arrière; le sommet touche la
paroi thoracique entre la cinquième et la sixième côte. Le cœur est
maintenu en place principalement par ses connexions aux grandes artères
et veines, et par son confinement dans le péricarde, un sac à double paroi
dont l'une enveloppe le cœur et l'autre est rattachée au sternum, au
diaphragme et aux membranes du thorax.

7
.

c) Activité cardiaque : Le cœur comprend un système de conduction


électrique automatique qui assure chacun de ses battements. Une
impulsion nerveuse électrique est indispensable pour que le myocarde
se contracte. Ainsi a l’état normal, un influx nerveuse est naturellement
crée par le cœur et traverse les différentes cavités, de façon à ce que
leurs contractions soient synchronisées .Cet influx nerveuses naît en
haut de l’oreillette droite puis traverse d’abord les oreillettes ensuite les
ventricules .L’arrivée du courant électrique par le tissu nerveux entraîne
une contraction du muscle de cœur.

8
Les nerfs et les muscles ont la propriété d’excitabilité électrique. En effet, la
stimulation de ces derniers provoque un mouvement cyclique d'ions à l'intérieur et à
l'extérieur de chacune des cellules activées, ce qui entraîne une modification des
potentiels entre les membranes.
Onde P : contraction des oreillettes, c’est la somme de l’onde de contraction de
l’oreillette droite et gauche. Ces ondes se propagent relativement lentement, car elles
se propagent dans le myocarde et non pas par l’intermédiaire de fibres nerveuses.
 Segment PQ : retard introduit par le nœud auriculo-ventriculaire
" Repolarisation des oreillettes ".
 Onde QRS : contraction des ventricules (dépolarisation).
 Onde T : repolarisation des ventricules.
Chacune de ces ondes peut être positive ou négative suivant l’emplacement des
électrodes. Les amplificateurs et instruments annexes devront être conçus en tenant
compte des caractéristiques principales du signal qui sont :

 Amplitude de 0,5 à 3 millivolts.


 Bande passante théorique : 0,05 / 100 Hz.
 Capteur du signal ECG : Un ECG représente l'activité électrique dérivée
du cœur. Pour y parvenir on fixe des électrodes sur la poitrine du patient.
Ces dernières sont reliées à un moniteur cardiovasculaire par la liaison d’un câble qui se connecte
sur le module d’acquisition ECG. En fonction du temps, il trace sur un écran ou imprime sur une
bande de papier une courbe ECG spécifique. Sur la base de cette courbe ECG, on pourra
reconnaître diverses modifications telles que des troubles de l'irrigation ou du rythme cardiaque
ainsi que l'hypertrophie du muscle cardiaque

9
2. Concentration de l’oxygène dans le sang :
Le corps humain à besoin d’un certain nombre d’éléments afin d'assurer son
fonctionnement normal. Le plus important est l’oxygène. Il faut également un système
de transport pour amener cet oxygène à bon port. Ce rôle de transport est dévolu aux
globules rouges, qui représentent les éléments les plus nombreux dans le plasma. Il y
a environ 5 à 6 millions de globules rouges par millimètre cube de sang ces mêmes
globules rouges sont composés à 33 pour cent par une protéine appelée
hémoglobine. Un globule rouge possède une forme biconcave qui le rend
parfaitement adapté à sa tâche. Cette forme lui permet de présenter une surface
maximale d’échange par rapport à son volume, afin de distribuer au mieux les gaz.
La surveillance de la saturation en oxygène sert à mesurer la quantité d’oxygène
dans le sang. Elle aide les infirmières et les médecins à savoir si le corps de patient
reçoit l’oxygène dont il a besoin. Elle leur indique aussi si le corps utilise bien
l’oxygène qu’il respire.

 Pathologie :

 Taux de saturation en oxygène bas (hypoxémie) : Elle peut être due à la diminution de
la fraction d'oxygène dans l'air ambiant (atmosphère confinée, haute altitude…) ou aux
défaillances de la mécanique respiratoire.

10
3. Fréquence respiratoire :
Toutes les cellules du corps ont besoin en permanence d'oxygène et doivent se
débarrasser du gaz carbonique. A l'inspiration, l'air contenant l'oxygène est aspiré
jusqu'aux alvéoles avant de rejoindre les cellules grâce la circulation. Diaphragme et
muscles intercostaux dilatent la cage thoracique. Ainsi l'air est aspiré vers les
poumons. A l'expiration, les cellules rejettent le gaz carbonique en provenance du
circuit veineux puis des artères pulmonaires. Grâce à l'élasticité des muscles qui se
relâchent spontanément, l'air est expulsé vers l'extérieur. Le cerveau commande les
muscles de la respiration par l'intermédiaire du tronc cérébral et de nerfs. Dans
l'alvéole, les échanges gazeux se font entre la respiration et la circulation. A chaque
inspiration un certain volume pulmonaire entre dans les poumons. Il est variable
selon la force de la ventilation.

