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2 - Chaudières - Hydraulique

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LE CHAUFFAGE A EAU

CHAUDE
Chaudières gaz à condensation

1) chambre de combustion (= foyer)


2) corps de chauffe, où circule l’eau du circuit de
chauffage
7) condenseur
8) brûleur
9) injecteur (= gicleur)
10) rampe gaz
12) extracteur de fumée
13) veilleuse
14) allumeur piézo-électrique (à la place de la
veileuse)
15) récupérateur d’eau de condensation
Chaudières à deux raccords hydrauliques
• Ce type de chaudière est équipé d’un
seul échangeur de chaleur qui n’est
soumis que partiellement à la
condensation. L’eau circule au même
débit aussi bien dans la partie où se
produit la condensation que dans
l’autre partie. L’appareil présente
une surface d’échange plus
importante que dans une chaudière
traditionnelle. Sa conception est en
outre tout à fait particulière, dans la
mesure où l’évacuation des
condensats n’affecte ni la flamme ni
l’évacuation des gaz brûlés.
Chaudières à raccords hydrauliques multiples
• On se trouve ici en présence de deux
échangeurs de chaleur distincts,
situés ou non dans la même enceinte.
La condensation des gaz brûlés
s’opère dans l’échangeur
(condenseur) le plus proche de
l’endroit où les gaz brûlés quittent la
chaudière.
• Le condenseur peut être placé en
série avec l’échangeur de chaleur
‘classique’. On remarque dans ce
cas la présence de trois raccords
hydrauliques − un départ commun
et deux retours séparés permettant
de raccorder des circuits d’eau de
retour s’écoulant à des
températures différentes.
Chaudières à raccords hydrauliques multiples
• Le condenseur et l’échangeur ‘classique’
peuvent également être disposés en
parallèle. La chaudière comporte alors
quatre raccords hydrauliques permettant
de desservir des circuits de chauffage à
températures de départ et de retour
différentes.

• Dans ce cas, le condenseur peut ou non


faire partie intégrante du manteau de la
chaudière. Ce type de condenseur
permet de transformer une chaudière
existante classique en chaudière à
condensation.
Modes d’écoulement dans les chaudières à condensation
les exigences relatives au débit de circulation d’eau constituent un critère de
distinction essentiel pour une chaudière à condensation.

1. Chaudières sans débit imposé (chaudières à grande capacité d’eau).

2. Chaudière à débit élevé (chaudières à petite capacité d’eau).

3. Chaudière à débit moyen ou faible.


Chaudière sans débit imposé

• Présente de faibles pertes de pression.


• Ne nécessite pas de circuit primaire étanche
avec pompe séparée.
• l’avantage de ne pas devoir mélanger l’eau de
retour refroidie avec l’eau chaude de départ,
de telle sorte que la température de l’eau qui
revient à la chaudière soit toujours la plus
basse possible.
• les circuits de chauffage sont d’un réglage
aisé.
• Toute surchauffe locale doit impérativement
être évitée.
Chaudière à débit élevé

• L’utilisation d’un circuit primaire avec pompe


séparée est nécessaire, de même que
l’installation d’un séparateur (bouteille casse-
pression) assurant la scission hydraulique des
circuits primaire et secondaire (figure 20).
• l’avantage de ne pas devoir mélanger l’eau de
retour refroidie avec l’eau chaude de départ, de
telle sorte que la température de l’eau qui
revient à la chaudière soit toujours la plus basse
possible.
• les circuits de chauffage sont d’un réglage aisé.
• Exige un flux d’eau continu à grand débit
(nominal) afin d’éviter toute surchauffe locale
au sein de l’échangeur.
Chaudière à débit moyen ou faible

• Ces appareils constituent un compromis


des deux précédents. Le débit d’eau
minimum à assurer se situe entre 15 et
25 % du débit nominal de la chaudière
et requiert un réglage approprié.
Evacuation des condensats

