Evaluation DES Productions D'Oignon ET Elaboration DES Strategies DE Commercialisation Galmi
Evaluation DES Productions D'Oignon ET Elaboration DES Strategies DE Commercialisation Galmi
Evaluation DES Productions D'Oignon ET Elaboration DES Strategies DE Commercialisation Galmi
DE LA FILIERE OIGNON
DE GALMI
RAPPORT FINAL
DECEMBRE 2007
CONSULTANTS/BETIFOR
SOMMAIRE
SOMMAIRE....................................................................................... 2
1 INTRODUCTION .......................................................................... 5
1.1 Contexte Général................................................................... 6
1.2 Objectif de l’étude ................................................................. 6
1.3 Méthodologie de l’étude.......................................................... 7
1.3.1 Enquête exploratoire: ....................................................... 7
1.3.2 Enquête approfondie. ....................................................... 7
1.3.3 Dépouillement et Analyse des données recueillies ................ 8
1.4 Présentation de la zone d’étude ............................................... 9
1.4.1 Localisation ..................................................................... 9
1.4.2 Les ressources naturelles .................................................. 9
1.4.3 Les principales activités .................................................... 9
Conclusion ..................................................................................... 59
BIBLIOGRAPHIE .................................................................................. 62
Références Bibliographiques............................................................. 63
1 INTRODUCTION
Le Niger est un pays dont l’économie repose essentiellement sur
l’agriculture vivrière et les cultures de rente. Pour preuve, le secteur
agricole contribue pour près de 36% au PIB réel, fournit environ 85% de
l’emploi et 41% des recettes d’exportation. C’est à l’évidence un facteur
déterminant de la croissance économique de notre pays. Ainsi dans
l’optique de promouvoir ce secteur le gouvernement nigérien a adopté la
stratégie de réduction de la pauvreté (SRP). Cette dernière vise à réduire
l’incidence de la pauvreté rurale de 66% actuellement à 52% à l’horizon
2015.
Avec comme axe prioritaire d’intervention la maîtrise de l’eau pour
l’irrigation, les programmes et stratégies de la SRP sont mis en œuvre en
collaboration avec les différents partenaires au développement : Projets,
institutions de recherche et développement, différents services techniques
publiques sous tutelle de leurs ministères dont le Ministère de
Développement Agricole (MDA) et les ONGs.
Parmi les principaux partenaires au développement du Niger on peut
aisément citer la Fondation pour le Développement en Afrique (USADF).
C’est une Agence du Gouvernement des Etats Unis d’Amérique dont le
mandat est de parrainer les communautés africaines en vue de participer
à leur propre développement. L’ADF apporte son support aux
organisations communautaires de base engagées dans les activités de
développement économique et social, la promotion des petites et
moyennes et entreprises, les initiatives de commerce et de
l’investissement, les micros finances, les meilleures pratiques de
développement participatif et la lutte contre le VIH/SIDA.
L’ADF a reçu la requête de financement de l’Union de Producteurs
d’Oignon de Galmi, située dans la région de Tahoua. Etant donné la
jeunesse de cette structure, le financement de l’ADF s’est porté sur le
renforcement des capacités des membres. C’est dans ce contexte qu’une
étude est prévue pour évaluer la production d’oignon et définir des
stratégies de commercialisation afin de concrétiser le potentiel existant.
L’étude doit donc permettre à l’ADF de mieux orienter ses appuis en
matière de production et de commercialisation de l’oignon.
Les bénéficiaires de cette étude sont principalement les producteurs
d’oignon organisés en Union des Coopératives des Professionnels de la
Filière d’oignon (UCPFO) de Galmi composée de 18 coopératives totalisant
3724 membres dont 60 femmes (selon le TDR de l’étude).
Le présent document s’organise comme suit :
Dans un premier temps nous présenterons le contexte général et la
justification de l’étude, puis nous définirons les objectifs de notre
travail et la méthodologie utilisée.
Dans un second temps nous présenterons les résultats collectés et
leur analyse détaillée.
