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Un nouvel élément fini basé sur l'approche en déformation avec effet de cisaillement
transverse

Article dans Structural Engineering & Mechanics · Janvier 2014

CITATION LIT

1 12

3 auteurs :

Himeur Mohamed Abdelaziz Benmarce

Université 8 mai 1945 - Guelma Université 8 mai 1945 - Guelma

7 PUBLICATIONS 9 CITATIONS 10 PUBLICATIONS 54 CITATIONS

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Mohamed Guenfoud
Université 8 mai 1945 - Guelma

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Ingénierie des structures et mécanique, vol. 49, n° 6 (2014) 793-810

DOI : http://dx.doi.org/10.12989/sem.2014.49.6.793 793

Un nouvel élément fini basé sur l'approche en déformation avec

effet de cisaillement transverse

Mohammed Himeurÿ1, Abdelaziz Benmarce2a et Mohamed Guenfoud3b

1Département de Génie Civil, Université Mentouri, Constantine 25000, Algérie

2Département de Génie Civil et Hydraulique, 8 mai 1945 Université, Guelma, 24000, Algérie
3Laboratoire de Génie Civil et Hydraulique, Université de Guelma, 24000, Algérie

(Reçu le 26 mars 2013, révisé le 24 décembre 2013, accepté le 1er février 2014)

Abstrait. Ce travail de recherche porte sur le développement d'un nouvel élément fini triangulaire pour l'analyse linéaire de la
flexion des plaques avec effet de cisaillement transverse. Il est développé dans la perspective de construire des éléments de
coque. Le champ de déplacements de l'élément a été développé par l'utilisation de l'approche basée sur la déformation et il est
basé sur les fonctions supposées indépendantes pour les différentes composantes de la déformation dans la mesure où cela
est permis par les équations de compatibilité. Sa formulation utilise aussi des concepts liés au quatrième nœud fictif, à la
condensation statique et à l'intégration analytique. Elle est basée sur les hypothèses de la théorie des plaques à tiques (théorie
de Reissner-Mindlin). L'élément possède trois degrés de liberté externes essentiels à chacun des quatre nœuds et satisfait la
représentation exacte des modes de déplacement des corps rigides. A la suite de cette approche, une nouvelle plaque de
flexion élément fini (Pep43) qui est compétitive, robuste et performante.

Mots clés : éléments finis ; approche de déformationÿ; condensation statique; théorie des plaques; Reissner Mindlin

1. Introduction

Des structures de coque complexes sont fréquemment rencontrées dans divers domaines. Le développement
d'éléments finis simples et efficaces pour l'analyse de ces structures est un axe majeur de la recherche
scientifique en mécanique des solides. Néanmoins, des problèmes sont souvent rencontrés, rendant difficile
l'atteinte des objectifs assignés. De nombreux éléments finis sont développés pour résoudre ces problèmes,
mais la plupart d'entre eux sont restés inefficaces dans l'analyse de configuration géométrique arbitraire. Les
éléments isopérimétriques sont les plus performants parmi ceux disponibles dans la littérature en raison de leur
capacité à modéliser avec succès des structures courbes. Seul le phénomène de blocage par cisaillement rend
ces éléments inadaptés à l'analyse des plaques à maillage déformé.
Malgré l'utilisation de techniques d'intégration réduite et de stabilisation des éléments finis afin de pallier ce
problème, les formulations développées ne convergent pas vers les solutions données par la théorie des
plaques minces et se heurtent souvent au problème de singularité de la matrice de rigidité.
Une brève revue de la littérature nous permet d'identifier, mais sans s'y limiter, quelques travaux récents de

ÿAuteur correspondant, Conférencier, E-mail : bet_himeur@yahoo.fr

aProfesseur adjoint
bProfesseur

Copyright © 2014 Techno-Press, Ltd.

http://www.techno-press.org/?journal=sem&subpage=8 ISSNÿ: 1225-4568 (imprimé), 1598-6217 (en ligne)
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794 Mohammed Himeur, Abdelaziz Benmarce et Mohamed Guenfoud

chercheurs pour résoudre ces problèmes :

• Développement d'un élément de plaque par (Barik et al. 2002) qui a les qualités d'un élément en termes de
capacité de modélisation isopérimétrique avec n'importe quelle taille de maille, et sans l'inconvénient du
phénomène de verrouillage de cisaillement.
• Les modifications apportées par Chinosi (2005) aux conditions aux limites pour les plaques de Reissner-
Mindlin ; empêcher les conditions aux limites libres pour résoudre le problème de convergence vers la solution
de référence pour les plaques de faible épaisseur.
• L'élément de coque triangulaire à six nœuds basé sur l'approche MITC développée par (Do Nyun et al.
2009) caractérisé par la qualité spatialement isotopique de l'élément et l'absence de modes d'énergie nulle.

L'objectif de cette recherche est la formulation d'éléments finis de coques basés sur « l'approche déformation
» dont le but est de surmonter ces difficultés d'une part, et la construction d'éléments finis de coques simples et
efficaces pour l'analyse de structures complexes, d'autre part. l'autre main. Pour ce faire, nous avons enrichi
notre approche des concepts et techniques de développement basés sur l'adoption de l'« approche déformation
», l'introduction d'un « quatrième nœud fictif », l'élimination du degré de liberté correspondant au « quatrième
nœud fictif ». » par condensation statique et l'utilisation de « l'intégration analytique » pour évaluer la matrice de
rigidité. Les premiers travaux (Himeur 2008) ont conduit à la construction d'éléments finis membranes triangulaires
qui peuvent être facilement combinés avec des éléments fléchis (dalles, poutres et coques).

