Dokument 548 137
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présidée pendant vingt ans par Jean-Pierre-Vernant et Jacques Derrida et aujourd’hui par Etienne Balibar,
en partenariat avec l’Université Blaise Pascal de Clermont-Ferrand
Institutions partenaires :
- Association Jan Hus (pour le développement des échanges universitaires avec la République
tchèque et la Slovaquie)
- Fondation Nadace Jan Husa - Vzdělávací nadace Jana Husa, Vzdelávacia Nadácia Jana Husa
(République tchèque/Slovaquie)
- Institut de Philosophie de l´Académie Tchèque des Sciences (Filosofický ústav ČAV),
République tchèque
- Université Blaise Pascal, Clermont-Ferrand, France
- Université Comenius de Bratislava (Slovaquie)
- Université Palacký d´Olomouc (République tchèque)
- Université Paris Diderot (Paris 7)
- Université de Prešov - Filozofická fakulta Prešovskej univerzity (Slovaquie)
- Faculté des Sciences Humaines de l´Université Charles, Prague, République tchèque
Coordination :
Sylviane Coyault (Professeur des Universités, Université Blaise Pascal - UBP)
Jacques Message (Secrétaire Général adjoint de l’Association Jan Hus)
Il est impossible de parcourir une gazette quelconque, de n'importe quel jour, ou quel
mois, ou quelle année, sans y trouver, à chaque ligne, les signes de la perversité
humaine la plus épouvantable, en même temps que les vanteries les plus surprenantes
de probité, de bonté, de charité, et les affirmations les plus effrontées relatives au
progrès et à la civilisation.
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Tout journal, de la première ligne à la dernière, n'est qu'un tissu d'horreurs. Guerres,
crimes, vols, impudicités, tortures, crimes des princes, crimes des nations, crimes des
particuliers, une ivresse d'atrocité universelle.
Et c'est de ce dégoûtant apéritif que l'homme civilisé accompagne son repas de
chaque matin. Tout, en ce monde, sue le crime : le journal, la muraille et le visage de
l'homme.
Je ne comprends pas qu'une main pure puisse toucher un journal sans une
convulsion de dégoût.
Tout journal, de la première ligne à la dernière, n'est qu'un tissu d'horreurs. Guerres,
crimes, vols, impudicité, tortures, crimes de prince, crimes des nations, crimes des
particuliers, une ivresse d'atrocité universelle.
Baudelaire
Mon cœur mis à nu, LXXX
PROGRAMME PRÉVISIONNEL
Lundi 23 juin
- 17 h 40 : discussion
- 18 h 00 : acheminement vers Besse - Saint Anastaise, avec arrêt à Saint
Nectaire et Murol [ou après réception en Mairie de Clermont]
20 h : dîner
21 h., cinéma : Touch of evil (La soif du mal), Orson Welles, 1958 ou
Blow-up, Michelangelo Antonioni, 1966 [propositions]
Mardi 24 juin
12 h 30 – 13 h 45 : Déjeuner
19 30 - 20 h 30 : dîner
Mercredi 25 juin
*
vérité, liberté et acte de dire - voir Michel Foucault, Le Gouvernement de soi et des autres, Cours du
Collège de France, 1982-1983]
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- 17 h 30 – 19 h 00 :
Atelier, avec Tanguy Viel (romancier, auteur de romans - Le Black note,
Cinéma, L’Absolue Perfection du crime, Insoupçonnable, publiés aux
Éditions de minuit), Le crime, acte suprême comme inverse de
l’écriture. Introduction par Christine Jérusalem (IUFM de Lyon)
20 h 00 : dîner
Jeudi 26 juin
12 h 45 – 14 h 00 : Déjeuner
21 h 00 : Dîner de fête
Vendredi 27 juin
13 h 00 : déjeuner