Quatre (4) objectifs sont fixés à cette évaluation des productions d’oignon
et l’élaboration des stratégies de marché:
La filière oignon
L'oignon, Produit maraîcher "leader" du Niger, constitue la principale
spéculation pour laquelle le Niger possède un réel avantage comparatif
par rapport aux autres pays de la sous région. La recherche a mis au
point, dans les années 70, les variétés qui sont encore cultivées
aujourd'hui: Violet de Galmi, Blanc de Galmi et Blanc de Soumarana. Le
Violet de Galmi est très apprécié en Afrique de l'Ouest. Sa compétitivité
sur les marchés ouest africains, où la demande est importante, lui confère
une place importante dans l'économie nationale. A noter toutefois la
concurrence croissante de pays nouveaux producteurs: Sénégal, Burkina
Faso, Mali. On estime qu'environ 50% de la production du Niger est
exportée, principalement vers la Côte d'Ivoire et le Ghana.
RESULTATS ET ANALYSE
Superficies Exploitables/Exploitées
S.exploitables
S.exploitées
Mode de
faire valoir
des terres
Système de
culture
76
80
60
40
%
20
20
4
0
DIREC T PRÊT LOC ATION
modes
Le captage est assuré pour près de 96% par des puits traditionnels
sujets aux éboulements fréquents et autres tarissements. L’enquête a
aussi révélé que dans une proportion moindre de 4%, le captage est
assuré par des mares.
La motopompe est de loin le moyen d’exhaure le plus utilisé (62%)
selon l’enquête. Environ 38% utilisent encore le système manuel
d’exhaure au niveau de la zone d’étude. La motopompe est un excellent
moyen d’exhaure (facilité, rendement optimal) mais génère des charges
dues aux carburants, à l’entretien du matériel et à l’amortissement.
120
96
100
80
62
%
60
38
40
20
4
0
M.pompes Manuel P.T Mares
sytème de captage système d'exhaure
30000
25000
Rendements
20000
15000
10000
5000
0
Galmi Galmi K.kam G.Ror Moulel Moyen Sabon Kaour Kaour Gounf
G.M
1 3 o o a Zone ga a1 a3 ara
Rendement moyen 23850 22430 17645 17316 13734 19366 17413 22478 23725 20682 14386
Localités
4 Circuits de commercialisation :
4.1 Définition :
C’est le mouvement que suit un produit de sa zone de production à
sa zone de consommation. Selon les résultats de l’enquête on distingue un
seul circuit informel subdivisé en 2 sous circuits : Le circuit intérieur qui
approvisionne les principales villes du Niger et surtout Niamey la capitale
et le circuit sous régional approvisionnant les pays voisins.
C’est à l’intérieur de ce circuit informel que tous les acteurs interagissent à
savoir les producteurs, les collecteurs grossistes, les intermédiaires, les
commerçants importateurs, les détaillants et les consommateurs.
Schématiquement le circuit de commercialisation d’oignon de Galmi
peut être présenté comme suit
Producteurs
Importateurs/
Exportateurs
Grossistes
Détaillants
Consommateurs
Acheminement de l’oignon
Cadre juridique
Organe de gestion
Outils de gestion
Outils organisationnels
Partenariat
6.5 Le partenariat
Le dynamisme d’une structure dépend de son degré d’ouverture au
monde extérieur donc de sa collaboration avec des organisations
similaires (pour échanger les expériences) ou d’autres institutions
susceptibles de lui venir en aide dans le cadre de la recherche des
éventuels financements. Le partenariat dépend beaucoup du dynamisme
du comité de gestion. Selon l’enquête, le partenariat est peu développé
avec les organisations poursuivant les mêmes objectifs. Le partenaire
technique et financier reste encore à ce jour embryonnaire. L’union des
producteurs et professionnels de l’oignon n’a que l’ ADF comme partenaire
pour l’instant. Cependant il y a une volonté manifeste d’étendre la
coopération avec d’autres partenaires techniques comme l’ONG world
vision et financiers à l’instar de Banque régionale de solidarité (BRS). Ainsi
l’inter coopération doit être élargie et développée afin d’accroître les
possibilités de l’auto promotion de la filière.
Figure 9 : carte de l’évaluation de la qualité organisationnelle de l’UCPFO
9.2.2 La demande
La demande est constituée par la quantité d’oignon susceptible
d'être achetée sur le marché, à un prix déterminé par ses utilisateurs.
