Chapitre I Et II
Chapitre I Et II
Chapitre I Et II
1.Introduction
1.1 Historique
L’automatisation trouve ses origines dans la construction d’automates, dont les
premiers modèles remontent à l’Antiquité. Héron d’Alexandrie met au point à l’Ier siècle
apr. J.-C. de nombreux systèmes automatiques utilisant les ressources de l’énergie
hydraulique. Les progrès amenés par la mécanique viendront contribuer au
développement de la construction d’automates.
En 1623, le scientifique allemand Wilhelm Schickard invente la première machine à
calculer, qui sera suivie de celle élaborée par Blaise Pascal dix-neuf ans plus tard. En 1745,
Jacques de Vaucanson conçoit le premier métier à tisser entièrement automatique,
prototype dont s’inspire le mécanicien français Joseph-Marie Jacquard pour fabriquer, en
1793, un métier à tisser dont les séquences d’opérations à effectuer sont inscrites sur des
cartes perforées : l’automatisation appliquée à l’industrie est née. Elle s’épanouira et se
généralisera à l’ensemble des activités industrielles dans la première moitié du XXe siècle,
en association avec l’instauration de nouvelles méthodes d’organisation scientifique du
travail, inspirées des travaux de Taylor. Depuis lors, elle ne cessera de se perfectionner
grâce à l’utilisation des techniques issues de l’électronique, de la robotique et de
l’informatique.
Dès la fin du XVIIIe siècle, la division du travail, c’est-à-dire le découpage d’un processus
de production en plusieurs étapes successives, avait déjà contribué à un accroissement de
la productivité du travail. La révolution industrielle va accélérer ce processus.
L’identification de tâches élémentaires qui composent tout cycle de production va
permettre de construire des machines reproduisant les mouvements humains, ouvrant la
voie à la constitution de chaînes de montage et d’assemblage.
Dans les années vingt, ces méthodes seront largement appliquées dans l’industrie
automobile, notamment dans les usines Ford aux États-Unis, qui mettent en pratique les
enseignements issus du taylorisme. Ce que l’on dénommera l’organisation scientifique du
travail, qui sera appliquée par l’ensemble des constructeurs automobiles avant d’être
généralisée à l’ensemble de l’industrie, a permis à Ford de réduire considérablement le
nombre
d’heures de travail nécessaires à la fabrication de ses véhicules. Grande envergure qui
concerne à la fois l’évolution de L’utilisation de robots industriels ne représente qu’une
partie, la plus visible sans doute, d’un phénomène de plus l’organisation du travail et celle
des techniques de production.[8]
1.2 Définitions de l'automatisme
2.Système automatisé
Les buts d'un système automatisé sont de réaliser des tâches complexes ou dangereuses
pour l'homme, effectuer des tâches pénibles ou répétitives ou encore gagner en efficacité
et en précision.
Définition
• Un système est dit automatique s'il exécute toujours le même cycle de travail après avoir
reçu les consignes d'un opérateur.
• Un Système Automatisé est toujours composé d'une Partie Commande et d'une Partie
Opérative.
Pour faire fonctionner ce système, l'Opérateur (personne qui va faire fonctionner le
système) va donner des consignes à la Partie Commande. Celle-ci va traduire ces consignes
en ordres qui vont être exécutés par la Partie Opérative. Une fois les ordres accomplis, la
Partie Opérative va le signaler à la Partie Commande (elle fait un compte-rendu) qui va à
son tour le signaler à l'Opérateur. Ce dernier pourra donc dire que le travail a bien été
réalisé.
