Cours Entrepreneuriat Btp2 Ispa 2025
Cours Entrepreneuriat Btp2 Ispa 2025
Cours Entrepreneuriat Btp2 Ispa 2025
Généralités
L’entrepreneuriat est un concept qui a suscité beaucoup d’analyses. Il
désigne une action de créer de la richesse et de l'emploi. Plus
précisément, l'entrepreneuriat est l'ensemble des qualités personnelles,
des compétences sociales et des habiletés en matière de création et de
développement d'entreprise et qui sous-tendent un mode de
comportement engagé vers la réussite
L'entrepreneuriat a connu une évolution historique à partir du XVIIe siècle
et son histoire était étroitement liée à celle du métier d'entrepreneur. Le
nom entrepreneur était reconnu à une personne guidée par la volonté de
faire des affaires en prenant des initiatives. La révolution industrielle du
XVIIIe siècle a été le catalyseur de la volonté de la prise de risque dans
une économie purement capitaliste, se substituant aux systèmes
économiques fermés (économie domaniale) et même artisanal (économie
urbaine) par lesquels le profit est hors des mentalités. À cette époque le
terme entrepreneur faisait allusion aux inventeurs des techniques
nouvelles.
Ainsi, selon Joseph Schumpeter, un entrepreneur est une personne qui
veut et qui est capable de transformer une idée ou une invention en
innovation réussie. Pour d'autres penseurs comme Peter Drucker,
l'entrepreneuriat consiste à prendre des risques en mettant en jeu sa
carrière et sa sécurité financière pour mettre en œuvre une idée, son
temps et son capital dans une entreprise risquée.
Aux regards de ces définitions et face au triste constat de la rareté de
l'emploi dans la plupart des pays, et particulièrement en Cote d’Ivoire,
l'étude entrepreneuriale suscite un intérêt particulier. Elle doit mettre en
éveil l’esprit d'entreprise tout en poursuivant des objectifs précis à savoir :
● Susciter l’intérêt pour la création d'entreprise
● Expliquer le processus de création
● Élaborer un plan d'affaire. Ces objectifs constituent les points
essentiels pouvant permettre la réalisation ou la concrétisation d'un projet
d'entreprise. On peut subdiviser l'entreprenariat en trois formes :
L’entrepreneuriat à but lucratif qui est axé sur la recherche de
profit financier ou de gain.
L’entrepreneuriat à but non lucratif ou entreprise
communautaire basé sur le bien-être social des membres de la
communauté (association, O.N.G., les mutuelles)
L’intrapreneuriat : qui se développe à l'intérieur d'une
entreprise.
Ce sont des sociétés qui se constituent sur la base des capitaux apportés
par les associés. La responsabilité des associés est donc limitée à leur
apport. Ils sont appelés actionnaires.
L’actionnaire qui détient la majorité des actions a le pouvoir de décision.
En cas de faillite, l’actionnaire n’est responsable qu’en concurrence de son
apport.
Une action est un titre de propriété, représentant une fraction du capital
social et qui confère à son détenteur, un droit dans la société.
a- La société anonyme (SA)
C'est une société de capitaux dont le capital est représenté par des titres
appelés actions qui sont négociables. La SA est l'une des sociétés les plus
implantées en Côte d’Ivoire.
Exemple : SODECI, CIE (SA), SGBCI(SA)
Le transfert des actions est libre. Toutefois, les statuts peuvent le
soumettre à l’approbation du conseil d'administration.
La (SA) fonctionne avec un conseil d'administration dont les membres sont
choisis parmi les associés.
Le capital social minimum est de 10 000 000F divisé en actions dont la
valeur ne peut être inférieure à 10 000F CFA.
C'est la société de capitaux dont laquelle le capital est représenté par des
actions. Ces actions font l’objet d’un transfert. On distingue deux types
d'associés :
- les associés commandités
- les associés commanditaires
Ces deux types d'associés ont les mêmes statuts que les associés de
société en commandite simple.