Ce travail en cours s'inscrit dans la continuité de nos recherches qui portent cette fois-ci sur le développement
d'éléments triangulaires finis plats. Le nouvel élément fini triangulaire basé sur l'approche de déformation pour
la flexion de plaque avec effet de cisaillement transversal infléchi avec un quatrième nœud fictif est
l'aboutissement de ce travail mentionné ci-dessus. Nous l'appelons «Pep43». Cet élément est formulé en utilisant
l'approche de déformation. Les fonctions d'interpolation des champs de déformation c'est-à-dire les déplacements
et les contraintes sont développées en utilisant le triangle de Pascal. C'est un élément triangulaire auquel on a
ajouté un quatrième nœud fictif positionné à l'extérieur et à l'opposé du triangle. Cette position, à l'extérieur, est
donc choisie pour éviter la relaxation de la matrice de rigidité entraînant une surestimation des déplacements
nodaux. Les degrés de liberté correspondant au quatrième nœud sont alors éliminés par la condensation statique
de la matrice de rigidité au niveau élémentaire. Ainsi l'intérêt principal de ce nœud fictif réside dans
l'enrichissement du champ de déplacement (p raffinement c'est-à-dire : augmentation du degré de l'interpolation
polynomiale), ce qui conduit par conséquent à une plus grande précision dans l'approximation de la solution. Le
critère variationnel correspondant est celui de l'énergie potentielle totale. L'intégration analytique pour l'évaluation
de la matrice de rigidité est très intéressante pour éviter le phénomène de perte de convergence observé dans
les éléments isopérimétriques qui utilisent l'intégration numérique et sont très sensibles (leur convergence est
conditionnée par un maillage régulier -
non déformé). Cette formulation est basée sur les hypothèses de la théorie des plaques de Reissner-Mindlin.
Afin de valider le nouvel élément « Pep43 » , nous avons entrepris un ensemble de cas de test. Pour chaque
cas de test, le résultat est comparé, d'une part, à la solution de référence correspondante, et d'autre part, la
solution est donnée par certains éléments de plaque trouvés dans la littérature existante. Dans l'ensemble,
l'approche du présent développement a abouti à un élément fini plaque «Pep43» compétitif, robuste et efficace .
Cela se voit d'abord à travers son excellent rythme de convergence
vers la solution de référence, et d'autre part, par ses performances de comportement vis-à-vis d'autres éléments
de plaques triangulaires dans la littérature existante : DKT, HCT (Batoz et al. 1990), C° (Belytschko 1984),
ANST3 (Guenfoud 1990), ANST6 (Guenfoud 1990 ), TRUMP (Argyris et al. 1977) et SRI (Sabourin et al. 2000).
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Un nouvel élément fini basé sur l'approche en déformation avec effet de cisaillement transverse 795

z
Wi
ÿxi
ÿyi

ÿx (ÿy )

3 y
ÿy (-ÿx )
+ Quatrième nœud fictif
1
2
X

Fig. 1 Élément de plaque triangulaire avec w, ÿx, ÿy degrés de liberté à chaque nœud

2. Équation de base de la théorie des plaques de Reissner-Mindlin

2.1 Champ de déplacement

Sur la figure 1, les rotations autour des deux axes x et y sont notées ÿx et ÿy , et les pentes dans les deux
les directions sont définies par les variables ÿx et ÿy avec

ÿ X
ÿ
ÿ ÿ ÿÿ
ÿ
y y X
(1)

Soit l'élément de plaque Reissner-Mindlin illustré à la Fig. 1, soit le champ de déplacements en tout point du système de
coordonnées cartésien, donné par

w(x, y, z) ÿ w(x, y)

u(x, y, z) z (x, y) z (x,

ÿ Xy) ÿ ÿ
ÿ
y

v(x, y, z) z (x, y) z (x,

ÿ yy) ÿ ÿÿ
ÿ (2)
X

Le tenseur de déformation infinitésimal est donc

ÿ tu ÿÿ ÿv ÿÿ ÿ tu ÿv ÿÿ ÿÿ
y y
ÿ ÿ ÿ
z
X
ÿ ÿ ÿ
z ÿ ÿ
ÿ ÿ
z X
ÿ )
X y xy
ÿX ÿX ÿy ÿy ÿy ÿX (ÿ y ÿX

ÿ w ÿw
ÿ
ÿ
ÿ ÿ ÿ ÿ
ÿ ÿ (3)
xz X yz y
ÿX ÿy

Les courbures de flexion sont données par les équations

ÿÿ ÿÿ ÿÿ X ÿÿ
K ÿ X
K ÿ
y
K ÿ
() ÿ
y
(4)
X y xy
ÿX ÿy ÿ yx ÿ
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796 Mohammed Himeur, Abdelaziz Benmarce et Mohamed Guenfoud

2.2 Conditions de compatibilité cinématique

Les conditions de compatibilité cinématique ont été établies par St. Venant (1854) (Frey 1998).
Leur satisfaction est requise pour garantir l'unicité des déplacements. Les équations de compatibilité
sont développées comme suit
2
ÿ2 ÿ 2K ÿ 2K 2
ÿ ÿ ÿ ÿ ÿK ÿK ÿ 2ÿ ÿ 2ÿ ÿK ÿK
Kx ÿ y ÿ xy xz ÿ
yz
ÿ
xy
ÿ
2
X yz ÿ xz
ÿ xy ÿ
2 y
(5)
2 2 2 2
ÿy ÿX ÿ xy
ÿ ÿ xy
ÿ ÿX ÿX ÿy ÿ xy
ÿ ÿy ÿy ÿX
; ;

2.3 Loi de comportement

En état plan de contrainte et pour des matériaux isotropes, généralement acceptées comme hypothèse pour
le calcul de structures minces (poutres, plaques et coques), les équations de relation contrainte-déformation de
La théorie de Reissner-Mindlin est donnée par

