CE2 CNED Recueil de Documents
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RECUEIL DE DOCUMENTS
Français
Auteurs
Sylvie Gensane, professeure des écoles
Sophie Hermier, professeure des écoles
Guillemette Letellier, professeure des écoles
Thierry Levistre, professeur des écoles
Écriture
Écriture
Gâteau au chocolat................................................................. 9
Iles flottantes.......................................................................... 9
Six correspondances.............................................................. 10
Le corbeau et le renard – B.D............................................. 11
Boule et Bill – Planche avec bulles vides 1......................... 12
Boule et Bill – Planche avec bulles vides 2......................... 13
Étude / Langue
Étude de la langue
La Chinoise............................................................................. 14
Règle de vie et Travail de l’élève......................................... 15
Et toi que feras‑tu quand tu seras grand ?.......................... 16
Sindbad le marin............................................................... 16
Terriblement vert.............................................................. 17
L’homme qui plantait des arbres........................................ 17
Rochers à la noix de coco................................................... 18
Le corbeau et le renard (transcription)............................... 18
Poésie
Mon je‑me‑parle............................................................... 19
Pilote d’avion, un métier passionnant................................. 20
La lettre de J. Bertrand..................................................... 21
La lettre de Julie Laura..................................................... 21
Le petit Nicolas................................................................. 22
Lecture technique
Poésie
La réunion de famille......................................................... 23
Une baleine à bicyclette..................................................... 24
La grenouille aux souliers percés....................................... 25
La petite auto.................................................................... 25
Les hiboux........................................................................ 26
Image............................................................................... 26
La mer s’est retirée........................................................... 26
Le corbeau et le renard..................................................... 27
L’Échangeur de la Porte des Lilas...................................... 28
L. C. littéraire
La grenouille..................................................................... 39
J’ai geigné la pirafe........................................................... 39
Ali Baba............................................................................ 40
Le cancre.......................................................................... 41
Le poisson dans le bocal.................................................... 42
La lettre de Zéralda........................................................... 43
Un arbre........................................................................... 43
Le Loup et la Cigogne........................................................ 44
Écriture
L’ogresse en pleurs........................................................... 49
Cedric – Perdu de vue........................................................ 50
Le joueur de flûte d’Hamelin.............................................. 51
Théâtre............................................................................. 58
On a tiré sur le lapin.......................................................... 59
La Grenouille à grande bouche.......................................... 61
Charlie et la chocolaterie................................................... 62
Le Merveilleux Voyage de Niels Holgersson........................ 63
Camping à la campagne.................................................... 65
Poésie
Les poules........................................................................ 76
Pour faire un poème dadaïste............................................ 77
Boule et Bill – Dodo duo.................................................... 78
La cave............................................................................. 79
La fiancée du Nil............................................................... 86
Cédric – Pépé prend son bain............................................. 87
Cédric – Le réveil.............................................................. 88
Cédric – À chacun son métier............................................ 89
Cédric – Mauvais cygne..................................................... 90
L. C. littéraire
Écriture
Vocabulaire de l’arbre................................................... 96
Faire germer une graine............................................... 96
Où se cache le bois dans la maison ?............................. 97
Albums avec le mot « glace »............................................. 98
La vie d’autrefois : « Dis mamie »....................................... 99
Mesures du temps............................................................. 100
La loutre........................................................................... 101
Étude / Langue
Ces animaux qui font du bien............................................. 102
Être enfant en Afghanistan................................................ 103
L’ornithorynque................................................................. 104
Les Restos du cœur........................................................... 105
Les 6 types de forêts dans le monde................................... 106
Extrait d’une page de dictionnaire...................................... 107
La recette des galettes de maïs......................................... 108
Le retour du loup accepté en Allemagne............................ 109
Les dauphins.................................................................... 110
Poésie
Jean Dubuffet................................................................... 111
L’école de l’eau.................................................................. 112
Tout savoir sur l’ours blanc................................................ 113
La baleine grise................................................................ 114
Devenir français : droits et devoirs..................................... 115
La pollution de l’eau.......................................................... 115
Lecture technique
Petite histoire de la francophonie....................................... 116
Le tourisme en région Pyrénées........................................ 117
L. C. littéraire
L. C. documentaire
L'alphabet
a A a A n N n N
b B b B o O o O
c C c C p P p P
d D d D q Q q Q
e E e E r R r R
f F f F s S s S
g G g G t T t T
h H h H u U u U
i I i I v V v V
j J j J w W w W
k K k K x X x X
l L l L y Y y Y
m M m M z Z z Z
Écriture
1
2
Écriture
La Chinoise
– Tu regardes quoi ? je suis vietnamien. Mon nom, c’est
Je me retourne, surpris. J’aperçois Benjamin.
une fillette de mon âge. Elle porte Je montre le quai de Jemmapes :
un anorak noir, un jean bleu sombre, – J’habite là, chez les gens qui
Étude / Langue
Extrait deJe suis amoureux d’un tigre, Paul Thies, Éditions Syros.