 La fréquence respiratoire est le nombre de cycles respiratoires


(Inspiration et expiration) par unité de temps
 La fréquence respiratoire normale selon l'âge est :

 30 à 50 cycles par minute chez le nouveau-né (0 à 28 jours).


 20 à 40 cycles par minute entre 1 et 6 mois.
 20 à 30 cycles par minute entre 6 et 24 mois.
 16 à 25 cycles par minute entre 2 et 12 ans.
 12 à 20 cycles par minute chez l'adulte et l'adolescent de plus de 12 ans.

 Les Anomalies :

 Tachypnée : C'est l'augmentation de la fréquence au-dessus de 20


mouvements par minute chez l'adulte.
 Bradypnée : C'est la baisse de la fréquence au-dessous de 12 mouvements
par minute.

11
4. Pression Non Invasive :

Acte consistant à mesurer les pressions du sang circulant dans les artères de la circulation
systémique (circulation principale). L'unité internationale de mesure de pression est
le pascal (Pa). Toutefois, l'usage fait que la pression artérielle est souvent mesurée soit en
centimètres de mercure (cmHg), soit en millimètres de mercure (mmHg). Elle est
exprimée par deux valeurs :

 la pression systolique (PAS) est la pression maximale, au moment de la


« contraction » du cœur (systole) ;
 la pression diastolique (PAD) est la pression minimale, au moment du
« relâchement » du cœur (diastole).

Les valeurs sont fixées selon des normes internationales :

 PAS : anormalement haute est supérieure à 140 mmHg ou millimètres de mercure


(le médecin vous donne généralement ce chiffre en centimètres, soit 14).
 PAD : anormale est supérieure à 90 mm Hg ou millimètres de mercure (donc
supérieure à 9).

 Classification de la pression artérielle pour adulte :

 Pathologie :

 Si elle est trop haute en permanence, il s'agit d'une hypertension artérielle.


 si elle est trop basse, on parle d'hypotension .
 si elle est effondrée, on parle de collapsus cardio-vasculaire, pouvant entraîner un état de
choc .
 si elle n'est augmentée qu'en présence d'un médecin, on parle d'effet « blouse blanche »
 si elle est normale au cabinet médical et augmentée dans les autres situations, on parle
d'« hypertension masquée ».
 si les deux chiffres (maxima et minima) sont écartés de moins de 4 cmHg, on parle de
« tension pincée ».

12
 Les appareils de mesure automatique

En milieu de soins intensifs, au bloc opératoire ou en réanimation, les moniteurs


multiparamétriques sont équipés de fonctions permettant la mesure automatique de la
pression artérielle. De nombreux modèles de tensiomètres automatiques sont également
disponibles en pharmacie. Ces appareils n’utilisent pas le principe de la méthode
auscultatoire ou aléatoire. La mesure est oscillométrique. Lorsque le manchon se
dégonfle, des oscillations sont enregistrées par l’appareil. Les oscillations débutent avant
la valeur réelle de la systolique et prennent fin après la valeur réelle de la diastolique.
Mais la valeur maximale de l’oscillation représente la valeur systolique moyenne. A partir
de cette valeur et d’algorithmes développés par les fabricants, les valeurs systoliques et
diastoliques sont calculées. Le gonflage et le dégonflage sont automatiquement gérés par
l’appareil.

13
5. Température :

 Définition : La température corporelle est le degré de chaleur de l’organisme.


L’état normal est de 37°.

 La thermorégulation : (régulation thermique) est un équilibre qui va se produire


entre deux phénomènes :
 la thermogenèse (chaleur produite par l’organisme)
 la thermolyse (chaleur perdue par l’organisme)
 Les variations physiologiques : la Température corporelle normale est
compris entre 36,7° et 37,3°
Lorsque la personne a une température dans ces normes, on dit qu’il
est apyrétique.
 Les facteurs à prendre en compte pour prendre la température :
 La température habituelle de la personne
 La température environnante
 La phase du cycle menstruel
 La grossesse
 L’âge
 L’état émotionnel (pleurs, cris)
 L’activité musculaire et la digestion augmentent la température
 La méthode de mesure
 Les variations pathologiques La fièvre ou hyperthermie :
 Toute élévation de la température au dessus de la normale.
 C’est le résultat d’une agression due à des agents infectieux, des virus.
 Le terme d’hyperthermie est utilisé lorsque l’origine de l’élévation de la
température est liée à un apport excessif de la chaleur de l’extérieur.
 La tolérance à la fièvre est individuelle, et les manifestations cliniques sont à
mettre en relation avec la maladie de base de la personne.
 On distingue plusieurs variations dans la fièvre :
 Les états sub-fébriles = 37°3 à 37°5
 Les fièvres légères = pyrexie, fébricule vers 37°5 38°
 Les fièvres moyennes = 38°2 à 39°
 Les fièvres élevées = 39°1 à 39°9
 Les fièvres très élevées = au dessus de 40° et plus
 L’hypothermie : Abaissement de la température en dessous de 35°.