Les condensats qui se forment dans la • Une maison unifamiliale moyenne


chaudière doivent être évacués vers 500 à 2000 litres de condensats par
l’égout. an avec un pH de 2 à 4 pour mazout
Le système d’évacuation intégré à la pauvre en soufre (mazout extra) et de
chaudière ou fourni avec elle doit 4 à 5 pour le gaz naturel
répondre aux exigences suivantes :
1. il doit pouvoir être inspecté et • il n’existe en Belgique aucune
nettoyé aisément. prescription spécifiquement
2. Il sera équipé d’un coupe-odeur applicable à l’évacuation des
avec garde d’eau dont le niveau condensats.
d’eau est au moins égal à 25 mm. • Les réglementations régionales
3. le conduit d’évacuation possède un relatives au rejet des eaux usées
diamètre • intérieur d’au moins 13 domestiques dans les eaux de surface
mm. permettent cependant de considérer
un pH de 6,5 comme une valeur
minimum.
Détermination de la puissance de la chaudière
• NBN B62-003 (calcul des déperditions)
• NBN B62-002 (coefficients de transmission thermique)

• NBN EN 12828 (puissance minimale à installer )


1. la puissance nécessaire au chauffage du bâtiment, déterminée par les
déperditions calorifiques globales, dans lesquelles les pertes par ventilation
naturelle (infiltrations non contrôlées) sont réduites de 50 %
2. la puissance nécessaire à la préparation de ECS et dépend du type
d’appareil utilisé (instantané, accumulation, ...) et des besoins en eau
chaude des occupants ou des utilisateurs
3. les déperditions des circuits de chauffage supplémentaires éventuellement
raccordés à la chaudière à d’autres fins (par exemple, préchauffage de l’air
de ventilation, réchauffement d’une piscine, ...).
Nombre minimum de chaudières à installer
• La norme NBND30-001

1. Si Pu ≤ 200 kW : au moins une chaudière d’une puissance égale à 1,1 x Pu


2. Si 200 ≤ Pu ≤ 600 kW : deux chaudières d’une puissance unitaire de 0,6 x Pu
3. Si Pu > 600 kW : au moins trois chaudières, les deux premières présentant une
puissance unitaire de 0,33 x Pu et la troisième de 0,5 x Pu.
Emission de chaleur normalisée des radiateurs
• L’émission calorifique d’un radiateur est déterminée selon la méthode d’essai
proposée dans la norme NBN EN 442-2. L’émission calorifique normalisée
Φn50 tient compte d’un régime de 75/65 °C (et d’une température ambiante
de 20 °C.

• A chaque modèle testé correspond une courbe caractéristique déterminer son


émission calorifique pour toutes les combinaisons de températures d’eau et
d’air.

• Le principal paramètre de l’émission calorifique est la différence entre la


température de l’air et la température moyenne de l’eau. Une baisse de la
température d’eau de 10 K (p.ex., de 70 à 60 °C) entraîne une diminution de
l’émission calorifique de plus de 20 % .
Facteur de correction de l’émission
courbe caractéristique d’un radiateur calorifique des radiateurs d’un local à
20 °C.
Transposition de l’émission normalisée à d’autres températures
• La conversion de l’émission calorifique qu’impose l’emploi d’autres
températures de l’eau et de l’air s’opère de trois façons :

1. à l’aide de formules (conversion précise, correction des variations de


débit, destinée essentiellement aux calculs informatisés)

2. à l’aide d’un abaque relatif au radiateur (détermination graphique moins


précise, mais présentant des possibilités d’évaluer les variations de
débit)

3. à l’aide de facteurs de correction tabulés (valeurs approchées).


1 - A l’aide de formules
2 - A l’aide d’un abaque relatif au radiateur

Influence du débit d’eau sur l’émission • Une variation du débit d’eau a beaucoup moins
calorifique d’un radiateur. d’impact sur l’émission calorifique qu’une
variation de température.