ÿ 1 ÿ 0 0 0 ÿ
ÿ M ÿ ÿ
ÿ K ÿ
1 0 0 0
ÿ

X ÿ X
ÿ ÿ
ÿ

M
ÿ

(1
ÿ

ÿ )
ÿ

K
ÿ

y 3 ÿ
00 0 0 ÿ y
ÿ ÿ

Eh 2
ÿ ÿ

(6)
M .ÿ K
ÿ ÿ ÿ ÿ

ÿ xy ÿ
ÿ
.
ÿ ÿ

xy ÿ
2
ÿ 6k
12(1 )
ÿ

ÿ ÿ

JX 00 0 (1
ÿ

ÿ ) 0
ÿ
ÿ ÿ ÿ ÿ

2 xz
ÿ ÿ
ÿ

h ÿ

ÿ ÿ

J ÿ

6k ÿ

y ÿÿ yz ÿ
ÿ ÿ ÿ ÿ

ÿ ÿ 00 0 0 ÿ
(1 )
ÿ

ÿ ÿ

2
ÿ h ÿ

Où
- Mx , My , Mxy, Tx et Ty représentent les moments de flexion et de torsion, les efforts tranchants transversaux par
unité de longueur, respectivement.
- h, l'épaisseur de la plaque.
- k, le « facteur de cisaillement » généralement pris égal à k=5/6, sauf indication contraire.
- E, module de Young.
- ÿ, Coefficient de Poisson.

3. Formulation de l'élément "Pep43"

3.1 Fonction de forme

Pour les mouvements de corps rigides, les courbures de flexion sont liées à zéro

Kx ÿ 0 ; Ky ÿ 0 ; K 0 xy
ÿ; ÿ xz
ÿ0; ÿ yz
ÿ0; (7)

Mettre l'éq. (7) dans l'éq. (3) et éq. (4) et après intégration, les champs de déplacement peuvent être
obtenu comme suit

ÿ X
ÿ un
2 ÿ ansÿ à 3 W ÿ a - hache
1 2
-a 3y (8)

où a1 (flèche) du corps rigide le long de la normale (axe « z »), a2 et a3, sont des paramètres
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Un nouvel élément fini basé sur l'approche en déformation avec effet de cisaillement transverse 797

représentant les rotations ÿx et ÿy du corps rigide autour des axes « y » et « x » respectivement.

Éq. (8) représente les mouvements des corps rigides. Le nouvel élément a quatre nœuds (voir Fig. 1) : trois
sommets auxquels un quatrième nœud fictif a été ajouté. Chaque nœud a trois degrés de liberté,
ainsi les champs de déplacement, formulés par l'utilisation de la déformation du modèle, ont 12 constantes
indépendantes (a1, ..., a12). Les trois premières constantes (a1, a2, a3) sont utilisées dans l'Eq. (8) pour représenter
les mouvements de corps rigides. Les neuf autres (a4 à a12) sont utilisés pour exprimer le déplacement dû à la
déformation de l'élément. Ils sont divisés en fonctions d'interpolation de déformation pour satisfaire Eq. (5) de la
compatibilité cinématique pour l'élasticité plane. Ainsi, les champs de déformation pour les modes supérieurs sont
dérivés du triangle de Pascal comme suit

y X
K ÿ ÿ ÿ aaya 8 9 10
X 4 5 9
;2
Ky ÿ aaxa
ÿ6 ÿ 7 10 ; K 2 xy ÿaÿÿ ;

2 2
ÿ xz ÿ a -11a y ; 7 ÿ ÿ a -a x yz
12 5 (9)

Mettre l'éq. (9) dans l'éq. (3) et éq. (4) et après intégration, on obtient les champs de déplacements
qui sont comme suit
2 2 2 2 2 2
X xy y xy xy xy xy X y
W unÿ ÿ 4
- une
5
- une
6
ÿ

une
7
ÿ

une
8
ÿ

une
9
ÿ

une
dix
ÿ

une
11
ÿ

une
12
2 2 2 2 2 4 4 2 2
2 2
(dix)
y y xy y une
11
ÿ X
ÿ ÿ
axa ÿ
4 xy a 5
ÿ

7
ÿ un 8 ÿ un ÿ un dix ÿ
2 92 2 4 2
2 2
X X X xy une
12
ÿ
ÿÿ
une
5
ÿ ÿ ÿ 6aya xy a7 8
ÿ un 9 ÿ un dix ÿ
y
2 2 4 2 2

Le champ de déplacements final est obtenu en substituant Eq. (8) à l'éq. (dix)
2 2 2 2 2 2
X xy y xy xy xy xy X y
ÿ
- une 5 - une 6
ÿ ÿ ÿ ÿ ÿ ÿ ÿ

W a - hache
1 - aya
2 3 4 une
7 une
8 une
9 une
dix une
11 une
12
2 2 2 2 2 4 4 2 2
2 2 (11)
y y xy y une
11
ÿ X
ÿ
aaxa
2
ÿ
xy 4a ÿ 5
ÿ

7
ÿ un 8 ÿ un ÿ un dix ÿ
2 92 2 4 2
2 2
X X X xy une
12
ÿ
ÿÿ
aa3 5 ÿ ÿ ÿ 6aya xy a7 8
ÿ un 9 ÿ un dix ÿ
y
2 2 4 2 2

Le champ de déplacement donné par l'Eq. (11) peut être sous forme matricielle comme suit
ÿ W(x, y) ÿ

(12)
ÿ ÿ

ÿ ÿ (x,
X
y) ÿ
ÿ
ÿf(x,ÿÿy) iÿ
. une

ÿ ÿ

ÿ ÿ (x,
y
y) ÿ

J
avec, ÿ ÿune ÿ une , une1 , une
je 2 3,4une
5 , une , une , 6une
7 8 ,9une , une , une10
, une , une
11 12

