Rapport
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En 1995, la STEG a installé pour la première fois un nouveau concept de production du cycle
combiné. Cette technologie permet de délivrer une puissance de 130MW avec un rendement
séduisant qui attend le 50%.
III. Activités
1. Production :
La STEG dispose en 2011 d'un parc de production composé de 24 unités de production
d'une capacité totale de 3 526 MW, alimentées à 82 % par le gaz naturel.
Par rapport aux choix technologiques utilisés dans les centrales, on a :
Thermique vapeur (40,1 %) ;
Cycle combiné (29,2 %) ;
Turbine à gaz (28,2 %) ;
Hydraulique (2,1 %) ;
Éolienne (2 % en 2010).
Alstom Power a été successivement chargée de la construction des centrales à cycle
combiné de la STEG, à Sousse (1994), Radès (2001) et Ghannouch (2011) .
2. Éolienne :
La STEG exploite par ailleurs dans le cap Bon le parc éolien de Sidi Daoud, dont la seconde
extension est achevée en 2008. La société espagnole Gamesa, spécialisée dans la production
de l'énergie éolienne, signe un contrat avec la STEG en 2009 pour la fourniture de 91 turbines
d'éoliennes. 46 d'entre elles sont installées dans la région d'El Alia et de Metline, le reste
à Kechabta dans le gouvernorat de Bizerte ; le coût prévisionnel de cette opération s'élève à
360 millions de dinars. L'entrée en service de ces deux parcs, prévue pour fin 2009, est
repoussée à septembre 2012
Le coût effectif du projet, composé de 143 éoliennes réparties sur les deux sites, d'une
puissance totale de l'ordre de 190 MW, s'élève à 580 millions de dinars. La tranche d'El Alia,
concernée par 37 éoliennes, entre en service le 13 avril 2012 après une période expérimentale
ayant commencé le 20 février. Le reste des éoliennes est mis progressivement en service
jusqu'à la fin de 2012. L'entrée en exploitation de ce parc éolien permet de générer 600 GWH
d'électricité par an et d'économiser plus de 150 Ktep de combustibles. Grâce à cette nouvelle
centrale éolienne, la puissance totale du parc éolien de la STEG se monte à 245 MW, soit 6 %
de la capacité totale du parc de production. Des actes de vandalisme sont commis durant le
mois d'octobre 2012 sur plusieurs des tours du site d'El Alia, causant de graves dégâts aux
structures et installations et nécessitant l'arrêt total de toutes les éoliennes du site ainsi que de
celui de Kechabta.
3. Solaire :
La STEG se penche sur la maîtrise et l'introduction de l'énergie solaire en Tunisie. Elle
développe trois axes :
Solaire photovoltaïque : Cette énergie existe en Tunisie depuis le début des années
1980 ; la première centrale photovoltaïque en Tunisie est implantée près
de Siliana avec une capacité de 30 kWc soit 40 MWh par an.
Pour la période 2009-2010, la STEG prévoit l'installation de 3 000 kWc de toits solaires
photovoltaïques. Entre 2011 et 2014, les efforts seront étendus en vue de l'installation de
10 000 kWc de toits solaires.
Le but d’une centrale thermique est de produire l’énergie électrique à partir d’une énergie
thermique emmagasinée dans un combustible exemple (gaz, fuel, charbon, oïl …).
1.2. Etape B :
La première qualité qui a conduit au choix du projet du cycle combiné est sa rentabilité, en
effet il existe deux centrales thermiques, le premier à turbine à vapeur et le deuxième à turbine
à gaz qui ont un rendement nettement meilleur. Le choix du nombre de turbines à gaz
alimentant une turbine à vapeur est lié d’une part au niveau de puissance destinée et d’autre
part aux conditions d’exploitation recherchées.