N.B : Les SCA n’existent pas dans le SYCOA.
c- Les sociétés intermédiaires
Ce sont des sociétés qui sont à la fois des sociétés de personnes et des
sociétés de capitaux. On distingue :
La société à responsabilité limitée (SARL)
Dans une SARL les associés sont responsables qu’à concurrence de leur
apport. Le capital est divisé en part sociales.
La SARL est administré par un ou plusieurs associés gérants ou non,
majoritaires ou non. Lorsque la SARL est créée et gérée par une seule
personne, on parle de société unipersonnelle à responsabilité limitée
(SURL).
Les sociétés à capital variable
Ce sont les sociétés qui peuvent prendre la forme d’une des sociétés
précédemment étudiées mais dont les statuts prévoient la variabilité du
capital.
Le capital peut-être augmenté chaque année d'un montant maximum fixé
par les statuts. Il peut être réduit lors du départ d’un associé. Dans ce
cadre cet associé a droit à sa quote-part de bénéfice.
II. Les principales causes de l'échec des PME/PMI
1- les causes de l’échec
CHAPITRE 2 : L’ENTREPRENEUR
L’esprit d'entreprise est l’état d’être des personnes qui vivent une culture
entrepreneuriale.
La personne possédant l'esprit d'entreprise a une grande capacité à
trouver des idées créatrices d'entreprise. Elle est très imaginative,
s’adapte facilement aux changements, fascinée par le nouveau et attirée
vers l’inconnu. Cette personne a besoin de produire, de réaliser des
projets est de créer des nouveautés.
1-3- La culture entrepreneuriale
Toutes les entreprises qui existent sont créées à parti d'une idée. Il existe
un nombre illimité d’idées et il convient de trouver la meilleure, celle qui
peut permettre la conception d'un projet d'entreprise.
L’occasion entrepreneuriale ou tendance est à la base de la naissance
de l’idée que l'on concrétise sous forme de projet d’entreprise. Elle est
définie comme un problème, une insuffisance, un besoin, un défi qui peut
profiter à une entreprise.
1- Idée d’entreprise
1-1 Définition
Un bon projet doit mettre la lumière sur la capacité de l'entrepreneur à détecter ses
forces et ses faiblesses et créer une certaine motivation à la réalisation d’objectifs visés.
b) Le devenir de l'entreprise
Il s'agit pour l'entrepreneur de se donner des objectifs, de chercher par tous les moyens
pour les réaliser en veillant sur l’utilité sociale de son entreprise.
c) La justification de l'action de l'entreprise
● Juridiques :
- être son propre maître
- formalités simplifiées (simple immatriculation registre commerce et du crédit
immobilier , un numéro de compte contribuable)
-elle peut fonctionner rapidement.
● Fiscaux
- possibilité d'obtenir le bénéfice du forfait d’impôt sur le revenu
Inconvénients
● Juridiques
- extension de l’éventuelle faillite aux biens personnels et familiaux.
-forme juridique rendant difficile la participation des capitaux extérieurs
-réticences des banques
●Sociaux
-absence de couverture sociale
-assujetti au régime des non-salariés
-Pas protégé en cas de faillite.
1-2 la société à responsabilité limitée (SARL)
L’acte uniforme de l’OHADA définit la SARL comme une société dans
laquelle les associés ne sont responsables des dettes sociales qu’à
concurrence de leurs apports et dont les droits sont représentés par des
parts sociales.
La SARL peut être la propriété d'une personne physique ou morale, de
deux ou plusieurs personnes physiques ou morales.
Le capital social est au minimum d’1 million (1 000 000 FCFA) divisé en
part sociale dont la valeur nominale ne peut être inférieure à 5000 FCFA.
avantages
● Juridique :
- constituée de personne qui se connaissent plus ou moins bien.
