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Concept Circuits Mada

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Johanne Philippe Perez Page 1 23/11/2024

CONCEPT CIRCUITS MADA

A Madagascar, développement de voyages dits aromatiques à visée


botanico-socio-environnementale sous-tendus d’aromathérapie avec,
comme accompagnateur, soit un expert en sauvegarde de la
biodiversité, soit un biologiste expert en aromathérapie.

Situation actuelle à Madagascar

Madagascar, une île d'une biodiversité exceptionnelle, fait face à des défis socio-
économiques et environnementaux importants.

Sur le plan social :


Malgré ses richesses naturelles, une grande partie de la population continue de
lutter contre la pauvreté, avec des taux élevés d'insécurité alimentaire et des
difficultés d'accès aux services de base (éducation, santé, alimentation, etc.).

Sur le plan environnemental :


La déforestation, la perte d'habitats naturels et la pression sur les ressources
naturelles menacent la biodiversité unique de l'île. Des efforts de conservation
sont déployés, mais des défis persistants subsistent en raison de pratiques non
durables et de la vulnérabilité aux changements climatiques.

Sur le plan politique :


La situation politique est marquée par une instabilité périodique, impactant le
développement économique.

Malgré ces défis, l'esprit de résilience et les initiatives locales offrent des lueurs
d'espoir.
Il est néanmoins nécessaire de ne pas baisser la garde et de maintenir le niveau
d’efforts.

Trois voyages aromatiques sont possibles :

Circuit 1 - Voyage aromatique à la découverte des plantes (Vohimana et Vohibola)


(avec Johanne Philippe Perez et un membre de l’équipe L’homme et
l’environnement)

Circuit 2 - Voyage aromatique à la découverte des plantes avec cours


d’aromathérapie (avec Michel Pidoux et Johanne Philippe Perez)

Circuit 3 - Voyage aromatique à la découverte des plantes et réflexion éthique sur


les filières économiques à impact positif (avec Olivier Behra et Johanne Philippe
Perez )
Accompagnateurs/ accompagnatrice des voyages

Olivier Behra, autodidacte spécialiste de la biodiversité & biologiste de


terrain

Olivier Behra a grandi au Cameroun et son terrain de jeu était la forêt vierge. Un
retour en France non constructif, pas de baccalauréat en poche, Olivier décide de
retourner au Cameroun pour trouver sa voie. Sa rencontre avec le crocodile va
orienter définitivement sa vie. Il devient un spécialiste du crocodile
mondialement reconnu.

Conservation de la nature et développement économique

Il parcourt le monde pour les Nations Unies et tient des conférences


internationales sur le thème Conservation de la nature et développement
économique. Lors de ses nombreuses missions scientifiques (Congo, Gabon,
Centre Afrique, Guyane française, Madagascar…etc), il fait un même constat
affligeant. La biodiversité disparaît sous la pression des populations locales :
une nature saccagée pour permettre aux populations locales une survie
temporaire et absolument pas durable.
Un vrai schéma perdant par avance dont les conséquences sont :
 Déforestation à outrance soit perte de la biodiversité végétale
 Disparition des habitats naturels des animaux sauvages menant à une
perte inévitable de la biodiversité animale
 Les conditions de vie des populations autochtones ne s’en trouvent pas du
tout améliorées. La pauvreté s’installe durablement et le cercle
vicieux se met en route.

1993 Création de L’Homme et l’environnement

Sa proposition de départ est une équation simple sur le papier mais un défi à
mettre en œuvre : lier le secteur privé (entreprises et technologies) aux
communautés locales. Afin d’être libre de ses actions, il créé en 1993
l’organisation L’homme et l’environnement qui a pour but de créer le lien entre
lutte contre la pauvreté et préservation de l’environnement. Il trouvera son
premier terrain de jeu à Madagascar où le contraste entre richesse du pays
(pierres précieuses, plantes médicinales ...) et l’extrême pauvreté est saisissant.
Il monte une équipe pluridisciplinaire (anthropologie, biologiste, sociologue,
économiste...) car il dit « ensemble, on avance plus vite et plus loin ».