14
II. Étude technique du moniteur de surveillance XPREZZON de marque SPACELABS
A. Présentation de l’équipement :
Spacelabs 91393 Xprezzon est un moniteur modulaire réservé aux soins de haute
acuité et adapté aux soins adultes, pédiatriques et néonataux, ainsi qu’à
l’environnement péri-opératoire.
 Xprezzon offre un accès aisé aux données patientes, en créant des informations au
niveau du site de soins pour le clinicien. L’affichage à double-écran en option offre une
visualisation dédiée en plein écran des données physiologiques ainsi qu’un écran
secondaire pour une présentation alternative des données cliniques du patient. Le design
moderne et novateur rend l’expérience des patients et de leurs familles confortable et
attrayante. L’écran lisse, sans cadre, facilite le nettoyage et minimise les risques
d’infection. Des solutions de montage ergonomiques et polyvalentes améliorent l’aspect
général de l’environnement de soins. L’écran lisse, sans cadre, comprend des indicateurs
LED d’alarme à haute visibilité. Ces LED illuminent l’avant et l’arrière de l’écran, ce qui
augmente la capacité du clinicien à identifier quel moniteur est en alarme dans un
environnement de soins trépidant.

L’écran haut résolution affiche des tendances personnalisées visuellement riches et


nettes qui permettent une évaluation du patient plus rapide et mieux informée. D’un
seul geste, les cliniciens peuvent accéder aux différentes vues de tendances en fonction
des besoins d’observation, du type de procédure ou des protocoles cliniques. Les
tendances peuvent être affichées de manière continue pour des mises à jour en temps
réel des données patient critiques ou Elles peuvent également être dimensionnées et
disposées selon les préférences des cliniciens.

 ECG a 3, 5 ou 12 dérivations de qualité diagnostique, Resp, SPO2, TA, Temp


 4 pressions invasives (extensible a 8) et débit cardiaque
 Jusqu’a 8 tracés, 24 paramètres
 Connectivité du DME avec ICS
 Modules en option : imprimante/enregistreur, capnographie, multi-gaz et double SpO2
 Compatible Life Sync (Wireless ECG data communication)
 USB prêt pour la connexion d’un lecteur de codes a barres
 Varitrend 4
 Exergen, thermomètre de contrôle ponctuel, USB, en option

15
1. Caractéristiques
techniques :
 Input voltage : 100-240 VAC
 AC input current : 3.0 A/ 1.5 A
 Frequency range : 50–60 Hz
 Classe de protection : Classe I
 Puissance : 40 W

 Affichage : matrix TFT liquid Crystal display


 Dimension De moniteur : 281.2 mm * 123.4 mm
 Dimension d’écran : 376 mm * 301 mm
 Résolution : 1280 × 1024
 Sorties auxiliaires : 4 Ports USB, 2 Ports DVI.I, 2 Ports séries
 L’écran Tactile : Five wire résistive
 L’alimentation externe: 100 - 240 VAC, 50-60 Hz, 3 to 1.5 A.
DC Output: 12 V
 Batterie : 12 VDC, 0.65 Ahr nickel metal hydride (NiMH)

16
2. Les alarmes :

Une alerte est la notification d’une alarme vers un destinataire. Il peur s’agir d’une alarme
physiologique ou d’une alarme technique.
Il existe deux types d’alarmes celles se rapportant aux états physiologiques, aussi
appelées alarmes physiologique et celles se rapportant a l’état des dispositifs médicaux
eux-mêmes aussi appelés alarmes techniques.
Une alarme physiologique est un signal qui indique qu’un paramètre physiologique
donné est en dehors de la gamme des valeurs normales ou que la condition d’un patient
requiert une attention particulière de la part des professionnels de la santé. Il peur s’agir
d’une FC, PA, SpO2 se trouvant en dehors de limites préétablies selon la condition du
patient.
Lorsque le poste de surveillance détecte certaines situations qui nécessitent l’attention de
l’utilisateur, il entre dans un état d’alarme. La réaction du moniteur Xprezzon est indiquée
des façons suivantes :
 Indicateurs visuels d’alarme
 Indicateurs sonores d’alarme
 Identification des signaux vitaux hors limites dans les données sur les tendances
 Signal d’appel d’infirmière