-les associés n'ont pas la qualité de commerçants et sont
responsables en concurrence de leurs apports
-peuvent quitter librement la société
- Le gérant à l'essentiel des pouvoirs
-consultation pour l'approbation des comptes pour laquelle une
assemblée générale est obligatoire.
● Sociaux
Le gérant majoritaire ou minoritaire bénéficie des avantages sociaux des
salariés
Inconvénients
● Juridiques
-impossibilité de faire appel à l’épargne publique : la souscription et
la libération du capital sont intégrales dès la constitution de la société.
-implication de nommer un commissaire aux apports dès que la
valeur des apports en nature dépasse 5 000 000 FCFA.
● Fiscaux
-exclure du régime du forfait fiscal
-assujettit au régime normal d’impôt sur le BIC (bénéfice industriel et
commercial)
1-3 la société anonyme SA
La société anonyme est une société dans laquelle les actionnaires ne sont responsables
qu’en concurrence de leurs apports et dont les droits des actionnaires sont représentés
par des actions. La SARL ne peut comprend un seul actionnaire. Le capital social
minimum est de 10 000 000 FCFA divisé en action dont la valeur nominal minimum est
de 10 000 FCFA. C'est la forme la mieux adaptée à la grande entreprise.
avantages
● Juridiques
-sortie et entrée faites de nouveaux associés
-possibilité d'appel à l'épargne publique
-la responsabilité des actionnaires est limitée aux apports
-ils ne peuvent être poursuivi en cas de faillite
-libération du1/4 du capital numéraire à la constitution et le solde dans un délai
de trois mois
Inconvénients
●juridiques
-capital social relativement élevé
-obligation de nommer un commissaire aux comptes
● Sociaux
-pas de contrat de travail entre la société et les administrateurs
● Fiscaux
-Bénéfices taxés selon le régime de l’impôt sur les sociétés
-régime du forfait exclu (sauf en cas de perte de l’exercice)
2- Comparaison des critères économiques
Les étapes pour la création d'une entreprise, forment un certain nombre de formalités.
Celles-ci varient en fonction de la forme juridique choisie. Ces formalités sont beaucoup
plus simplifiée pour une entreprise individuelle que pour une SA et une SARL.
1- Les formalités de constitution d'une entreprise individuelle
Selon les dispositions de l'article 10 de l’acte uniforme (OHADA) tout contrat de société
doit être rédigé par écrit. Les statuts sont établis par acte notarié, déposée avec
reconnaissance d’écriture et de signatures par toutes les parties chez un notaire qui
devient incontournable dans la constitution de société. Deux possibilités s'offrent aux
fondateurs :
-Soit, ils font rédiger les statuts par le notaire
-Soit, ils rédigent un acte sous- seing privé à déposer chez un notaire qui se
charge de l’enregistrement.
2-1 La constitution d’une SARL
a) Les formalités administratives
Les statuts constituent le contrat entre les associés de la SARL. S’ils sont rédigés par les
associés eux-mêmes, on parle d’acte sous-seing privé, et d’acte authentique s’ils le sont
par un notaire.
La forme notariée dévient obligatoire lorsqu’il y a des apports importants en nature si la
société est créée par une personne avec un ou plusieurs héritiers.
Les statuts sont établis en plusieurs originaux autant qu'il est nécessaire pour les
formalités. En général, il est établi 10 originaux et une copie est remise à chaque associé.
Pour l’acte sous-seing privé, le créateur peut s'adresser à un cabinet autorisé pour les
formalités après la rédaction et la signature des statuts. S’il est établi par le créateur lui-
même, le notaire se charge de toutes les formalités et au créateur de lui payer des
honoraires proportionnels au capital social.
Cet acte a l’avantage d'être moins coûteux mais peut-être moins crédible vis-à-vis des
banques par ce que le capital social déclaré peut être fictif ou libéré en partie, ce qui est
illégal.