2000 Article vers la réserve de Vohimana

Néanmoins, pour assurer l’intégrité de ses idées, Olivier devait prouver que cette
équation fonctionnait. En 2000, un article écrit par un biologiste suisse va le
mettre sur la voie de la réserve de Vohimana. Ce biologiste y encensait un
espace forestier malgache accueillant une incroyable densité d’amphibiens
uniques au monde. Il déplorait par ailleurs une déforestation galopante qui aurait
raison de cette forêt dans peu de temps (la déforestation étant liée à l’extrême
pauvreté des habitants).

Olivier se met en relation avec les autorisations malgaches et obtient un contrat


d’exploitation de cet espace forestier à préserver sous couvert de L’homme et
l’environnement d’une durée de 20 ans. La réserve de Vohimana est donc le
premier laboratoire grandeur nature où Olivier va mettre en place des actions
pour aider les populations locales à sortir de la pauvreté tout en préservant
l’environnement.

Aroma Forest : entreprise sociale et solidaire

Une des premières approches sera d’y valoriser les plantes par la production
d’huiles essentielles. Cependant, ce ne sont pas les populations locales qui vont
pouvoir les exporter. C’est ainsi qu’Olivier a créé, il y a environ 15 ans, la société
Aroma Forest, première entreprise sociale et solidaire, donnée en gestion aux
collaborateurs. 100% des profits sont reversés à l’entreprise et elle fait vivre
plusieurs milliers de personnes.

La forêt de Vohimana n’a pas brûlé. Au contraire, de nombreuses actions y ont


été menées : développement de l’écotourisme, mise en place d’un centre de
santé, constructions d’écoles, distillerie active, laboratoire ...

Objectif 2030 : repenser les modes de fonctionnement avec le secteur


privé

Olivier Behra sera accompagnateur de certains des voyages présentés afin de


témoigner et de mener les participants à une réflexion profonde sur nos modes
de fonctionnement actuels. Ces circuits sont plutôt destinés à des chefs
d’entreprise ou cadres en quête de solutions innovantes et de transparence.

En effet, si l’on prend de la hauteur sur les choses, le fameux consommer local
est certes important mais pas suffisant. Tout est lié. Les pollutions françaises et
chinoises se retrouvent mélangées dans le même ciel, les eaux se retrouvent
polluées par le même plastique mondial transbahuté de containers en containers.
La choucroute alsacienne ne serait pas la choucroute sans le clou de girofle. Les
desserts des restaurants ne pourraient être réalisés par du cacao ou du café qui
aurait poussé sous nos contrées.

Cela sera l’occasion de parler et d’approfondir le processus de transformation de


destruction de l’environnement vers des pratiques qui permettent aux
communautés un meilleur retour économique tout en préservant les biodiversités
animale et végétale.
Néanmoins, l’implication du secteur privé devient ici cruciale : ce sont les
entreprises qui sont à mieux d’investir dans ce changement de paradigme, leur
impact étant global. Capacité d’investissement, de communication, d’innovation,
de transparence, le secteur privé a un impact positif potentiellement exponentiel.
Mais il faut la volonté de mettre en place des filières à impact positif.
L’engagement est primordial mais doit être durable pour avoir un impact.

La nouvelle règlementation Européenne oblige les entreprises à justifier des


impacts sur la biodiversité des ingrédients composant leurs produits. Selon
l'Union Européenne, l’engagement volontaire des entreprises n'est pas à un
niveau suffisant face à la destruction de la biodiversité. Par ailleurs, les
consommateurs sont demandeurs de produits plus équitables et éthiques
justifiant de leurs impacts sociaux et environnementaux. Cette situation pourrait
changer la donne des impacts de filières d'ingrédients naturels.
Informations complémentaires :
https://le-trek-des-essentielles.fr/elephas-paris-beurre-de-karite-biodiversite/
Interview d’Olivier Behra – Le trek des essentielles
https://www.youtube.com/watch?
v=OZ6Wq7fJqjg&list=UULFrqEUlXCWlAluIUwpBvaufA&index=16
Michel Pidoux, biologiste spécialiste en aromathérapie

Michel Pidoux est anciennement enseignant-chercheur en biologie à l’université


d’Angers. Passionné depuis fort longtemps par les huiles essentielles et persuadé
de leur potentiel thérapeutique, il a passé 4 années à Madagascar sur les Hauts-
Plateaux (2008-2012) pour intégrer l’usage des HE dans les pratiques des
médecins malgaches tout en travaillant bénévolement au Laboratoire d’analyses
de l’hôpital d’Antsirabe.