2 2 2 2 2 2
ÿ X xyy xy xyxyxy xy ÿ
1 ÿÿÿ

xy
ÿ ÿ ÿ ÿ ÿ ÿ ÿÿ

2 2 2 2 2 4 4 2 2 ÿ

ÿ
2 2
1
ÿ

(13)
ÿÿ
01ÿ 0 X 0 y y xy y 0
f(x, y) ÿ
xy
ÿ
ÿ ÿ

2 2 2 4 2 ÿ

2
ÿ
2x _ X X xy 1 ÿ

00 1 0 ÿ

y xy 0
2 2 4 2 2 ÿ
ÿ ÿ

ÿ
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798 Mohammed Himeur, Abdelaziz Benmarce et Mohamed Guenfoud

Connaissant les coordonnées nodales (xi , yi) correspondant aux nœuds j (j = 1... 4) et appliquant les
Éq. (12), le vecteur des déplacements nodaux au niveau élémentaire est donné comme suit

ÿ ÿ f(x ,1y ÿ 1
ÿÿÿ

ÿ ÿ f(x , y ÿ
ÿ
ÿ ÿÿ f(x
ÿ f(x
,2y, ÿy
ÿq ÿ e ÿ 2

ÿ
ÿÿ
. ÿunejeÿ (14)
3 3 ÿ

ÿ
ÿÿ
4 4

e J
avec, ÿ ÿq ÿ W ,ÿ ,ÿ ,W ,ÿ ,ÿ ,W
1 x1 y1 2 ,ÿ ,ÿ ,W ,ÿ3 ,ÿx3
x2 y2 y3 4 x4 y4

ÿ f(x1 , y 1 ÿ
ÿ f(x2 ,2 y ÿÿ ÿ ÿÿ est la matrice des coordonnées nodales. Le développement de cette matrice est montré dans le ÿ ÿ ÿ ÿ ÿ
ÿUNEÿ ÿ
ÿ

ÿÿÿÿ ÿ ÿ f(x3, y ÿ ÿ 3

f(x ,4 y4

appendice.
De l'éq. (14), la valeur des paramètres « ai » peut être déduite et est donnée par

ÿÿ ai [A]1 ÿeq ÿ
ÿ

ÿ
(15)

En remplaçant l'éq. (15) dans l'éq. (12), on obtient la relation suivante

ÿÿW(x, y) ÿ
ÿ ÿ ( , ) ÿ xy
-1
ÿ
ÿ (x,X
y) ÿ ÿ
ÿ
e ÿ ÿ f(x, y) .[A]ÿ. ÿq (16)
ÿ
y

[N] ÿ ÿÿ
ÿ1
f(x, y) [A] représente la matrice des fonctions d'interpolation Ni.
Mettre l'éq. (12) dans l'éq. (3) et éq. (4), la relation déformation-déplacement prend la forme développée
suivante

y ÿ000ÿÿ
ÿ
ÿ0001ÿÿÿ y 000
Kÿÿÿ
X ÿÿ
000001ÿÿ 2
ÿÿÿÿÿ
K 00000001 X
y ÿ00ÿ
ÿ ÿ0ÿ000000000 ÿ X 00
K ÿ ÿ jeÿ ÿ ÿÿQ(x,
une
ÿ jeÿ 2y) une (17)
xy ÿÿ

ÿÿ
y ÿ ÿ 0 ÿ0 00 00 xy
0 0ÿ 10 ÿ0 0 1 0
ÿ xz 2
ÿÿ ÿ

ÿ yz ÿ

2x _

Ainsi, la matrice de déformation [Q(x, y)] est donnée comme suit

0001 000 y 000

y
2
X
ÿÿÿÿ000001ÿÿ X 00 ÿÿÿ
ÿÿ
Q(x, y) ÿ
0000000ÿÿÿÿ0 2 (18)
000 1 xy ÿ00
2
000000 ÿ

y 00010
ÿ

2x _ ÿ00ÿÿÿÿ0000001ÿ
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Un nouvel élément fini basé sur l'approche en déformation avec effet de cisaillement transverse 799

3.2 Matrice de rigidité élémentaire

Le travail virtuel interne pour un élément élémentaire discrédité est donné par l'expression

ÿ ÿ ÿWint
e
ÿ ÿ ÿ ÿÿ ÿÿJdv
ÿÿ e
(19)
Ve

Sachant que
ÿÿÿÿÿN' ÿÿ
ÿ
ÿ ÿ y) [A] q1ÿ eÿ
q eQ(x, ÿ
ÿ

(20)
Et

ÿÿÿÿ ÿDÿÿÿÿ (21)

et en remplaçant dans l'Eq. (19) {ÿ} et {ÿ} par des valeurs données respectivement dans les Eqs. (20) et (21) donnent

ÿ ÿWÿ ÿÿ q
ÿ ÿ ÿ ÿQ(x, y) . ÿT-1ÿ
e e J
ÿÿ. Q(x, y) .ÿÿUn-1qÿÿeÿDVe
ÿJ ÿ. RÉ
entier
UNE
(22)
e
V

Ainsi, la matrice de rigidité élémentaire dérivée de l'expression (22) est la suivante

J
ÿ KQ(x,
ÿ e
y) .
ÿÿÿ
ÿ
T-1ÿ
UNE ÿ .ÿréÿÿ. Q(x, y) .ÿÿ Un-1DV
ÿ e
(23)
e
V

L'éq. (23) peut s'écrire

-1 J J -1 -1 J
ÿÿÿKAQ(x,
ÿ ÿe
ÿ y) . ÿ ÿré . Q(x, y) dv AA
ÿ ÿ
ÿ ÿ
e
ÿ ÿ ÿ ÿ ÿ .ÿK 0 ÿÿ. UNE ÿ -1
(24)
Ve

L'évaluation de l'expression ÿ ÿ K0 est déterminée par intégration analytique des différentes

J
composantes du produit matriciel résultant ÿQ(x, y)ÿ .ÿDÿ.ÿQ(x, y)ÿ
dont les expressions prennent la forme
ÿÿ ÿÿ .
la ÿÿmatrice [Ko] est évaluée par intégration analytique des valeurs ÿÿ Hÿÿ
H _ÿ ÿÿ ÿ C..x
C..x .y
.y . Ainsi
xy xy
Enfin, la matrice de rigidité élémentaire, à considérer lors de l'assemblage et de la construction de la matrice
de rigidité globale de la structure, est obtenue après condensation de la matrice [Ke ]. La condensation statique
est liée au degré de liberté du quatrième nœud fictif.