17
B. Schéma Synoptique de l’équipement et rôle de chaque bloc :

18
19
B. Analyse structurelle :

1. Le moniteur :

a) Technologies tactile
La détection d’un point d’appui sur une surface repose sur la mesure de la variation
d’une grandeur physique. Les technologies tactiles se distinguent par les différentes
grandeurs physiques mesurées et les méthodes d’acquisition pour traduire les mesures
en coordonnées (x;y). Dans cette partie, le principe de technologies tactile utilisé sur le
moniteur Xprezzon est Technologie résistive analogique 5 fils (5 wires).

Lorsque l’utilisateur appuie sur l'écran avec la pointe d'un stylet ou d'un doigt, la
pression exercée écrase ponctuellement la membrane supérieure sur la membrane
inférieure et crée un contact entre les deux faces électrifiées. La variation de la
résistivité entre les deux faces conductrices et la position du point de contact sont
détectée par le contrôleur d’écran tactile qui soumet alternativement les conducteurs
de l’écran à des très faibles tensions.
L’acquisition des coordonnées est réalisée en deux étapes, lorsque la dalle est activée
en un point :
 Les électrodes 1et 2 sont alimentées (Vcc) (un gradient vertical de potentiel est
créé sur toute la surface conductrice du substrat inférieur), les électrodes 3 et
4sont mises à la masse et le potentiel de la couche conductrice du substrat
supérieur est mesuré (Vy). Ce dernier est proportionnelle à la coordonnée y du
point d’activation.

20
 Les électrodes 1 et 3 sont alimentées (Vcc) (un gradient horizontal de potentiel est
créé sur toute la surface conductrice du substrat inférieur), les électrodes 2 et 4
sont mises à la masse et le potentiel de la couche conductrice du substrat
supérieur est mesuré (Vx).
Ce dernier est proportionnel à la cordonne x du point d’activation.
b)Gestion d’affichage:
L’unité de traitement graphique (GPU), qui réside sur le bus PCI, implémente la vidéo
analogique et numérique assurant les fonctions de calcul de l’affichage. Le système
vidéo utilise 64 Mo de RAM interne pour la mémoire vidéo. Le GPU génère
directement vidéo RVB analogique et signaux de synchronisation horizontale
Et verticale qu’est mis en mémoire tampon et envoyé à la section analogique du
connecteur DVI-I
 Il existe 2 types de signal vidéo dans La gestion vidéo : Sortie de vidéo analogique et
sortie de vidéo numérique

 Vidéo analogique : Une image vidéo analogique en couleurs peut être reconstituée
par le mélange, à quantité variable, des trois couleurs primaires rouge, vert, bleu.

 V SYNC : Le synchro trame est la référence des temps image, elle déclenche
le balayage Vertical est la référence de la position en vertical de l’image sur
l’écran.

 H SYNC : le synchro ligne, elle déclenche le balayage horizontal et aussi la


référence de la position en horizontal de l’image sur l’écran.

21
 Vidéo Numérique : Alors qu’en vidéo analogique les signaux forment une courbe
sinusoïdale, en vidéo numérique, la forme des signaux est carrée.
Les signaux numériques se présentent dans un format binaire où les données
vidéo sont des suites de 0 et de 1.
 Transmetteur DVI numérique (TFP410) : est un Circuit intégré d'interface
d'affichage
L’interface DVI prend en charge la résolution des écrans plats jusqu’à UXGA.
(1600x1200) à165 MHz en format de pixel en couleurs vraies 24 bits. Le format RVB
les flux vidéo numériques et le contrôle sont envoyés à la section numérique de le
connecteur DVI-I.
 SD RAM vidéo : Synchronous Dynamics RAM. Elle est utilisée comme mémoire

principale et vidéo.

c) Écran à cristaux liquides-TFT


(Liquid cristal display, LCD, en anglais) utilise un mode d'affichage numérique sur
un écran plat.