Il y a réalisé des études "observationnelles", méthode approuvée par l’OMS,


s’agissant de médecine traditionnelle, menées conjointement avec des médecins
malgaches. Ces études avaient pour but de soigner tout type de pathologies
courantes avec des synergies d'huiles essentielles 100% malgaches.

Ce parcours est repris dans son livre "Huiles essentielles de Madagascar: usages
et résultats cliniques".

Depuis lors, Michel Pidoux retourne tous les ans à Madagascar pour former les
équipes médicales à l’aromathérapie via les associations locales AROVA
(Aromathérapeutes du Vakinankaratra) ou encore via l’AMC (Association des
Médecins Communautaires).

Association Tamtam Phytoaroma

Par ailleurs, Michel Pidoux est le cocréateur de l'association Tamtam Phyto Aroma
dont la mission est de contribuer à la promotion de soins et protocoles efficaces
et sûrs au-travers de l'utilisation des remèdes traditionnels et remèdes
traditionnels améliorés issus de la phytothérapie et de l'aromathérapie.

Association Vohimana Salama (Vohimana)

Il collabore également avec Olivier Behra, et les membres de L’Homme et


l’environnement principalement sur le site de Vohimana, avec l’association
Vohimana Salama, pour améliorer le fonctionnement du centre de soins local (au
village proche de Vohimana, à Ambavaniasy).
Michel Pidoux aide les équipes à faire l’état des lieux sur les besoins du centre de
santé, les propositions de solutions ainsi que les stratégies d’intégration des
remèdes traditionnels améliorés dans les protocoles de soin du centre de santé.

C’est ainsi qu’il a formé, en 2023, l’infirmière du centre sur :


Paludisme et l’utilisation de l’Artemisia annua
Diarrhée : utilisation de l’argile verte et l’importance du magnésium dans les
processus de reminéralisation.
Maladies respiratoires, cutanées et vaginales.
Huiles essentielles : rappel des précautions d’emploi.

Michel Pidoux a également réalisé pour l’association Vohimana Salama un


atelier spécifique sur la préparation et l’utilisation de synergies à base d’huiles
essentielles tels que : stick inhalateur, spray antiseptique (avec notion
d’émulsifiant), crème hydratante,

ovules vaginaux, suppositoires pour les enfants.

Par ailleurs, à Vohimana, une réflexion est actuellement menée par Michel
Pidoux, entre autres, sur l’accès à l’eau courante et salubre qui n’est toujours pas
assuré au centre de santé. Tout comme la nécessité de toujours revoir la
composition des traitements en diminuant les posologies ou les doses afin que le
prix soit toujours juste et abordable tout en maintenant un niveau d’efficacité
équivalent.

Michel Pidoux est un homme pragmatique qui a à cœur de proposer des remèdes
efficaces, abordables financièrement et faits de produits locaux faciles à se
procurer pour les équipes médicales.

Cours d’aromathérapie pratique

Michel Pidoux accompagnera les circuits destinés à celles et ceux qui ont à cœur
de développer leurs connaissances en aromathérapie malgache, mais aussi
avides de connaître des méthodes de soin douces, simples et faciles d’utilisation
pour la vie de tous les jours.

Informations complémentaires :
https://le-trek-des-essentielles.fr/huiles-essentielles-madagascar/
Interview de Michel Pidoux – Le trek des essentielles :
https://www.youtube.com/watch?v=f_rDCbsCN60
Johanne Philippe Perez, passionnée d’aromathérapie et auteure du blog
le trek des essentielles

Johanne Philippe Perez a travaillé de nombreuses années dans le domaine de la


communication, relations publiques et relations presse en France et à l’étranger.
Sa vie de femme d’expatrié l’a menée à vivre à l’étranger (Italie, Espagne). Elle
vit actuellement en Suisse.

