Cours de Français
Cours de Français
Cours de Français
Chapitre 1
→ Se libérer du travail n’est pas vraiment une option pas sur que l’humanité
puisse ne pas travailler (a part avc les alloc)
→ Malgré tout, même si le travail est un moyen de la conquête de sa liberté, il
est certain que, sans effort, il n’y a pas de travail justement parce que le
travail c’est ce moment de la rencontre entre un individu et de l’autre côté une
réalité à façonner, à travailler.
☕
Est-ce que les tâches ménagères sont un travail contraint ou pas ? (le pneu prend la
parole) (Les femmes doivent faire le ménage )
2°) (WOMEN ☕ ) Cette activité prend du temps et mobilise une bonne somme
d’énergie physique intellectuelle et morale, le travail occupe une bonne partie de la
vie des individu. Mais une fois que l’on ne travaille plus, on est régi par le travail →
même les hobby sont des moment pr se soulager du travail ( temps libéré du travail
est utopie → pas nécessairement existant) est-ce qu’un temps libéré par le travail
c’est possible ? (c’était peut etre le cas en antiquité). Encore aujourd’hui le travail
nous constitue qu’on le veuille ou non. Le travail fait de nous ce que nous sommes.
Le travail est un cadre théorique et représentatif dans lequel on saisit notre concept de
travail.
Dans notre société, le travail détermine la place des indiv dans la société,
→ dans une certaine mesure, la question de se libérer du travail n’est pas tout à fait
dénuée de sens, on décentraliserait notre vie du travail
→ s’interroger sur le travail que prend le travail dans nos vies
→ Travailler n’est pas seulement une nécessité mais aussi une norme, qlq chose qui
structure, qui organise notre vie, (le travail est un fait social selon les psychologues)
→ Le mot travail s’explique à travers des couches de signification différentes que les
derniers siècles ont déposées mais dont nous avons oublié le caractère historique.
C’est la raison pour laquelle nous voyons le travail comme une vérité.
ce que nous désignons par le travail conçu comme un singulier, il y a DU travail, n’a pas
toujours existé (pas la même notion) et pas toujours une le fondement d’une construction
sociale
(Clique ici)
Un mot est une unité de sens, un groupe de lettres attachées qui ont un sens ou une
signification.
Les” l’ “ “ n’ “ “y” comptent pour un mot, “l’ = le ou la sans la voyelle,
→ il n’aime pas les résumés = 6 mots ;
→ j’ai mangé = 3 mots ;
→ c’est vrai = 3 mots
Les lettres euphoniques sont des lettres sans sens pour simplifier la prononciation. exemple,
t ou l’
si l’on veut, l’ pas compté, viendra-t-il = 2 mots, le t n’est pas compté
Prochaine copie :
L’ l’ l’ l’ l’ l’ l’ l’ l’ l’ l’ l’ l’ l’ l ‘l’ l’ l’ l’ l ‘ = 0 mot ptdr c faisable
Le travail transforme la nature, mais il transforme aussi l’homme qui s’affirme dans cette
activité proprement humaine.
→ Concevant l’objet de son travail avant de le réaliser, contrairement à l’animal, il y
soumet en effet ses efforts à sa volonté.
→ C’est sur la terre que s’exerce primitivement cette activité, elle fournit au
travailleur des ressources, et par la médiation de son travail, des matières
premières.
D’autre part, le travailleur fait agir les forces et les produits que son activité dégage,
et se les approprie, eux-mêmes parfois résultats de son travail, comme le sont les
outils, ces moyens distinguent aussi les époques historiques.
Chapitre d’introduction n° 2 :
Le travail est devenu l'élément principal de structuration social (aux alentours du 18e-19e
siècle)
- 18e siècle : production de richesses
- -1er 19e siècle : le travail evidence ?? de l‘Homme
- -2ème 19e siècle : le travail, système de distribution des revenus, des droits et
des protections
≠
Société non fondées sur le travail :
Exemple n°1 : Les sociétés précapitalistes
Exemple n°2 : Grèce Antique
Exemple n°3 : de la fin de l’Empire Romain jusqu’à la renaissance
Ces sociétés ont grandement disparu mais ont pu être observées durant le XXe siècle
Il n’y a pas de mot unique pour nommer le travail.