22
 Les cristaux liquides : sont des matières organiques dites amorphes, et qui ont pour
particularité lorsqu’on leur applique un champ électrique, de changer la polarisation
de la lumière (changement d’orientation). Alors leurs molécules allongées se place
naturellement de façon parallèle les unes aux autres.
Le principe de fonctionnement de l’écran LCD se résume à une dalle composée de
plusieurs couches qui sont transpercées par une lumière polarisé venant de néons
afin de créer des images constituées de millions de cellules minuscules. Dans un
premier temps, les rayons lumineux vont atteindre un filtre polarisant, traversant la
première couche en verre, ensuite un filtre qui permettra l’orientation. La lumière
arrive maintenant à une autre couche, renfermant des cristaux liquides, qui vont la
conduire et la laisser circuler suivant un potentiel électrique. A ce niveau, les ondes
lumineuses sont pivotées à 90° afin de retrouver un deuxième filtre d’orientation
situé à 90° du premier, qui entraine un filtrage des rayons. La lumière finira par
traverser un filtre de couleurs primaires, ensuite une autre couche de verre et un
dernier filtre de polarisation. Les pixels seront fabriqués de cette façon et
permettront de reconstituer l’image.

23
 TFT (Twin Film Transistor) : C’est une technologie à matrice active puisque chaque
cellule dispose de 3 transistors (un pour chaque couleur) qui sont destinés à
alimenter. Grâce à cela, on arrive à obtenir un angle de vision beaucoup plus
important, une image claire sans effets de flou, mais aussi assure un niveau de
luminosité constant. Cette technologie dispose aussi d’un excellent contraste
et une vitesse de défilement élevée.

4. Module Patient :
 Le Module de commande est au cœur du système de surveillance des patients
procurant la puissance nécessaire pour traiter tous les paramètres physiologiques
élémentaires.

24
 Caractéristiques technique :
 ECG : dérivations Disponible
 Câble à 3 électrodes I, II ou III
 Câble à 5 électrodes I, II, III, aVR, aVL, aVF, C
 Câble à 10 électrodes I, II, III, aVR, aVL, aVF, C1, C2, C3, C4, C5, C6
 Plage de mesures Adulte/Pédiatrique/Nouveau-né : 15 à 300 bat/min
 Taille d’ECG : Réglable de 0,5 à 10 mV/cm
 Amplitude : Adulte/Pédiatrique : 0,2 à 5 mV
Nouveau-né : 0,15 à 5 mV
 Respiration :
 Méthode de mesure : Pneumographie d’impédance
 Plage de mesures : 0 à 200 respirations par minute
 Fréquence de mise à jour des valeurs numériques : Toutes les 3
secondes ou dès le déclenchement d’une alarme d’apnée
 Détection de l’apnée : Sélectionnable par l’utilisateur, de 5 à 40 secondes
; alarme d’apnée activée automatiquement pour le type de patient
Nouveau-né.
 Pression artérielle non invasive :
 Méthode de mesure : Oscillométrique, méthode de déflation
 Type de Mesure : Automatique, manuelle
 Plage de mesure d’impulsions : 25 à 255 bat/min
 Plage de mesures Systolique/Diastolique/ Moyenne) : Adulte/Pédiatrique
4 : 30 à 260 mmHg
Pédiatrique: 30 à 190 mmHg
Nouveau-né 1 : 15 à 140 mmHg
 Résolution : 1 mmHg
 Gonflage du brassard initial : Adulte/Pédiatrique : 170 mmHg
Nouveau-né/Pédiatrique : 115 mmHg
 Gonflage du brassard maximal : Adulte/Pédiatrique : 290 mmHg
Nouveau-né/Pédiatrique : 150 mmHg

25
 Oxymétrie de pouls (SpO2):
 Méthode de mesure : Saturation fonctionnelle (saturation en oxygène
des hémoglobines fonctionnelles)
 Plage de mesures : SpO2 : 30 % à 100 %
 Résolution : SpO2 : 1%
 Fréquence de mise à jour des valeurs numériques : Toutes les 3
secondes
 Température:
 Méthode de mesure : Directe, continue
 Type de Mesure : Cutané, rectal, œsophagien
 Type de sonde : YSI 400 ou YSI 700
 Plage de mesures 0 à 50 °C
 Résolution : 0,1 °C
 Fréquence de mise à jour des valeurs numériques : Toutes les 3
secondes
 Entrée de synchronisation du défibrillateur :
 Connecteur : hlo1
 Impédance d’entrée : 2 000 Ω minimum
 Sortie analogique :
 Connecteur : hlo2
 Sélection du signal : ECG1/ECG2, ECG1/RESP, ECG1/PRES1, PRES1/PRES2
 Le module dispose d'un processeur principal et de trois interfaces
frontales spécialisées

Le processeur principal a les fonctions suivantes:

 Envoie des commandes de configuration et de contrôle au serveur frontal.


 Traite les données et les informations d'état reçues des serveurs frontaux.
 Envoie des données de forme d'onde, numériques et d'alarme au moniteur via un lien
de communication SDLC.
 Traite les commandes reçues du moniteur.