• La courbe montre l’évolution de l’émission


calorifique en fonction du débit pour des
radiateurs testés selon la norme EN 442-2 [19].
• Le diagramme fait apparaître que toute
élévation du débit nominal (q > qn50) influence
peu l’émission calorifique, tandis que toute
diminution (q < qn50) a des répercussions
relativement plus importantes, quoiqu’assez
limitées si la baisse ne dépasse pas 50 %. Une
réduction de moitié du débit n’entraînerait, par
exemple, qu’une baisse de 11 % de l’émission
calorifique φn50.
2 - A l’aide d’un abaque relatif au radiateur

• Celui-ci montre la relation existant entre Principe de l’abaque de radiateur.


l’émission calorifique (axe des Y) et le débit
d’eau (axe des X). Tant l’émission calorifique
φ que le débit d’eau q sont représentés comme
des grandeurs relatives; en d’autres termes, ils
sont exprimés par rapport à l’émission
calorifique normalisée φn50 et au débit d’eau
normalisé qn50.
• Le graphe théorique comporte trois courbes,
lesquelles représentent en réalité trois
faisceaux de courbes distincts :
1. la courbe (θ1 − θa) indique l’évolution de
l’émission en fonction du débit d’eau pour une Principe de l’abaque de radiateur.
différence de température constante entre l’eau de
départ et l’air ambiant
2. la courbe (• θ2 − θa) donne l’évolution de
l’émission calorifique en fonction du débit d’eau
pour une différence de température constante entre
l’eau de retour et l’air ambiant
3. la droite (• θ1 − θ2) montre l’évolution de
l’émission calorifique en fonction du débit d’eau
pour une différence de température constante entre
l’eau de départ et l’eau de retour.

• Les courbes tracées correspondent aux conditions


normalisées, à savoir : θ1 = 75 °C, θ2 = 65 °C et θa
= 20 °C. Le point d’intersection A des trois courbes
représente la situation d’équilibre : l’émission
calorifique équivaut à la valeur normalisée (φ =
φn50) et le débit d’eau est égal au débit normalisé (q
= qn50).
Abaque de radiateur pour n=1.3 .

• La figure illustre l’abaque d’un


radiateur déterminé pour un large
éventail de combinaisons,
l’émission calorifique pouvant être
définie pour des températures de
l’eau de départ de 45 à 90 °C et des
températures de l’eau de retour
comprises entre 35 et 80 °C.
• L’abaque repose exclusivement sur
la résolution du système d’équations
présenté, en admettant une valeur de
1,3 pour l’exposant n.
3- A l’aide de facteurs de correction tabulés

Valeurs de φ/φn50 des radiateurs


pour un débit nominal (n = 1,3) et
diverses températures de l’eau et de
l’air.
L’émission de chaleur
Les corps de chauffe à convection naturelle
(et rayonnement) Radiateurs
Dimension minimales à respecter pour les
. cache-radiateurs :
• 3 [cm] < a1 < 5 [cm]
a2 > 2 [cm]
10 [cm] < b1 = c1
b2 = c3 = p et
6 [cm] < b2 = c3 = p < 12 [cm]
c2 = h
la norme EN 442-2, régime 75°/65°C

Puissance régime 2 =
((Tmoy régime 2 –Tamb) / Tmoy régime 1 –
Tamb))1,3 x Puissance régime 1

• Un radiateur de 2 000 W, en régime 90°/70°


(c'est-à-dire ayant une température moyenne de
80°C) fournira :

• ((70 [°C] - 20 [°C]) / (80 [°C] - 20 [°C])) 1,3 x


2 000 [W] = 1 578 [W]

• s'il est alimenté en régime 75°/65° (c'est-à-dire


avec une température moyenne de 70 °C).
Les corps de chauffe à convection forcée

les aérothermes
Les corps de chauffe à convection forcée

les éjecto-convecteurs
Les corps de chauffe à convection forcée
les ventilo-convecteurs ◊ l’air du local est pulsé par un ventilateur
au travers d’un élément chauffant
(convecteur) alimenté en eau chaude.
Les parois rayonnantes
Les parois rayonnantes
Schéma de principe
Standard
Schéma de principe
Tickelman
Systèmes de distribution
Tickelman
Schéma de principe traditionnelle
Systèmes de distribution monotube
Dimensionnement des pompes et circulateurs

circulation par pompe

Puissance électrique = (débit vol x hauteur manométrique ) /


rendement
• Pour dimensionner un circulateur il faut connaître le débit qu'il doit véhiculer et les pertes de
charges qu'il doit vaincre.
• La détermination du débit dans un corps de chauffe a été traitée dans le premier chapitre sur base
de la formule suivante:

