ERE Ecotourisme
ERE Ecotourisme
ERE Ecotourisme
de l’écotourisme
En quoi l’éducation relative à l’environnement s’intègre-t-elle à l’écotourisme ?
BULLETIN SPÉCIAL DE L’ASSOCIATION QUÉBÉCOISE POUR LA PROMOTION DE L’ÉDUCATION RELATIVE À L’ENVIRONNEMENT HIVER 2003
La coopérative écotouristique,
un produit du commerce équitable. (p.2)
L'écotourisme est un concept Le concept le soutenir et de l'encourager. La proposi- Mais selon notre conception, l'écotourisme
qui par définition se déroule enécotouristique tion est ouverte. c'est aussi un programme d'activités d'édu-
milieu naturel. L'AQPERE que nous nous cation populaire destinées à sensibiliser le
donne ici libre cours à son
apprêtons à Terminologie touriste aux réalités, enjeux et solutions
imagination afin d'allier des
activités écotouristiques à des
vous soumet- environnementales. Une éducation aux
activités d'ERE en milieux tre permettra L'écotourisme, tel que nous le concevons à notions d'écologie et d'écosystèmes, une
naturels ou construits, voire de développer l'AQPERE, fait découvrir au visiteur des invitation à prendre conscience des
même urbains et industriels, un partena- sites naturels d'une valeur patrimoniale impacts de l'activité humaine sur l'environ-
riat entre les
dans le but d'offrir aux touristes reconnue et protégée (forêts, montagnes, nement et des alternatives connues et à
une variété d'expériences, de acteurs de l'é- plans d'eau etc..), des exploitations agri- privilégier, la rencontre d'individus et de
réflexions et de valeurs envi- ducation rela- coles écologiques (sans engrais chim- gens passionnés qui mettent temps, effort,
ronnementales, tout en tive à l'environ- iques, pesticides ou semences génétique- énergie et souvent ressources person-
favorisant l'économie locale. nement et ment modifiées), des sites industriels prob- nelles à la protection de
ceux du tou- lématiques et d'autres sur lesquels des l'environnement.
risme dans chacune des régions du mesures exceptionnelles de dépollution ont
Québec. Ce concept propose la création été mises en place ou sont envisagées L'écotourisme réduit les intermédiaires
d'un produit qui sensibilise le touriste au (exploitation forestière exemplaire, sites entre le client et l'entrepreneur qui offre le
respect du patrimoine naturel et construit industriels, ports, sites d'enfouissement), produit ou service. Il privilégie l'accueil du
du Québec, lui permet de vivre des expéri- des initiatives destinées à protéger les touriste chez l'habitant, le citoyen, le gîte
ences humaines enrichissantes, et à l'hôte espèces fauniques et floristiques. Ce type du passant. Il encourage les petites entre-
qui le reçoit de tirer le maximum de de tourisme allie la découverte écologique prises qui offrent des services de plein air,
revenus du produit qu'il offre à son visiteur. et la pratique des sports non motorisés. Il d'habitation, de traiteur, de transport ou
La coopérative écotouristique réunit exclue la motoneige, la moto-marine, le autres.
l'ensemble de ces vertus. VTT et le bâteau à moteur et favorise la
voile, le rafting, le canot-kayak de rivière et
Un tel concept expérimenté au Québec de mer, la randonnée pédestre, la bicy-
pourrait s'appliquer partout. Aux acteurs clette ou l'équitation.
régionaux de s'en emparer, à l'AQPERE de
Débutons par une mise en contexte. Le assumer ce développement gigantesque naturels, stimuler l'économie locale et la
tourisme, en tant que phénomène de tout en minimisant les répercussions responsabilisation des communautés d'ac-
société, constitue une des manifestations négatives du déplacement de centaines cueil, intégrer l'éducation à l'environ-
humaines les plus marquantes depuis la de millions de voyageurs additionnels. nement auprès des hôtes et des touristes,
deuxième moitié du XXe siècle. En effet, Une des solutions envisagées par cer- et répondre aux désirs particuliers de leur
le nombre de voyageurs internationaux taines organisations réside dans le clientèle.