Sindbad le marin
Étude / Langue
la lumière du salon
Cet homme parlait peu. C’est le fait des solitaires, mais on le sentait sûr de lui et confiant dans
cette assurance. C’était insolite dans ce pays dépouillé de tout. Il n’habitait pas une cabane mais
une vraie maison en pierre où l’on voyait très bien comment son travail personnel avait rapiécé
la ruine qu’il avait trouvée là à son arrivée. Son toit était solide et étanché. Le vent qui le frappait
faisait sur les tuiles le bruit de la mer sur les plages.
Son ménage était en ordre, sa vaisselle lavée, son parquet balayé, son fusil graissé ; sa soupe
bouillait sur le feu. Je remarquai alors qu’il était aussi rasé de frais, que tous ses boutons étaient
solidement cousus, que ses vêtements étaient reprisés avec le soin minutieux qui rend les reprises
invisibles.
Le berger qui ne fumait pas alla chercher un petit sac et déversa sur la table un tas de glands. Il
se mit à les examiner l’un après l’autre avec beaucoup d’attention, séparant les bons des mauvais.
Je fumais ma pipe. Je me proposai pour l’aider. Il me dit que c’était son affaire. En effet : voyant
le soin qu’il mettait à ce travail, je n’insistai pas. Ce fut toute notre conversation. Quand il eut du
côté des bons un tas de glands assez gros, il les compta par paquets de dix. Ce faisant, il éliminait
encore les petits fruits ou ceux qui étaient légèrement fendillés, car il les examinait de fort près.
Quand il eut ainsi devant lui cent glands parfaits, il s’arrêta et nous allâmes nous coucher.
(transcription)
Étude / Langue
face aux imprévus… Il s’agit d’un métier prestigieux mais difficile qui exige
une résistance physique et nerveuse à toute épreuve : nuits blanches,
décalages horaires, pression liée à la sécurité des passagers. Avant
d’accéder au titre de commandant de bord, le pilote de ligne doit accumuler
de l’expérience pendant des années en tant que copilote.
Étude / Langue
La lettre
de Julie Laura
La réunion de famille
Poésie
Ma sœur Loulou Mon oncle Firmin
Vient de Padoue Vient de Pékin
À pas de loup Sur les deux mains
Jacques Charpentreau
Poésie
La petite auto
Poésie
À ces mots le Corbeau ne se sent pas de joie,
Et pour montrer sa belle voix,
Il ouvre un large bec, laisse tomber sa proie.
Le renard s’en saisit, et dit : Mon bon Monsieur,
Apprenez que tout flatteur
Vit aux dépens de celui qui l’écoute.
Cette leçon vaut bien un fromage sans doute.
Le Corbeau honteux et confus
Jura, mais un peu tard, qu’on ne l’y prendrait plus.
Jean de La Fontaine
Tu dis sable
Et déjà
La mer est à tes pieds
Tu dis forêt
Et déjà
Les arbres te tendent leurs bras
Tu dis colline
Et déjà
Le sentier court avec toi vers le sommet
Tu dis nuage
Poésie
Et déjà
Un cumulus t’offre la promesse du voyage
Tu dis poème
Et déjà
Les mots volent et dansent comme des étincelles dans ta cheminée
Joseph‑Paul Schneider
© Le Cherche midi éditeur
Un Agneau se désaltérait*
Dans le courant d’une onde pure.
Un Loup survient à jeun, qui cherchait aventure,
Et que la faim en ces lieux attirait.
« Qui te rend si hardi* de troubler mon breuvage* ?
Dit cet animal plein de rage :
Tu seras châtié* de ta témérité*.
– Sire, répond l’Agneau, que Votre Majesté
Ne se mette pas en colère ;
Mais plutôt qu’elle considère
Que je me vas* désaltérant
Dans le courant,
Plus de vingt pas au‑dessous d’Elle ;
Poésie
Et que par conséquent, en aucune façon
Je ne puis troubler sa boisson.
– Tu la troubles, reprit cette bête cruelle ;
Et je sais que de moi, tu médis l’an passé.
– Comment l’aurais‑je fait si je n’étais pas né ?
Reprit l’Agneau : je tette encor ma mère
– Si ce n’est toi, c’est donc ton frère.
– Je n’en ai point. – C’est donc l’un des tiens ;
Car vous ne m’épargnez guère,
Vous, vos bergers et vos chiens.
On me l’a dit : il faut que je me venge. »
La petite sirène
Il était une fois une petite sirène qui vivait sous la mer auprès de son père, le roi de la mer, de
sa grand‑mère et de ses cinq sœurs. Lorsqu’une sirène atteignait l’âge de quinze ans, elle était
autorisée à nager jusqu’à la surface pour contempler le monde extérieur.
Lorsque la petite sirène atteignit enfin cet âge, elle se rendit à son tour à la surface. Elle aperçut un
navire avec un beau prince qui fêtait son anniversaire. Une tempête se déclencha, le navire chavira
et le prince tomba à l’eau. Elle le sauva en le ramenant, inconscient sur un rivage rocheux couvert
de sable fin. Mais une jeune femme surgit et la sirène se cacha. Le prince, à son réveil, aperçut la
jeune femme et pensa qu’elle l’avait sauvé. La petite sirène plongea désespérée.
