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L'UTILISATION DE L'EAU DE MER POUR LA CONSTRUCTION, COMME ALTERNATIVE

À L'EAU POTABLE
Document de conférence - Février 2019
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5 auteurs, dont :
Abdul Ahad Yasir Khan

Jamia Millia Islamia ..
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Haseeb Khan
Institut des sciences et technologies Shaheed Zulfikar Ali Bhutto, campus d'Islamabad
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International Journal of Technical Innovation in Modern Engineering
& Science (IJTIMES),(UGC APPROVED)
Facteur d'impact : 5.22 (SJIF-2017),e-ISSN:2455-2585
"Conférence internationale sur les tendances modernes en génie civil (ICMTCE-2019)
(Vers les objectifs de développement durable)
Volume 5, numéro spécial 02, février 2019
L'UTILISATION DE L'EAU DE MER POUR LA

CONSTRUCTION, COMME ALTERNATIVE À L'EAU
POTABLE
Abdul Ahad1* , Imran Khan Qadri2 , Yasir Khan3 , Haseeb Khan4 , Wiqas Anwar5
1Research Scholar, Ph.D. Department of Civil Engineering, Jamia Millia Islamia, New Delhi, India 110025.
2,3,4,5 Professeur adjoint, Département de génie civil, Université Mohammad Ali Jauhar, Rampur
Résumé :
Le béton est l'un des matériaux les plus utilisés actuellement dans le domaine de la construction, en raison de sa bonne
résistance à la compression et de sa durabilité. La consommation de béton dans le monde est estimée à environ 12
milliards de tonnes par an. La résistance et la durabilité du béton ne seront pleinement développées que s'il est durci. La
cure d'une structure en béton est essentielle si l'on veut qu'elle remplisse la fonction prévue pendant la durée de vie de la
structure. Le béton doit être alimenté en humidité pendant une période minimale de 28 jours pour une bonne hydratation
et pour atteindre la résistance souhaitée. Tout relâchement dans le durcissement affectera gravement la résistance et la
durabilité du béton. Une zone comme le bord de mer, ou une zone où l'eau salée est disponible pour la cure, est une rareté
d'eau pure où la cure avec de l'eau normale est difficile et dans les cas où de grandes surfaces comme les chaussées
doivent être durcies.
Dans cet article, nous étudions les différents tests analysant les effets du mélange et de la cure du béton avec de l'eau de
mer salée sur les résistances à la compression, à la traction, à la flexion et à l'adhérence du béton. Pour les essais, trois
groupes de cubes ont été coulés en laboratoire, dans lesquels six cubes de béton ont été mélangés et durcis dans de l'eau
douce, six cubes ont été mélangés et durcis dans de l'eau de mer, tandis que quatre cubes ont été mélangés avec de l'eau
douce et durcis dans de l'eau de mer. Ces cubes ont été durcis pendant 7, 14, 21 et 28 jours et leur résistance à la
compression a été testée. Pour ce faire, des cubes de béton ont été coulés pour un mélange de conception M-20,
1:1,777:2,826 en poids et un rapport eau-ciment de 0,45.
Mots-clés : Durcissement, Durabilité, Résistance, Sel, Béton, Eau de mer, Résistance à la compression
INTRODUCTION
Dans la construction moderne, le béton est l'un des principaux matériaux de construction utilisés. Son utilisation en grandes
quantités s'explique par ses excellentes performances structurelles et sa durabilité. Il est utilisé à de nombreuses fins dans la
construction, comme la construction de bâtiments, de barrages, de fondations, d'autoroutes, de structures de parking, de
tuyaux et de poteaux [1]. En outre, l'utilisation du béton pour les plates-formes de forage en mer et les réservoirs de stockage
de pétrole est déjà en augmentation. Les piliers, les ponts, les brise-lames et les murs de soutènement en béton sont largement
utilisés dans la construction des ports et des docks. Les plates-formes flottantes en béton sont également envisagées pour
l'implantation d'aéroports, de centrales électriques et d'installations d'élimination des déchets, afin de soulager les terres des
pressions liées à la congestion et à la pollution urbaines [2]. Il est très difficile de trouver une solution durable et économique
pour remplacer le béton dans la construction. La durabilité du béton est généralement considérée comme sa capacité à résister
aux effets et aux influences de l'environnement, tout en remplissant la fonction souhaitée [3]. Le béton est un matériau
composite composé principalement d'eau, de granulats et de ciment. L'eau est un ingrédient important du béton car elle
participe activement à la réaction chimique avec le ciment [4]. Une bonne cure des structures en béton est importante pour
répondre aux exigences de performance et de durabilité. Dans le cadre d'une cure conventionnelle, celle-ci est réalisée par une
cure externe appliquée après le mélange, la mise en place et la finition [5].