Cela fait de nombreuses années que Johanne est passionnée d’aromathérapie et


qu’elle la pratique au quotidien. Elle se forme régulièrement : diplômée en
aromathérapie scientifique française de l’école Aroma-Sciences (dont le
fondateur est Michel Faucon), ainsi qu’en aromatologie avec la FLMNE à Paris.
Johanne participe également tous les ans aux stages des approches sensorielles
organisés par Michel Faucon. Elle vient d’obtenir le certificat de praticienne en
olfacto-reliance avec Anne-Laure Jaffrelo.
Par ailleurs, elle a étudié la phytothérapie, la parfumerie naturelle et la
cosmétique naturelle lors de ses années vécues en Espagne.

Johanne Philippe Perez est l’auteure du blog Le trek des essentielles depuis mars
2021. Cette démarche est le résultat d’une profonde réflexion. Elle a voulu ainsi
participer à la mise en valeur de ce que l’on appelle « les petits producteurs »,
les distillateurs qui produisent de belles huiles essentielles éthiques et produites
en petite quantité. Par cette démarche, elle contribue à faire découvrir de beaux
produits et permet d’attirer l’attention sur la différence entre huiles industrielles
et artisanales contribuant à valoriser les femmes et les hommes qui se donnent
du mal au quotidien pour produire de manière éthique. Sur son chemin, elle a
rencontré Michel Pidoux et Olivier Behra auprès desquels elle reste engagée.

Une distillatrice espagnole lui a fait un jour le plus beau des compliments en
surnommant Johanne, la tisseuse aromatique (tejedora aromatica). En effet, de
ces rencontres sont nées de beaux échanges et de belles découvertes partagées.
Elle est notamment partie en Corée du Sud avec Michel Faucon pour une
masterclass de 5 jours où elle a eu l’occasion de présenter certains de ces
distillateurs au public coréen leur permettant ainsi un premier pas sur ce marché
prometteur.

Johanne Philippe Perez s’est rendue à Madagascar sur la route des Plantes en
novembre 2022 et de nouveau en avril 2024. Elle a déjà mis les pieds à
Vohimana et a rencontré les équipes de l’Homme et l’environnement.

Johanne sera votre accompagnatrice sur ces circuits.

Informations complémentaires :
https://le-trek-des-essentielles.fr/lesabotsy-tradipraticien-reserve-vohimana/
https://le-trek-des-essentielles.fr/oms-medecine-traditionnelle-imra-madagascar/
https://le-trek-des-essentielles.fr/elephas-paris-beurre-de-karite-biodiversite/
Au laboratoire de Vohimana, formation préparation baume dermatologique :
https://www.youtube.com/watch?v=D7ZMGkiEUd0&list=UULFrqEUlXCWlAluIUwpBvaufA&index=10
Le trek des essentielles vous présente Lesabotsy, tradipraticien à la réserve de
Vohimana: https://www.youtube.com/watch?
v=niakD4u5wUM&list=UULFrqEUlXCWlAluIUwpBvaufA&index=8
Le trek des essentielles à la réserve de Vohimana à Madagascar
https://www.youtube.com/watch?v=zcHdIi06H70&list=UULFrqEUlXCWlAluIUwpBvaufA&index=7
Le Trek des Essentielles filme la déforestation et la culture sur brûlis
https://www.youtube.com/watch?v=rxQUh2v48I8&list=UULFrqEUlXCWlAluIUwpBvaufA&index=6
Equipe malgache Homme et Environnement
Saroy et nabih
A qui principalement s’adressent ces voyages aromatiques ?

L’orientation botanico-socio-environnementale à contenu aromatique de ces


circuits vise un public intéressé par ces thématiques et sensibles à la nature.

Les circuits 1 & 2 s’adressent à un public intéressé par la préservation de la


nature, des plantes et l’aromathérapie.

Option circuits 1 & 2 : Cours d’aromathérapie


Il est possible d’introduire des cours en aromathérapie pour un public déjà formé
ou informé. Si vous avez accès à une patientèle, si vous êtes dans le domaine du
soin, cette option peut être intéressante pour vous. Ou si vous souhaitez tout
simplement amplifier vos connaissances en aromathérapie, il est aussi possible
d’y participer.

Le circuit 3 s’adresse davantage à un public professionnel qui a à cœur de


mener une réflexion sur des modèles de développement alternatifs et à impact
positif (chefs d’entreprise, cadres d’entreprise, industriels, artistes ...).

