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Exposé Masync

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SOMMAIRE

I. LES MACHINES SYNCHRONES


A. INTRODUCTION
B. CONSTITUTION
C. PRINCIPE DE FONCTIONNEMENT
D. CARACTERISTIQUES
GENERAUX
E. APPLICATIONS INDUSTRIELLES

II. LES POMPES AUTO-AMORCANTES


A. INTRODUCTION
B. AVANTAGES
C. FONCTIONNEMENT
D. APPLICATIONS

III. CONCLUSION
IV. BIBLIOGRAPHIE
LES MACHINES SYNCHRONES
INTRODUCTION
Autrefois utilisés quasi exclusivement en alternateur, le développement de l'électronique de
puissance et la généralisation des aimants comme inducteur permettent aujourd'hui d'employer les
machines synchrones en tant que moteurs dans une large gamme de puissance.

Une machine synchrone est une machine


électrique tournante dans laquelle le rotor tourne de
façon synchrone avec le champ tournant du stator.

La machine synchrone est inventée par Nikola Tesla. Son


concept figure dans un dépôt de sept brevets du 1er mai
1888 où il en décrit plusieurs variantes ainsi que le
principe du courant alternatif biphasé et triphasée et
leur distribution. Tesla aurait développé cette idée de
machine électrique quand il était étudiant à l’Ecole
Polytechnique de Graz (1875-1876).

La machine synchrone peut fonctionner en tant que moteur électrique et générateur électrique
pour :

• Soit produire un courant électrique dont la fréquence est déterminée par la vitesse de
rotation du rotor : fonctionnement en « générateur électrique » dans deux quadrants du
plan couple vitesse. L’alternateur est une application particulière de la machine synchrone
fonctionnant en générateur dans un seul quadrant du plan couple-vitesse
• Soit en absorbant un courant électrique dont la fréquence détermine la vitesse de rotation
du rotor : fonctionnement « moteur ».

Au-delà de quelques kilowatts. Les machines synchrones sont généralement des machines
triphasées. Le rotor, souvent appelé « roue polaire » est alimenté par une source de courant continu
ou équipé d’aimants permanents.

CONSTITUTION
Comme tout moteur, la machine synchrone est constitué d'une partie mobile : le rotor et d'une
partie fixe : le stator.
Stator :

Il est la partie stationnaire de


la machine. Le stator est
constitué d'un bobinage
triphasé généralement couplé
en étoile, découpé en p paire
de pôles. Les bobinages sont
insérés dans des encoches au
sein de culasse en ferrite.
Dans un moteur électrique, le
stator fournit un champ
magnétique tournant qui
entraîne l'armature
tournante; dans un
générateur, le stator convertit
le champ magnétique
tournant en courant
électrique. Selon la
configuration de la machine,
le stator peut créer un champ
magnétique qui par interaction avec le champ magnétique rotorique produit le couple
électromécanique. Le stator peut être constitué d'aimants permanents ou d’électroaimants.

Rotor :
Il est la partie mobile par rapport au stator. C'est un aimant permanent ou un électroaimant alimenté
en courant continu par l'intermédiaire de balais. L'inducteur crée un champ tournant. Suivant la
technologie utilisée, le champ magnétique est créé par des bobinages ou des aimants permanents.
Lorsque que l'inducteur est bobiné, il est nécessaire de conserver des balais (pièces conductrices,
chargées d’assurer une liaison électrique entre un organe fixe et un organe tournant) afin de
l'alimenter (mais sans commutation).

Cette structure réserve plusieurs avantages :

- Pas de pertes au rotor

- Pas besoin de bobinage et de balais au rotor

- Un rotor plus léger (car aimants plus légers que les bobinages) → servomoteurs à faible inertie donc
très réactifs

- Pour les faibles dimensions, induction plus importante.