Selon les résultats de l’enquête, cette demande existe mais reste
difficilement quantifiable en raison de l’absence des statistiques fiables.
Elle est à 95% exprimée de l’extérieur et est soumise à la concurrence
saisonnière de certains pays voisins producteurs d’oignon (Burkina Faso,
Bénin, Ghana).Cependant la qualité du Violet de Galmi est appréciée
partout sur les marchés de la sous région. La moyenne des exportations
officielles d’oignons du Niger vers les marchés sous régionaux entre 1999
30000
25000
20000
Prix
Prix
15000
Polynomial (Prix)
10000
5000
0
1er cycle 2éme cycle 3ème cycle Oignon stocké
dec- janv jan-Mars Mars- Mai
Période
300
250
prix moyen/kg
200
Galmi
150
Agadez
100
50
0
2002 2003 2004 2005 2006
années
On constate que durant les cinq dernières années les prix moyens annuels
de l’oignon de Galmi sont inférieurs à ceux d’Agadez. Ceci dénote
l’avantage comparatif du violet de Galmi à échelle nationale.
en janvier et février, puis des apports plus faibles d'août à décembre. Mais
on peut aussi noter que, sur toute l'année, l'oignon du Niger reste leader
sur le marché ivoirien, avec une part de marché de 34% en novembre et
de 65% en juin .
L'excellente capacité d'organisation logistique de la Hollande peut
faire craindre, à l'avenir, un renforcement de la concurrence en
provenance de ce pays, surtout dans la perspective d'un APE incluant
l'oignon. D’ailleurs la figure 12 ci-dessous montre que l’oignon de la
Hollande reste moins cher que le violet de Galmi sur le marché d’Abidjan
pendant presque toute l’année.
35000
30000
niger
25000
hollande
20000
15000
10000
5000
0
Janv Févr Mars Avr Mai Juin Juil Août Sept Oct Nov Déc
11.1 Définition
Le marketing est l'effort d'adaptation des organisations à des
marchés concurrentiels, pour influencer en leur faveur le comportement
de leurs publics, par une offre dont la valeur perçue est durablement
supérieure à celle des concurrents" (Mercator, 8e édition, 2006). Le
marketing est l'affaire des organisations. Son objectif est d’adapter la
politique de ces organisations à un environnement par nature changeant.
Il a fondamentalement un rôle d'influence et de persuasion de la clientèle.
Le point de départ de la démarche marketing est la connaissance du
marché. Par «connaissance du marché », on entend la connaissance du
marché actuel et de tous ses éléments : la demande (les
consommateurs), l’offre (nous et nos concurrents) et les intermédiaires.
Mais cette connaissance de la situation actuelle ne suffit pas. Les
organisations des producteurs d’oignon doivent anticiper l’avenir afin de
se préparer aux évolutions et peser sur celles-ci ; c’est en sommes une
projection dans le futur.
• La tenue des étals dans les supermarchés Vise une clientèle ayant un
aussi bien au Niger que dans bien d’autres certain niveau de consommation
pays avec un court message de pub ; et surtout les étrangers (créer un
effet d’accoutumance)
• Distribution gratuite des échantillons du Visibilité, connaissance et
produit ; appréciation du produit
• L’achat d’encarts publicitaires dans les Grande visibilité
journaux au Niger et partout où besoin
est ;
• Brochure décrivant le violet de Galmi, ses Vanter et faire connaître les
caractéristiques, ces vertus culinaires et caractéristiques et vertus du
médicinales ; produit
• Empaquetage spécial ‘Violet de Galmi’; Confection de sacs spéciaux de
conditionnement portant les
images de ‘Violet de Galmi’ avec
un court message publicitaire
11.2.7 La communication
Pour atteindre ces objectifs, l’union doit respecter le plan marketing suivant ;
55
4. Création des boutiques d’intrants Rendre accessible Producteurs Ingénieurs
agricoles (semences, petits matériels les intrants Agronomes Pm
agricoles et produits phytosanitaires agricoles
10.Création des « bureaux relais » de Etre plus proche Producteurs Union + ANFO Pm
commercialisation des clients
56
11.Promouvoir la transformation conquérir les Producteurs Union + ANFO Pm
industrielle de l’oignon marchés étrangers
de l’Europe et
réduire les pertes
57
CONCLUSION
58
Conclusion
L’objectif de cette étude consiste à évaluer la part de production
d’oignon de l’union des coopératives des professionnels de la filière oignon
de Galmi et d’élaborer des stratégies efficaces de commercialisation de
l’oignon pouvant profiter aux principaux producteurs directs. Très peu
d’études ont été faites sur cette thématique.