4. Validation de l'élément «Pep43»

4.1 Patch-tests

4.1.1 Modes rigides

Ce test est réalisé sur un seul élément. L'objectif principal de ce test est de vérifier la représentation des
mouvements de corps rigides, c'est-à-dire si un champ de déplacement non nul produit une déformation nulle.
Pour ce faire, trois vecteurs de déplacement correspondant respectivement à chacun des modes rigides ont été
définis
- {Uti} = {1 0 0ÿ; 1 0 0; 1 0 0} pour le mode rigide en translation,
- {Uxzi} = {-x1 1 0ÿ; -x2 1 0ÿ; -x3 1 0 pour le mode rigide de rotation « xz »,
- {Uyzi} = {-y1 0 1 ; -y2 0 1 ; -y3 0 1} pour le mode de rotation rigide « yz ».
Puis on vérifie pour chacun des vecteurs définis ci-dessus l'équation suivante
[K]{UI}= {0} (25)
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800 Mohammed Himeur, Abdelaziz Benmarce et Mohamed Guenfoud

(10,13) (10,13)

2b 2b

2a 2a

(a) Contraintes définies par M n ÿ1 (b) Contraintes définies par M ns ÿ1

Fig. 2 Contraintes sur le contour reflétant l'état de contrainte constant

0 0 0 0
-b b -une -une
3 4 3 4
-une -une b -b

Mx=Ma=1 2b Mxy=1 2b

0 2a 0 0 2a 0
-b 1 2 b une
1 2 une

une une b -b

(a) Premier essai (b) Deuxième essai

Fig. 3 Forces équivalentes du nœud

Les résultats montrent que pour cet élément il existe une bonne représentation des mouvements de corps
rigides, puisque la condition ci-dessus est satisfaite quelle que soit la géométrie de l'élément.

4.1.2 Patch-test mécanique Dans

ce test, un assemblage de quatre éléments triangulaires sur un domaine rectangulaire ayant des côtés de 2a=40
unités et 2b=20 unités. On impose sur le contour de ce domaine des contraintes reflétant l'état des moments (ou
contraintes) constants.
Dans le premier test, les contraintes sur le contour sont en accord avec le champ défini par M ÿ1 n ÿ1 (Voir
Fig. 2(a)) afin d'avoir M X
ÿ Ma _ partout (voir Fig. 3(a)).

Dans le second essai, les contraintes sur le contour sont en accord avec le champ défini par M ns ÿ1

(Voir Fig. 2(b)) afin d'avoir des épaisseurs xy ÿ1 partout (Voir Fig. 3(b)). Ces tests ont été faits pour
M variant de 0,01 à 4,0 unités.
Les autres données sont définies comme suit : E=1000 ; v = 0,3ÿ; h=0,01–0,04–1,0– 4,0ÿ; W1=W2=W3=0
Après calcul de la matrice de rigidité élémentaire, assemblage, en tenant compte des conditions aux limites et
de la résolution, les résultats (nœuds 5) sont donnés dans le tableau 1.
De ces résultats, on peut conclure que l'élément passe avec succès ce patch test.
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Un nouvel élément fini basé sur l'approche en déformation avec effet de cisaillement transverse 801

4.2 Poutre en porte-à-faux soumise à une charge ponctuelle à son extrémité libre

Ce test vérifie le comportement de l'élément en élément de flexion simple en fonction du rapport d'élancement (L/ h). A l'extrémité
libre, la poutre est soumise dans la direction « Oz » à une charge ponctuelle A d'intensité P = 0,1.

L'autre extrémité est simulée comme un ajustement parfait (voir Fig. 4).
Les données géométriques, mécaniques et de chargement sont données dans le tableau 2.
Pour voir l'influence du cisaillement transverse sur le comportement de ce nouvel élément, dans ce cas test, le déplacement "w"
du point "A" dans la direction de "Oz" pour plusieurs valeurs du rapport L/ h est simulé. La solution théorique du déplacement "w" du
point "A" dans la direction "Oz" est donnée comme suit, avec k =5/6ÿ:

3 2
4Pl ÿ 1 ÿh ÿ ÿ (26)
w t
ÿ
1ÿ
3 ÿ ÿ ÿ ÿ

Eb 2k ÿ je
ÿ ÿ
ÿ
ÿ ÿ

Les résultats de la simulation point « A » dans la direction « Oz » sont donnés dans le Tableau 3 et la Fig. 5.
Les résultats obtenus (Voir Tableau 3.) montrent l'absence totale du phénomène de blocage par cisaillement transverse, puisque
les déplacements obtenus sont issus des solutions théoriques quel que soit l'élancement (rapport l/h). Il peut également être vu de la
fig. 5 la robustesse du nouvel élément présent

Tableau 1 Résultats du patch test "mécanique" de l'élément de type Reissner-Mindlin

Épaisseur h=0.01 h=0.04 h=1.0 h=4.0

M -1 -1 -1 -1
M X
ÿ Ma _ ÿ1 x (noeud 05)