26
Chacun des frontaux remplit les fonctions suivantes:
 Amplifie et conditionne les signaux d'entrée acquis par les capteurs connectés au patient.
 Scanne les entrées analogiques prétraitées.
 Convertit les signaux en représentation numérique
 Envoie les données au processeur principal.

 CPU / NIBP : Le processeur principal et le frontal non invasif de la pression artérielle


sont situés sur une seule carte de circuit imprimé, appelée carte CPU / NIBP. La CPU
contrôle Et acquiert les données de la carte frontale analogique.

 L’extrémité avant composée d’une pompe, d’une vanne et de deux microprocesseurs,


contrôle le gonflage et le dégonflage du brassard.
 Contrôleurs frontaux PNI : Deux processeurs sont associés au frontal de la PNI, un
PIC16C63 (le processeur de communication) et un PIC16C711 (le processeur de sécurité).

27
 Le processeur de communication PIC16C63 exécute les fonctions suivantes:

 Échantillonne le convertisseur A / N principal et transmet les échantillons de pression au


MPC 860.
 Met la pompe sous tension et ajuste la vitesse de la pompe par commande reçue du
MPC860.
 Ouvre ou ferme les vannes d'évent, de purge et de mode selon les commandes reçues
du MPC 860.
 Éteint la pompe ou ferme la vanne de purge lorsque la pression ciblée a été atteinte
(mode adulte) ou qu'un temps spécifié s'est écoulé (mode néonatale).
 Répond à une pression sur le bouton rouge STOP situé sur la face avant du module
patient, en arrêtant la pompe, en ouvrant la vanne de ventilation et en envoyant un
message au MPC860 indiquant que la lecture a été annulée.
 Le processeur PIC16C711, processeur de sécurité, remplit les fonctions suivantes:

 communique avec le processeur de communications, qui relaie ensuite ses messages au


MPC860. Le processeur de sécurité reçoit également des messages du MPC860, qui ont
été relayés par le processeur de communications:
 Enregistre la pression du brassard obtenue du transducteur de secours et du
convertisseur A / N sur le MPC860 (via le processeur de communications). Le MPC860
compare ces pressions à celles obtenues avec le convertisseur analogique-numérique du
transducteur principal.
 Surveille la durée pendant laquelle le brassard est gonflé
 Surveille la durée pendant laquelle le brassard est dégonflé pour s'assurer que le temps
de dégonflage minimum est écoulé.

28
Technique de mesure

1. ECG : le schéma suivant représente le réalisation pratique d’un électrocardiographe


ECG.
A travers ce schéma bloc deux grandes partie se distinguent .parties des électrodes et
la partie traitement.

 Les capteurs utilisés pour l’acquisition de signal ECG sont des électrodes de mesure qui
sont placées directement sur la peau. La plaque d’argent de l’électrode est couverte d’une
couche de chlorure d’argent.

Ces électrodes sont caractérisées par :


 Une aptitude à capter les basses amplitudes situées dans la gamme de 0,05mV à
10mV.
 Une impédance d’entrée très élevée.
 Un courant d’entrée très bas, inférieur à 1 mA.
Les signaux captés étant particulièrement faibles, des amplificateurs des hautes
performances (Gain, différentiel, minium de bruit de fond) sont souvent nécessaires.

29
4. Les dérivations : L'ECG à 12 dérivations a été standardisé par une convention
internationale. Elles permettent d'avoir une idée tridimensionnelle de l'activité
électrique du cœur.

Il existe trois types de dérivations:

 Les dérivations bipolaires (dérivation d’Einthoven)

Ces dérivation sont prise entre deux pôles et sont appelées : D1, D2, D3 ou I, II, III

 Les dérivations périphériques unipolaires

Ces dérivations sont appelées : aVR, aVL, aVF

 Les dérivations précordiales

Ces dérivations sont appelées C1, C2, C3, C4, C5, C6

3. Mise en place des l'électrodes :


 La configuration des 3 électrodes est la suivante :
 Positionnement de RA : juste sous la clavicule et près de l'épaule droite.
 Positionnement de LA : juste sous la clavicule et près de l'épaule gauche.
 Positionnement de LL : sur la partie inférieure de l'abdomen à gauche.

30
 La configuration des 5 électrodes est la suivante :
 Positionnement de RA : juste sous la clavicule et près de l'épaule droite.
 Positionnement de LA : juste sous la clavicule et près de l'épaule gauche.
 Positionnement de RL : sur la partie inférieure de l'abdomen à droite.
 Positionnement de LL : sur la partie inférieure de l'abdomen à gauche.
 Positionnement de C: sur la poitrine (peut être placée sur l'un des emplacements
suivant C1, C2, C3, C4, C5, C6, C7).