Surprise d’avoir découvert que les hommes ne respiraient pas sous l’eau et mouraient très vite, elle
interrogea sa grand‑mère. Celle‑ci lui apprit que les hommes vivaient bien moins longtemps que les
sirènes mais qu’ils avaient une âme éternelle. La petite sirène voulait, elle aussi, une âme éternelle.
Pour cela, lui dit sa grand‑mère, elle devait se faire aimer et épouser d’un homme.
Extrait inspiré de « La petite sirène » d’Hans Christian Andersen
Lecture technique
Lecture technique
Lecture technique
Il était une fois un Bûcheron et une Bûcheronne qui avaient sept enfants tous Garçons. L'aîné n'avait
que dix ans, et le plus jeune n'en avait que sept. On s'étonnera que le Bûcheron ait eu tant d'enfants
en si peu de temps ; mais c'est que sa femme allait vite en besogne, et n'en faisait pas moins que
deux à la fois. Ils étaient fort pauvres, et leurs sept enfants les incommodaient beaucoup, parce
qu'aucun d'eux ne pouvait encore gagner sa vie. Ce qui les chagrinait encore, c'est que le plus jeune
était fort délicat et ne disait mot : prenant pour bêtise ce qui était une marque de la bonté de son
esprit. Il était fort petit, et quand il vint au monde, il n'était guère plus gros que le pouce, ce qui fit
que l'on l'appela le Petit Poucet. Ce pauvre enfant était le souffre‑douleur de la maison, et on lui
donnait toujours le tort. Cependant il était le plus fin, et le plus avisé de tous ses frères, et s'il parlait
Lecture technique
peu, il écoutait beaucoup. Il vint une année très fâcheuse, et la famine fut si grande, que ces pauvres
gens résolurent de se défaire de leurs enfants.
Extrait du conte : Le Petit Poucet, de Charles Perrault
Lecture technique
J’ai geigné la pirafe
Luc Bérimont
in L'esprit d'enfance
Lecture technique
Il dit non avec la tête
mais il dit oui avec le cœur
il dit oui à ce qu’il aime
il dit non au professeur
il est debout
on le questionne
et tous les problèmes sont posés
soudain le fou rire le prend
et il efface tout
les chiffres et les mots
les dates et les noms
les phrases et les pièges
et malgré les menaces du maître
sous les huées des enfants prodiges
avec des craies de toutes les couleurs
sur le tableau noir du malheur
il dessine le visage du bonheur
Lecture technique
Je suis
fla nq ue m ’a rr ête s,
mauvaise note
, et je Je es, mouillée
pl an ch es de bois noir ve rt e,
. les très
tête d’un prof co nv oq ue dans son s. En ba s, l’eau coule, du
amoureux
m e glis an te us lo in ,
Le directeur mme une s écluses. Pl
. C ’e st gr an d, grand, co s. le nt e, à cause de bl iq ue , le canal
bureau n sans navi re ac e de la Ré pu
oc éa la pl e
prison sans po
rt es , un cô té de isse sous terr
quement, il gl
d’un tigre
ir m éc on te nt. sp ar aî t br us ch e.
l’a di po
Il me regarde sais ce qui mel au fond d’
une
En co re to i, Benjamin ? Tu co mme un cara po in te des pieds le
– pe rche sur la
m e ple
finira par arri
ve r ? et je Je rde. Je contem
en … Je ba isse le nez, m en to n po sé sur la ramba rf oi s un e
Je sais bi temps que
le tes, pa
pi ed s. Le l’e au , de s feuilles mor nn e.
compte mes urbi llo
rs, je deviens planche qui to
ine son discou branche, une
directeur term
attes.
un vrai millep le en couran
t,
, je sors de l’éco
Plus tard
en pleurant.
Il pleut. on anorak, et
puchon de m
Je rabats le ca t‑Martin. Là,
je
au canal Sain
je fonce jusqu’ e‑ au x‑ B el le s.
su r le po nt de la Grang du
monte au coin
l’autre côté,
J’habite de la rue de la
Je m m apes et de
quai de du café La
au x‑ B el le s, au‑dessus
Grang e‑ e, la façade
e ja un e. La porte est jaun
Péni ch
Partie 2
– Tu regardes quoi ? je suis vietnamien. Mon nom, c’est Je bredouille :
Je me retourne, surpris. J’aperçois Benjamin. – Un… un ti‑i‑igre ?
une fillette de mon âge. Elle porte Je montre le quai de Jemmapes : Elle me lorgne d’un drôle d’air :
un anorak noir, un jean bleu sombre, – J’habite là, chez les gens qui – C’est ça ! Chaque nuit, je me
presque noir. On croirait un garçon, tiennent le café. promène sur les toits. Je cherche un
sauf que ses longs cheveux sombres, Il pleut toujours ; le pont, les deux petit garçon chinois pour le croquer !
mouillés, alourdis par la pluie, tombent quais, les rues semblent vides, froides. Elle dit ça sur un ton ! En plus, la
sur ses épaules : On est seuls. Elle me ressemble un pluie coule dans mon cou, comme
Elle a n drôle d’accent. peu, et j’aime lui parler, même si je la la vinaigrette sur un artichaut. Je
Je passe ma main sur mes cheveux connais à peine. frissonne, et marmonne prudemment :
trempés. Le soir tombe. La nuit traîne sur Paris – Bon… ben… Souviens‑toi que je suis
L. C. littéraire
– Moi aussi ! comme un grand chat noir. Sonoko pas vraiment chinois !