Autrefois, cette technologie ne permettait pas de réaliser des machines de très fortes dimensions
(cout trop important) mais avec les progrès réalisés sur les aimants, on observe une montée en
puissance de ces moteurs. Les aimants utilisés sont généralement soit des ferrites (faible induction
mais bon marché) ou du Samarium cobalt (forte induction mais couteux).

Remarque :

Deux grandes catégories de machines synchrones :

• Machines à pôles saillants (roue polaire)

Le rotor est caractérisé par son nombre de paires de pôles p :

• Machines à pôles lisses


PRINCIPE DE FONCTIONNEMENT
Description :
La machine synchrone se compose d'une partie tournante, le rotor, et d'une partie fixe, le stator. Le
rotor peut se composer d'aimants permanents ou être constitué d'un bobinage alimenté en courant
continu par l'intermédiaire de bagues collectrices et de balais le tout constituant un électroaimant.
Lorsque la machine est utilisée en génératrice, pour produire du courant, on utilise une force
extérieure pour faire tourner le rotor : son champ magnétique, en tournant, induit un courant
électrique alternatif dans les bobines du stator. La vitesse de ce champ tournant est appelée
« vitesse de synchronisme ».
Pour le fonctionnement en tant que moteur, par exemple dans le cas d'un stator comportant trois
phases, le simple fait de les relier aux trois phases d'une alimentation en courant alternatif
triphasé produit un champ magnétique tournant d'amplitude constante, la vitesse de rotation étant
égale à la fréquence de l'alimentation. C'est dans ce cas l'alimentation qui fixe la vitesse de
synchronisme.
Si l'on place dans ce champ un aimant ou un électroaimant monté sur un axe, celui-ci va
« s'accrocher » au champ tournant et entrer en rotation avec lui. Dans le cas des machines dites à
« réluctance synchrone », il est même possible d'utiliser un rotor constitué d'un simple empilement
de tôles ferromagnétiques, ne possédant pas d'aimantation propre, et dans lequel ne circule aucun
courant.
Il convient ici de signaler une erreur commune dans les vulgarisations que l'on peut trouver sur la
machine électrique : il est souvent dit que le champ magnétique du stator interagit avec le champ du
rotor pour le pousser ou le tirer. Ceci est physiquement impossible, car les champs magnétiques
n'interagissent pas entre eux. Plus exactement, pour faire tourner le rotor, il faut arriver à produire
une force (ou un couple de forces), et on ne trouvera pas dans un cours de physique de formule
combinant directement deux champs pour donner une force10.
En revanche, on trouvera facilement qu'il est possible de produire une force en faisant agir un champ
magnétique sur un courant électrique (force de Laplace). Il s'agit bien d'une action directe du champ
sur le courant lui-même et non sur le champ produit par le courant, car la formule serait alors très
différente. On peut synthétiser l'effet de l'ensemble des courants circulant dans un objet, avec leur
position, direction sens et intensité en un vecteur dit « moment magnétique ». Contrairement au
champ magnétique, il est lié à l'objet dans lequel circulent les courants et ne se propage pas à
l'extérieur. Ce concept est en particulier applicable aux courants circulant dans les bobinages d'un
rotor constitué d'électroaimants. Mais bien qu'en apparence il n'y ait pas de courant dans les
aimants permanents, ceux-ci produisent également un moment magnétique.
C'est alors l'action du champ magnétique du stator sur le moment magnétique du rotor qui produit le
moment mécanique du couple qui va provoquer la rotation de la machine. En première approche, le
champ magnétique du rotor ne joue aucun rôle dans l'effet moteur, et va même plutôt le contrarier
en induisant une force contre-électromotrice dans le stator, qui s'oppose partiellement à
l'alimentation.
Cas d’un rotor constitué d’un aimant permanent
Bien qu'aucun courant ne soit injecté dans un tel aimant, les électrons circulant sur leurs orbites
constituent l'équivalent de petits circuits électriques et produisent donc un moment magnétique. De
plus les particules subatomiques (électrons, protons et même neutrons) sont dotées d'un moment
magnétique quantique intrinsèque. Bien entendu, ceci est vrai pour tous les corps matériels. Ce qui
fait la particularité des aimants et des matériaux ferromagnétiques en général, c'est la possibilité
d'orienter l'ensemble des moments élémentaires dans une même direction, alors que dans les autres
matériaux ils restent disposés de façon aléatoire, produisant une résultante moyenne nulle.
L'alignement des domaines magnétiques élémentaires sur une direction commune permet ainsi aux
aimants de présenter un moment magnétique d'ensemble important, sur lequel le champ
magnétique du stator va pouvoir agir pour produire le couple entraînant la machine.
Relation entre la fréquence d'alimentation de la machine et sa vitesse de rotation