M y (noeud 05) 1 1 1 1

M xy ÿ1 M xy (noeud 05) -1 -1 -1 -1

z
P

UNE b
y
je

Fig. 4 Poutre en porte-à-faux soumise à une charge ponctuelle

Tableau 2 Données pour la poutre en porte-à-faux en flexion simple

Longueur L=10m
Largeur b=1m
Épaisseur h=0.1 à 10m

Module d'Young E=1.2×106N/m²

Coefficient de Poisson v=0

Chargement P=0,1N
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802 Mohammed Himeur, Abdelaziz Benmarce et Mohamed Guenfoud

Tableau 3 Déplacement du point A le long de l'axe "Oz" des poutres en porte-à-faux en flexion simple

L/h DSTM ANST6 DKTM Pep43 Solution théorique

1 5.1×10-7 5.3×10-7 3.1×10-7 5.30×10-7 5.3×10-7
2 2,9 × 10-6 3.0×10-6 2.5×10-6 3.05×10-6 3.1×10-6
3 9.0×10-6 9.6×10-6 8.4×10-6 9.53×10-6 9.6×10-6
4 2.0×10-5 2,2×10-5 2.0×10-5 2.19×10-5 2,2×10-5
5 4.0×10-5 4.2×10-5 3,9 × 10-5 4.23×10-5 4.3×10-5
dix - - - 3.3×10-4 3.3×10-4
100 0,31329 - 0,31327 0,3300 0,3333

0,0
Pep43
-2,0 ANST6
-4,0

-6,0 DSTM

-8,0

-10,0

-12,0
DKTM
-14,0

-16,0

-18,0
DSTM ANST6 DKTM Pep43
-20,0

-22,0

-24,0

-26,0

-28,0

-30,0
1 2 3 4 5 100
Rapport L/h

Fig. 5 Erreurs relatives de déplacement « W » au point A en flexion pure

C B

y
F
P L

ré UNE

L
X

Fig. 6 Torsion de la plaque carrée

par rapport aux éléments existants dans la littérature. A noter que sa convergence vers la
solution est obtenue avec un maillage de vingt (20) éléments.
Machine Translated by Google

Un nouvel élément fini basé sur l'approche en déformation avec effet de cisaillement transverse 803

4.3 Torsion d'une plaque carrée

La plaque de la Fig. 6 est simplement appuyée (W=0) aux coins B, C et D. Une force transversale est appliquée au coin
A.
Les données géométriques, mécaniques et de chargement sont données dans le tableau 4.
Ce problème a été traité par Batoz et al. (1980), Clough et Tocher (1965) et Teodorecu (1982) afin d'analyser d'autres
éléments finis, est pris en compte dans l'évaluation portante du nouvel élément dans un état de torsion constant. La solution
exacte obtenue par la théorie des plaques (théorie mince) est donnée ci-dessous

WA (coin A) 0,2496
WF (centre de la plaque F) 0,0624
MX (tout au long) 0.0
MON (tout au long) 0.0
MXY (centre de la plaque F) 2.5
Les résultats de déplacement et les moments obtenus dans le cas du nouvel élément Pep43, sont comparés à d'autres
éléments de l'auteur sont donnés dans le tableau 5.

Dans ce test, les résultats obtenus avec k=105 , montrer que le nouvel élément est robuste.

4.4 Plaque carrée isotrope

Cet exemple a été repris par de nombreux auteurs dans la littérature notamment (Batoz et al. 1990).
C'est une plaque carrée isotrope de côté a et d'épaisseur h. Dans ce travail, plusieurs scénarios basés sur les conditions
aux limites de la plaque et le type de chargement ont été simulés. Il s'agit d'étudier le comportement de l'élément neuf
présent, avec différents maillages et rapports a/h. Les déplacements obtenus au centre de la plaque (Point C) sont comparés
aux solutions de référence, comme indiqué dans les tableaux 6-7-8-9. Les tendances de convergence sont illustrées pour
différents scénarios dans les figs 8-9-10-11.

Tableau 4 Données pour une plaque carrée torsadée

Longueur du côté L= 8,0

Épaisseur h= 1,0
Module d'Young E=10000
Coefficient de Poisson v = 0,3
Chargement P= 5

Tableau 5 Résultats de simulation de torsion d'une plaque carrée

Déviation "W" à Des moments
Type d'élément
Point A Point F MX et MY MXY
Pep43 (2×2) 0,24960 2,5 0,06240 0,0
SBRP (2×2) 0,24960 2,5 0,06240 0,0
DKT 0,24960 2,5 0,06240 0,0
HSM 0,24960 2,5 0,06240 0,0
HCT (8×8) 0,25002 2,5 0,06254 0,0
MCA (8×8) 0,24972 2,5 0,06244 0,0
Solution exacte (théorie mince) 0,24960 2,5 0,06240 0,0
Machine Translated by Google

804 Mohammed Himeur, Abdelaziz Benmarce et Mohamed Guenfoud

y
une
C

une

Fig. 7 Plaque carrée isotrope

1,1

1,0

0,9

0,8

0,7

0,6

0,5

0,4

0,3
a/h=10 a/h=100 réf,

0,2

0,1

0,0
0 246 8 10 12 14 16 18 20 22 24 26 28 30 32 34
Nombre de mailles par côté

Fig. 8 Rapport de déplacement "Wc / Wref." au point C - plaque carrée isotrope, simplement appuyée sur les quatre côtés