On rit ensemble. Je la trouve jolie, s’approche de moi, me prend la main : – Heureusement…
jolie, comme la fée de la pluie. – Dis… Tu sais garder un secret ? Elle lâche ma main, recule, s’enfonce
J’hésite, et je lui demande : – Bien sûr ! dans l’obscurité. Cheveux noirs, anorak
– Tu es… chinoise ? Elle regarde autour de nous, noir, elle glisse dans la nuit…
Elle secoue sa tignasse d’ébène, se penche vers moi, et chuchote Je crie :
hausse les épaules. mystérieusement : – Hé ! Hé, le tigre ! On se reverra ? Tu
– Non ! Japonaise. Je m’appelle – Voilà : je suis… je suis un tigre… habites où ?
Sonoko Watanabe. Mes parents J’ouvre des yeux ronds. Elle éclate de J’entends son rire, à travers la pluie.
habitent Paris, maintenant. rire : ses prunelles sombres scintillent Elle disparait.
Elle pousse un soupir : vraiment comme celles d’un tigre.
– Mais, à l’école, ils m’appellent tous Enfin, je suppose. Le seul tigre que je
la Chinoise… Ça m’énerve ! Je n’ai pas connaisse, c’est Catimini, le matou du
d’amis. café.
Je lui confie :
– Moi c’est pareil ! Je n’ai pas d’amis
et on m’appelle le Chinois alors que Je suis amoureux d’un tigre, Paul Thies, Éditions Syros.
L. C. littéraire
Extrait 2
L. C. littéraire
Il était une fois une femme si méchante qu’elle rêvait de manger un enfant. (…) C’est avec les yeux
brillants‑gourmands qu’elle se mit à parcourir le pays, examinant de près tout marmot qu’elle
rencontrait. Mais elle était difficile et trouvait toujours à récriminer : « Ces loupiots sont trop
petiots, n’ont que la peau sur les os. Avaler ce marmouset ? Autant se boucher le gosier ! Celui‑là
est trop futé, je ne veux pas avoir à lutter. Le bambin n’est pas vilain, mais il lui manque une
main. » Or, dans le pays, on commença à se méfier de cette femme qui toujours s’approchait des
mouflets, les scrutait et les tâtait avec des mains avides et des airs… qui vous faisaient courir un
frisson dans le dos.
L. C. littéraire
un charme : un sortilège
nuisible : qui transmet des maladies ou
détruit les récoltes
un pipeau : une petite flûte à bec
le Khan : titre donné au roi des Mongols
le Nizam : titre que se donnent les rois
indiens de la région d’Hyderabad
une horde : un groupe d’animaux errants
le calife : le chef des croyants dans la
religion musulmane
dévaster : saccager
un doublon : une ancienne monnaie d’or
espagnole
fracas : bruit
fluets : maigres
marcassins : petits des sangliers
efflanqués : maigres
54 Cycle 2 - Niveau 3 - CE2 - Recueil de documents - Français
Le joueur de flûte de Hamelin (partie 3)
L. C. littéraire
prospérer : s’enrichir
festoyer : faire un repas de fête très copieux
l’allégresse : une joie très vive
fourrer : mettre (langage familier)
s’acquitter : accomplir quelque chose que l’on doit faire
un vagabond : une personne sans travail et sans maison
avec malice : avec l’intention de mal faire avec adresse et finesse
ne pas sourciller : ne pas montrer son émotion
un fripon : un voleur
un ingrat : quelqu’un qui n’est pas reconnaissant
flûter : jouer de la flûte
un vaurien : un voyou
envoûtant : ensorcelant
étouffé : qu’on entend à peine
les menottes : les mains des jeunes enfants
faire écho : répondre
la stupeur : un étonnement qui paralyse
56 Cycle 2 - Niveau 3 - CE2 - Recueil de documents - Français
Le joueur de flûte de Hamelin (partie 3)
L. C. littéraire
en vain : inutilement
gravir : grimper sur
la cime : le sommet
le flanc : le côté
en pleurs : en larmes
les sanglots : le bruit que fait quelqu’un qui pleure très fort
un vitrail : une vitre composée de petits morceaux de verre colorés et
assemblés par du plomb pour former des dessins
dérobé : enlevé, kidnappé
la Transylvanie : région du centre de la Roumanie célèbre pour ses légendes
un ancêtre : une personne de la famille plus éloignée que les grands‑parents
Cycle 2 - Niveau 3 - CE2 - Recueil de documents - Français 57
Théâtre – partie 1
LE CLIENT : Bonjour Monsieur ! Je voudrais une veste !
LE TAILLEUR : Bien sûr Monsieur, je prends tout de suite vos mesures !
Il prend la règle, n’importe comment : Longueur de la tête, largeur des doigts de pieds… (Air étonné du client)
Parfait ! J’ai toutes les mesures. Je vais pouvoir vous faire une belle veste ! Si vous voulez, je peux vous la
faire en peau d’éléphant.