qui traversent une frontière est évalué à tourisme durable, c’est-à-dire une concep-
700 millions par année. Depuis la fin de la tion du développement de produits et de Tourisme durable : C'est une philosophie,
Deuxième Guerre Mondiale, dans services touristiques où le voyageur, une façon de planifier le tourisme qui
l’ensemble du monde, il y a toujours eu autant que l’intervenant, acceptent respec- s'adresse aux promoteurs et travailleurs
une augmentation variée, mais cons- tivement la responsabilité de protéger les de ce secteur et qui se base sur
tante, des voyageurs internationaux, sauf expressions culturelles locales, d’encou- les principes du développement durable.
en temps de guerre. Le tourisme national, rager la conservation de la nature et de Contrairement à l'écotourisme, le tourisme
où les gens visitent leur propre pays, l’environnement en plus de maximiser les durable ne se limite pas au tourisme en
représente pour sa part neuf fois le vol- retombées économiques équitables pour milieu naturel. Tout tourisme, qu'il soit en
ume du tourisme international. Bref les communautés locales. ville ou ailleurs, qu'il s'adresse aux petits
le phénomène est indéniablement ou aux grands groupes, peut s'adapter
imposant. Au Sommet mondial de l’écotourisme de aux principes du développement durable
Québec qui a eu lieu en mai 2002, des dans sa façon d'être géré et développé.
Le tourisme de masse provoque des spécialistes de plus de 135 pays se sont
bouleversements positifs et négatifs réunis pour définir les critères et les enjeux Tourisme responsable : Le tourisme
majeurs sur les pays et les régions d’ac- de l'écotourisme. Travaillant pourtant tous responsable (qu'on appelle aussi le
cueil. Bien que la rencontre entre les dans le même secteur, ils n’ont pu s’en- tourisme éthique) fait pour sa part
visiteurs et les visités permette un tendre sur la même définition. Tentons référence à la façon de voyager du
échange culturel et un développement donc de démêler un peu ces néologismes touriste lui-même. Ainsi, le touriste dit
économique souvent positifs, on ne trans- afin de constater par le fait même l’évolu- responsable va faire attention à son com-
porte tout de même pas des millions de tion récente, au Québec et ailleurs, du portement avec les hôtes en voulant
personnes, provenant de cultures, menta- monde du voyage qui n’en finit pas de se respecter leurs expressions culturelles,
lités, climats et niveaux économiques transformer. ainsi que leur milieu naturel et habité.
divergents, sans forcément avoir des con- L’OMT publie un code d’éthique très
séquences importantes, notamment sur Écotourisme : L'écotourisme est un élaboré sur ce sujet.
l’environnement et la fibre sociale de la tourisme de nature orienté vers
destination d’accueil. l'observation et l'interprétation de la nature Tourisme équitable : Reprenant de
et des caractéristiques culturelles des façon plus spécifique un des axes du
Selon l’Organisation mondiale du tourisme lieux visités. Dans l’ensemble, les promo- tourisme durable, le tourisme équitable
(OMT), cette expansion des mouvements teurs d'écotourisme désirant obtenir la s’attarde plus parti-culièrement à
touristiques continuera encore durant future certification «écotouristique» l’équitabilité des retombées économiques
toute la présente décennie. Un des grands devront adopter des pratiques durables, du tourisme.
défis du tourisme consistera alors à contribuer à la protection des milieux
1 Cerulli Associates.
2 Commission canadienne du tourisme, Le rôle d’Internet dans les voyages d’agrément des Nord-américains, printemps 2002.
1. C'est votre choix qui compte. Choisir un forfait à 6. Où logez-vous pendant vos vacances ? Optez pour
petit prix se fait souvent au détriment de la qualité du pro- des auberges existantes ou des hôtels de taille moyenne
duit, de l'environnement ou des populations locales. à l'intérieur du village plutôt qu'à l'extérieur. Rappelez-
Choisissez un forfait à prix raisonnable ou cherchez une vous que chaque bâtiment nécessite de l'espace, des
destination peu connue où les coûts sont inférieurs. systèmes d'approvisionnement et des voies d'accès.