4.4.1 Plaque carrée isotrope sollicitée par une charge uniformément répartie

Tableau 6 déplacement (= 100WD/qa4 ) sur des plaques carrées isotropes au point C , simplement appuyées sur les quatre
2
côtés, avec D=Eh3 / 12(1ÿv
)
a/h=10 a/h=100
R4 SBRP SBH8 Pep43 R4 SBRP SBH8 Pep43
2×2 0,23169 0,35869 0,35935 0,03583 0,00446 0,06733 0,08817 0,0004
4×4 0,36519 0,43106 0,43161 0,25869 0,01727 0,31151 0,31235 0,0505
8×8 0,43142 0,45245 0,45299 0,40000 0,06128 0,39616 0,39628 0,2369
16×16 - - - 0,43752 - - - 0,3928
32×32 - - - 0,46137 - - - 0,4054
réf 0,46169 0,4062
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Un nouvel élément fini basé sur l'approche en déformation avec effet de cisaillement transverse 805

1,1

1,0

0,9

0,8

0,7

0,6

0,5

0,4

0,3
a/h=10 a/h=100 réf,

0,2

0,1

0,0
0 246 8 10 12 14 16 18 20 22 24 26 28 30 32 34
Nombre de mailles par côté

Fig. 9 Rapport de déplacement "Wc / Wref." au point C - plaque carrée isotrope encastrée sur ses quatre côtés

Tableau 7 Déplacement (= 100WD/qa4 ) sur des plaques carrées isotropes au point C , encastrées sur ses quatre côtés, avec
2
D=Eh3 / 12(1ÿv )
a/h=10 a/h=100
R4 SBRP SBH8 Pep43 R4 SBRP SBH8 Pep43
2×2 0,06989 0,09032 0,09089 0,02377 0,00101 0,00270 0,00273 0,0002
4×4 0,11518 0,13836 0,13871 0,08323 0,00367 0,05584 0,056235 0,0031
8×8 0,13954 0,14757 0,14789 0,13700 0,01322 0,11789 0,11797 0,0483
16×16 - - - 0,14758 - - - 0,1186
32×32 - - - 0,15030 - - - 0,1254
Réf. 0,15046 0,126

4.4.2 Plaque carrée isotrope sollicitée par une charge ponctuelle appliquée en son centre

Tableau 8 Déplacement (= 100WD/Pa2 ) sur des plaques carrées isotropes au point C , simplement appuyées sur les quatre
2
)
côtés, avec D=Eh3 / 12(1ÿv
a/h=10 a/h=100
R4 SBRP SBH8 Pep43 R4 SBRP SBH8 Pep43
2×2 0,73584 1,06060 1,06336 0,143308 0,01342 0,18284 0,25566 0,001504
4×4 1.12951 1.29855 1,30142 0,803125 0,04846 0,84496 0,85630 0,193668
8×8 1.34606 1,39877 1,40198 1,213846 0,16901 1.11641 1,11674 0,716010
16×16 - - - 1.312500 - - - 1.085048
32×32 - - - 1.414375 - - - 1.111154
réf 1.44267 1.16
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806 Mohammed Himeur, Abdelaziz Benmarce et Mohamed Guenfoud

1,1

1,0

0,9

0,8

0,7

0,6

0,5

0,4

0,3
a/h=10 a/h=100 réf,

0,2

0,1

0,0
0 2 4 6 8 dix 12 14 16 18 20 22 24 26 28 30 32 34
Nombre de mailles par côté

Fig. 10 Rapport de déplacement "Wc / Wref." au point C - plaque carrée isotrope, simplement appuyée sur les
quatre côtés

1,1

1,0

0,9

0,8

0,7

0,6

0,5

0,4

0,3
a/h=10 a/h=100 réf,

0,2

0,1

0,0
0 246 8 10 12 14 16 18 20 22 24 26 28 30 32 34
Nombre de mailles par côté

Fig. 11 Rapport de déplacement "Wc / Wref." au point C - plaque carrée isotrope encastrée sur ses quatre côtés

4.5 Plaque circulaire

Cet exemple a été utilisé par de nombreux auteurs dans la littérature notamment (Batoz et al. 1990).
Dans ce travail, plusieurs scénarios basés sur les conditions aux limites de la plaque sous chargement
uniforme f, ont été simulés. Dans cette étude, nous avons considéré trois maillages, à savoir 4, 16 et 58
(Fig. 12). Chaque plaque circulaire a un rayon r =5 et une épaisseur h = 0,5, un coefficient de Poisson ÿ = 0,36.
Les déplacements obtenus au centre de la plaque (Point C) ont été comparés aux
Machine Translated by Google

Un nouvel élément fini basé sur l'approche en déformation avec effet de cisaillement transverse 807

Tableau 9 Déplacement (= 100WD/Pa2 ) sur des plaques carrées isotropes au point C , encastrées sur ses quatre côtés, avec
2
D=Eh3 / 12(1ÿv )
a/h=10 a/h=100
R4 SBRP SBH8 Pep43 R4 SBRP SBH8 Pep43
2×2 0,32949 0,39200 0,39486 0,095096 0,00458 0,01064 0,01078 0,000951
4×4 0,57104 0,65236 0,65482 0,360851 0,01690 0,24039 0,24204 0,013793
8×8 0,71499 0,74211 0,74492 0,630240 0,06043 0,51183 0,51216 0,229216
16×16 - - - 0,719231 - - - 0,504663
32×32 - - - 0,806587 - - - 0,525096
Réf. 0,77775 0,56

Fig. 12 Plaque circulaire

1,0

0,9

0,8

0,7

0,6

0,5

0,4

0,3
Série1
Côté serré
0,2
appuyé
Côté soutenu
e
0,1

Nombre de mailles
0,0
0 dix 20 30 40 50 60 70

Fig. 13 Rapport de déplacement "Wc / Wref." sur le point C - plaque circulaire

solutions de référence (Batoz et al. 1990). Dans ce cas, un rapport (wc / wref) a été utilisé comme critère de
comparaison.
Les tendances de convergence sont illustrées pour le côté serré et soutenu à la Fig. 13.
Pour plaque supportée, la solution de référence est
4
en ÿ5 ÿ ÿ ÿ
w ÿ
ÿ
ÿ ÿ ÿ
(27)
réf 64D ÿ 1 ÿ ÿ ÿ
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808 Mohammed Himeur, Abdelaziz Benmarce et Mohamed Guenfoud