Dans ces sociétés, le temps consacré à ces activités de production se révèle relativement
faible par comparaison à nos sociétés, parce qu’on ne travaille pas au-delà des besoins, qui
sont réduits et donc rapidement satisfaits. On passe plus de temps à communiquer qu’à
produire. L’idée de besoins illimités est inexistante, contrairement à nos sociétés dans
lesquelles il est nécessaire de les satisfaire. De même pour l’idée de valeur.
Ce que ces sociétés n’ont pas, c’est l’idée d’accumulation ou de production supérieure à
celle qui est nécessaire à la satisfaction des besoins.
Dans ces sociétés, l’activité de production n’est jamais exercée à titre individuel, pour des
motivations purement individuelles, contrairement aux sociétés contemporaines.
LE COLLECTIF
LE TRAVAIL EN ÉQUIPE, mais faut changer de boulot tous les 3 ans pour réussir (primes =
concurrence = individualité)
b) ex n° 2 : La grèce Antique :
Ils n’ont pas construit de société sur le travail car ne voulaient pas de ce modèle.
Il n’existe pas qu’un seul mot pour qualifier le travail et il est interdit de dire que le travail est
une fonction unique, *ponos et *ergon (c’est du grec).
→ Ponos, c’est l’ensemble des activités pénibles qui demandent un effort, et qui nécessitent
un contact avec les éléments matériels.
→ Ergon est l’imposition d’une forme à une matière.
(Ex : ergonomique…)
Ponos = esclave
Ergon = artisanale
La hiérarchie des activités s’ordonne selon le plus ou moins grand degré de dépendance
envers les autres humains. En bas de l’échelle, les activités des esclaves (avec ou sans
qualification, ils peuvent être concepteur, régisseur… Mais il ne s’appartient pas à lui-même,
il est l’homme d’un autre et ne dispose pas de son temps comme il le souhaite, soumis au
travail, il ne se possède pas lui même)*
Puis les artisans et les mendiants, qui ont en commun de ne vivre que de la bonne volonté
d’autrui (commande ou rétribution d’autrui)
Activités commerciales (Hommes libres, citoyens), dont les acteurs y passaient la plus
grande partie de leur temps car c’est un moyen d’enrichissement. Aristote critiquait ces
activités. Toutes ces activités ne sont pas méprisées en elles-mêmes, mais plutôt par
rapport au temps qu’elles prennent.
L’homme laborieux accomplit son labeur en vue de quelque fin qu’il ne possède pas, mais le
bonheur est une fin qui ne s’accompagne pas de peine, mais de plaisir.
On ne sait pas si c’est le travail qui est valorisé ou le soin apporté à la terre. C’est ma terre
ou je m’assoie on n’y touche pas comme disait Christophe Maë. ( C’est mes frères autour de
moi)(Ayayayaya)
De l’antiquité à la renaissance, chez les moines, dans la pratique monastique, les moines
travaillent ⅓ de la journée, passent ⅓ de la journée à prier (travail intellectuel)
(Il ne travaille qu’⅓ ces chômeurs là à prier des trucs alors qu’ils pourraient faire des
mathématiques là )
Tout au long du Moyen-Âge, le travail n’est pas considéré ni comme un ajout de valeur ni
comme une contribution à l’utilité générale. Le travail n’est donc pas l’élément central de la
vie courante, ni de la société. Le travail n’est pas le moyen de renverser l'échelon social (
contrairement à la société actuelle.). Le travail n’est créateur de rien, et pourtant à la fin du
moyen âge (différence = le christianisme). En effet, ce qui structure la société de l’époque
est la croyance et cette religion qui reconnaît sa place au travail. Dès l’ancien testament, on
trouve le travail dans la bible (Adam et Eve chassés du paradis “tu travailleras à la sueur de
ton front”) ou avec la création du monde (dieu se reposa le 7e jour).
On a donc ici une religion dans laquelle le travail a une place importante.
La condition d’Adam est définie par le travail : le sol sera maudit à cause de toi, c’est
à force de peine que tu en tireras ta nourriture tous les jours de ta vie.