Ceci est évidemment une orientation. Si vous vous sentez attiré( e) par un de ces
circuits, vous êtes évidemment le ou la bienvenu (e).
Aroma Forest : entreprise sociale et solidaire
Ces voyages offrent une immersion dans le monde de l’aromathérapie et des
huiles essentielles à la découverte de l’entreprise solidaire malgache Aroma
Forest.
Aroma Forest est une entreprise sociale et solidaire dont 100% des profits sont
réinvestis pour le développement et le reboisement.
Créée il y a plus de 20 ans pour soutenir l’implication des communautés locales
dans la bonne gestion de l’environnement et la conservation des forêts et de la
biodiversité.

ONG L’homme et l’environnement

L’ONG L’Homme et L’Environnement est une ONG fondée à Madagascar depuis


1993, une association de solidarité internationale reconnue d’intérêt général en
France. Néanmoins, dans l’approche opérationnelle de l’ONG, rien ne serait
possible sans ses partenaires de terrain, les associations et ONGs locales, tout
comme les individus et les entreprises privées éthiques.
C’est par ce travail commun que des opportunités économiques qui servent la
préservation de l’environnement et le développement humain émergent. Sans
oublier le rôle dédié à l’éducation à la conservation des ressources de demain.
L’objectif est de préserver la biodiversité par l’implication des populations locales
défavorisées dans les projets de développement durable à impact positif menés
sur des zones spécifiques très riches en biodiversité menacée. Cela permet
d’autonomiser un développement humain pérenne qui soutient la conservation
de la biodiversité.

L’entreprise malgache Aroma Forest est détenue principalement par l’ONG


L’Homme et l’Environnement pour assurer un maximum d’impacts positifs au
niveau local (santé, éducation, construction et gestion des infrastructures de
base qui manquent) comme sur la conservation de la biodiversité.

Conservation et régénération de la biodiversité

Pour Aroma Forest produire sans pesticides ou engrais chimiques est


indispensable mais ne suffit pas. Les productions se font dans le cadre de plans
d’aménagement qui incluent la conservation des forêts et la régénération de la
biodiversité.

Union for Ethical Bio Trade

Aroma Forest est la première entreprise productrice d’huiles essentielles à être


certifiée pour ses engagements équitables et bio en faveur de la biodiversité par
l’UEBT (Union for Ethical Bio Trade).

Wildlife Friendly®

Les huiles essentielles Aroma Forest sont les premières au monde à avoir été
certifiées Wildlife Friendly® prouvant que leur mode de production permet de
soutenir la conservation de la faune sauvage.
408 actions sont actuellement proposées aux investisseurs au prix de
485,30 euros chacune, représentant jusqu'à 20% de la société.

Circuit 1 – Voyage aromatique côte Est - Réserves de


Vohimana et de Vohibola (8 jours)
La réserve de Vohimana, forêt humide de moyenne altitude, est un sanctuaire
de plus de 500 ha situé au cœur du corridor forestier de l'Est de Madagascar.
Avec sa faune et sa flore endémique, elle est un véritable "hotspot" de
biodiversité. Lémuriens, grenouilles, caméléons et oiseaux y cohabitent au milieu
de nombreuses variétés d'orchidées et de palmiers. La forêt de Vohimana est un
sanctuaire pour 12 espèces de lémuriens et abrite plus de 160 plantes
médicinales.

Malheureusement, cette biodiversité reste toujours menacée. Incendies,


déforestation, cyclones, les atteintes sont multiples, et beaucoup d'espèces
risquent l'extinction.

L'ONG l'Homme et l'Environnement œuvre depuis plus de 20 ans à la protection


de la biodiversité de Vohimana en accompagnant les populations locales dans les
différents programmes de valorisation des ressources naturelles.

Plusieurs activités génératrices de revenus ont été mises en place : écolodge,


distillerie, pépinière, artisanat... Toutes ces activités ont permis de valoriser le
territoire et d'améliorer les conditions de vie des populations locales.

Le programme de conservation liée au développement créé par Olivier Behra, et


les incroyables connaissances locales des plantes ont valu à Vohimana d’être
reconnu par les Nations Unies comme patrimoine Mondial Immatériel de
l’Humanité.