• On désigne par ns la vitesse de rotation du champ statorique dans la machine.


• On désigne par n la vitesse de rotation de la machine.
La fréquence de synchronisme est toujours un sous-multiple entier de la fréquence de l'alimentation
électrique, ceci en fonction du nombre de paires de pôles magnétiques constitutifs du stator.
Exemple :

• en 50 Hz c'est un sous-multiple de 3 000 tr/min, soit : 3 000 (une paire de pôles) ; 1 500 (deux
paires de pôles) ; 1 000 (trois paires de pôles) 750 (quatre paires de pôles), etc.
Soit p le nombre de paires de pôles de la machine et f la fréquence de l'alimentation.
On a :
𝑓 60𝑓
𝑛𝑠 = 𝑝 En tr/s ou 𝑛𝑠 = 𝑝
en tr/min.

➢ Méthode de démarrage
Il n'est pas possible de faire démarrer correctement, sans aide extérieure, une machine synchrone en
connectant ses enroulements statoriques directement sur un réseau alternatif. Ceci parce que
l'inertie du rotor l'empêche de prendre immédiatement la vitesse du champ qui tourne autour de lui,
et l'amène à percevoir un couple résultant de moyenne faible ou nulle. Mais, si l'on n'entraîne pas le
rotor par une force extérieure, il est possible de la faire tourner en alimentant ses enroulements
statoriques par un courant alternatif dont la fréquence augmente progressivement de zéro à la
fréquence de synchronisme et en faisant en sorte que la tension aux bornes des enroulements soit
proportionnelle à la fréquence. Sa vitesse de synchronisme sera directement liée à la fréquence de
l'alimentation électrique.
Une autre approche est d'utiliser une machine pourvue d'une cage d'écureuil au rotor de la machine
synchrone pour y jouer le rôle d'amortisseur Leblanc afin de démarrer en mode asynchrone et de
passer ensuite en mode synchrone lorsque la vitesse est suffisamment proche de la valeur finale.
Un autre moyen est de réaliser l'autopilotage de la machine, c'est-à-dire de maintenir
l'orthogonalité du flux magnétique rotorique par rapport au flux statorique, par exemple, en
disposant sur son axe un capteur qui délivre une information de la position du rotor. Cette
information est traitée par un convertisseur électronique qui fournit le courant statorique à la
machine, en phase avec sa force contre-électromotrice. Cette méthode permet d'obtenir un
fonctionnement identique à celle d'une machine à courant continu avec l'avantage de la suppression
du collecteur et des balais.
➢ EXPLICATION DE LA VITESSE DE SYNCHRONISME
Le stator alimenté par un système de tensions triphasé crée un champ tournant dans l'entrefer. Ce
f
champ magnétique tourne à la vitesse de tours par secondes avec f fréquence d'alimentation des
p
bobinages statoriques, et p le nombre de paires de pôles. Le rotor composé de p aimants
permanents va alors s'aligner avec le champ tournant. Le rotor tourne ainsi à la même vitesse que le
champ tournant : c’est la vitesse de synchronisme ; la pulsation électrique des courants statoriques
est égale à la vitesse angulaire du rotor. La vitesse de rotation du rotor est donc :
𝑤
Ω =
𝑝

La vitesse de synchronisme est fonction de la fréquence du réseau d'alimentation (50 Hz en Europe)


et du nombre de paires de pôles. Vu que la fréquence est fixe, la vitesse de rotation du champ
tournant du moteur ne peut varier qu'en fonction du nombre de paires de pôles.