L’air aspiré à la température ambiante est comprimé dans le compresseur de la turbine à gaz,
il pénètre ensuite dans la chambre de combustion ou il sera mélangé avec le gaz naturel pour
effectuer la combustion. Les gaz chauds qui proviennent de la combustion, constituent le
fluide moteur de ce cycle. En effet il se détente dans la turbine qui entraine un alternateur
pour fournir une puissance de 118MW. Les gaz chauds détendus sortes de la turbine à une
température de 543 °C et se dirige vers le récupérateur pour utiliser les calories restantes pour
la transformation de l’eau en vapeur et le fonctionnement du 2eme cycle du cycle combiné.
Les gaz chauds sortent à la fin de ce processus de la cheminée à une température de 102 °C.
L’eau est transformée en vapeur grâce aux calories récupérées des gaz chauds. En effet,
l’eau sorte du condenseur à une température 31,3 °C est pompé vers le réchauffeur situé en
haut du récupérateur, il entre avec une température 39 °C et sorte à 95 °C.
L’eau passe ensuite dans le dégazeur où on injecte l’hydrogène pour éviter la formation de
l’eau oxygénée qui peut engendrer la corrosion des conduites. L’eau du dégazeur à la bâche
alimentaire à une température 105 °C et une pression 1,2Bar. A la sortie de la bâche
alimentaire, le circuit sera partagé en deux circuits, un circuit haute pression HP et un circuit
basse pression BP grâce à trois pompes alimentaires HP et deux pompes alimentaires BP.
1.3. Etape C :
Est un cycle combiné mono-arbre de puissance 420 MW se composant d’une turbine à gaz
de puissance 284 MW et leurs auxiliaires, d’une chaudière de récupération et une turbine à
vapeur de puissance 136 MW et leurs auxiliaires.
1.4. Etape D :
V. Conclusion :
Dans ce chapitre, nous avons eu une idée sur l’entreprise : centre de production de Sousse,
son secteur d’activité, ses services et ses principales étapes A, B,C et D.
En effet, pour assurer la meilleure performance de la production de l’électricité, les
fonctionnements de deux étapes doivent être complémentaires afin de fournir 30% de la
production de l’électricité en Tunisie.
Chapitre Ⅱ : Présentation de la
centrale de Sousse 2 : Etape D
Ⅰ. Introduction :
Dans ce chapitre on va présenter l’étape D avec plus des détails puisque c’est le centre
d’intérêt dans notre stage.
Ⅱ. Présentation de la centrale :
La centrale électrique à cycle combiné de Sousse 2 se compose principalement d’une
turbine à gaz et une turbine à vapeur montés sur le même arbre, une chaudière de récupération
avec trois niveaux de pression, d’un condenseur refroidi par l’eau de mer, des échangeurs
thermiques et d’autres systèmes auxiliaires. La puissance de cette centrale est estimée à
400MW.
La centrale « Sousse D » est un cycle combiné mono-arbre, composé d’un groupe des
machines principales et des circuits auxiliaires.
Systémes
auxiliaire de
la TV
vapeur
huile de relevage vireur drainage huile controle joint
d'etanchiete
Le compresseur (repère C), constitué d'un ensemble d'ailettes fixes (stator) et mobiles
(rotor), comprime l'air extérieur (rep. E), simplement filtré, jusqu'à 10 à 15 bars, voire 30 bars
pour certains modèles.
Du gaz (rep. G), ou un combustible liquide pulvérisé, est injecté dans la (les) chambre(s) de
combustion (rep. Ch) où il se mélange à l'air comprimé et s'enflamme. Les gaz chauds se
détendent en traversant la turbine (rep. T), où l'énergie thermique des gaz chauds est
transformée en énergie mécanique.
La turbine est constituée d'une ou plusieurs roues également munies d'ailettes précédées
d'aubages fixes (directrices). Les gaz de combustion s'échappent par la cheminée (rep. Ec) à
travers un diffuseur. Le mouvement de rotation de la turbine est communiqué à l'arbre A qui
actionne d'une part le compresseur, d'autre part une charge qui n'est autre qu'un appareil
(machine) récepteur (pompe, alternateur ...) accouplé à son extrémité droite. Pour la mise
en route, on utilise un moteur de lancement (rep. M) qui joue le rôle de démarreur. Le réglage
de la puissance et de la vitesse de rotation est possible en agissant sur le débit de l'air en
entrée et sur l'injection du carburant.