La Bible ne dit pas du tout que l’homme est condamné au travail comme une punition, mais
comme une peine, un coût (Dieu créa l’homme et le mit dans le jardin afin qu’il le garde et le
conserve). Le travail n’est pas une punition, il est même l’instrument possible d’une
rédemption.
Les hommes du Moyen-Âge ont sous les yeux l’empire romain qui s’est effondré.
Il y a partout des traces visibles de cet empire, et pour le reste, la nature est friche, les
routes ne sont qu'à moitié praticables, et donc vient l’idée que par la faute des hommes, le
désordre s’est imposé dans le monde = le diable, Satan.
Et donc le travail peut même s’assimiler comme une lutte contre les forces du mal,
pour lutter contre Satan, et donc on assiste progressivement à une revalorisation du travail,
car c’est l’instrument possible de notre rédemption.
Dans les villes du XIIIe, XIVe, XVe siècle, on y trouve des gens qui vivent de leur
travail, cette culture urbaine va être un pas décisif vers la nouvelle représentation du travail
(ex: Églises avec vitraux représentant hommes au travail, Joseph = représentation du travail
de l’homme).
Depuis la Réforme, on voit une nouvelle vision du travail, le vrai temps est un temps
auquel on se consacre à une autre activité qu’au travail.
Le premier qui va valoriser le travail pour lui même c’est Luther, il fait sécession de
l’église avec une communauté de croyant assez présente, à cause du refus d’une
communauté de croyants allemands de payer à Rome un impôt (les indulgences le truc qui
même si tu butes ton frère tu vas au paradis avec).
Impôts qui devaient servir à rétablir, revitaliser Rome, payer les travaux de
rénovation. Luther fait une critique assez radicale du régime religieux chrétien, pour revenir
à l'origine, aux sources. Jésus et les siens sont des gros bosseurs, des gens du peuple qui
ne sont pas des chômeurs, il va donc y avoir une grande revalorisation du travail, qu’il va
mettre en avant à travers sa retraduction de la bible. Il faut mettre le texte à disposition du
commun des mortels, genre la plèbe. Il va donc traduire la Bible en allemand (ce n’est donc
pas un livre d’image type “Les animaux de la ferme”).
Luther traduit la bible avec un travail de lexique, il va unifier la langue, ce qui créera
l’allemand. Il y avait deux termes assez proches dans l’allemand de cette époque, le terme
de BERUF qui veut dire métier et BERUFUNG qui veut dire vocation.
Si un homme est vailleux dans son métier il pourra se présenter devant les Rois.
C’est pour chacun qu’il doit accomplir les devoirs qu’il lui incombe, le travail rend selon qui
l’accomplit devient l’égal d’un roi. La réussite est vue comme une chance divine.
On va enfin réunir sous un terme unique le travail des activités que l’on distinguait
précédemment et que l’on n’aurait même pas souhaité le rapprochement.
précède
C’est l'invention d’un terme unique de travail permettant de ranger ce que l’on ne
pouvait pas avant. Catégorie unique du travail qui lie entre elles plein de trucs différents.
Ce sont des sociétés fondées sur le travail qui apparaissent au XVIIIe, et au XIXe.
Elle trouve dans le travail leur élément fondamental de structuration. Transformation qui
s’est fait en plusieurs étapes, la valorisation du travail ce n’est pas une mais des valo,
encore aujourd'hui avec travail on sait pas de quoi on parle
On dit que le travail permet d’avoir une place et un salaire.
A l’époque de la philosophie des lumières, c’est le 18e qui a su réunir sous un concept
unique des activités uniques que l’on distinguait.
Il va falloir inventer un concept de travail pour tout lier donc bam là y a le XVIIIe qui le fait
Merci à Adam SMITH, le fondateur de la théorie libérale, c’est un écossais, il vient d’une
région-pays d’où viennent les Lumières anglaises. Pour la plupart des universitaires.
Adam est un prof de morale, philosophe qui est intéressé par l’idée que l’on peut agir
moralement sans agir sous des préceptes des commandements ou des lois, on agit selon
des sentiments moraux. Mais comment est-ce possible que cela existe ? Bah je sais pas
Il étudie l’origine des sentiments moraux.
Le trouble très très profond, après 30 ans résolution du conflit, ça a ken un max pour se
réconcilier pendant un demi siècle
De nouveaux idéaux vont s’imposer ainsi que le développement économique qui devient un
idéal de paix et de développement social.
pk ça ????