L'un des plus grands problèmes auxquels le monde est confronté est l'augmentation rapide de la population. Selon les
chercheurs, dans un avenir proche, l'eau douce sera rare et très difficile à obtenir. On dit qu'en 2025, la moitié de l'humanité
vivra dans des zones où l'eau douce est insuffisante [4]. La cure du béton désigne les procédures destinées à favoriser
l'hydratation du ciment, consistant à contrôler le temps et les conditions d'humidité immédiatement après la mise en place du
mélange de béton dans le coffrage. La cure vise principalement à maintenir l'humidité du béton, en empêchant la perte
d'humidité du béton pendant la période où il gagne en résistance. La quantité d'eau de gâchage contenue dans le béton au
moment de la mise en place est normalement supérieure à celle qui doit être conservée pour la cure. Cependant, une perte
excessive d'eau par évaporation peut réduire la quantité d'eau retenue en dessous de celle nécessaire au développement des
propriétés souhaitées [6]. La cure est réalisée en apportant de l'eau à la surface du béton de manière à ce qu'elle soit
Organisé par : Faculté de génie civil, Université Shri Ramswaroop Menorial, Lucknow-Deva Road. 1
maintenue humide en permanence. L'eau utilisée à cette fin ne doit pas être plus froide d'environ 5°C que la surface du béton
[6].
Pendant la saison estivale, lorsque la température est élevée, le durcissement des chaussées et des dalles se fait à l'aide d'un
bassin ou d'une immersion. Mais dans les régions maritimes, il est très difficile de disposer d'une quantité suffisante d'eau
pure pour le durcissement. Il est donc nécessaire d'explorer des alternatives à l'eau potable dans l'industrie de la construction,
car des milliards d'eau sont utilisés pour le mélange et le durcissement du béton. Les océans
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"International Conference on Modern Trends in Civil Engineering"(ICMTCE-2019)
(Vers des objectifs de développement
durable) Volume 5, Numéro spécial 02,
Fév.-2019
représentent 71 % de la surface de la terre ; par conséquent, un grand nombre de structures sont exposées à l'eau de mer,
directement ou indirectement [4].
L'utilisation de l'eau de mer est donc une alternative dans la construction pour le mélange ou a u moins pour le durcissement.
Dans cet article, les qualités de béton du mélange de conception M-30 avec un affaissement entre 75 et 100 mm ont été
considérées.
Nécessité d'une enquête sur l'utilisation de l'eau de mer :

Selon les chercheurs, le monde sera confronté à une pénurie d'eau potable en raison de sa surexploitation, et l'eau douce ne
sera donc plus disponible pour le bétonnage. Nous utilisons de l'eau de forage pour le mélange et le durcissement du béton au
lieu de l'eau douce. Mais le bétonnage nécessite plusieurs milliards d'eau dans le monde entier pour le mélange et le
durcissement. Pour répondre à ce besoin d'eau, l'étude porte sur l'utilisation de l'eau de mer au lieu de l'eau douce ou de l'eau
de forage et sur l'effet de l'eau de mer pour le mélange et le durcissement du béton. Une étude récemment menée par la
Portland Cement Association (PCA) dans le cadre du programme LTS (Long Time Study of Ciment Performance in Béton)
fournit des informations essentielles sur les performances du béton dans l'eau de mer [7]. Par conséquent, la sélection des
matériaux, la conception du mélange et les détails appropriés de l'armature sont également des paramètres essentiels dans la
production d'une structure en béton durable pour l'eau saline [8].
L'eau de mer est l'eau obtenue à partir de la mer. Son goût est salé. On peut dire que l'eau de mer est une solution contenant
un grand nombre d'éléments dans des proportions différentes. Les principaux constituants chimiques de l'eau de mer sont les
ions de chlorure, de sodium, de magnésium, de calcium et de potassium. Dans l'eau de mer contenant jusqu'à 35 000 ppm de
sels dissous, le chlorure de sodium (NaCl) est de loin le sel prédominant (environ 88 % en poids des sels) [9]. Le pH de l'eau
de mer varie entre 7,4 et 8,4. L'eau de mer est un électrolyte adéquat et joue un rôle majeur dans toute action électrolytique
entre des métaux dissemblables et entre la concentration de sel et l'acier [10].