C'est la partie qui gère le fonctionnement du Système Automatisé. Elle est en général
composée d'un ordinateur contenant dans sa mémoire un programme. Elle transmet les
ordres aux actionneurs de la partie opérative suivant :
Des actionneurs : Ceux-ci transforment l’énergie reçue en énergie utile. (Par exemple :
moteur,
Vérin, résistance chauffante, etc…)
Des capteurs : ils transforment la variation de l’une des grandeurs physiques liée au
procédé en signaux électriques. (Par exemple : capteur de position, de température,
d’humidité, etc.…) [1]
1.5 L’Interface
Comme vous avez pu le lire précédemment, la Partie Commande et la Partie Opérative sont
de nature différente. Pour que les informations circulent correctement entre ces deux
parties, on va utiliser un objet appelé Interface.
Ces Interfaces sont en fait des sortes de "traducteurs" qui relient la Partie Commande à la
Partie Opérative.
Définition
Alimenter : Mise en forme de l’énergie externe en énergie compatible pour créer une
Distribuer : Distribution de l’énergie à l’actionneur réalisée par un distributeur ou
un contacteur.
Convertir : L’organe de conversion d’énergie appelé actionneur peut être un vérin,
un moteur…
Transmettre : Cette fonction est remplie par l’ensemble des organes mécaniques de
transmission de mouvement et d’effort : ( engrenages, courroies, accouplement,
embrayage …) [1]
Résistance chauffante
C'est un actionneur qui permet, à partir d'air comprimé, de
faire tourner un mécanisme.
Vérin rotatif
C'est un actionneur qui permet, à partir d'un courant
électrique, de produire un signal lumineux. On l'utilise, par
exemple, pour avertir l'utilisateur de l'état de
Voyants fonctionnement d'une machine.
Figure I.7 :
Servovalve et Variateurs de
fréquence
Le principe de la commande de vitesse est illustré ci-
dessous. L’opérateur choisit une valeur u(t) en fonction de la vitesse ω c(t) qu’il souhaite
obtenir. L’amplificateur de puissance ajuste en conséquence l’alimentation ua(t) du
moteur.
La vitesse réelle du moteur n’est pas mesurée. On dit que la commande est en boucle
ouverte. C’est éventuellement l’opérateur qui décide s’il faut modifier la valeur u(t). Il le fait
généralement sans avoir une idée quantitative de la vitesse, mais plutôt en évaluant le
résultat du processus, à la vue ou à l’ouïe. [2]
1.8.2.3 Mode réglé en vitesse
L’air est fourni par un compresseur, complété de filtres, d’un séparateur d’eau
et d’un déshuileur.
Il est souvent produit pour tout un atelier, et distribué à toutes les machines.
Les actionneurs sont généralement des vérins linéaires, mais aussi des moteurs
rotatifs. On utilise également des aspirateurs suceurs à vide pour saisir des
objets. Ils sont commandés en tout ou rien par des distributeurs, actionnés
mécaniquement ou électriquement. [2]
Les actionneurs hydrauliques sont utilisés pour des mouvements requérant des forces très
élevées à faible vitesse. Utilisant de l’huile sous des pressions atteignant 400 bar, ils
permettent de réaliser des vérins de force prodigieuse (jusqu’à 3'000'000 N, soit 300
tonnes force). Leurs temps de réponse sont plus rapides que pour l’air (quelques
millisecondes), car l’huile est presque incompressible.
L’huile est fournie par une pompe hydraulique qui fait généralement partie de la machine.
Elle est distribuée par des tuyaux vers les organes récepteurs. L’huile qui s’échappe lors du
fonctionnement des actionneurs est intégralement récupérée, et ramenée à la pompe
après filtrage et refroidissement éventuel. Les actionneurs sont des vérins linéaires ou des
moteurs rotatifs. Leur action est contrôlée par des distributeurs. Ils peuvent être de type
tout ou rien, agissant comme des aiguillages, ou de type proportionnel, permettant de
moduler la pression ou le débit d’huile. [2]
Figure I.9 : Principes d’un vérin linéaire et de son actionneur
1.9.1 Définition
Analogique : L’information peut prendre toutes les valeurs possibles entre 2 certaines
valeurs limites ; on parle alors d’un capteur analogique. La figure I.11 montre la
caractéristique d’un capteur de température :
Ce type de capteur est constitué d'un contact électrique qui s'ouvre ou se ferme lorsque
l'objet à détecter actionne par contact un élément mobile du capteur (dispositif d'attaque).