2. Combien de fois et pour combien de temps partez- 7. L'eau et l'énergie - des biens rares dans la plupart
vous en voyage ? Plutôt que de partir plusieurs fois des pays. La climatisation, le chauffage, la piscine, les
pendant quelques jours, partez une seule fois, mais pour salles de sports, le terrain de golf et les canons à neige
un plus long séjour. En plus de vous reposer réellement, consomment tous beaucoup d'eau et d'énergie. Évitez-
vos déplacements réduits contribueront à diminuer vos les, surtout si vous vous trouvez dans une région où ces
émissions de gaz à effet de serre. ressources sont rares.
3. Prenez votre temps ! Plutôt que de parcourir le plus 8. Gastronomie et ravitaillement. Profitez des spécia-
grand nombre de kilomètres en un minimum de temps, lités culinaires du pays visité et cherchez la nourriture
apprenez à ralentir, à limiter le nombre de visites par jour biologique. Vous éviterez ainsi de multiplier les trans-
et à prendre le temps de manger, de boire et de rencon- ports de nourriture et encouragerez l'économie locale et
trer des gens. l'agriculture biologique.
4. La mobilité à tout prix ? Conduire sa propre voiture 9. Chaque saison a son charme. Évitez de faire de la
en vacances peut être une source de stress et de fatigue. plage en hiver et du ski en été. Appréciez ce que vous
Optez plutôt pour le train ou l'autobus vers des destina- offre le climat du moment présent. Vous contribuerez
tions biens desservies par le transport collectif. Vous ainsi aux économies d'énergie.
diminuerez vos émissions de GES.
Les acteurs en ERE pourraient sensibiliser quatre clientèles cibles : les touristes, les
producteurs de produits écotouristiques, les décideurs et les communautés d'accueil.
Alors que 2002 correspondait à l’Année Internationale de l’Écotourisme et que la ville de Québec accueillait en mai
dernier le Sommet mondial de l’écotourisme, qu’en est-il de cette forme de tourisme au Québec ? Quels sont les liens
existants ou potentiels et les partenariats à créer entre l’écotourisme et l’ERE ?
Il s’agit notamment :
• du secteur des pourvoiries, qui compte 130 établis- Au Québec, l’écotourisme demeure un phénomène récent et en
sements offrant l’observation de la faune parmi émergence, mais cette forme de tourisme est appelée à y pren-
leurs activités; dre de l’expansion si l’on tient compte de l’effet jumelé :
• de quelques grossistes spécialisés d’ici et d’ailleurs
qui programment des voyages de tourisme de • des tendances du marchés favorables aux expé-
nature à destination du Québec; riences en nature et des besoins des clientèles
• des organisations impliquées dans la gestion de pour des voyages différents ;
milieux naturels propices à des expériences d’éco- • de la popularité croissante du tourisme
tourisme comme les parcs nationaux, le parc marin d’apprentissage (learning travel);
du Saguenay–Saint-Laurent, les réserves • de l’intérêt croissant des entreprises et de
écologiques, les réserves fauniques, les réserves certaines localités pour cette forme de tourisme – notamment
mondiales de la biosphère, les forêts modèles, les dans la foulée de l’Année internationale de l’écotourisme – ;
sites naturels protégés et mis en valeur par des • de l’importance des activités en milieu naturel dans
organismes privés; l’offre touristique québécoise;
• des divers centres d’interprétation de la nature • de la nécessité d’adopter des modes de développement et de
pouvant servir de base ou d’étape à un séjour gestion durables face à des sites naturels de plus en plus
d’écotourisme. sollicités.
Le Sommet de Québec sur l’écotourisme a donné parmi ceux dont les produits dépendent du milieu
lieu à la déclaration de Québec sur l’écotourisme; un naturel, devraient adopter de nouvelles pratiques et
texte qui se veut un cadre de référence pour le faire preuve dans leurs activités d'un plus grand
développement de l’écotourisme à l’échelle de la esprit de responsabilité à l'égard de l'environnement,
planète. Cette déclaration interpelle différents de la société et de la culture. Encore-là l’éducation
publics cibles et fait explicitement allusion à des pourrait y contribuer grandement.
activités d’éducation relative à l’environnement. Voici À cet égard, la Déclaration de Québec propose de :
quelques interventions où l’ERE pourrait jouer un « générer parmi la direction et le personnel des
rôle : entreprises touristiques une prise de conscience sur
les questions environnementales et culturelles
• Auprès des touristes : Les touristes sont des con- locales, nationales et globales à travers une éduca-
sommateurs de services. L'idée d'une consommation tion environnementale continue ».