ANALYSE DOCUMENTAIRE
Akinkurolere O.O et.al ont déclaré que l'eau de mer est une solution complexe de nombreux sels contenant de la matière
vivante, de la vase en suspension, des gaz dissous et de la matière organique en décomposition. La concentration moyenne en
sel de l'eau de mer est d'environ 3,5 %, selon l'endroit où elle se trouve. Les principaux constituants chimiques de l'eau de
mer sont les ions de chlorure, de sodium, de magnésium, de calcium et de potassium. La concentration des principaux
constituants salins de l'eau de mer est donnée en % de poids de sel comme suit : 78% NaCl, 10,5% MgCl2, 5% MgsSO4,
3,9% CaSO4, 2,3% K2SO4 et 0,3% KBr [11].
Un certain nombre d'études ont montré les effets du mélange et de la cure de l'eau de mer sur la résistance à la compression
des mortiers de ciment et de sable et du béton correspondant. De nombreux chercheurs ont étudié les effets de l'eau de mer
sur le mélange et le durcissement de la structure.
Falah M. Wegian a étudié les effets du mélange et de la cure du béton avec de l'eau de mer sur les résistances à la
compression, à la traction, à la flexion et à l'adhérence et a rapporté qu'il y avait une augmentation des résistances du béton
mélangé et durci dans l'eau de mer à des âges précoces et une diminution nette pour des âges supérieurs à 28 jours et jusqu'à
90 jours [12]. Naghoj et Abdel-Rahmna (2005) ont rapporté que l'ajout de terreau à un mélange de béton peut augmenter la
résistance à la compression du béton dans des conditions normales et améliorer la performance du béton durci pour résister
aux milieux agressifs de l'eau de mer salée [13].
Des études récentes ont montré que l'utilisation de l'eau de mer dans le mélange et le durcissement n'est pas nocive pour les
structures.
P. Krishnam Raju et al ont conclu qu'il n'y a pas de réduction de la résistance à la compression due au mélange et à la cure
de l'eau de mer, alors que la résistance moyenne à la compression obtenue pour les bétons désignés est supérieure à la
résistance cible [14]. Nobuaki Otsuki et.al ont conclu des résultats des tests et des discussions et sont confiants dans
l'utilisation sûre de l'eau de mer comme eau de mélange [15].
O.O. Akinkurolere et.al ont conclu que le béton coulé avec de l'eau de mer et durci avec de l'eau de mer augmente la
résistance à la compression à 28 jours de façon spectaculaire et linéaire au-delà de celle obtenue lorsque le béton est coulé
dans de l'eau douce et durci dans de l'eau douce [11]. Preeti Tiwari et al ont réalisé une série d'expériences sur le grade M-
30 et ont indiqué qu'il y avait une augmentation marginale de la résistance des cubes coulés et durcis dans l'eau salée par
rapport à ceux coulés et durcis dans l'eau douce à tous les âges de durcissement et ont conclu qu'il n'y avait pas de réduction
de la résistance si l'on utilisait de l'eau salée pour couler et durcir le béton [16].
Il est recommandé de poursuivre les recherches sur l'utilisation de l'eau de mer dans les mélanges de béton, car la planète
Terre connaît une pénurie notable de sources d'eau pure et propre pour les futurs travaux de construction, et l'utilisation de
l'eau de mer pour développer un béton durable aux performances durables sera grandement bénéfique.
MATÉRIAUX
Le détail des différents matériaux requis pour les tests est le suivant
a) Ciment : La qualité OPC 43 (ciment ACC) a été utilisée. Fév.-2019
b) Agrégat grossier : Des granulats de granit concassés d'une taille maximale de 20 mm conformes à la norme IS 383-
1970 ont été utilisés. La densité est de 2,78 pour les particules de 20 mm et de 2,76 pour celles de 10 mm, et le module
de finesse est de 7,25 pour les particules de 20 mm et de 6,68 pour celles de 10 mm.
c) Agrégat fin : L'agrégat fin utilisé dans cette étude est le sable de la rivière Kosi passant au tamis de 4,75 mm avec une
densité de 2,83.
Fév.-2019
d) L'eau salée : L'eau de mer est l'eau provenant d'une mer ou d'un océan. En moyenne, l'eau de mer des océans du
monde entier a une salinité d'environ 3,5 % (35 g/L). Les cubes ont été préparés en utilisant 35 g de sels dans un litre
d'eau.
e) Eau douce : De l'eau potable ordinaire exempte de particules en suspension et de substances chimiques a été utilisée
pour le mélange et la cure des cubes de béton coulés avec de l'eau douce.