Les gammes de ce type de capteur sont très variées ; elles sont fonction des problèmes
posés par leur utilisation. Ainsi, la tête de commande et le dispositif d'attaque sont
déterminés à partir de :
• La forme de l'objet
• La trajectoire de l'objet
• La précision de guidage
Les figures suivantes montrent des exemples de capteur de position :
Caractéristiques :
- Commande directe
- Présence de l'objet en buté mécanique
Caractéristiques :
Caractéristiques :
- Guidage peu précis ~ 5mm Came à 30°
Les capteurs sans contact ou de proximité détectent à distance et sans contact avec
l’objet dont ils contrôlent la position. Un contact électrique s'ouvre alors ou se ferme
en fonction de la présence ou du non présence d’un objet dans la zone sensible du capteur.
L'inverse des capteurs avec contacts, les capteurs de proximité sont des détecteurs
statiques (pas de pièce mobile) dont la durée de vie est indépendante du nombre de
manœuvres. Le choix d’un détecteur de proximité dépend :
De la nature du matériau constituant l’objet à détecter.
De la distance de l’objet à détecter.
Des dimensions de l’emplacement disponible pour implanter le
détecteur.
A) Capteurs inductifs:
Caractéristiques :
Portée nominale qui définit la zone de
détection. Elle dépend de l'épaisseur de
l'objet et peut aller Jusqu’à 50mm.
Tension d'alimentation de 12V à 48V continu Et de
24 à 240V alternatif. Technique de raccordement 2
fils et 3 fils.
Figure I.16:
Détecteur de
La technologie des détecteurs de proximité inductifs est basée sur la variation d’un champ
magnétique à l’approche d’un objet conducteur du courant électrique. Leur usage est
uniquement réservé à la détection d’éléments métalliques dans les secteurs de la machine-
outil, l'agro-alimentaire, la robotique, et les applications de l'usinage, la manutention,
l'assemblage, le convoyage.
Les détecteurs inductifs existent suivant différents modèles : ceci en fonction de leur mode
de raccordement comme c’est illustré à la figure I.18 :
2 Fils avec courant continu ou alternatif
3 Fils avec courant continu type PNP ou NPN, en fonction de l’électronique interne.
Figure
I.18 :
Technique
de
raccordeme
nt des
B) Capteurs capacitifs
capteurs
inductifs et
capacitife La technologie des détecteurs de proximité capacitifs est
basée sur la variation d’un champ électrique à l’approche d’un objet quelconque. Ils
permettent de détecter tout type d'objet dans les domaines de l'agro-alimentaire, de la
chimie, de la transformation des matières plastiques, du bois et des matériaux de
construction. [3]
Caractéristiques :
C) Capteurs magnétiques:
Un interrupteur à lame souple (I.L.S.) est constitué d'un boîtier à l'intérieur duquel est placé
un contact électrique métallique souple sensible aux champs magnétiques. Il permet de
détecter tous les matériaux magnétiques dans le domaine de la domotique pour la
détection de fermeture de portes et fenêtres et le domaine pneumatique pour la détection
de la position d'un vérin, etc.
Figure I.19 : Principe de fonctionnement d’un ILS
Pour connaître le sens de rotation du codeur, on utilise une deuxième piste B qui sera
décalée par rapport à la première de 90° (1/4 de tour).
1.9.4.2 Codeur optique incrémental
1.10.1 Introduction
Les pré-actionneurs sont des constituants qui, sur ordre de la partie de commande,
assurent la distribution de l’énergie de puissance aux actionneurs.