Exemple :

• Moteur avec 1 paires de pôles (2 pôles) : (50x60) / 1 = 3000 tr/mn


• Moteur avec 2 paires de pôles (4 pôles) : (50x60) / 2 = 1500 tr/mn
• Moteur avec 3 paires de pôles (6 pôles) : (50x60) / 3 = 1000 tr/mn
• Moteur avec 4 paires de pôles (8 pôles) : (50x60) / 4 = 750 tr/mn

Remarque :

• Le synchronisme des champs magnétiques induit et inducteur impose une procédure


spécifique de démarrage (de couplage au réseau en mode alternateur).
- En mode moteur : un moteur synchrone ne peut démarrer directement à pleine
tension depuis le réseau de fréquence 50Hz (Car le rotor a une vitesse nulle au
𝑤
démarrage Ω ≠ ). Pour une alimentation directe en 50 Hz, il faudrait donc au
𝑝
préalable amener la charge à la vitesse nominale par un moteur auxiliaire puis
connecter l'alimentation. Pour les moteurs brushless, la solution consiste à utiliser un
onduleur (système électronique recréant un système de tension triphasé de
fréquence et d'amplitude voulu). Autrefois, le rotor devait être lancé à la vitesse de
synchronisme par un dispositif tierce et la variation de vitesse était impossible à
réaliser.
- En mode alternateur (pour les machines à rotor bobiné essentiellement) : avant de
connecter la machine synchrone au réseau, il faut lancer le rotor à la vitesse de
synchronisme par un moteur annexe, puis en modulant le courant d'induction,
amener la f.é.m. créée par l'alternateur à la même valeur que la tension du réseau.
• Le problème de ce mode de fonctionnement de la machine synchrone est son instabilité. Les
constantes de temps électriques étant beaucoup plus faibles que les constantes de temps
mécaniques, le moindre changement rapide de courant statorique entraîne le décrochage du
champ magnétique créé par le rotor. Pour cette raison, le moteur synchrone, en pratique, ne
peut fonctionner correctement qu'en étant asservi afin de maintenir en permanence les
champs statoriques et rotoriques "en phase".

CARACTERISTIQUES GENERALES DES MACHINES SYNCHRONES


Dans sa version à rotor bobiné, la machine synchrone triphasée est le convertisseur attitré pour la
production d'électricité, ceci grâce à la possibilité de fournir de l'énergie réactive en modulant le
courant d'excitation. Pour des puissances inférieures à environ 50 kW, les moteurs synchrones à
aimants permanents présentes des avantages certains :

- Une inertie (ou poids) plus faible qu'avec un rotor bobiné. On a alors une puissance
massique plus importante que pour les autres moteurs électriques. Cela peut être
intéressant lorsque le problème d'encombrement ou de poids est important (par exemple, la
Toyota Prius est équipée d'un moteur synchrone à aimants permanents) ou lorsque l'on a
besoin d'une dynamique importante (servomoteur en robotique)

- Un rendement amélioré grâce à l'absence de consommation dans le rotor

- Un entretien réduit dû à l'absence de balais.

Cependant, on observe quelques limitations :

- Cout plus élevé des aimants

- Induction non réglable (difficulté de réglage à forte vitesse sans des pertes plus
importantes)

- Risque de démagnétisation des aimants et tenue en température réduite.

APPLICATIONS INDUSTRIELLES
1. Alternateurs équipant des centrales thermiques, hydrauliques, éoliennes ou des alimentations de
secours ou des alimentations embarquées (dans les navires et les avions).