Réserve de Vohimana – Activités sur place

Randonnées avec les guides de l’association MERCIE


Visite des plantations
Possibilité de participer à une distillation Gingembre frais, Ravintsara, Maniguette
fine, Gingembre Papillon, Curcuma... (Association Manara-Penitra)
Possibilité de participer à un atelier de fabrication de baumes dermatologiques
Boutique des femmes (association KANTO artisanat local)

Information complémentaire :
https://le-trek-des-essentielles.fr/reserve-vohimana-madagascar-olivier-behra/
Circuit 1 – Voyage aromatique côte Est - Réserves de
Vohimana et de Vohibola (8 jours)
La réserve de Vohibola

L’aire protégée de Vohibola est un territoire de plus de 2 800 ha, situé le long du
canal des Pangalanes sur la côte est de Madagascar, entre les villes de Tamatave
et de Brickaville.

Cette réserve représente donc l’un des derniers refuges pour de nombreuses
espèces. Sa grande biodiversité fut d’ailleurs remarquée par le premier Président
de la République malgache qui en fit un conservatoire botanique strictement
interdit à la coupe et y installa sa résidence secondaire.

La forêt de Vohibola devient ainsi une réserve expérimentale, c’est-à-dire une


réserve naturelle protégée où sont menées conjointement des actions de
conservation et des projets de développement.

En 2016, l’association Razanyvohibola Madagascar voit le jour. Créée par les


villageois vivant autour de la réserve. Le but principal est de conserver l’aire
protégée avec la communauté et en parallèle mettre en place des projets
alternatifs pour l’amélioration des conditions de vie des villageois.

Menacée par la production illégale de charbon et l’exploitation illégale de bois,


cette forêt est protégée par des gardiens qui patrouillent pour repérer les
trafiquants. Des arbres sont également plantés afin de reboiser les zones
dégradées ou brûlées. Ici encore, la pauvreté est un facteur majeur qui mène à la
destruction de la forêt pour survivre.

Des projets éducatifs et sociaux sont menés dans les quatre villages environnants
pour permettre aux habitants de comprendre les enjeux de conservation de leur
patrimoine et leur assurer une sécurité alimentaire en développant des sources
de revenus alternatifs.

Réserve de Vohibola – Activités sur place

Balade accompagnée dans la forêt


Visite du village d’Andranokoditra (accès par bateau)
Participation à une journée de reboisement
Niaouli/ calophylle ... ?
>> En attente de parler à Angélique
Circuit 2 – Voyage aromatique à Vohimana (Est de
Madagascar) et sur les îles de Nosy Be et Nosy Komba
(10 jours)
La réserve de Vohimana, forêt humide de moyenne altitude, est un sanctuaire
de plus de 500 ha situé au cœur du corridor forestier de l'Est de Madagascar.
Avec sa faune et sa flore endémique, elle est un véritable "hotspot" de
biodiversité. Lémuriens, grenouilles, caméléons et oiseaux y cohabitent au milieu
de nombreuses variétés d'orchidées et de palmiers. La forêt de Vohimana est un
sanctuaire pour 12 espèces de lémuriens et abrite plus de 160 plantes
médicinales.

Malheureusement, cette biodiversité reste toujours menacée. Incendies,


déforestation, cyclones, les atteintes sont multiples, et beaucoup d'espèces
risquent l'extinction.

L'ONG l'Homme et l'Environnement œuvre depuis plus de 20 ans à la protection


de la biodiversité de Vohimana en accompagnant les populations locales dans les
différents programmes de valorisation des ressources naturelles.

Plusieurs activités génératrices de revenus ont été mises en place : écolodge,


distillerie, pépinière, artisanat... Toutes ces activités ont permis de valoriser le
territoire et d'améliorer les conditions de vie des populations locales.

Le programme de conservation liée au développement créé par Olivier Behra, et


les incroyables connaissances locales des plantes ont valu à Vohimana d’être
reconnu par les Nations Unies comme patrimoine Mondial Immatériel de
l’Humanité.