Dans les circuits électriques, les pré-actionneurs sont généralement soit un relais, soit un
contacteur. Le contacteur assure en plus l’extinction de l’arc électrique qui accompagne
souvent la commutation de l’énergie de forte puissance. En effet, quand on ouvre un circuit
en cours de fonctionnement, le contact en cause provoque un arc électrique qui peut être
dangereux pour les biens et les personnes.
1.10.2.2 Le contacteur
Un contacteur est un relais électromagnétique particulier, pouvant commuter de fortes
puissances grâce à un dispositif de coupure d’arc électrique. Sa commande peut être
continue ou alternative. Sa constitution est comme suit :
Des pôles principaux de puissance ;
Un contact auxiliaire (avec possibilité d'additionner au contacteur un bloc de
contacts auxiliaires instantanés ou temporisés) ;
Une armature fixe et un autre mobile ;
Un ressort de rappel ;
Un circuit magnétique ;
Une bobine de commande du contacteur. Si la bobine est alimentée elle attire
l’armature mobile pour actionner les pôles de puissance ; Si elle n’est pas
alimentée un ressort de rappel ouvre les pôles de puissance.
1.10.2.3 Le sectionneur
Le sectionneur est un appareil de connexion qui permet d'isoler (séparer électriquement)
un circuit pour effectuer des opérations de maintenance ou de modification sur les circuits
électriques qui se trouvent en aval. Ainsi il permet d’assurer la sécurité des personnes qui
travaillent sur le reste de l’installation en amont.
Le sectionneur ne possède aucun pouvoir de coupure, par conséquent, il ne doit pas
être manœuvré en charge.
On trouve également des sectionneurs qui servent en plus de porte-fusible.
On les désigne par "Sectionneurs porte-fusible" : [3]
1.10.3Pré-actionneurs pneumatique
Les distributeurs pneumatiques ont pour fonction de distribuer l’air comprimé jusqu’au
actionneur (vérin). Ils ont le même rôle que les contacteurs. Un coulisseau ou un tiroir
se déplace dans le corps du distributeur, il permet de fermer ou d’ouvrir des orifices
d’air et ainsi de piloter différents actionneurs.
1.10.3.1 Fonction
Ils ont pour fonction essentielle de distribuer l'air sous pression aux différents orifices des
actionneurs pneumatiques. Comme le contacteur est associé à un moteur électrique, le
distributeur est le pré- actionneur associé à un vérin pneumatique : [1]
1.Introduction
• Le logiciel (Software) :
2.2 Définition
La carte Arduino est une plateforme utilisée pour réaliser des projets électroniques plus
développé. Elle est composée d’un circuit physique programmables est dit microcontrôleurs et
de logiciel utilisé pour créer et télécharger le code de l’ordinateur à la carte [5].
Un microcontrôleur ATMega328 est un circuit intégré qui rassemble sur une puce plusieurs
éléments complexes dans un espace réduit au temps des pionniers de l’électronique.
Aujourd’hui, en soudant un grand nombre de composants encombrants ; tels que les
transistors les résistances et les condensateurs tout peut être logé dans un petit boîtier en
plastique noir muni d’un certain nombre de broches dont la programmation peut être
réalisée en langage C. la figure II.2 montre un microcontrôleur ATM Ega 328, qu’on trouve
sur la carte Arduino. [5]
Le microcontrôleur ATMega328 est constitué par un ensemble d’éléments qui ont chacun
une fonction bien déterminée. Il est en fait constitué des mêmes éléments que sur la carte
mère d’un ordinateur. Globalement, l’architecture interne de ce circuit programmable se
compose essentiellement sur :
• La mémoire Flash : C'est celle qui contiendra le programme à exécuter. Cette mémoire
est effaçable et réinscriptible mémoire programme de 32Ko (dont bootloader de 0.5 ko).
• RAM : c'est la mémoire dite "vive", elle va contenir les variables du programme. Elle est
dite "volatile" car elle s'efface si on coupe l'alimentation du microcontrôleur. Sa capacité
est 2 ko.