31
Le premier étage de la chaine de traitement est le plus important.
Amplificateur d’instrumentation, cet élément prend en charge l’amplification, l’adaptation,
l’élimination de a tension en mode commun.
Âpres le recueil de l’information, un traitement de celle-ci nécessaire, ce dernier inclus
dans : l’amplification en améliorant le gain, le filtrage pour éliminer le bruit.
A la fin des suiveurs permet de réalisé l’adaptation d’impédance.
Après avoir été filtré et amplifier, le signal ECG est transmis a l’unité de contrôle et de
commande et peut alors être visualisé sur le moniteur.

2. SPO2 : Le principe physique sur lequel a été développé l'oxymétrie repose sur le fait
que la couleur du sang dépend de la quantité d'hémoglobine saturée avec l'oxygène. Il
existe donc deux types d'hémoglobines soit l'hémoglobine saturée (oxyhémoglobine)
de couleur rouge clair et l'hémoglobine non saturée de couleur bleutée.
Le capteur que l'on met en contact avec la peau contient deux diodes qui émettent deux
longueurs d'onde différente soit 660 nm (dans le rouge) et 940 nm (dans le bleu). Étant
donné que chaque couleur absorbe une longueur d'onde différente, la différence entre les
deux est rapidement convertie en pourcentage de saturation par le microprocesseur.

Un capteur phototransistor détecté les variations d’intensité lumineuse. Un système


électronique permet d’amplifier et filtrer ces variations

32
3. Température : Chaque capteur de température est caractérisé par certains
paramètres importants qui en définissent complètements les performances :

 Plage : c’est l’intervalle de température dans lequel le capteur maintient complètement


intactes toutes ses caractéristiques.

 PRECISION : elle est définie comme l’erreur absolue entre la valeur de la mesure
fournie par le capteur et calla réelle déterminée avec des instruments de référence et
conformément aux standards appropriés.

Cette caractéristique doit naturellement être en syntonie avec la précision raisonnable


requise par la grandeur biologique examinée. Des précisions très élevées ne sont pas
nécessaire : pour beaucoup d’examens cliniques (par ex monitorage en thérapie
hyperthermique). Une précision de ±2°C est suffisante.

 Résolution : c’est le plus petit incrément stable de température qui peut être fourni par le
capteur. Il est souvent fonction du rapport signal perturbation du capteur et de son circuit
de Conditionnement, et il est normalement meilleur que la précision absolue de la
température.

 Captage de température :

Le capteur température agit sur une résistance à valeur ohmique variable qui se trouve
dans un pont de résistance équilibré par l’intermédiaire d’une source de courant
constante, à la variation de la valeur ohmique de la résistance sous l’effet de la
température le pont sera des équilibré d’où l’apparence d’une valeur électrique qui sera
amplifiée et aussi bien filtré.

33
4. Mesure de la Pression non invasive : les moniteurs de pression non invasive
S’appuient sur la détection des ondes de pressions artérielles. La méthode utilisée
Est dite oscillométrique et s’effectue sur les membres du patient.
Un brassard est place sur le membre en regard d’une artère .l’oscillomètre gonfle
(jusqu'à interruption de l’écoulement sanguin dans l’artère) puis dégonflé lentement et
automatiquement le brassard, tout en mesurant, de façon continue, la pression artérielle.
Lors du gonflage et du dégonflage du brassard, des petites variations pulsatiles de
pression (oscillations) sont transmises de l’artère brachiale au brassard
en raison des pulsations de la pression artérielle et sont détecté et enregistrées par le
système de mesure (capteur inclus dans le brassard) en même temps que les pressions
correspondantes du brassard. La PAM correspond a la pression du brassard au moment
de l’enregistrement des oscillations maximales.
Une fois la PAM mesuré, les valeurs de PAS et PAD sont extrapolées à partir
d’algorithmes.
 PAS : point pour lequel l’amplitude des oscillations représente 25 a 50% de
l’amplitude maximal.
 PAD : point pour lequel l’amplitude des oscillations a diminué de 80%.

Lors d’une prise pression artérielle, le moniteur exécute le cycle suivant :


 Le brassard se gonfle a la pression prédéterminée par l’utilisateur (environ 30-40
mmHg
Au-dessus de la pression attendue, soit une valeur initiale de 180 mmHg au-dessus
pour un adulte), coupant la circulation sanguine dans les artères du membre
contrôlé : la pression du brassard est supérieur a la pression artérielle(PA).
 Le brassard se dégonfle progressivement
 Lorsque la pression du brassard est suffisamment basse, la circulation sanguine
reprend dans les artères du patient (=lecture de la pression artérielle systolique)
 Lorsque la pression du brassard diminue encore jusqu'à ce que l’écoulement
redevienne normal et ne crée plus de pulsation dans l’air du brassard (=lecture de la
pression artérielle diastolique).