responsable de services touristiques reste par contre
encore à développer au Québec. Le principal motif • Auprès des décideurs locaux et régionaux :
de voyage de nombreux touristes est lié à la possi- À l’échelle des destinations existantes ou en émer-
bilité de visiter des envi- gence intéressées par
ronnements naturels de l’écotourisme, l’ERE
qualité. À cet intérêt de
Politiciens pourrait être utilisée
base se greffe de plus en promoteurs comme moyen pour
plus un désir d’apprendre favoriser l’adoption d’ori-
et de mieux connaître entations de développe-
ces milieux naturels. ment, de principes
L’écotourisme, tout en
Clientèles directeurs, de pratiques
à
satisfaisant ces besoins et de mécanismes de
sensibiliser
premiers, peut aussi con- surveillance permettant
Communautés un tourisme réellement
tribuer à accroître leur Touristes d’accueil
compréhension des durable.
enjeux de la préservation • Auprès de la popula-
et à les sensibiliser aux tion locale : Le
impacts de leurs propres développement de l’éco-
activités en nature. tourisme suppose l’implication et la participation
équitable des communautés locales à la mise en
Pour relever un tel défi éducatif – lequel ne doit pas valeur écotouristique. Pour ce faire ces populations
viser que les « écotouristes convaincus » aux com- doivent être adéquatement informées et éduquées
portements environnementaux déjà au-dessus de la face aux enjeux environnementaux qui les concer-
moyenne – les intervenants impliqués dans l’offre de nent. Et souvent, cette éducation doit les aider à
produits doivent définir des programmes d'interpréta- mieux prendre conscience des richesses de leur
tion appropriés, mais aussi variés et adaptés à dif- milieu naturel et de la pertinence de le protéger.
férentes clientèles. Pour ce faire, l’expertise des
intervenants en ERE et une collaboration entre asso- Bref, le développement de l’écotourisme ne peut
ciations sectorielles (Aventure et Écotourisme réellement se faire sans éducation de publics variés,
Québec et l’AQPERE) seraient requises. notamment dans le domaine de l’environnement.
Les jeunes d'aujourd'hui font partie de la génération extrême. Les intervenants en ERE attireront
leur attention en leur offrant des défis encadrés et un temps de réflexion en milieu naturel.
jeunes par année la qui fait appel à tous les aspects de l'être
chance de vivre l'expéri- humain. L'adage qui dit « Ça prend
ence de leur vie. Un trois semaines pour changer un
séjour de 18 jours d'activ- individu »prend toute sa signification
En moins d’une décennie, le concept En 1997, dans le Bas-Saint-Laurent, Cette définition comprend la notion
d’écotourisme a connu une évolution deux amants du fleuve et promoteurs inédite de milieu naturel peu perturbé.
fulgurante. Au cours des dernières d’activités d’observation de la nature Au-delà d’un débat sémantique, cette
années, nous avons été témoins de la désiraient protéger la ressource contre notion fondamentale rejette les initia-
pénétration de ce concept au Québec, les méfaits d’un tourisme de masse et tives dites écotouristiques en milieu
jusque dans les rangs du tourisme d’une forme imprécise d’écotourisme, urbain ou dans des territoires pro-
conventionnel qui s'en inspire main- occasionnellement associée à de la fondément perturbés par l’homme.