Réserve de Vohimana – Activités sur place

Randonnées avec les guides de l’association MERCIE


Visite des plantations
Possibilité de participer à une distillation Gingembre frais, Ravintsara, Maniguette
fine, Gingembre Papillon, Curcuma... (Association Manara-Penitra)
Possibilité de participer à un atelier de fabrication de baumes dermatologiques
Boutique des femmes (association KANTO artisanat local)
Circuit 2 – Voyage aromatique de Vohimana (Est de
Madagascar) à Nosy Be en passant par Nosy Komba (10
jours)
Nosy Be : randonnée au Mont Passot pour découvrir ses lacs de
cratères et l’ylang-ylang

Il y a 15 ans, un biologiste spécialiste des poissons a alerté Olivier Behra sur la


dégradation de l’eau des lacs de cratères du Mont Passot. Ceux-ci sont non
seulement les réserves d’eau des populations de l’île de Nosy Be mais également
l’habitat de poissons endémiques rares.

L’ONG L’Homme et l’Environnement s’est engagée à protéger la zone des lacs


contre l’érosion en plantant des arbres d’ylang-ylang, en collaboration avec les
populations locales pour préserver l'environnement et soutenir la conservation de
la faune sauvage.
Aujourd’hui, les premiers arbres plantés produisent beaucoup de fleurs donnant
ainsi une production continue d’huile essentielles d’Ylang-ylang.

Un gros travail a été effectué depuis le début des années 2000 avec des
biologistes, pour bien comprendre comment permettre à la faune sauvage de
prospérer au sein des plantations d’ylanguiers.

L’entreprise Aroma Forest s’est engagée à acheter les huiles essentielles


produites.
Par ailleurs, 80 paysans sont soutenus depuis 2020 pour planter davantage
d’ylanguiers ainsi que d’autres arbres fruitiers pour leurs usages alimentaires.

Par ailleurs, Aroma Forest a mis en place sa propre distillerie sur l'île de Nosy-Be
pour produire une huile d'ylang-ylang de qualité supérieure et stable à des prix
compétitifs. Les fleurs sont collectées sur des arbres cultivés sans aucun apport
d’engrais chimique ni pesticide, sur la plantation d’Aroma Forest à Ambahivahy.

Nosy Komba : journée à définir (Thierry Bernard)

 Il m’a parlé de la possibilité d’aller dans la vallée du Sambirano


« vallée des parfums, cacao, café, vetiver, ylang ...
 Selon ce que l’on décidé, il nous aidera à organiser le séjour sur
place
Circuit 3 – Voyage aromatique option « Saro »
Vohimana – Ambalakalanoro – Nosy Be – Nosy Komba (16
jours)
La réserve de Vohimana, forêt humide de moyenne altitude, est un sanctuaire
de plus de 500 ha situé au cœur du corridor forestier de l'Est de Madagascar.
Avec sa faune et sa flore endémique, elle est un véritable "hotspot" de
biodiversité. Lémuriens, grenouilles, caméléons et oiseaux y cohabitent au milieu
de nombreuses variétés d'orchidées et de palmiers. La forêt de Vohimana est un
sanctuaire pour 12 espèces de lémuriens et abrite plus de 160 plantes
médicinales.

Malheureusement, cette biodiversité reste toujours menacée. Incendies,


déforestation, cyclones, les atteintes sont multiples, et beaucoup d'espèces
risquent l'extinction.

L'ONG l'Homme et l'Environnement œuvre depuis plus de 20 ans à la protection


de la biodiversité de Vohimana en accompagnant les populations locales dans les
différents programmes de valorisation des ressources naturelles.

Plusieurs activités génératrices de revenus ont été mises en place : écolodge,


distillerie, pépinière, artisanat... Toutes ces activités ont permis de valoriser le
territoire et d'améliorer les conditions de vie des populations locales.

Le programme de conservation liée au développement créé par Olivier Behra, et


les incroyables connaissances locales des plantes ont valu à Vohimana d’être
reconnu par les Nations Unies comme patrimoine Mondial Immatériel de
l’Humanité.

Réserve de Vohimana – Activités sur place

Randonnées avec les guides de l’association MERCIE


Visite des plantations
Possibilité de participer à une distillation Gingembre frais, Ravintsara, Maniguette
fine, Gingembre Papillon, Curcuma... (Association Manara-Penitra)
Possibilité de participer à un atelier de fabrication de baumes dermatologiques
Boutique des femmes (association KANTO artisanat local)
Circuit 3 – Voyage aromatique option « Saro »
Vohimana – Ambalakalanoro – Nosy Be – Nosy Komba (16
jours)
Cirque naturel d’Ambalakalanoro

Il se trouve au nord-ouest de Madagascar au bord du canal du Mozambique et se


tourne vers l’océan Indien. Cette zone très reculée se trouve à 80 km de la ville
de Majunga soit à une heure de bateau rapide.