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 Matériel :
 Brassard fait d’une poche d’air extensible cernée par une enveloppe non élastique
qui sert au maintien de la poche autour du membre du patient.
 Tuyau flexible reliant le brassard au capteur de pression
 Pompe permettant de contrôler la pression du brassard
 Détecteur de pression
 Module Patient Pour le traitement de signaux
 Moniteur

Mesure de la Fréquence respiratoire : Pour la mesure de la respiration, le


moniteur mesure la valeur d'impédance thoracique entre deux électrodes placées sur le
thorax du patient. Les variations d'impédance entre les deux électrodes (dues aux
mouvements thoraciques) donnent une courbe respiratoire à l'écran. Le moniteur
compte les cycles de courbe pour calculer la fréquence respiratoire (FR).

La fréquence respiratoire est détectée par la méthode rhéographie :La méthode


rhéographie consiste à l’injection d’un faible courant alternatif sur électrodes ECG et
mesure la variation de tension aux bornes.

Le moniteur assure le monitorage de la respiration par impédance à l’aide d’un courant


inoffensif à haute fréquence entre deux électrodes ECG sur la poitrine du patient. La
résistance électrique (impédance) entre deux électrodes varie en fonction de
l’expansion et de la contraction de la poitrine lors de l’inspiration et de l’expiration.
Les changements d’impédance permettent de dériver une courbe et une fréquence de
respiration.

Le moniteur peut utiliser les dérivations ECG I ou II pour détecter la respiration, quelle
que soit la dérivation choisie pour le traitement QRS.
5. 35
36
Maintenance

 Maintenance Préventive De Moniteur : Maintenance ayant pour objet de


réduire la probabilité de défaillance:
 Calibration de L’écran tactile
 Les Capteurs :
 Il faut nettoyer la surface du capteur pour éviter les poussières ou
n’importe quel obstacle qui peut donner un mauvais rendement pour le
Maintenance
capteur.
 Câbles de dérivations :
 Les câbles de dérivations peuvent être nettoyés à l’aide d’un chiffon
chaud et humide avec de savon doux, pour une désinfection complète.
Maintenance Maintenance
 Vérification desPréventive
alarmes sonores et visuelles :
Corrective
 A chaque fois que le poste de surveillance est utilisé, il faut vérifier les
seuils d’alarme afin de vous assurer qu’ils sont appropriés pour le malade
Systémiqu
faisant l’objetConditionnel
de la surveillance.
 e
Self Test de moniteur :
 vérification la connectivité Ethernet, alarme Relay, SDLC connections,
batterie backup, Module Patient

 Maintenance Corrective De Moniteur :


Remplacement de carte Suivant :
 CPU
 Carte d’alimentation
 Gestion d’affichage
 SDLC
 Alimentation externe

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Les pannes Causes Solution

Absence d’image sur  Problème Au  Remplace L’ecran


l’écran niveau LCD
 Problème au
niveau CPU
Monitor power ON, mais  Absence système  Remplace La Carte
erreur au niveau system de BOOT CPU
startup
 Système De
Voltage Incorrect  Carte
D’alimentation
Monitor SWITCH power  LED Est éteint  Vérifier
ON mais LED est éteint l’alimentation Externe
de moniteur
 Vérifier l’alimentation
Externe d’écran
Absence des paramètres  Problème au  Remplace la carte
physiologie sur moniteur niveau carte SDLC
SDLC  Vérifier Les
 Problème Au Tensions de
niveau module patient
Alimentation de
module
Problème au niveau   Vérifier la présence
Système Printer de +12V DC
 Remplace la carte
38
SDLC
Contrôle Qualité
Le contrôle qualité devrait suivre toute action de maintenance, préventive ou curative,
pour vérifier que le Moniteur répond bien au niveau de performance annoncé (fabricant)).
Dans la mesure du possible, dans le cas d'achat de la réception de nouveau matériel par
exemple, il est souhaitable de réaliser un premier contrôle qualité avant la mise en service
du Moniteur.
 Le contrôle du bon fonctionnement de tous les paramètres
 Vérifier la performance d’ECG
 Vérifier la performance d’Respiration
 Vérifier la performance de pression invasive et non invasive
 Vérifier la performance de SPO2
 Vérifier la performance de température

 La contrôle de sécurité électrique selon la norme


 Le contrôle du bon fonctionnement d’alarmes

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40
Conclusion

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