2. Moteurs de grandes puissances équipant des locomotives, des navires et des entraînements à
vitesse variable ou non.

3. Ces machines peuvent être utilisées comme compensateur synchrone (fournir du réactif au
réseau).

4. En faibles puissances, elles sont autopilotées dans des entrainements à vitesses variables.
L’AUTO-AMORCAGE DES POMPES
INTRODUCTION
L’amorçage est la capacité à aspirer l'air contenu dans le tuyau d'aspiration pendant la phase de
démarrage d’une pompe.

La pompe auto-amorçante est un type de centrifugeuse pouvant aspirer le liquide d’un réservoir
d’alimentation. L’aspiration ne requiert pas un amorçage manuel de la pompe. Elle est
particulièrement utile lorsque le réservoir d’alimentation est situé à une altitude inférieure à la
destination du liquide ou lorsque les réservoirs d’alimentation n’est pas plein en permanence.

AVANTAGES DES POMPES AUTO-AMORCANTES


Par rapport aux pompes traditionnelles, les pompes auto-amorçantes présentent certains
avantages telles que :

• La capacité de démarrage rapide


• Le faible coût de maintenance
• La fiabilité

De plus comme ces pompes ne nécessitent pas de lignes d’aspiration séparées, elles réduisent le
risque que l’air pénètre dans les tuyaux et contamine le liquide.

FONCTIONNEMENT
La chambre d'amorçage doit être préalablement remplie. Quand la pompe démarre, le liquide et l’air
sont aspirés ensemble dans le corps interne pour être mélangés par la roue. Le mélange est refoulé
et envoyé à l’intérieur du corps arrière du réservoir, où le liquide et le gaz se séparent. Le liquide
reste dans la pompe et se dirige vers le refoulement pendant que le gaz est évacué. Alors le liquide
revient dans la chambre de la pompe par le trou de circulation placé derrière le corps du réservoir où
il est de nouveau mélangé avec l’air coté aspiration. Le procédé se répète jusqu’à ce que l’air à
l’aspiration soit complètement expulsé du réservoir. Quand l’air a été complètement évacué et que
la pompe est remplie avec le liquide, le fonctionnement est le même qu’une pompe centrifuge
classique.
Après l’arrêt de la pompe, il reste une quantité de liquide suffisante pour permettre de nouveau
l’auto-amorçage
Pour fonctionner correctement, les pompes auto-amorçantes doivent avoir un séparateur en place
garantissant qu’aucune particule solide n’est aspirée dans le système. Il est également important que
la pompe soit étanche aux fluides car toute rupture d’étanchéité peut empêcher les pompes de
s’auto-amorcer.

APPLICATIONS
La pompe auto-amorçante peut être utilisée dans une large gamme d’applications industrielles telles
que l’agriculture, la marine, l’automobile, la fabrication, etc.

CONCLUSION
Une machine synchrone est une machine tournante dans laquelle le rotor tourne de façon synchrone
avec le champ tournant du stator. La machine synchrone se distingue donc de la machine asynchrone
dont le rotor est en retard sur le champ tournant en fonctionnement moteur et en avance en
fonctionnement générateur. Une autre caractéristique distinctive est que, contrairement à la
machine asynchrone, un champ d’excitation supplémentaire est nécessaire pour le fonctionnement.

Une pompe auto-amorçante est un type spécifique de pompe à fluide qui doit être remplie d'un
liquide à l'intérieur de la cavité ou du corps de pompe pour lancer le processus de pompage.

BIBLIOGRAPHIE
➢ https://www.google.com/search?q=les+machines+synchrones&rlz=1C1CHBF_frTG1027TG10
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➢ https://fr.wikipedia.org/wiki/Machine_synchrone
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7j0i546l2.14922j0j4&sourceid=chrome&ie=UTF-8
➢ https://www.labonnepompe.com/5-pompe-surface-auto-amorcante
➢ https://www.google.com/search?q=pompe+auto-
amor%C3%A7ante&rlz=1C1CHBF_frTG1027TG1027&oq=les+pompes-auto-
amorcantes&aqs=chrome.1.69i57j0i546l3j0i30i546j69i60.12807j0j4&sourceid=chrome&ie=U
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