La démarche a consisté tout d’abord à prendre contact avec les
bénéficiaires de l’étude afin d’expliquer les enjeux de l’étude et la
nécessité de leur pleine et entière collaboration. Un échantillonnage
représentatif basé sur la méthode raisonnée à permis de déterminer les
10 villages cibles sur les 18 constituant l’union. Ensuite une série de
questionnaires (4) et un manuel de l’enquêteur ont été élaborés afin de
circonscrire tous les aspects de la démarche filière. Des enquêteurs locaux
ont été recrutés et formés sur l’administration des questionnaires et un
dispositif de supervision de l’enquête a été mis en place par l’équipe des
consultants afin de s’assurer que les données qui seront recueillies sont
fiables.
L’évaluation du rendement et du niveau de production a fait l’objet d’un
traitement par analyse statistique de variables descriptives telles que la
moyenne et l’ecartype. Les autres évaluations (organisation des
producteurs, contraintes et potentialités de la production, stratégies de
commercialisation) ont fait l’objet d’un traitement qualitatif basé sur
l’utilisation d’indicateurs de qualité fiables, pertinents et spécifiques à
l’étude.
Les résultats de l’enquête relatifs à la capacité de production de
l’organisation ont révélé l’abondance des terres fertiles adoptées à
l’écotype violet de Galmi. (Superficie moyenne Exploitable :
1,97ha/Producteur et Superficie moyenne Exploitée : 0,6ha/Producteur).
En dépit des fortes disparités, on réalise que d’énormes possibilités
d’extension et d’investissement existent au niveau de la zone d’étude.
L’appréciation des autres volets de la capacité de production révèle que le
mode de faire valoir direct est prédominant (76%), le système de culture
est pur, l’irrigation est gravitaire (100%), les systèmes de captage est
constitué des puits traditionnels à 100% et le système d’exhaure est
presque entièrement motorisé (62% motopompes).
L’enquête a révélé que la demande en intrants agricoles de cette zone
reste diffuse, opportuniste, isolée et pauvre. Elle caractérise des
nombreux petits producteurs aux moyens limités désireux d’acheter des
petites quantités en fonction de leurs maigres disponibilités financières.
L’évaluation du niveau de production fait ressortir un rendement moyen
de l’ordre de 19,4 tonnes/ha. Des grosses disparités de rendements sont
observées au niveau de la zone d’étude (Galmi : 23,7 t/ha contre 13,7 à
Moullela) dues probablement à la disparité d’utilisation des motopompes.
L’enquête a aussi révélé que la production de l’union des coopératives des
professionnels de la filière oignon s’élève à 16176 tonnes. Celle-ci
représente 39% de la production totale de la commune de Doguéraoua
59
estimée à 41280 Tonnes en 2006 (sources : S.A Galmi) et seulement
0,16% de la production totale du département de Konni. L’enquête a aussi
montré que la zone d’étude connaît 3 cycles de production. La production
relative aux 2 premiers cycles est vendue totalement aux bords du champ
rapportant ainsi un revenu substantiel aux producteurs. La production du
3ème cycle constituera le stockage générant des pertes voisines de 41%
au bout de 6 mois de conservation. On se rend à l’évidence que la
structure de stockage la plus utilisée n’est véritablement pas la plus
appropriée et la nécessité d’expérimenter des nouvelles structures comme
le type UNIC RESEDA s’impose afin de minimiser les pertes.
Les résultats de l’enquête relative à l’évaluation de l’organisation des
producteurs ont montré des graves disfonctionnement susceptibles de
nuire à la viabilité de la structure. Les organes de gestion existent mais
sont totalement inopérants. Les outils organisationnels et de gestion ne
sont pas utilisés : pas de réunion ni de procès verbal, pas de planification,
pas d’évaluation d’activité, pas de tenue des documents comptables. Le
partenariat gage d’ouverture de la structure au monde reste à ce jour
embryonnaire. Seul la reconnaissance officielle (agrément) constitue un
aspect positive tant pour les coopératives de base que pour l’union
(UCPFO) elle-même.
