Leconomie Marocaine Entre 1980 Et 2020 e
Leconomie Marocaine Entre 1980 Et 2020 e
Leconomie Marocaine Entre 1980 Et 2020 e
Résumé.
Cet article vise à élucider le concept de l'efficacité économique, qui est un terme
clé dans le domaine de l'économie et de la politique. Suite aux approches
théoriques qui ont conduit à une effervescence d'opinions sur ce qu'est
l'efficacité économique, nous nous concentrons dans cette brève initiative à
mettre en exergue l'efficacité ou l'inefficacité économique du Royaume du
Maroc avant, pendant et après la pandémie du COVID-19 (1980-2020), grâce au
fameux triangle de l'économiste N. Kaldor.
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Introduction :
présenté dans notre majestueuse exposition des faits et des idées, formant deux
éléments indispensables à l'économiste et à tout praticien des sciences sociales
pour poursuivre une approche épistémologique visant à inscrire la littérature et
la connaissance économique de la manière la plus simple et la plus concrète
possible dans la réalité.
● Le solde des transactions courantes mesure les revenus tirés par un pays sur
le reste du monde net des dépenses.
Solde Courant = Solde Extérieur (Solde Commerciale + Solde de la balance des
services)+ Solde sur la balance des revenus primaires + Solde sur les transferts
courants .
L'économie marocaine est structurée de la manière suivante : l'offre globale est tirée
par la demande intérieure, qui est composée de la consommation privée, de
l'investissement privé et des investissements publics.
En outre, une grande partie des revenus est assurée par l'économie d'extraction, telle
que la vente du phosphate. Le secteur de l'outsourcing connaît une forte croissance
en tant qu'importateur majeur. La politique d'industrialisation attire les investisseurs
étrangers, permettant de faciliter l'entrée de nombreux jeunes diplômés sur le
marché du travail.
Cette politique publique suit les directives des organisations internationales en
faveur de la libéralisation des activités économiques. Le produit intérieur brut
dépend toujours des aléas climatiques, mais une culture riche est préservée face aux
externalités négatives de la mondialisation.
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Conclusion :