L'eau douce utilisée provient du robinet du laboratoire du département de génie civil de l'université Mohammad Ali Jauhar, Rampur,
UP, et l'eau de mer a été préparée à partir d'un échantillon d'eau de la plage de Trivandrum, au Kerala, en Inde.
MÉTHODOLOGIE
Procédure expérimentale :
Pour étudier les divers effets de l'eau de mer sur les différentes propriétés du béton, la moitié des cubes de béton ont été
coulés et durcis avec de l'eau potable et l'autre moitié avec de l'eau de mer. La quantité de sel (NaCl) utilisée dans l'eau a été
maintenue à 35g/litre.)
La taille du cube mesurant 150×150×150 mm a été utilisée. Le dosage du béton a été effectué par poids. Le mélange a été
proportionné pour une résistance cible de 30N/mm2 et avait une teneur en matériau cimentaire de 372kg/m3, une teneur en
agrégats fins de 669.68kg/m3, une teneur en agrégats grossiers de 1230.6kg/m3 et un rapport eau-ciment de 0.45. Le béton a
été correctement mélangé en utilisant respectivement de l'eau de mer et de l'eau potable, les moules à cubes de béton ont été
remplis en trois couches dans lesquelles chaque couche a été compactée 25 fois respectivement. Les cubes de béton ont été
coulés et durcis pendant 7, 14, 21 et 28 jours respectivement et ont été testés pour la résistance à la compression.
Résultats des tests

Après le coulage et le démoulage, il est conclu que les cubes de béton d'eau salée ont une surface plus foncée que les cubes de
béton de référence, lorsqu'ils sont durcis dans l'eau salée, un dépôt de sel se forme sur les spécimens avec une apparence
blanchâtre sur les bords inférieurs. L'essai de résistance à la compression a été effectué sur les cubes de béton, testés à l'âge
de maturation de 7, 14, 21 et 28 jours à l'aide de la machine d'essai de compression. Les résultats des tests des cubes préparés
à partir d'eau douce et d'eau contenant des sels. Les résultats indiquent une augmentation de la résistance à la compression du
béton pour tous les cubes de béton.
La résistance moyenne à la compression des cubes de béton à 7, 14, 21 et 28 jours, coulés et durcis avec de l'eau douce et de
l'eau salée, comme le montre le graphique 1.
Résistance moyenne à la compression des

cubes de béton à 7, 14, 21 et 28 jours,
coulés et durcis à l'eau douce et à l'eau
salée
Résistance (N/mm
50
40
Frais
30
L'eau
20
)2
10
0
7 jours14 jours21 jours28 jours
Jours de maturation
Graphique 1 : Résistance moyenne à la compression des cubes de béton.
Conclusions
Les résultats finaux permettent de conclure à une augmentation progressive de la résistance des cubes de béton coulés et
durcis avec de l'eau salée par rapport aux cubes de béton coulés et durcis avec de l'eau douce. Le taux de gain de résistance
dans les cubes d'eau douce est lent par rapport aux cubes d'eau salée. La résistance des lots de béton coulés avec deFév.-2019
l'eau salée
et
durable) Volume 5, numéro spécial 02,
fév.-2019
La résistance à la compression des cubes de béton durcis à l'eau douce a également augmenté à 28 jours. Bien que la
résistance à la compression des cubes de béton à l'eau salée soit légèrement supérieure à celle des cubes de béton à l'eau
douce.
Les résultats obtenus permettent de tirer les conclusions suivantes :
1) Les spécimens mélangés et durcis dans l'eau de mer ont des résistances à la compression, à la traction, à la flexion et à
l'adhérence plus élevées que les bétons mélangés et durcis dans l'eau potable ou l'eau douce dans les premiers âges, à 7 et
14 jours. La résistance augmente de 4 à 6 % à 7 jours et de 9 à 11 % à 14 jours.
2) On constate qu'il n'y a pas de réduction remarquable de la résistance à la compression due au mélange de l'eau de mer
ainsi qu'au mélange et à la cure du béton avec de l'eau de mer par rapport à la résistance cible caractéristique. La
résistance diminue d'environ 1-4% à 28 jours.
3) La résistance caractéristique moyenne à la compression obtenue pour les cubes de béton utilisant de l'eau potable et de
l'eau de mer était de 33,4 N/mm2 35,80 N/mm2 respectivement pour le grade de béton M-30.
