Ce résumé décrit une méthode pour tracer des droites de hauteur sur une sphère approximée par un plan tangent. Il explique également comment représenter les altérations angulaires entre deux surfaces à l'aide d'indicatrices de Tissot.
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Ce résumé décrit une méthode pour tracer des droites de hauteur sur une sphère approximée par un plan tangent. Il explique également comment représenter les altérations angulaires entre deux surfaces à l'aide d'indicatrices de Tissot.
Ce résumé décrit une méthode pour tracer des droites de hauteur sur une sphère approximée par un plan tangent. Il explique également comment représenter les altérations angulaires entre deux surfaces à l'aide d'indicatrices de Tissot.
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Solution du point approché : on assimile en Zo la sphère à son plan tangent, le cercle de
hauteur est alors représenté par sa tangente qu’on appelle droite de hauteur. Pour tracer cette droite il suffit de reprendre la relation linéarisée :
− dDz i = x sin Az oi + y cos Az oi
Le repère plan utilisé est de telle sorte que Ai
l’origine est Zo, l’axe des abscisses est tangent au parallèle du point approché et l’axe Di Azoi des ordonnées tangent au méridien. Pour une étoile de direction Az oi , la droite de hauteur est perpendiculaire à la direction de x i l’étoile (pente de la droite : = − tan Az oi ) et la dD Z Zo
On considère à nouveau des angles correspondants (figure 11).L'altération angulaire est la
différence : δ = Θ −θ (52) La figure 13 montre deux domaines de chaque surface limités par deux courbes fermées correspondantes. Les aires des de μ 2 x domaines sont Δσ et ΔΣ . On appelle module aréolaire la quantité : ΔΣ d Σ k = lim = (53) m′→ m Δσ d σ Soit, sur la surface σ , un cercle de centre m et de rayon Δs (figure 14). On démontre que, pour un rayon tendant vers 0, la courbe correspondante du cercle est une ellipse au second ordre près. Cette ellipse est l'indicatrice de Tissot. Ses axes de symétries MM′ et MM′′ correspondent aux directions mm′ et mm′′ sur σ pour lesquelles le module linéaire est maximal (respectivement minimal). Les directions de ces axes sont les directions principales de la représentation au point m. MM′ et MM′′ sont évidemment orthogonaux, on démontre que mm′ et mm′′ le sont également. Les longueurs des axes de symétrie de l'indicatrice de Tissot se déduisent des modules linéaires μ 1 et μ 2 dans les directions principales, et valent μ 1 Δs et μ 2 Δs . L'aire du cercle sur σ est πΔs 2 , celle de l'ellipse indicatrice de Tissot est πμ 1 μ 2 Δs 2 . On en déduit, en appliquant (53) : k = μ 1μ 2 (54)
L'indicatrice de Tissot apporte une information très synthétique sur les altérations.