LE CLIENT, – Euh… Non merci ! Les éléphants, je préfère les voir en liberté ! Je préférerais une veste normale,
en tissu. Une veste comme tout le monde, quoi !
LE TAILLEUR : Parfait ! Alors ici je vais mettre une manche verte… et là une manche jaune. Au milieu, nous
aurons quelques rayures mauves, avec des petits points roses et blancs. Qu’en pensez‑vous ?
LE CLIENT : Eh bien… C’est un peu trop coloré Je n’ai pas envie d’avoir une veste de clown pour aller travailler.
Je veux une veste grise, une veste normale, quoi…
LE TAILLEUR : Parfait ! Elle sera donc grise ! Grise ici, grise là, grise ici… (Il montre tous les endroits de la
veste.) Nous pourrons la manger ensemble ! Au revoir Madame.
Bon voyage, bon appétit et bonne nuit.
Théâtre – partie 2
LE CLIENT : Oui, bon… Elle sera grise partout !
LE TAILLEUR : Parfait ! Grise partout ! Voulez‑vous des poches ?
LE CLIENT : Bien sûr ! Une veste, ça a toujours des poches.
LE TAILLEUR : Parfait ! Alors je vais vous mettre une poche là, (il montre l’estomac)… et une ici, (il montre une
manche)… et puis une dizaine de poches dans le dos !
LE CLIENT : Des poches dans le dos ? Pour quoi faire ?
LE TAILLEUR : Mais je ne sais pas, moi ! Vous me demandez des poches, alors je vous mets des poches !
LE CLIENT (à part) : Oh ! Il commence à m’énerver, ce tailleur ! (Au tailleur) Je veux une veste normale ! Avec
une poche ici (il montre) et une autre là ! C’est tout !
LE TAILLEUR : Parfait ! Pour fermer votre veste, je vous mets une serrure avec une clé ou bien vous préférez
un petit cadenas ?
LE CLIENT : Pas du tout ! Vous me mettrez des boutons !
LE TAILLEUR : Parfait ! Je vous mettrai des boutons ! Ici et là… (Il montre n’importe quoi.)
LE CLIENT, qui s’énerve de plus ne plus : Mais non ! Des boutons ici ! (Il montre). Et là vous me mettrez des
boutonnières, pour attacher les boutons ! Ce n’est pourtant pas compliqué !
Théâtre – partie 3
L. C. littéraire
LE TAILLEUR : Parfait ! Des boutons ici et des boutonnières là ! Votre veste sera superbe !
LE CLIENT (se tournant vers le public) : Il est fou ! Ce tailleur est fou !
LE TAILLEUR : Donc, je résume ! Vous voulez une veste grise, avec une poche ici et une autre là… Des boutons
ici et des boutonnières là… (Il montre à chaque fois) Je me mets aussitôt au travail ! (Il pousse le client hors de
la scène). Revenez la semaine dernière ! Elle sera prête et nous pourrons la manger ensemble ! Au revoir
Madame ! Bon voyage, bon appétit et bonne nuit !
(Le client est parti). Le tailleur se tourne vers le public :
Oh là là ! Quel drôle de client ! A mon avis il n’est pas normal ! Une veste grise, quelle horreur ! Avec
des poches, des boutons et des boutonnières ! Ça me donne envie de changer de métier ! Dès la semaine
prochaine, je serai médecin ! Ou même tout de suite ! Vous par exemple ! Vous me semblez bien pâle… Je
vais vous soigner ! Hum ! …Je vais chercher des instruments : des scies, des pinces et puis des haches !
Attendez‑moi ! Surtout ne guérissez pas ! Ne guérissez pas !
L. C. littéraire
L. C. littéraire
L. C. littéraire
Texte 1 Texte 2
Stéphane et Philippe avaient choisi un bel Stéphane et Philippe avaient choisi un bel
endroit pour mettre leur tente. C’était un pré emplacement pour planter leur tente : un pré
vert où un ruisseau passait. On voyait des verdoyant traversé par un ruisseau. Quelques
arbres. Les arbres donnaient de l’ombre. À arbres offraient de l’ombre. À leur gauche,
gauche, il y avait un sentier qui passait sur un un sentier enjambait un pont de pierre et
pont de pierre. Le sentier allait dans la forêt. allait se perdre dans la forêt. En contrebas,
En bas, on apercevait des petites maisons en on apercevait des chalets. Une route en lacets
bois. Une route en lacets menait au village. menait au village. Celui‑ci était construit au
Le village était construit au pied d’une colline. pied d’une colline.
L. C. littéraire
L. C. littéraire
Poème de G. Franciosa
L. C. littéraire
x sans parapluie
cheveux désarçonnés cheveu comme toutes les âmes su
blimes.
t'imagines
Raymond Queneau, in Si tu Du fauteuil au radiateur,
© Gallimard
sur l'armoire,
du divan à la table et de là
il faut le voir
.
crapahuter sur les hauteurs
Alpiniste solitaire,
il ne descend dans la vallée
ent nécessaire,
que lorsque c’est strictem
pour boire son lait.
avachi,
Puis il remonte et, là‑haut,
il s’endort, ou réfléchit. t, Cha
Les affaires de Monsieur le
Gianni Rod ari, la Joi e de Lire
Partie 1
Il était une fois un ogre, un vrai géant, qui vivait tout
seul. Comme la plupart des ogres, il avait des dents
pointues, une barbe piquante, un nez énorme et un
grand couteau.