(Kg/h)
• Afin de déterminer le débit total que le circulateur doit donner il suffit de faire le total des débits
partiels.
• lors du remplacement d'un circulateur, il est pratique d'utiliser une méthode qui est évidemment
approximative et qui consiste à prendre la puissance de la chaudière en kW comme point de
départ
(m³/h)

– Débit du circulateur [m³/h]


– E = puissance réelle à fournir par la
chaudière [kW]
– c = capacité thermique massique de l’eau
pour la température moyenne
– de l’eau [J/kg.K], suivant le tableau I
– Te = température de l’eau à l’entrée [°C]
– Ts = température de l’eau à la sortie [°C].
la courbe du réseau ou la courbe de l'installation.
Vitesse de rotation

∆HT = f(qv)
Hmt

N2 > N1

Hmt2
Hmt = f(qv) à N2 = cste

Hmt1

Hmt = f(qv) à N1 = cste

qv
qv1 qv2
La courbe hydraulique d'un circulateur
Chaque point de la courbe hydraulique d'un circulateur ou d'une pompe centrifuge
donne la relation entre le débit et la pression que la pompe donne à ce débit précis.
Le point de fonctionnement
L'intersection entre la courbe du réseau et la courbe du circulateur installé dans ce
réseau donne le point de fonctionnement réel.
Association en série Association en parallèle
qv1

q
v
qv1 qv2 Hmt1
qv Hmt2
Hmt Hmt
1 2
Hmt
qv2

Hmt

H
mt Hmt = H
Hmt = Hmt1 + f(qv) m Hmt2 =
Hmt2 t f(qv)
Hmt1 =
Hmt1 = f(qv)
f(qv) Hmt =
Hmt1 f(qv)
Hmt2 =
Hmt2 f(qv)

Hmt = Hmt1
= Hmt2
qv
q qv2 qv1 qv = qv1 +
qv = qv1 = qv2 v qv2
Circulateur à vitesse variable
• on voit la courbe de l'installation pour le débit maximale ainsi que pour le débit minimale. Ce sont
les deux parabole partant du point 0,0.
• Sans variation de vitesse il est clair que le point de fonctionnement monte vers la gauche quand la
demande en débit diminue.
• A vitesse variable il est possible de maintenir la pression différentielle constante comme la grande
ligne pointillée horizontale le montre. Mais les formules d'affinité nous apprennent que les pertes de
charge diminuent au carré avec la diminution du débit.
• Le circulateur fonctionne à partir de ce moment suivant la ligne descendante offrant ainsi une
énorme économie d'énergie supplémentaire côté moteur.

Hmt

Hmt2

Hmt1

qv qv qv
1 2
Les pressostats différentiels

• Les pressostats différentiels mesurent une différence


de pression entre deux points.
• Utilisé entre le départ et le retour d’un circuit de
radiateurs pourvus de robinets thermostatiques et
permettant d’ouvrir une vanne de by-pass lorsque
toutes les vannes à deux voies sont fermées dans
ledit circuit,
• Lorsque les vannes thermostatiques se ferment, la
pression augmente dans le réseau. La soupape
différentielle s'ouvre alors pour renvoyer
directement une partie de l'eau chaude vers le
retour.
Equilibrage
Collecteurs primaires en boucle ouverte

• chaudières à grand volume d'eau,


pouvant fonctionner à débit nul,
• pouvant fonctionner sans limite basse
de température de retour
• raccordées à des collecteurs primaires
courts
Collecteurs primaires en boucle fermée