• EEPROM :C'est le disque dur du microcontrôleur. On y enregistre des infos qui ont besoin
de survivre dans le temps, même si la carte doit être arrêtée.
3.2.Les sources de l'alimentation de la carte
On peut distinguer deux genres de sources d’alimentation (Entrée Sortie) et cela comme
Suit:
• Vin : La tension d'entrée positive lorsque la carte Arduino est utilisée avec une source de
tension externe (à distinguer du 5V de la connexion USB ou autre source 5V régulée). On
peut alimenter la carte à l'aide de cette broche, ou, si l'alimentation est fournie par le jack
d'alimentation, accéder à la tension d'alimentation sur cette broche.
• 5V : La tension régulée utilisée pour faire fonctionner le microcontrôleur et les autres
composants de la carte (pour info : les circuits électroniques numériques nécessitent une
tension d'alimentation parfaitement stable dite "tension régulée" obtenue à l'aide d'un
composant appelé un régulateur et qui est intégré à la carte Arduino). Le 5V régulé fourni
par cette broche peut donc provenir soit de la tension d'alimentation Vin via le régulateur de
la carte, ou bien de la connexion USB (qui fournit du 5V régulé) ou de tout autre source
d'alimentation régulée.
• 3,3 V : Une alimentation de 3.3V fournie par le circuit intégré FTDI (circuit intégré faisant
l'adaptation du signal entre le port USB de votre ordinateur et le port série de l'ATmega) de
la carte est disponible : ceci est intéressant pour certains circuits externes nécessitant cette
tension au lieu du 5V. L'intensité maximale disponible sur cette broche est de 50mA. [6]
4.2.Le logiciel
Gratuit et open source, développé en Java, dont la simplicité d'utilisation relève du savoir
cliquer sur la Souris. [6]
4.3.Le matériel
Cartes électroniques dont les schémas sont en libre circulation sur internet. Cette liberté a
une condition : le nom « Arduino » ne doit être employé que pour les cartes «officielles ». En
somme, vous ne pouvez pas fabriquer votre propre carte sur le modèle Arduino et lui
assigner le nom « Arduino ». Les cartes non officielles, on peut les trouver et les acheter sur
Internet et sont pour la quasi-totalité compatibles avec les cartes officielles Arduino. [6]
La compatibilité
Le logiciel, tout comme la carte, est compatible sous les plateformes les plus courantes
(Windows, Linux et Mac), contrairement aux autres outils de programmation du commerce
qui ne sont, en général, compatibles qu'avec Windows. [6]
La communauté
La communauté Arduino est impressionnante et le nombre de ressources à son sujet est en
constante évolution sur internet. De plus, on trouve les références du langage Arduino ainsi
qu’une page complète de tutoriels sur le site arduino.cc (en anglais) et (en français).
Finalement, nous retiendrons ce projet pour toutes ses qualités ! [6]
5.Les outils Arduino
À présent, rapprochons-nous de « l'utilisation » du système Arduino et voyons comment
il se présente. Il est composé de deux choses principales, qui sont : le matériel et le logiciel.
Ces deux outils réunis, il nous sera possible de faire n'importe quelle réalisation ! [5]
6.Le matériel
Il s'agit d'une carte électronique basée autour d'un microcontrôleur Atmega du fabricant
Atmel, dont le prix est relativement bas pour l'étendue possible des applications. [5]
Elle contient :
•14 entrées /sortiesnumériques
• 6 entrées analogiques
• 125 ko de mémoire flash
Figure. II.4 Arduino Uno
C’est une carte Arduino officiel mais avec beaucoup plus d’entrées / sorties et 2fois plus de
mémoire qu’une carte Arduino UNO. Elle contient :
• 54 entrées/ sorties numériques,16 entrées analogiques,256 ko de mémoire flash 6
interruptions extérieures.
Le programme est lié à une série d’instruction élémentaires sous forme texte donc la carte
litaprès exécute les instructions par un ordre un après l’autre.