4. L’alternateur :
Le rôle de l'alternateur est de convertir de l'énergie mécanique (fournie par le moteur à
combustion) en énergie électrique. L'électricité ainsi produite est utilisée de différentes
manières selon les conditions de conduite :
À vitesse stabilisée ou au ralenti, l'alternateur alimente directement les consommateurs
d'électricité (et recharge la batterie si son niveau de charge est très faible).
Lors des décélérations, l'alternateur continue d'alimenter directement les
consommateurs d'électricité et recharge la batterie.
En cas de forte accélération, l'alternateur ne produit plus d'électricité afin d'éviter une
surcharge de courant. La batterie fournit alors l'énergie nécessaire pour alimenter les
composants électriques.
Le condenseur installé sur le site de Sousse est un condenseur refroidi par l'eau de mer
(fournisseur STF), qui condense la vapeur évacuée par la turbine à vapeur pendant le
fonctionnement normal en cycle combiné et quand elle provient du système de by-pass en cas
de fonctionnement en cycle simple.
Système de détente et
alimentation du gaz naturel
Système d’alimentation du
gasoil
de mer
Système de refroidissement
centrale
fermé
Système d'électrochloration
Système anti-incendie
Ⅳ. Conclusion :
On pourra dire maintenant qu’on a une vision générale sur la société tunisienne de
l'électricité et du gaz.
Chapitre Ⅲ : Bibliographie
I. Introduction :
Dans ce chapitre on va présenter les différents types des joints et les multi différents
machines responsable pour les découper avec leurs fonctionnements.
La découpe de joints par systèmes laser CO2 se caractérise par sa haute précision et sa
flexibilité. Ces machines Sont adaptées aussi bien au traitement de matériaux en panneaux
qu’à la découpe précise de feuilles. En outre, le processus thermique du laser permet une
cautérisation des bords de découpe des matériaux synthétiques.
Le système de découpe laser M-800, d’une surface de travail de 830 x 1330 mm, est
parfaitement équipé pour tous les travaux de découpe, gravure et marquage par laser. Un de
ses points forts, l’option Shuttle Table (système de table navette), permet de presque doubler
sa productivité. Avec ce „petit“ système laser, vous avez tous les atouts en mains.
Pour les matériaux très épais ou très durs, une découpe au jet d’eau peut être effectuée par
2.3.1- caractéristiques des machines de découpe des joints par jet d’eau :
Les machines de découpe au jet d'eau sont constituées de trois parties essentielles qui sont :
La pompe de découpe jet d'eau très haute pression.
La canalisation haute pression.
La table de découpe jet d'eau.
Les tables de découpe standards ont un format proche de 3000x2000 mm Il est toutefois
possible, en fonction du type de pièces découpées, d'utiliser des machines plus petites
(1000x1000 mm) ou plus grandes (6000x2000 mm). Comme nous l'avons dit plus haut, les
axes de la machine sont pilotés par une commande numérique, reliée à des variateurs, eux-
mêmes reliés à des moteurs électriques précis, rapides et puissants. Au démarrage du cycle, la
machine commence par prendre ses origines afin de déterminer ses coordonnées zéro. Elle
positionne ensuite sa tête de découpe au-dessus de la matière, à une hauteur
déterminée comprise entre 10 à 30 mm
En fait la machine de découpe jet d’eau FIRST JET est constituée d’un châssis monobloc
moulé en fonderie et muni d’un bras volant supportant 1 ou 2 têtes de découpe pneumatiques
très haute performance.
L’accès au chargement de la table peut s’effectuer par les 3 côtés de la machine.