Circuit primaire fermé avec pompe unique Circuit primaire fermé avec une pompe par
But est d’éliminer la pression différentielle chaudière
au pied de chaque circuit secondaire
Collecteurs primaires avec bouteille casse-pression
• Pour des chaudières demandant un débit d'eau permanent et ne pouvant supporter des
retours à très basse température.
• Permet d'éviter les problèmes d'interférence entre les circuits dans le cas de chaudières
et de collecteur à fortes pertes de charge.
• Demande aux chaudières de fonctionner à plus haute température pour éviter les
problèmes d'incompatibilité des débits entre le circuit primaire et les circuits secondaires
(ici, c'est le premier circuit secondaire après la bouteille casse-pression qui risque de
puiser de l'eau froide dans le retour).
• Permet d’installer un dégazeur et une récupération des matières solides (faible vitesse)
Circuits hydrauliques associés à une chaudière à
condensation
La distribution d’eau chaude sanitaire

1. Régulateur
2. Compteur
3. Soupape de sécurité
4. Clapet anti-retour
5. Robinet de douche normal
6. Robinet de désinfection
actionné par la régulation
Le principe d'une régulation
Le principe d'une régulation
la régulation de l’installation
situation extrême
mi-saison
la régulation de l’installation – V3V

elle mélange l'eau chaude de la chaudière et


l'eau froide de retour des radiateurs pour
obtenir la température d'eau voulue
La température extérieure varie en
permanence
Courbe de chauffe
Régulation par sonde exterieure
Schéma de régulation par circuit
• Les chaudières sont régulées en cascade par action sur leur brûleur, leur vanne d'isolement et
leur circulateur éventuel.
• La température des chaudières suit au plus près la température des circuits secondaires de
distribution (sauf si chaudière ne pouvant descendre en température, production instantanée
d'eau chaude sanitaire combinée ou collecteur primaire bouclé).
• Chaque zone d'occupation et de besoin homogènes dispose de son propre circuit de distribution
dont la température d'eau est régulée en fonction d'un thermostat d'ambiance ou le plus souvent
d'une sonde extérieure.
• Chaque circuit dispose un thermostat d'ambiance qui permet de gérer la température
d'inoccupation et éventuellement d'ajuster le réglage de la courbe de chauffe dans le cas d'une
régulation en fonction de la température extérieure.
• Les locaux profitant d'apports de chaleur plus importants que les autres sont équipés de vannes
thermostatiques le plus souvent "institutionnelles".
• L'intermittence est gérée par un optimiseur qui assure une coupure complète des circuits de
distribution et éventuellement des chaudières et calcule automatiquement le moment de la
coupure et de la relance en fonction des températures intérieures et extérieures
Télégestion - G.T.C
Principe de régulation d'une installation de chauffage équipée de deux chaudières à grand
volume d'eau et pouvant travailler en très basse température
• Signalisations TS
• Marche/arrêt : pompes, brûleurs, ventilateurs, surpresseurs
• Fin de course : vannes
• Alarmes TA
• Disjoncteur : général, pompes, brûleurs, ventilateurs.
• Dépassement de limite : température de fumées, niveau de cuve fuel, température chaudière, température ECS.
température eau départ, température eau retour, pression eau, pression gaz, débit.
• Anomalies : brûleur, incendie, fuite gaz, fuite d'eau.
• Intrusion : ouverture porte local, ouverture porte coffret.
• Comptage d'impulsion TCI
• Débits : fuel, gaz, vapeur, eau.
• Énergie : électrique, thermique consommée, thermique produite.
• Comptage horaire THI
• Fonctionnement : pompes, brûleurs, ventilateurs, surpresseurs.
• Mesures TM
• Température eau : départ chauffage, retour chauffage, écart départ-retour, boucle ECS, ballon ECS.
• Température air : extérieur, locaux témoins.
• Autres températures : fumées.
• Pressions : eau, vapeur, gaz.
• Niveaux : fuel.
• Commandes TC
• Marche/arrêt : pompes, brûleurs, ventilateurs, ralenti chauffage, boucle ECS.
• Ouverture/fermeture : vannes.
• Réglages TR
• Consignes de régulation : température de départ, température d'ECS, température ambiante, courbe de chauffe.
• Position : vanne.
Fin

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