Torp 1
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Torp 1
A travers les projets de l’espace, nous pouvons en tant qu’architecte, proposer une série de
solutions, et une synthèse entre les différents enjeux, à côté des ingénieurs
L’architecte est appelé à intervenir dans les problèmes changées pour chaque spécialiste → solution,
perspective.
A partir des projets morphologiques, de la forme urbaine que l’architecte peut offrir sa propre
compétence et pour effectivement mettre en valeur une balance toutes les instances qui d écoulent
dans le processus analytique.
La forme doit être intelligente, aussi bien définie, articulée à pouvoir répondre à tous les enjeux dont
elle est appelée
Notion de performance :
-ces 4 fonctions, l’urbanisme moderne fonctionnait d’une manière linéaire dont la formulation du
besoin, et dans la mise en œuvre du système de réponse sous ces 4 axes.
Réfléchis en terme des performances, ça ne veut pas sire accomplir une fonction, mais offrir u une
performances qui ne sont pas aussi linéaire, cad on ne demande pas d’avoir juste des espaces de
travail, lieu de loisir, habitat…, on demande qlq chose en plus. On demande de se déplacer d’un lieu à
un autre en moins de 15 min.
→Définir une qualité pas juste un besoin. Mais comment les répondre
→On use les relations entre les choses entre plusieurs composantes
Le projet ne doit pas s’occuper exclusivement de la réponse des besoins, mais doit se charger de la
modalité à travers laquelle les besoins sont satisfaits.
L’architecture après avoir satisfait les besoins techniques et assurer toute performance technique, il
doit offrir une vision de ville , offrir une innovation, mettre en œuvre une idée, créativité, beauté
→un projet urbain c’est dans le projet qui relevé le défi de la complexité existante mais qui est
capable de mettre en place des solutions et de stratégies qui oriente le développement du milieu
social et qui s’installe dans ce cadre assez complexe.
L’idée de ville
C’est un principe clé qui définit l’identité de la construction de cette ville, dans une période
historique
⁃ Les différents principes qui ont guidés l’urbanisme aujourd’hui, on peut les lire à travers l’analyse, la
lecture des caractères fondamentaux qui composent ces morceaux de villes.
-> le principe fondamental dans l’établissement militaire, contrôler territoire et se défendre, d’après
son emplacement stratégique pour contrôler le fleuve, l’océan.
⁃ la Médina, ville commerciale, les principes structurels, fondamentaux, c’est la relation entre
l’habitat et l’espace du commerce
⁃ Milieu pour habiter, et un milieu pour fréquenter, exposé pour les ventes.
⁃ La structure urbaine, la trame. Il n’y a pas un architecte qui a désigné la trame différente de la
réponse aux performances souhaitées qui a amené les habitants eux-mêmes à façonner la médina de
cette manière
Ville hippodamienne
⁃ la mise en place d’une idée fondamentale qui est celle de la ville, de la démocratie, la culture
grecque classique
⁃ Ville désignée sans hiérarchie très forte, les îlots sont tous égaux, la trame est orthogonale, rigueur,
rationalité dans le dessin
⁃ Tous les citoyens doivent avoir les mêmes droits d’accès aux espaces et aux équipements
Exemple :
Sala El Jadida
⁃ Pour les romains, la ville met ensemble l’idéal, l’idée de démocratie avec l’organisation
⁃ La ville romaine est carrée, tramée, deux axes principaux à la croisée, il y a le milieu public, à
l’extérieur ils mettent les milieux avec les nuisances sonores
⁃ Après la chute de l’empire, soit l’Europe, Afrique du Nord, il y a tout un autre processus qui s’est
mis en place, avec une autre idée de société de ville qui s’affirme
⁃ l’idée de ville au moyen âge, reflète une société fondée sur le pouvoir militaire et sur le pouvoir
économique du commerce
⁃ Il n’y a pas une structure politique homogène, mais chaque territoire à sa propre culture, mode
d’interpréter l’urbanisme
⁃ La représentation
*Rabat : palais
Ville renaissance
⁃ sortir d’une approche plus organique, plus spontanée et de revenir vers les modèles nationaux,
centralisés
Ex : Rome
Percer et ouvrir des percés pour mettre en relation les grands monuments, les églises principales.
-ouverture de percées + mise en place de signaux ouverture des axes sur les églises + mise en
place d’obélisques (vue dégagée + signal qu’ on a une église )
-on n’a pas toujours la perspective ouverte sur l’église directement , c’est pourquoi on ne la voit pas
au bout de l’axe mais on voit l’obélisque
La transformation haussmannienne :
La volonté politique d’affirmer la puissance de l’état soit en terme visuel soit en termes de capacité
de réaliser des équipements.
La ville universitaire :
L’urbanisme du moderne est l’outil à travers ils veulent mettre en place une société communiste,
c’est l’outil des socialistes
La ville moderne doit être « égalitaire et universalité, elle ne doit pas hiérarchiser entre espace et
bâtiment et symbole, et qu’elle doit être un modèle qui est négligeable partout
La ville socialiste :
-Concept : on habite tous dans une seule barre, ou on a tous les mm droits (mm vus sur paysage, mm
ventilation)
Ville libéralisme :
-Différence entre tour de manhattan et tour socialiste : socia faite pour tout le monde ≠ tout
libéralise ; celui qui construit + haut est le + fort
L’idée de ville, le noyau fondamental de l’expression réside dans la géométrie de ses espaces, dans la
forme des espaces vides et pleins
-Projet de Berlin : complexité découle de simplicités (ensemble d’axes de réflexion qui se croisent et
génèrent une idée de complexité)
N.B : les villes contemporaines essaient toujours de donner une image à l’enjeu de la complexité
Conclusion :
L’équipe du bureau d’étude, aujourd’hui sont très riches de savoir, l’idée des villes est une idée de
ville qui exprime l’idée de complexité qui la gère, qui résout le problème mais aussi qui exprime une
idée de complexité croissante.
I. Logiques
1. idée de ville
4. la ville de la complexité$
II. phénomène
8.cités sportives
9.visions
10.l’architecture de la ville