Les axes X, Y et Z possèdent :
Une transmission par vis à billes
Le guidage par patins à billes et rails linéaires prismatiques
Montés sur le châssis préalablement rectifié au centre d’usinage
Moteurs Brushless avec codeur incrémental incorporé
Des glissières de protection contre l’abrasif
Une lubrification automatique
La conception aboutie de là cette table et l’utilisation de composants haut de gamme
permettent :
De minimiser l’usure de la machine provenant de l’environnement hostile de la
découpe hydro-abrasive
De vous garantir une précision durable
D’obtenir un faible coût d’exploitation de machine
Précision : +/- 0.1mm
Répétabilité : +/- 0.05mm
Matériel pour l’abrasif :
Système abrasif sous pression.
Bocal d’abrasif avec régulateur de débit (permet de contrôler le grammage par
minute)
Surface utile de découpe (X x Y x Z) :
De 1350mm x 1350 mm x 210 mm (option 310 mm).
Ⅳ. Conclusion :
Dans ce chapitre on a cité le rôle, les types, l’utilisation et le fonctionnement des machines
de découpe des joints circulaires.
Chapitre Ⅲ : mise en situation
I. Introduction :
Dans la société STEG de Sousse, on utilise des différents types des turbines pour produire
de l’énergie électrique qui alimente les villes. Ces turbines utilisent des joints avec des
différents caractéristiques qui assurent leurs étanchéités au cours de leurs fonctionnement
après une durée du temps d’utilisation. Ces joints doivent être changés, la fréquence du
changement est relativement variable selon la pression et les caractéristiques du joint, c’est
pour cela la société décide de fabriquer un mécanisme de découpage.
II. L’étape D :
La centrale « Sousse D » est un cycle combiné mono-arbre, composé d’un groupe des
machines principales et des circuits auxiliaires.
III. Problématiques :
Dans notre système actuel les défauts à récupérer sont :
V. Conclusion :
Notre travail consiste à améliorer ce mécanisme selon des exigences bien spécifiées, dans ce
chapitre on a mis en situation l’état actuel et on a renoncée les principaux problèmes afin de
fabriquer une nouvelle machine plus utile.
Chapitre Ⅳ: Analyse fonctionnelle
I. Introduction :
Dans ce chapitre on va étudier l’analyse fonctionnelle de notre système découpeuse des
plaques de joint. L’analyse fonctionnelle décrit d’une part, le point de vue de l’utilisateur
envers le produit exprimé en termes du besoin et d’autre part celui de concepteur qui cherche
à traduire ses besoins à un assemblage des fonctions de service, pour aboutir aux choix des
solutions technologiques capables de satisfaire les besoins énoncés par l’utilisateur dans le
cahier des charges fonctionnels qui rassemble les objectifs assignés au produit et évalue le
niveau de qualité à atteindre.
II. Problématiques :
III. Analyse fonctionnelle externe :
1. Diagramme bête à corne :
Découpeuse des
joints
Le diagramme pieuvre nous permet d’identifier les fonctions de service principales et celles
contraintes reliant les éléments d’environnement entre eux et avec le système.
Plaque des
Opérateur joints
FP1
Fc6 Fc5
Fc4 Energie
Fc1 Découpeuse
des joints électrique
Qualité
Fc2
Fc3
Sécurité Environnement
Cette opération consiste à classifier une équipe formée par l’élaborateur du projet,
l’encadreur, l’agent de montage et les fonctions de services selon leurs importances relatives.
Pour hiérarchiser les fonctions de services de notre système, nous utilisons l’outil « Tri-
croisé » qui correspond à un tableau contenant les différentes fonctions et leurs poids
respectifs.