Les résultats de l’évaluation des capacités de l’union en matière de
fourniture des produits et services ont fait ressortir d’importantes
faiblesses. En somme l'offre de services de l’union aux coopératives ou
des coopératives aux membres est très réduite voire absente: pas de
commandes groupées des intrants, pas de commercialisation groupée des
productions, pas d'information sur l'environnement économique (demande
des marchés, prix des produits et des intrants, prestataires de services
disponibles, etc.). Seul l'accès au crédit est rendu possible par la
constitution en coopérative, sans pour autant en faciliter l'obtention. Ce
faible niveau d’organisation de l’union a notamment comme conséquence
une position très faible en face des collecteurs et acheteurs de leurs
produits et des fournisseurs d'intrants.
L’analyse des stratégies actuelles de commercialisation au niveau de la
zone d’étude montre que celles-ci sont inefficaces. La vente individuelle et
la panoplie d’intermédiaires isolent les producteurs et les rendent
vulnérables. L’absence du marketing et du conditionnement réduit la
visibilité du produit.
L’analyse du marché fait ressortir un déséquilibre entre l’offre et la
demande. En effet l’offre est essentiellement locale et reste soumise au
caractère saisonnier et périssable de l’oignon. La demande quant à elle
existe mais reste difficilement quantifiable et soumise aux déterminants
de la production des pays voisins et aux flux des commerçants dans la
zone. La fluctuation des prix est essentiellement liée au caractère
saisonnier de l’offre.
Eu égard aux nombreuses contraintes d’organisation interne, de
production et de commercialisation, la nécessité de renforcer les capacités
techniques et organisationnelles de l’union des coopératives s’impose. Elle
passe à travers :
60
la mise en place des brigades phytosanitaires et d’encadrement
la création des boutiques d’intrants agricoles ;
la promotion de la production du 1er cycle ;
l’amélioration des techniques de marketing ;
la mise en place d’un comptoir d’oignon ;
la recherche d’un label.
Tout ceci nous amène à proposer une stratégie marketing qui s'articule
autour des principaux points suivants :
La pénétration du marché ;
L’Identification des marches cibles ;
La valorisation du produit à l’échelle internationale ;
L’étude de la concurrence ;
La réduction du délais l’acheminement du produit ;
La communication et le partenariat.
61
BIBLIOGRAPHIE
62
Références Bibliographiques
• Eric A.G., Marcel I.N., 2005. Diagnostic institutionnel et plan
stratégique de développement. Etude ANFO Madaoua, 52 pages.
63
• Cabinet Maina :BDPA . Etude d’identification des filières porteuses au
Niger ; septembre 2005.
• www.gapto.org
64
LISTE DES FIGURES, TABLEAUX ET ANNEXES
65
LISTES DES FIGURES
66
Annexe 6 : fiche de dépouillement n°6 : Evaluation du niveau de Production
Annexe 7 : Fiche de dépouillement n°7 : Evaluation de l’organisation interne
Annexe 8 : fiche de dépouillement n°8 : Commercialisation de la Production
Annexe 9: Charges moyennes d’exploitation par coopératives cibles (zone Galmi)
Annexe 10: Comptes moyens d’exploitation de la zone (différents scenarii)
Annexe 11 : Plan de campagne
Annexe 12 : caractéristiques de l’abri type A et B Unic-Resida
67
Annexe 1 : Evaluation des systèmes de production
68
Annexe 2 : Evaluation des moyens de production
69
Annexe 3 : Circuit d’approvisionnement en intrants/ disponibilité et Accessibilité.
70
Annexe 4 : Estimation et Destination de la Production à l’hectare
71
Annexe 5 : Evaluation des moyens de transport et de stockage
72
Annexe 5 : Evaluation du niveau de production
73
Annexe 7 : Evaluation de l’organisation interne
DG : dynamique de groupe
O. interne : organisation interne
74
Annexe 8 : commercialisation de la production d’oignon
75
Annexe 9 : Charges moyennes d’exploitation
76
Annexe 10 : Compte d’exploitation : Différents scénarios
77
78
Annexe 10 : Plan campagne
79