• Un ordinateur
• Une carte Arduino
• Programme lié à l’Arduino
- Syntaxe du langage : C et C++ qui est le suivant Code minimal : son rôle de devisé le
programme en deux parties La fonction :
- Setup () : est considéré comme fonction d’initialisation on l’appelle une seul fois au
début du programme.
- Loup () : c’est pour écrire le cœur du programme. Elle est appelée en permanence :
en boucle infinie.
- Les instructions : sont des lignes contenant des codes, exemple : « Fait ceci », « Fait
cela »
- Les points-virgules (;) : pour finir les instructions Les accolades [] : sont utilisées
pour les
fonctions ;
- les boucles : Elles sont obligatoires.
- Les commentaires : // cette ligne a un commentaire. /* pour plusieurs lignes
- Les variables : Les variables booléennes peuvent prendre deux valeurs soit vraie ou
faux donc si une variable vaut (0) on la considère comme variable booléennes
fausse et si une variable prend n’importe quelle valeur différente de zéro on la
considère comme variable booléenne vraie.
• char (variable ‘caractère’).
• Int (variable ‘nombre entier’.)
• long (variable ‘nombre entier de très grande taille’).
• string (variable ‘chaine de caractères’).
8.2.Le logiciel
8.2.1.Arduino IDE
Arduino IDE est un logiciel open-source qui permet aux utilisateurs d’écrire et de
télécharger du code dans un environnement de travail en temps réel. Ce code étant
ensuite stocké dans le Cloud, il est souvent utilisé par ceux qui recherchent un niveau de
Redondance supplémentaire.
Le système est entièrement compatible avec n’importe quelle carte de logiciel Arduino.
8.2.2..Structure programme
Logiciel va nous permettre de programmer la carte Arduino. Il nous offre une multitude de
fonctionnalités.
Le menu File :
Figure.II.9 Le menu fichier
Carnet de croquis : Ce menu regroupe les fichiers que vous avez pu faire jusqu’à
maintenant (et s’ils sont enregistrés dans le dossier par défaut du logiciel).
Exemples (exemples) : Ceci est import, toute une liste se déroule pour afficher les noms
d’exemples de programmes existants : avec ça, vous aider /inspirer pour créer vos
propres programmes ou tester de nouveaux composants.
Télé verser : Permet d’envoyer le programme sur la carte Arduino. Nous y reviendrons.
Télé avec un programmateur : Idem que ci-dessus, mais avec l’utilisation d’un
programmateur.
Préférences : Vous pourrez régler ici quelques paramètres du logiciel. Le reste des
menus n’est pas intéressant pour l’instant, on y reviendra plus tard, avant de
commencer à programmer.
Pour vérifier que ton Arduino peut recevoir des messages et un nouveau programme
De ton ordinateur, tu dois compiler et télécharger le sketch de clignotement (Blink sketch).
Va dans le menu Fichier > Exemples > Basics > Blink (voir la figure) Afin d'ouvrir une
nouvelle fenêtre contenant le sketch Blink.
Avant de télécharger ton code, tu dois vérifier deux réglages :
Le type de carte et le port de communication. Tu dois t'assurer que ces paramètres sont
corrects chaque fois que tu démarres l'IDE Arduino. Après les avoir vérifiés, tu ne devras
plus les changer jusqu'à ce que tu quittes et redémarres l'IDE à nouveau. Tu devrais y
trouver une liste de toutes les cartes Arduino. Assure-toi de choisir celle que tu utilises. (Ce
sera normalement un Arduino Uno, mais si tu n'es pas sûr, le modèle est écrit sur la carte).
Tu trouveras le port dans le menu Outils > Port. Choisis le port que tu utilises de la même
façon que tu as choisi le type de carte. Assure-toi que ta carte Arduino est reliée à ton
ordinateur avec le câble USB, sinon le port n'apparaîtra pas dans la liste.