Pour une plaque serrée, la solution de référence est

4
w en
ÿ
ÿ1ÿ ÿÿ (28)
réf 64D
3
2
16 ÿhÿ 1 Eh
Avec ÿ ÿ
ÿ ÿ
et ré ÿ

5 ÿr ÿ 1 ÿ

ÿ 12ÿ1- ÿ ÿ2

5. Conclusions

Dans ce travail, nous avons présenté un nouvel élément fini de flexion triangulaire dans la perspective de
l'analyse statique et dynamique linéaire, également pour l'analyse géométrique non linéaire des structures
courbes (voûte et coque). L'approche adoptée et l'évolution des concepts et des techniques utilisées ont permis
d'aboutir à un élément fini compétitif, robuste et performant pour le traitement des plaques minces et épaisses.
C'est un élément qui présente des avantages incontestables qui plaident en faveur de son utilisation. La
présence du nœud fictif et l'adoption de l'approche « déformation » ont permis d'enrichir les champs de
déplacement, et par conséquent, une plus grande précision dans l'approximation de la solution en
s'affranchissant de la complexité des théories classiques. La réduction des matrices de rigidité élémentaires
par le biais de la technique de « condensation statique », action liée aux degrés de liberté du nœud fictif, par
laquelle la résolution d'énormes systèmes d'équations peut être évitée, donc des gains de temps non
négligeables sont enregistrés. L'utilisation de l'intégration analytique dans l'évaluation de la matrice de rigidité,
a donné à ce nouvel élément une position compétitive.
comportement. Ces résultats ont été remarquables dans les tests de convergence réalisés où une tendance
rapide vers la solution au contraire des éléments isopérimétriques (utilisant l'intégration numérique) a été
constatée. De plus, notre élément a passé avec succès les patch-tests liés à l'état de déformations constantes
(modes raides et modes constants). Par ailleurs, il a été constaté un manque du blocage lié au cisaillement
transversal.

Les références

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Un nouvel élément fini basé sur l'approche en déformation avec effet de cisaillement transverse 809

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810 Mohammed Himeur, Abdelaziz Benmarce et Mohamed Guenfoud

Annexe A.

Formulation de la matrice de rigidité au niveau élémentaire

ÿ0000 0 ÿ

0000 0
ÿ ÿ

ÿ ÿ

ÿ 0000 0 ÿ

ÿ ÿ

1000ÿ 0 ÿ1 ÿ 0 0 0 ÿ
ÿ ÿ y ÿ
0001 y 00 0000
X2 1 0 0
ÿ ÿ

y 000 ÿ

ÿ
ÿ ÿ

2 ÿ

ÿ ÿ

ÿ ÿ

0 (1
ÿ

ÿ ) ÿ

X ÿ

3
0100 0 ÿ
00 0 0 ÿ

000001ÿ X 00 00
Eh ÿ ÿ

2
ÿ ÿ

ÿK ÿ ÿ
ÿÿ 0 2 .
ÿ ÿ

. 2 .
dx dy
o
ÿ

X 0 ÿ

y 0 ÿ

6k
ÿ

12(1
ÿ

ÿ 2 ) 00000001 00
ÿ

000 ÿ

ÿ 0
ÿ

xy
(1 )
ÿ ÿ ÿ ÿ

y
h2
ÿ ÿ

ÿ
01 0 0 ÿ ÿ

000000ÿ ÿ 2
00010 ÿ

y
ÿ
2 ÿ
ÿ

6k ÿ

00 0 0 000ÿ 0 (1
ÿ

ÿ ) 2
X
ÿ0 0 0 0 X 0000001
ÿ ÿ ÿ

ÿ ÿ

h2
ÿ

ÿ
ÿ

X ÿ
ÿ ÿ

0 y 0 0
2
ÿ ÿ

0001 0 ÿ

ÿ ÿ

ÿ0000
ÿ
1 ÿ ÿ

Appendice B.

Matrice de coordonnées nodales [A]

ÿ X 2 xy1
2
y
2
xy
2
xy xy1
2
xy1 1
2
X y ÿ
1 fois 1 1 1 11 11 1 1 1
y
ÿ ÿÿ ÿ ÿ ÿ ÿ ÿ ÿ ÿ ÿ

1 1 ÿ

2 2 2 2 2 4 4 2 2
ÿ ÿ

2 2
y y xy1 y 1
ÿ

01 0 0 1 1 1 1 0
ÿ

xy1 1
ÿ

x1
_
ÿ

2 2 2 4 2 ÿ

X 2 X 2 1
ÿ ÿ

X xy
00 1 0 1 1 1 11
0
xy1 1
ÿ

y1
ÿ ÿ

ÿ
2 2 4 2 2 ÿ

ÿ
X 2 xy2
2
y
2
xy2 2
2
xy2 2 xy2
2
xy2 2
2
X y ÿ

2 2 2 2 2 2
x2
y
ÿÿÿ ÿ ÿ ÿ ÿ ÿ ÿ ÿ ÿ

1
_
ÿ

2 ÿ

2 2 2 2 2 4 4 2 2
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y y xy2 2 y 1
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2 2 2 0
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X 2 X 2 1
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xy2 2
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2 2 4 2 2
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xy3 3 xy3
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y
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3
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2 2 2 2 2 4 4 2 2
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2 2
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_
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X 2 X 2
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3
xy3 3
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2
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2
xy4 4 xy4
2
xy4 4
2
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y
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_
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X 2 X 2
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xy4 4
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