2-2 la constitution d’une SA
Les formalités de constitution d’une SA son accomplies uniquement par un notaire. Ces
formalités se résument à ces étapes suivantes :
● Dépôt d’un projet de statuts au greffe du tribunal de 1 ère instance compétent,
par le fondateur.
● Versement des fonds relatifs à la souscription du capital chez un notaire, le
capital peut n'être libéré que 1/4, le reste à libéré dans un délai de trois mois.
● Établissement de la déclaration notariée de versement de
souscription.
● Assemblée générale constitutive désignant les administrateurs
● Formalité de dépôt et publicité
● Immatriculation au registre du commerce
● Réunion du premier conseil d’administration
Dans le cas d'apports en nature, il doit être désigné un commissaire aux apports pour les
vérifier et présenter un rapport à une seconde assemblée constitutive sur l’évaluation
des apports faits par les apporteurs.
Quelque soit la forme juridique, les formalités s’achèvent avec la déclaration fiscale
d’existence et l’inscription auprès des différents organismes sociaux.
On appelle marché cible, l'ensemble de tous les acheteurs réels et potentiels d'un
produit ou d’un service.
1-2 Caractéristiques
Le marché institutionnel est très différent de celui de la consommation car vendre à une
organisation pose des problèmes différents de vente aux consommateurs finals : l'acte
d'achat est documenté et organisé (appel d'offre, propositions, commandes ou contrats)
2- Les étapes de réalisation d'une étude de marché
La publicité est une forme de communication, payante ou non ayant pour objectif la
promotion des produits et des services d'une entreprise. Les étapes à suivre pour une
bonne publicité sont :
- Attirer l'attention
- Présenter le produit avec des mots simples, clairs et compréhensifs, (les
avantages et les bienfaits du produit)
- utiliser une approche appropriée pour exprimer le message
- trouver un slogan accrocheur
- terminer par une phrase d’action
Pour atteindre facilement la cible visée, on peut utiliser les méthodes suivantes : bouche
à oreille, porte à porte, dépliants, banderoles, invitations, affiches, cartes de visites,
journaux, radio, télévision, Internet, Panneaux publicitaires, tricots, griots, gadgets,
stylos, porte-clés, couvertures de cahiers, sponsoring, prospectus.
b) La force de vente
La force de vente est l’équipe de vendeurs employés par l'entreprise. Ils sont chargés
d’établir des contacts directs et privilégiés avec la clientèle actuelle ou potentielle. Une
vente peut se dérouler en 5 étapes :
- la prise de contact avec le client
- identification de ses besoins
- la proposition d'une solution au client
- la réponse aux réserves et aux objections du client
- la conclusion de la vente.
Les canaux de distribution sont les intermédiaires par qui le produit arrive à atteindre le
consommateur. En effet, le produit doit être amené à quantité suffisante, au bon endroit,
au bon moment, dans de bonnes conditions, pour se faire on distingue trois types de
canaux :
- Le canal directe : il n'y a pas intermédiaire, le produit est immédiatement remis
au consommateur final par le producteur.
- Le canal court : l'intermédiaire est le détaillant qui achemine le produit du
producteur au consommateur final.
- Le canal long : le produit passe par plusieurs intermédiaires (grossistes, demi-
grossistes, est détaillants) pour atteindre le consommateur final.
Le choix d’un canal dépend de la nature du produit, du nombre de ses clients, le type de
client, le site de l'entreprise, le lieu où se trouve le client, la quantité de produit que les
clients achètent ou sont prêts à acheter.
b) Le choix du site
Il doit être fait pour identifier l’installation de l’entreprise et/ou l’endroit identifié pour
l'exploitation du point de vente au détail.
3-5 le prix
Le prix est la valeur d’échange du produit ou du service. Le choix du prix du produit est
une stratégie essentielle. Il doit être fixé de façon à favoriser une bonne pénétration du
marché visé et à réaliser le projet souhaité : le prix peut être fixé sur le coût de
production augmenté d'une marge de profit, le prix de pénétration, le prix d’écrémage, le
prix axé sur le profit, le prix non-arrondi, le prix basé sur le prestige.