En 2008, alors que la moitié des forêts était détruite, un programme de


protection par sa privatisation a été mis en place afin de protéger ce cirque
naturel d’Ambalakalanoro. Enclave naturelle exclusive avec ses 3 kms de plage
protégés par une falaise de 40 mètres de haut, ce site est d’une incroyable
beauté.
C’est le pays de l’ethnie Sakalava et des pêcheurs Vezo.

Huile essentielle du Saro : l’huile qui tient « le mal éloigné »

En 2000, c’est pour soutenir l’implication des populations locales dans la gestion
durable de leurs forêts qu’Olivier Behra et la société sociale et solidaire malgache
Aroma Forest ont décidé de lancer la production d’une huile essentielle, encore
inconnue à l’époque, qu’il a nommée Saro (issue de l’arbre Mandravasarotra).

Programme de reboisement

Un programme de reboisement avec des essences autochtones a été mis en


place (grâce au soutien de la Fondation Yves Rocher). Une micro-équipe locale y
travaille (2 gardiens/pépiniéristes). Quinze ans après, les résultats montrent qu’il
est réellement possible d’inverser les tendances, au moins sur des zones clés
bien déterminées.
Il a ainsi été décidé d’étendre ce programme de conservation et de reforestation
en collaboration avec les populations locales.

Le programme favorisera la production locale durable d’huiles essentielles de


Saro pour assurer des perspectives de conservation autonomes durables, des
reboisements d’essences autochtones dans les forêts dégradées et des
reboisements communautaires d’essences d’intérêt économique et alimentaire.

500 hectares de forêts font ainsi l’objet de programmes de reboisement. Cette


forêt est un refuge pour le Syfaka de Coquerel, un des 25 primates les plus
menacés au monde.

L’objectif est toujours le même : générer des revenus aux communautés locales
(grâce à la commercialisation de l’huile essentielle de Saro) qui permettent de
donner accès à l’éducation aux enfants de ces villages très isolés.
Circuit 3 – Voyage aromatique option « Saro »
Vohimana – Ambalakalanoro – Nosy Be – Nosy Komba (16
jours)

Nosy Be : randonnée au Mont Passot pour découvrir ses lacs de cratères


et l’ylang-ylang

Il y a 15 ans, un biologiste spécialiste des poissons a alerté Olivier Behra sur la


dégradation de l’eau des lacs de cratères du Mont Passot. Ceux-ci sont non
seulement les réserves d’eau des populations de l’île de Nosy Be mais également
l’habitat de poissons endémiques rares.

L’ONG L’Homme et l’Environnement s’est engagée à protéger la zone des lacs


contre l’érosion en plantant des arbres d’ylang-ylang, en collaboration avec les
populations locales pour préserver l'environnement et soutenir la conservation de
la faune sauvage.
Aujourd’hui, les premiers arbres plantés produisent beaucoup de fleurs donnant
ainsi une production continue d’huile essentielles d’Ylang-ylang.

Un gros travail a été effectué depuis le début des années 2000 avec des
biologistes, pour bien comprendre comment permettre à la faune sauvage de
prospérer au sein des plantations d’ylanguiers.

L’entreprise Aroma Forest s’est engagée à acheter les huiles essentielles


produites.
Par ailleurs, 80 paysans sont soutenus depuis 2020 pour planter davantage
d’ylanguiers ainsi que d’autres arbres fruitiers pour leurs usages alimentaires.

Par ailleurs, Aroma Forest a mis en place sa propre distillerie sur l'île de Nosy-Be
pour produire une huile d'ylang-ylang de qualité supérieure et stable à des prix
compétitifs. Les fleurs sont collectées sur des arbres cultivés sans aucun apport
d’engrais chimique ni pesticide, sur la plantation d’Aroma Forest à Ambahivahy.

Nosy Komba : journée à définir (Thierry Bernard)

 Il m’a parlé de la possibilité d’aller dans la vallée du Sambirano


« vallée des parfums, cacao, café, vetiver, ylang ...
 Selon ce que l’on décidé, il nous aidera à organiser le séjour sur
place

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