Après avoir obtenu les résultats des différents tests effectués sur les mélanges de béton utilisant de l'eau de mer et de l'eau
potable, nous pouvons conclure qu'il n'y a pas de variation notable de la résistance à la compression si de l'eau de mer est
utilisée pour couler et durcir le béton. Dans la pratique, les situations d'eau douce se produisent dans les bâtiments construits
sur des terrains intermédiaires et des terrains principaux. Les situations d'eau douce et d'eau salée se rencontrent
principalement dans les structures ou les bâtiments proches d'une lagune ou de la mer. Les situations d'eau douce salée sont
très rares dans la pratique, mais sont bien prononcées dans les zones où l'eau douce est rare ou l'eau de surface disponible est
salée. Les situations d'eau salée sont visibles principalement dans les structures construites dans l'océan ou la mer [7].
Références
1. Haseeb Khan, Tabish Izhar, Neha Mumtaz, Abdul Ahad "Effect of potassium sulphate in the presence of water on
strength of concrete", in IJSART, volume 2, Issue 5, May 2016 (ISSN- online : 2395-1052 ).
2. Gopal, M. "Concrete in Seawater", consulté le 8 novembre 2010 sur http://www. theconstructor.org/concrete/concrete-
in-seawater/843/.
3. Hoff, G., 1991. Durabilité des structures en béton offshore et marines. In : 2nd international conference (ACI SP-127),
Montréal, Canada. Farmington Hills, MI : American Concrete Institute, pp 33-64.
4. An Experimental Review of Effect of Sea Water on Compressive Strength of Concrete par Swati Maniyal, Ashutosh Pati
dans International Journal of Emerging Technology and Advanced Engineering, Volume 5, Issue 3, March 2015.
5. Le béton autopolymérisable et ses propriétés intrinsèques par Stella Evangeline dans Stella Evangeline Int. Journal of
Engineering Research and Applications, Vol. 4, Issue 8( Version 7), August 2014, pp.66-71
6. A Comparative Study on the Effect of Curing on The Strength of Concrete par Ajay Goel, Jyoti Narwal, Vivek Verma,
Devender Sharma, Bhupinder Singh dans International Journal of Engineering and Advanced Technology
(IJEAT), Volume-2, Issue-6, August 2013.
7. The Effect of Sea Water on Compressive Strength of Concrete par Olutoge, F. Adeyemi et Amusan, G. Modupeola
dans International Journal of Engineering Science Invention Volume 3 Issue , July 2014, PP.23-3.
8. Neville, A.M. et Brooks, J.J., Concrete technology, Angleterre : Longman Scientific and Technical en 1994.
9. McCoy, W.J., Mixing and curing water for concrete. Significance of tests and properties of concrete and concrete making
materials, STP 169-A. Philadelphie, PA : American Society for Testing and Materials, pp 515-521 en 1996.
10. Bela, M.F, Properties of seawater 1st (Edn.), Academic Press Boston en 1989, pp 766-771.
11. Akinkurolere O.O. et.al. "The Influence of Salt Water on Compressive Strength of Concrete", Journal of Engineering and
Applied Sciences 2(2). Medwell Journals, pp 412-415 en 2007.
12. Effect of seawater for mixing and curing on structural concrete par Falah M. Wegian dans The IES Journal Part A : Civil
& Structural Engineering, Vol. 3, No. 4, Novembre 2010, pp 235-243.
13. Naghoj, N.M. et Abdel-Rahmna, N., Enhancing the performance of concrete subjected to salty seawater. In : Admixtures -
enhancing concrete performance, the international conference, Dundee, Scotland, UK. Londres : Thomas Telford, pp 35-
40 en 2005.
14. P. Krishnam Raju, V. Ravindra et M. Bhanusingh (2014). "A Study on Strengths of Ordinary Portland Cement Concrete
Under Marine Water", International Journal of Engineering Science and Technology (IJEST), Vol. 6 No.3 Mar 2014, pp
6-11.
15. Haseeb Khan, Tabish Izhar, Neha Mumtaz, Abdul Ahad "Effect of saline water in mixing and curing on strength of
concrete", in IJSART, volume 2, Issue 5, May 2016 (ISSN- online : 2395-1052 ).
16. "Effect Of Salt Water On Compressive Strength Of Concrete" Preeti Tiwari, Rajiv Chandak, R.K. Yadav in Int. Journal
of Engineering Research and Applications, pp 38-42.
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