C'est méthodes varient d'un produit à un autre et sont influencées par les actions de la
concurrence.
Il s'agit de dresser la liste des équipements, les installations et les services nécessaires
sur le site.
Échéanciers
Équipements et outils Installations
Au démarrage
Au 3è mois
…
… …
Au 12ème mois
1- Étude comptable
Cette étude porte sur l'évaluation des charges et des produits générés lors du
déroulement de l'activité de l’entreprise. Elle doit permettre de présenter deux
documents essentiels que sont : le bilan et le compte de résultat prévisionnels.
1-1 L’évaluation des charges
Il s'agit des charges par nature et concernent :
- Achat (matières premières, produits finis,...)
- Travaux, fourniture et services extérieurs
- Les frais de transport et de déplacements
- Les frais divers de gestion
- impôts et taxes liées à l'activité
- frais de personnel : salaires et charges sociales
- dotations aux amortissements
- frais financiers etc....
2- L’étude financière
Matériels
informatique
s
Matériels de
transport
Année 3
Année 4
Année 5
10 000 000
c) Plan de trésorerie
Décaissements TTC
●Exploitation
Achats (march, matière ect…)
Transports
Impôts
Autres charges
Charges du personnel
TVA déductible
Charges financières
●Hors exploitation
Remboursement d’emprunt à terme
Fournissements d’immobilisations
Total 2
Solde en fin de mois (1-2)
Les objectifs d'un plan d'affaires sont de servir d'outil de communication et d’outil
stratégique.
Pour les atteindre, le plan d’affaire doit identifier deux types de cibles à savoir la cible
interne (l’entrepreneur, l'équipe, les associés...) Et la cible externe (les partenaires, les
banquiers, l'administration, les collectivités locales, les investisseurs financiers...)
2-1 Au niveau de la cible interne
Le plan d'affaire, comme un outil de communication permet :
- D’informer régulièrement les parties prenantes et de motiver l'ensemble des
collaborateurs.
- De proposer des actions à réaliser et de donner une vision claire de la
participation de chacun.
3- Structure et organisation
3-1 structure
3-2 organisation
4- plan marketing
4-1 étude de marché
4-2 stratégie de mise en marché
5- prévisions financières
5-1 les informations de base
5-2 plan de financement
5-3 compte de l'exploitation prévisionnelle
Après avoir fait l’étude de faisabilité du projet, l’épineux problème est de trouver le
financement. C’est l’étape la plus difficile du processus de création.
Cependant, plusieurs possibilités sont offertes
1- Fonds propres et emprunts
Lorsque le projet est de petite importance, le financement par apport personnel permet
de le réaliser mais pas un projet de grande envergure où il faut le financement personnel
et un emprunt.
2- les sources de financement local
2-1 les banques commerciales
Elles constituent les principales sources de financement avec imposition de garanties au
promoteur (la prise d’hypothèque (maison, terrain,…), l’assurance vie…). Il s'agit pour le
banquier de se couvrir de risques en cas d'échec du projet et amener le créateur à
honorer ses engagements.
2-2 les initiatives privées
Elles sont menées par les pouvoirs publics à travers les structures spécialisées de
financement de projet.
3- Les sources de financement internationales
On distingue :
3-1 L’AEF : African Entreprise Fonds
C’est une filiale de la banque mondiale chargée de financer les PME en Afrique. Elle
intervient dans les structures productives à hauteur de 30 % du capital social avec un
apport personnel de 40 % et 30% éventuellement d'une banque locale.
3-2 La BAD : Banque Africaine de Développement
Elle participe au financement de projet sur les conditions suivantes :
- Taille du projet de comprise entre 100 000 000 et 4 milliards de francs de CFA
- participation : 33 % maximum de l’investissement
- apport personnel exigé : 30 à 40% du capital.
4- Quelques formes particulières de financement