tenant pour adopter des pratiques « publicité trompeuse ». En 1998, une Selon la définition retenue, il est
«durables». douzaine d’autres partenaires de la essentiel que l’écotourisme fasse
Lors du Sommet International de l’Éco- région touristique du Bas-Saint- découvrir des milieux naturels authen-
tourisme qui a eu lieu à Québec en mai Laurent se joignaient à eux afin d’im- tiques dans lesquels les processus
dernier, plus de 133 pays ont pu s’en- planter un programme de qualité en écologiques et la diversité biologique
tendre sur les principes fondamentaux écotourisme, inspiré en partie de l’ex- demeurent le plus près possible de
suivants sur lesquels repose l’éco- périence australienne, menant leur condition originale. En janvier
tourisme : éventuellement à un sceau de qualité 2001, le programme était étendu à
accréditant les entreprises. Un an plus l'ensemble de la province. Dans le
1. Il comprend l’interprétation du milieu tard, ils élargissaient la réflexion à un cadre de son programme de qualité
naturel et culturel visité; regroupement de cinq régions touris- pour l’industrie touristique québécoise,
2. Fait appel à des notions de tiques connues comme Le Québec Tourisme Québec mandatait le Bureau
développement durable; maritime. de Normalisation du Québec pour éla-
3. Fait appel à des gestes de Pendant l’année qui allait suivre, ils ont borer une norme sur les « produits d’é-
conservation et de protection tenté de mettre au point une définition cotourisme » qui sera publiée à l’hiver
du milieu naturel et culturel; opérationnelle de l’écotourisme reflé- 2003. Cette norme spécifie «…des
4. Entraîne des bénéfices pour la tant la spécificité et la réalité québé- exigences concernant les principes et
communauté d’accueil et fait coise, de développer un mode d’évalu- les éléments qui doivent être présents
appel à sa participation; ation de la qualité des activités éco- dans la conception et la prestation d’un
5. Se prête mieux aux voyageurs touristiques et de définir des balises produit dit écotouristique et qui perme-
autonomes et aux petits pour régir ces activités. ttent de distinguer un produit d’éco-
groupes organisés. tourisme authentique» .
Si vous faites de l'ERE et êtes attirés par l'écotourisme mais que votre diplôme n'est pas
adapté à cet univers particulier, vous pouvez parfaire vos connaissances en vous
inscrivant dans certains cégeps où sont offertes des attestations d'études collégiales
(AEC) ou dans des universités où sont donnés certains cours.
Tous ces cours offrent des possibilités d'emplois dans des parcs, des zones d'exploitation contrôlée,
des pourvoiries, des musées, des camps de vacances et des bases de plein air, dans des entreprises
d'excursion, des centres d'interprétation, des commissions scolaires, des associations touristiques
régionales, des zoos et dans des municipalités.
Pour les experts du tourisme qui désirent parfaire leurs connaissances en environnement et en éducation,
l'Attestation d'études de deuxième cycle universitaire en éducation relative à l'environnement de l'Université
du Québec à Montréal offre trois cours sur trois sessions adaptés aux professionnels du marché du travail.
À lire au : http://www.ise.uqam.ca/prgcourt.htm
Bonnes études !
Si votre audace vous pousse à offrir vos services à des entreprises qui font du tourisme d'aventure mais
qui ne font pas encore d'ERE, voyez la liste des 107 membres d'Aventure Écotourisme Québec au :
www.aventure-ecotourisme.qc.ca/html/recherche/resultats_recherche.asp?
Sources de subvention
Les entreprises qui souhaitent démarrer un projet écotouristique peuvent obtenir de l'aide financière de
divers organismes. L'aide sera différente selon qu'on ait affaire à une entreprise à but lucratif ou non
lucratif.
Consultez donc :
1. L'Association touristique de votre région. Certaines possèdent une Entente spécifique sur le tourisme
qui encourage les projets d'écotourisme. Consultez le
www.bonjourquebec.com/mto/repertoires/atr.html
Ainsi que d'autres ministères qui peuvent vous aider de différentes manières
1. Commission canadienne du tourisme : www.canadatourism.com/en/ctc/ctc_index.cfm
2. Développement économique Canada : www.dec-ced.gc.ca
3. Société de la faune et des parcs du Québec (FAPAQ) : www.fapaq.gouv.qc.ca
4. Tourisme Québec : www.bonjour-quebec.com
5. Travaux publics et Services gouvernementaux Canada : www.pwgsc.gc.ca
AQPERE
6400, 16e Avenue, Montréal, Québec, H1X 2S9
Formulaire d’inscription Téléphone: (514) 376-1065, Télécopieur (514) 376-1905
www.aqpere.qc.ca, aqpere@crosemont.qc.ca
N.B. L’Adhésion comprend l’abonnement au bulletin
mensuel Int’ERE.net et des rabais sur toutes nos activités. Tous droits réservés à l’AQPERE
Graphisme : Annick Jusseaume, ajusseaume@hotmail.com
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