Il était toujours de mauvaise humeur et avait toujours
faim.
Ce qu’il aimait le plus au monde, c’était de manger
des enfants à son petit déjeuner.
Partie 2
L. C. littéraire
L. C. littéraire
L. C. littéraire
L. C. documentaire
La graine
L. C. documentaire
L. C. documentaire
Vocabulaire de l’arbre
L. C. documentaire
L. C. documentaire
A B C D E
L. C. documentaire
Est‑ce qu’il y avait des loisirs ? À quoi jouais‑tu quand tu étais petite ?
On n’avait pas autant de jeux que les enfants d’aujourd’hui.
À l’école, on sautait à la corde.
Les garçons, eux, jouaient avec des billes en terre. Je passais beaucoup de temps à aider mes
parents, à travailler au jardin, à donner à manger aux animaux (dans la cour de la maison, on avait
des lapins et un cochon qu’on engraissait et qu’on tuait pendant l’hiver).
Et puis, on n’avait pas la télé. Elle est arrivée beaucoup plus tard.
On écoutait le poste de radio. Je me rappelle que mes parents en ont acheté un en 1939. J’avais
4 ans.
Et comment faisiez‑vous ?
Ma mère lavait le linge à la main avec une brosse et du savon ou bien elle le faisait bouillir dans une
lessiveuse.
Eh oui, tu sais, on n’avait pas non plus de réfrigérateur. Pour refroidir les aliments, on achetait des
blocs de glace qu’on installait dans le garde‑manger.
Nous n’avions pas non plus de téléphone. Il fallait aller chez un voisin.
Et est‑ce que l’eau arrivait déjà dans les maisons et coulait dans des robinets ?
Oh ! Là, tu exagères, je ne suis pas si vieille que ça quand même... Quand j’étais petite, il y avait déjà
l’eau et même l’électricité dans les maisons de mon village.
Par contre, quand mon père était enfant, au tout début du XXe siècle, ce n’était peut‑être pas encore
le cas.
Il fallait aller chercher l’eau à la fontaine et puis on s’éclairait avec des lampes à pétrole.
L. C. documentaire
Texte 1 : Le gnomon
Le gnomon est l’ancêtre du cadran solaire ; le mot vient du
grec et veut dire « connaitre ». C’est un bâton planté en terre
verticalement ; la longueur de l’ombre permet de repérer
l’heure au soleil. L’ombre la plus courte s’observe à midi le
jour du solstice d’été.
Le cadran solaire le plus ancien que nous connaissions est
égyptien et date de 1500 avant notre ère. Ce système est
connu dans les civilisations de l’Antiquité.
Extrait du site du Musée de l’horlogerie d’Aliermont
Texte 2 : Fonctionnement
d’un cadran solaire
C’est une surface dans laquelle est plantée une
tige appelée style. La direction de l’ombre indique
l’heure au soleil. Le cadran est divisé en douze
heures du lever au coucher du soleil, mais comme
la durée du jour varie selon les saisons, la durée
des heures varie également.
Progressivement la graduation du cadran se
perfectionne, mais elle est toujours imparfaite
en raison de l’orientation verticale du style. Au
XIVe siècle, les Arabes, en inclinant la tige du cadran
en font un instrument fiable.
Extrait du site du Musée de l’horlogerie Cadran solaire diptyque
d’Aliermont Musée international de l’horlogerie de La
Chaux‑de‑Fonds
L. C. documentaire
Classification Mœurs
La loutre d’Europe (Lutra lutra) fait partie de Elle est essentiellement nocturne et très
la famille des mustélidés au même titre que la méfiante. La loutre peut se reproduire toute
fouine, la martre, le vison ou encore l’hermine. l’année. La femelle n’a qu’une portée par an
qui peut comporter jusqu’à 3 loutrons.
Description
La fourrure de la loutre est dense, de couleur Régime alimentaire
brun‑marron sur le dos et plus claire sur le La loutre est un prédateur qui peut manger
ventre et le menton. L’animal mesure environ jusqu’à 1,5 kg par jour.
1m, pèse entre 5 et 12 kg selon son sexe et sa Il est essentiellement composé d’animaux
hauteur au garrot est d’environ 30 cm. aquatiques, de poissons pour les trois quarts
Étant un mammifère adapté à la vie aquatique, mais aussi de crustacés, de mollusques, de
la loutre est pourvue de pattes palmées, d’une batraciens, de rongeurs et d’oiseaux d’eau.
queue élargie (qui sert de propulseur et de En fin d’été, elle peut également manger des
gouvernail), d’yeux qui s’adaptent à la vision baies. Tout cela représente une quantité de
sous‑marine et enfin de narines et d’oreilles nourriture équivalente à 10 % de son propre
qui se ferment hermétiquement. poids avalé chaque jour.
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Ingrédients :
Retourner pour couvrir de farine et aplatir avec les mains pour avoir une pâte
d’environ un centimètre.