0 : Pas de supériorité
1 : légèrement supérieur
2 : Moyennement supérieur
3 : Nettement supérieur
Totale 40 100
35
30
LE POURCENTAGE
25
20
15
10
5
0
FP1 FC1 FC2 FC4 FC6 FC3 FC5
LES FONCTIONS
1. Diagramme SADT :
W.E Réglage
Opérateur
Fournir Transformer
Moteur Choix du
l’énergie
l’énergie réducteur moteur
électrique en Soudage
mécanique de
énergie
rotation et mécanique Fixer le
Réduire la Support
moteur
vitesse
Boulon
Accouplement rigide
Transmettre la puissance
Accouplement élastique
FP1 : mécanique
permettre à
l’opérateur
de
découper
les feuilles Coussinet A bille
des joints. Guidage en
rotation
Roulement A rouleaux
Système pignon-crémaillère
Guidage en translation du
support porte joint
Système vis-écrou
Poulie - courroie
Transmettre le Système de
mouvement de transmission de
rotation mouvement Engrenage
Pignon-chaine
FC2 :
Prévoir une cage qui
Respecter les normes de sécurité contourne l’accouplement
FC3 :
Résister au milieu
Des matériaux résistants à la chaleur, usure, oxydation...
extérieur
FC4 :
FC5 :
FC6 :
Montage et démontage
Utilisation facile et facile
Être facile à utiliser confortable
Commande automatique
du système
FR1
e α
FT1
La matière première de plaque joint : le Graphite armé, on travail aussi sur une épaisseur
maximale de 6mm.
La résistance élastique du cisaillement Re = 140 MPa et puisque Re < 270 d’où Reg = 0.5*Re
AN :
FT1= 2702* tg (25) = 1260 N
AN :
Cs1 = 1260 * 75 = 94.5 N/m
On travaille ici au niveau d’engrenage (les deux roues du transmission) :
5. Le couple de sortie Cs2 :
Puisque les deux couples de sortie sont portés par le même arbre donc ils sont égaux.
FT2 = Cs2 / R
AN :
FT2 = 94500/160 = 591 N
94.5∗60 π
Pm = = 297 w = 0.27 kW
60
On choisit le moteur en tenant compte
d’une existence d’un réducteur :
(annexe)
Moteur électrique LS71P
0,25KW 3000 T/M
MONOPHASE
Ft
Ft
Pas
T α N
x
Π.D
On a comme formules :
T
Tgρ= = f (le coefficient de frottement)
N
D
C = Ft* (D le diamètre du vis)
2
On applique le principe fondamental de la statique :
∑Fext = 0
Ft + Fa + N + T = 0
Ox/ Ft – N sin α – T cos α = 0 (1)
Oy/ -Fa +N cos α -Tsin α = 0 (2)
Ox :
T
Tgρ = => T = tg ρ * N => Ft – N sin α – N *tgρ * cosα =0
N
Puisque tgρ = f => Ft – N sin ρ – N* tgρ * cosα = 0 (1)
Oy :
-Fa + N* cosα – N*tgρ*sinα = 0 => -Fa + N*cosα – N*f*sinα = 0 (2)
(1) : Ft – N*(sinα + f*cosα) = 0
(2) : -Fa + N*(cosα – f*sinα) = 0
Fa
Fa cosα Fa pas
2 : N= cosα−fsinα => N= cosα sinα
=> N =
cosα (1−ftgα )
avec tgα =
πD
−f ( )
cosα cosα
Fa
(
N = cosα (1− f ∗pas )
πD )
Fa
( )
1 : Ft – N (sinα + f cosα) = 0 => Ft = cosα∗(1− f∗pas ) * [sinα + f cosα]
πD
sinα + fcosα
Fa Fa πD∗(sinα + fcosα )
Ft = * πD−(f∗pas) => Ft = *[ ] = Fa * [
cosα cos α πD−fpas
πD
πD sinα +fπDcosα
]
cosα ( πD−fpas)
πD sinα
cosα ( + fπD) sinα
Ft = Fa * [ cosα ] et puisque = tgα alors on peut écrire :
cosα
cosα∗(πD−fpas)
πD pas
πD tgα + fπD + fπD
Ft = Fa * [ ] = Fa * [ πD ]
πD−fpas
πD−fpas
pas+ fπD
Ft = Fa * [ πD−fpas ]
D pas+ fπD
C = Fa * 2 * [ πD−fpas ]