->Ainsi vient Adam, il s’interroge sur les raisons de l’homme de souhaiter le bien de
l’homme sans l’exprimer, un peu comme un collégien $
égoïsme vertueux
Pour lui, seule l'efficacité du marché permet la satisfaction du plus grand nombre. Bien que
moraliste, Adam Smith considère que l'égoïsme de chacun conduit par la satisfaction de son
intérêt à un équilibre. Autrement dit, "la recherche des intérêts particuliers aboutit à l'intérêt
général".
L’enrichissement qui profitent à des riches, fini par entraîner l’enrichissement des
pauvres globalement et de la société
Le travail est une unité de mesure de la valeur ajoutée
Le travail est un cadre théorique d'homogénéisation des efforts, les efforts peuvent être
traduits par données de mesure.
il s’apprécie économiquement
Le travail trouve ainsi son unité au détriment des contenus concrets des activités. = notion
abstraite mais économiquement puissante qui rend les activités mesurables, il faut mettre en
lien avec cette nouvelle partie des maths, qui est le calcul des probabilités.
Ca implique notion du juridique, les Lumière voient les hommes avec des droits donc on déf
travail comme notion juridique
la théorie libérale permet d’envisager le travail comme une notion juridique
Le travail est une marchandise qu’on peut louer ou vendre, il est comparable à ces autres
choses qu’on peut acheter ou vendre.
Le travail relève d’un contrat entre l’acheteur et le client.
Le rapport qui lie les individus est fondamentalement celui qui lie chacun à la
production de richesses, dont le travail est la mesure. Travailler c’est s'enrichir, mais aussi
participer collectivement à la construction de la société.
Le travail n’est plus une notion éco mais devient une notion juridique
le travail ainsi conçu est la clé des individus, mais mon travail, c’est-à-dire ma faculté
d’améliorer ma propre existence
***
“L’homme, avant toute institution politique, a des droits, qui découlent de sa nature. Il a le
droit de vivre et de subvenir à ses besoins. Pour cela, il met en œuvre ses capacités: il
travaille. Or, chacun étant propriétaire de soi-même, chacun l’est aussi du fruit de son travail,
où il a mis de lui-même. Sans le droit de propriété, fondé sur le travail, le droit de vivre ne
serait qu’un vain mot.
La propriété est originairement individuelle, et non sociale. Elle n’est donc pas soumise à
des limites, comme chez saint Thomas. C’est bien plutôt l’ordre social qui doit respecter son
libre essor. La propriété des uns n’appauvrit pas les autres mais, par la fructification et ses
retombées, elle enrichit tout le monde. Les hommes sont tous libres de travailler, de
poursuivre l’exploitation de la terre, et d’accumuler des propriétés. C’est cette identique
liberté qui fait leur égalité en droit.
Pour faciliter l’accumulation des biens, les hommes décident par convention de la création
de la monnaie, équivalent universel; le commerce se développe, le lien travail-propriété n’est
plus aussi direct.” (je c pas d’où ça sort)
Le travail apparaît comme propriété de l’individu qui permet de s’en rendre maître, ou
mieux de s’y faire une place.
Cette capacité appartient à chacun d’entre nous,
Par le biais du salaire ou du revenu, le travail fonde la possibilité pour les individus
de sortir de la relation de servage, c’est-à-dire d’exister par eux-même.
le taf et le ;;;; est le fondement de la société??
Ainsi une société moderne est une société d’égaux, et c'est dans ce contexte qu'apparaît la
reconnaissance mutuelle des uns et des autres des droits de chacun
Le citoyen grec est un militant, il fait de la politique et tout et tout
[Le prof est de gauche] pléonasme ← masterclass tout le temps la dahak avec toi akhy ta
dead ça
Citations *:
"Vous rencontrez dans votre âme une foule de gens." ??? c’était pas rame en mode rame de
tram plutôt ? si jcrois bien
“ Un prof c’est un espèce d’être vivant qui est excité au début de la journée et qui s’épuise
au fur et à mesure. Un peu à l'inverse des élèves en fait. “
“pk les machines sont sur windows ? sur linux ça démarre en 2s et on a le contrôle de la
machine”