Né en 1901 au Havre (en France), Jean Dubuffet, après avoir fréquenté l’école des Beaux‑arts du
Havre puis l’académie Julian à Paris, devient négociant en vins, à l’âge de 23 ans.
À 41 ans, il veut de nouveau se consacrer à l’art. Il se montre un des plus grands rebelles du
XXe siècle en luttant contre les idées bourgeoises relatives au bon goût et à la culture. Il révolutionne
le regard en renversant les codes de ce que l’on appelle le « Beau ». Il se veut anti‑artiste, capable
de voir comme l’homme ordinaire. C’est ainsi qu’il souhaite que soient regardés ses tableaux.
Il apprécie les travaux d’enfants et ceux des personnes atteintes de maladies mentales en raison
de leurs maladresses et de leur spontanéité. Il regroupe toutes ces productions dès 1948, sous le
nom d’art brut, par opposition à l’art « culturel » ou art « savant ».
L’art brut est ce qui vient des instincts profonds de l’être humain. Jean Dubuffet et les artistes
de l’art brut comme Jean Fautrier, Antoni Tàpies, Henri Michaux, Wols… utilisent les matières
naturelles les plus courantes et les plus ordinaires qui proviennent de notre planète, la Terre : la
terre, le sable, la poussière…
L. C. documentaire
Ses poils blancs et son épaisse couche de chasser pour se nourrir et pour vendre sa peau.
graisse le protègent efficacement du froid. Au Canada, la petite ville de Churchill, tout au
Car l’ours blanc vit dans les régions polaires nord de la baie d’Hudson, reçoit régulièrement
du nord de l’Alaska, du Canada, du Groenland la visite des ours blancs.
et de la Sibérie, passant le plus clair de son Certains entrent même dans la ville.
temps sur la banquise (mer gelée). Dans ces
régions, il fait nuit pendant tout l’hiver et jour Attirés par les bonnes odeurs, les plus hardis
pendant tout l’été. entrent dans les cuisines et vident les placards,
mangeant tout ce qu’ils trouvent et causant de
L’ours blanc se nourrit essentiellement grandes frayeurs !
de phoques, qu’il attend à la sortie de leurs
trous dans la glace. Les habitants de la ville ont appris à vivre
avec eux : la « Brigade des ours », créée pour
Il mange surtout leur graisse : bien plus riche protéger à la fois les humains et les ours, est
en énergie, celle‑ci produit plus de chaleur. chargée de les faire fuir en tirant des balles de
Il mange également des carcasses de baleines, caoutchouc.
de petits animaux et des œufs. Ce sont les membres de cette Brigade des
En hiver, l’ours blanc n’hiberne pas. ours qui font fuir nos amis, à la fin de cette
C’est à ce moment que la mère donne naissance histoire.
à ses petits (trois au maximum). À l’école, les enfants apprennent à se mettre
Le père ne s’occupe pas de sa progéniture : en boule, pour le cas d’une rencontre avec un
il ne la connaît même pas, car il quitte la ours.
femelle avant la naissance. Ours qui peut !
L’ours blanc peut vivre 25 ans.
Claude K. Dubois, Ourson blanc,
L’ours blanc est protégé dans les six pays où dans Archimax 2001‑2002, L'École des loisirs
il vit, et seuls les Esquimaux ont le droit de le
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Ce document est aussi utilisé dans le cadre de l'étude de la langue lors du module 7.
Cycle 2 - Niveau 3 - CE2 - Recueil de documents - Français 113
La baleine grise
L. C. documentaire
La pollution de l’eau
La pollution des eaux usées entraîne la mort de Le brouillard visible au‑dessus de la ville est en
nombreuses espèces animales et végétales. partie dû aux fumées polluantes rejetées par les
usines et les véhicules à moteur (camions, autos,
motos, etc.)
De nombreux enfants qui naissent et grandissent
en ville souffrent d'allergies et d'asthme en partie
dus à la pollution de l'air. Un français consomme à peu près 200 litres d'eau
potable par jour. Cette consommation pourrait
L. C. documentaire
être réduite.
En 2010, chaque français émet en moyenne
l'équivalent de 5 kilogrammes de dioxyde de
carbone par jour. Ces rejets pourraient être En France, en 2018, 10 % des eaux usées ne
diminués. passent toujours pas par les stations d'épuration.
Aux XVIIIe et XIXe siècles, le français était la langue utilisée par les écrivains, les diplomates et
les savants du monde entier. C’était la langue des gens instruits.
Aujourd’hui, la francophonie désigne l’ensemble des personnes qui parlent le français de façon
habituelle. Les francophones sont les personnes qui parlent « naturellement » français au
moins dans certaines situations de leur vie. Ils représentent plus de 150 millions de personnes.
Le français peut être leur langue maternelle (une langue d’un de leurs parents) ou une langue
seconde (apprise à l’école).
La francophonie désigne aussi l’ensemble des pays ou régions du monde dans lesquels on parle
français.
– faire vivre les valeurs de la francophonie : la paix, la démocratie, les droits de l’homme et le
développement durable et solidaire.
L. C. documentaire
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Nota bene : la région Pyrénées est incluse dans la grande région intitulée
Occitanie‑Pyrénées‑Méditerranée.
Cycle 2 - Niveau 3 - CE2 - Recueil de documents - Français 117
Crédits
Les récrés du petit Nicolas, Sempé et Goscinny © Éditions Denoël ‑ L’Ogresse en pleurs, Valérie Dayre © Éditions Milan ‑
Cédric, n° 15, Laudec et Cauvin © Éditions Dupuis ‑ Découverte du monde © Hatier ‑ Dictionnaire Le Robert Junior
© Robert ‑ Le guide de votre jardin © Truffaut ‑ Encyclopédie © Nathan ‑ Forêts, P. Pointreau, P.M. Valat © Gallimard –
illustration petite sirène , photos ours © Fotolia – les 6 types de forêts du monde © monquotidien.com ‑ Canyon Apache,
Morris et Goscinny © Dargaud ‑ La vie d’un chêne, Découverte du monde © Éditions Hatier ‑ Les lianes, Vladislav
Stanovsky, Contes africains, adaptation française de Dagmar Doppia © Éditions Gründ ‑ Définition séquoia © Éditions
Robert ‑ Le cheval applaudit, Alain Bosquet © Éditions ouvrières / Éditions de l’Atelier, 1978 ‑ Les feuilles des conifères,
Encyclopédie © Éditions Nathan ‑ Saule Pleureur, Le guide de votre jardin © Truffaut ‑ Ourson blanc In Archimax
2001‑2002, Claude K. Dubois © Éditions L’école des loisirs ‑ Le cancre In Paroles, Jacques Prévert © Éditions Gallimard
p.15 ‑ Le poisson dans un bocal, Moka / Isabelle Bonameau © Editions l’école des loisirs ‑ Un arbre In Guerres et
Paix, Jean‑Louis Maunoury © Éditions Motus ‑ On a tiré sur le lapin In Petites comédies pour les enfants © Éditions
Retz, Expression théâtrale ‑ Octosyllabes, extrait de La tarte aux pommes In Tire‑Lyre II, Pierre Gamara © Éditions
L’école des loisirs ‑ Image In Étier, Guillevic © Éditions Gallimard ‑ La grenouille In Aux flancs du vase, Albert Samain,
Domaine public ‑ Une baleine à bicyclette In Nouvelles Enfantasques, Claude Roy © Éditions Gallimard ‑ L’ogresse en
pleurs, Valérie Dayre © 1996 Éditions Milan ‑ Mon je‑me‑parle, Sandrine Pernusch © Éditions Casterman ‑ Charlie et
la chocolaterie, Roald Dahl, traduit par E. Gaspar © Éditions Gallimard ‑ Les récrés du Petit Nicolas, Sempé et Goscinny
© Éditions Denoël ‑ L’échangeur de la porte des lilas In Paris des Enfants, Jacques Charpentreau © Éditions L’école des
loisirs ‑ Écrire à tout venant In Poèmes de petit matin, Claude Haller © Hachette Jeunesse ‑ Le loup et l’agneau, Jean
de la Fontaine, Domaine public ‑ Le merveilleux voyage de Nils Holgersson à travers la Suède, Selma Lagerlöf © 1990
Actes Sud ‑ Le retour du loup accepté en Allemagne, J. Tissot, Mon quotidien n° 2525 © Playbac – Les dauphins, Le
petit quotidien © Playbac ‑ Jack et le haricot magique, Mille ans de contes © 1990 Milan ‑ Le géant de Zéralda, Tomi
Ungerer © Éditions L’école des loisirs ‑ SOS pour un chevreuil, Roger Judenne © Éditions Lire c’est partir ‑ Mange‑moi,
Nathalie Papin © Éditions L’école des loisirs ‑ Poil de carotte, Jules Renard © Hachette Jeunesse ‑ Pour faire un poème
dadaïste… In Sept manifestes Dada, Tristan Tzara © Pauvert, département de la librairie Arthème Fayard, 1979 ‑ Dodo
Duo, Boule et Bille, Roba © Dupuis ‑ Le cadet de Soupetard, Corbeyron et Berlion © Éditions Dargaud ‑ La fiancée du
Nil, Christian Jacq © Éditions Magnard – Pépé prend son bain, Le réveil, Mauvais cygne, Cédric n°12, A chacun son
métier, Cédric n°13, Laudec et Cauvin © Dupuis ‑ Bill est maboul, Boule et bill n°21, Roba © Dupuis ‑ Le Robert Junior
Illustré © Éditions Robert ‑ Les arbres, Copains des montagnes © Éditions Milan ‑ Où se cache le bois dans la maison
In Forêts, P. Pointreau, P. M. Valat © Éditions Gallimard ‑ Extrait du site Internet L’école de l’eau, Tous droits réservés ‑
Devenir français : Droit et devoir © 2010 La Dépêche du Midi ‑ Déchets plastiques © Fotolia ‑ Pollution de l’air © Wajtek
Buss / Hoa‑Qui ‑ 13ème sommet de la Francophonie © AFP
Chefs de projet
Laurianne Zeidan, René Défossez
Coordination
Laurent Lépiné